L’AFIA (Association Francophone d’Informatique Agricole) vise à être :
– un lieu de rencontre, à l’instar de ce qui se fait aux Pays-Bas et en Allemagne où nos homologues VIAS et GIL sont actives (RR).
– les colloques sont pour les éditeurs de logiciels un lieu de contact avec les Instituts. D’ailleurs les principaux membres de l’Anela sont allés voir les Instituts dans une relation 1 éditeur – 1 Institut, faute de lieu de rencontre (BD).
– quel rôle pour les Instituts au sein de l’Afia ? (GdC).
– l’expérience de la Commission informatique des ITA montre le besoin d’un espace d’échanges d’information (JFS).
– mais un tel lieu d’échange doit être élargi aux éditeurs, à la recherche (il est dommage que l’Inra et le Cemagref soient absents aujourd’hui) ainsi qu’aux producteurs agricoles (MS).
– il y a aussi un besoin de mise en commun d’information, par exemple sur les statistiques de ventes ou d’utilisations des logiciels existants, afin que certains ne réinventent plus ce qui existe déjà (BD). Pour ce faire il faudrait une base de données sur le web (SMS).
– l’AFIA devrait être également un lieu de veille sur les outils futurs, les besoins futurs, sur ce qui se passe à l’étranger et notamment aux USA (JMF).
– l’AFIA ne se concentre pas sur les techniques informatiques mais sur les usages de ces techniques, et veut répondre à la question : en quoi l’informatique peut-elle aider au développement agricole dans le sens plus général ? (JMF).
– l’AFIA devrait faire de la veille sur les appels à projet, même si elle ne peut sans doute pas participer aux projets (SMS), sauf en sous-traitance (GW).
– l’AFIA doit rester neutre (BD).
– l’AFIA doit rassembler tout le monde (MS).