Erratum
Le conteur poitevin (organisateur du festival du Nombril à Pougne Hérisson -79- Deux-Sèvres) s'appelle Yannick JAULIN (et non Joulin) si c'est a lui que la pensée du jour de la gazette du 22 novembre est due.
Contact : Christophe BEALU, Deux-Sèvrien
Mél : christophe.bealu(a)deux-sevres.chambagri.fr


Confirmation (GW) : Yannick JAULIN est un immense artiste !


Première cause de mortalité chez les 15-24 ans (27 % des tués pour 13 % de la population en 2006), la majorité des accidents a lieu les nuits de week-end et l’alcool est souvent en cause…
Voir : http://www.preventionroutiere.asso.fr/petition.aspx


Décès de Jean-Claude TIREL
Ceux qui l'ont connu seront touchés. Que les autres aillent vite sur la toile…
Signalé par JM BOUQUERY
Mél : bouquery(a)noos.fr


(…) il faut avoir en tête la différence entre dispersion et dispersion efficace. Et cette dispersion du pollen est très peu efficace hors de la parcelle plantée. C'est d'ailleurs ce que savent tous les multiplicateurs de semences qui ont des "périmètres de protection" (je ne me souviens plus du terme approprié) assez petits (Gazette du 22 novembre)
Pour votre information, la distance d'isolement en production de semences de betterave est 1km des sauvages.
Contact : Michel SAVIGNOL
Mél : michelsavignol(a)orange.fr


(…) il faut avoir en tête la différence entre dispersion et dispersion efficace. Et cette dispersion du pollen est très peu efficace hors de la parcelle plantée. C'est d'ailleurs ce que savent tous les multiplicateurs de semences qui ont des "périmètres de protection" (je ne me souviens plus du terme approprié) assez petits (Gazette du 22 novembre)
Si je comprends bien, vous êtes en train de nous dire que la majeure partie du pollen va poliniser les cultures tellement loin qu'on détecte très peu de "présence fortuite" à proximité de la culture génétiquement modifiée... On est donc sauvé ! :-))
Contact : Franck PASCAL
Mél : franck.pascal(a)wanadoo.fr


Les grains de sable du Sahara traversent la méditerranée, sont capables d'aller jusqu'à Paris et dans les pays nordiques. Partant de là, il faudra qu'on m'explique comment on peut arrêter le pollen d'un maïs OGM en quelques mètres (Franck PASCAL dans la gazette du 22 novembre)
La différence entre un grain de pollen et un grain de sable, c'est que le premier est vivant et pas le second. Physiquement, un grain de pollen peut traverser les océans, biologiquement non car il meurt très vite.
Contact : Christian GAUVRIT
Mél : christian.gauvrit(a)dijon.inra.fr


Ma remarque (GW) : Je n'ai qu'une culture agronomique "de base" mais je sais à peu près ce qu'est le cahier des charges des multiplicateurs de semences, un cahier des charges dont les antiOGM pourraient prendre connaissance utilement avant de parler de pollution par les OGM, en particulier en maïs.

Dans un communiqué daté du 12 octobre 2007, la Fédération nationale des organisations sanitaires apicoles (Fnosad) a enfin demandé aux pouvoirs publics une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) de l’antibiotique Fumagiline pour combattre la progression de la nosémose, pathologie constatée partout en France, et dont la présence dans les ruchers français a trop longtemps été sous-estimée, quand elle n’a pas été carrément ignorée... (Gazette du 15 novembre)
C’est assez curieux de voir les apiculteurs français, qui se réclament d’être “verts” et protecteurs de la nature, des abeilles et de la qualité du miel, implorer les autorités françaises pour pouvoir utiliser un “antibiotique” dans les ruches… mais cela ne risque-t-il pas de nuire à ma santé, car ce même antibiotique va assurément “contaminer” mon miel… ce pur produit “naturel” ???
D’un autre côté, ce sont les mêmes pleurnicheurs de mauvaise foi qui s’opposent à ce que les OGMs contiennent des traces d’antibiotiques !!!
Par contre, j’aimerais bien qu’ils avaient le courage et l’honnêteté de demander la remise sur le marché français des faux coupables, les insecticides Gaucho et Régent… qui ne sont plus au banc des accusés… mais qui ont perdu leurs autorisations de ventes, seulement en France … à cause de ces mêmes apiculteurs qui les ont accusés et fait condamner à tort ?
Contact : B. AUXENFANS
Mél : bauxenfans(a)krsearch.net


Ma remarque (GW) : Chez les apiculteurs comme partout ailleurs, il y a des gens de toutes sortes. Quant à l'interdiction du Régent, du Gaucho, des OGM, comme l'abattage des troupeaux où un cas de vache folle a été observé, ou encore l'interdiction de faire manger des protéines animales à nos animaux d'élevage… mon idée est aujourd'hui que c'est uniquement pour répondre à notre pulsion sécuritaire que nos dirigeants (en l'occurrence, et si ma mémoire est bonne, MM. Glavany et Gaymard) prennent ce genre de décisions non fondées sur des bases techniques et scientifiques… Ne les accablons pas parce qu'ils se souviennent du sang contaminé, et parce que nous sommes les premiers responsables de cette situation.


