AFIA
ACTA Informatique
Du côté du web et de l'informatique agricole 13 - 2008
Complément
Paris, 28 mars 2008


Ce complément de gazette pour vous annoncer le colloque du 7 mai et laisser toute sa place à une intéressante contribution de Thérèse HIEBEL


Pensée du jour
La France trouve dans le contexte mondial de rareté des arguments pour défendre la PAC. Avec raison : l'Europe doit avoir une politique commune. Avec raison encore, il faut abandonner l'idée absurde de "découplage", qui veut transformer les paysans en jardiniers du paysage. Produire du grain vif, de la viande belle, du bon lait est le seul objectif qui vaille pour l'agriculture. Jardiner relève du tourisme ou d'un autre métier, subventionné au niveau national ou, mieux encore, local.
Mais Paris a tort s'il s'agit de ressortir son atavique protectionnisme sous couvert de "préférence communautaire". La PAC est à réinventer complètement, mais son volet commercial ne doit pas se départir de l'ouverture des frontières, source de concurrence, et de l'aide au développement, source de justice. Eric LE BOUCHER – Le Monde – 1er mars 2008


Autre pensée du jour
Le rapport de forces est complètement déséquilibré entre les grands distributeurs et les industries alimentaires : quatre acheteurs pour 1 500 entreprises alimentaires minimum, structurées et connues, qui fournissent des produits transformés à la grande distribution - Pierre PAGESSE, président de Limagrain


Thought of the day
When I do good, I feel good; when I do bad, I feel bad. That's my religion - Abraham LINCOLN, 16th president of the U.S. (1809-1865)

Manuel de l'utilisateur de TéléPAC


Voir : http://www.acta-informatique.fr/telepac/manuel_telepac.pdf

Un ouvrage réalisé avec le soutien de la Mission Développement Agricole et Rural du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche


Télévision et agriculture : nouvelles technologies, nouveaux canaux, nouveaux acteurs. Quelles perspectives ?
53e Colloque AgriMMédia
Paris - Ministère de l'Agriculture - 7 mai 2008 - de 14 h à 17 h 30

L'objectif de ce 53e colloque AgriMMédia est de faire le point sur les nombreuses initiatives de l'État, des collectivités territoriales, des Chambres d'agriculture, des Instituts techniques agricoles et aussi de sociétés commerciales qui se lancent aujourd'hui dans la production et la diffusion audiovisuelle en utilisant tous les nouveaux canaux de diffusion disponibles.

Dans ce colloque, l'accent sera mis sur les usages plutôt que sur les technologies. Les problèmes de coûts (investissement et fonctionnement) seront abordés et parce qu'on ne peut parler de coût sans parler de technologies, ces dernières ne seront pas absentes des débats.
Qu'est-ce que la Web Télé ? Qu'est-ce que la Web Télé interactive ? Pourquoi diffuser sur le câble, le satellite, le Web ou la TNT ? Combien cela coûte t-il ? Comment se préparer à cette nouvelle mutation de nos outils de communication ? Pour quels publics ? Quels sont les premiers retours d'expérience ?
Les meilleurs spécialistes répondront à toutes vos questions lors de ce 53 ème colloque AgriMMédia qui aura lieu :

le mercredi 7 mai 2008 de 14 h à 17 h 30,
au ministère de l'Agriculture, salle Gambetta,
78, rue de Varenne, 75007 PARIS (Métro Varenne)

Ce colloque est organisé conjointement par l'Assemblée permanente des chambres d'agriculture, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche et l'ACTA (Association de coordination technique agricole), à l'occasion du démarrage du projet Agri Web Télé et Conférence Interactives, projet soutenu par la mission Développement agricole et rural du ministère de l'Agriculture.

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=7233


Colloque
AgriMMédia

Télévision et agriculture

7 mai 2008

Télévision et agriculture : nouvelles technologies, nouveaux canaux, nouveaux acteurs. Quelles perspectives ?

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=7233

Plaisante démonstration...
... contre la progressivité de l'impôt - dont je (GW) suis soit dit en passant un partisan - un grand classique donc, et assez curieusement à mon sens un argumentaire en faveur de l'impôt négatif mis en place par MM. Jospin et Fabius si je me souviens bien (?!)

Voici un texte reçu en anglais et provenant d'un professeur américain qui essaye d'expliquer à ses semblables le système des impôts...

