AFIA
ACTA Informatique |
Du
côté du web et de l'informatique agricole 14 - 2007 (10 ème
année)
Paris, 9 avril 2007 - Complément |
Pensez
à vous inscrire d'urgence au colloque du 15 mai
Pensée du jour
(
) je crois que fondamentalement nous vivons dans une société
de surveillance - Alex TÜRK - président de la commission
nationale informatique et libertés (CNIL)
Un peu long mais... mais... : Commander une pizza en 2015 ! (pour
illustrer la pensée ci-dessus ?)
Standardiste
: "Speed-Pizza, bonjour."
Client : "Bonjour,
je souhaite passer une commande s'il vous plaît."
Standardiste
: "Oui, puis-je avoir votre NIN, Monsieur ?"
Client : "Mon
Numéro d'Identification National, oui, un instant, voila,
c'est le 6102049998-45-54610."
Standardiste
: "Je me présente je suis Habiba Ben Saïd, merci
Mr Jacques Lavoie. Donc, nous allons actualiser votre fiche, votre
adresse est bien le 174 avenue de Villiers à Carcassonne,
et votre numéro de téléphone le 04 68 69 69
69. Votre numéro de téléphone professionnel
à la Société Durand est le 04 72 25 55 41 et
votre numéro de téléphone mobile le 06 06 05
05 01. C'est bien ça monsieur Lavoie ?
Client (timidement)
: "Oui !!"
Standardiste
: "Je vois que vous appelez d'un autre numéro qui correspond
au domicile de Mlle Isabelle Denoix, qui est votre assistante technique.Sachant
qu'il est 23h30 et que vous êtes en RTT, nous ne pourrons
vous livrer au domicile de Mlle Denoix que si vous nous envoyez
un XMS à partir de votre portable en précisant le
code suivant : AZ25/JkPp+88"
Client : "Bon,
je le fais, mais d'où sortez-vous toutes ces informations?"
Standardiste
: "Nous sommes connectés au "système croisé",
Monsieur Lavoie."
Client (Soupir)
: "Ah bon !... Je voudrais deux de vos pizzas spéciales
mexicaines."
Standardiste
: "Je ne pense pas que ce soit une bonne idée, Monsieur
Lavoie."
Client : "Comment
ça ???..."
Standardiste
: " Votre contrat d'assurance maladie vous interdit un choix
aussi dangereux pour votre santé, car selon votre dossier
médical, vous souffrez d'hypertension et d'un niveau de cholestérol
supérieur aux valeurs contractuelles. D'autre part, Mlle
Denoix ayant été médicalement traitée
il y a 3 mois pour hémorroïdes, le piment est fortement
déconseillé.. Si la commande est maintenue la société
qui l'assure risque d'appliquer une surprime?"
Client : "Aïe
! Qu'est-ce que vous me proposez alors ?..."
Standardiste
: "Vous pouvez essayer notre Pizza allégée au
yaourt de soja.Je suis sûre que vous l'adorerez."
Client : "Qu'est-ce
qui vous fait croire que je vais aimer cette pizza?..."
Standardiste:
"Vous avez consulté les 'Recettes gourmandes au soja"
à la bibliothèque de votre comité d'entreprise
la semaine dernière, Monsieur Lavoie et Mlle Denoix a fait,
avant hier, une recherche sur le Net, en utilisant le moteur http://www.moogle.fr/
avec comme mots clés "soja"et "alimentation".
D'où ma suggestion."
Client : "Bon
d'accord. Donnez-m'en deux, format familial."
Standardiste
: "Vu que vous êtes actuellement traité par Dipronex
et que Mlle Denoix prend depuis 2 mois du Ziprovac à la dose
de 3 comprimés par jour et que la pizza contient, selon la
législation, 150mg de Phénylseptine par 100g de pâte,
il y a un risque mineur de nausées si vous consommez le modèle
familial en moins de 7 minutes. La législation nous interdit
donc de vous livrer. Par contre j'ai le feu vert pour vous livrer
immédiatement le modèle mini."
Client : "Bon,
bon, ok, va pour le modèle mini. Je vous donne mon numéro
de carte de crédit."
Standardiste
: "Je suis désolée Monsieur, mais je crains que
vous ne soyez obligé de payer en liquide.. Votre solde de
carte de crédit VISA dépasse la limite et vous avez
laissé votre carte American Express sur votre lieu de travail.
