AFIA
ACTA Informatique
Du côté du web et de l'informatique agricole 31 - 2007 (10 ème année)
Paris, 2 août 2007
 


Si l'affichage de cette gazette laisse à désirer,
voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6864


Pensée du jour
(…) C'est que, voyez-vous, en plus d'une analyse des formes de l'oppression et de sa capacité à se remodeler, la révolution implique la nécessité d'une perspective et le clair énoncé des moyens de lui donner corps. Maudire le marché, la marchandisation, voire le spectacle, n'est que trop souvent une démarche contemplative. Elle n'est porteuse d'aucune dialectique et tourne, tôt ou tard, à l'inertie, au repli sur soi et, plus grave, au reniement. Le même reproche, mais sur un mode mineur, pourrait du reste s'adresser aux Toni Negri, Michaël Hardt, Peter Sloterdijk et autres Slavoj Zizek. Leur description de l'empire, pour affinée qu'elle soit, ne se double pas d'une stratégie. A force de redessiner la carte, ils ont oublié le territoire...
Bref, la révolution a du plomb dans l'aile, du moins dans la partie visible des opposants au monde tel qu'il est (…) Partout dans ce pays, et sur tous les continents, les exclus confinés dans les périphéries s'inventent, en détournant les nouvelles technologies de leur finalité aliénante, un espace artistique, et partant politique, où s'esquisse déjà leur futur. Ce refus du souterrain, du marginal, sera toujours la grande faiblesse des pouvoirs - Gérard GUÉGAN – Le Monde – juin 2007


Autre pensée du jour sur le revenu agricole
Tout compte fait, Daniel dégage un revenu net de près de 1200 euros par mois avec lequel il assure le quotidien, et rembourse les emprunts de sa maison - Mon métier d'agriculteur, Daniel Peyrube, 34 ans, exploitant agricole dans les Landes à Castaignos, dans "Le Monde 2" du 7 juillet 2007


Thought of the day
Do not commit the error, common among the young, of assuming that if you cannot save the whole of mankind, you have failed - Jan de Hartog, playwright and novelist (1914-2002)


49ème Colloque AgriMMédia

18 septembre 2007
de 14 h à 18 h

Paris - MNE


 

Appel à témoignages !


1 ère partie - table ronde sur les relations avec les fournisseurs d'accès Internet (et accessoirement téléphonie IP ou mobile) : quels retours d'expériences de la rédaction des cahiers des charges aux négociations finales ? (1h30)

2 ème partie - les logiciels libres et Open Source : quels retours d'expériences du choix des solutions à leurs mises en service ? (2h30)


Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-nformatique.fr

La lecture de votre gazette est toujours instructive et distrayante, les deux n’étant pas incompatibles
Contact : Laurence JULIEN
Mél : lguilbert.julien(a)wanadoo.fr


Yaplusdegazette
Cela fait plusieurs années que je reçois votre gazette et depuis quelques semaines yaplusdegazette malheureusement, pourriez-vous me remettre dans les destinataires de cette yaencorelagazette!!!
Contact : Patricia VITEAUX-FICARA
Mél : patricia.viteaux(a)wanadoo.fr


Acta
Depuis quelques temps je ne reçois plus Acta, que se passe-t-il ?
Contact : Patrick BOUZIN
Mél : pbouzin(a)wanadoo.fr

Les 8émes rencontres de
la fertilisation raisonnée et de l'analyse de terre auront lieu à Blois,
les 20 et 21 novembre 2007.

Le programme et le bulletin d'inscription sont
téléchargeables sur le site: www.comifer.asso.fr,
rubrique actualités"


Je vous remercie pour la régularité de ces messages
Contact : Dr Jiwoua NGOUNOU C N - Enseignante Université - CAMEROUN
Mél : ngounounicole(a)yahoo.fr


A bord d'un 747 (Suite à la gazette du 26 juin)
L'auteur de l'histoire n'a pas du fréquenter beaucoup les milieux aéronautiques. Dans un looping, la facteur de charge n'est jamais négatif. S'il est parfaitement réussi, les passagers subiront au contraire une accélération de la pesanteur au début et en fin de boucle sans se rendre compte d'ailleurs qu'ils font un looping s'ils n'ont pas de repère visuel. Cette histoire est vraiment sens dessus-dessous.
Contact : Christian LERAY
Mél : christian.leray(a)tarn-et-garonne.chambagri.fr


Non aux biocarburants (Suite à la citation du président du Brésil dans la gazette du 26 juin)
Les biocarburants sont la plus grande bêtise de nos gouvernants. Au Brésil on coupe l'Amazone pour planter la canne à sucre. Le produit est polluant, encrasse les moteurs, pue le caramel. L'avenir est à l'hydrogène quand on en aura maîtrisé la production. Tout le reste est fumisterie.
Contact : Pierre JOLIVET
Mél : timarcha(a)club-internet.fr


Un article clair, simple et précis sur les OGM
Vous le trouverez dans la revue "info agricole" N° 103 de mai 2007 éditée par la Fédération des Centres de Gestion Agricoles Agréés... "OGM pour y voir un peu plus clair" 102 millions d'ha cultives dans le monde en 2006....Intéressant.
Contact : Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr

Web@thèque et RSS

Création automatique d'un fil RSS avec We@thèque, outil de gestion de sites Internet et Intranet
Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr


Franska n'est pas un nounours à mettre dans son lit (Suite – 1 à la gazette du 26 juillet)
Étant cultivateur dans les Landes, je ne suis pas directement concerné par les ours ou les loups. À leur propos, je n'ai pas de réaction épidermique, mais je suis plus que sceptique quant à la nécessité de leur réintroduction au nom de la biodiversité ou de leur présence historique. Je ne suis pas certain que le coût pour la collectivité et pour les éleveurs (prévention et réparation des dégâts) soit justifié.
Je subis sur mes cultures et sur mes arbrisseaux des dégâts de chevreuils et de sangliers. Leur prolifération est en partie due à des interventions humaines, mais il serait illusoire de se mettre en colère en espérant les voir disparaître. Par contre nous exigeons et obtenons (plus ou moins selon les communes) que les chasseurs se mobilisent pour réguler le nombre de ces animaux nuisibles aux cultures, comme dans le cas des nuisibles aux élevages, tels les renards, blaireaux, etc. Je vous assure que dans nos campagnes les dégâts des sangliers et chevreuils font l'objet de nombreuses discussions, contre-verses et négociations. En vertu de la loi Verdeille, me semble t'il, les ACCA, en échange du droit de chasse sur les propriétés privées, ont l'obligation d'assurer la régulation des nuisibles et d'indemniser leurs dégâts. Les ACCA étant gérées par leurs membres cotisants, elles sont plus directement responsables que l'Etat qui décrète idéologiquement, et paye avec l'argent des contribuables taillables à merci!
Voilà pourquoi, s'il y a des colères ponctuelles d'agriculteurs dans le cas d'ACCA irresponsables, il n'y a pas de grande colère médiatique comme contre les ours et les loups !
Contact : François BRETHES
Mél : francois40320(a)yahoo.fr


Franska n'est pas un nounours à mettre dans son lit (Suite – 2 à la gazette du 26 juillet)
Il est possible de ne pas comprendre le point de vue des éleveurs des Hautes-Pyrénées ou des Alpes Maritimes concernant les attaques d'ours ou de loups. Je pense qu'il faut présenter la situation de mes collègues éleveurs pour comprendre leur colère ou leur désespoir.

1- Un éleveur de mouton ou de bovin travaille avec des êtres vivants. Nous n'avons pas eu besoin d'attendre l'Europe et le soit "disant bien être animal" pour savoir cela. Lorsqu'on travaille avec des moutons ou des vaches en plein air, on peut admettre de perdre des animaux à cause de la foudre, une mise bas qui se passe, un agneau ou un veau écrasé par sa mère ou un autre animal et d'autre choses qui hélas font partie de notre métier : nous donnons la vie, nous savons vivre avec la mort. Si c'est un renard qui est venu prendre 1 ou 2 agneaux, nous savons que nous pourrons leur mettre la pression à l'ouverture de la chasse ou faire venir les déterreurs en mai pour réduire la population. Lorsque nous vendons des laitons, des broutards, des bêtes de réformes pour l'abattoir, c'est aussi la vie, les bêtes ont fait leur temps et il faut bien en faire quelque chose une fois que la vieillesse arrive. Mais nous ne sommes pas des bourreaux, je suis quasiment certain que chaque éleveur a dans une écurie, uns stabulation ou dans un pré une vieille bête qu'il ne peut se résigner à vendre aux marchand de bestiaux ("celle là, elle est pas toute jeune mais c'est la première que j'ai eu, elle mourra à la ferme").

2- La situation des éleveurs espagnols, italiens, slovènes et bien d'autres est différente. Leurs pratiques pastorales sont différentes des nôtres. Il y a 50, 100 ou 200 ans, les éleveurs français vivaient avec le loup ou l'ours mais en contrepartie, ils avaient le droit, qui figurent toujours dans le Code Rural d'aujourd'hui et qui m'interroge sur son application car il n'a toujours pas été abrogé, de défendre leurs bêtes et troupeaux contre les bêtes fauves dont faisaient partie les loups et ours. C'est d'ailleurs sur les plaintes des paysans qui n'avaient pas toujours les moyens d'organiser efficacement cette régulation qu'a été créée la fonction de Lieutenant de louveterie, qui perdure aujourd'hui mais uniquement pour la chasse. On comprend aisément que par des politiques décousues et incohérentes, en voulant systématiquement supprimer la pratique de la chasse, qui si elle est peut être moins pratiquées par les agriculteurs, se déroule encore exclusivement sur des territoires exploitées par les agriculteurs et sylviculteurs. Aujourd'hui, la chasse est rattachée au "sacro-saint" ministère de l'écologie alors que nous dépendons du ministère de l'agriculture. Je me pose d'un strict point de vue juridique, quelle serait la valeur d'une condamnation d'un agriculteur abattant un loup ou un ours en train d'attaquer ses bêtes (je ne pousse pas au crime, car je ne parle pas d'un traquenard tendu pour attirer une telle bête dans le seul but de la tuer).

