14 h - Introduction - Guy WAKSMAN - ACTA Informatique

14 h 20 - Trois wikis - Michel GIL-ANTOLI - FDSEA 33

14 h 40 - L'animation de Webconférence grâce à l'interactivité - Jean-Paul SEJOURNE - AGRODIAG

15 h 00 - Blogs : pourquoi, comment ? - Damien GENTILLEAU - e-Median

15 h 20 - RSS - Un gros potentiel mais des limites - Michel REMONDAT - Vitisphère

15 h 40 - Très Haut débit et services vidéo en agriculture (dont les TV) - Christian GENTILLEAU - NTIC AGRI CONSEIL

16 h Pause

16 h 30 - Vocalisation pour podcasting, vidéo à la carte, webtv... de nouvelles offres pour améliorer l'efficacité du transfert d'information - Jean-Paul HEBRARD - Farmerstv

16 h 50 - Le service Terre-net Web-TV : vidéos en direct de salons et suivis d'événementiels - Myriam DEVISCH - ISAGRI

17 h 10 - L'expérience Sati.tv en Côte d'Or - François LAMY et Valérie BERNARD - Chambre d'Agriculture de Côte d'Or

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6752
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr

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Pour se procurer ces documents, s’adresser à : ACTA, BP 90006, 59718 LILLE Cedex 9
Voir :http://www.acta.asso.fr


OGM : Envoyé spécial ou envoyé spécieux?
Diffusé par France 2 le 19 avril 2007, dans le cadre de l’émission Envoyé Spécial, le reportage "OGM, à la conquête de nos assiettes" dépasse largement en mauvaise foi, contre-vérités, approximations et interviews tronquées celui de Michel Despratx, "OGM, l’étude qui accuse", qui a bruyamment circulé sur Internet en février dernier. Même les militants anti-OGM sérieux ne s’y sont pas laissés prendre, à l’instar de Christophe Noisette, responsable du site internet anti-OGM de l’association Inf’OGM, qui l’a qualifié de "reportage particulièrement stupide". Sans craindre le ridicule, les journalistes de la chaîne publique Catherine Bertillet et Magali Morel ont en effet concocté un documentaire d’une vingtaine de minutes en mixant essentiellement d’anciennes séquences, dont certaines datent de 2002, comme celle concernant l’affaire des vaches de l’agriculteur allemand Gottfried Glöckner, censées avoir été empoisonnées par du maïs OGM de la société Syngenta.
Or, qui peut croire un seul instant que la mort des douze vaches de M. Glöckner puisse être attribuée à un maïs OGM ?...
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr


Quand on me dit qu'en France les maïs OGM peuvent constituer un pb, je rigole. Au Mexique et en Amérique du Sud, il faut prendre des précautions mais en Europe ? (Suite à la gazette du 29 mars)
Justement dans ces pays comme en Inde, il y a de nombreux problèmes avec les OGM. Augmentation de l'utilisation de produits phytos, spéculation sur "l'or vert" (Soja), faible qualité de fibre coton,... Alors arrêtez de dire que l'herbe est plus verte chez le voisin. La croissance à tout prix n'est pas durable !
Contact : Fabrice CLOSSET
Mel: fabrice.closset(a)maine-et-loire.chambagri.fr


Ma réponse (GW) : La croissance reste à mon sens absolument indispensable, et il faut qu'elle soit aussi durable que "sustainable". Il n'y a pas de pb d'OGM en Inde, et il n'y a pas de pb d'OGM en Argentine : ce sont des fables peut-être sympathiques mais des fables. Que l'on puisse mettre l'accent sur la diversité indispensable des cultures (et des paysages) en tenant compte des sols et des climats, ne serait-ce que pour maintenir des populations d'insectes (abeilles par exemple), oiseaux, petits mammifères, certes. Mais cela n'a rien à voir avec les OGM. L'Argentine après bien des catastrophes dont des dictatures militaires terribles, va s'en sortir notamment grâce au soja. Où est le mal ?