C'est ce qu'indique le credicard-Satellis-Tracer."
Client : "J'irai
chercher du liquide au distributeur avant que le livreur n'arrive."
Standardiste
: "Ca ne marchera pas non plus Monsieur Lavoie, vous avez dépassé
votre plafond de retrait hebdomadaire."
Client : "Mais
?... Ce n'est pas vos oignons ! Contentez-vous de m'envoyer les
pizzas! J'aurai le liquide.Combien de temps ça va prendre
?"
Standardiste
: "Compte-tenu des délais liés aux contrôles
de qualité,elles seront chez vous dans environ 45 minutes.
Si vous êtes pressé, vous pouvez gagner 10 minutes
en venant les chercher, mais transporter des pizzas en scooter est
pour le moins acrobatique."
Client : "Comment
diable pouvez-vous savoir que j'ai un scooter ?"
Standardiste
: "Votre Peugeot 408 est en réparation au garage de
l'Avenir, par contre votre scooter est en bon état puisqu'il
a passé le contrôle technique hier et qu'il est actuellement
stationné devant le domicile de Mlle Denoix. Par ailleurs
j'attire votre attention sur les risques liés à votre
taux d'alcoolémie. Vous avez, en effet réglé
quatre cocktails "afroblack" au Tropicalbar il y a 45
minutes. En tenant compte de la composition de ce cocktail et de
vos caractéristiques morphologiques,ni vous ni Mlle Denoix
n'êtes en état de conduire. Vous risquez donc un retrait
de permis immédiat."
Client : "@#%/$@&?#!"
Standardiste
: "Je vous conseille de rester poli Monsieur Lavoie. Je vous
informe que notre standard est doté d'un système anti-insulte
en ligne qui se déclenchera à la deuxième série
d'insultes. Je vous informe en outre que le dépôt de
plainte est immédiat et automatisé. Or, je vous rappelle
que vous avez déjà été condamné
en juillet 2009 pour outrage à agent."
Client : (Sans
voix)
Standardiste
: "Autre chose Monsieur Lavoie ?"
Client : "Non,
rien. Ah si, n'oubliez pas le Coca gratuit avec les pizzas, conformément
à votre pub."
Standardiste:
"Je suis désolée Monsieur Lavoie, mais notre
démarche qualité nous interdit de proposer des sodas
gratuits aux personnes en surpoids. Cependant à titre de
dédommagement, je peux vous consentir 15% de remise sur une
adhésion flash au contrat Jurishelp, le contrat de protection
et d'assistance juridique de Speed assurance. Ce contrat couvre,
en particulier, les frais annexes liés au divorce. Vu que
vous êtes marié à Mme Claire Lavoie née
Girard depuis le 15/02/2008 et vu votre présence tardive
chez Mlle Denoix, ainsi que l'achat il y a une heure à la
pharmacie du Canal d'une boite de 15 préservatifs et d'un
flacon de lubrifiant à usage intime,cela pourrait vous être
utile. D'ailleurs, je vais faire joindre aux pizzas un bon de 5
EUR de réduction pour vos prochains achats de préservatifs
valable chez Speed-Parapharma.
Bonsoir Monsieur et merci d'avoir fait appel à Speed-Pizza."
Contact : Olivier CHAILLOT
Mél : olivier.chaillot(a)wanadoo.fr
Thought of the day
I have made a ceaseless effort not to ridicule, not to bewail,
not to scorn human actions, but to understand - Baruch SPINOZA,
philosopher (1632-1677)
Les
nouveaux outils du web agricole
Colloque
- Paris
15 mai 2007
|
Le
web agricole nouveau est arrivé :
blog, RSS, wiki, podcast, vidéo, web télé,
web conférence…
Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6752
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr
|
Le web agricole nouveau est arrivé : blog,
RSS, wiki, podcast, vidéo, web télé, web conférence…
48ème Colloque AgriMMédia
Paris - MNE - Mardi 15 mai 2007 - de 14 h à 18 h
Voir
: http://www.acta-informatique.fr?d=6752
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr
La technologie ReadSpeaker (Attention : vocaliser n'est pas faire
des vocalises !) sera présentée en détail au colloque du 15 mai
La technologie ReadSpeaker permet de vocaliser quasi-instantanément
un site Web sans avoir à le reconstruire. Elle s'adresse à toutes
les personnes préférant écouter que lire par confort ou à cause d'un
handicap.
