** Windows est une marque enregistrée de Microsoft
Pour se procurer ces documents, s’adresser à : ACTA, BP 90006, 59718 LILLE Cedex 9
Voir :http://www.acta.asso.fr

Pensez-vous vraiment que les meilleures analyses montrent une différence à la sortie de la panse (ou dans le sang ou le lait) de bovins ayant ingéré des maïs classiques et d'autres ayant ingéré des maïs GM ? Ne croyez-vous qu'après plus dix de cultures de GM, l'innocuité de celles-ci est désormais prouvée ? (En écho à un point de vue de GW dans la gazette du 3 mai)
Vous cherchez à tout mesurer avec des analyses.
L'organisme vivant est beaucoup plus précis que le moindre de vos appareils.
La meilleure mesure ne peut être faite par un appareil: il faut se servir de la nature pour mesurer l'effet de ces substances sur elle.
Le test indispensable à faire est de prendre un animal est parfaite santé.
Il ne faut donc pas en prendre un nourri avec des aliments enrichis en pesticides et en engrais chimiques, mais allez chercher un bovin issu d'une lignée élevée sur un corps de ferme en biodynamie (la biodynamie arrive à détruire les pesticides et mauvais engrais du sol en quelques années). Vous trouverez des animaux en pleine forme, qui broutent dans des pâtures qui regorgent de plantes rares et protégées, parfois médicinales. Un bovin avec un museau bien humecté, l'oeil vif, le poil brillant, les cornes bien structurées, etc.
Donnez lui, à cet animal (10ème ou 12ème descendant de la biodynamie) qui ne connait pas les poisons communs de nos assiettes et de nos élevages, votre nourriture OGM.
Observez bien l'animal au préalable à la ferme puis observez-le quelques semaines durant avec la nourriture 100% OGM.
Mesurez seulement deux paramètres :
- la température du corps
- la réponse immunitaire.
Vous avancerez sur le chemin de la compréhension de ce qui est fondamental... et ça ne coûte presque rien.
Contact : Franck PASCAL
Mél : franck.pascal(a)wanadoo.fr


Ma remarque (GW) : Vous pourriez relire "La fin de la France rurale" d'Eugen Weber, un très grand livre où l'on voit qu'à la veille de la Grande Guerre, sans tracteur, sans semence de qualité, sans engrais et sans pesticide, la disette régnait souvent dans bien des régions de notre beau pays. Vous pourriez aussi examiner quelques statistiques de production qui montrent comment la France, avec tracteurs, engrais, pesticides, semences nouvelles, génétique animale, etc. est devenue dans les années 60, et pour la première fois de sa longue histoire, autosuffisante puis en capacité d'exporter… Ainsi vous comprendrez mon point de vue, à savoir que je n'ai pas envie de tirer un trait sur ce à quoi tant de générations avant nous ne pouvaient même pas rêver.
Je ne veux pas dire pour autant que vous êtes passéiste. Et de la même façon que je n'ai absolument rien (par exemple) contre l'homéopathie, je n'ai rien contre la biodynamie. Si la biodynamie vous convient, tant mieux !
PS : Eugen Weber, professeur à l'université de Californie, est décédé le 17 mai 2007. C'était un immense historien dont les travaux devraient passionner tous ceux qui s'intéressent à nos identités nationales.


L'histoire d'une proposition de stage aux journalistes de France 2 (Suite à la contribution de Mme Hiebel dans la gazette du 14 juin) après leur émission comique et / ou ridicule sur les OGM
Épisode 1 >> En réponse a une première saisine du Médiateur de France 2 le 1er mai 2007 (http://relations.france2.fr/mediateur_intro.php)

Bonjour,
J'ai bien noté votre protestation, n'étant pas docteur es-OGM, je ne peux pas trancher .dans l'attente d'éléments de la part d'"Envoyé spécial" je retiens votre courriel et ne manquerai pas de faire appel à votre savoir dans l'hypothèse où ce thème sera retenu pour un prochain "hebdo".
Bien à vous,
CM Monnot
Le médiateur de l'information


Épisode 2 >> En réponse à une 2eme sollicitation du Médiateur de France 2 le 24 mai 2007
Monsieur Kuntz,
J'ai transmis votre courrier et invité l'équipe d'"Envoyé spécial "de prendre contact avec vous. Je vous invite à vous adresser à Françoise Joly ou G. Chenu co-responsables de ce magazine, afin de faire avancer le dossier OGM.
Le médiateur est un passeur de paroles, de protestations, de doléances. Son rôle n'est pas de rendre la "justice" sous le chêne de l'audiovisuel !
Mél : f.joly(a)france2.fr
Bien à vous
CM Monnot
Le médiateur

