AFIA
ACTA Informatique |
Du
côté du web et de l'informatique agricole 42 - 2007 - Complément
(11 ème année)
Paris, 22 octobre 2007 |
Si l'affichage de cette gazette laisse à désirer,
voir : http://www.acta-informatique.fr?d=6943
Un "petit" complément pour inviter à vous
inscrire en urgence à nos deux colloques des 19 novembre
et 18 décembre (et aussi pour face à l'afflux
de vos messages!).
Ces colloques des 19 novembre et 18 décembre s'annoncent
exceptionnels ! Inscrivez-vous rapidement.
Pensée du jour
On dit d'un accusé qu'il est cuit quand son avocat n'est
pas cru - Pierre DAC
Contact : Serge LE DOARE
Mél : serge.le.doare(a)wanadoo.fr
Autre pensée du jour
A l'heure de l'accélération technologique et des industries
de la connaissance, la différence de croissance entre les
pays vient de l'innovation. Il ne suffit plus de copier comme
dans les années 1960, il faut inventer soi-même. – Eric LE
BOUCHER – Le Monde – 30 mai 2007
Thought of the day
Where is the wisdom we have lost in knowledge? Where is
the knowledge we have lost in information? - T. S. Eliot (1888-1965)
Communication
intra et inter-entreprises : dépenser moins et
mieux avec eB-XML ?
19
novembre 2007
de 14 à 18 heures,
à la Maison Nationale des Éleveurs,
149, rue de Bercy, Paris 12 ème
métro Bercy ou Gare de Lyon
|
Vous
êtes responsable de l'informatique et / ou des
télécommunications dans une organisation
ou une société fournisseur ou client de
l'Agriculture, voici un colloque à ne pas manquer
!
XML
va faciliter les échanges d'information et eB-XML
va garantir la sécurité de ces échanges,
le tout pour des coûts défiant toutes concurrences...
Pour
s'inscrire : http://www.acta-informatique.fr?d=6923
Contact
: Guy Waksman
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr
|
Chlordécone
(Suite -1) aux Antilles
Pour
sortir des conversations de comptoir de bistrot et élever
le niveau du débat, tu peux recommander aux lecteurs de la
gazette de lire ce rapport qui date de juin 2006. Il répond
à une commande des Pouvoirs publics du début 2005. Ils n'ont
donc pas attendu le rapport Belpomme pour réagir. En revanche
si ce n'est pas une catastrophe sanitaire (les mesures de
protection de la population sont prises), cela en est bien
une en termes environnemental et économique!
Voir : http://www.cirad.fr/fr/prest_produit/pdf/pollution_par_les_organochlores_aux_Antilles-juin2006.pdf
Contact : René VICAIRE
Mél : rvicaire(a)acta.asso.fr
Ma remarque (GW) : Le Dr Luc Multigner cité par moi-même dans
la gazette du 18 octobre ne s'intéresse effectivement qu'à
la recherche (heureusement vaine pour l'instant) de dégâts
sanitaires.
Chlordecone (Suite – 2) en Afrique
Les pays
africains dans lesquels les instituts techniques français
spécialisés dans la culture intensive de la banane sont intervenus,
ont "bénéficié" d’apports prolongés de chlordecone,
comme aux Antilles françaises.
C’est le cas, par exemple, du Cameroun. Ci-après quelques
extraits de l’article "Etude sur le charançon du bananier
au Cameroun" présenté par R. Fogain, S. Messiaen et E.
Fouré, du Centre africain de recherches sur bananiers et plantains
de Douala, à l’inauguration du groupe de travail sur le charançon
du bananier de PROMUSA, le 2 mars 2002 à Teneriffe : "Au
début des années 70, les populations de charançons étaient
contrôlées de manière efficace grâce à la Kepone (Chlordecone)
dans les plantations commerciales du Cameroun… Le déclin de
la production de bananes a été stoppé par l’arrivée sur le
marché de la Curlone (Chlordecone) au début des années 90…".
