AFIA
ACTA Informatique |
Du
côté du web et de l'informatique agricole 31 - 2007 (10 ème
année)
Paris, 2 août 2007 |
Si l'affichage de cette gazette laisse à désirer,
voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6864
Pensée du jour
(…) C'est que, voyez-vous, en plus d'une analyse des formes
de l'oppression et de sa capacité à se remodeler, la révolution
implique la nécessité d'une perspective et le clair énoncé des moyens
de lui donner corps. Maudire le marché, la marchandisation, voire
le spectacle, n'est que trop souvent une démarche contemplative.
Elle n'est porteuse d'aucune dialectique et tourne, tôt ou tard,
à l'inertie, au repli sur soi et, plus grave, au reniement. Le même
reproche, mais sur un mode mineur, pourrait du reste s'adresser
aux Toni Negri, Michaël Hardt, Peter Sloterdijk et autres Slavoj
Zizek. Leur description de l'empire, pour affinée qu'elle soit,
ne se double pas d'une stratégie. A force de redessiner la carte,
ils ont oublié le territoire...
Bref, la révolution a du plomb dans l'aile, du moins dans la partie
visible des opposants au monde tel qu'il est (…) Partout dans ce
pays, et sur tous les continents, les exclus confinés dans les périphéries
s'inventent, en détournant les nouvelles technologies de leur finalité
aliénante, un espace artistique, et partant politique, où s'esquisse
déjà leur futur. Ce refus du souterrain, du marginal, sera toujours
la grande faiblesse des pouvoirs - Gérard GUÉGAN – Le Monde – juin
2007
Autre pensée du jour sur le revenu agricole
Tout compte fait, Daniel dégage un revenu net de près de 1200
euros par mois avec lequel il assure le quotidien, et rembourse
les emprunts de sa maison - Mon métier d'agriculteur, Daniel Peyrube,
34 ans, exploitant agricole dans les Landes à Castaignos, dans "Le
Monde 2" du 7 juillet 2007
Thought of the day
Do not commit the error, common among the young, of assuming
that if you cannot save the whole of mankind, you have failed -
Jan de Hartog, playwright and novelist (1914-2002)
49ème Colloque AgriMMédia
18 septembre 2007
de 14 h à 18 h
Paris - MNE
|
Appel
à témoignages !
1 ère partie - table ronde
sur les relations avec les fournisseurs d'accès Internet
(et accessoirement téléphonie IP ou mobile)
: quels retours d'expériences de la rédaction
des cahiers des charges aux négociations finales ?
(1h30)
2 ème partie - les logiciels libres et Open Source
: quels retours d'expériences du choix des solutions
à leurs mises en service ? (2h30)
Contact
: Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-nformatique.fr
|
La lecture de votre
gazette est toujours instructive et distrayante, les deux n’étant
pas incompatibles
Contact : Laurence JULIEN
Mél : lguilbert.julien(a)wanadoo.fr
Yaplusdegazette
Cela fait plusieurs années que je reçois votre gazette et depuis
quelques semaines yaplusdegazette malheureusement, pourriez-vous
me remettre dans les destinataires de cette yaencorelagazette!!!
Contact : Patricia VITEAUX-FICARA
Mél : patricia.viteaux(a)wanadoo.fr
Acta
Depuis quelques temps je ne reçois plus Acta, que se passe-t-il
?
Contact : Patrick BOUZIN
Mél : pbouzin(a)wanadoo.fr
|
Les
8émes rencontres de
la fertilisation raisonnée et de l'analyse de terre
auront lieu à Blois,
les 20 et 21 novembre 2007.
Le
programme et le bulletin d'inscription sont
téléchargeables sur le site: www.comifer.asso.fr,
rubrique
actualités"
|
|
Je vous remercie pour la régularité de ces messages
Contact : Dr Jiwoua NGOUNOU C N - Enseignante Université - CAMEROUN
Mél : ngounounicole(a)yahoo.fr
A bord d'un 747 (Suite à la gazette du 26 juin)
L'auteur de l'histoire n'a pas du fréquenter beaucoup les milieux
aéronautiques. Dans un looping, la facteur de charge n'est jamais
négatif. S'il est parfaitement réussi, les passagers subiront au contraire
une accélération de la pesanteur au début et en fin de boucle sans
se rendre compte d'ailleurs qu'ils font un looping s'ils n'ont pas
de repère visuel. Cette histoire est vraiment sens dessus-dessous.
Contact : Christian LERAY
Mél : christian.leray(a)tarn-et-garonne.chambagri.fr
Non aux biocarburants (Suite à la citation du président du Brésil
dans la gazette du 26 juin)
Les biocarburants sont la plus grande bêtise de nos gouvernants.
Au Brésil on coupe l'Amazone pour planter la canne à sucre. Le produit
est polluant, encrasse les moteurs, pue le caramel. L'avenir est à
l'hydrogène quand on en aura maîtrisé la production. Tout le reste
est fumisterie.
Contact : Pierre JOLIVET
Mél : timarcha(a)club-internet.fr
Un article clair, simple et précis sur les OGM
Vous le trouverez dans la revue "info agricole" N° 103
de mai 2007 éditée par la Fédération des Centres de Gestion Agricoles
Agréés... "OGM pour y voir un peu plus clair" 102 millions
d'ha cultives dans le monde en 2006....Intéressant.
Contact : Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr
Web@thèque
et RSS
|
Création
automatique d'un fil RSS avec We@thèque, outil de gestion
de sites Internet et Intranet
Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr
|
Franska n'est pas un nounours à mettre dans son lit (Suite – 1
à la gazette du 26 juillet)
Étant cultivateur dans les Landes, je ne suis pas directement
concerné par les ours ou les loups. À leur propos, je n'ai pas de
réaction épidermique, mais je suis plus que sceptique quant à la nécessité
de leur réintroduction au nom de la biodiversité ou de leur présence
historique. Je ne suis pas certain que le coût pour la collectivité
et pour les éleveurs (prévention et réparation des dégâts) soit justifié.
Je subis sur mes cultures et sur mes arbrisseaux des dégâts de chevreuils
et de sangliers. Leur prolifération est en partie due à des interventions
humaines, mais il serait illusoire de se mettre en colère en espérant
les voir disparaître. Par contre nous exigeons et obtenons (plus ou
moins selon les communes) que les chasseurs se mobilisent pour réguler
le nombre de ces animaux nuisibles aux cultures, comme dans le cas
des nuisibles aux élevages, tels les renards, blaireaux, etc. Je vous
assure que dans nos campagnes les dégâts des sangliers et chevreuils
font l'objet de nombreuses discussions, contre-verses et négociations.
En vertu de la loi Verdeille, me semble t'il, les ACCA, en échange
du droit de chasse sur les propriétés privées, ont l'obligation d'assurer
la régulation des nuisibles et d'indemniser leurs dégâts. Les ACCA
étant gérées par leurs membres cotisants, elles sont plus directement
responsables que l'Etat qui décrète idéologiquement, et paye avec
l'argent des contribuables taillables à merci!
Voilà pourquoi, s'il y a des colères ponctuelles d'agriculteurs dans
le cas d'ACCA irresponsables, il n'y a pas de grande colère médiatique
comme contre les ours et les loups !
Contact : François BRETHES
Mél : francois40320(a)yahoo.fr
Franska n'est pas un nounours à mettre dans son lit (Suite – 2
à la gazette du 26 juillet)
Il est possible de ne pas comprendre le point de vue des éleveurs
des Hautes-Pyrénées ou des Alpes Maritimes concernant les attaques
d'ours ou de loups. Je pense qu'il faut présenter la situation de
mes collègues éleveurs pour comprendre leur colère ou leur désespoir.
1- Un éleveur de mouton ou de bovin travaille avec des êtres vivants.
Nous n'avons pas eu besoin d'attendre l'Europe et le soit "disant
bien être animal" pour savoir cela. Lorsqu'on travaille avec
des moutons ou des vaches en plein air, on peut admettre de perdre
des animaux à cause de la foudre, une mise bas qui se passe, un agneau
ou un veau écrasé par sa mère ou un autre animal et d'autre choses
qui hélas font partie de notre métier : nous donnons la vie, nous
savons vivre avec la mort. Si c'est un renard qui est venu prendre
1 ou 2 agneaux, nous savons que nous pourrons leur mettre la pression
à l'ouverture de la chasse ou faire venir les déterreurs en mai pour
réduire la population. Lorsque nous vendons des laitons, des broutards,
des bêtes de réformes pour l'abattoir, c'est aussi la vie, les bêtes
ont fait leur temps et il faut bien en faire quelque chose une fois
que la vieillesse arrive. Mais nous ne sommes pas des bourreaux, je
suis quasiment certain que chaque éleveur a dans une écurie, uns stabulation
ou dans un pré une vieille bête qu'il ne peut se résigner à vendre
aux marchand de bestiaux ("celle là, elle est pas toute jeune
mais c'est la première que j'ai eu, elle mourra à la ferme").
2- La situation des éleveurs espagnols, italiens, slovènes et bien
d'autres est différente. Leurs pratiques pastorales sont différentes
des nôtres. Il y a 50, 100 ou 200 ans, les éleveurs français vivaient
avec le loup ou l'ours mais en contrepartie, ils avaient le droit,
qui figurent toujours dans le Code Rural d'aujourd'hui et qui m'interroge
sur son application car il n'a toujours pas été abrogé, de défendre
leurs bêtes et troupeaux contre les bêtes fauves dont faisaient partie
les loups et ours. C'est d'ailleurs sur les plaintes des paysans qui
n'avaient pas toujours les moyens d'organiser efficacement cette régulation
qu'a été créée la fonction de Lieutenant de louveterie, qui perdure
aujourd'hui mais uniquement pour la chasse. On comprend aisément que
par des politiques décousues et incohérentes, en voulant systématiquement
supprimer la pratique de la chasse, qui si elle est peut être moins
pratiquées par les agriculteurs, se déroule encore exclusivement sur
des territoires exploitées par les agriculteurs et sylviculteurs.
Aujourd'hui, la chasse est rattachée au "sacro-saint" ministère
de l'écologie alors que nous dépendons du ministère de l'agriculture.
Je me pose d'un strict point de vue juridique, quelle serait la valeur
d'une condamnation d'un agriculteur abattant un loup ou un ours en
train d'attaquer ses bêtes (je ne pousse pas au crime, car je ne parle
pas d'un traquenard tendu pour attirer une telle bête dans le seul
but de la tuer).