Épisode 3 >> Demande du texte de l'article : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article707 par une collaboratrice d'Envoyé Spécial le 28 mai 2007

Épisode 4 >> Invitation adressée à Envoyé Spécial pour un stage en laboratoire le 15 juin 2007

Association des Journalistes Scientifiques de la Presse d'Information
L'AJSPI organise pour la cinquième fois, avec le soutien du Ministère délégué à la Recherche et à l'enseignement supérieur, sa bourse d'échange chercheur / journalistes. Elle se déroulera de décembre 2007 à mai 2008.
L'objectif de ce programme est d'améliorer le dialogue entre chercheurs et journalistes, en faisant découvrir aux uns et aux autres les réalités d'une profession et d'un environnement qui ne leur sont pas familières
Voir : http://www.ajspi.com/index.htm

Voir : http://www.decitre.fr/livres/Les-OGM-l-environnement-et-la-sante.aspx/9782729827854
Contact : Marcel KUNTZ
Mél : marcel.kuntz(a)ujf-grenoble.fr

Formation à e-GroupWare (logiciel libre)

Travail collaboratif avec e-GroupWare eGroupWare 1.2 - Espace collaboratif de travail - 1 jour - 16 novembre- à la demande

Rapprocher les chercheurs et la société civile par Claudia Neubauer, François Warlop, Glen Millot (jeudi 7 juin 2007)
Alors que se poursuit la casse de la recherche publique, des membres de la fondation Sciences citoyennes veulent relancer les "boutiques de science", pour répondre aux demandes sociales et environnementales.

