Ce 48ème colloque AgriMMédia, organisé en collaboration avec M. Gentilleau (société NTIC-AGRI), vise à présenter les outils nouveaux du web agricole.

Blog, RSS, wiki, podcast, téléphone et visioconférence sur IP, vidéo sur Internet, i-Tune, Web Conférence, Web Télévision, etc. sont massivement utilisés aujourd'hui alors que ces technologies n'ont pas encore atteint l'âge de 5 ans !

Dire que tout va très (trop) vite sur Internet a toujours été une banalité, mais cette banalité se vérifie chaque jour !

L'objectif de ce 48ème colloque AgriMMédia est de faire le point sur toutes ces (toujours) nouvelles technologies de l'information avec des spécialistes qui ont non seulement l'expérience de ces outils mais aussi la connaissance du monde agricole et rural. Il s'agira certes de parler technique mais surtout des usages actuels ou possibles à court terme de ces techniques, lors de ce colloque qui aura lieu :

le mardi 15 mai 2007, de 14 à 18 heures,
à la Maison Nationale des Éleveurs,
149, rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12,
métro Bercy ou Gare de Lyon.

Internet est par essence un média démocratique (Suite à la gazette du 8 mars)
Internet est-il réellement un média ? Qui plus est un média démocratique ? Rien n'est moins sûr! Le pire y côtoye le meilleur ; tous les êtres humains ont accès à la radio voire à la télé, pas à Internet ! Loin de là. Pour la radio, quelques grammes d'électronique suffisent, des piles et on peut écouter. Pour internet, réfléchissez à la logistique nécessaire. Il est symptomatique de voir combien nos compatriotes raisonnent dans les limites de leur environnement proche.
Je vous conseille vivement de lire l'ouvrage de Dominique Wolton, chercheur au CNRS : "Internet et après ?"
"Internet ne créera pas magiquement une société où toute information circulerait librement et pacifiquement, où les rapports sociaux seraient miraculeusement modifiés. Le Web ne supplantera pas la radio et la télévision dans leur rôle essentiel de lien social. Si nos démocraties veulent rester fidèles à leur projet d'émancipation politique, elles doivent réglementer les nouveaux médias et éviter ainsi que la liberté de communication ne devienne synonyme de loi de la jungle".
http://www.wolton.cnrs.fr/wolton/b_internet_apres_wolton.htm
Après, on en reparlera ...
Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)jouy.inra.fr


Toutes mes félicitations pour votre lettre d'information qui constitue toujours une excellente source de renseignements
Contact : Emmanuel DESCLOUX
Mél : emmanuel.descloux(a)vilmorin.com


Bonjour d'un ami alsacien de Montpellier
Merci aussi pour la gazette que je suis toujours avec intérêt, avec ses débats variés qui me font aussi réagir même si je ne prends pas le temps de m'y mêler, mais qui permettent d'alimenter des discussions avec des collègues ou amis. J'en profite aussi pour te dire que j'apprécie bien mieux les couleurs "pastel" actuelles que les jaune et bleu vifs d'antan.
Contact : Pierre ZAESSINGER
Mél : p.zaessinger(a)bas-rhin.chambagri.fr


Expert culture - Une journée technique avec Luc Lorin - Agriculteur à Digny (28)
En pleine période de travaux, vous vous interrogez sur les techniques ou traitements à pratiquer ?
Posez dès à présent toutes vos questions à Luc Lorin et découvrez ses conseils le 24 avril en direct sur Terre-net.
Voir : http://www.terre-net.fr/Contact/pro/2007/office_phyto_04/default_quest.asp

** Windows est une marque enregistrée de Microsoft
Pour se procurer ces documents, s’adresser à : ACTA, BP 90006, 59718 LILLE Cedex 9
Voir :http://www.acta.asso.fr

Abeilles et OGM : cherchez l’erreur !
Après avoir accusé le Gaucho et le Régent TS d’être les ennemis des abeilles, une rumeur en provenance d’outre-Rhin incrimine aujourd’hui les plantes transgéniques. A l’origine de cette nouvelle accusation : Walter Haefeker, membre du conseil d’administration de l’Association des apiculteurs allemands (DBIB), et son président, Manfred Hederer. S’exprimant dans un article publié dans Der Spiegel du 22 mars dernier, les deux hommes ont expliqué qu’ils soupçonnaient désormais la toxine Bt des maïs OGM d’être à l’origine des récentes mortalités d’abeilles constatées en Allemagne.
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr


La révolution verte, maintenant !
Le 22 mars 2007, Didier Pillet, directeur de l'information, publiait un éditorial en une de Ouest-France qui fit l'effet d'une bombe dans l'agriculture bretonne : "La révolution verte, maintenant !" Cet édito faisait suite à l'ultime sursis de trois mois accordé à la France par la Commission Européenne concernant les "bassins versants en contentieux". Il a été aussi le point de départ d'un blog nourri (une centaine de contributions pour l'instant).
Au départ, ce furent bien sûr l'avalanche de félicitations émanant des intégristes de l'environnement, davantage rôdés à ce type de communication que les agriculteurs mis en cause. Toutefois, pour ne pas cautionner Didier Pillet dans sa démarche, nous nous attachons maintenant à répondre.
Voir : http://blog.ouest-france.fr/index.php/?2007/03/22/214-la-2e-revolution-verte-maintenant
et particulièrement, les interventions très pertinentes de Claude Besnard.
Contact : Serge Le DOARE
Mél : serge.le.doare(a)wanadoo.fr

Formation à e-GroupWare (logiciel libre)

Travail collaboratif avec e-GroupWare eGroupWare 1.2 - Espace collaboratif de travail - 1 jour - 14 juin - 16 novembre

Il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne font pas de connerie… le pb c'est que les OGM sont à José Bové, Corinne Lepage et autres marchands de peurs, ce que sont les immigrés pour JM Le Pen, c'est-à-dire un argument électoral, un enjeu de pouvoir (Suite à la gazette du 29 mars)
OK, il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne font pas de connerie mais je ne suis pas d'accord avec ces arguments:
D'abord c'est faux de dire "on faisait cela et cela ne posait pas de problèmes":
Concernant le devenir de l'azote, j'avais posé la même question il y a 33 ans à un spécialiste de la fertilisation : il a esquivé la question en disant que les transformations de l'azote dans le sol était complexe. J'avais déjà lu un ouvrage d'écologie qui parlait déjà de résidus et de réchauffement climatique. A la même époque; les agriculteurs biologiques ne pouvaient prétendre à un label puisque "toute l'agriculture est biologique par nature à partir du moment où elle met en jeu des processus biologiques". Aujourd'hui on donne des subventions aux agriculteurs pour les aider à devenir agriculteurs biologiques (sensu-stricto) et on pleure parce qu'on va être puni par Bruxelles parce que nos eaux bretonnes ont trop de nitrates.
Il y a toujours des gens qui ont quelques années d'avance à qui ce qu'on fait "pose problème" et qu'on ferait bien d'écouter un peu plus.
La seconde objection à votre comparaison est qu'il est trop facile de mettre sur le même plan ceux qui se nourrissent de la crainte de méthodes (comme les OGM) et ceux qui se nourrissent de la crainte de personnes (comme les immigrés). Votre rôle est d'élever le débat quand il a tendance à s'embourber, pas à le rabaisser vers des critiques faciles.
Contact : Hubert DE RINCQUESEN
Mél : hubert.derincquesen(a)cnasea.fr


Ma remarque (GW) : Libre à vous de ne pas sentir la pulsion sécuritaire qui s'est emparée de nos sociétés. Mais permettez-moi d'être pour le moins troublé de toutes ces peurs qui nous assaillent, qui font vivre très richement nos médias et qui constituent les fonds de commerce de politiciens en manque d'idées. Je suis bien d'accord avec vous qu'il est infiniment plus grave de s'en prendre aux immigrés que de s'en prendre aux OGM, mais permettez-moi de penser dans les deux cas, il ne s'agit que de boucs émissaires.
Ceci étant, nous avons toujours discuté de pbs de fertilisation azotée et nous n'avons pas attendu, pour corriger nos erreurs, en Bretagne comme ailleurs, de soit disant écologistes qui ne savent pas reconnaître la première mauvaise herbe mais dont les critiques nous aident aussi (voir la contribution de mon ami Maurice GUÉGUEN dans la gazette du 12 mars).
Et par exemple, j'ai participé à des travaux de l'Organisation Internationale pour la Lutte Biologique dans les années 80.
Débattre, oui bien sûr. Mais aussi refuser les guerres absurdes de religions et fermer ensemble la boîte de Pandore des peurs irraisonnées. Il n'y aucune raison d'être fondamentalement pessimiste sur notre avenir !