3- Pour des néophytes, j'entends par là tous ceux qui n'élèvent pas
des animaux et capables de pratiquer une euthanasie sur une bête accidentée
ou trop malade (j'ai a ce sujet un différent avec la DSV de mon département
qui considère que je ne suis pas compétent pour le faire), il y a
en France je ne sais combien de dizaine de millions d'animaux de tous
ordres (l'émission 30 millions d'amis en dénombres 30, 40 ou 50, je
ne sais plus exactement, et pour les animaux de ferme et autres, je
n'ai pas à l'heure où j'écris ces lignes le temps de chercher les
statistiques exactes du ministère), et pour faire le parallèle qui
va suivre, je vais prendre la même proportion que celle qu'a subi
un éleveur de mouton de la région Pyrénées en perdant 150 moutons
sur une troupe de 450 brebis soit 1/3, je grossis volontiers le trait
pour faire comprendre la douleur et le désespoir de cet éleveur, que
je soutiens de tout cœur, et des autres victimes.
4- Pour finir, je viens d'entendre à l'instant au journal télévisé,
un intervenant avançant que l'ours ne représente que 1% des dégâts
commis sur les troupeaux. Je pense qu'il s'agit d'une position toute
partisane car depuis la disparition du loup et de l'ours de nos montagnes
mais aussi de nos campagnes, les éleveurs avaient appris à découvrir
que certains dégâts mis sur le compte du loup à l'époque n'étaient
que le fait de chiens errants, étant précisés qu'on ne parle pas de
chiens "sauvages" mais de chiens que leurs propriétaires
laissent en toute inconscience ou mauvaise foi divaguer en dehors
de leur propriété sans s'occuper des dégâts qu'ils peuvent occasionner
sur le gibier, les troupeaux mais aussi hélas parfois sur les humains
qui les croisent, souvent des enfants et des personnes âgées.
Pour finir, et afin que vous ne croyez pas que je me sois laisser
errer à l'aventure... Aussi, on va reprendre un parallèle à notre
éleveur de mouton de tout à l'heure mais en transposant le problème
à "monsieur tout le monde" ou à "la ménagère de moins
de 40 ans" qui possède 4 animaux domestiques à la maison : un
chien, un chat, un hamster et un canari. Vous pouvez changer les animaux
mais je vous rappelle que si vous en prenez moins de 4, il n'est pas
possible de diviser donc on se retrouvera avec un animal blessé, estropié
ou qui mourra au bout d'un certain temps des suites de sa maladie
ou de dépression (choc post-traumatique). Imaginons, donc, un animal
qui naturellement va progressivement coloniser la Ville de Paris (je
l'ai pris au hasard, parce qu'il y a 10 000 000 d'habitants et que
ça fait un compte rond, que c'est une vrai jungle urbaine et parfois
un no mans-land comme en moyenne montagne). Donc, de jour en jour,
de braves citoyens vont aller voir leur vétérinaire ou prévenir la
police, parce que leur chien, leur chat, leur canari, ou tous les
chiens de la rue ont disparus. On a bien retrouvé quelques plumes,
un bout de collier mais on ne sait pas. Puis pendant un certain temps
pas grand chose. Puis cela recommence ailleurs cette fois ce sont
les chats qui disparaissent les une après les autres : 150 dans le
quartier et surtout les 15 beaux persans de la vieille dame du 21
qui les couvaient comme la prunelle de ses yeux, la pauvre est catastrophée.
Le commissariat est débordé mais ne peut rien faire, les policiers
ne savent pas ce qui a pu arriver. Les gens s'inquiètent, enferment
les matous mais ce n'est facile, il fait chaud en juillet alors il
faut bien aérer la nuit.
La semaine suivante, c'est quasiment tous les animaux de gente ailée
qui ont disparu ou au l'on a retrouvé morts, éventrés ou étouffé au
fond des nids ou des cages, dans les volières, dans les cages, et
même quelques chiens aussi que l'on ne retrouve pas. Enfin, si par
hasard, les policiers ont été prévenus par les ouvriers d'un chantier
qu'en cassant une vieille maison, ils avaient retrouvés des bouts
d'ossements éclatés, des colliers et des plaques d'identité, des plumes,
des crottes contenant des becs et des griffes non digérés et un tas
à l'aspect innommable mais à l'odeur insoutenable que l'on ne peut
pas approcher à cause des nuées de mouches et d'asticots.
J'arrête là mon film, c'est vrai que l'on peut avoir du mal à comprendre
les éleveurs des Pyrénées, des Alpes, du Jura et d'ailleurs, car on
ne sait pas encore où cela va s'arrêter (une génisse a été égorgée
en dehors des zones habituelles du loup mais les traces ne peuvent
pas correspondre à celle d'un chien), mais dans notre bonne vieille
France, on sait que Paris n'est pas la Province, où qu'il y a plus
qu'un fossé entre les gens des villes et ceux de la campagne. Si le
loup (revenu naturellement parce qu'on l'a laissé revenir), l'ours
(présent en si petit nombre qu'on n'a rien trouvé de mieux que d'en
rapporter pour le tourisme, le lynx (on n'en parle pas en ce moment
mais il fait toujours des dégâts celui là mais je suis sûr que le
Conseil Régional doit mieux indemniser pour enterrer l'affaire) ne
s'attaquait pas à des animaux sauvages ou à des animaux de ferme comme
le mouton et les vaches mais à des animaux plus familiers comme le
chienchien de la maison, le bon gros matou, et l'animalerie qui va
à la suite, vous pouvez être certain que les pouvoirs publics tergiverseraient
beaucoup moins.
Si encore vous avez du mal à me croire, je ne peux que vous conseiller
d'aller dans la salle d'attente d'un cabinet vétérinaire et d'attendre
qu'un client ou une famille (ce qui est plus rare lors des basses
besognes) sortent de la salle du véto, regardez leur tête : la tristesse,
les larmes ou la colère contenue mais compréhensibles car leur animal
devait être en fin de vie. Prenez ensuite 150 de ces mêmes propriétaires,
et au non de l'écologie, de l'équilibre des espèces, du bien de la
majorité sur la minorité, euthanasiez leurs animaux, vous verrez alors
qu'ils sont eux aussi en colère. Et j'ai été généreux, j'ai bien dit
"euthanasiez" mais les 150 brebis de notre berger n'ont
pas été "euthanasiées" mais ont été mangées vivantes, se
sont précipitées vivantes du haut d'une falaise et malgré des fractures,
elles ont mis plusieurs heures (pour ne pas dire plus d'une journée)
pour mourir. Dans ce cas, que fait-on du bien être des bêtes tuées
au regard de leurs tueurs (ours, loup, lynx ou chien).
Ma réponse qui n'engage que moi (n'en déplaise à la DSV de l'Aube
et à ces messieurs de la PAC et aux soit disant écologistes) : entre
le bien-être de 150 de mes brebis et le bien-être d'un ours, d'un
loup, d'un lynx ou d'un chien, et en vertu du droit de défendre ses
animaux contre les bêtes fauves, je prends ma carabine et je tire
sur le bête menaçant mes animaux (sachant que tirer sur ne veut pas
dire tuer).
Contact : Damien DOREZ - Eleveur de moutons et de chevaux
Mél : damien.dorez(a)orange.fr
Traçabilité
: Guide pratique pour l’agriculture et l’industrie alimentaire
-
Coédition ACTA-ACTIA - 2ième édition, 2007
|
Aujourd’hui
le consommateur achète non seulement un produit, mais aussi
l’image du produit et la qualité de son système de production.
La traçabilité est un mot d'actualité associé à différents
concepts : sécurité alimentaire, transparence de l'origine
des produits, loyauté des transactions commerciales, qualité
en général. Ces nouvelles exigences en matière de traçabilité
sont peut-être perçues comme des contraintes, mais aujourd'hui
plus personne ne peut les ignorer.
Cependant, la mise en place d'une traçabilité reste le plus
souvent une démarche volontaire qui s'inscrit dans un souci
de progrès et de qualité pour le consommateur. C'est donc
à chacun des acteurs des filières agricoles et alimentaires,
de définir le niveau et la précision de la traçabilité dont
il a besoin pour assumer sa responsabilité.
Cette nouvelle édition a été entièrement réécrite pour tenir
compte de l’évolution de la réglementation (responsabilité
des opérateurs, hygiène des aliments…) applicable aux opérateurs
des filières agricoles et alimentaires.
Cet ouvrage définit et éclaircit la notion de traçabilité,
tant en amont qu’en aval, et aide ainsi les opérateurs de
filières dans leur réflexion. Il ne prétend pas donner des
solutions clés en main, mais s’attache à répondre à certaines
questions que se posent ces opérateurs. Ainsi, ce guide, présente
les points clés de la réglementation et les obligations liées
à l’adhésion à différentes démarches volontaires.
Des moyens techniques et une méthodologie sont proposés pour
donner aux professionnels des solutions pratiques. Plusieurs
exemples d’entreprises ayant mis en place un système de traçabilité
permettent d’illustrer concrètement cette démarche.
2ème édition, coédition ACTA-ACTIA 2007, 152 pages
ISBN ACTA 2- 85794-238-9
Réf B419 - 23 euros TTC + 6 euros de frais d’envoi pour 1
ex.
Pour commander ce document, s’adresser à : ACTA BP 90006,
59718 LILLE Cedex 9
Voir : http://www.acta.asso.fr
|
Si le nucléaire n'est pas la solution [au réchauffement climatique],
il n'y a pas de solution sans nucléaire. Il faut donc mettre en oeuvre
le programme de centrales de la troisième génération, tout en préparant
la quatrième génération - Alain JUPPÉ (Gazette du 12 juillet)
Même si je suis personnellement d'accord avec cette citation,
je trouve cette "Juppette" sans intérêt dans une liste consacrée
à l'agriculture de demain. Et assez mal venue alors qu'un récent tremblement
de terre au japon a failli détruire une centrale et a provoque une
fuite d'eau radioactive, rappelant qu'il serait quand même urgent
de chercher d'autres solutions. Pourquoi ne pas parler plutôt du potentiel
de la biomasse et des biocarburants de deuxième et troisième génération,
qui pourraient créer des emplois en zone rurale, revaloriser les jachères
et les terres désertifiées (rappel : 30% des terres agricoles ont
du être abandonnées au 20ème siècle a cause de l'érosion et de la
désertification), et ce sans concurrencer la production alimentaire,
contrairement aux biocarburants actuels ?