Voir : http://www.promusa.org/publications/promusa111_fre.pdf
Transmis par Raymond BONHOMME
Voir : rbonhomme(a)numericable.fr
Chlordecone (Suite - 3)
Rassurez-vous
la commission d'enquête dans les Antilles s'est transformée
en simple comité de suivi. Alors j'aurais préféré un comité
de pilotage...
Tiens donc, Dominique Belpomme est relégué au niveau de ces
mauvais scientifiques dès lors qu'ils ont apportés des éléments
contre nature au développement des OGM comme Jean-Marie Pelt,
Gilles-Eric Séralini, Arpad Pusztaï, etc.
Une démarche souvent remarquée : tout ce qui est proOGM est
scientifique et tout ce qui est anti OGM manque de rigueur,
etc.
Contact : D. LEFEBVRE
Mél : d.lefebvre(a)est-agricole.com
Ma remarque (GW) : Encore plus curieux : tous ceux qui, par
principe, sont antiOGM ou antiphyto ont la faveur des industriels
des médias, de même que tous ceux qui - posture
commode - contestent systématiquement nos instances
de contrôle (AFSSA, INVS, DGCCRF) et nient notre capacité
à réguler nos excès, à corriger
nos erreurs. Ceci étant, des erreurs nous en faisons
tous, et nous en ferons encore et pas qu'en protection des
cultures… J'ai en tête mille et uns exemples en agriculture,
mais aussi dans l'automobile, la construction
3 blondes
Trois
blondes se trouvent sur une des rives d'un fleuve qu'elles
veulent traverser. Surgit alors un génie qui leur dit qu'elles
ont chacune droit à un voeu.
- La première demande à être transformée en poisson et elle
traverse le lac.
- La deuxième demande à être transformée en barque et elle
traverse le lac.
- La troisième demande à devenir brune et elle passe par le
pont.
|
Outils
informatiques
des conseillers
agricoles :
état des lieux et
perspectives
18
décembre 2007,
de 14 à 18 heures,
à la Maison Nationale des Éleveurs,
149, rue de Bercy
Paris 12 ème,
métro Bercy ou Gare de Lyon
|
Vous
vous intéressez par l'apport de l'informatique et d'Internet
au conseil en Agriculture, ne manquez ce colloque !
Ont
déjà annoncé leur participation, les
sociétés SONEO, ENVILYS, I-CONE, NEOTIC, GEOSYS...
Pour s'inscrire : http://www.acta-informatique.fr?d=6911
Contact : Guy Waksman
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr |
Communiqué de la CGT
de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) sur les
OGM et le "Grenelle de l'Environnement"
9 octobre 2007 - La CGT-Inra, à l'occasion du lancement du "Grenelle
de l'environnement" tient à rappeler sa position sur les OGM
et plus particulièrement sur les cultures de plantes transgéniques
(PGM).
S'il peut être une tribune à des mouvements peu entendus d'habitude,
le "Grenelle de l'environnement" n'est certainement pas
un modèle de concertation et l'on sent bien que beaucoup de choses
sont réglées à l'avance. Il n'a en tout cas pas grand-chose à voir
avec les accords obtenus contre le patronat et le gouvernement au
printemps 1968, à la suite de l'un des plus puissants mouvements
sociaux du XXème!
Mais au moment où d'aucuns, par voie de presse, dévoient les conclusions
pourtant diverses et mesurées des chercheurs de l'INRA pour appeler
à la généralisation des cultures d'OGM, nous tenons à rappeler,
en tant que première organisation syndicale de l'INRA et forte de
notre représentation dans l'ensemble des instances de l'organisme,
que les choses sont loin d'être aussi simples.