Les nouveaux outils du web agricole Colloque - Paris 15 mai 2007

Blogs Damien GENTILLEAU - e-Median Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5253

Je serai très intéressé que vous me signaliez le premier américain qui aura été rendu malade par la consommation d'un steak d'un bovin nourri avec du maïs OGM (id. pour le lait de vache) (Suite à la gazette du 8 mars)
La méthode de communication qui consiste à dédaigner les inquiétudes sociétales à propos des OGM, - qui est celle employée visiblement par Mr Waksman - ou encore à remettre en cause la légitimité des questions des consommateurs a, depuis longtemps, démontré qu'elle portait finalement plus préjudice aux sciences génétiques.
Guillaume : vous posez une question précise qui est celle de la nécessité d’avoir recours à une juridiction pour avoir accès à des informations.
Et Mr Waksman répond ceci : Signalez-moi un Américain qui aura été rendu malade... ; donc ne répond visiblement pas à la question posée.
Faut-il y voir une dérobade ?
Et sur la réponse formulée à propos de la santé des Américains même, elle ne me semble pas non plus être une justification de l’innocuité de la technologie GM Bt. Dans le même ordre d’idée, il y a beaucoup de gens comme Jean-Charles Bocquet, directeur de l’UIPP, récemment sur les ondes nationales, qui affirment que les pesticides n’ont pas d’effets visibles sur la santé humaine. Ce n’est à mon avis pas la bonne méthode de communication.
L’angle des bénéfices/risques me paraît plus responsabilisant.
Contact : D. LEFEBVRE
Mél : d.lefebvre(a)est-agricole.com


Ma réponse (GW) : Il ne s'agit pas de dédaigner les inquiétudes sociétales à propos des OGM. Il s'agit de refuser l'approche populiste des problèmes que nos sociétés peuvent rencontrer. Et la clé de ces approches populistes, c'est de susciter des peurs, qu'il s'agisse de la peur des phytos, des OGM comme la peur des immigrés par exemple.
Je respecte tout à fait votre point de vue. Vous avez le droit d'attendre encore dix ans de plus pour être persuadé de l'innocuité du maïs GM. Par contre, on n'a pas attendu dix ans pour abattre 300000 vaches pour rien dans l'histoire de la vache folle.
Mais nous avons certainement tous ensemble intérêt à résister aux marchands de peurs de l'industrie des médias. Si non, nous continuerons de sombrer dans la déprime. Et procéder comme vous le proposez avec une approche bénéfices / risques sera tout à fait utile. La CGB ayant estimé que le maïs GM ne compte aucun risque, regardons les bénéfices.


Le monde entier est en train de développer les cultures d'organismes génétiquement modifiées : la France détruit les siennes – Claude Allègre (Gazette du 8 mars)
Claude Allègre dit décidément beaucoup de choses fausses. D'une part le monde entier ne cultive pas des PGM, car ce sont principalement 4 pays - les Etats-Unis, l’Argentine, le Brésil et le Canada (88,2% du total mondial) - qui en cultivent et ces cultures ne représentent que 2% de la surface agricole mondiale... D'autre part, d'autres pays que la France, détruisent ses cultures GM, comme l'Inde...
Contact : Christophe NOISETTE
Mél : noisette(a)infogm.org

Les nouveaux outils du web agricole Colloque - Paris 15 mai 2007

L'animation de Webconférence grâce à l'interactivité Jean-Paul SEJOURNE - AGRODIAG Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5253

Le numérique pour la formation et la communication, 175^ème Chronique Hebdo de Claude Holl

Syntagme de ce qui dans l’audio braille et paradigme de ce qui dans le visuel brille.

Sauf exception, les médias barbotent dans une immuable exaltation du "rien désormais toutes les dix minutes définitivement et à tous égards ne sera jamais plus comme avant". Portée par une puissante ignorance de l’histoire, cette exclamation incantatoire a pris le mardi 10 avril 2007, sous la plume d’un journaliste du journal "Le Monde" un tour particulièrement caractéristique. C’est page 2, je cite : "Elle [une certaine personne] a compris que le peer to peer, le wiki et l’hypertexte avaient transformé nos schémas mentaux, nos pratiques cognitives (…)". Et plus loin, cette scie, décidément inusable : "…la démocratie change de paradigme". C’est tellement à la fois vrai, faux, vieux et nouveau que ça en devient effectivement sciant, non ?

