Nos amis écologistes ont ressorti le 3 avril 2008 un article sensationnaliste d'Hervé Kempf, paru dans Le Monde le 19 janvier 2002, article destiné à faire peur des OGM, et plein d'assertions qu'aucun fait n'a depuis 2002, permis (heureusement !) de corroborer
Hervé KEMPF: "Les OGM, ça sert aussi à faire la guerre"
Voir : http://internationalnews.over-blog.com/article-18410183.html


Ma remarque (GW) : Internet ne pardonne pas. Une absurdité ou même simplement une erreur proférée en 2002 garde tout son impact médiatique six ans après. Méfions nous !
Un autre souci : ni les droits de M. Kempf ni ceux du journal Le Monde ne sont pas pris en compte.


EFITA 2009 / Joint International Agricultural Conference – Call for abstracts
See: http://www.jiac2009.nl/
Contact: Ramon DE LOUW
E-mail: r.p.m.de.louw(a)minlnv.nl


Tour de France and agrotourism offers
This year again I will develop some Google maps showing the stages of the Tour de France 2008.
You can see the first steps on: http://www.hotels-in-france.nl/index.php/Le-Tour-2008.html
The map is online since 20 may 2008.
The markers on the map have infowindows. Agrotourism companies can add their accommodation on this map in one of the infowindows.
Contact: Rene HUSKEN
E-mail: r.husken(a)home.nl

Pensée du jour
Le monde est une comédie dont les philosophes sont les spectateurs - PYTHAGORE
Signalé par Serge LE DOARE
Mél : serge.le.doare(a)wanadoo.fr


Thought of the day
God must have loved the people in power, for he made them so much like their own image of him - Kenneth PATCHEN, poet and novelist (1911-1972)


Encore merci pour votre gazette, informative, polémique, philosophique à l'occasion et souvent drôle...
Contact : Fred DOUTAU
Mél : f.doutau(a)groupe-esa.com


Merci d'avoir organisé un colloque du 7 mai sur ce sujet passionnant des Web Télé
Contact : Jean-Paul HEBRARD
Mél : jean-paul.hebrard(a)farmerstv.com


Je vous remercie pour votre gazette que je lis avec plaisir et pour ne rien en perdre dans le futur, je vous signale que nous changeons d'adresse mail
Contact : Romain ESCUDIER
Mél : escuagro(a)orange.fr


Encore merci et compliments pour votre gazette dans laquelle je vais toujours butiner avec grand plaisir
Contact : Marc BUYS
Mél : buysmarc(a)aol.com


Du côté des terrasses d'Eole dans la Vaucluse (un coin de paradis malgré une panne de gazette !)
J’espère que vous allez bien, ainsi que votre famille. Je viens prendre quelques nouvelles, car je ne sais pas pourquoi mais je ne reçois plus votre gazette, et c'est bien dommage… Si vous pouvez y faire quelque chose… De mon côté tout se passe bien, l’éolienne est maintenant en place au domaine, on attend le vent…
Dans l’agréable attente de vous lire, amitiés,
Voir : http://www.terrasses-eole.fr
Contact : Stéphane SAUREL
Mél : stephane(a)terrasses-eole.fr


Gazette des retraités
Je souhaite continuer à recevoir votre gazette en retraite même si les guerres de religions sur les OGM tournent un peu( beaucoup) en rond et prennent une place un peu trop grande. Le reste fourmille de renseignements. Bravo donc !
Contact : Yves TIRILLY
Mél : yves-trilly(a)orange.fr

Lecteur assez assidu de cette gazette dont j'apprécie le contenu, je me permets de vous faire part de mon sentiment sur le débat toujours en cours concernant les OGM
Petit vigneron dans le bordelais depuis maintenant plus de 25 ans, en agriculture raisonnée (Terra Vitis) et acteur dans cette démarche, je demeure persuadé que le sujet essentiel de l'agriculture d'aujourd'hui est la profonde mutation que celle-ci traverse, mutation qui concerne aussi bien la production que sa mise en marché. Il me semble que le débat sur les OGM, en monopolisant toute notre attention, est en train de nous détourner de ce sujet de fond.

C'est la gazette du 27 mars qui m'a mis mal à l'aise, et les suivantes ont fortifié ce sentiment.
Mr Waksman, je ne vous connais pas, mais j'apprécie la qualité informative de votre gazette, je ne connais pas non plus Mr Velot mais j'ai aussi beaucoup apprécié la clarté de ses propos sur la vidéo que j'ai pu suivre sur Internet. Mais je ne vois pas comment l'information apportée en filigrane, que l'un ou l'autre de vous deux privilégierait sa militance au détriment de son travail, apporterait au lecteur un élément de compréhension supplémentaire... Par contre ces propos me semblent assez significatif de l'endroit où nous sommes arrivé dans ce débat: j'ai l'impression que tous les arguments sont épuisés et que seule une suspicion réciproque occupe définitivement l'espace qui lui est consacré.
En résumé: Il faudrait être POUR au nom de la science, du progrès et de la liberté ou CONTRE au nom de l'éthique, du respect du vivant, de la santé humaine, et aussi également de la liberté. Les POUR sont les "purs" qui résistent à la pensée dominante du moment et qui auraient l'histoire pour eux, les CONTRE sont les "purs" qui défendent la Vie et dont les générations futures seraient redevables. Mais on peut dire aussi que les POUR sont les aveugles scientistes soudoyés par les multinationales, et que les CONTRE sont des passéistes à la recherche d'une notoriété médiatique. Et c'est sur ce débat stérile qu'il faudrait prendre position?