Les recherches scientifiques conduites à l'INRA - comme l'ensemble
du développement d'innovations socialement utiles - restent soumises
aux lois du marché et les orientations actuelles du gouvernement
et de l'OMC ne font que renforcer cette tendance néfaste. Le développement
des recherches sur les plantes, y compris transgéniques, est entravé
par une vision mercantile de l'agriculture, qui est déjà la cause
de graves déséquilibres mondiaux. Instrumentalisée par les oligopoles
biotechnologiques, cette technologie porteuse de progrès possibles
risque, dans les conditions actuelles, de mettre à mal notre potentiel
de recherche pour un progrès génétique au service de tous. Ce progrès
génétique ne se limite pas aux recherches sur la transgenèse et
les OGM, tant il est possible de créer des variétés améliorées et
performantes, répondant à la demande sociale, en utilisant des techniques
non-OGM.
Partant de cette analyse, la CGT-Inra appuie sa position sur un
certain nombre de considérations:
- Les plantes transgéniques (PGM) ne feront pas plus de miracles
que la génétique en général, mais pas nécessairement moins non plus.
- Aujourd'hui, il n'y a pas de démonstration probante de l'efficacité
extraordinaire généralement prêtée aux OGM végétaux pour l'environnement
et la santé; les PGM actuellement commercialisés le restent au profit
unique des multinationales agroalimentaires.
- Chaque OGM pose des problèmes spécifiques de sécurité écologique
et agronomique.
- L'utilisation de PGM en plein champ pose les problèmes de résistance
accrue des ravageurs aux agents de sélection portés par les PGM.
- Il n'existe à ce jour aucune mesure efficace pour empêcher et
contenir les flux de gènes entre champs cultivés à l'échelle du
territoire. En conséquence, attacher des sanctions à la présence
de gènes particuliers dans des produits agricoles est inique et
devrait pour le moins entraîner une série de mesures techniques
et juridiques protégeant agriculteurs et consommateurs, mesures
qui ne sont pas prises actuellement.
- Le système des brevets et la mise en culture d'OGM sous licences
sur le territoire national mettent en danger le système de certification
des semences et de libre accès aux ressources génétiques.
- La création de PGM résistants à divers pesticides ou ravageurs
entraîne un diktat des firmes agro-biotechonologiques et semencières
sur les agriculteurs vis-à-vis de leur utilisation.
- D'autres voies de progrès génétiques (hybridations, sélection
récurrente, introgression, etc.) existent déjà et doivent être développées.
- La non-brevetabilité du vivant est indispensable au développement
du progrès génétique.
- Transgenèse et production de plantes OGM sont des techniques qu'il
faut développer et maîtriser à l'INRA pour les besoins des citoyens,
et en vue de contribuer à résoudre des questions d'intérêt universel:
connaissances des génomes et de leur fonctionnement, innovations
variétales utiles intégrées à une vision d'ensemble de la production
agricole.
- Pour la plupart des caractères importants en agriculture durable,
un transgène ne pourra être utile que dans une plante améliorée
sur l'ensemble de son génome (et non sur un seul gène), d'où le
nécessaire développement simultané des techniques d'améliorations
qui s'adressent à l'ensemble du génome.
- La mise en place d'une agriculture de type durable, basée sur
l'utilisation de la biodiversité des espèces et l'utilisation raisonnée
des assolements et des rotations afin de faire baisser les pressions
parasitaires, reste plus que jamais une alternative sérieuse à une
production généralisée de PGM résistants à divers herbicides ou
ravageurs.
- Seule une recherche publique, et totalement indépendante des financements
privés, est légitime pour mener des études sur les avantages et
les inconvénients des OGM.
Dans ce contexte, le moratoire de la culture des OGM est nécessaire,
et l'État doit assurer à l'INRA les moyens de conduire des recherches
sur le sujet.
En rupture avec son suivisme ordinaire, la Direction Générale de
l'INRA doit prendre des mesures pour libérer la recherche publique
de ses liens exclusifs avec quelques compagnies semencières (notamment
à travers les contrats de l'ANR) et argumenter auprès des autorités
pour une nouvelle orientation de la recherche publique.