Quoiqu’il en soit, chers camarades zappeurs et sans reproche de cette chronique, plutôt que de nous la jouer révolution permanente des paradigmes et bouleversements continus des syntagmes, examinons calmement pourquoi nos schémas mentaux et nos pratiques cognitives sont si mal adaptés aux temps présents. Pourquoi utilisons-nous si piteusement, pour assister nos exposés oraux et notre conduite de réunion (ou de cursus ou d’équipe), le potentiel du numérique déjà à notre disposition ? Parce qu’au lieu de nous concentrer sur l’essentiel nous nous obstinons à chercher de nouvelles façons de faire gling-gling ou tchick tchick tchikh avec PowerPoint ! Comme si, à part quelques peu observateurs étourdis par ce qui dans l’audio braille et dans le visuel brille, quelqu’un croyait encore qu’on change de paradigme comme on change de version d’Office !

Conclusion :

1. S’agissant des  formations de "diaporama training" en "prêt-à-porter", fonçons vers http://www.acta-informatique.fr/?d=6699.

2. Mieux, pour des stages "sur mesure", contactons directement le Maestro à holl(a)noos.fr.

CADEAU 2007 du Maître Claude HOLL

>>> Méthode " CADEAU " 2007 Conception et Amélioration de Diaporamas Efficaces et Agréables Utilisant les outils numériques >>> Stages " prêts-à-porter " : 1. Stage diaporamas numériques de base formule 2007 2. Stage photos numériques de base formule 2007 Stages " sur mesure " Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6699 Contact : Claude Holl Mél : holl(a)noos.fr

Point de vue : Vote et Internet
Dans le complément à la gazette du 16 avril, nous citions André SANTINI qui ne doute pas de l'avenir du vote par Internet. Je ne suis pas certain que nous soyons vraiment mûrs pour les machines à voter… Certes je ne doute pas un instant du bon fonctionnement des machines à voter. Et de toute façon, il y a de moins en moins de scrutateurs pour participer aux opérations de dépouillement. Mais l'ouverture des enveloppes permet de voir petit à petit se former le résultat du scrutin, et ceci nous rassure sur la sincérité de celui-ci. Avec la machine à voter, nous avons le résultat d'un coup d'un seul, d'où une certaine défiance. Il faudra s'habituer.
Autre chose. Il faudra peut-être un jour que les bureaux de vote ferment tous à la même heure de façon à ce que nous ne soyons pas influencés par les résultats publiés sur les sites Internet à l'étranger sur la base d'estimations effectuées dans les bureaux qui ferment à 18h.
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr


Mais non !
Une voiture rate son virage et s'écrase contre un arbre. L'homme s'extirpe du véhicule, et se rend compte que seul son dentier est cassé. Il explique cela à la personne qui est venue l'aider, et qui par chance lui en propose un du lot qu'il a dans sa voiture. Il en essaye une dizaine, et en trouve un qui lui va.
- Dans mon malheur dit-il, j'ai tout de même de la chance de tomber sur un dentiste.
- Je ne suis pas dentiste, je suis croque-mort.

Lancement national d'OVITEL
4 mai – près de VALENCE
Dans le cadre du lancement national d'Ovitel (logiciel de gestion pour les éleveurs ovins), le GIE Agralog vous invite à partager l'expérience informatique et électronique de Bruno DAMIENS (éleveur ovin en Ardèche) dans son élevage. Vous assisterez à la démonstration de la combinaison "Ovitel et lecteur de boucles électroniques" en réel sur un troupeau d'ovins. Et nous discuterons autour de l'identification électronique des ovins et de l'introduction de l'informatique en élevage.
Voir : http://www.cmre.fr/siteCMRE/solutions-logiciels.jsp?logiciel=ovitel#log
Contact : Julie GENOUX
Mél : jgenoux(a)cmre.fr


Environnement, engagement esthétique et espace public
9 - 11 mai 2007 - PARIS
Voir : http://pages.citebite.com/l1l4u9n2n6eiy