Cette innovation est citoyenne (elle s’adresse à 10 à 20 % de la population
mise de côté par Internet (ex : www.elysee.fr,
www.gsk.fr), dynamise le trafic des sites
web (ex : International Herald Tribune : www.iht.com),
permet d'être innovant en proposant des podcasts automatiques (www.leroymerlin.com, valorise le contenu des sites
Internet (ex : www.bayercropscience.fr).
ReadSpeaker est très simple à installer (Vous n'aurez donc aucun coût
de reconstruction de site ni de maintenance à prévoir).
Contactez : Laurent LEBEUR
Mél : laurent.lebeur(a)nouvellecampagne.com
TRACTOGUIDE
2007
l'indispensable outil des professionnels du machinisme !
|
Cet
ouvrage, structuré en six parties, présente 332
tracteurs de 2 à 4 roues motrices, 81 moissonneuses-batteuses
avec équipement céréales à paille
et maïs, 79 tracteurs spécialisés et 29 machines
à vendanger, 22 ensileuses automotrices et 80 chargeurs
télescopiques disponibles actuellement en France.
Ces 623 fiches décrivent en détail l'ensemble
des caractéristiques techniques des tracteurs standards
et spécialisés, des moissonneuses-batteuses, ensileuses
automotrices, chargeurs télescopiques et machine à
vendanger. Les prix et date de tarif sont donnés à
titre indicatif.
Le Tractoguide fournit au lecteur le barème d'entraide
prévisionnel 2007, les adresses utiles du secteur et
un index complet des modèles présentés.
Ce document unique répond aux besoins non seulement des
agriculteurs et producteurs spécialisés mais aussi
des techniciens, des conseillers machinisme, des CUMA ou des
entrepreneurs de travaux.
TRACTOGUIDE - Edition ACTA, mars 2007, 632 pages, Format 15
x 21 cm.
43 euros TTC
Participation aux frais d'envoi : 7 euros pour un ex.
ISBN : 2-85794-237-0
Réf : B 314
Pour se procurer ce document, s'adresser à
ACTA
BP 90006
59718 LILLE Cedex 9 |
Rencontres d’Agro EDI Europe – Edition 2007
3 mai 2007 - PARIS
> Bilan et perspectives de l’association
> Présentation et point d’avancement sur le projet RES-AGRI
> Présentation des EDI pour l’approvisionnement agricole
- Secteur des produits phytosanitaires par Antoine Crabit (UIPP)
- Secteur des engrais par Joëlle Fellous (Union InVivo)
- Alimentation Animale par Grégory Horvais (AEE)
> La politique de simplification mise en place au sein du ministère
de l’agriculture
> Présentation des travaux Européens et Internationaux
- Les instances de travail : UN/CEFACT TBG18 et CEN EEG14, fonctionnement
et projets en cours par Bruno Prépin
- Présentation des EDI agricole en Hollande par Frans van Diepen (Ministry
of Agriculture Nature and Food Quality)
- Les travaux à l’ISO (à confirmer)
> Savoir faire des adhérents Agro EDI Europe
- EUROEDI - L'EDI, une technique éprouvée. C'est simple à mettre en
oeuvre et ça marche ! Exemple de la filière agricole – Sacha Huberdeau
- EDT - Echanges électroniques B2B dans le contexte de communautés
Voir : http://www.agroedi.asso.fr/sites/agroedi/les_rencontres_agroedieurope_2007.pdf
Contact : Grégory HORVAIS
Mél : ghorvais(a)agroedi.asso.fr
2 journées "œnologie" à Montpellier
- 15 mai - La conduite des fermentations
- 22 mai - L’élevage des vins
Voir : http://www.agro-montpellier.fr / formations
et diplômes / Formations continues courtes.