3- Pour des néophytes, j'entends par là tous ceux qui n'élèvent pas des animaux et capables de pratiquer une euthanasie sur une bête accidentée ou trop malade (j'ai a ce sujet un différent avec la DSV de mon département qui considère que je ne suis pas compétent pour le faire), il y a en France je ne sais combien de dizaine de millions d'animaux de tous ordres (l'émission 30 millions d'amis en dénombres 30, 40 ou 50, je ne sais plus exactement, et pour les animaux de ferme et autres, je n'ai pas à l'heure où j'écris ces lignes le temps de chercher les statistiques exactes du ministère), et pour faire le parallèle qui va suivre, je vais prendre la même proportion que celle qu'a subi un éleveur de mouton de la région Pyrénées en perdant 150 moutons sur une troupe de 450 brebis soit 1/3, je grossis volontiers le trait pour faire comprendre la douleur et le désespoir de cet éleveur, que je soutiens de tout cœur, et des autres victimes.
4- Pour finir, je viens d'entendre à l'instant au journal télévisé, un intervenant avançant que l'ours ne représente que 1% des dégâts commis sur les troupeaux. Je pense qu'il s'agit d'une position toute partisane car depuis la disparition du loup et de l'ours de nos montagnes mais aussi de nos campagnes, les éleveurs avaient appris à découvrir que certains dégâts mis sur le compte du loup à l'époque n'étaient que le fait de chiens errants, étant précisés qu'on ne parle pas de chiens "sauvages" mais de chiens que leurs propriétaires laissent en toute inconscience ou mauvaise foi divaguer en dehors de leur propriété sans s'occuper des dégâts qu'ils peuvent occasionner sur le gibier, les troupeaux mais aussi hélas parfois sur les humains qui les croisent, souvent des enfants et des personnes âgées.
Pour finir, et afin que vous ne croyez pas que je me sois laisser errer à l'aventure... Aussi, on va reprendre un parallèle à notre éleveur de mouton de tout à l'heure mais en transposant le problème à "monsieur tout le monde" ou à "la ménagère de moins de 40 ans" qui possède 4 animaux domestiques à la maison : un chien, un chat, un hamster et un canari. Vous pouvez changer les animaux mais je vous rappelle que si vous en prenez moins de 4, il n'est pas possible de diviser donc on se retrouvera avec un animal blessé, estropié ou qui mourra au bout d'un certain temps des suites de sa maladie ou de dépression (choc post-traumatique). Imaginons, donc, un animal qui naturellement va progressivement coloniser la Ville de Paris (je l'ai pris au hasard, parce qu'il y a 10 000 000 d'habitants et que ça fait un compte rond, que c'est une vrai jungle urbaine et parfois un no mans-land comme en moyenne montagne). Donc, de jour en jour, de braves citoyens vont aller voir leur vétérinaire ou prévenir la police, parce que leur chien, leur chat, leur canari, ou tous les chiens de la rue ont disparus. On a bien retrouvé quelques plumes, un bout de collier mais on ne sait pas. Puis pendant un certain temps pas grand chose. Puis cela recommence ailleurs cette fois ce sont les chats qui disparaissent les une après les autres : 150 dans le quartier et surtout les 15 beaux persans de la vieille dame du 21 qui les couvaient comme la prunelle de ses yeux, la pauvre est catastrophée. Le commissariat est débordé mais ne peut rien faire, les policiers ne savent pas ce qui a pu arriver. Les gens s'inquiètent, enferment les matous mais ce n'est facile, il fait chaud en juillet alors il faut bien aérer la nuit.
La semaine suivante, c'est quasiment tous les animaux de gente ailée qui ont disparu ou au l'on a retrouvé morts, éventrés ou étouffé au fond des nids ou des cages, dans les volières, dans les cages, et même quelques chiens aussi que l'on ne retrouve pas. Enfin, si par hasard, les policiers ont été prévenus par les ouvriers d'un chantier qu'en cassant une vieille maison, ils avaient retrouvés des bouts d'ossements éclatés, des colliers et des plaques d'identité, des plumes, des crottes contenant des becs et des griffes non digérés et un tas à l'aspect innommable mais à l'odeur insoutenable que l'on ne peut pas approcher à cause des nuées de mouches et d'asticots.
J'arrête là mon film, c'est vrai que l'on peut avoir du mal à comprendre les éleveurs des Pyrénées, des Alpes, du Jura et d'ailleurs, car on ne sait pas encore où cela va s'arrêter (une génisse a été égorgée en dehors des zones habituelles du loup mais les traces ne peuvent pas correspondre à celle d'un chien), mais dans notre bonne vieille France, on sait que Paris n'est pas la Province, où qu'il y a plus qu'un fossé entre les gens des villes et ceux de la campagne. Si le loup (revenu naturellement parce qu'on l'a laissé revenir), l'ours (présent en si petit nombre qu'on n'a rien trouvé de mieux que d'en rapporter pour le tourisme, le lynx (on n'en parle pas en ce moment mais il fait toujours des dégâts celui là mais je suis sûr que le Conseil Régional doit mieux indemniser pour enterrer l'affaire) ne s'attaquait pas à des animaux sauvages ou à des animaux de ferme comme le mouton et les vaches mais à des animaux plus familiers comme le chienchien de la maison, le bon gros matou, et l'animalerie qui va à la suite, vous pouvez être certain que les pouvoirs publics tergiverseraient beaucoup moins.
Si encore vous avez du mal à me croire, je ne peux que vous conseiller d'aller dans la salle d'attente d'un cabinet vétérinaire et d'attendre qu'un client ou une famille (ce qui est plus rare lors des basses besognes) sortent de la salle du véto, regardez leur tête : la tristesse, les larmes ou la colère contenue mais compréhensibles car leur animal devait être en fin de vie. Prenez ensuite 150 de ces mêmes propriétaires, et au non de l'écologie, de l'équilibre des espèces, du bien de la majorité sur la minorité, euthanasiez leurs animaux, vous verrez alors qu'ils sont eux aussi en colère. Et j'ai été généreux, j'ai bien dit "euthanasiez" mais les 150 brebis de notre berger n'ont pas été "euthanasiées" mais ont été mangées vivantes, se sont précipitées vivantes du haut d'une falaise et malgré des fractures, elles ont mis plusieurs heures (pour ne pas dire plus d'une journée) pour mourir. Dans ce cas, que fait-on du bien être des bêtes tuées au regard de leurs tueurs (ours, loup, lynx ou chien).
Ma réponse qui n'engage que moi (n'en déplaise à la DSV de l'Aube et à ces messieurs de la PAC et aux soit disant écologistes) : entre le bien-être de 150 de mes brebis et le bien-être d'un ours, d'un loup, d'un lynx ou d'un chien, et en vertu du droit de défendre ses animaux contre les bêtes fauves, je prends ma carabine et je tire sur le bête menaçant mes animaux (sachant que tirer sur ne veut pas dire tuer).
Contact : Damien DOREZ - Eleveur de moutons et de chevaux
Mél : damien.dorez(a)orange.fr

Traçabilité : Guide pratique pour l’agriculture et l’industrie alimentaire -
Coédition ACTA-ACTIA - 2ième édition, 2007

Aujourd’hui le consommateur achète non seulement un produit, mais aussi l’image du produit et la qualité de son système de production.
La traçabilité est un mot d'actualité associé à différents concepts : sécurité alimentaire, transparence de l'origine des produits, loyauté des transactions commerciales, qualité en général. Ces nouvelles exigences en matière de traçabilité sont peut-être perçues comme des contraintes, mais aujourd'hui plus personne ne peut les ignorer.
Cependant, la mise en place d'une traçabilité reste le plus souvent une démarche volontaire qui s'inscrit dans un souci de progrès et de qualité pour le consommateur. C'est donc à chacun des acteurs des filières agricoles et alimentaires, de définir le niveau et la précision de la traçabilité dont il a besoin pour assumer sa responsabilité.
Cette nouvelle édition a été entièrement réécrite pour tenir compte de l’évolution de la réglementation (responsabilité des opérateurs, hygiène des aliments…) applicable aux opérateurs des filières agricoles et alimentaires.
Cet ouvrage définit et éclaircit la notion de traçabilité, tant en amont qu’en aval, et aide ainsi les opérateurs de filières dans leur réflexion. Il ne prétend pas donner des solutions clés en main, mais s’attache à répondre à certaines questions que se posent ces opérateurs. Ainsi, ce guide, présente les points clés de la réglementation et les obligations liées à l’adhésion à différentes démarches volontaires.
Des moyens techniques et une méthodologie sont proposés pour donner aux professionnels des solutions pratiques. Plusieurs exemples d’entreprises ayant mis en place un système de traçabilité permettent d’illustrer concrètement cette démarche.

2ème édition, coédition ACTA-ACTIA 2007, 152 pages
ISBN ACTA 2- 85794-238-9
Réf B419 - 23 euros TTC + 6 euros de frais d’envoi pour 1 ex.

Pour commander ce document, s’adresser à : ACTA BP 90006, 59718 LILLE Cedex 9
Voir : http://www.acta.asso.fr


Si le nucléaire n'est pas la solution [au réchauffement climatique], il n'y a pas de solution sans nucléaire. Il faut donc mettre en oeuvre le programme de centrales de la troisième génération, tout en préparant la quatrième génération - Alain JUPPÉ (Gazette du 12 juillet)
Même si je suis personnellement d'accord avec cette citation, je trouve cette "Juppette" sans intérêt dans une liste consacrée à l'agriculture de demain. Et assez mal venue alors qu'un récent tremblement de terre au japon a failli détruire une centrale et a provoque une fuite d'eau radioactive, rappelant qu'il serait quand même urgent de chercher d'autres solutions. Pourquoi ne pas parler plutôt du potentiel de la biomasse et des biocarburants de deuxième et troisième génération, qui pourraient créer des emplois en zone rurale, revaloriser les jachères et les terres désertifiées (rappel : 30% des terres agricoles ont du être abandonnées au 20ème siècle a cause de l'érosion et de la désertification), et ce sans concurrencer la production alimentaire, contrairement aux biocarburants actuels ?
On dirait que le ton de la liste acta maintenant c'est "Guy Waksman contre les écolos". Ca n'a pas de sens. Il faut aujourd'hui réconcilier écologie et environnement, sauvegarde de la planète et croissance (c'est le thème du dernier livre de Claude Allègre, d'ailleurs). Et l'agriculture a un rôle capital à y jouer, bien plus que le nucléaire !
Et pour alimenter ta gazette en citations plus pertinentes que celle de notre ex-futur-ministre-du-développement-durable, en voici une très belle "La différence entre un jardin et un désert, ce n'est pas l'eau, c'est l'Homme". (Proverbe touareg).
Contact : Anne GOUYON
Mél : anne.gouyon(a)becitizen.com


Ma remarque notamment sur le proverbe touareg (GW) : Ce proverbe est extra mais il n'invite pas au débat contrairement à la citation de M. Juppé. Et puis je n'ai rien contre les écolos. Au contraire. Je pense qu'ils ont beaucoup apporté à nos sociétés. Ce serait gentil de ne pas surestimer cette modeste gazette. C'est seulement un lieu de débats à partir des techniques informatiques et Internet vues comme un des moyens d'aborder sinon résoudre (!) les problèmes posés à l'agriculture et au monde rural.
Cette remarque (comme toutes les autres) n'est là que pour susciter le débat… Je ne me prends vraiment pas pour un "faiseur d'opinion" !