On dirait que le ton de la liste acta maintenant c'est "Guy Waksman
contre les écolos". Ca n'a pas de sens. Il faut aujourd'hui réconcilier
écologie et environnement, sauvegarde de la planète et croissance
(c'est le thème du dernier livre de Claude Allègre, d'ailleurs). Et
l'agriculture a un rôle capital à y jouer, bien plus que le nucléaire
!
Et pour alimenter ta gazette en citations plus pertinentes que celle
de notre ex-futur-ministre-du-développement-durable, en voici une
très belle "La différence entre un jardin et un désert, ce n'est
pas l'eau, c'est l'Homme". (Proverbe touareg).
Contact : Anne GOUYON
Mél : anne.gouyon(a)becitizen.com
Ma remarque notamment sur le proverbe touareg (GW) : Ce proverbe est
extra mais il n'invite pas au débat contrairement à la citation de
M. Juppé. Et puis je n'ai rien contre les écolos. Au contraire. Je
pense qu'ils ont beaucoup apporté à nos sociétés. Ce serait gentil
de ne pas surestimer cette modeste gazette. C'est seulement un lieu
de débats à partir des techniques informatiques et Internet vues comme
un des moyens d'aborder sinon résoudre (!) les problèmes posés à l'agriculture
et au monde rural.
Cette remarque (comme toutes les autres) n'est là que pour susciter
le débat… Je ne me prends vraiment pas pour un "faiseur d'opinion"
!
Formation à
e-GroupWare
(logiciel libre)
|
Travail
collaboratif avec e-GroupWare
eGroupWare 1.2 - Espace collaboratif de travail - 1 jour
16 novembre - à la demande |
A lire si ce n'est pas déjà fait et surtout les réactions sur le
forum...
Voir : http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/266083.FR.php
Voir : http://www.liberation.fr/php/pages/pageReactionsList.php?
rubId=728&docId=266083&s2=3&pp=economie_terre%3A%3AQ%3A%3AG%3A%3A
Le_c_page_fran_ais_rong__par_l
Contact : Christian PIEKACZ
Mél : christian.piekacz(a)fra.dupont.com
En complément au dialogue entre M Noisette et M Auxenfans (gazette
du 26 juillet)
Savez vous quelle est la durée de vie d'une variété (blé, maïs,
tournesol...) ?
10 ans pour une très grande variété, 3- 7 ans pour les variétés plus
ordinaires. Toutes ces variétés n'ont cependant été autorisées à la
vente (en France) que parce qu'elles avaient prouvé qu'elles étaient
supérieures (rendement, résistance aux maladies, qualité de la récolte,
amidon, huile...), à ce qui se cultivait au moment de leur inscription.
Cette information pour revenir sur le manque de diversité à un moment
donné, mais la certitude que 10 ans plus tard, la diversité serait
renouvelée. C'est le travail des sélectionneurs, répondre par de nouvelles
variétés à de nouvelles contraintes agricoles (pression de maladies,
précocité, rusticité, qualité de la récolte...)
Je vous concède des passages étroits génétiques imposés.
Pour le colza que je connais bien, ce n'est pas encore le cytoplasme
Ogura, les hybrides ne sont pas encore majoritaires, mais des variétés
sans acide érucique (années 70) et sans glucosinolate (années 80),
où à chaque fois, on a eu recours à un mutant identifié pour sa faible
teneur et qui a servi de source pour toutes les variétés qui ont suivi.
Sur d'autres espèces, la variabilité génétique est plus grande, par
exemple sur le maïs, grâce aux hybrides. En effet, le meilleur hybride
est obtenu à partir de lignées parentales les plus éloignées possibles
et, depuis plus de 50 ans, les sélectionneurs maïs conservent des
groupes génétiques bien distincts et recherchent des combinaisons
originales pour faire leurs hybrides.
Une autre précision sur les banques de gènes. Les banques de gènes
SONT des OGM, puisque l'on introduit des fragments d'ADN de plantes
dans la bactérie Echerischia coli qui est capable de se multiplier
avec le fragment d'ADN plante et donc de le conserver. (schéma un
peu raccourci de la banque, il y a des étapes intermédiaires à cette
construction).
Pour continuer sur ce sujet de la diversité, la diversité du matériel
génétique revient au premier plan avec des études génomiques dites"
d'association". Le but est de trouver l'allèle favorable à un
caractère donné. Pour cela, il faut un très grand nombre de variétés,
des essais au champ où on mesure tout ce qui intéresse l'étude et
l'on associe ces résultats avec les séquences des gènes de toutes
ces variétés. On en déduit la séquence favorable au caractère recherché.
On peut ensuite aller piocher cette séquence dans les lignées en cours
de sélection, ou dans les lignées anciennes ou exotiques par des croisements
classiques ou par l'introduction par transgénèse du gène favorable
de la variété exotique pour ne pas introduire trop d'autres caractères
exotiques non désirables (pourquoi pas ?)
Cette nouvelle méthodologie nécessite beaucoup de diversité génétique,
beaucoup d'expérimentation au champ (c'est une partie très coûteuse
de l'étude, et peut être le motif de refus des travaux cités par M
Noisette), les capacités nouvelles de séquençage, et de très bonnes
méthodes informatiques et statistiques.
Elle vise à comprendre et valoriser la diversité génétique en intégrant
les allèles favorables comme cela a toujours été fait "de façon
empirique" en sélection et amélioration des plantes.
Contact : Claire NICOLAS
Mél : claire.nicolas(a)biogemma.com
Je réponds simplement à la première intervention de M. Noisette
(gazette du 26 juillet) que son argumentation est exacte mais incomplète…
- pour le tournesol, ce n'est pas parce qu'ils ont un gène en commun
qu'il n'y a pas de de diversité : on arrive à avoir des précoces,
tardifs, oléiques......
- 7 variétés c'est vrai couvrent 50 % de la SAU en France. Vrai mais
très incomplet :
* il y a 20 ans, 4 variétés couvraient 50 % de la SAU blé, qui en
plus était plus faible : la diversité cultivée s'est accrue dans l'espace
et tant mieux ;
* les 7 variétés évoluent tous les ans, ce qui démontre aussi une
augmentation de la biodiversité dans le temps : d'ailleurs les durées
de présence des variétés dans le top 10 des cultivées en blé est de
plus en plus faible.
- pour les Pays-Bas, permettez-moi de ne pas répondre à des exemples
extérieurs, que l'on ne peut vérifier. Je signalerais simplement que
la diversité agronomique des Pays-Bas (sols, climat) n'est certainement
pas aussi large que celle de la France. Regardez simplement la diversité
génétique dans les milieux naturels : elle est largement plus faible
dans les régions nordiques (Sibérie, toundra...) qu'elle ne l'est
dans les milieus tropicaux : qu'on le veuille ou non les systèmes
cultivées suivent la même règle.
- le dernier exemple est encore, comme pour le premier, un exemple
incomplet : ce n'est pas un gène ou une construction qui empêche la
diversité génétique. Qu'une technique soit utilisée dans de nombreux
germplasms cultivées préexistants, accroît au contraire la diversité
puisque la diversité antérieure va utiliser cette construction en
complément :
Si on résume votre phrase, cela voudrait dire que lorsque l'on introduit
certains gènes intéressants d'espèces voisines du blé (par exemple)
pour améliorer certaines résistances, certains caractères agronomiques,
on diminue la diversité génétique : Non, on permet dans le blé la
présence possible d'un gène (ensemble de gènes..) qui n'y était pas
naturellement présent. Cela n'a aucune influence sur les populations,
lignées de blé antérieures que l'on a intérêt à conserver pour y introduire
le gène, ni sur les populations de la plante sauvage, dont on va souvent,
encore mieux caractériser les populations.
Je précise à ce sujet qu'il n'est possible de conserver la biodiversité
que si elle est caractérisée et bien mieux en "collections"
(privées ou publiques) qu'en milieu cultivé : un semis de 200 plantes
différentes dans une même parcelle, va favoriser la dominance des
gènes les mieux adaptées de ces variétés aux conditions pédoclimatiques
locales, mais qu'on le veuille ou non les gènes mal adaptées vont
disparaitre dans ce milieu : on aura dans ce cas, à terme, une réduction
de la biodiversité génétique cultivée. C'est tout simplement les règles
de la sélection naturelle qui s'appliquent.
Quant à l'adaptation des variétés aux milieux en évolution, totalement
d'accord avec Noisette. C'est bien en utilisant le pool des variétés
(ou collections) existantes que l'on permet la création de variétés
plus récentes, mieux adaptées l'évolution des milieux cultivés. La
seule petite différence entre nous, c'est que je pense que le temps
c'est bien, mais c'est plus long qu'une sélection orientée par l'homme.
Ce refus de la science est paradoxal : si l'on attend le hasard pour
résoudre nos problèmes de réchauffement climatique…
Moi c'est fait j'ai équipé ma maison de panneaux solaires dont la
technologie a été repérée et utilisée par l'homme, mais cela ne m'a
pas empêché, seulement cette année d'ailleurs, d'utiliser à 2 reprises
un anti-mildiou systémique pour pouvoir récolter des pommes de terre
en à peu près bonnes conditions...
Contact : Robert TESSIER
Mél : robert.tessier(a)club-internet.fr
Mettez vos visuels numériques
en synergie avec les autres paramètres
du document ou de la réunion
|
Stages et ateliers de base
2007-2008 du Maestro il Picselito
1. Conception et amélioration de diaporamas avec ou
sans PowerPoint
2. Photo numérique
3. Photoshop
4. Document d'expertise
5. Nombreuses variantes " sur mesure "
Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6699
Demandez le document technique
avec les programmes par mail à
Claude Holl
Mél : holl(a)noos.fr
|
Le numérique pour le dire, le lire et l'écrire des prochaines décennies,
190ème Chronique Hebdo de Claude Holl
La Muse de l’expression scientifique et technique de l’honnête homme
numérique se prénomme ADELINE.
ADELINE ?
Associer, Dire, Ecrire, Lire Images et mots Numériques Essentiels
pour la communication scientifique et technique.
Penchons-nous aujourd’hui sur le "L" d’ADELINE, qui vaut
pour Lire.
Il s’agit d’une Lecture au sens large, celle que pratique l’auditeur
– spectateur – lecteur numérique sur, pour la vision : grand écran
blanc (vidéoprojection), petit écran vif (ordi), pages papier, etc.
Mais les connaissances des chercheurs (d’une certaine sorte) progressent
encore sur la lecture au sens strict et traditionnel, celle qui concerne
simplement les seuls mots écrits.