Contact : CGT-INRA: 01.39.53.56.56
Logiciels
libres et
Open Source
utilisés par ACTA Informatique
|
-
e-GroupWare : travail collaboratif
- SpamAssassin : antispam
- ClamAV et Amavis : antivirus
- SquirrelMail : webmail
- Nagios et MRTG : analyse traffic réseau
Contact : Jean-Paul ARCHIER
Mél : jpa(a)acta-nformatique.fr |
European Parliament and pesticides
Brussels, 18 October - Ahead of a crucial vote, the European Crop
Protection Association today warned MEPs that the Environment Committee
amendments have radically altered the Commission's original pesticide
proposals with no understanding of their impact on the availability
of fresh food in Europe.
The warning was made as MEPs prepare to consider these amendments
at the Parliament's plenary session on 23 October where the main areas
of concern will be the use reduction targets and the introduction
of an extended list of hazard criteria for removing plant protection
products from the market.
ECPA believes that these amendments do nothing to enhance public health
or environmental safety, and are expected to have the opposite effect
as they will result in the loss of tools which farmers need to grow
fresh food which forms the basis of a healthy diet. This will inevitably
lead to greater imports and price rises both of which have the unintended
consequence of reducing controls on safety and access to affordable
healthy food.
ECPA's Director General, Dr. Friedhelm Schmider underlined the severity
of the potential impact: "At a time when the EU has recognised
the constraints on production in global agriculture by relaxing set-a-side
rules, the Environment Committee amendments will prevent farmers from
using what they need to grow our food."
"Outsourcing food production to other parts of the world is not
an acceptable option. We must maintain our consumer health standards
which are the highest in the world, while allowing our farmers to
be competitive. Agriculture needs plant protection products to continue
to produce fresh fruits and vegetables and other raw materials that
are processed into high value food which consumers buy everyday at
a price they can afford."
"Without the use of safe plant protection products a 30-40% of
the locally produced food enjoyed by millions of Europeans would be
at risk - this is surely not what the voters expect from their MEPs."
"These amendments are clearly unworkable in practice because
we need food. By introducing politically motivated amendments, which
reflect the narrow agendas of a few organisations, are not based on
sound science and pay little attention to their impact, the Environment
Committee is putting the Parliament's credibility on the line."
Dr Schmider told MEPs that they should instead rely on the overwhelming
evidence from independent scientists, farmers and the agri-food industry
which demonstrate the safety of these technologies.
Contact : Helen DUNNETT
E-mail: helen.dunnett(a)ecpa.eu
Les
stages Statistiques
d'ACTA Informatique et
de l'Institut de l'Elevage
|
-
Initiation au logiciel statistique SAS - 3 jours
- SAS avancé - 3 jours - du 12 au 14 novembre
- Le langage Macro de SAS - 2 jours
- L'analyse de dispositifs expérimentaux avec SAS -
3 jours - du 6 au 8 juin
- Analyse statistique avec SAS Enterprise Guide - 1 jour -
25 octobre
- L'analyse des données avec SAS - 3 jours - du 5 au
7 décembre
- Traitement statistique des modèles mixtes avec SAS
- 2,5 jours
- Traitement statistique des données qualitatives avec
SAS - 2,5 jours
Contact : Thierry Brun
Mél : brun(a)acta-informatique.fr
|
Ci-après un extrait d'un interview par Josette Alia de D.Servan-Schreiber
"Comment je combats le cancer" dans le Nouvel Obs du 23
Septembre n° 2238 consacré au livre qu'il vient de publier
sur le cancer "Anticancer"
Extrait :
"
. Il faut
que les Etats se mobilisent, et vite, pour stopper la montée
inquiétante du cancer dans le monde. En France, il faut avant
tout mener une réflexion de fond sur l'agriculture. Parce
que là tout devrait - ou pourrait - changer. Par exemple,
nourrir les vaches au maïs est une double aberration : les
produits laitiers et la viande bovine y perdent leurs qualités
naturelles. De plus les vaches digèrent mal le maïs
(leur estomac est fait pour l'herbe) et leur bouse dégage
du méthane qui contribue autant au réchauffement climatique
par l'effet de serre que toute l'industrie du transport. Or ce maïs
utilisé pour nourrir (mal) le bétail et dont la culture
absorbe beaucoup trop d'eau (les deux tiers des réserves
de la planète) pourrait être remplacé par du
pâturage et un ajout de graines de lin, facile à cultiver,
qui ne coûte rien et dont la France est le deuxième
producteur mondial. La France pourrait être un pays leader
d'une agriculture à la fois saine et rentable. Ce serait
un exemple fantastique !"