Si on oublie l'aspect de fond et que l'on regarde juste la forme qu'a prise ce débat, il me semble évident:
1 qu'il est une extraordinaire publicité gratuite offerte à Monsanto, car au moindre article cette société est cité (je ne doute pas qu'elle doit retrouver en mieux la prospérité qui était la sienne du temps ou le glyphosate était sa pleine propriété). Ce débat ne freine en rien la volonté hégémonique des multinationales phytosanitaires sur la production mondiale agricole.
2 que le consommateur peut toujours acheter en toute naïveté et en bonne conscience (il ne veut pas d'OGM) les produits alimentaires les moins chers sans voir la répercussion que ce mode de consommation a et va avoir, sur les acteurs et les paysages du monde rural. L'agriculture industrielle s'étend dans tous les secteurs et marginalisera, de plus en plus, une agriculture respectueuse de l'environnement et de ses acteurs.
3 qu'il jette un discrédit sur les institutions de recherche et de contrôle alimentaires publics, ainsi que sur l'ensemble du personnel de ces établissements. Cela conforte les responsables politiques qui veulent privatiser ces établissements.

Avec ou sans OGM la question vitale d'une agriculture soumise à quelques trusts, d'une agriculture sans paysans et sans diversité, d’une agriculture aux échanges inégalitaires, demeure entière. En focalisant le débat sur l'aspect technique de ces produits (contamination ou non, impact sur la santé ou non), quelle que soit l'option choisie, les tenants de ce débat cachent, sans le vouloir, les enjeux essentiels. A mon avis, c’est l’accélération de l’industrialisation agricole et de ses conséquences sociales et environnementales qui devraient être, au centre de nos actuelles préoccupations. Aussi je souhaiterais que les différents tenants de ce débat sur les OGM répondent à des questions qui permettent de situer celui-ci dans un contexte plus général de l’évolution de l’agriculture d’aujourd’hui. J’incite les lecteurs de cette gazette à soumettre les questions qui leur semblent vitales, pour ma part je proposerais aux intervenants les questions suivantes :
 Sachant que les innovations sont nécessaires à nos devenirs, mais que celles-ci perturbent d'une manière durable l'environnement et creusent les inégalités entre les individus, quelle(s) priorité(s) assignerez-vous à la recherche agricole? Peut-elle rester uniquement sectorielle? Quelle(s) fin(s) peut-on donner raisonnablement à la sélection variétale ? La fin de la faim?... Quel est le danger le plus important pour l’humanité, le développement des cultures OGM ou l’affaiblissement du secteur public de la recherche agricole?...A travers le transfert des gènes, une autre compréhension du classement du "vivant" n’est-elle pas nécessaire ?...

Ma lettre est un peu longue, ne souhaitant pas rentrer dans une polémique quelconque avec les uns ou les autres (je n’aurais ni le temps ni les compétences techniques pour y répondre) je vous demande seulement de faire état de mon avis, sur l’impasse dans laquelle se trouve ce débat, et donc de le remettre dans le contexte actuel, qui "ici ou là-bas", évolue à très (trop) grande vitesse. Merci
Voir : http://www.bichonvins.com/
Contact : Jean-François LESPINASSE
Mél : bichon.cassignols(a)wanadoo.fr


Ma réponse (GW) : Votre courrier est intéressant.
Pour ce qui concerne M. Velot, il n'est pas difficile de consulter sa liste de publications. C'est très, très modeste. Se présenter comme scientifique, et ne rien publier, ce n'est pas vraiment une marque de sérieux.
Mais pour moi, le débat n'est pas sur les OGM. Il est sur les peurs. Je me refuse à être la proie de marchands de peurs et d'illusions, avides de se constituer un capital électoral ou médiatique. Lorsque les OGM et les pesticides auront cessé de faire peur, ces marchands de peurs trouveront rapidement – je n'en doute pas un instant – d'autres arguments pour critiquer l'Agriculture et les agriculteurs… C'est toujours plus facile que de critiquer Dassault, Bolloré, Arnault, Bouygues, Rothschild et quelques autres (Areva !) qui contrôlent une bonne partie des médias…


Sur les lobbies environnementaux : une intervention de M. Rivière-Wekstein lors d'une session de la Chambre d'Agriculture de l'Allier
Voir : http://www.allier.chambagri.fr/spip.php?
rubrique18&parent=sousMenuInfoAgricole&lib1=Actualit%C3%A9%20du%20mois