Un article paru sur papier en mai 2006 et consultable aussi en PDF
mérite de notre part une vive attention. Son titre est le suivant
: "The Structures of Letters and Symbols throughout Human History
Are Selected To Match Those Found in Objects in Natural Scenes".
Ses auteurs : Mark A. Changizi, Qiong Zhang, Hao Ye, and Shinusuke
Shimojo. Vol. 167, No.5 The American Naturalist. E117 à E139.
C’est Stanislas Dehaene qui a signalé cet article dans son cours 2007.
L’occasion est bonne d’attirer aussi l’attention de nos chers lecteurs
sur la parution imminente d’un livre de Stanislas Dehaene sur les
mécanismes cérébraux de la lecture.
Et ADELINE dans tout ça ?
A quiconque me signalant par mail qu’il souhaite le document technique
présentant l’offre "ADELINE" 2007-2008 et la méthode éponyme,
je le lui envoie en PDF.
Contact : Claude HOLL
Mél : holl(a)noos.fr
Phot@thèque...
|
...avec
les bêtises du web comme exemples;
Voir
Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr
|
Point de vue : Efforts de normalisation des données en agriculture
un peu partout en Europe
Partout en Europe, différentes équipes travaillent sur les échanges
d'informations entre acteurs des filières agricoles et agroalimentaires
: Danemark, Allemagne, Pays-Bas, France, Italie, Royaume-Uni, chacun
travaille de son côté. Il n'y a jamais eu moyen d'obtenir des experts
de la Commission Européenne un budget pour un projet commun, pas plus
qu'il n'y eu moyen de convaincre nos responsables nationaux en France,
en Allemagne, etc. qu'un travail en commun au niveau européen est
indispensable.
En France, le projet RESAGRI se place cependant dans une perspective
internationale :
- participation à un groupe de travail de l'UN/CEFACT (ONU),
- travail sur la reconnaissance du message DAPLOS (traçabilité en
productions végétales) comme standard international.
Par rapport aux autres projets en Allemagne, Royaume-Uni, Pays-Bas,
etc. deux originalités de RESAGRI sont :
- l'étude quantitative des flux d'informations,
- l'étude de faisabilité du développement et de l'utilisation d'une
plateforme d'échanges de messages standardisés.
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr
Le mari blagueur
Une jeune femme, cadre supérieur, est envoyée à Londres par sa
société pour participer à un séminaire de formation de 2 semaines.
Son mari la conduit à l'aéroport et lui souhaite un bon voyage.
L'épouse lui répond:
"Merci, chéri. Qu'est-ce que tu voudrais que je te ramène comme
cadeau ?"
Le mari se met à rire et dit: "Ben, une petite anglaise ne serait
pas pour me déplaire!!!"
La femme ne relève pas la plaisanterie et tend son billet à l'hôtesse.
Deux semaines plus tard, le mari vient chercher sa femme à Roissy
et il lui demande:
"Alors chéri, comment s'est passé ton séjour ?"
"Très bien, merci."
Puis le mari en souriant demande:
"Et est-ce que tu as pensé à mon petit cadeau ?"
"Quel cadeau ?"
"Mais si, tu te souviens ? Avant que tu ne partes, je t'avais
demandé de me ramener une petite anglaise ?!"
"Oh, ça ! Eh bien, j'ai fait ce que je pouvais, mais maintenant
il faut attendre quelques mois pour savoir si ce sera une fille !!!"
Contact : Olivier CHAILLOT
Mél : olivier.chaillot(a)wanadoo.fr
Tout sur les firewall
Watchguard
|
Voir
: http://www.acta-informatique.fr?d=6544
Contact : Jean-Paul ARCHIER
(Cisco Certified Network Professional) et WSCP (Watchguard Security
Certified Professional)
ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional
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Mél : jpa(a)acta-informatique.fr |
Offre de service : spécialiste du développement commercial agriculture
environnement, avec une vision globale du business végétal
Contact : Claude FOULON
Mél : claude.foulon(a)wanadoo.fr
12ème conférence internationale de l’AITVM : prévenir
les risques des maladies infectieuses animales
20 - 22 août 2007 – MONTPELLIER
L’AITVM (Association of Institutions for Tropical Veterinary Medicine)
regroupe une vingtaine d’institutions d’enseignement et de recherche
sur la médecine vétérinaire tropicale en Europe, Afrique, Asie, et
Moyen Orient. Elle organise tous les trois ans dans un pays du Sud
puis du Nord, une conférence internationale réunissant plus de 200
participants du monde entier.
En 2004, à Kuala Lumpur (Malaisie), la conférence traitait de l’implication
de la santé animale dans le développement économique. Le thème de
cette 12ème édition 2007 à Montpellier est : "Does
control of animal infectious risks offer a new international perspective
?" (le contrôle des maladies infectieuses animales présente-t-il
de nouvelles perspectives ?). Comme le précise Emmanuel Camus, directeur
régional du Cirad à Montpellier et vice président de l’AITVM : "on
assiste depuis trois ans à une explosion de maladies émergentes dont
la grippe aviaire. Le colloque fait naturellement suite à cette actualité
brûlante".
Le programme scientifique sera centré sur les thèmes suivants :
- analyse de risque, surveillance et épidémiologie
- nouveaux vaccins et conséquences de la vaccination
- adoption de normes de sécurité alimentaire
- aquaculture dans les pays du Sud
- éducation et formation professionnelle continue
- services vétérinaires dans un scénario global.
Plus de deux cents participants, chercheurs, experts en épidémiologie,
analyse de risque, vaccination, aquaculture, hygiène, alimentation
mais aussi vétérinaires, enseignants et économistes, sont attendus
au colloque. Seront représentés 47 pays d’Europe, Afrique, Asie, Amérique
et Moyen Orient. D’éminents professeurs et experts dans leurs domaines
présenteront leurs communications au congrès. Le lundi 20 août, interviendront
en séance plénière :
> Peter Rottier, professeur à l’Université d’Utrecht(Pays-Bas)
– Vaccins
> Dirk Pfeiffer professeur au Royal Veterinary College de Londres
(Grande-Bretagne) - Analyse de risque
> Marcel Wanner, professeur à l’Université de Zurich (Suisse) –
Enseignement et formation
> Gilles Salvat, directeur de l’AFSSA de Ploufragan (France) –
Sécurité alimentaire
> Marc Vandeputte, chercheur à l’INRA (France) – Aquaculture
>Jacquie Berthe, vice-président du pôle de compétitivité Orphème
(France) – Maladies tropicales
> Véronique Bellemain , Directrice assesseure de l’Ecole nationale
des services vétérinaires (ENSV) de Lyon (France)
En préalable au congrès, le Cirad et le Royal Veterinary College de
Londres organisent du 16 au 18 août, un workshop sur l’analyse de
risque en santé animale. L’objectif de cette formation est
de permettre aux participants de comprendre les principes d’une analyse
de risque qualitative et quantitative. A partir de ces connaissances
les acteurs de la santé animale disposeront des outils nécessaires
pour renforcer la surveillance épidémiologique et le contrôle des
maladies animales et pour mieux se préparer aux situations d’urgence,
plus particulièrement face aux risques émergents. Le cours se composera
de présentations et d’exercices basés sur l'utilisation du logiciel
Microsoft Excel® et du logiciel @risk. Les exemples pratiques seront
appliqués à des maladies émergentes animales : grippe aviaire, peste
porcine africaine, fièvre catarrhale ovine.
Voir : http://aitvm2007.cirad.fr/
Contacts : Emmanuel CAMUS et Jean-François RENARD
Mél : emmanuel.camus(a)cirad.fr, jean-francois.renard(a)cirad.fr
Nos
stages
"Réseaux et sécurité"
|
-
WATCHGUARD Firewall basics with Fireware - Full course - 3
jours - 1 au 3 octobre - à la demande
- WATCHGUARD Firebox X Edge and X Edge Wireless -1 jour -
22 mai - 23 octobre
-Firewalling basics with WATCHGUARD System Manager 8.0 and
WFS 7.4 - 2 jours - à la demande
- Sensibilisation à la sécurité informatique
(2 jours) à la demande
- Comprendre les réseaux TCP/ IP et les routeurs (2
jours) - à la demande
Contact : Véronique Bois
Mél : veronique.bois(a)acta-informatique.fr
|
Une journée consacrée à l'environnement pour les viticulteurs de
Gironde
6 septembre - BLANQUEFORT Gironde)
Les viticulteurs girondins ont rendez-vous le jeudi 6 septembre à
Blanquefort pour une journée consacrée à l'environnement. Une journée
autour d'ateliers pratiques, qui permettront à chacun de repartir
avec des solutions, des techniques à mettre en œuvre sur son exploitation.
Car si les viticulteurs sont aujourd'hui convaincus de la nécessité
de respecter plus encore l'environnement, ils ne savent pas forcément
comment s'y prendre.
>> Éviter les traitements
Tout d'abord, il s'agit d'éviter les traitements chimiques chaque
fois que cela est possible. Prenez le désherbage des rangs et des
dessous de rangs : il est indispensable pour garantir une bonne production.
Sans lui, les mauvaises herbes concurrencent la vigne et mettent en
danger la production. Mais aujourd'hui, il existe d'autres solutions
que le tout chimique, encore méconnues : l'entretien mécanique, le
désherbage thermique et même l'enherbement. Différentes solutions
testées par les techniciens viticoles de la Chambre d'Agriculture
et présentées au cours de cette journée, matériels à l'appui.
>> Bien utiliser les appareils
Autre piste en faveur d’une meilleure protection de la nature, bien
régler son pulvérisateur pour éviter la déperdition de produit dans
le sol, dans l'air et dans l’eau. Alain Martinet, professeur du lycée
agro-viticole de Blanquefort, effectuera une démonstration en direct,
sur un pulvérisateur. Car un pulvérisateur bien réglé, cela signifie
moins de produit consommé et donc moins de pollution, mais également
moins de dépenses. Une économie non négligeable quand on sait que
les achats de produits sont estimés entre 400 et 1 000 € par hectare
chaque année…
>> Gérer les déchets générés par les traitements
Que faire de l'eau qui a servi par exemple à rincer le pulvérisateur
à la fin du traitement ? Attention, elle est chargée en substances
actives donc, pas question de s'en débarrasser n'importe où. Là encore,
des solutions existent, notamment les stations de traitement reconnus
par les Ministères en 2007. Les viticulteurs auront l'occasion le
6 septembre de découvrir celle du lycée de Blanquefort, qui présente
un avantage : elle sert aussi à traiter les effluents de chais, c'est-à-dire
les eaux polluées issues du lavage des barriques, des filtres…
Au programme de cette journée également, une présentation en salle
du "bilan des pesticides dans l’eau et des nouvelles législations"
par le Service Régional de la Protection des Végétaux, des "bonnes
pratiques phytosanitaires" par l’un des conseillers Environnement
de la Chambre d'Agriculture de la Gironde. Le rendez-vous est donné
le jeudi 6 septembre de 14 h 00 à 18 h 00, à Blanquefort, au Château
Dillon.