Contact : Dominique ALHINC
Mél : alhinc(a)supagro.inra.fr
Filières céréales : l’Inra et Arvalis Institut du végétal renforcent
leur coordination
Voir : http://www.inra.fr/les_partenariats/filieres_cereales_coordination_inra_arvalis
Tout sur les firewall
Watchguard
|
Voir
: http://www.acta-informatique.fr?d=6544
Contact : Jean-Paul ARCHIER
(Cisco Certified Network Professional) et WSCP (Watchguard Security
Certified Professional)
ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional
Partner
Mél : jpa(a)acta-informatique.fr |
Du côté des
débats sur les OGM
Bonjour Guy, Merci beaucoup de vos envois, en particulier celui
concernant les publications des scientifiques et universitaires sur
la sécurité des PGM. Longue vie à la gazette,
Contact : Aimé AUMAITRE
Mél : aaumaitre(a)wanadoo.fr
Pourquoi est-il "antirépublicain" de se limiter au confinement
de la culture OGM ? (Comme suite à la gazette du 29 mars)
Pourquoi devons nous suivre la course folle des américains. (Ceux
qui veulent acheter le contingent de pollution des "sous-développés")
L'homme sera-t-il un jour assez mature, intelligent, altruiste, bref
assez humain pour cesser de s'accaparer la nature et la planète.
Posons quelques questions et faisons réfléchir notre conscience.
- La biodiversité se réduit comme peau de chagrin.
- De nombreuses races d'animaux vont s'éteindre rapidement.
- Nous avançons droit et vite vers des bouleversements climatiques.
- L'occident pille les richesses naturelles des pays pauvres et asservit
ses populations.
- Pour notre confort immédiat, nous produisons des tonnes de déchets
nucléaires indestructibles avant des siècles.
- Nos sociétés "civilisées" ont pollué l'eau, l'air, maintenant
la terre et la pluie.
- Nos entreprises déposent des brevets sur les gènes, avec un but
mercantile.
... et les spécialistes pourraient en raconter de biens pires.
Avec notre mode de vie, nous souillons notre propre lit.
L'humanité risque de disparaître rapidement, mais qui nous pleurera
demain ?
Ce que nous appelons "sciences de la vie" ou "bio-technologies"
ne seraient en fait que des "sciences de la mort" ?
Peut-on dénoncer ces dérives humanitaires sans être traité de "fumiste"
voire de "cracher dans la soupe" ?
N'est-il pas "grand temps" de concilier plus sereinement
la vie humaine avec le respect de la nature ?
René Dumont disait il y a 40 ans lors de sa première apparition à
la télévision : "bientôt, l'eau qui se trouve dans mon verre
sur cette table sera impropre à la consommation"
Hélas, il avait raison. La nature aura raison de la bêtise humaine.
En continuant sur cette voie, nous sommes condamnés.
Regardons nous bien droit dans la glace, et posons nous les bonnes
questions.
Contact : Daniel MAGNON
Mél : dmagnon(a)cmre.fr
Ma remarque (GW) : A propos de bêtise humaine, je veux bien passer
pour complètement idiot ET avoir aujourd'hui une espérance de vie
dont personne ne pouvait rêver par exemple il y a 100 ans en 1907,
et ce grâce aux biotechnologies. Je sais qu'il est si facile de raconter
que tout va de mal en pis que je trouve ceci très rigolo. Jamais nous
n'avons jamais été aussi bien armés pour répondre ensemble aux défis
qui sont devant nous.
Nous avons une foule de problèmes de tous ordres devant nous. Laissons
la neurasthénie au vestiaire. Travaillons ensemble, chacun sur son
chemin mais en respectant et évaluant tous nos cheminements respectifs.
Les meilleures solutions se dégageront petit à petit.
Mais la bonne question est de savoir comment nous allons réagir la
prochaine fois que l'on voudra chatouiller notre fibre sécuritaire
? Parce qu'à mon avis qu'il s'agisse de vaches "folles"
(BSE) ou de moutons "enrhumés" (FMD) ou de poulets grippés
(H5N1) ou produits phytosanitaires tueurs d'abeilles ou d'OGM tueur
de papillons et de biodiversité, ce sont toujours les mêmes mécanismes
de création de peurs irraisonnées qui sont mis en œuvre.