Formation à
e-GroupWare
(logiciel libre)

Travail collaboratif avec e-GroupWare
eGroupWare 1.2 - Espace collaboratif de travail - 1 jour
16 novembre - à la demande

A lire si ce n'est pas déjà fait et surtout les réactions sur le forum...
Voir : http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/266083.FR.php
Voir : http://www.liberation.fr/php/pages/pageReactionsList.php?
rubId=728&docId=266083&s2=3&pp=economie_terre%3A%3AQ%3A%3AG%3A%3A
Le_c_page_fran_ais_rong__par_l

Contact : Christian PIEKACZ
Mél : christian.piekacz(a)fra.dupont.com


En complément au dialogue entre M Noisette et M Auxenfans (gazette du 26 juillet)
Savez vous quelle est la durée de vie d'une variété (blé, maïs, tournesol...) ?
10 ans pour une très grande variété, 3- 7 ans pour les variétés plus ordinaires. Toutes ces variétés n'ont cependant été autorisées à la vente (en France) que parce qu'elles avaient prouvé qu'elles étaient supérieures (rendement, résistance aux maladies, qualité de la récolte, amidon, huile...), à ce qui se cultivait au moment de leur inscription.
Cette information pour revenir sur le manque de diversité à un moment donné, mais la certitude que 10 ans plus tard, la diversité serait renouvelée. C'est le travail des sélectionneurs, répondre par de nouvelles variétés à de nouvelles contraintes agricoles (pression de maladies, précocité, rusticité, qualité de la récolte...)
Je vous concède des passages étroits génétiques imposés.
 Pour le colza que je connais bien, ce n'est pas encore le cytoplasme Ogura, les hybrides ne sont pas encore majoritaires, mais des variétés sans acide érucique (années 70) et sans glucosinolate (années 80), où à chaque fois, on a eu recours à un mutant identifié pour sa faible teneur et qui a servi de source pour toutes les variétés qui ont suivi. Sur d'autres espèces, la variabilité génétique est plus grande, par exemple sur le maïs, grâce aux hybrides. En effet, le meilleur hybride est obtenu à partir de lignées parentales les plus éloignées possibles et, depuis plus de 50 ans, les sélectionneurs maïs conservent des groupes génétiques bien distincts et recherchent des combinaisons originales pour faire leurs hybrides.

Une autre précision sur les banques de gènes. Les banques de gènes SONT des OGM, puisque l'on introduit des fragments d'ADN de plantes dans la bactérie Echerischia coli qui est capable de se multiplier avec le fragment d'ADN plante et donc de le conserver. (schéma un peu raccourci de la banque, il y a des étapes intermédiaires à cette construction).

Pour continuer sur ce sujet de la diversité, la diversité du matériel génétique revient au premier plan avec des études génomiques dites" d'association". Le but est de trouver l'allèle favorable à un caractère donné. Pour cela, il faut un très grand nombre de variétés, des essais au champ où on mesure tout ce qui intéresse l'étude et l'on associe ces résultats avec les séquences des gènes de toutes ces variétés. On en déduit la séquence favorable au caractère recherché.
On peut ensuite aller piocher cette séquence dans les lignées en cours de sélection, ou dans les lignées anciennes ou exotiques par des croisements classiques ou par l'introduction par transgénèse du gène favorable de la variété exotique pour ne pas introduire trop d'autres caractères exotiques non désirables (pourquoi pas ?)
Cette nouvelle méthodologie nécessite beaucoup de diversité génétique, beaucoup d'expérimentation au champ (c'est une partie très coûteuse de l'étude, et peut être le motif de refus des travaux cités par M Noisette), les capacités nouvelles de séquençage, et de très bonnes méthodes informatiques et statistiques.
Elle vise à comprendre et valoriser la diversité génétique en intégrant les allèles favorables comme cela a toujours été fait "de façon empirique" en sélection et amélioration des plantes.
Contact : Claire NICOLAS
Mél : claire.nicolas(a)biogemma.com


Je réponds simplement à la première intervention de M. Noisette (gazette du 26 juillet) que son argumentation est exacte mais incomplète…
- pour le tournesol, ce n'est pas parce qu'ils ont un gène en commun qu'il n'y a pas de de diversité : on arrive à avoir des précoces, tardifs, oléiques......
- 7 variétés c'est vrai couvrent 50 % de la SAU en France. Vrai mais très incomplet :
* il y a 20 ans, 4 variétés couvraient 50 % de la SAU blé, qui en plus était plus faible : la diversité cultivée s'est accrue dans l'espace et tant mieux ;
* les 7 variétés évoluent tous les ans, ce qui démontre aussi une augmentation de la biodiversité dans le temps : d'ailleurs les durées de présence des variétés dans le top 10 des cultivées en blé est de plus en plus faible.
- pour les Pays-Bas, permettez-moi de ne pas répondre à des exemples extérieurs, que l'on ne peut vérifier. Je signalerais simplement que la diversité agronomique des Pays-Bas (sols, climat) n'est certainement pas aussi large que celle de la France. Regardez simplement la diversité génétique dans les milieux naturels : elle est largement plus faible dans les régions nordiques (Sibérie, toundra...) qu'elle ne l'est dans les milieus tropicaux : qu'on le veuille ou non les systèmes cultivées suivent la même règle.
- le dernier exemple est encore, comme pour le premier, un exemple incomplet : ce n'est pas un gène ou une construction qui empêche la diversité génétique. Qu'une technique soit utilisée dans de nombreux germplasms cultivées préexistants, accroît au contraire la diversité puisque la diversité antérieure va utiliser cette construction en complément :
Si on résume votre phrase, cela voudrait dire que lorsque l'on introduit certains gènes intéressants d'espèces voisines du blé (par exemple) pour améliorer certaines résistances, certains caractères agronomiques, on diminue la diversité génétique : Non, on permet dans le blé la présence possible d'un gène (ensemble de gènes..) qui n'y était pas naturellement présent. Cela n'a aucune influence sur les populations, lignées de blé antérieures que l'on a intérêt à conserver pour y introduire le gène, ni sur les populations de la plante sauvage, dont on va souvent, encore mieux caractériser les populations.
 Je précise à ce sujet qu'il n'est possible de conserver la biodiversité que si elle est caractérisée et bien mieux en "collections" (privées ou publiques) qu'en milieu cultivé : un semis de 200 plantes différentes dans une même parcelle, va favoriser la dominance des gènes les mieux adaptées de ces variétés aux conditions pédoclimatiques locales, mais qu'on le veuille ou non les gènes mal adaptées vont disparaitre dans ce milieu : on aura dans ce cas, à terme, une réduction de la biodiversité génétique cultivée. C'est tout simplement les règles de la sélection naturelle qui s'appliquent.

Quant à l'adaptation des variétés aux milieux en évolution, totalement d'accord avec Noisette. C'est bien en utilisant le pool des variétés (ou collections) existantes que l'on permet la création de variétés plus récentes, mieux adaptées l'évolution des milieux cultivés. La seule petite différence entre nous, c'est que je pense que le temps c'est bien, mais c'est plus long qu'une sélection orientée par l'homme.

Ce refus de la science est paradoxal : si l'on attend le hasard pour résoudre nos problèmes de réchauffement climatique…

Moi c'est fait j'ai équipé ma maison de panneaux solaires dont la technologie a été repérée et utilisée par l'homme, mais cela ne m'a pas empêché, seulement cette année d'ailleurs, d'utiliser à 2 reprises un anti-mildiou systémique pour pouvoir récolter des pommes de terre en à peu près bonnes conditions...
Contact : Robert TESSIER
Mél : robert.tessier(a)club-internet.fr



Mettez vos visuels numériques

en synergie avec les autres paramètres
du document ou de la réunion

Stages et ateliers de base 2007-2008 du Maestro il Picselito
1. Conception et amélioration de diaporamas avec ou sans PowerPoint
2. Photo numérique
3. Photoshop
4. Document d'expertise
5. Nombreuses variantes " sur mesure "

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6699

Demandez le document technique avec les programmes par mail à
Claude Holl
Mél : holl(a)noos.fr


Le numérique pour le dire, le lire et l'écrire des prochaines décennies, 190ème Chronique Hebdo de Claude Holl

La Muse de l’expression scientifique et technique de l’honnête homme numérique se prénomme ADELINE.

ADELINE ?
Associer, Dire, Ecrire, Lire Images et mots Numériques Essentiels pour la communication scientifique et technique.

Penchons-nous aujourd’hui sur le "L" d’ADELINE, qui vaut pour Lire.

Il s’agit d’une Lecture au sens large, celle que pratique l’auditeur – spectateur – lecteur numérique sur, pour la vision : grand écran blanc (vidéoprojection), petit écran vif (ordi), pages papier, etc.

Mais les connaissances des chercheurs (d’une certaine sorte) progressent encore sur la lecture au sens strict et traditionnel, celle qui concerne simplement les seuls mots écrits.

Un article paru sur papier en mai 2006 et consultable aussi en PDF mérite de notre part une vive attention. Son titre est le suivant : "The Structures of Letters and Symbols throughout Human History Are Selected To Match Those Found in Objects in Natural Scenes". Ses auteurs : Mark A. Changizi, Qiong Zhang, Hao Ye, and Shinusuke Shimojo. Vol. 167, No.5 The American Naturalist. E117 à E139.