Voir : www.gironde.chambagri.fr
Contact : Magali TEMPLIER
Mél : m.templier(a)gironde.chambagri.fr
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Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr
|
Odébit au service de tous les usagers
18 - 20 septembre– PARIS
Le salon Odébit facilite les démarches des collectivités locales dans
l’intérêt des usagers. L’implication croissante des collectivités
dans l’aménagement numérique permet de multiplier les projets qui
bénéficient au développement du haut débit en France, et donc contribuent
à l’aménagement du territoire.
Grâce à la forte implication des acteurs publics, certains usages
se démocratisent rapidement.
> Grâce à l’essor du Haut débit, forte croissance du nombre d’internaute
Le nombre d'internautes français a progressé de 11 % en un an*. Comparant
les chiffres de mars 2007 à ceux de mars 2006, on constate une progression
de près de trois millions d'usagers. Au total 29,7 millions d'internautes
en France cette année, soit 56,5 % des Français, contre 26,8 millions
il y a un an.
Actuellement les collectivités locales déploient 85 réseaux de télécommunications:
48 réseaux sont en exploitation, 21 attribués en construction, et
16 font l'objet d'une procédure de consultation.**
> Partenaire incontournable des collectivités : la Caisse des
dépôts, un modèle unique
Le développement du haut débit en France est en bonne partie lié à
l’initiative publique qui a contribué à dynamiser le marché et la
concurrence. Selon l’ARCEP (Régulateur français des télécommunications),
les trois quarts des sites ouverts en 2005, l’ont été grâce à des
projets d’initiatives publiques.
A la demande de la collectivité, la Caisse des Dépôts intervient en
tant qu’investisseur de long terme. En septembre 2006, la Caisse des
Dépôts était partenaire de plus de 70 projets d’infrastructures au
haut débit, pour un montant d’investissement global de 2 milliards
d’€.
Ainsi, cet organisme a permis de relancer l’investissement vers des
territoires qui en manquaient, faute de rentabilité. Les collectivités
locales sont confrontées à la nécessité de réduire les écarts qui
persistent mais également à un besoin croissant en très haut débit.
En ce sens, la Caisse des Dépôts contribue à un meilleur aménagement
du territoire.
> A la campagne comme à la ville, les collectivités luttent
contre la fracture numérique
Afin de faciliter l’accès au savoir à des populations défavorisées,
Dunkerque, a câblé des quartiers sensibles pour proposer un forfait
moyen débit pour 5 €/mois.
Dans les zones rurales, les enjeux sont importants puisque seuls 40%
de la population ont accès au haut débit. Les initiatives des collectivités
se multiplient notamment pour le passage du haut débit vers le très
haut débit, comme par exemple dans la Manche, un département géographiquement
isolé et pilote en matière de réseau haut-débit.
Au-delà des portails santé (mise en relation des professionnels),
de seniors (E-senior) ou Wikimanche (encyclopédie interactive que
peut enrichir les internautes, sur le même modèle de wikipedia), Manche
Numérique, syndicat mixte, met en place l’aménagement numérique du
département, à travers des équipements structurants facilitant l’accès
notamment à :
- l’éducation : réseau de vision conférence mis en place dans des
classes de 5ème et de 6ème permettant aux élèves
de suivre des cours d’allemand ; système beaucoup moins coûteux qui
a l’avantage de maintenir certaines disciplines alors que les élèves
sont peu nombreux. De plus, le niveau des scolarisés donne satisfaction.
- l’utilisation d’Internet et la sensibilisation au grand public (espace
public numérique où des formateurs dispensent des cours aux débutants,
comme les seniors par exemple.)
> L’E-administration
Aujourd’hui, l’usager peut trouver dans le site Internet de sa mairie
un guichet unique où effectuer toutes ses démarches administratives.
D’ici la fin de l’année, le portail mon.service.public.fr piloté par
la DGME, et sa version locale ADELINE, développée par la Caisse des
Dépôts, offriront aux usagers un accès à leurs comptes administratifs
et à des formulaires pré-remplis avec leurs données personnelles,
à partir des sites des communes.
Dans le même esprit, un secrétaire de mairie équipé d’un guichet nuMAIRIEque
pourra transmettre aux administrations locales et traiter à distance
les demandes généralement longues et contraignantes des usagers (demande
de carte grise, demande d’aide au logement, ASSEDIC …). Ces guichets
polyvalents nuMAIRIEque permettent notamment de maintenir le service
public en milieu rural.
> L’E-éducation
L’Espace Numérique de Travail (ENT), portail de service sécurisé,
offrant depuis n’importe quel poste connecté à Internet un point d’accès
commun à l’enseignant, à l’élève, et à l’ensemble des personnels de
l’établissement 7 jours sur 7, 24 h/24… Scolarisation, santé, alimentation,
sport, culture, transports…, l’ENT permet un suivi individualisé de
l’élève du secondaire.
Chacun y trouve son compte : les ressources sont disponibles à domicile
pour les élèves et les parents, les exercices peuvent être personnalisés
en fonction des lacunes de l’élève, l’enseignant peut préparer ses
cours à l’avance, l’administration peut mettre des carnets de liaison
en ligne, recourir l’automatisation des appels et notifier automatiquement
les absences, les parents peuvent communiquer avec le personnel éducatif
A ce jour, 300 000 comptes usagers ont été crées en France mais à
terme, ce sont les 30 millions de membres de la communauté qui sont
concernés, car si les projets du primaires sont encore au stade de
l’expérimentation, ils devraient bientôt concerner 59 000 écoles.
> L’E-médecine
En France, le potentiel d’Internet est encore mal appréhendé par les
médecins car il existe peu de plateformes permettant de partager l’information
médicale d’un patient.
Le Dossier Médical Personnel (DMP) devrait améliorer la prise en charge
des patients par les professionnels de santé dans le respect médical
et de soigner mieux en dépensant moins. Il permettra de lutter contre
les incompatibilités médicamenteuses qui sont à l’origine de 128 000
hospitalisations par an et de réduire les examens pratiqués inutilement
en double.
Le déploiement du DMP est indissociable de celui du haut débit puisque
le volume moyen nécessaire est de 50 mégaoctets sans l’imagerie médicale
(radio, scanner, etc.).
* sondage Médiamétrie du 14 mai
** Selon l'association de collectivités Avicca (*) selon un recensement
arrêté au 1er janvier 2007 (http://www.avicca.org/Bilan-2006-les-reseaux-d.html)
Voir : http://www.odebit.fr/
Contact : Vincent MARÉCHAL
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Bio et local, c’est l’idéal (en Rhône-Alpes)
Du 22 au 30 septembre, les producteurs bio de Rhône-Alpes en vente
directe fêtent la proximité et l’arrivée de l’automne.
Parce qu’un produit bio est encore meilleur quand il vient d’à côté,
les agriculteurs bio de Rhône-Alpes vous invitent à découvrir les
circuits courts de vente et tous les avantages à consommer des produits
bio directement aux producteurs. ‘’Bio et local c’est l’idéal’’ met
en avant une consommation de proximité responsable, socialement riche
et naturellement écologique.
En plus de respecter l’environnement par leur mode de production,
de nombreux agriculteurs bio ont à cœur de vendre leurs produits le
plus directement possible aux consommateurs. Les circuits courts de
commercialisation traditionnels ont donc la cote en bio : vente à
la ferme, marchés, points de vente collectifs et maintenant paniers
sont largement plébiscités par les producteurs bio comme de plus en
plus de consommateurs. Car tout le monde est gagnant avec la vente
directe : le consommateur bénéficie de produits plus frais, cultivés
dans son environnement, et d’une traçabilité incomparable. Le producteur
a la satisfaction du lien direct avec le consommateur final et une
rémunération plus juste en évitant de multiples intermédiaires. Enfin,
la société est aussi gagnante dans son ensemble avec un meilleur bilan
écologique (grâce à la limitation des transports de produits), et
un impact socio-économique très positif (grâce à la re-localisation
et à la pérennisation d’activités agricoles et d’échanges locaux).
Rhône-Alpes compte environ 600 producteurs bio en vente directe dans
ses 8 départements. C’est pour les faire mieux connaître et informer
les citoyens et les consommateurs des avantages des circuits courts
de vente que Corabio organise cette campagne ‘’Bio et local, c’est
l’idéal !’’.
Rien de tel pour découvrir les produits bio que de les déguster. Une
cinquantaine d’animations est donc prévue en Rhône-Alpes du 22 au
30 septembre : portes ouvertes, visites, animations et dégustations
de produits, il y en aura pour tous les goûts…. En marquant le début
de l’automne (le 23 septembre), et à une période où la variété des
produits disponibles est très riche, cette campagne rappelle qu’avec
la proximité, la saisonnalité est aussi un critère essentiel de consommation.
Rendez-vous donc fin septembre dans les fermes bio, sur les stands
de producteurs sur les marchés, dans les points de vente collectifs
et avec les associations de paniers (jardins de Cocagne, Amap) pour
déguster les nombreux produits bio du moment : tomates, courgettes,
poivrons, concombres, betteraves, blettes, carottes, choux, courges,
pâtissons, épinards, haricots, navets, poireaux, pommes de terre,
radis, salade, rhubarbe, noix, pommes, poires, kiwi, raisins, prunes,
fromages, produits laitiers, pains, jus de fruits, confitures, vins,
charcuterie, viande…
Voir : http://bioetlocal.hautetfort.com
Contact : Olivier ROUSSEAU
Mél : olivier.rousseau(a)corabio.org
Coproduits des biocarburants... évolution des marchés des matières
premières pour l'alimentation animale
25 septembre 2007 - PARIS
Avec des spécialistes de l'analyse économique des marchés, des process
de transformation énergétique des cultures et de l'alimentation animale.
Voir : http://www.arvalisinstitutduvegetal.fr/fr/man_detail.asp?id=300
Mysandrie
Q. Quelle est la différence entre un homme, une cravate et une
ceinture ?
R. La cravate serre le cou, la ceinture serre la taille et l’homme
sert à rien.