Nous sommes le premier exportateur de produits agricoles transformés
du monde, et le 2eme exportateur de produits agricoles. Et tout ce
qui va dans le sens d'une diminution de la capacité française de production
agricole, va dans le sens contraire à l'intérêt de la France, puisque
nous y trouvons beaucoup d'emplois, d'argent, de services ? Jacques
CHIRAC (Gazettes du 22 février et 29 mars)
Ce paragraphe me semble typique d'une vision compétitive du monde
qui a fait déjà beaucoup de dégâts et qui va détruire l'humanité si
l'on continue. A quoi cela sert-il d'être le "premier exportateur"
de ceci ou de cela ? La gestion de nos ressources serait elle une
grande coupe du monde de foot dont il faudrait sortir le premier à
tout prix ? Le résultat: gaspillage de ressources, surconsommation
d'énergie par une filière agro-alimentaire devenue minière, qui dépense
plus d'énergie fossile qu'elle ne produit d'énergie alimentaire, obésité
au Nord, et malnutrition au Sud par incapacité de ces pays à maintenir
leur propre production agricole, noyés sous nos excédents agricoles
subventionnés.
Et si l'on réfléchissait un peu à la FINALITE de cette agriculture,
aux BESOINS auxquels elle répond ? Exporter n'est pas une finalité,
ce n'est pas un besoin. Le besoin, c'est nourrir les hommes sainement
et de manière durable, en maintenant la fertilité des sols, des écosystèmes,
c'est produire des matières premières d'origine agricole, maintenir
les paysages ruraux. Exporter ne peut être qu'un plus, permettant
d'échanger avec d'autres pays et de nous procurer ce dont nous avons
besoin et que nous ne pouvons pas produire nous mêmes, c'est a dire
finalement assez peu de choses. Arrêtons de saccager l'environnement
et de paralyser les pays pauvres pour satisfaire de faux besoins (et
l'ego de nos dirigeants).
Contact : Anne GOUYON
Mél : editor(a)naturalguide.org
Ma remarque (GW) : Les questions que vous posez sont excellentes et
je suis bien d'accord avec vous que certaines exportations pourraient
utilement être évitées (cf. poulets en Afrique). Mais une fois posées
ces questions, que faisons-nous ? Comment payons-nous nos importations
de produits pétroliers, par exemple ? Et quand nos exportations ne
sont pas essentiellement tournées vers les pays pauvres, quand la
Chine, l'Inde, le Brésil… et même l'Afrique progressent à pas de géants,
pourquoi affirmer que ce sont nos exportations agricoles qui paralysent
les pays pauvres ? Et pourquoi considérer qu'il y a totale incompatibilité
entre une agriculture raisonnée et raisonnable d'une part et d'autre
part capacité à exporter des produits agricoles et alimentaires, dans
un pays comme le nôtre "béni des Dieux". "Glücklich
als Gott im Frankreich" disent nos amis allemands.
Exporter pour exporter, ce n'est pas notre but, mais exporter simplement
parce que nous en sommes capables, pourquoi pas ? Et exportons des
produits transformés plutôt que des matières premières.
Les
nouveaux outils du web agricole
Colloque
- Paris
15 mai 2007
|
Vocalisation pour podcasting, vidéo à la carte,
webtv... de nouvelles offres pour améliorer l'efficacité
du transfert d'information
Jean-Paul HEBRARD, rédacteur en chef du journal Agriculture
& Nouvelles Technologies et de l'agence TV Agri
Voir
: http://www.acta-informatique.fr?d=6752
|
Au voleur
Un gardien de prison fait sa ronde et interpelle un détenu.
Il lui demande :
- Hé vous ! Vous avez pris une douche ?
Le prisonnier répond :
- Non pourquoi, il en manque une ?
La déclaration PAC sur internet facilitée
Comme en 2005 et 2006, les agriculteurs peuvent effectuer sur
internet leur déclaration Pac 2007 sur le site Télépac. Par rapport
à l’an dernier, ce service s’est étoffé de nouvelles fonctionnalités
avec la déclaration en ligne de la PMTVA et de l’ICHN notamment.
Près de 2 % des agriculteurs en 2005, 7 % en 2006, l’Agence unique
de paiement espère atteindre 20 % de déclarations Pac sur internet
en 2007. Pour y parvenir, elle offre sur son site quelques améliorations
susceptibles de favoriser ces déclarations.