C’est Stanislas Dehaene qui a signalé cet article dans son cours 2007. L’occasion est bonne d’attirer aussi l’attention de nos chers lecteurs sur la parution imminente d’un livre de Stanislas Dehaene sur les mécanismes cérébraux de la lecture.

Et ADELINE dans tout ça ?

A quiconque me signalant par mail qu’il souhaite le document technique présentant l’offre "ADELINE" 2007-2008 et la méthode éponyme, je le lui envoie en PDF.

Contact : Claude HOLL
Mél : holl(a)noos.fr

Phot@thèque...

...avec les bêtises du web comme exemples;

Voir
Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr


Point de vue : Efforts de normalisation des données en agriculture un peu partout en Europe
Partout en Europe, différentes équipes travaillent sur les échanges d'informations entre acteurs des filières agricoles et agroalimentaires : Danemark, Allemagne, Pays-Bas, France, Italie, Royaume-Uni, chacun travaille de son côté. Il n'y a jamais eu moyen d'obtenir des experts de la Commission Européenne un budget pour un projet commun, pas plus qu'il n'y eu moyen de convaincre nos responsables nationaux en France, en Allemagne, etc. qu'un travail en commun au niveau européen est indispensable.
En France, le projet RESAGRI se place cependant dans une perspective internationale :
- participation à un groupe de travail de l'UN/CEFACT (ONU),
- travail sur la reconnaissance du message DAPLOS (traçabilité en productions végétales) comme standard international.
Par rapport aux autres projets en Allemagne, Royaume-Uni, Pays-Bas, etc. deux originalités de RESAGRI sont :
- l'étude quantitative des flux d'informations,
- l'étude de faisabilité du développement et de l'utilisation d'une plateforme d'échanges de messages standardisés.
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr


Le mari blagueur
Une jeune femme, cadre supérieur, est envoyée à Londres par sa société pour participer à un séminaire de formation de 2 semaines. Son mari la conduit à l'aéroport et lui souhaite un bon voyage.
L'épouse lui répond:
"Merci, chéri. Qu'est-ce que tu voudrais que je te ramène comme cadeau ?"
Le mari se met à rire et dit: "Ben, une petite anglaise ne serait pas pour me déplaire!!!"
La femme ne relève pas la plaisanterie et tend son billet à l'hôtesse.
Deux semaines plus tard, le mari vient chercher sa femme à Roissy et il lui demande:
"Alors chéri, comment s'est passé ton séjour ?"
"Très bien, merci."
Puis le mari en souriant demande:
"Et est-ce que tu as pensé à mon petit cadeau ?"
"Quel cadeau ?"
"Mais si, tu te souviens ? Avant que tu ne partes, je t'avais demandé de me ramener une petite anglaise ?!"
"Oh, ça ! Eh bien, j'ai fait ce que je pouvais, mais maintenant il faut attendre quelques mois pour savoir si ce sera une fille !!!"
Contact : Olivier CHAILLOT
Mél : olivier.chaillot(a)wanadoo.fr


Tout sur les firewall
Watchguard

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6544
Contact : Jean-Paul ARCHIER (Cisco Certified Network Professional) et WSCP (Watchguard Security Certified Professional)
ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional Partner
Mél : jpa(a)acta-informatique.fr

Offre de service : spécialiste du développement commercial agriculture environnement, avec une vision globale du business végétal
Contact : Claude FOULON
Mél : claude.foulon(a)wanadoo.fr


12ème conférence internationale de l’AITVM : prévenir les risques des maladies infectieuses animales
20 - 22 août 2007 – MONTPELLIER
L’AITVM (Association of Institutions for Tropical Veterinary Medicine) regroupe une vingtaine d’institutions d’enseignement et de recherche sur la médecine vétérinaire tropicale en Europe, Afrique, Asie, et Moyen Orient. Elle organise tous les trois ans dans un pays du Sud puis du Nord, une conférence internationale réunissant plus de 200 participants du monde entier.
En 2004, à Kuala Lumpur (Malaisie), la conférence traitait de l’implication de la santé animale dans le développement économique. Le thème de cette 12ème édition 2007 à Montpellier est : "Does control of animal infectious risks offer a new international perspective ?" (le contrôle des maladies infectieuses animales présente-t-il de nouvelles perspectives ?). Comme le précise Emmanuel Camus, directeur régional du Cirad à Montpellier et vice président de l’AITVM : "on assiste depuis trois ans à une explosion de maladies émergentes dont la grippe aviaire. Le colloque fait naturellement suite à cette actualité brûlante".

Le programme scientifique sera centré sur les thèmes suivants :
- analyse de risque, surveillance et épidémiologie
- nouveaux vaccins et conséquences de la vaccination
- adoption de normes de sécurité alimentaire
- aquaculture dans les pays du Sud
- éducation et formation professionnelle continue
- services vétérinaires dans un scénario global.
 
Plus de deux cents participants, chercheurs, experts en épidémiologie, analyse de risque, vaccination, aquaculture, hygiène, alimentation mais aussi vétérinaires, enseignants et économistes, sont attendus au colloque. Seront représentés 47 pays d’Europe, Afrique, Asie, Amérique et Moyen Orient. D’éminents professeurs et experts dans leurs domaines présenteront leurs communications au congrès. Le lundi 20 août, interviendront en séance plénière :
> Peter Rottier, professeur à l’Université d’Utrecht(Pays-Bas) – Vaccins
> Dirk Pfeiffer professeur au Royal Veterinary College de Londres (Grande-Bretagne) - Analyse de risque
> Marcel Wanner, professeur à l’Université de Zurich (Suisse) – Enseignement et formation
> Gilles Salvat, directeur de l’AFSSA de Ploufragan (France) – Sécurité alimentaire
> Marc Vandeputte, chercheur à l’INRA (France) – Aquaculture
>Jacquie Berthe, vice-président du pôle de compétitivité Orphème (France) – Maladies tropicales
> Véronique Bellemain , Directrice assesseure de l’Ecole nationale des services vétérinaires (ENSV) de Lyon (France)
En préalable au congrès, le Cirad et le Royal Veterinary College de Londres organisent du 16 au 18 août, un workshop sur l’analyse de risque en santé animale. L’objectif de cette formation est de permettre aux participants de comprendre les principes d’une analyse de risque qualitative et quantitative. A partir de ces connaissances les acteurs de la santé animale disposeront des outils nécessaires pour renforcer la surveillance épidémiologique et le contrôle des maladies animales et pour mieux se préparer aux situations d’urgence, plus particulièrement face aux risques émergents. Le cours se composera de présentations et d’exercices basés sur l'utilisation du logiciel Microsoft Excel® et du logiciel @risk. Les exemples pratiques seront appliqués à des maladies émergentes animales : grippe aviaire, peste porcine africaine, fièvre catarrhale ovine.
Voir : http://aitvm2007.cirad.fr/
Contacts : Emmanuel CAMUS et Jean-François RENARD
Mél : emmanuel.camus(a)cirad.fr, jean-francois.renard(a)cirad.fr

Nos stages

"Réseaux et sécurité"

- WATCHGUARD Firewall basics with Fireware - Full course - 3 jours - 1 au 3 octobre - à la demande
- WATCHGUARD Firebox X Edge and X Edge Wireless -1 jour - 22 mai - 23 octobre
-Firewalling basics with WATCHGUARD System Manager 8.0 and WFS 7.4 - 2 jours - à la demande
- Sensibilisation à la sécurité informatique (2 jours) à la demande
- Comprendre les réseaux TCP/ IP et les routeurs (2 jours) - à la demande


Contact : Véronique Bois
Mél : veronique.bois(a)acta-informatique.fr


Une journée consacrée à l'environnement pour les viticulteurs de Gironde
6 septembre - BLANQUEFORT Gironde)
Les viticulteurs girondins ont rendez-vous le jeudi 6 septembre à Blanquefort pour une journée consacrée à l'environnement. Une journée autour d'ateliers pratiques, qui permettront à chacun de repartir avec des solutions, des techniques à mettre en œuvre sur son exploitation. Car si les viticulteurs sont aujourd'hui convaincus de la nécessité de respecter plus encore l'environnement, ils ne savent pas forcément comment s'y prendre.
>> Éviter les traitements
Tout d'abord, il s'agit d'éviter les traitements chimiques chaque fois que cela est possible. Prenez le désherbage des rangs et des dessous de rangs : il est indispensable pour garantir une bonne production. Sans lui, les mauvaises herbes concurrencent la vigne et mettent en danger la production. Mais aujourd'hui, il existe d'autres solutions que le tout chimique, encore méconnues : l'entretien mécanique, le désherbage thermique et même l'enherbement. Différentes solutions testées par les techniciens viticoles de la Chambre d'Agriculture et présentées au cours de cette journée, matériels à l'appui.
>> Bien utiliser les appareils
Autre piste en faveur d’une meilleure protection de la nature, bien régler son pulvérisateur pour éviter la déperdition de produit dans le sol, dans l'air et dans l’eau. Alain Martinet, professeur du lycée agro-viticole de Blanquefort, effectuera une démonstration en direct, sur un pulvérisateur. Car un pulvérisateur bien réglé, cela signifie moins de produit consommé et donc moins de pollution, mais également moins de dépenses. Une économie non négligeable quand on sait que les achats de produits sont estimés entre 400 et 1 000 € par hectare chaque année…
>> Gérer les déchets générés par les traitements
Que faire de l'eau qui a servi par exemple à rincer le pulvérisateur à la fin du traitement ? Attention, elle est chargée en substances actives donc, pas question de s'en débarrasser n'importe où. Là encore, des solutions existent, notamment les stations de traitement reconnus par les Ministères en 2007. Les viticulteurs auront l'occasion le 6 septembre de découvrir celle du lycée de Blanquefort, qui présente un avantage : elle sert aussi à traiter les effluents de chais, c'est-à-dire les eaux polluées issues du lavage des barriques, des filtres…
Au programme de cette journée également, une présentation en salle du "bilan des pesticides dans l’eau et des nouvelles législations" par le Service Régional de la Protection des Végétaux, des "bonnes pratiques phytosanitaires" par l’un des conseillers Environnement de la Chambre d'Agriculture de la Gironde. Le rendez-vous est donné le jeudi 6 septembre de 14 h 00 à 18 h 00, à Blanquefort, au Château Dillon.
Voir : www.gironde.chambagri.fr
Contact : Magali TEMPLIER
Mél : m.templier(a)gironde.chambagri.fr

Agrimarché
Votre solution
de suivi de clientèle
en agriculture

Agrofourniture ou services aux agriculteurs, Agrimarché est votre solution de gestion de vos relations avec les agriculteurs

Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr


Odébit au service de tous les usagers
18 - 20 septembre– PARIS
Le salon Odébit facilite les démarches des collectivités locales dans l’intérêt des usagers. L’implication croissante des collectivités dans l’aménagement numérique permet de multiplier les projets qui bénéficient au développement du haut débit en France, et donc contribuent à l’aménagement du territoire.
Grâce à la forte implication des acteurs publics, certains usages se démocratisent rapidement.