Bureautique
2007: entrez
dans une démarche "Qualité"
-
Le même document est en 15 exemplaires sur plusieurs
PC, où est la dernière version ?
- Comment utiliser la fonction de suivi des modifications
des documents Word ?
- Comment définir une charte graphique commune ?
- Comment définir une bibliothèque de modèles
?
- Comment classer et archiver et avec quelle nomenclature
?
- Comment organiser / faciliter les collaborations ?
-
/..
|
- Perfectionnement à Word -
1 jour - 14 septembre
- Perfectionnement à Excel - 1 jour - 15 octobre
- Bonne pratique de PowerPoint - 1 jour - - 8 octobre
- Perfectionnement à Excel - 1 jour - 15 octobre
- Programmation de macros VBA avec Excel - 3 jours - du 7 au
9 novembre
- Initiation à Access - 3 jours - du 28 au 30 novembre
Contact : Véronique
Bois
Mél : bois(a)acta-informatique.fr |
Conseils Colza et Soja 2007 sur le site CETIOM
Les rubriques "Colza" et "Soja" a été mises
à jour en version 2007, avec tous les conseils pour réussir sa culture
tout au long de la conduite, de l'implantation à la récolte.
Voir - Colza : http://www.cetiom.fr/index.php?id=2147
Voir - Soja : http://www.cetiom.fr/index.php?id=2483
Numéro de juin 2007 de la Lettre Recherche Environnement
- Élévation du niveau de la mer : pourquoi et combien ?
- Bruit des transports : une directive, des perspectives
- Résultats de l'étude « Perception des Risques par le Public et les
Experts »
- Vient de paraître : La biodiversité à travers des exemples
Voir : http://www.ecologie.gouv.fr/-Lettre-Recherche-Environnement-.html
Les perspectives de co-développement que permet désormais l’informatique,
notamment avec les agriculteurs en Afrique avec des projets de toutes
sortes
- l’accompagnement des apiculteurs au Burkina
- des greniers auto-refroidissants au Sahel
- des projets de biocarburants au Mali
- des projets de maraîchage etc.
Voir : http://www.marcottage.fr/
Contact : Alain DUCASS
Mél : alain.ducass(a)diact.gouv.fr
Nouvelle version de vignovin.com…
…avec un moteur de recherche et une nouvelle ergonomie pour faciliter
votre navigation
Voir : http://www.vignovin.com.
Rouge-Blanc, élu 4e du top mondial et 2e
du top français des marchands de vin en ligne.
Dans le cadre de Vinexpo, Grégory Bressoles a présenté lors d’une
conférence les résultats de l’étude e-Performance Barometer, catégorie
Vin. Première mondiale, l’étude, réalisée à partir de l’évaluation
des internautes, mesure la performance des acteurs du marché Vin ONLINE:
Rouge-Blanc.com obtient la 2de place du podium dans le classement
des sites français parmi 20 sites audités et la 4e position
dans le classement des sites internationaux, après les sites www.wine.com,
www.nicolas.com et www.maithwaites.co.uk.
"A travers cette étude, les professionnels et le grand public
accèdent à l’analyse indépendante d’experts du secteur viti-vinicole
et du e-commerce et découvrent ainsi les critères incontournables
pour les acheteurs on-line" explique Grégory Bressoles, coordinateur
de l’étude.
Facilité d’utilisation, qualité de l’offre et de l’information sont
les 3 facteurs clés de succès du site Rouge-Blanc. "C’est notre
expertise œnologique, notre connaissance du métier et l’écoute de
nos clients qui sont ici récompensées..." s’exclame Alain Guinot,
Président de Rouge-Blanc.
Voir :: http://www.rouge-blanc.com/?pg=PageStatique&bt=none&ps=Statique/presse_fr/communique_presse.htm
Contact : Thierry ARNAL
Mél : t.arnal(a)winepassion.com
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et ainsi problèmes vous éviterez |
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chèque de 30 Euros à l'ordre de l'AFIA -
Un reçu vous sera adressé |
10
- A tous les colloques AGRIMMEDIA, vous participerez |
|
Le Cemagref lance une plate-forme technologique pour améliorer
les techniques d'épandages agricoles
Face aux pollutions aquatiques liées aux amendements agricoles, le
Cemagref inaugure dans l'Allier un pôle de recherche dédié aux épandages
de matériaux minéraux et organiques. L'enjeu : promouvoir les écotechnologies
en agriculture.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/
cemagraf_epandage_recherche_2915.php4
Le WWF rappelle la nécessité d'une utilisation raisonnée du dessalement
de l'eau de mer
Face à un développement important des projets d'usine de dessalement
d'eau de mer dans toutes les régions du monde, le WWF rappelle qu'une
bonne gestion de l'eau douce déjà disponible est nécessaire dans un
premier temps
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/wwf_dessalement_rapport_2913.php4
La Garance voyageuse (revue de vulgarisation botanique) : Le pouvoir
protecteur des herbes de la Saint-Jean
Voir: http:/www.garancevoyageuse.org
Contact : Christine DABONNEVILLE
Mél : garancevoyageuse(a)wanadoo.fr
FluTrop, une plate-forme interactive sur la recherche et la surveillance
de l'influenza aviaire dans les pays du Sud
Le virus H5N1 hautement pathogène de la grippe aviaire est installé
en Asie du Sud-est depuis 1997. Il a gagné l’Europe en 2005 et l’Afrique
en 2006. Les conditions sanitaires des pays en développement favorisent
le développement du virus et pourraient entraîner l’apparition, par
mutation ou recombinaison, d’un virus grippal humain à potentiel pandémique.
C’est pourquoi l’action internationale dans ces pays est un impératif
de solidarité et de protection de la santé publique, à la fois vétérinaire
et humaine.
Ce site Web bilingue conçu par les experts du Cirad recense quantité
d’informations sur la maladie. L’état de l’art en termes de recherche
– virologie, épidémiologie, écologie – y est notamment présenté, tout
comme les différents projets de recherche et de surveillance en cours
ou à venir, menés par le Cirad et ses partenaires. Les travaux et
les ateliers sont focalisés sur les pays touchés par le virus ou présentant
un risque d’infection, en Afrique, en Asie, en Europe de l’Est et
au Moyen-Orient.
Le site propose, en outre, un espace d’informations plus générales
où le visiteur trouvera des actualités récentes à la fois sur les
activités du Cirad et l’agenda des manifestations dans le domaine
de la grippe aviaire et sur la situation de la maladie dans le monde.
La localisation et le nombre de foyers du virus sont notamment disponibles
en ligne au travers de cartes ou de liens utiles renvoyant vers les
sites de partenaires.
A court terme, seront également développées des bases de données relatives
à la production avicole dans le monde, aux échanges commerciaux, aux
souches virales, etc.
Une newsletter ou un flux RSS diffusent périodiquement les actualités
et les mises à jour du site, notamment pour ce qui est des manifestations
et des publications.
Le site FluTrop a été réalisé en partenariat avec :
- le ministère français des Affaires étrangères et Européennes (MAEE)
;
- l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture
(FAO) ;
- le fonds de solidarité prioritaire Mesures d'urgence, sur le renforcement
des capacités de diagnostic des laboratoires africains pour le contrôle
des pestes aviaires (MAEE) ;
- le fonds de solidarité prioritaire Gripavi, sur l'écologie et l'épidémiologie
de la grippe aviaire dans les pays du Sud (MAEE).
Voir : http://avian-influenza.cirad.fr/fr/
Contact : Marisa PEYRE
Mél : marisa.peyre(a)cirad.fr
Adhérez
à l'AFIA
Chèque de 30 Euros à
nous envoyer.
Un reçu vous sera adressé.
|
L'AFIA
est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net
|
Biogaz : la société Naskeo Environnement lève 2,6 millions d’euro
Naskeo Environnement, société spécialisée dans la production d’énergie
renouvelable par méthanisation, annonce sa première levée de fonds.
Celle-ci a été menée par les fonds de capital-risque Oddo Asset Management
et XAnge Private Equity. Ce premier investissement en capital risque
atteste du dynamisme du secteur du biogaz en France. En réalisant
cette opération, la société Naskeo fait le pari du développement technologique
pour renforcer sa position et son expertise.
Créée en mai 2005, Naskeo Environnement est une société spécialisée
dans la conception, la construction et l’exploitation d’unités de
méthanisation. Ces unités permettent aux industries agroalimentaires
et pharmaceutiques, ainsi qu’aux exploitations agricoles, de devenir
production d’énergie renouvelable tout en s’affranchissant de leurs
problématiques de déchets organiques.
Naskeo propose deux types de solutions selon la nature des déchets.
Une première technologie, Proveo, développée par le Laboratoire de
Biotechnologie de l’INRA (Narbonne), permet la dépollution et la valorisation
énergétique des effluents liquides. Naskeo en détient une licence
exclusive d’exploitation. Un second procédé, Ergenium, permet une
conversion à très haut rendement des déchets solides en biogaz. Cette
technologie innovante, également développée en collaboration avec
l’INRA, aboutira courant 2007 à un brevet en co-propriété avec l’INRA.
La société Naskeo, déjà bénéficiaire sur son premier exercice, prévoit
une croissance moyenne de 57 % par an sur les cinq prochaines années.
En France, les prévisions de production de biogaz en 2010 permettent
d’évaluer une croissance annuelle du marché de près de 23 %. L’augmentation
du tarif de rachat de l’électricité à partir de biogaz, intervenue
en juillet 2006, va notamment doper le marché puisqu’elle va permettre
de rentabiliser beaucoup plus rapidement les investissements dans
ce type d’installation.
Voir : http://www.naskeo.com/
Contact: Marc BAUZET
Mél : marc.bauzet(a)naskeo.com
Protection des céréales à paille - Lutte contre les ravageurs,
la verse et traitement des semences 2007
Ce dépliant présente sous forme de tableaux synthétiques, la composition,
le mode d'emploi et les efficacités de tous les insecticides, traitements
de semences et régulateurs utilisables sur céréales à paille : blé
tendre, blé dur, orge, triticale, avoine, seigle.
L'ensemble des informations présentées est mis à jour à partir des
résultats expérimentaux les plus récents d'ARVALIS - Institut du végétal.
Nouveauté 2007 : Dans tous les dépliants protection des cultures 2007,
une part importante est consacrée à l'aspect réglementaire. Sont précisés
pour chaque produit : les restrictions en mélanges, le stockage réglementé,
le délai de rentrée dans la parcelle, la zone non traitée à respecter
et le délai avant récolte.