Les partenariats de recherche public-privé sont communément entendus, et la plupart du temps à juste titre, comme l’incursion brutale et autoritaire des intérêts industriels et financiers dans la sphère publique. La casse de la recherche publique mise en place par le gouvernement de Villepin va, n’en doutons pas, prendre une ampleur nouvelle avec le nouveau gouvernement ultralibéral de François Fillon, enhardi par un long et probablement douloureux tunnel de cinq ans.
Au regard de l’augmentation des crédits alloués à la recherche publique, qui est en fait strictement équivalente à l’inflation, les aides aveugles aux entreprises se succèdent et s’étoffent considérablement. Le crédit-impôt-recherche, énième cadeau fiscal, s’élève déjà à presque un milliard d’euros et est dilapidé sans qu’aucun bilan de son impact ni de son utilité pour répondre aux besoins sociétaux ne soit envisagé. Si on y ajoute les deux milliards dévolus à l’agence de l’Innovation industrielle, on voit que l’État dépense sans compter au profit d’entreprises dont l’unique objectif est d’obtenir, à court terme, des retombées à même de grossir suffisamment le dividende d’un carré d’actionnaires peu soucieux de l’intérêt collectif.
Cela dit, la recherche "privée", si on l’oppose à la recherche publique, comporte une composante occultée, qui mérite pourtant le détour : la recherche mise en oeuvre ou soutenue par ce qu’on désigne comme le "tiers-secteur scientifique" (citoyens lambda, militants associatifs ou syndicaux, collectifs d’usagers ou de praticiens : par exemple malades, paysans, informaticiens, etc.), qui produit ou coproduit du savoir et de l’innovation socialement et/ou écologiquement utiles. Il prend en compte les réels besoins sociétaux touchant à l’environnement, à la santé, au partage ou à la coproduction de savoirs, le tout avec des moyens dérisoires comparés aux mannes évoquées plus haut.
Une des composantes de ce tiers-secteur scientifique est ce qu’on appelle les "sciences Shops" ou "boutiques des sciences", à propos desquelles nous travaillons depuis quelques années avec l’aide du réseau international des boutiques des sciences (Living Knowledge). Ces structures, comme leur nom ne l’indique pas, sont des interfaces non-marchandes entre les demandes de recherche ou d’innovation de populations (associations, collectifs d’usagers, etc.) a priori non solvables et les structures ou représentants de la recherche publique ayant la capacité d’y répondre. Ces organisations offrent à des groupes de citoyens un accès facilité aux connaissances et aux recherches scientifiques et technologiques, afin qu’ils puissent améliorer leurs conditions sociales et environnementales. Elles visent à marquer un rapprochement entre le milieu de chercheurs et les représentants de la société civile, afin de porter la recherche au plus près de demandes concrètes. Leur organisation (en termes de rapports entre les différentes parties prenantes), leur fonctionnement (matériel, financier) et leur niveau d’institutionnalisation varient de manière considérable d’un pays à l’autre.
Il existait seize boutiques de science en France dans les années 1980, mais aucune n’a survécu aux problèmes financiers, à l’absence d’une réelle volonté politique et à la faible implication de la société civile organisée, des scientifiques, des étudiants et des universités françaises à l’époque. Or, le contexte est très différent aujourd’hui. Les questionnements de tout un chacun par rapport à la science, à la technologie et à leurs impacts ont pris une ampleur sans précédent à la suite des crises successives auxquelles nous avons été confrontés (Tchernobyl, OGM, vache folle, etc.). Le travail en réseau des institutions de recherche et des associations s’est considérablement développé. Les nouveaux dispositifs institutionnels conçus pour la thématique Science et Société, bien qu’ils représentent souvent un ultime exercice de gavage du citoyen à des fins d’acceptabilité des orientations technoscientifiques mises en place, suscitent beaucoup d’intérêt et évoquent, par là même, l’urgence pour inventer de réelles alternatives.
Dix-sept ans après la fermeture de la dernière boutique de science française, une nouvelle boutique est née à l’ENS Cachan, tandis qu’il en existe plusieurs dizaines en Europe. Or, il est essentiel de favoriser la montée de ces outils permettant de démocratiser la recherche, même si ce ne sont pas les seuls. Après avoir prospecté auprès de nos partenaires, nous pensons que le moment est opportun pour reconstruire les bases d’un réseau national de boutiques des sciences. Trois pôles régionaux joueront dans un premier temps le rôle de pilote : Île-de-France, Paca et Rhône-Alpes.
En parallèle à ces activités, Sciences citoyennes organise la 3e conférence Living Knowledge, une grande rencontre internationale portant sur ce thème et intitulée "Quand chercheurs et citoyens coproduisent les savoirs et les décisions scientifiques et techniques".
De nombreux ateliers y sont proposés concernant l’ouverture à la société civile des universités et institutions de recherche, les mouvements sociaux face au développement technoscientifique, les politiques de recherche, notamment sous l’angle "science en société", les citoyens au coeur de l’innovation et du développement durable et les processus de participation du public aux choix technologiques.
De nombreux acteurs partageront ainsi leurs expériences et leurs réflexions. Parmi eux, des membres d’ONG (associations, boutiques des sciences) et des universitaires, des instituts indépendants, des centres de recherche participatifs, des acteurs de mouvements sociaux, et tous ceux qui partagent le désir d’un nouveau contrat social entre recherche et société.
Voir : http://sciencescitoyennes.org
Voir : http://politis.fr/Rapprocher-les-chercheurs-et-la,1336.html
Contact : François WARLOP
Mél : warlop.grab(a)tiscali.fr


Ma remarque (GW) : Vouloir rapprocher scientifiques et citoyens, voilà un très bon objectif. Mais pourquoi sous-estimer l'apport décisif de la recherche des entreprises privées ? Pourquoi soupçonner a priori que la recherche privée ne sera pas finalement d'intérêt public, par exemple quand les constructeurs automobiles améliorent la sécurité ou l'efficacité énergétique des véhicules qu'ils produisent ? Pourquoi affirmer que le crédit d'impôt recherche est un gâchis sans proposer des procédures dévaluation ? Pourquoi faire un procès à l’agence de l’innovation industrielle ? Que proposer en remplacement des partenariats de recherche public-privé pour faire avancer ensemble, au niveau français et au niveau européen, nos laboratoires et nos entreprises ? Pourquoi ne pas vouloir prendre ne compte les succès allemands, nordiques, japonais, américains en la matière ?
Cependant, je crois savoir que beaucoup de communes financent le développement de maisons des sciences qui travaillent en liaison avec les établissements d'enseignement.

Mettez vos visuels numériques en synergie avec les autres paramètres du document ou de la réunion

Intégrez plus astucieusement vos visuels numériques dans votre dispositif de formation et de communication ! 1.     Concevez mieux et améliorez bien vos exposés oraux avec diaporamas 2.     Réalisez et recombinez de meilleures photos pour écran ou pour document 3.     Ne rendez pas les participants fous avec vos projections de tableaux en réunion Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6699 Contact : Claude Holl Mél : holl(a)noos.fr

Le numérique pour la formation et la communication, 183^ème Chronique Hebdo de Claude Holl
Les savoirs, les dispositions, les réseaux et toutes les autres ressources nécessaires pour gagner une campagne électorale à court terme sont-ils compatibles avec les savoirs, la déontologie, les réseaux et toutes les autres ressources nécessaires pour gouverner un pays dans le sens de la recherche du bien commun aux échéances demain, l’an prochain, dans cinq ans, dans dix ans ?