Les impôts semblent s'expliquer par une logique simple. Mais beaucoup ne la saisissent toujours pas. Comme c'est la saison des taxes, laissez-moi vous expliquer en des termes que tout le monde peut comprendre.

Supposons que tous les jours 10 hommes se retrouvent pour boire une bière et que l'addition se monte à 100 $. (Normalement 10 $ chacun).

S'ils payaient la note de la façon que l'on paye les impôts, cela donnerait à peu près ceci :

Les 4 premiers (les plus pauvres !?), ne paieraient rien.
Le cinquième paierait 1 $.
Le sixième paierait 3 $.
Le septième paierait 7 $.
Le huitième paierait 12 $.
Le neuvième paierait 18 $.
Le dernier (le plus riche ?!) devrait payer 59 $.

Ils décidèrent de procéder comme décrit.

Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour pour boire leur bière et semblèrent assez contents de leur arrangement. Jusqu'au jour ou le tenancier les plaça devant un dilemme :
"Comme vous êtes de bons clients, dit-il, j'ai décidé de vous faire une remise de 20$. Vous ne payerez donc vos 10 bières que 80$".

Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon qu'ils auraient payé leurs taxes. Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement. Mais comment les six autres, (les clients payants), allaient diviser les 20$ de remise de façon équitable ? Ils réalisèrent que 20$ divisé par 6 faisaient 3,33$.
Mais s'ils soustrayaient cette somme de leur partage alors le 5ème et 6ème homme devraient être payés pour boire leur bière.

Le tenancier du bar suggéra qu'il serait équitable de réduire l'addition de chacun du même montant, donc il fit les calculs.
Alors ?
Le 5° homme, comme les quatre premiers ne paya plus rien. (Un pauvre de plus ? Ndt)
Le 6° paya 2 $ au lieu de 3 (33% de réduction)
Le 7° paya 5 $ au lieu de 7 (28% de réduction)
Le 8° paya 9 $ au lieu de 12 (25% de réduction)
Le 9° paya 14 $ au lieu de 18 (22% de réduction)
Le 10° paya 49 $ au lieu de 59 $ (16% de réduction)

Chacun des six "payants" paya moins qu'avant et les 4 premiers continuèrent à boire gratuitement.

Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie :

"J'ai seulement eu 1 $ sur les 20 $ de remise", dit le 6°, il désigna le 10° "Lui il a eu 10 $".

"Ouais ! Dit le 5°, j'ai seulement eu 1 $ d'économie aussi".

"C'est vrai !" s'exclama le 7°, "pourquoi aurait-il 10 $ alors que je n'en ai eu que 2 ? Le plus riche a eu le plus gros de la réduction".

"Attendez une minute" cria le 1° homme à l'unisson, "Nous quatre n'avons rien eu du tout nous. Le système exploite les pauvres".

Les 9 hommes cernèrent le 10° et l'insultèrent.

La nuit suivante le 10° homme (le plus riche ?!) ne vint pas. Les neuf autres s'assirent et burent leur bière sans lui. Mais quand vint le moment de payer leur note, ils découvrirent quelque chose d'important : Ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition.
Et cela, garçons et filles, journalistes et collègues professeurs est le reflet de notre système d'imposition. Les gens qui payent le plus de taxes tirent le plus de bénéfice d'une réduction de taxe.

Taxez les plus fort, accusez-les d'être riches et ils risquent de ne plus se montrer désormais. En fait ils pourraient commencer à aller boire à l'étranger où l'atmosphère est, comment dire, plus amicale.

Pour ceux qui ont compris, aucune explication n'est nécessaire.

Pour ceux qui n'ont pas compris, aucune explication n'est possible.

Signé : David R. Kamerschen, Ph.D.
Professeur d'économie
University of Georgia, USA

Transmis (il y a longtemps) par Mathieu CORTYL
Mél : mg.cortyl(a)laposte.net

Outils informatiques
des conseillers
agricoles :
état des lieux et
perspectives
(1) et (2)

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=7063 (1)
Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=7205 (2)

Les mycotoxines des céréales
3 avril 2008 - PARIS
Ce séminaire sera l'occasion d'apporter les derniers éléments de maîtrise du risque fusariotoxines, deux années après l'entrée en vigueur de la réglementation.
Les plus récentes avancées en terme de prévention au champ sur les principales céréales et de moyens de contrôle seront abordées. Elles seront complétées et illustrées par des témoignages de différents acteurs des filières.
Les perspectives offertes par les nouvelles voies actuellement explorées par la recherche viendront également clôturer cette journée.
Voir : http://www.arvalisinstitutduvegetal.fr/fr/man_detail.asp?id=381