Voir : http://www.editions-arvalis.fr/ouvrage.php?id_ouvrage=871
Un site sur l'environnement à la veille du Grenelle de l'Environnement
Voir : http://www.alerte-environnement.org/
Signalé par Luc ESPRIT
Mél : luc.esprit(a)agpm.com
Grenelle de l'Environnement
Voir : http://www.legrenelle-environnement.fr
Chinese proverbs
Virginity like bubble, one prick, all gone.
Contact : Israel KITRON
E-mail: kitron1(a)terra.com.br
"Adresses
Actions"
|
Gestion partagée
de carnets d'adresses
> Adresses Actions permet la gestion et l'utilisation de
toutes les adresses utilisées par votre entreprise :
clients, adhérents, prestataires, collaborateurs, etc.
Vous utilisez une base commune à toute votre entreprise,
et créez des bases satellites spécifiques pour
certains services ou utilisateurs.
> Avec "Adresses Actions", vous mettez fin à
la multiplicité des fichiers d'adresses, en formats divers
et variés, redondants et jamais mis à jour ni
réutilisables.
> Avec "Adresses Actions", vous récupérez
automatiquement tous vos fichiers d'adresses pré-existants,
sans doublon.
> Avec "Adressses Actions", vous permettez de consulter
la base à des collaborateurs distants via Internet.
> Avec "Adressses Actions", vous sélectionnez
vos adresses pour l'édition d'étiquettes, de publi-postage,
d'envoi de mails...
Contact : Guy Waksman
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr
|
Du côté de de MatéVi
- Mise à jour base de données : effeuillage
- Respecter les zones non traitées au voisinage des points d’eau
- Polyvalence des machines à vendanger
- Les coûts d’utilisation des matériels viticoles
Voir : http://www.matevi-france.com/
Du côté de Web-agri.fr
> Produire du lait en été - Aider les vaches à supporter la
chaleur
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=41112
(Réservé abonnés PRO)
> Esb en France - Le rôle des contaminations croisées entre aliments
mis en évidence
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=40919
> Races laitières - Les fichiers complets des index français 2007/2008
à télécharger
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=
40548 (Réservé abonnés PRO)
> Alimentation/nutrition/santé - Le sevrage des porcelets est une
phase critique
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=40945
> Enrubannage - Mc Hale lance la presse enrubanneuse Fusion
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=41428
> Aliments pour chevaux - Très forte hausse des prix des matières
premières
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=41116
Du côté de Viti-net.fr
> Transmettre ou investir - Avoir recours à des investisseurs
pour faciliter la sauvegarde du patrimoine viticole
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40621
> Emballage Tetra Prisma® - Pour s'adapter aux nouvelles contraintes:
marché et environnement ?
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40916
Du côté de "Plantouz"
La botanique et la protection des cultures (malherbologie...)
occupent tous mes temps libres ou presque. Mes programmes sont orientés
vers la morphologie végétale formelle, la biologie des mauvaises herbes,
la reconnaissance de la flore armoricaine.
1. Liste chronologique de mes publications
2. Distinguer vrais et faux chercheurs
3. Botanique
4. Malherbologie
5. Protection des cultures en général
6. Plantes prairiales cultivées ou non
7. Problèmes agricoles
Voir : http://dc.plantouz.chez-alice.fr/
Contact : Daniel CHICOUENE
Mél chicouene.daniel(a)libertysurf.fr
Phot@thèque
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de démonstration !
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Avec
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d'entreprise au sein de votre site Intranet et vous mettrez
à disposition les photos les plus significatives sur
votre site Internet.
Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr
|
Du côté de Terre-net.fr cultures
> Dossier spécial - Stratégies de commercialisation
Voir :
http://www.terre-net.fr/dossier_special/
strategies-commercialisation2/default.asp?idDoss=67
Du côté de la gazette de La Moinerie
Quelques images du festival des Terres Neuva.
http://www.lamoinerie.com/index.php?rep=le_kiosque/visu_diaporama.php?
id_diapo=5&titre_diapo=Festival
Du côté de Pleinchamp.com : Du nouveau pour les agriculteurs des
départements des Côtes d’Armor, du Finistère et d’Ille-et-Vilaine
Les Caisses régionales de Crédit agricole de chacun des trois
départements ont regroupé les accès à leurs services Internet en un
bouquet complet ouvert sur les sites "agranet.fr"
ou "pleinchamp.com".
Ainsi les éleveurs des Côtes d’Armor, du Finistère et d’Ille-et-Vilaine,
sous condition d’abonnements, peuvent aller indifféremment sur l’un
ou l’autre site.
Ils y trouveront, regroupés, les accès :
- aux services Agranet, services dédiés aux éleveurs bretons,
- aux Services Experts de Pleinchamp (météo locale à 10 jours et tendances
à 28 jours ; cours et expertises sur les marchés des porcs, de l’élevage,
des grandes cultures),
- aux services bancaires pour les comptes ouverts au Crédit agricole.
agranet.fr ou pleinchamp.com : deux voies pour atteindre,
d’un clic, des services utiles au quotidien.
Contact : Régis LEBOITE
Mél :regis.leboite(a)pleinchamp.com
Les
stages Statistiques
d'ACTA Informatique et
de l'Institut de l'Elevage
|
-
Initiation au logiciel statistique SAS - 3 jours - du 10 au
12 octobre
- SAS avancé - 3 jours - du 12 au 14 novembre
- Le langage Macro de SAS - 2 jours
- L'analyse de dispositifs expérimentaux avec SAS -
3 jours - du 6 au 8 juin
- Analyse statistique avec SAS Enterprise Guide - 1 jour -
25 octobre
- L'analyse des données avec SAS - 3 jours - du 5 au
7 décembre
- Traitement statistique des modèles mixtes avec SAS
- 2,5 jours
- Traitement statistique des données qualitatives avec
SAS - 2,5 jours
Contact : Thierry Brun
Mél : brun(a)acta-informatique.fr
|
Du côté de l'Office de l'Elevage (5 Go d'informations gratuites
au service des filières élevage, viande et lait)
> Numéro 78 de la lettre d'information de l'Office de l'élevage.
// 27.07.2007 //
Voir : http://www.office-elevage.fr/actu/actu-oe-78.htm
> Appel d'offre : "Accord-cadre de services informatiques
relatifs à la sécurité des systèmes d'informations de l'Office de
l'Élevage N° 2007/S 142-176552 du 26 juillet 20073
Voir : http://www.office-elevage.fr/appel-offre/dossier-18-07-07/accord-cadre.htm
> Organigramme : Mise à jour de l'organigramme de l'Office avec
les nouveaux N° de Téléphone
Voir : http://www.office-elevage.fr/organigramme/organigramme.htm
> Commerce extérieur : Note aux opérateurs N° 23. du 19/07/2007
: PAB avec ou sans restitutions (remplace la note n° 19 de 2005)
Voir : http://www.office-elevage.fr/notes/n2007/n2007.htm
> Infos UE :
- Compte rendu des Comités de gestion "viandes porcines",
"viande de volaille" et "viande bovine" du 17
juillet 2007 et "produits laitiers " du 26 juillet.
- Mise à jour du tableau des restitutions
Voir : http://www.office-elevage.fr/restitutions/info_cee/infos_cee.htm
> Salons : Mise à jour de la page d'information
Voir : http://www.office-elevage.fr/salons/salondate.htm
> Aides Nationales : Les collectivités territoriales peuvent mettre
en place des programmes d'aide à l'assistance technique
Voir : http://www.office-elevage.fr/aides-nat/aides-nat.htm
> Consommation : Bilan sur la consommation des viandes par les
ménages en 2006
Voir : http://www.office-elevage.fr/consommation/consommation.htm
> Cotations (viandes et lait), prix à la production et note de
conjoncture hebdomadaire qui est publiée chaque vendredi soir ou le
lundi matin suivant la disponibilité de l'information :
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm
Voir : http://www.office-elevage.fr/prixprod/courbes.PDF
Voir : http://www.office-elevage.fr/prixprod/prixprod2.htm
> Produits Laitiers
* "Statistiques Stockage Privé"
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-mens/stockage.htm
* Informations/Marchés & Filières/Statistiques : Mise à jour des
cahiers statistiques Dénaturation, stocks privés France, abattages,
cours France
Voir : http://www.office-elevage.fr/statistiques/statistique1.htm
* Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises"
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-mens/statistique2.htm
* Produits éligibles : Mise à jour de la liste.
Voir : http://www.office-elevage.fr/prg-sociaux/prg-sociaux.htm
Protéger
vos réseaux avec des firewall WatchGuard
|
Nouvelles
possibilités du firewall Watchguard (version Pro) :
- Gérer des lignes de différents FAI par exemple
pour un secours de façon à ce que le serveur de
messagerie reste connecté.
- Répartir la charge entre vos lignes.
- Mettre en oeuvre des stratégies différenciées
en fonction de créneaux horaires, avec application de
règles différentes selon les heures.
- Proxy évolué avec filtrage http, P2P, messagerie
instantanée.
- Proxy DNS permettant d'interdire de résoudre un nom.
- Web Blocker permettant le blocage d'URL sur des catégories
de sites.
- Antivirus et antispyware en option, avec filtrage de contenu
des mails, ".exe" compris.
ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional
Partner
Contact : Jean-Paul Archier
- CCNP (Cisco Certified Network Professional)
- WSCP (Watchguard Security Certified Professional)
Mél : Jean-Paul.Archier(a)acta-informatique.fr
|
Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne
- Fièvre catarrhale : mesures applicables a partir du 26 juillet
2007
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/ctehm/p1087001.htm#%juillet2007
- Économie agricole : les marchés agricoles et l’inflation
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/ctehm/p1127001.htm
> Vous pouvez retrouver les mises en ligne sur sous forme d'un
blog. N'hésitez pas à l'utiliser le cas échéant pour faire part de
vos remarques ou de vos interrogations.
Voir : http://cda52.nuxit.net/blog/blog_quoideneuf/
Du côté du CETIOM
> Espace régional, régions Est :
- Point colza - Déception concernant les rendements
- Point tournesol - Bonne fécondation à la fin de la floraison
Voir : http://www.cetiom.fr/index.php?id=1970
> Espace régional, régions Ouest :
- Point Colza
- Des niveaux moyens de rendements
- Conseil colza - Attention à la structure du sol
- Point Tournesol
- Un potentiel qui semble bon
Voir : http://www.cetiom.fr/index.php?id=1971
> Espace régional, régions Sud :
- Point tournesol - floraison étalée selon les dates de semis.