> Grâce à l’essor du Haut débit, forte croissance du nombre d’internaute
Le nombre d'internautes français a progressé de 11 % en un an*. Comparant les chiffres de mars 2007 à ceux de mars 2006, on constate une progression de près de trois millions d'usagers. Au total 29,7 millions d'internautes en France cette année, soit 56,5 % des Français, contre 26,8 millions il y a un an.
Actuellement les collectivités locales déploient 85 réseaux de télécommunications: 48 réseaux sont en exploitation, 21 attribués en construction, et 16 font l'objet d'une procédure de consultation.**

> Partenaire incontournable des collectivités : la Caisse des dépôts, un modèle unique
Le développement du haut débit en France est en bonne partie lié à l’initiative publique qui a contribué à dynamiser le marché et la concurrence. Selon l’ARCEP (Régulateur français des télécommunications), les trois quarts des sites ouverts en 2005, l’ont été grâce à des projets d’initiatives publiques.
A la demande de la collectivité, la Caisse des Dépôts intervient en tant qu’investisseur de long terme. En septembre 2006, la Caisse des Dépôts était partenaire de plus de 70 projets d’infrastructures au haut débit, pour un montant d’investissement global de 2 milliards d’€.
Ainsi, cet organisme a permis de relancer l’investissement vers des territoires qui en manquaient, faute de rentabilité. Les collectivités locales sont confrontées à la nécessité de réduire les écarts qui persistent mais également à un besoin croissant en très haut débit.
En ce sens, la Caisse des Dépôts contribue à un meilleur aménagement du territoire.

> A la campagne comme à la ville, les collectivités luttent contre la fracture numérique
Afin de faciliter l’accès au savoir à des populations défavorisées, Dunkerque, a câblé des quartiers sensibles pour proposer un forfait moyen débit pour 5 €/mois.
Dans les zones rurales, les enjeux sont importants puisque seuls 40% de la population ont accès au haut débit. Les initiatives des collectivités se multiplient notamment pour le passage du haut débit vers le très haut débit, comme par exemple dans la Manche, un département géographiquement isolé et pilote en matière de réseau haut-débit.
Au-delà des portails santé (mise en relation des professionnels), de seniors (E-senior) ou Wikimanche (encyclopédie interactive que peut enrichir les internautes, sur le même modèle de wikipedia), Manche Numérique, syndicat mixte, met en place l’aménagement numérique du département, à travers des équipements structurants facilitant l’accès notamment à :
- l’éducation : réseau de vision conférence mis en place dans des classes de 5ème et de 6ème permettant aux élèves de suivre des cours d’allemand ; système beaucoup moins coûteux qui a l’avantage de maintenir certaines disciplines alors que les élèves sont peu nombreux. De plus, le niveau des scolarisés donne satisfaction.

- l’utilisation d’Internet et la sensibilisation au grand public (espace public numérique où des formateurs dispensent des cours aux débutants, comme les seniors par exemple.)

> L’E-administration
Aujourd’hui, l’usager peut trouver dans le site Internet de sa mairie un guichet unique où effectuer toutes ses démarches administratives. D’ici la fin de l’année, le portail mon.service.public.fr piloté par la DGME, et sa version locale ADELINE, développée par la Caisse des Dépôts, offriront aux usagers un accès à leurs comptes administratifs et à des formulaires pré-remplis avec leurs données personnelles, à partir des sites des communes.
Dans le même esprit, un secrétaire de mairie équipé d’un guichet nuMAIRIEque pourra transmettre aux administrations locales et traiter à distance les demandes généralement longues et contraignantes des usagers (demande de carte grise, demande d’aide au logement, ASSEDIC …). Ces guichets polyvalents nuMAIRIEque permettent notamment de maintenir le service public en milieu rural.

> L’E-éducation
LEspace Numérique de Travail (ENT), portail de service sécurisé, offrant depuis n’importe quel poste connecté à Internet un point d’accès commun à l’enseignant, à l’élève, et à l’ensemble des personnels de l’établissement 7 jours sur 7, 24 h/24… Scolarisation, santé, alimentation, sport, culture, transports…, l’ENT permet un suivi individualisé de l’élève du secondaire.
Chacun y trouve son compte : les ressources sont disponibles à domicile pour les élèves et les parents, les exercices peuvent être personnalisés en fonction des lacunes de l’élève, l’enseignant peut préparer ses cours à l’avance, l’administration peut mettre des carnets de liaison en ligne, recourir l’automatisation des appels et notifier automatiquement les absences, les parents peuvent communiquer avec le personnel éducatif
A ce jour, 300 000 comptes usagers ont été crées en France mais à terme, ce sont les 30 millions de membres de la communauté qui sont concernés, car si les projets du primaires sont encore au stade de l’expérimentation, ils devraient bientôt concerner 59 000 écoles.

> L’E-médecine
En France, le potentiel d’Internet est encore mal appréhendé par les médecins car il existe peu de plateformes permettant de partager l’information médicale d’un patient.
Le Dossier Médical Personnel (DMP) devrait améliorer la prise en charge des patients par les professionnels de santé dans le respect médical et de soigner mieux en dépensant moins. Il permettra de lutter contre les incompatibilités médicamenteuses qui sont à l’origine de 128 000 hospitalisations par an et de réduire les examens pratiqués inutilement en double.
Le déploiement du DMP est indissociable de celui du haut débit puisque le volume moyen nécessaire est de 50 mégaoctets sans l’imagerie médicale (radio, scanner, etc.).

* sondage Médiamétrie du 14 mai
** Selon l'association de collectivités Avicca (*) selon un recensement arrêté au 1er janvier 2007 (http://www.avicca.org/Bilan-2006-les-reseaux-d.html)

Voir : http://www.odebit.fr/

Contact : Vincent MARÉCHAL
Mél : vincent(a)ab3c.com

Audit Sécurité
de votre réseau



- Vous souhaitez un diagnostic Sécurité de votre réseau informatique et Internet

- Vous souhaitez faire évoluer ce réseau

Virus, spam, intrusion, interconnexion de réseaux locaux, pare-feu, routeur, etc. : ACTA Informatique peut vous aider à dresser un diagnostic et à choisir les bonnes solutions.

Contact : Jean-Paul ARCHIER (Cisco Certified Network Professional) et WSCP (Watchguard Security Certified Professional)
ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional Partner
Mél : jpa(a)acta-informatique.fr


Bio et local, c’est l’idéal (en Rhône-Alpes)
Du 22 au 30 septembre, les producteurs bio de Rhône-Alpes en vente directe fêtent la proximité et l’arrivée de l’automne.
Parce qu’un produit bio est encore meilleur quand il vient d’à côté, les agriculteurs bio de Rhône-Alpes vous invitent à découvrir les circuits courts de vente et tous les avantages à consommer des produits bio directement aux producteurs. ‘’Bio et local c’est l’idéal’’ met en avant une consommation de proximité responsable, socialement riche et naturellement écologique.

En plus de respecter l’environnement par leur mode de production, de nombreux agriculteurs bio ont à cœur de vendre leurs produits le plus directement possible aux consommateurs. Les circuits courts de commercialisation traditionnels ont donc la cote en bio : vente à la ferme, marchés, points de vente collectifs et maintenant paniers sont largement plébiscités par les producteurs bio comme de plus en plus de consommateurs. Car tout le monde est gagnant avec la vente directe : le consommateur bénéficie de produits plus frais, cultivés dans son environnement, et d’une traçabilité incomparable. Le producteur a la satisfaction du lien direct avec le consommateur final et une rémunération plus juste en évitant de multiples intermédiaires. Enfin, la société est aussi gagnante dans son ensemble avec un meilleur bilan écologique (grâce à la limitation des transports de produits), et un impact socio-économique très positif (grâce à la re-localisation et à la pérennisation d’activités agricoles et d’échanges locaux).
Rhône-Alpes compte environ 600 producteurs bio en vente directe dans ses 8 départements. C’est pour les faire mieux connaître et informer les citoyens et les consommateurs des avantages des circuits courts de vente que Corabio organise cette campagne ‘’Bio et local, c’est l’idéal !’’.
Rien de tel pour découvrir les produits bio que de les déguster. Une cinquantaine d’animations est donc prévue en Rhône-Alpes du 22 au 30 septembre : portes ouvertes, visites, animations et dégustations de produits, il y en aura pour tous les goûts…. En marquant le début de l’automne (le 23 septembre), et à une période où la variété des produits disponibles est très riche, cette campagne rappelle qu’avec la proximité, la saisonnalité est aussi un critère essentiel de consommation.
Rendez-vous donc fin septembre dans les fermes bio, sur les stands de producteurs sur les marchés, dans les points de vente collectifs et avec les associations de paniers (jardins de Cocagne, Amap) pour déguster les nombreux produits bio du moment : tomates, courgettes, poivrons, concombres, betteraves, blettes, carottes, choux, courges, pâtissons, épinards, haricots, navets, poireaux, pommes de terre, radis, salade, rhubarbe, noix, pommes, poires, kiwi, raisins, prunes, fromages, produits laitiers, pains, jus de fruits, confitures, vins, charcuterie, viande…
Voir : http://bioetlocal.hautetfort.com
Contact : Olivier ROUSSEAU
Mél : olivier.rousseau(a)corabio.org


Coproduits des biocarburants... évolution des marchés des matières premières pour l'alimentation animale
25 septembre 2007 - PARIS
Avec des spécialistes de l'analyse économique des marchés, des process de transformation énergétique des cultures et de l'alimentation animale.
Voir : http://www.arvalisinstitutduvegetal.fr/fr/man_detail.asp?id=300


Mysandrie
Q. Quelle est la différence entre un homme, une cravate et une ceinture ?
R. La cravate serre le cou, la ceinture serre la taille et l’homme sert à rien.