A propos du reportage "le monde selon Monsanto" (Complément de gazette du 7 mars)
Je pense que si Monsanto est une multinationale avec tous les problèmes que pose ce genre de sociétés, s'y attaquer en racontant n'importe quoi ne fait que les renforcer... Décidément, plus ça va et plus je pense que les opinions toutes faites empêchent de penser clairement. On dirait qu'en ce moment, sur la terre, il n'y a plus que des militants dont le but est de semer la terreur et des hommes d'affaires dont le but est de crever avec le plus de fric dans leur tombe. Opinions et émotions... L'anti- pensée. Moi, c'est là que je flippe. Au secours, Kant, ils sont en train de faire devenir fous nos enfants !!
Les problèmes techniques peuvent trouver des solutions : les humains sont ingénieux. Mais le manque de pensée nous enfonce dans les ténèbres, à coup sûr.
Contact : Thérèse HIEBEL
Mél : hiebel.tm'a)free.fr


Réponse de Renée la tricoteuse
Mon ordi me propose : répondre à l'expéditeur ... j'ai envie d'obtempérer. D'obtempérer pour quoi ??? Dire que, à tout moment, chaque fois que je lis un truc, je me demande à moi-même où est la vérité ? Et je me réponds (à moi-même, toujours) : impossible de savoir !
J'ai lu, ce matin, un article sur l'enquête menée par Marie-Monique Robin. J'ai sans doute lu superficiellement, mais j'ai fermé le journal en me disant que je ne comprenais pas. Ton mail reçu, je reprends l'article. Je ne comprends toujours pas. Est-ce que je serai devant ma télé le 11 mars ? Et est-ce que, enfin, je pourrai savoir "où j'habite" ?
Et si je comprends ce que j'ai cru comprendre, et me positionne, personnellement pour un "principe de précaution"... est-ce que je serai dans le champ des gens anti-chemin de fer, il y a 150 ans : "cette vitesse va rendre l'homme fou…" ? Ballottée dans ces querelles d'experts, je me rabats facilement sur ce que je sais faire : le tricot ! Je ne suis qu'une tricoteuse... Je ne suis pas sûre que ça fasse avancer le monde !
Merci pour l'incompréhensible info; mais d'accord sur l'idée que, dire n'importe quoi pour "gagner", c'est souvent le plus sûr moyen pour "perdre"...


A quoi répond Thérèse
Chère tricoteuse ;)
Moi non plus je ne sais pas. J'ai tendance à penser que ceux dont il faut se méfier en premier lieu, ce sont ceux qui disent des choses simples sur des thèmes complexes. Malheureusement, nous avons une fâcheuse tendance à être tentés par leur discours, puisque nous le comprenons (cf. les élections présidentielles). Même si, quelques temps plus tard, nous nous apercevons que ce discours était faux et truffé de propositions insensées, irréalistes. Le monde est complexe, l'humain est complexe, l'histoire est complexe. Et nous avons la tentation permanente de nous en remettre à ce qui nous paraît simple, émotionnel et qui flatte un peu notre parano permanente (le complot des gros méchants). C'est la rançon des petits sans pouvoir.

Quand on essaie de se pencher sur la réalité d'une problématique, sans a priori, là, on s'aperçoit que les choses ne ressemblent pas à ce qu'on avait vu de loin. L'image qui me vient, c'est celle du regard d'un petit de 2 ans. Il voit le monde depuis l'altitude de 70cm : les gens sont pour lui, tous, des géants ; il leur prête, ainsi qu'aux meubles, eux aussi gigantesques, des pouvoirs... La chaise a le pouvoir de l'éjecter et de le faire tomber. La porte a le pouvoir, la méchante, de lui coincer les doigts, etc.
Nous sommes, je pense, dans cette position presque en permanence, quand nous découvrons des choses du monde dans lequel nous vivons et pour lesquelles nous sommes impuissants. Je ne suis pas sûre que nous y gagnions tant que ça, à être confrontés en permanence à toute cette actualité. Surtout qu'on ne nous dit quasi toujours que ce qui ne va pas. Rares sont les reportages qui portent sur des événements heureux ou des gens formidables et leur action. 5% de l'actualité ? Pour le reste, on est confronté à notre impuissance en permanence. On se sent donc tout petit et on ne peut que fantasmer sur le pouvoir des grands et des choses qui se font de manière cachée, machiavélique et mystérieuse (style : on n'y comprend rien). Il ne reste plus à quelqu'un qu'à crier "au loup !" et on se met à vivre dans la peur.