- Point soja - la floraison se poursuit
Voir : http://www.cetiom.fr/index.php?id=1972
Chinese proverbs
Man who run in front of car get tired.
Contact : Israel KITRON
E-mail: kitron1(a)terra.com.br
Stages
Linux 2007
|
-
Linux Utilisation
- Linux Administration |
Apple réalise une marge de plus de 55% sur l'iPhone
L'iPhone, qui se vend 599$ en version 8 Go, coûte à (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-apple-realise-une-marge-de-plus-de-55-sur-l-iphone-23352.html
L'iPhone prêt à bousculer les systèmes d'information
Rarement la genèse d'un téléphone mobile aura autant fait parler
d'elle. Depuis les premières annonces en janvier dernier, et jusqu'à
sa mise en vente le 29 juin aux Etats-Unis, l'iPhone aura suscité
un buzz rarement atteint par une industrie pourtant prompte à s'enflammer.
Il faut dire que le succès de l'iPod permet à Apple d'afficher des
ambitions gargantuesques : 10 millions de terminaux vendus en 2008.
La firme à la pomme compte en effet à la fois sur l'engouement pour
les smartphones (Berg Insight prévoit une croissance annuelle moyenne
de ce marché supérieure à 25%) et sur l'addiction de ses utilisateurs
à l'iPod et à son service iTunes. Les professionnels sont donc visés
au même titre que le grand public, au grand dam des services informatiques.
Plus qu'un téléphone, plus qu'un lecteur MP3, découvrez dans notre
dossier pourquoi les professionnels de l'informatique doivent anticiper
l'arrivée en Europe de l'iPhone.
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/dossiers/lire-l-iphone-pret-a-bousculer-les-systemes-d-information-41.html
Les parents jugent sévèrement les services de contrôle parental
Trop restrictifs pour certains, inefficaces pour d'autres, les logiciels
de contrôle parental n'ont pas la côte auprès des parents, selon une
étude du Collectif interassociatif enfance et média.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/telecoms-fai/actualite/0707/070707-parents-jugent-severement-logiciels-controle-parental.shtml
"Le m-commerce reste concentré sur les biens digitaux"
Le paiement par carte bancaire sur mobile représente moins de 1 %
des transactions. Un phénomène structurel et fonctionnel, analyse
le directeur marketing de l'éditeur de solutions mobiles Netsize
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/mobile/interview/070704-renaud-menerat-netsize.shtml
Les centres de services partagés génèrent des économies, confirme
Deloitte
Le cabinet Deloitte Conseil vient de publier les résultats de
sa quatrième étude internationale (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-centres-de-services-partages-generent-des-economies-confirme-deloitte-23335.html
MétéoPro
sous Windows...
|
...l'agrométéorologie
enfin opérationnelle
Contact : Luc Fricot
mailto:fricot(a)acta-informatique.fr
|
Comparateurs : avec qui ont signé les marchands
Souvent décriés, les comparateurs de prix sont néanmoins incontournables.
Qui est présent chez qui ? Qui est le leader ? Le point avec les principaux
marchands.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/dossier/070628-comparateurs-prix-et-marchands/index.shtml
Free ouvre une chaîne de TV pour ses abonnés
Cela faisait longtemps que les abonnés de Free attendaient une évolution
des services du FAI (...)
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/actualites/lire-free-ouvre-une-chaine-de-tv-pour-ses-abonnes-2397.html
VOD, décryptage d'un phénomène en pleine croissance
Accéder aux images que l'on souhaite, où on le souhaite et quand on
le souhaite. C'est la définition basique du terme très à la mode de
vidéo à la demande, ou VOD (Video on demand). Une généralité qui (...)
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/dossiers/lire-vod-decryptage-d-un-phenomene-en-pleine-croissance-85.html
L'Atelier : Les GPS autonomes menacés par les systèmes de navigation
pour mobiles
Les systèmes de navigation autonomes seront-ils bientôt concurrencés
par des systèmes de navigation pour mobile (sur abonnement) ?
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/dossiers/lire-l-iphone-pret-a-bousculer-les-systemes-d-information-41.html
Virus : le bilan des menaces du mois de juin
Chaque mois, le JDN Solutions publie le classement des virus les plus
actifs. En juin, virus de réseau, faille iFrame et ingénierie sociale
sont au rendez-vous.
Voir : http://www.journaldunet.com/solutions/securite/enquete/07/0709-virus/1.shtml
Vent de révolte contre la Software Assurance de Microsoft
Lancée en 2001, la Software Assurance, qui repose sur un principe
proche de l'abonnement, a (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-vent-de-revolte-contre-la-software-assurance-de-microsoft-23401.html
Intel met un pied dans VMWare
Après avoir misé sur SWSoft en 2005 et Virtual Iron, Intel Capital
investit aujourd'hui dans leur rivale (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-intel-met-un-pied-dans-vmware-23400.html
"Avec le Wimax, les MVNO pourront fournir des services de
données"
Le PDG d'Altitude Telecom affirme que le Wimax décollera en 2010 en
offrant aux FAI et MVNO la possibilité de proposer de nouveaux services.
Il prédit que la technologie amènera plus de concurrence dans le mobile.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/telecoms-fai/actualite/0707/070712-jean-paul-riviere-wimax-altitude-telecom.shtml
VOD, décryptage d'un phénomène en pleine croissance
Accéder aux images que l'on souhaite, où on le souhaite et quand on
le souhaite. C'est la définition basique du terme très à la mode de
vidéo à la demande, ou VOD (Video on demand). Une généralité qui (...)
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/dossiers/lire-vod-decryptage-d-un-phenomene-en-pleine-croissance-85.html
L'accès aux contenus adultes du service TV perso de Free inquiète
le CSA
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/actualites/lire-l-acces-aux-contenus-adultes-du-service-tv-perso-de-free-inquiete-le-csa-2431.html
Chinese proverbs
Man with hand in pocket feel cocky all day.
Contact : Israel KITRON
E-mail: kitron1(a)terra.com.br
A 20 milliards de $ de chiffre d'affaires, le bio n'est plus tout
a fait artisanal aux US
Who Owns Your Favorite Organic Brands? As the $20 billion organic
marketplace continues to expand, major corporations continue to take
over many of the most familiar organic brands. Dr. Phil Howard, an
Assistant Professor at Michigan State, has provided a new update on
his popular chart "Who Owns Organic." Are you supporting
corporations like Kraft, M&M, or Pepsi with what you thought was
a purchase of your old familiar brand?
> View this chart to see acquisitions of the top selling organic
brands
See: http://www.organicconsumers.org/organic/OrganicTop25Jul07.pdf
>View this chart to see the top selling INDEPENDENT organic brands
See: http://www.organicconsumers.org/organic/OrganicIndJul07.pdf
Contact : JP VIGNAL
Mél : jaypeevee(a)aol.com
Adoption of Genetically Engineered Crops in the U.S
See: http://www.ers.usda.gov/Data/biotechcrops/
Une pomme de terre OGM divise les ministres de l'Agriculture des
27
Les ministres de l'Agriculture des 27 n'ayant pu se mettre d'accord
sur l'autorisation de mise en culture d'une pomme de terre OGM, ce
sera donc à la Commission, connue pour ses décisions plutôt favorables
aux OGM, de trancher.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/ogm_pomme_de_terre_commission_conseil_basf_3106.php4
Les orangs-outans victimes de la déforestation en Asie du Sud-Est
Alors que les forêts tropicales de l'Asie du Sud-est, dernier
refuge des orangs-outans, disparaissent massivement, les Amis de la
Terre lancent une campagne de sensibilisation afin d'alerter sur l'urgence
de la situation en Indonésie.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/orangs_outans_victimes_deforestation_asie_sud_est
_campagne_amis_de_la_terre_3065.php4
ZETAFAX
V9
|
Le
meilleur moyen de faxer...
Contact : Sylvie Masselin-Silvin
Mél : masselin(a)acta-informatique.fr |
How to preach a bear?
A Priest, a Pentecostal Preacher and a Rabbi all served as chaplains
to the students of a Michigan University. They would get together
two or three times a week for coffee and to talk shop. One day, someone
made the comment that preaching to people isn't really all that hard.
A real challenge would be to preach to a bear.
One thing led to another and they decided to do an experiment. They
would all go out into the woods, find a bear, preach to it, and attempt
to convert it.
Seven days later, they're all together to discuss their experience.
Father Flannery, who has his arm in a sling, is on crutches, and has
various bandages on his body and limbs, goes first. "Well,"
he says, "I went into the woods to find me a bear. And when I
found him, I began to read to him from the Catechism. Well, that bear
wanted nothing to do with me and began to slap me around. So I quickly
grabbed my holy water, sprinkled him and, Holy Mary Mother of God,
he became as gentle a lamb. The bishop is coming out next week to
give him first communion and confirmation."
Reverend Billy Bob spoke next. He was in a wheelchair, with an arm
and both legs in casts, and an IV drip. In his best fire and brimstone
oratory, he claimed, "WELL brothers, you KNOW that we don't sprinkle
! I went out and I FOUND me a bear. And then I began to read to my
bear from God's HOLY WORD ! But, that bear wanted nothing to do with
me. So, I took HOLD of him and we began to wrestle. We wrestled down
one hill, UP another and DOWN another until we came to a creek. So,
I quickly DUNKED him and BAPTISED his hairy soul. And just like you
said, he became as gentle as a lamb. We spent the rest of the day
praising Jesus."
The Priest and the Reverend both looked down at the Rabbi, who was
lying in a hospital bed. He was in a body cast and traction with IV's
and monitors running in and out of him. He was in real bad shape.
The Rabbi looks up and says, "Looking back on it, circumcision
may not have been the best way to start."
Contact : Bernard AUXENFANS
Mél : bauxenfans(a)krsearch.net
Développer
et maintenir
votre site Internet
|
- Développement d'un site Internet
avec FrontPage - 3 jours - du 26 au 28 septembre
- DreamWeaver MX - 3 jours - du 19 au 21 septembre
- Linux Utilisation - 2 jours
- Linux Administration - 2 jours - du 25 au 26 juin
- Dynamiser son site Internet avec JavaScript et VBScript -
2 jours - à la demande
- Utilisation de Web@thèque - 1 jour à la demande
- Utilisation de Phot@thèque - 1 jour à la demande
Contact : Véronique Bois
Mél : bois(a)acta-informatique.fr
|
Déclaration C.N.I.L. numéro 667690
Vous êtes plus de 24 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique
agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage
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