Bureautique 2007: entrez dans une démarche "Qualité"

- Le même document est en 15 exemplaires sur plusieurs PC, où est la dernière version ?
- Comment utiliser la fonction de suivi des modifications des documents Word ?
- Comment définir une charte graphique commune ?
- Comment définir une bibliothèque de modèles ?
- Comment classer et archiver et avec quelle nomenclature ?
- Comment organiser / faciliter les collaborations ?
- …/..


- Perfectionnement à Word - 1 jour - 14 septembre
- Perfectionnement à Excel - 1 jour - 15 octobre
- Bonne pratique de PowerPoint - 1 jour - - 8 octobre
- Perfectionnement à Excel - 1 jour - 15 octobre
- Programmation de macros VBA avec Excel - 3 jours - du 7 au 9 novembre
- Initiation à Access - 3 jours - du 28 au 30 novembre



Contact : Véronique Bois
Mél : bois(a)acta-informatique.fr

Conseils Colza et Soja 2007 sur le site CETIOM
Les rubriques "Colza" et "Soja" a été mises à jour en version 2007, avec tous les conseils pour réussir sa culture tout au long de la conduite, de l'implantation à la récolte.
Voir - Colza : http://www.cetiom.fr/index.php?id=2147
Voir - Soja : http://www.cetiom.fr/index.php?id=2483


Numéro de juin 2007 de la Lettre Recherche Environnement
- Élévation du niveau de la mer : pourquoi et combien ?
- Bruit des transports : une directive, des perspectives
- Résultats de l'étude « Perception des Risques par le Public et les Experts »
- Vient de paraître : La biodiversité à travers des exemples
Voir : http://www.ecologie.gouv.fr/-Lettre-Recherche-Environnement-.html


Les perspectives de co-développement que permet désormais l’informatique, notamment avec les agriculteurs en Afrique avec des projets de toutes sortes
- l’accompagnement des apiculteurs au Burkina
- des greniers auto-refroidissants au Sahel
- des projets de biocarburants au Mali
- des projets de maraîchage etc.
Voir : http://www.marcottage.fr/
Contact : Alain DUCASS
Mél : alain.ducass(a)diact.gouv.fr


Nouvelle version de vignovin.com…
…avec un moteur de recherche et une nouvelle ergonomie pour faciliter votre navigation
Voir : http://www.vignovin.com.


Rouge-Blanc, élu 4e du top mondial et 2e du top français des marchands de vin en ligne.
Dans le cadre de Vinexpo, Grégory Bressoles a présenté lors d’une conférence les résultats de l’étude e-Performance Barometer, catégorie Vin. Première mondiale, l’étude, réalisée à partir de l’évaluation des internautes, mesure la performance des acteurs du marché Vin ONLINE: Rouge-Blanc.com obtient la 2de place du podium dans le classement des sites français parmi 20 sites audités et la 4e position dans le classement des sites internationaux, après les sites www.wine.com, www.nicolas.com et www.maithwaites.co.uk.
"A travers cette étude, les professionnels et le grand public accèdent à l’analyse indépendante d’experts du secteur viti-vinicole et du e-commerce et découvrent ainsi les critères incontournables pour les acheteurs on-line" explique Grégory Bressoles, coordinateur de l’étude.
Facilité d’utilisation, qualité de l’offre et de l’information sont les 3 facteurs clés de succès du site Rouge-Blanc. "C’est notre expertise œnologique, notre connaissance du métier et l’écoute de nos clients qui sont ici récompensées..." s’exclame Alain Guinot, Président de Rouge-Blanc.
Voir :: http://www.rouge-blanc.com/?pg=PageStatique&bt=none&ps=Statique/presse_fr/communique_presse.htm
Contact : Thierry ARNAL
Mél : t.arnal(a)winepassion.com

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10 - A tous les colloques AGRIMMEDIA, vous participerez

Le Cemagref lance une plate-forme technologique pour améliorer les techniques d'épandages agricoles
Face aux pollutions aquatiques liées aux amendements agricoles, le Cemagref inaugure dans l'Allier un pôle de recherche dédié aux épandages de matériaux minéraux et organiques. L'enjeu : promouvoir les écotechnologies en agriculture.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/
cemagraf_epandage_recherche_2915.php4



Le WWF rappelle la nécessité d'une utilisation raisonnée du dessalement de l'eau de mer
Face à un développement important des projets d'usine de dessalement d'eau de mer dans toutes les régions du monde, le WWF rappelle qu'une bonne gestion de l'eau douce déjà disponible est nécessaire dans un premier temps
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/wwf_dessalement_rapport_2913.php4


La Garance voyageuse (revue de vulgarisation botanique) : Le pouvoir protecteur des herbes de la Saint-Jean
Voir: http:/www.garancevoyageuse.org
Contact : Christine DABONNEVILLE
Mél : garancevoyageuse(a)wanadoo.fr


FluTrop, une plate-forme interactive sur la recherche et la surveillance de l'influenza aviaire dans les pays du Sud
Le virus H5N1 hautement pathogène de la grippe aviaire est installé en Asie du Sud-est depuis 1997. Il a gagné l’Europe en 2005 et l’Afrique en 2006. Les conditions sanitaires des pays en développement favorisent le développement du virus et pourraient entraîner l’apparition, par mutation ou recombinaison, d’un virus grippal humain à potentiel pandémique. C’est pourquoi l’action internationale dans ces pays est un impératif de solidarité et de protection de la santé publique, à la fois vétérinaire et humaine.
Ce site Web bilingue conçu par les experts du Cirad recense quantité d’informations sur la maladie. L’état de l’art en termes de recherche – virologie, épidémiologie, écologie – y est notamment présenté, tout comme les différents projets de recherche et de surveillance en cours ou à venir, menés par le Cirad et ses partenaires. Les travaux et les ateliers sont focalisés sur les pays touchés par le virus ou présentant un risque d’infection, en Afrique, en Asie, en Europe de l’Est et au Moyen-Orient.
Le site propose, en outre, un espace d’informations plus générales où le visiteur trouvera des actualités récentes à la fois sur les activités du Cirad et l’agenda des manifestations dans le domaine de la grippe aviaire et sur la situation de la maladie dans le monde. La localisation et le nombre de foyers du virus sont notamment disponibles en ligne au travers de cartes ou de liens utiles renvoyant vers les sites de partenaires.
A court terme, seront également développées des bases de données relatives à la production avicole dans le monde, aux échanges commerciaux, aux souches virales, etc.
Une newsletter ou un flux RSS diffusent périodiquement les actualités et les mises à jour du site, notamment pour ce qui est des manifestations et des publications.
Le site FluTrop a été réalisé en partenariat avec :
- le ministère français des Affaires étrangères et Européennes (MAEE) ;
- l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) ;
- le fonds de solidarité prioritaire Mesures d'urgence, sur le renforcement des capacités de diagnostic des laboratoires africains pour le contrôle des pestes aviaires (MAEE) ;
- le fonds de solidarité prioritaire Gripavi, sur l'écologie et l'épidémiologie de la grippe aviaire dans les pays du Sud (MAEE).
Voir : http://avian-influenza.cirad.fr/fr/
Contact : Marisa PEYRE
Mél : marisa.peyre(a)cirad.fr

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Un reçu vous sera adressé.

L'AFIA est membre fondateur de l'European Federation for Information Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net


Biogaz : la société Naskeo Environnement lève 2,6 millions d’euro
Naskeo Environnement, société spécialisée dans la production d’énergie renouvelable par méthanisation, annonce sa première levée de fonds. Celle-ci a été menée par les fonds de capital-risque Oddo Asset Management et XAnge Private Equity. Ce premier investissement en capital risque atteste du dynamisme du secteur du biogaz en France. En réalisant cette opération, la société Naskeo fait le pari du développement technologique pour renforcer sa position et son expertise.
Créée en mai 2005, Naskeo Environnement est une société spécialisée dans la conception, la construction et l’exploitation d’unités de méthanisation. Ces unités permettent aux industries agroalimentaires et pharmaceutiques, ainsi qu’aux exploitations agricoles, de devenir production d’énergie renouvelable tout en s’affranchissant de leurs problématiques de déchets organiques.
Naskeo propose deux types de solutions selon la nature des déchets. Une première technologie, Proveo, développée par le Laboratoire de Biotechnologie de l’INRA (Narbonne), permet la dépollution et la valorisation énergétique des effluents liquides. Naskeo en détient une licence exclusive d’exploitation. Un second procédé, Ergenium, permet une conversion à très haut rendement des déchets solides en biogaz. Cette technologie innovante, également développée en collaboration avec l’INRA, aboutira courant 2007 à un brevet en co-propriété avec l’INRA. La société Naskeo, déjà bénéficiaire sur son premier exercice, prévoit une croissance moyenne de 57 % par an sur les cinq prochaines années.
En France, les prévisions de production de biogaz en 2010 permettent d’évaluer une croissance annuelle du marché de près de 23 %. L’augmentation du tarif de rachat de l’électricité à partir de biogaz, intervenue en juillet 2006, va notamment doper le marché puisqu’elle va permettre de rentabiliser beaucoup plus rapidement les investissements dans ce type d’installation.
Voir : http://www.naskeo.com/
Contact: Marc BAUZET
Mél : marc.bauzet(a)naskeo.com


Protection des céréales à paille - Lutte contre les ravageurs, la verse et traitement des semences 2007
Ce dépliant présente sous forme de tableaux synthétiques, la composition, le mode d'emploi et les efficacités de tous les insecticides, traitements de semences et régulateurs utilisables sur céréales à paille : blé tendre, blé dur, orge, triticale, avoine, seigle.
L'ensemble des informations présentées est mis à jour à partir des résultats expérimentaux les plus récents d'ARVALIS - Institut du végétal.
Nouveauté 2007 : Dans tous les dépliants protection des cultures 2007, une part importante est consacrée à l'aspect réglementaire. Sont précisés pour chaque produit : les restrictions en mélanges, le stockage réglementé, le délai de rentrée dans la parcelle, la zone non traitée à respecter et le délai avant récolte.
Voir : http://www.editions-arvalis.fr/ouvrage.php?id_ouvrage=871


Un site sur l'environnement à la veille du Grenelle de l'Environnement
Voir : http://www.alerte-environnement.org/
Signalé par Luc ESPRIT
Mél : luc.esprit(a)agpm.com