Après le tournage de "Supersize Me", venez rejoindre l'équipe de tournage "OGM me" - Proposition pour savoir si les OGM sont inoffensifs pour la santé humaine
Pourquoi ne pas monter un film où une/plusieurs personne(s) et son/leur animal(ux) domestique(s) mangeraient pendant 3 mois des OGM sous toutes leurs formes.
Ils seraient suivis en parallèle par une équipe de médecin afin de faire le point sur leur état de santé général... en évitant bien entendu les dissections pour voir l'impact sur leurs organes...

Tous les défenseurs des OGM pourraient postuler puisqu'ils sont persuadés de l'innocuité des OGM... Il ne s'agirait donc même pas d'essai de laboratoire, mais d'essai grandeur nature. Quand on défend des idées... il faut les tester soi même, c'est alors que l'on devient convaincant et que l'on peut se permettre de propager ces idées.

On pourrait ainsi proposer de suivre les aventures de plusieurs acteurs en live à la télé :
- un acteur Monsanto et son chat
- un agriculteur qui cultive des OGM et qui nourrit ses vaches avec (mais BT par exemple)
- un acteur scientifique pro OGM et son poisson
- un acteur politique pro OGM et son chien
- une famille avec un cheval alimenté au botte de paille OGM

Y'a t'il des candidats ?
Contact : JB RODES
Mél : jb.rodes(a)laposte.net


Ma remarque (GW) : Faire manger du maïs à son chat ou son chien risque effectivement d'être difficile, mais vous pourrez aller aux USA, en Argentine, etc. où personne n'a jamais eu aucun pb. Vous-même, vous pouvez toujours chercher la différence entre du lait d'une vache nourrie aux OGM du lait d'une vache nourrie sans maïs OGM.
Ce que vous proposez n'a rien d'un défi. C'est la vie de tous les jours. Il me semble que, comme tant d'autres, vous aimez à vous faire peur ! Mais n'essayez tout de même pas de faire croire que l'obésité en France comme USA est due aux OGM. N'essayez pas non plus de me faire croire que vous avez fait la moindre petite recherche bibliographique sur le sujet .

Formation à e-GroupWare (logiciel libre)

Travail collaboratif avec e-GroupWare eGroupWare 1.2 - Espace collaboratif de travail - 1 jour - 14 juin - 16 novembre