Reconsidérer l'impact de la recherche fondamentale sur la société et l'économie
10 - 11 mai - VIENNE - Autriche
L'objectif de la conférence internationale «Impact de la science - Reconsidérer l'impact de la recherche fondamentale sur la société et l'économie» consiste à stimuler le débat public et à sensibiliser à la recherche fondamentale. La manifestation, organisée par le Fonds des sciences de l'Autriche en coopération avec la Fondation européenne pour la science tentera de comprendre quand et comment la recherche fondamentale, la société et l'économie interagissent. Les experts internationaux examineront les méthodes d'évaluation et le renforcement de l'impact de la recherche fondamentale. Les scientifiques, les organismes de financement et les décideurs sont invités à participer.
Voir: http://www.science-impact.ac.at/


Innovation, croissance et équité - Forum 2007 de l’OCDE
14 - 15 mai - PARIS
Voir : http://www.oecd.org/site/0,2865,fr_21571361_37578380_1_1_1_1_1,00.html

2^e Congrès mondial contre la grippe aviaire
31 mai -1^er juin - PARIS
Organisée par la Société internationale des Antioxydants dans la Nutrition et Santé, la conférence mettra l'accent sur certains des développements et avis les plus récents sur la grippe aviaire. Les diverses sessions aborderont les thèmes suivants:
- enjeux politiques et économiques de la grippe aviaire;
- dernières avancées scientifiques sur le virus H5N1 et sa détection;
- prévention et traitements: accent sur le développement d'un vaccin et de médicaments;
- prévention de la grippe aviaire animale;
- épidémie de grippe aviaire: se préparer au pire scénario.
Voir : http://www.isanh.com/avian-influenza/


L'institut pour l'écologie appliquée - vers un avenir durable
22 juin - FRIBOURG - Allemagne
L'Institut pour l'écologie appliquée à Fribourg, en Allemagne, célèbrera son 30^e anniversaire le 22 juin avec un séminaire concernant l'avancée vers un avenir durable. De quelles politiques durables avons-nous besoin afin de faire face aux défis sociétaux des 30 prochaines années? Quel rôle peut jouer un institut de recherche et de conseil indépendant tel que l'Institut pour l'écologie appliquée? La manifestation tentera, entre autres, de répondre à ces questions. Les interlocuteurs proviendront de domaines politique, scientifique et économique.
Voir : http://www.oeko.de


De l'étude des sociétés rurales à la gestion du vivant - 50 ans de savoirs confrontés
19 - 26 septembre - CERISY-LA-SALLE
Ce colloque vise à comprendre les mécanismes heuristiques de conception et de mise en oeuvre de la gestion du vivant à travers les activités agricoles, les sciences et les techniques, dans un contexte de transformation de la société française contemporaine.
Un constat s'impose. Des premiers travaux relatifs à la diffusion des innovations au sein des communautés paysannes à ceux relevant d'une compréhension du fonctionnement cellulaire et du génome, les champs du savoir se sont assurément déplacés. Nous sommes passés, en un siècle, d'une sociologie de la gestion de la nature aux sciences sociales de la gestion de la nature par les sciences du vivant.
Au-delà des clivages disciplinaires, la fin de cet ordre éternel des champs constitue le contexte paradigmatique des itinéraires de nombreux chercheurs. Parce qu'elles ont pour cadre l'émergence de nouveaux problèmes affectant l'organisation des campagnes ou parce qu'elles touchent l'homme dans son existence même, la sociologie du rural comme les sciences du vivant occupent, depuis de nombreuses années, le paysage politique et social.
Notre projet prolonge deux séminaires préparatoires: le premier a concerné la sociologie rurale (sa genèse, ses caractéristiques, ses perspectives), le second a porté sur les catégories du vivant dans la dynamique des connaissances. Ils construisent les deux axes de la réflexion proposés pour  cette rencontre dont le fil conducteur est la transformation d'un secteur d'activités et d'un milieu dans son rapport aux sciences.
Sur la base de ces deux expériences collectives, nous nous interrogerons sur la manière dont les connaissances relatives au monde vivant et aux sociétés rurales contribuent à l'émergence de nouvelles catégories de savoirs, mais aussi de problèmes, et deviennent sources d'interrogations tant scientifiques que politiques et sociales.
Voir : http://www.ccic-cerisy.asso.fr/ruralite07.html
Contact : Philippe KISTER
Mél : philippe.kister(a)ccic-cerisy.asso.fr


Q. Comment dît-on en anglais "Ma belle-mère ne vient pas souper ce soir" ?
R. Yessssssssss !