Grenelle de l'Environnement
Voir : http://www.legrenelle-environnement.fr


Chinese proverbs
Virginity like bubble, one prick, all gone.
Contact : Israel KITRON
E-mail: kitron1(a)terra.com.br

"Adresses Actions"


Gestion partagée de carnets d'adresses

> Adresses Actions permet la gestion et l'utilisation de toutes les adresses utilisées par votre entreprise : clients, adhérents, prestataires, collaborateurs, etc. Vous utilisez une base commune à toute votre entreprise, et créez des bases satellites spécifiques pour certains services ou utilisateurs.
> Avec "Adresses Actions", vous mettez fin à la multiplicité des fichiers d'adresses, en formats divers et variés, redondants et jamais mis à jour ni réutilisables.
> Avec "Adresses Actions", vous récupérez automatiquement tous vos fichiers d'adresses pré-existants, sans doublon.
> Avec "Adressses Actions", vous permettez de consulter la base à des collaborateurs distants via Internet.
> Avec "Adressses Actions", vous sélectionnez vos adresses pour l'édition d'étiquettes, de publi-postage, d'envoi de mails...
Contact : Guy Waksman
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr


Du côté de de MatéVi
- Mise à jour base de données : effeuillage
- Respecter les zones non traitées au voisinage des points d’eau
- Polyvalence des machines à vendanger
- Les coûts d’utilisation des matériels viticoles
Voir : http://www.matevi-france.com/


Du côté de Web-agri.fr
> Produire du lait en été - Aider les vaches à supporter la chaleur
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=41112 (Réservé abonnés PRO)
> Esb en France - Le rôle des contaminations croisées entre aliments mis en évidence
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=40919
> Races laitières - Les fichiers complets des index français 2007/2008 à télécharger
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id= 40548 (Réservé abonnés PRO)
> Alimentation/nutrition/santé - Le sevrage des porcelets est une phase critique
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=40945
> Enrubannage - Mc Hale lance la presse enrubanneuse Fusion
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=41428
> Aliments pour chevaux - Très forte hausse des prix des matières premières
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=41116


Du côté de Viti-net.fr
> Transmettre ou investir - Avoir recours à des investisseurs pour faciliter la sauvegarde du patrimoine viticole
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40621
> Emballage Tetra Prisma® - Pour s'adapter aux nouvelles contraintes: marché et environnement ?
Voir : http://www.viti-net.fr/Outils/Fiches/FichesDetail.asp?id=40916


Du côté de "Plantouz"
La botanique et la protection des cultures (malherbologie...) occupent tous mes temps libres ou presque. Mes programmes sont orientés vers la morphologie végétale formelle, la biologie des mauvaises herbes, la reconnaissance de la flore armoricaine.
1. Liste chronologique de mes publications
2. Distinguer vrais et faux chercheurs
3. Botanique
4. Malherbologie
5. Protection des cultures en général
6. Plantes prairiales cultivées ou non
7. Problèmes agricoles
Voir : http://dc.plantouz.chez-alice.fr/
Contact : Daniel CHICOUENE
Mél chicouene.daniel(a)libertysurf.fr

Phot@thèque :
Demandez votre version
de démonstration !

Avec Phot@thèque, vous bâtirez votre photothèque d'entreprise au sein de votre site Intranet et vous mettrez à disposition les photos les plus significatives sur votre site Internet.
Contact : Rémy Coffion
Mél : coffion(a)acta-informatique.fr


Du côté de Terre-net.fr cultures
> Dossier spécial - Stratégies de commercialisation
Voir :
http://www.terre-net.fr/dossier_special/
strategies-commercialisation2/default.asp?idDoss=67



Du côté de la gazette de La Moinerie
Quelques images du festival des Terres Neuva.
http://www.lamoinerie.com/index.php?rep=le_kiosque/visu_diaporama.php?
id_diapo=5&titre_diapo=Festival



Du côté de Pleinchamp.com : Du nouveau pour les agriculteurs des départements des Côtes d’Armor, du Finistère et d’Ille-et-Vilaine
Les Caisses régionales de Crédit agricole de chacun des trois départements ont regroupé les accès à leurs services Internet en un bouquet complet ouvert sur les sites "agranet.fr" ou "pleinchamp.com".
Ainsi les éleveurs des Côtes d’Armor, du Finistère et d’Ille-et-Vilaine, sous condition d’abonnements, peuvent aller indifféremment sur l’un ou l’autre site.
Ils y trouveront, regroupés, les accès :
- aux services Agranet, services dédiés aux éleveurs bretons,
- aux Services Experts de Pleinchamp (météo locale à 10 jours et tendances à 28 jours ; cours et expertises sur les marchés des porcs, de l’élevage, des grandes cultures),
- aux services bancaires pour les comptes ouverts au Crédit agricole.
agranet.fr ou pleinchamp.com : deux voies pour atteindre, d’un clic, des services utiles au quotidien.
Contact : Régis LEBOITE
Mél :regis.leboite(a)pleinchamp.com

Les stages Statistiques
d'ACTA Informatique et
de l'Institut de l'Elevage

- Initiation au logiciel statistique SAS - 3 jours - du 10 au 12 octobre
- SAS avancé - 3 jours - du 12 au 14 novembre
- Le langage Macro de SAS - 2 jours
- L'analyse de dispositifs expérimentaux avec SAS - 3 jours - du 6 au 8 juin
- Analyse statistique avec SAS Enterprise Guide - 1 jour - 25 octobre
- L'analyse des données avec SAS - 3 jours - du 5 au 7 décembre
- Traitement statistique des modèles mixtes avec SAS - 2,5 jours
- Traitement statistique des données qualitatives avec SAS - 2,5 jours

Contact : Thierry Brun

Mél : brun(a)acta-informatique.fr


Du côté de l'Office de l'Elevage (5 Go d'informations gratuites au service des filières élevage, viande et lait)
> Numéro 78 de la lettre d'information de l'Office de l'élevage. // 27.07.2007 //
Voir : http://www.office-elevage.fr/actu/actu-oe-78.htm

> Appel d'offre : "Accord-cadre de services informatiques relatifs à la sécurité des systèmes d'informations de l'Office de l'Élevage N° 2007/S 142-176552 du 26 juillet 20073
Voir : http://www.office-elevage.fr/appel-offre/dossier-18-07-07/accord-cadre.htm

> Organigramme : Mise à jour de l'organigramme de l'Office avec les nouveaux N° de Téléphone
Voir : http://www.office-elevage.fr/organigramme/organigramme.htm

> Commerce extérieur : Note aux opérateurs N° 23. du 19/07/2007 : PAB avec ou sans restitutions (remplace la note n° 19 de 2005)
Voir : http://www.office-elevage.fr/notes/n2007/n2007.htm

> Infos UE :
- Compte rendu des Comités de gestion "viandes porcines", "viande de volaille" et "viande bovine" du 17 juillet 2007 et "produits laitiers " du 26 juillet.
- Mise à jour du tableau des restitutions
Voir : http://www.office-elevage.fr/restitutions/info_cee/infos_cee.htm

> Salons : Mise à jour de la page d'information
Voir : http://www.office-elevage.fr/salons/salondate.htm

> Aides Nationales : Les collectivités territoriales peuvent mettre en place des programmes d'aide à l'assistance technique
Voir : http://www.office-elevage.fr/aides-nat/aides-nat.htm

> Consommation : Bilan sur la consommation des viandes par les ménages en 2006
Voir : http://www.office-elevage.fr/consommation/consommation.htm

> Cotations (viandes et lait), prix à la production et note de conjoncture hebdomadaire qui est publiée chaque vendredi soir ou le lundi matin suivant la disponibilité de l'information :
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm
Voir : http://www.office-elevage.fr/prixprod/courbes.PDF
Voir : http://www.office-elevage.fr/prixprod/prixprod2.htm

> Produits Laitiers
* "Statistiques Stockage Privé"
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-mens/stockage.htm
* Informations/Marchés & Filières/Statistiques : Mise à jour des cahiers statistiques Dénaturation, stocks privés France, abattages, cours France
Voir : http://www.office-elevage.fr/statistiques/statistique1.htm
* Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises"
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-mens/statistique2.htm
* Produits éligibles : Mise à jour de la liste.
Voir : http://www.office-elevage.fr/prg-sociaux/prg-sociaux.htm

Protéger vos réseaux avec des firewall WatchGuard
Nouvelles possibilités du firewall Watchguard (version Pro) :
- Gérer des lignes de différents FAI par exemple pour un secours de façon à ce que le serveur de messagerie reste connecté.
- Répartir la charge entre vos lignes.
- Mettre en oeuvre des stratégies différenciées en fonction de créneaux horaires, avec application de règles différentes selon les heures.
- Proxy évolué avec filtrage http, P2P, messagerie instantanée.
- Proxy DNS permettant d'interdire de résoudre un nom.
- Web Blocker permettant le blocage d'URL sur des catégories de sites.
- Antivirus et antispyware en option, avec filtrage de contenu des mails, ".exe" compris.




ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional Partner

Contact : Jean-Paul Archier
- CCNP (Cisco Certified Network Professional)
- WSCP (Watchguard Security Certified Professional)
Mél : Jean-Paul.Archier(a)acta-informatique.fr


Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne
 - Fièvre catarrhale : mesures applicables a partir du 26 juillet 2007
 Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/ctehm/p1087001.htm#%juillet2007
- Économie agricole : les marchés agricoles et l’inflation
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/ctehm/p1127001.htm
> Vous pouvez retrouver les mises en ligne sur sous forme d'un blog. N'hésitez pas à l'utiliser le cas échéant pour faire part de vos remarques ou de vos interrogations.
Voir : http://cda52.nuxit.net/blog/blog_quoideneuf/


Du côté du CETIOM
> Espace régional, régions Est :
- Point colza - Déception concernant les rendements
- Point tournesol - Bonne fécondation à la fin de la floraison
Voir : http://www.cetiom.fr/index.php?id=1970
> Espace régional, régions Ouest :
- Point Colza -  Des niveaux moyens de rendements
- Conseil colza - Attention à la structure du sol
- Point Tournesol - Un potentiel qui semble bon
Voir : http://www.cetiom.fr/index.php?id=1971
> Espace régional, régions Sud :
- Point tournesol - floraison étalée selon les dates de semis.
- Point soja - la floraison se poursuit
Voir : http://www.cetiom.fr/index.php?id=1972


Chinese proverbs
Man who run in front of car get tired.
Contact : Israel KITRON
E-mail: kitron1(a)terra.com.br

Stages Linux 2007
- Linux Utilisation
-
Linux Administration

Apple réalise une marge de plus de 55% sur l'iPhone
L'iPhone, qui se vend 599$ en version 8 Go, coûte à (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-apple-realise-une-marge-de-plus-de-55-sur-l-iphone-23352.html


L'iPhone prêt à bousculer les systèmes d'information
Rarement la genèse d'un téléphone mobile aura autant fait parler d'elle. Depuis les premières annonces en janvier dernier, et jusqu'à sa mise en vente le 29 juin aux Etats-Unis, l'iPhone aura suscité un buzz rarement atteint par une industrie pourtant prompte à s'enflammer. Il faut dire que le succès de l'iPod permet à Apple d'afficher des ambitions gargantuesques : 10 millions de terminaux vendus en 2008. La firme à la pomme compte en effet à la fois sur l'engouement pour les smartphones (Berg Insight prévoit une croissance annuelle moyenne de ce marché supérieure à 25%) et sur l'addiction de ses utilisateurs à l'iPod et à son service iTunes. Les professionnels sont donc visés au même titre que le grand public, au grand dam des services informatiques. Plus qu'un téléphone, plus qu'un lecteur MP3, découvrez dans notre dossier pourquoi les professionnels de l'informatique doivent anticiper l'arrivée en Europe de l'iPhone.
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/dossiers/lire-l-iphone-pret-a-bousculer-les-systemes-d-information-41.html


Les parents jugent sévèrement les services de contrôle parental
Trop restrictifs pour certains, inefficaces pour d'autres, les logiciels de contrôle parental n'ont pas la côte auprès des parents, selon une étude du Collectif interassociatif enfance et média.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/telecoms-fai/actualite/0707/070707-parents-jugent-severement-logiciels-controle-parental.shtml


"Le m-commerce reste concentré sur les biens digitaux"
Le paiement par carte bancaire sur mobile représente moins de 1 % des transactions. Un phénomène structurel et fonctionnel, analyse le directeur marketing de l'éditeur de solutions mobiles Netsize
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/mobile/interview/070704-renaud-menerat-netsize.shtml


Les centres de services partagés génèrent des économies, confirme Deloitte
Le cabinet Deloitte Conseil vient de publier les résultats de sa quatrième étude internationale (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-centres-de-services-partages-generent-des-economies-confirme-deloitte-23335.html

MétéoPro sous Windows...


...l'agrométéorologie enfin opérationnelle
Contact : Luc Fricot
mailto:fricot(a)acta-informatique.fr


Comparateurs : avec qui ont signé les marchands
Souvent décriés, les comparateurs de prix sont néanmoins incontournables. Qui est présent chez qui ? Qui est le leader ? Le point avec les principaux marchands.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/dossier/070628-comparateurs-prix-et-marchands/index.shtml


Free ouvre une chaîne de TV pour ses abonnés
Cela faisait longtemps que les abonnés de Free attendaient une évolution des services du FAI (...)
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/actualites/lire-free-ouvre-une-chaine-de-tv-pour-ses-abonnes-2397.html


VOD, décryptage d'un phénomène en pleine croissance
Accéder aux images que l'on souhaite, où on le souhaite et quand on le souhaite. C'est la définition basique du terme très à la mode de vidéo à la demande, ou VOD (Video on demand). Une généralité qui (...)
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/dossiers/lire-vod-decryptage-d-un-phenomene-en-pleine-croissance-85.html


L'Atelier : Les GPS autonomes menacés par les systèmes de navigation pour mobiles
Les systèmes de navigation autonomes seront-ils bientôt concurrencés par des systèmes de navigation pour mobile (sur abonnement) ?
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/dossiers/lire-l-iphone-pret-a-bousculer-les-systemes-d-information-41.html


Virus : le bilan des menaces du mois de juin
Chaque mois, le JDN Solutions publie le classement des virus les plus actifs. En juin, virus de réseau, faille iFrame et ingénierie sociale sont au rendez-vous.
Voir : http://www.journaldunet.com/solutions/securite/enquete/07/0709-virus/1.shtml


Vent de révolte contre la Software Assurance de Microsoft
Lancée en 2001, la Software Assurance, qui repose sur un principe proche de l'abonnement, a (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-vent-de-revolte-contre-la-software-assurance-de-microsoft-23401.html


Intel met un pied dans VMWare
Après avoir misé sur SWSoft en 2005 et Virtual Iron, Intel Capital investit aujourd'hui dans leur rivale (...)
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-intel-met-un-pied-dans-vmware-23400.html


"Avec le Wimax, les MVNO pourront fournir des services de données"
Le PDG d'Altitude Telecom affirme que le Wimax décollera en 2010 en offrant aux FAI et MVNO la possibilité de proposer de nouveaux services. Il prédit que la technologie amènera plus de concurrence dans le mobile.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/telecoms-fai/actualite/0707/070712-jean-paul-riviere-wimax-altitude-telecom.shtml


VOD, décryptage d'un phénomène en pleine croissance
Accéder aux images que l'on souhaite, où on le souhaite et quand on le souhaite. C'est la définition basique du terme très à la mode de vidéo à la demande, ou VOD (Video on demand). Une généralité qui (...)
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/dossiers/lire-vod-decryptage-d-un-phenomene-en-pleine-croissance-85.html


L'accès aux contenus adultes du service TV perso de Free inquiète le CSA
Voir : http://numerique.lemondeinformatique.fr/internet/actualites/lire-l-acces-aux-contenus-adultes-du-service-tv-perso-de-free-inquiete-le-csa-2431.html


Chinese proverbs
Man with hand in pocket feel cocky all day.
Contact : Israel KITRON
E-mail: kitron1(a)terra.com.br

Vous pouvez ajouter
votre pierre...


...aux bêtises du web


Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5592


A 20 milliards de $ de chiffre d'affaires, le bio n'est plus tout a fait artisanal aux US
Who Owns Your Favorite Organic Brands? As the $20 billion organic marketplace continues to expand, major corporations continue to take over many of the most familiar organic brands. Dr. Phil Howard, an Assistant Professor at Michigan State, has provided a new update on his popular chart "Who Owns Organic." Are you supporting corporations like Kraft, M&M, or Pepsi with what you thought was a purchase of your old familiar brand?
> View this chart to see acquisitions of the top selling organic brands
See: http://www.organicconsumers.org/organic/OrganicTop25Jul07.pdf
>View this chart to see the top selling INDEPENDENT organic brands
See: http://www.organicconsumers.org/organic/OrganicIndJul07.pdf
Contact : JP VIGNAL
Mél : jaypeevee(a)aol.com


Adoption of Genetically Engineered Crops in the U.S
See: http://www.ers.usda.gov/Data/biotechcrops/


Une pomme de terre OGM divise les ministres de l'Agriculture des 27
Les ministres de l'Agriculture des 27 n'ayant pu se mettre d'accord sur l'autorisation de mise en culture d'une pomme de terre OGM, ce sera donc à la Commission, connue pour ses décisions plutôt favorables aux OGM, de trancher.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/ogm_pomme_de_terre_commission_conseil_basf_3106.php4


Les orangs-outans victimes de la déforestation en Asie du Sud-Est
Alors que les forêts tropicales de l'Asie du Sud-est, dernier refuge des orangs-outans, disparaissent massivement, les Amis de la Terre lancent une campagne de sensibilisation afin d'alerter sur l'urgence de la situation en Indonésie.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/orangs_outans_victimes_deforestation_asie_sud_est
_campagne_amis_de_la_terre_3065.php4


ZETAFAX V9

Le meilleur moyen de faxer...
Contact : Sylvie Masselin-Silvin
Mél : masselin(a)acta-informatique.fr

How to preach a bear?
A Priest, a Pentecostal Preacher and a Rabbi all served as chaplains to the students of a Michigan University. They would get together two or three times a week for coffee and to talk shop. One day, someone made the comment that preaching to people isn't really all that hard. A real challenge would be to preach to a bear.

One thing led to another and they decided to do an experiment. They would all go out into the woods, find a bear, preach to it, and attempt to convert it.

Seven days later, they're all together to discuss their experience.

Father Flannery, who has his arm in a sling, is on crutches, and has various bandages on his body and limbs, goes first. "Well," he says, "I went into the woods to find me a bear. And when I found him, I began to read to him from the Catechism. Well, that bear wanted nothing to do with me and began to slap me around. So I quickly grabbed my holy water, sprinkled him and, Holy Mary Mother of God, he became as gentle a lamb. The bishop is coming out next week to give him first communion and confirmation."

Reverend Billy Bob spoke next. He was in a wheelchair, with an arm and both legs in casts, and an IV drip. In his best fire and brimstone oratory, he claimed, "WELL brothers, you KNOW that we don't sprinkle ! I went out and I FOUND me a bear. And then I began to read to my bear from God's HOLY WORD ! But, that bear wanted nothing to do with me. So, I took HOLD of him and we began to wrestle. We wrestled down one hill, UP another and DOWN another until we came to a creek. So, I quickly DUNKED him and BAPTISED his hairy soul. And just like you said, he became as gentle as a lamb. We spent the rest of the day praising Jesus."

The Priest and the Reverend both looked down at the Rabbi, who was lying in a hospital bed. He was in a body cast and traction with IV's and monitors running in and out of him. He was in real bad shape.

The Rabbi looks up and says, "Looking back on it, circumcision may not have been the best way to start."
Contact : Bernard AUXENFANS
Mél : bauxenfans(a)krsearch.net

Développer et maintenir
votre site Internet


- Développement d'un site Internet avec FrontPage - 3 jours - du 26 au 28 septembre
- DreamWeaver MX - 3 jours - du 19 au 21 septembre
- Linux Utilisation - 2 jours
- Linux Administration - 2 jours - du 25 au 26 juin
- Dynamiser son site Internet avec JavaScript et VBScript - 2 jours - à la demande



- Utilisation de Web@thèque - 1 jour à la demande
- Utilisation de Phot@thèque - 1 jour à la demande

Contact : Véronique Bois
Mél : bois(a)acta-informatique.fr


Déclaration C.N.I.L. numéro 667690
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