Grand plaidoyer contre les OGM et pour des plantes qui sont bien assez grandes pour se défendre toutes seules contre insectes et maladies ! (Suite à la gazette du 5 avril en réponse à M. Pascal)
Votre texte n'est pas, à mon sens, un plaidoyer contre les OGM, c'est un credo religieux. Vous détenez la vérité et nous sommes dans l'erreur. Vous l'écrivez à la façon des témoins de Jéhovah. Vos mots de conclusion sont "J'ai tenté d'éclairer votre esprit pour que vous preniez le bon chemin avant qu'il ne soit trop tard".
Les plantes sont pour vous les égales bibliques de l'homme. Vous écrivez encore "elles ont été créées pour vivre dans un certain milieu". Elles ont aussi des sentiments, des aspirations supérieures. Vous écrivez : la plante "profondément blessée, elle doit prier…". Pour vous la nature est une entité suprême auquel l'homme ne doit pas toucher.
Votre religion est apocalyptique. Vous nous prédisez des "montres", "de nouveaux fléaux" et vous dites "la Nature fonctionnait très bien avant que l'homme vienne y mettre son grain de sable. Retirez le grain de sable et tout roulera comme sur des roulettes."
Vous placez la nature au dessus de l'homme. Votre croyance est respectable. Elle vous amène, sans doute, au quotidien à entretenir votre vigne avec un soin religieux et faire un excellent champagne.
Mais vous avancez des explications à la prééminence de la Nature, et là, vous tentez de nous abuser.
Dans le monde scientifique, on tient des propos contraires aux vôtres, grâce à une qualité que vous prenez pour un défaut : "l'ignorance des scientifiques" écrivez-vous. Oui, s'il est honnête, le scientifique avoue ne pas tout savoir, ne pas tout comprendre, et délivrer ce qu'il a compris entouré des hypothèses du jour.
Si vous étiez sérieux, vous auriez réellement lu les travaux scientifiques dont vous utilisez le jargon, "l'ADN, la rémanence des phytos, phyto-alexines, toxiques exogènes, fonction OH, COOH, un facteur 10 puissance10" et vous auriez compris certains mécanismes. L'ADN n'est ni naturel, ni suprême, ni figé. C'est une molécule, de la chimie. Il n'y a pas d'ADN parfait, mais des fonctions qui permettent la division, la lecture, la réparation, l'introduction d'éléments étrangers (rétrovirus, transposon..) dans un génome, toujours en mouvement et dans un environnement toujours changeant.
Si vous étiez sérieux, vous n'écririez pas des mensonges grossiers "des personnes qui ont développé des allergies ou des fièvres suite à l'ingestion d'aliments OGM ?" après des paragraphes qui semblent scientifiques, sur un sujet que vous semblez connaître. Car c'est un procédé manipulateur. Vous poursuivez sur la misère du monde "soigner les millions d'êtres humains qui sont/seront affectés par des maladies dont on ne comprend pas les mécanismes ?". C'est la conclusion du procédé manipulateur. Le lecteur peut qu'adhérer et compatir, au risque d'être inhumain, lui-même.
Restez donc dans votre domaine, Croyez à ce que vous voulez. Mais ne tentez pas de démonstration. La foi ne peut se démontrer.
Contact : Claire NICOLAS
Mél : claire.nicolas(a)biogemma.com

Les nouveaux outils du web agricole Colloque - Paris 15 mai 2007

Blogs Damien GENTILLEAU - e-Median Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5253

OGM et agriculture raisonnée
Je suis souvent étonné de la virulence des échanges de vue dans les colonnes de la lettre de l'AFIA (merci encore à G. Waksman pour cette œuvre !) relativement aux OGM. Un peu de sang-froid serait parfois bienvenu.
Ceci dit, et bien que n'étant pas a priori opposé a cette hypothèse technologique des OGM, je me pose des questions que je n'ai pas vu introduites jusqu'à présent et que je verse donc au débat.
 
Je suis agronome et chercheur, et depuis des décennies nous essayons de faire progresser l'agriculture dans la voie des pratiques raisonnées, par exemple en matière de protection sanitaire ou (pour ce qui me concerne) de fertilisation. Cela revient à promouvoir l'idée qu'il ne faut intervenir (traiter avec un fongicide, un désherbant, apporter un engrais…) que lorsque que cela est vraiment nécessaire, et ceci pour minimiser les impacts écologiques et aussi les couts de production. Ce qui me chagrine, avec la logique des OGM, c'est qu'on repart des décennies en arrière avec une logique de traitement systématique.
 
En effet, les OGM actuels soit produisent des toxines pour se débarrasser de ravageurs, soit détoxifient des désherbants qu'on peut alors utiliser sur les adventices avec moins de contraintes vis-à-vis de la culture.
 