C'est ce mécanisme qui me hérisse et contre lequel je veux me battre. Les gens de pouvoir ont tout bénéfice à mener un troupeau de moutons apeurés. C'est bien plus dur de mener des gens qui réfléchissent ; qui refusent les raisonnements simples et demandent des précisions, qui traquent les incohérences et veulent des preuves. Je regarderai le reportage, si je peux. Parce que c'est toujours intéressant de voir les choses avec un oeil critique et alors, quand tu es vigilant, tu vois les manipulations des images, tu décèles les à peu près, voire les mensonges.

L'an dernier, je crois, j'étais tombée par hasard sur un "Envoyé Spécial" avec un reportage sur les OGM. Je n'y connais rien. Mais quand ils ont montré un paysan allemand avec un tas de vaches mortes, les pattes raides tendues vers le ciel, et que le discours, c'était qu'il y avait un champ d'OGM (ou qu'elles avaient mangé des aliments à base de ... je sais plus), je me suis demandé comment on pouvait penser qu'on allait croire des choses pareilles. J'avais écrit à l'émission pour dire combien j'étais outrée. Dans la réalité, ces vaches étaient mortes d'une maladie. Comment veux-tu que j'entre dans le choeur des détracteurs des OGM quand ils sont aussi manipulateurs et menteurs. Je ne sais pas si les OGM ne présentent que des risques ni même s'ils présentent des risques si graves que ça. Je pense également que les risques ça fait partie de la vie.

Ce qu'on appelle le "principe de précaution" me semble du reste, une idée bien risquée. Il y a aussi des risques dans les idées, non ? Pour ce qui est de celle-ci, le risque que j'y vois, c'est que, pour ne pas prendre de risque, il ne faut plus bouger... Et encore ! Astérix savait bien que le "ciel pourrait nous tomber sur la tête". S'ils avaient connu le principe de précaution, peut-être nos lointains ancêtres, ne seraient jamais descendus des arbres : on ne sait jamais ce qui peut arriver à marcher ainsi sur le sol et ils 'avaient même pas mis leurs chaussures !

L'idée du principe de précaution est une idée à hauts risques :
- celui de renoncer à chercher à améliorer, à partir de là où on en est (ça s'appelle le progrès, je crois) ;
- celui de nous faire vivre dans une position toujours en réaction (NON à ... ) ce qui coupe tout élan, toute créativité, toute invention - un monde inerte et hyper conservateur, d'enfants impuissants et boudeurs ;
- celui de vivre dans la peur de ce qui pourrait arriver, avec son corollaire : le sentiment permanent d'impuissance qui nous mettrait dans une position infantile...
J'arrête, ça me fout les boules d'imaginer les conséquences néfastes pour l'esprit humain du principe de précaution.

Allez, Renée, nom de Dieu ! Tu crois que j'ai que ça à faire de philosopher toute la matinée ??? J'ai ma compta, moi, madame et mon repassage !!!!
Désolée. Je me suis laissée emporter par un de mes chevaux de bataille : la perte du pouvoir de penser au profit de la peur. Il me semble que c'est la bagarre de mes prochaines années. Je te souhaite une bonne journée et de bien avancer dans ton tricot.

Informatique,
Internet,
agritourisme et
vente directe

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=7194

Irish family
Mrs. Donovan was walking down O'Connell Street in Dublin when she met up with Father Flaherty.
The Father said, 'Top O the mornin' to ye ! Aren't ye Mrs. Donovan and didn't I marry ye and yer hoosband 2 years ago ?'
She replied, 'Aye, that ye did, Father.'
The Father asked, 'And be there any wee little ones yet ?'
She replied, 'No, not yet, Father'.
The Father said, 'Well now, I'm going to Rome next week and I'll light a candle for ye and yer hoosband.
She replied, 'Oh, thank ye, Father.'
They, then parted ways.

Some years later they met again. The Father asked, 'Well now, Mrs. Donovan, how are ye these days ?'
She replied, 'Oh, very well, Father !'
The Father asked, 'And tell me, have ye any wee ones yet ?'
She replied, 'Oh yes, Father! Three sets of twins and 4 singles, 10 in all !'
The Father said, 'That's wonderful! How is yer loving hoosband doing ?'
She replied, 'E's gone to Rome to blow out yer fookin' candle.'


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