Un Français sur deux craint de devenir un jour sans abri (au cœur des angoisses françaises et de nos pulsions sécuritaires !)
Un an après la mobilisation pour le droit au logement opposable, le dernier sondage Association Emmaüs, en partenariat avec l’Humanité et la Vie, révèle combien la pauvreté reste un problème dramatique dans notre pays.
Voir : http://www.humanite.fr/Sondage-BVA

A propos d'une histoire Belge… (Suite à la gazette du 15 novembre)
A quoi bon s'"attrister" d'un éventuel divorce ? Comme dit Arno, "on est tous des Européens" (et des citoyens du monde) avant d'être des Belges ou des Français. Et qui sont les nationalistes, les "sécessionnistes" ou les "unionistes" ? En ménage comme en (géo) politique, le divorce "à l'amiable" est parfois la meilleure (ou la moins mauvaise)  solution.
Il a en tout cas le mérite de la clarté. Mais un divorce "à la Belge" rappellerait peut-être trop douloureusement à certains Français nationalistes que leur pays aussi est le fruit d'unions pas vraiment consentantes et tout aussi fragiles ... l'Oc et l'Oïl par exemple.
Et puis, s'il n'y a plus de Belgique, il n'y aura plus d'histoires belges ? Les moules d'un côté, les frites de l'autre ? Çà c'est trop fort !
Contact : Bruno PEYRAS
Mél : b.peyras@aude.chambagri.fr


Ma réponse (GW) : Je comprends bien votre point de vue mais je ne le partage pas. Je discutais récemment avec une amie indépendantiste galloise… Les gallois ont subi de la part des angalis ce qu'ont les bretons, les picards, les chtis, les vosgiens, les savoyards, les gascons, les provençaux… ont subi de la part des français, je veux dire des parisiens. Pour autant il y a une histoire commune et une réelle unité de pensée. Il suffit de voyager un peu à l'étranger pour s'en rendre compte. Non, le divorce serait un échec même dans le contexte de notre nouvelle Europe. Ce n'est pas en commençant par déliter nos vieilles nations qu'on va unir l'Europe;


A quoi répond M. PEYRAS
Merci de votre réponse, qui même si elle ne s'accorde pas avec mon point de vue, témoigne de votre ouverture d'esprit et de votre respect pour l'opinion d'autrui.. A ce sujet je voulais (je sais, ce n'est pas original, mais quand même...) vous féliciter pour votre Gazette, qui reste un espace ouvert d'expression libre, authentique et personnelle : ce n'est pas si fréquent et c'est un souffle d'air frais.
Bien cordialement (et transmettez mes fraternelles et occitanes salutations à votre amie indépendantiste galloise).
Contact : Bruno PEYRAS
Mél : b.peyras(a)aude.chambagri.fr

Attention il existe un nouveau virus son nom de code est TRAVAIL. Ce virus détruit votre vie privée
Si vous devez vous trouver en présence de ce virus TRAVAIL partez immédiatement et rendez vous dans le bar le plus proche en compagnie de deux amis : commander trois bières, ou margarita ou encore plusieurs babies et renouveller l 'opération de 10 à 14 fois, vous verrez alors que le travail aura a été complétement effacé de votre mémoire.
Transférez ce message d'alerte immédiatement à 5 amis.
Si vous vous rendez compte que vous n'en avez pas cinq, cela signifie que vous êtes déja infecté et que le travail contrôle votre vie tout entière. Ce virus est mortel.
Contact : Olivier CHAILLOT
Mél : olivier.chaillot(a)wanadoo.fr


Un intranet sur votre exploitation. Pourquoi faire ?
- Optimisez vos relations commerciales : dialoguez en direct avec vos interlocuteurs, fournisseurs, clients.Regroupez les achats d'intrants en toute autonomie.
- Gérez votre suivi administratif et vidéo : toute la gestion de vos fichiers à visualiser sur le web, téléchargez, transférez, (.doc .pdf .zip.etc.) ainsi que les gros fichiers vidéo (.mov .swf .flv) jusqu'à 10 Go d'autonomie.
Personnalisez la confidentialité de votre intranet: compartimentez ces différents modules avec des accés sécurisés.
Je recherche un terrain d'expérimentation avec un réseau (cuma, syndicat agricole, assos) pour développer ce projet.
Voir : http://90plan.ovh.net/~agrifutu/intranetdemo.php
Mél : loic(a)agrifutur.net


Cow from Minsk
A little village in Poland had only one cow and one day it stopped giving milk. The townspeople did a little research and discovered they could get a cow from Moscow for 2000 rubles or one from Minsk for only 500 rubles. Being thrifty, they naturally bought the cow from Minsk.

It was a great cow. It had a wonderful disposition and produced lots of milk, lots of butter and lots of cream. Everybody loved it dearly. So much so that the villagers decided they would mate the cow and raise more cows just like it so they would never have to worry about their milk supply again.

When the cow went in to heat, they went back to Minsk and hired a bull to mate with the cow. They put the bull with the cow in a pasture and let nature take its course. But when the bull came in to mount the cow from the right, the cow moved to the left. When the bull moved in to mount the cow from the left, the cow shifted to the right. She refused to let him mount her. This went on all day.

Finally, in desperation, the villagers decided to go ask the rabbi what to do. After all, everyone knew the rabbi was very, very wise.

They gathered around him and told him the story. "Rabbi, we've tried all day to mate our cow. When the bull comes in from the right the cow moves left, and when the bull comes in from the left the cow moves to the right. What should we do?"

The rabbi pondered for a moment and then asked, "Did you buy this cow from Minsk?" Rabbi!" they cried as one, "you are indeed wise! We never said where we bought the cow! How did you know it came from Minsk?"

Shaking his head, the rabbi said sadly, "My wife is from Minsk."


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