Dans le premier cas, planter un OGM revient à faire des traitements insecticides systématiques. Que la molécule insecticide (phytosanitaire) soit produite par une usine de chimie organique ou in situ par la plante ne change rien à l'affaire, à l'impact écologique potentiel ; c'est toujours une molécule xénobiotique introduite dans l'écosystème-champ. Dans ce sens, si on veut se passer de pesticide, on ne doit pas non plus utiliser d'OGM et l'incompatibilité entre OGM et agriculture "bio" (que je ne promeus pas particulièrement par ailleurs) est évidente. Plus grave, la production systématique de la molécule phytosanitaire par la plante empêche tout contrôle de la quantité de molécules phytosanitaires entrant dans l'écosystème-champ. C'est une régression par rapport à la situation conventionnelle où on ne traite que par nécessité et avec des quantités connues. Quand la réglementation (on y viendra sans doute) imposera une traçabilité et une limitation des quantités de produits phytosanitaires épandus, comment fera-t-on avec les OGM ? Il faudrait en toute logique leur attribuer une quantité forfaitaire de produit-équivalent. Comme, par définition, l'OGM produit la toxine dans toute sa biomasse, la quantité doit être assez considérable par rapport à un traitement apporté seulement en surface (merci aux experts d'apporter des éléments d'information quantifiés).
Pour les OGM qui détoxifient les désherbants, l'effet pervers est différent : puisqu'il n'y a plus de risque sur la culture, la tentation est grande d'y aller largement avec les traitements désherbants, d'autant plus que le produit n'est pas trop cher. D'où augmentation du risque environnemental.
De façon générale, on en vient aussi à sélectionner les variants résistants chez les ennemis des cultures, voir à faciliter la dispersion de gènes de résistance (herbicides). C'est positif d'un certain point de vue pour accélérer le turn-over des molécules sur le marché des phytosanitaires, mais est-ce l'intérêt général (ou celui des agriculteurs) ? Le problème est le même en pharmacie humaine… et on en a conclu que "les antibiotiques, ce n'est pas systématique".
Bien sûr, on peut rédiger des "règles de bon usage" indiquant l'intérêt de cultiver un pourcentage de variétés non résistantes pour maintenir de la variabilité génétique et donc de la sensibilité, chez les ennemis des cultures. Mais, soyons réaliste, qui les mettra en œuvre sans obligation ("pas moi, mon voisin… peut-être") ? Et qui sait même qu'elles existent ?
Bref, les traitements systématiques par le biais de la plante, cela m'ennuie, car quelque part, cela va à l'inverse de l'agriculture raisonnée (et je ne parle pas de la "bio" !).
Voir : http://www.bordeaux.inra.fr/TCEM
Contact : Pascal DENOROY
Mél : denoroy(a)bordeaux.inra.fr


Ma remarque (GW) : Votre raisonnement est purement abstrait et me parait bien bancal. Quand le maïs Bt a été digéré par la vache, il ne reste rien dans le champ de ce que vous appelez joliment "molécule xénobiotique". "La quantité de molécules phytosanitaires entrant dans l'écosystème-champ" est donc nulle. Qui s'en plaindra ?

Les nouveaux outils du web agricole Colloque - Paris 15 mai 2007

L'animation de Webconférence grâce à l'interactivité Jean-Paul SEJOURNE - AGRODIAG Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5253

Le numérique pour la formation et la communication, 178ème Chronique Hebdo de Claude Holl
Heureux printemps au Collège de France ces semaines-ci pour celui qui aime la neurobiologie ! Le mercredi après-midi ? Cours de Slotine ! Le jeudi matin ? Cours et séminaire de Dehaene ! Le vendredi matin ? Cours et séminaire d’Orban !
Voyez http://www.college-de-france.fr/default/EN/all/act_agenda/index.jsp !

C’est fou comme les façons d’utiliser le vidéoprojecteur dépendent des chercheurs !

Tous les grands neurobiologistes du Collège de France : Changeux jusqu’à l’année dernière, cette année Berthoz, Dehaene, Slotine et Orban (mais aussi K. Tanaka invité par Orban ce vendredi 4 mai) mettent la vidéoprojection (cet art essentiellement audio - car il y a l’oral - ET visuel car il y a l’affichage de schémas, de courbes, de coupes, de photos, de cartes, de diagrammes, de mots clés, de plans…) au service de l'intelligence et de la connaissance de façon spécifique.

Certains des chercheurs nommés ci-dessus évoquent même certains des concepts nécessaires à l’analyse et à l’amélioration des exposés avec vidéoprojection.