Telle est l’une des questions qui se pose à votre modeste serviteur après tout ce cirque.

Il est probablement plus facile d’être honnête et participatif à l’échelle d’un petit groupe qu’à l’échelle de soixante millions de téléspectateurs électeurs.

Le Web a-t-il joué tant que ça dans la façon dont nous avons voté (ou non) à quatre reprises ?

Peut-être que ceux qui bossent pour que le Web 2 ne soit pas un nouvel outil d’abrutissement et d’égoïsme contribuent à ce que l’e-monde soit moins immonde que ce que prépare spontanément la massive cupidité de trop de cliques organisées pour leur seul mieux être…

Contact : Claude HOLL
Mél : holl(a)noos.fr

Point de vue : les enfants d'abord
La vidéo où l'on voit M. Sarkozy pas très net cafouiller après son entretien avec M. Poutine est-elle un faux ? Je n'en sais rien, mais ce qui m'intéresse, c'est que ce sont – me semble-t-il - les enfants qui ont montré cette vidéo, qui les a beaucoup amusé, à leurs parents. Jusqu'à présent, c'étaient les parents qui s'informaient, discutaient à table des nouvelles du jour. Les enfants écoutaient. Dorénavant, ce seront les enfants qui passent leur temps sur Internet qui vont informer leurs parents.
Enfants et parents, nous n'avons pas (moi le premier) beaucoup de sens critique. Nous sommes de grands naïfs. Il suffit qu'une nouvelle nous fasse plaisir pour nous y croyions. Internet n'a donc pas fini d'être le royaume des rumeurs les plus invraisemblables avec notre complicité à tous.
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr


Souvenirs, souvenirs
Quelques jours avant la rentrée des classes, on procède à la traditionnelle photo de classe. La semaine suivante, l'institutrice essaie évidemment de persuader les enfants d'en acheter une chacun.
- Pensez à l'avenir, vous serez bien contents dans quelques années, quand vous serez grands, de vous dire en regardant la photo : "Tiens, là, c'est Julie, elle est médecin maintenant" ou encore "là "C'est Kévin, il est ingénieur" et là "C'est Amélie, elle est manucure".
A ce moment une petite voix se fait entendre du fond de la classe : "Et là, c'est la maîtresse, Mme Planchon, elle est morte !"


Avis de recherche sur le Colloque du 7 mars sur la vente par Internet de produits et services proposés par des agriculteurs et sur la visioconférence pas cher !
> Peut-on avoir le CR de ce colloque sur la vente par internet.
Connait-on les chiffres de réussites (augmentation des ventes pour le producteurs ; nb de clients supplémentaires...) ?
> Connaissez-vous aussi une façon de faire des réunion à distance permettant de visualiser les personnes intervenantes, et facile d'accès pour les producteurs peu doués en informatique et qui n'ont pas forcément de webcam? Un mélange de sati tv et de web cam.
Contact : Capucine MERCIER
Mél : agrobiopc.filieres(a)wanadoo.fr


Ma réponse (GW) :
- Vous retrouverez tous les actes de ce colloque sur notre site. Il y en matière de ventes par Internet de produits de belles réussites.
- Sur la visioconférence, non, il n'y a pas de miracle ! C'est relativement cher. Il faut pouvoir mutualiser les investissements pour économiser les déplacements, cad du fonctionnement.

Bulletin de situation hydrologique du 8 juin 2007
Voir : http://www.eaufrance.fr/breve.php3?id_breve=114


2007 BIO International Convention (> 22000 participants)
6 - 9 May – BOSTON
See: http://www.bio2007.org/


"Semaine Verte" (Annonce un peu tardive dans cette gazette)
12 - 15 juin - Bruxelles
La DG Environnement organise cette année sa célèbre "Semaine Verte"du 12 au 15 juin sur le thème: Leçons du passé et défis du futur. Deux sessions seront notamment consacrées au changement climatique et la science avec des intervenants de l'IPCC. Les conférences auront lieu au bâtiment Charlemagne de la Commission européenne.
Voir : http://ec.europa.eu/environment/greenweek/