Ainsi l’agriculteur peut consulter ses DPU et télé-déclarer son dossier
Pac depuis le 2 avril et jusqu’au 15 mai. Mais pour la première fois
il peut aussi :
- télé-déclarer la PMTVA (prime à la vache allaitante) depuis le 1er
mars. 2700 éleveurs l’ont d’ailleurs fait à ce jour,
- télé-déclarer l’ICHN (indemnité compensatrice de handicap) dans
le cadre de son dossier Pac,
- Prendre connaissance, à partir de mai, des animaux retenus pour
la prime à l’abattage (PAB).
Par rapport à l’an dernier la déclaration en ligne est facilitée dans
la mesure où l’agriculteur peut mettre à jour le contour des îlots
si les terres ont été reprises ou cédées. Les parcelles peuvent être
réutilisées d’une année sur l’autre, il suffit d’indiquer les emblavements
de l’année. Le formulaire S2 est rempli automatiquement et le S1 (formule
d’identification) est pré-rempli : il reste seulement à vérifier les
informations.
>> Les avantages de Télepac
Selon l’Agence unique de paiement, la déclaration sur internet offre
de nombreux avantages par rapport à la déclaration papier. Ainsi en
cas d’exploitation de nouvelles terres (achat, location…), l’agriculteur
connaît tout de suite la surface des îlots qu’il dessine. Depuis cette
année, les îlots voisins sont affichés sur Télepac ce qui permet à
l’agriculteur de s’appuyer sur ces limites pour dessiner ses propres
îlots et éviter de créer des doublons de surface avec les voisins.
Dans les îlots, l’agriculteur peut soit dessiner précisément le contour
des parcelles qu’il exploite, soit simplement les localiser en indiquant
par un simple clic où elles se situent dans l’îlot.
Autre avantage le formulaire S2 se remplit automatiquement. Fini les
pages d’écritures et les risques d’erreur de calcul. Grâce à Télepac
également, l’agriculteur est accompagné dans sa déclaration ce qui
permet d’éviter un certain nombre d’incohérences et de faciliter l’instruction
des dossiers par les DDAF. Fini donc la peur de se tromper et les
conséquences qui y sont liées.
Enfin dès que l’agriculteur a posé sa signature électronique, le dossier
est envoyé à la DDAF et il reçoit dans la foulée l’accusé de réception.
>> Première déclaration en ligne : mode d’emploi
Depuis le 1er mars 2007, lors de la première connexion
sur Télépac, les nouveaux demandeurs (nouveaux installés, agriculteurs
ayant changé de forme juridique) doivent créer « leur compte » pour
avoir accès à l’ensemble de ses dossiers (DPU, dossier Pac, PMTVA,
PAB). Cette étape consiste à demander plusieurs informations d’identité
pour authentifier l’agriculteur et sécuriser sa signature électronique.
Cette formalité est effectuée une fois pour toute : lors des connexions
ultérieures, l’agriculteur pourra accéder rapidement à ses "services
TéléPac" en indiquant simplement son numéro d’identifiant et
son mot de passe.
Pour créer son compte, l’agriculteur doit penser à se munir de son
code Télépac 2007. Il figure au bas de la page deux sur la lettre
de notification des DPU définitifs, reçue fin novembre-début décembre.
>> Plus de 2 500 éleveurs ont déjà demandé leur PMTVA en
ligne
Les éleveurs peuvent effectuer leur demande de Prime au maintien du
troupeau de vaches allaitantes (PMTVA) en ligne depuis le 1er
mars, sur le site Télépac. Ce nouveau service, accessible jusqu’au
15 mai prochain (date limite de dépôt des demandes), a été ouvert
par l’Agence unique de paiement (AUP), et déjà plus de 2 500 éleveurs
ont rempli leur déclaration électronique. Résultat : moins de papiers.
Par ailleurs, l’éleveur dispose de services supplémentaires par rapport
à la déclaration papier : certaines informations sont déjà pré-remplies,
le nombre d’animaux engagés l’année précédente est rappelé, pour mémoire,
etc. En complément, il est possible d’effectuer en ligne la "notification
de perte d’animaux" ou la "localisation des animaux",
qui sont automatiquement transmises à la Direction départementale
de l’agriculture et de la forêt (DDAF).
Voir : http://www.telepac.agriculture.gouv.fr
Q.: What's the Freudian diagnosis for a Plain M&M?
R.: Peanuts envy.
Déclaration C.N.I.L. numéro 667690
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