Ainsi l’excellent Orban (avant que ne planche - venu spécialement du Japon ! - l’immense K. Tanaka, en présence de Berthoz, de Slotine et de Dehaene, s’il vous plait !) Orban, parlant de la façon dont est effectuée la séparation entre la figure et le fond revenait ce vendredi 4 mai 2007, magistralement, sur la question du premier plan et de l’arrière plan, question existant depuis le dessin et la peinture, question reprise par le cinéma et la photo.

Décidément, ce qui se conçoit bien se vidéoprojette clairement !

1. S’agissant des formations "exposé avec diaporama" ou "utilisation des photos numériques pour une pédagogie digne de ce nom" en "prêt-à-porter", fonçons vers http://www.acta-informatique.fr?d=6699.

2. Mieux, pour des stages "sur mesure", contactons directement le Maestro à holl(a)noos.fr.

Contact : Claude HOLL
Consultant gérant de la SARL EP-TE - Entreprises Pédagogiques – Trajectoires Educatives
Mél : holl(a)noos.fr

Mettez vos visuels numériques en synergie avec les autres paramètres du document ou de la réunion

Intégrez plus astucieusement vos visuels numériques dans votre dispositif de formation et de communication ! 1.     Concevez mieux et améliorez bien vos exposés oraux avec diaporamas 2.     Réalisez et recombinez de meilleures photos pour écran ou pour document 3.     Ne rendez pas les participants fous avec vos projections de tableaux en réunion Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6699 Contact : Claude Holl Mél : holl(a)noos.fr

Point de vue : http://www.administration24h24.gouv.fr
L'État a mis en ligne 600 formulaires dématérialisés dont 65 pour le ministère de l'Agriculture. L'État s'est engagé en effet, dans le cadre d'une action pilotée par la Direction Générale de Modernisation de l'État ( DGME ) à la re-ingéniérie de 200 "obligations" (= processus administratifs) dont 54 pour l'Agriculture, ce qui devrait à la fois simplifier les dossiers et faciliter les démarches.
Dès l'automne prochain, avec leurs numéros SIREN, les agriculteurs auront accès à leurs dossiers d'aide.
Au niveau de l'Union Européenne, il convient de rappeler le programme de la Commission et de la DG-AGRI "Mieux légiférer" et le mémorandum de 40 propositions de simplification de la PAC adressé par la France en juin 2006.
En route vers la simplification !
Voir : http://www.simplifions.agriculture.gouv.fr
Contact : Jean-Claude JACQUOT
Mél : jean-claude.jacquot(a)agriculture.gouv.fr