Réseaux urbains sans-fil
26 juin - PARIS
Cette journée, centrée sur le rôle et l’action des collectivités locales, s’articulera autour de trois thèmes, qui feront chacun l’objet d’un atelier :
- L’évolution d’ici cinq ans de l’utilisation et de la gestion du spectre radio (passage au tout numérique). Quels impacts sur les projets de services urbains sans-fil ? Quel partage de rôle entre initiatives publiques et privées ?
- Le déploiement de Wifi réalisé dans de grandes villes, comme Londres ou Moscou. Quels enseignements ? Ces opérations sont-elles reproductibles sur notre territoire ? Quel rôle pour la collectivité ?
- La cohabitation dans l'espace urbain des technologies sans-fil cellulaires (3G, 4G), WiFi, Mesh, Wimax, RFID. Quelles complémentarités ? Quels usages et applications innovantes (gestion des déchets, surveillance environnementale, sécurité…) ? Qu'a-t-on imaginé dans les laboratoires des grands opérateurs et industriels ?
Voir : http://www.villes2.fr/index.php?action=article&numero=133
Contact : Naï ASMAR
Mél : nasmar(a)tactis.fr


Salon de l’élevage et de la filière bovine
28 - 29 juin - ANGERS.
Voir : http://www.agrilianet.com/actu/mf_actu1.asp?numactu=309&retour=Agenda

Du côté de MATEVI
- Effeuillage : technique et équipements - Synthèse de 10 années d'essais
- Le point sur l’effeuillage avant un nouveau banc d’essai
- Techniques soustractives d’enrichissement – n° 14
Voir : http://www.matevi-france.com/


Du côté de la Commission Européenne (Tous ces textes sont également publiés en français)
> CAP reform: Fruit and Vegetable reform will raise competitiveness, promote consumption, ease market crises and improve environmental protection
> Organic Food: New Regulation to foster the further development of Europe's organic food sector
> Council supports Commission move to improve Cross Compliance system
> Simplifying the Common Agricultural Policy: Council backs 'single Common Market Organisation'
> Agriculture Council: Agreement on clearer use of the sales description 'veal'
> Agriculture Ministers agree to end public intervention for maize
> European Commission and Australia initial new wine agreement


Du côté de la lettre d’informations sur les plantes génétiquement modifiées
Voir : http://tamise.ujf-grenoble.fr/wws/info/lettreinfopgm
> Un groupe d'experts présidé par Michel Rocard demande que soit adoptée une nouvelle approche de l'enseignement des sciences qui rompe complètement des méthodes pédagogiques traditionnelles.
Voir : http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/07/797&
format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=fr
> Meta-analyse de l’impact de cotonniers et maïs Bt sur les invertébrés non cibles
Voir : http://www.sciencemag.org/cgi/content/abstract/316/5830/1475
> UE, Agriculture Biologique et PGM
Voir : http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/07/807&
format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=fr
Voir : http://www.euractiv.fr/environnement/article/ogm-bio-ong-denoncent-position-francaise
Voir : http://www.consilium.europa.eu/ueDocs/cms_Data/docs/pressData/en/agricult/94600.pdf
> Un riz GM comme vaccin oral potentiel contre le cholera
Voir : http://sciencenow.sciencemag.org/cgi/content/full/2007/612/2
Voir : http://www.jimmunol.org/cgi/content/meeting_abstract/178/MeetingAbstracts/S30-b
> Transgène et protéine Bt dans le sol
Une nouvelle étude sur la disparition des toxines insecticides Cry1Ab et Cry1Ac et de leur gène dans le sol. Elle montre des niveaux non détectables d’ADN 6 mois après moisson des PGM. En laboratoire, des disparitions de 79 à 92 % de la quantité initiale des protéines Cry dans les sols ont été observées après 35 jours.
Voir : http://www.agronomy-journal.org/index.php?option=article&access=doi&doi=10.1051/agro:2007010

Du côté de Viti-net
> Vinexpo 2007 - Une nouveauté de l'édition 2007: "Marketers by Vinexpo"
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40464
> Vinexpo - Concours "Les découvertes 2007"
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40468
> Appellation - Le rosé, une couleur devenue très concurrentielle
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40456
> Traitement des effluents - Le bambou s'implante dans le Bordelais
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40301
> Vieillissement du vin - Quand la mer "masse" les bouteilles et modifie le vieillissement du vin
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40429