En début d'interview,
D.Servan-Schreiber précise : "
. je me réfère
dans ce livre aux récents travaux de très grands scientifiques
qui ont confirmé la valeur de cette approche (importance
du terrain dans la prévention et le traitement des tumeurs
cancéreuses) et reconnu qu'elle constitue une percée
majeure en cancérologie."
Cet extrait, arrivant
en fin d'interview, doit-on le considérer comme une conclusion
? Elle serait alors, à mon avis, plutôt rapide et confuse.
Rapide, parce que
l'exemple choisi - le maïs - n'est certainement pas celui qu'il
convenait de choisir comme référence pour traiter
de l'incidence du "terrain" sur les tumeurs cancéreuses.
Confuse, parce que "cette conclusion !" fait référence
à d'autres aspects qui n'ont rien à voir avec le thème
de cet interview sur le cancer : méthane et réchauffement
climatique, consommation d'eau par la culture du maïs, remplacement
partiel de ce fourrage par de la graine de lin (et ses oméga
3),
il est étonnant que le maïs OGM ne soit pas
cité dans cette litanie de récriminations. Vraiment,
il s'agit d'une attaque lapidaire et hors sujet ici contre le maïs
(le bouc émissaire) à partir d'arguments qui ne paraissent
pas reposer sur des fondements scientifiques "bien digérés".
On peut penser qu'il est d'ailleurs ici fait allusion à du
maïs grain (puisqu'il est comparé à de la graine
de lin) , alors que pour les vaches laitières il s'agit de
maïs fourrage plante entière, et non de maïs grain.
Certaines affirmations
mériteraient d'être précisées car à
priori peu crédibles :
- le méthane dégagé par les vaches laitières
contribue, d'après l'auteur, autant au réchauffement
climatique que toute l'industrie du transport !!!!
- le maïs absorberait, d'après l'auteur les deux tiers
des réserves d'eau de la planète !!!!
- la culture (ou l'achat) des graines de lin ne coûte rien
!!!! Les producteurs de graine de lin seront satisfaits de tels
propos ! De plus rappelons que l'huile de lin ne serait pas encore
autorisée en France en alimentation humaine. Si on souhaitait
porter une attaque du même type sur la graine de lin, on pourrait
dire qu'elle renferme en effet un alcaloïde, la linamarine,
qui libère du cyanure.
- les produits laitiers et la viande bovine des vaches nourries
au maïs (maïs fourrage ?) y perdent leurs qualités
naturelles. Lesquelles ? Cela mérite d'être précisé
afin que le lecteur n'en tire pas des conclusions erronées.
- La France est citée comme deuxième producteur mondial
de graines de lin. FAOSTAT 2003-2004 situe la France au 8ème
rang mondial pour la production de graines de lin oléagineux.
Peut-être peut-on
trouver sur toutes ces affirmations, qui n'ont pas de rapport direct
avec le cancer, des précisions plus étoffées
dans le livre "Anticancer" qui fait l'objet de cette interview?