La brouette malgache (sachant que vous êtes très respectable et que votre gazette l'est aussi, je ne sais pas si vous diffuserez cette blague... qui m'a fait rire)
Jean, très amoureux, sortait depuis 3 ans avec une très belle fille appelée Alexandra, et jusqu'à présent il n'avait jamais essayé d'avoir une relation sexuelle avec elle. Un jour, il commence à la caresser passionnément, il lui enlève tous ses vêtement, mais quand il essaya de lui faire l'amour, elle s'excusa en disant qu'elle le ferait seulement après le mariage, mais que, une fois mariés, elle irait jusqu'à faire "la brouette malgache".
Très confus après cela, Jean appela Johanne (une femme avec qui il faisait certaines escapades). Il alla a son appartement et lui demanda de faire "la brouette malgache". Johanne, effrayée, commença à crier en disant qu'elle était une femme respectable et que jamais il ne lui passerait par la tête de faire une chose pareille et lui ordonna de sortir immédiatement de chez elle, en lui disant de l'oublier pour toujours.
Encore plus confus, Jean décida d'aller dans un bordel. Il choisit une belle femme, alla dans une chambre avec elle et lui demanda si elle faisait de tout. Elle répondit qu'elle faisait n'importe quoi pour de l'argent. Alors Jean lui demanda de faire "la brouette malgache". Elle, pute de profession, répondit que malgré qu'elle soit pute et vulgaire, c'était une femme très respectable et elle commença à le frapper.
Entendant un tel chahut, le gérant ouvrit la porte d'un coup de pied et demanda : "Que se passe-t-il donc ici ?" Jean, plus confus que jamais, lui dit qu'il avait seulement demandé à la femme un peu de "la brouette malgache" avec lui. En entendant ceci, le gérant s'enragea et le sortit à coup de pieds du bordel en criant qu'il n'ose plus jamais réapparaître dans le coin.
Toujours confus, Jean alla chercher Filip (un gay) pour éclaircir ses doutes. Quand il le rencontra dans son salon de coiffure, ils se saluèrent très chaleureusement, et Filip lui dit qu'il était prêt à passer la nuit avec lui. Jean l'emmena et lui proposa aussi de faire "la brouette malgache". Filip ne supporta pas d'entendre cela et commença à le taper à coup de séchoir à cheveux et lui dit que c'était un pervers qu'il ne voulait plus revoir de son vivant et il le vira.
Jean était maintenant très nerveux et devenait fou... Il alla chercher Alexandra (sa fiancée) et lui demanda de se marier tout de suite et surtout faire "la brouette malgache". Alexandra accepta et, très euphorique, elle promit qu'elle le rendrait très heureux et qu'ils feraient "la brouette malgache" autant qu'il le souhaiterait. Ils se marièrent.... et partirent en lune de miel. Jean, très inquiet, voulait interrompre le voyage pour faire cette fameuse " brouette malgache "....Dans cette angoisse, il détourna son attention de la route, et il prit un arbre de plein fouet. Alexandra décéda.
Jean est encore en ce moment en train d'essayer de trouver ce qu'est "la brouette malgache"... et moi aussi.
J'ai perdu mon temps à lire cette connerie de mail qu'on m'a envoyé. Et au final, on ne te dit pas ce qu'est cette sacré nom de dieu de "brouette malgache".
Alors comme je refuse de rester seul dans ce doute, mais surtout je refuse d'être le seul à me faire avoir, je vous ai fait suivre ce mail. C'est normal ça sert à ça les amis...
Contact : Mathieu CORTYL
Mél : mg.cortyl(a)laposte.net

Innovation, croissance et équité
14 - 15 mai - PARIS
Voir : http://www.oecd.org/site/0,2865,fr_21571361_37578380_1_1_1_1_1,00.html


Le Farm Bill américain et la Politique Agricole Commune : quels enjeux pour demain ?
14 - 15 mai 2007 - WASHINGTON
Les politiques agricoles américaine et européenne : quelle direction pour demain ? Aux Etats-Unis comme en Europe, les réformes autour des politiques agricoles sont lancées. Aux Etats-Unis, un nouveau Farm Bill devrait être décidé en 2007 ; en Europe un processus de révision de la Politique Agricole Commune en place débutera en 2008.
Les politiques agricoles de ces régions ont mené à une profonde crise des prix agricoles, à une concentration des entreprises, à des pratiques non respectueuses de l’environnement, à une alimentation de moins en moins bonne qualité, au chômage et à des salaires de plus en plus bas en zone rurale. Des deux côtés de l’Atlantique, des groupes progressistes sont engagés dans un travail autour de ces politiques, se mobilisent et font campagne pour modeler les futures politiques agricoles européenne et américaine et ce en faveur des agriculteurs, des consommateurs et de l’environnement. Ces efforts sont menés autant dans l’intérêt des populations occidentales que celles des pays du Sud.
Ce séminaire de deux jours, offrira aux groupes actifs de chaque région (groupes d’agriculteurs, groupes travaillant dans l’alimentation, organisations écologiques et de consommateurs, organisations pour le développement etc.) l’opportunité d’entamer un dialogue entre les différents partis transatlantique. Il permettra d’explorer les impacts des politiques agricoles dans chaque région, aussi bien que les projets et propositions discutés pour tenter de s’attaquer au cœur des problèmes. Ce meeting sera également l’occasion de débuter les discussions autour des besoins d’une approche plus large au regard des alternatives possibles, ce qui prend en compte les diverses dimensions des politiques agricoles et les impacts qu’elles ont aujourd’hui.
Les objectifs de ce meeting concernant les politiques agricoles des Etats-Unis, du Canada et de l’Union européenne :
- comprendre leurs expériences passées et leurs impacts pour les agriculteurs, les personnes travaillant dans le secteur de l’alimentation, les consommateurs, l’environnement dans ces pays/régions.
- Farm Bill 2007 et révision de la PAC : comprendre les éléments clefs des propositions des réformes, préparer et tracer les potentiels challenges et impacts sur les revenus des agriculteurs, la sécurité alimentaire, l’environnement (biodiversité, eau etc.), les consommateurs (qualité des aliments et santé, prix…) dans ces pays/régions et à travers le monde. Une attention particulière sera portée au problème émergent des biocarburants.
- Définir les challenges clés et les objectifs des politiques agricoles et alimentaires qui devraient guider ces dernières : de la compétitivité mondiale et des orientations vers l’exportation à un accès sécurisé à une alimentation bonne pour la santé et de qualité pour tous, revenus viables pour les agriculteurs, agriculture durable et élaboration des aliments.
- Construire un programme de travail conjoint et de collaboration entre des groupes nord-américains, européens et du Sud qui travaillent pour le changement des politiques agricoles des Etats-Unis et de l’Europe.
Voir : http://www.coordinationsud.org/IMG/pdf/
final_agenda_26_march_incl_strategy_meeting_FRENCH.pdf
Voir: http://www.coordinationsud.org/spip.php?article5154

Contact : Fabrice FERRIER
Mél : ferrier(a)coordinationsud.org


Un colloque International sur la gestion des ressources génétiques en zone de savanes d’Afrique de l’Ouest (Enjeux et problématiques des systèmes semenciers locaux)
15 - 18 mai - BAMAKO (Mali)
La conservation dynamique de la biodiversité sera à nouveau au cœur des interventions du colloque de 2007. Les organisateurs souhaitent notamment faire le point sur les nouveaux modes d’intervention impliquant la participation des communautés locales, du monde de la recherche et des opérateurs du développement. L’agrobiodiversité (biodiversité en agriculture) implique en effet une gestion humaine active et continue. Beaucoup de ressources phytogénétiques en agriculture sont le résultat d’une sélection et amélioration par les agriculteurs eux-mêmes. Deux projets français et allemands sur l’agrobiodiversité des sorghos au Mali et Burkina-Faso incluant une gestion participative de la diversité avec les organisations paysannes et les organismes de développement se clotûrent en 2007. Leurs conclusions seront analysées et partagées au cours du colloque avec les chercheurs d’Afrique de l’Ouest travaillant sur la gestion des ressources génétiques en zone de savanes.
Le sorgho est la cinquième céréale cultivée au monde. Il représente respectivement la moitié et le tiers des céréales produites au Burkina Faso et au Mali. C’est une céréale possédant de nombreux atouts dont la souplesse et la rusticité de sa culture et de multiples usages alimentaires. Toutefois l’accroissement de la population exige une production plus importante. On assiste par ailleurs à une forte érosion de sa diversité génétique. Face à ces problématiques du Sud, la recherche interdisciplinaire (généticiens, sélectionneurs, agroécologues, sociologues, géographes etc.) fait donc appel à tous les acteurs locaux pour mobiliser au mieux la sélection et la valorisation des variétés traditionnelles de céréales.
Le colloque 2007 est articulé autour de trois sessions scientifiques correspondant aux thématiques suivantes :
> connaissance de la diversité biologique du gène à l’agroécosystème
> création variétale décentralisée à base de germplasme local et sélection participative
> diffusion et réseaux semenciers.
Des tables rondes sur la place des paysans, le partage des savoirs et la conservation locale de l’agrobiodiversité seront ouvertes après chaque session.
Un numéro thématique de la revue Cahiers Agricultures intitulé Agrobiodiversités sera édité au premier trimestre 2008.
Voir : http://www.cirad.fr/ur/index.php/green/actualites/colloques/
colloque_agrobiodiversites
Contact : Didier BAZILE
Mél : didier.bazile(a)cirad.fr