C'est vraiment dommage
qu'il y ait, en guise de conclusion sur un tel sujet (le cancer),
un tel paragraphe traité de façon aussi superficielle
et confuse. Peut-être la journaliste n'a-t-elle pas été,
concernant ce seul paragraphe, fidèle aux propos de l'auteur
? Il est en effet étonnant que l'auteur, en tant que scientifique
et compte tenu des sources "de très grands scientifiques"
auxquelles il fait référence, se permette - dans ce
paragraphe qui a retenu toute mon attention, et qui en choquera
plus d'un - une telle "salade" d'affirmations. Il est
vrai que de tels propos "plaisent" aux lecteurs ! "Droit
au but", ces propos sont catégoriques et sans nuances
! Il ne s'agit plus de conduire le lecteur dans une réflexion,
mais de le conditionner. De plus en plus nombreux sont ceux qui,
dans la communication, préfèrent en effet séduction
à objectivité. Beaumarchais ne disait-il pas : causez,
causez, "
il en restera toujours quelque chose".
Dernière précision,
ces remarques ne mettent nullement en cause le contenu du reste
de l'interview, ni l'intérêt qu'il convient de porter
à l'ouvrage "Anticancer".
Contact : Julien ALBAR
Ingénieur agricole retraité
Mél : jj.albar(a)tiscali.fr
Ma remarque (GW) : Je ne partage pas tout à fait votre "dernière
précision". Pourquoi supposer que le reste de l'ouvrage
de D. Servan-Schreiber soit plus sérieux ! Il se pourrait
bien qu'il soit du même acabit que l'ouvrage "Grippe
aviaire, 500000 morts en France ?" du Prof. Derenne
avec
le même goût de susciter des peurs alimentaires, avec
la connivence des industriels des média.
Nos
stages
"Réseaux et sécurité"
|
-
WATCHGUARD Firewall basics with Fireware - à la demande
- WATCHGUARD Firebox X Edge and X Edge Wireless - 1 jour
-Firewalling basics with WATCHGUARD System Manager 8.0 and
WFS 7.4 - 2 jours - à la demande
- Sensibilisation à la sécurité informatique
(2 jours) à la demande
- Comprendre les réseaux TCP/ IP et les routeurs (2
jours) - à la demande
Contact : Véronique Bois
Mél : veronique.bois(a)acta-informatique.fr
|
Story of the Bronze Rat
A tourist walked into a Brighton curio/antique shop.
After looking around for a while, he noticed a very life-like bronze
statue of a rat.
It had no price tag, but it was so striking that he decided to buy
it anyway.
He took it to the owner and said: "How much is this bronze rat?"
The owner replied: "It's £12 for the rat, and £100 for the story."
The tourist gave the owner his £12 and said: "I'll just take
the rat, you can keep the story."
As he walked off down the street, he noticed that a few real rats
had crawled out of the sewers and begun following him.
This was a little disconcerting, so he started to walk a little faster,
but within a couple of blocks the swarm of rats had grown to hundreds,
and they were all squealing and screeching in a very menacing way.
He increased his speed and ran on towards the beach, and as he ran,
he Looked behind him and saw the rats now numbered in their MILLIONS,
and they were running faster & faster. By now very concerned,
he ran to down the pier and threw the bronze rat far out into the
water.
Amazingly, the millions of real rats jumped into the water after it
and were all drowned.
The man walked back to relate all this to the shop owner, who said:
"Ah, you've come back for the story then?"
"No," said the tourist, "I came back to see if you've
got a bronze Muslim Fundamentalist Cleric, a couple of immigrants,
a poof, a Manchester United supporter, and anything French!".
Contact: Mick HARKIN
E-mail: harkin(a)iol.ie
Déclaration C.N.I.L. numéro 667690
Vous êtes plus de 24 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique
agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage
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directement la demande à Guy Waksman.
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