Fête de Bonne Terre - Le lycée ouvre ses portes
17 mai - PEZENAS
Présentation des formations et des réalisations d’élèves, visite du musée de la vigne, accueil des anciens élèves, expositions et démonstrations de peintures et de sculptures, animations pour les enfants, jeux d’adresse et de stratégie, découverte de l’action de coopération avec Madagascar et vente « équitable » de gousses de vanille.
Voir : http://www.bonne-terre.fr/
Contact : Yves CARMICHAEL
Mél : cdi.pezenas(a)cneap.scolanet.org


Commerce équitable ? – Déjeuner débat organisé par le Club du ROTARY, avec Tristan LECONTE, Président Directeur Général d’ALTER-ECO, H.E.C. de 33 ans qui dirige une entreprise de 45 personnes…
22 mai – PARIS
La notion de commerce équitable (en anglais fair trade) trouve ses origines dans les années 1960. La filière équitable garantirait au producteur un tarif de vente minimal, au prix d'un surcoût volontairement accepté par le consommateur ou d'une répartition différente entre le producteur et les différents intermédiaires de la chaîne des produits. Son slogan est : "Trade, not aid" («"un commerce, pas de la charité") …
Est-ce utopique ou sont-ce les prémices d’une évolution des mentalités pour adapter notre Terre à cette complexité prodigieusement foisonnante ?
Contact : Jean-Marie PIERRE
Mél : jmpierre(a)unigrains.fr


Carnaval de Scaër, le 1er de Bretagne
27 - 28 mai 2007
Les Scaërois vous invitent à partager avec eux 2 jours de folies.
Voir : http://perso.orange.fr/carnaval.scaer/
Contact : Pierre-Yves FICHE
Mél : Locharmotte'a)tiscali.fr


Planfum au salon de l’herbe
30 - 31 mai - VILLEFRANCHE D'ALLIER
Le SUA2I sera présent au salon de l’herbe avec son logiciel de gestion de parcelles Planfum.
Ce sera l’occasion de présenter les nombreuses nouveautés : l’organisation et l’enregistrement du pâturage, la mise à jour automatique du logiciel, les sauvegardes sur notre site, la simplification de la saisie, les contrôles conditionnalité…Ce sera aussi l’occasion de discuter des travaux en cours : liaison avec d’autres logiciels, bilan énergétique de l’exploitation…
A cette occasion, un défi est lancé. Il s’agira d’enregistrer le travail d’une journée bien remplie : épandage d’engrais et de fumier, labour, semis, traitements fongicides et insecticides en mélange en respectant les ZNT, déplacement de lot de vaches au pré, etc. Bien entendu, il faudra s’assurer du respect de la conditionnalité. Il est possible d’utiliser n’importe quel logiciel. Mais autant être prévenu, avec Planfum on descend largement sous les 3 minutes…
Voir : http://www.sua2i.org
Contact : François CHANTRY
Mél : logiciel(a)haute-vienne.chambagri.fr


7 èmes assises nationales du Net et des TIC pour les collectivités locales
30 - 31 mai - NICE
Voir : http://www.assisesdunet.org/


Assemblée générale d'Agri Confiance
31 Mai - PARIS
> Signons Agri Confiance
- les messages de la signature
- les actions de communication, les cibles
- témoignages d'entreprises coopératives et de leurs clients
> Projet de normalisation européenne
Contact : Régine CASTET
Mél : rcastet(a)coopdefrance.coop