Est-ce que nos équipes européennes de recherche se mobilisent vraiment sur ce sujet de la rouille noire ? Il y a bien eu un article sur le sujet dans "Le Monde" mais nos média français n'ont pas l'air trop inquiet (pour une fois !). Il semble pourtant qu'aucune société privée n'ait de solution chimique phytosanitaire contre cette "maladie orpheline". Les biotechnologies végétales pourraient être la solution, mais il faudra attendre au moins 10 ans (minimum) avant que ce gène ne soit isolé et que des variétés commerciales viennent sur le marché… Est-ce que l'INRA "inventera" la solution miracle… sans être "dépendant" des sociétés capitalistes privées, "seulement " intéressées par le vil profit ? Bonne chance… (Suite à la contribution de M. Auxenfans sur ce danger dans la gazette du 8 mai)
Cette note courte a pour objet de faire le point suite au message d’alerte de la FAO  concernant  l’apparition puis la dispersion de la nouvelle race de rouille noire du blé UG 99 en Iran fin février 2008 après une apparition au Yemen en 2007, détection qui faisait suite à des épidémies sérieuses en Afrique de l’Est, région d’origine de cette race. Il est relevé par la  FAO  un risque de dissémination qui pourrait compromettre la production de blé dans de nombreux pays d’Asie Centrale ou du Sud et modifier les équilibres en matière de disponibilité du blé en  2008, dans l'hypothèse d'une dissémination plus large touchant des zones à récolte de blé estivale ou plus vraisemblablement en 2009 étant donné les récoltes en grande partie achevées dans les zones les plus proches du  foyer iranien de 2008. Il s'agit enfin  de dégager les risques pour la production française de blé et les moyens de gestion au cas peu probable mais jamais impossible où...

 Historique en France : La rouille noire du blé due à Puccinia graminis est  un fléau historique de la culture du blé entraînant une réduction importante de la récolte, première maladie en terme de dégâts, elle a fait l’objet d’une lutte efficace avec l’éradication quasi totale de son hôte alternatif : l’épine vinette des zones de cultures de céréales ou à proximité des parcelles cultivées. La maîtrise complète de la maladie est intervenue, au milieu du siècle précédent,  avec la sélection de variétés intégrant des gènes de résistance à la maladie. Cette technique a permis le contrôle absolu du pathogène pendant plus de 50 ans au plan mondial. Il s’agit là d’une durabilité exceptionnelle de la  résistance génétique, disparition quasi complète  de la rouille noire mais non éradication puisque sa présence continuait à être observée en France dès lors que des variétés anciennes non porteuses de gènes de résistance étaient semées dans des essais (C Pope, communication personnelle)  ou de façon épisodique dans des pays du sud et de l’est de l’Europe n’ayant pas encore adopté  ces variétés.

Ailleurs dans le monde : Une quasi disparition de rouille noire a également été également observée dans l’ensemble des régions du globe où le blé est à la base de l’alimentation. Des variétés  portant un même gène conférant la résistance à la rouille noire (Sr 31) ont été développées au cours de la "révolution verte" dans la plupart des variétés de blé cultivées notamment celles utilisées en Afrique de l’est. C’est le contournement de ce gène par une nouvelle race de rouille noire Ug99 identifiée en  Ouganda en 1999 qui est à l’origine de l’épidémie actuelle dans la corne de l’Afrique, gagnant le Kenya en 2001, l’Ethiopie en 2003 puis le Yemen et le Soudan en janvier 2007. Une proportion de spores insignifiante mais suffisante pouvant être transportées sur de longues de distance par le vent dans le sens des vents dominants. Début 2008  l’Egypte, Turquie , l’ensemble du  moyen orient puis l’Inde, étaient potentiellement menacés à terme par l’épidémie. La détection fin février  2008 d’un nouveau foyer de la maladie en Iran sur les localités de Broujerd et de Hamedan à l’ouest du pays a confirmé ce risque avec un signalement en date du 5 mars 2008 par la FAO. L’organisation mondiale chargée de l’agriculture (FAO) et la Borlaug Global Rust Initiative (BGRI), organisation mise en place pour combattre la rouille des céréales dans le monde entier affichent une grande préoccupation face à  cette évolution car,  même si des parades génétiques existent,  près de 80 % des cultivars développés au plan mondial sont exposés à la maladie.

Quels risques et quels moyens de gestion en France : Les conséquences de l’extension de la maladie hors de l’Afrique de l’Est seront fonction des génétiques mises en œuvre pour contrôler la maladie dans les pays concernés. Le recours au même gène de résistance que celui développé dans les pays d’Afrique de l’est entraînera les mêmes conséquences. La France est dans tous les cas non concernée actuellement.  Même dans l’hypothèse la plus pessimiste, elle ne pourrait être touchée que tardivement dans le cadre d’une épidémie qui pourrait concerner des zones géographique très vastes, étant donné la distance et la direction des vents dominants par rapport aux zones actuellement contaminées par la race UG99.

Dans tous les cas la disponibilité  de fongicides efficaces sur l’ensemble des rouilles constitue une parade très efficace contre toute épidémie, en raison de traitements réalisés contre diverses maladies avant la phase de développement de la rouille noire au cours de la saison.  Ces traitements seraient plus spécifiques, dans l'hypothèse d'une introduction de la race UG 99 de rouille noire  sur le territoire français,  dans la mesure où l’alerte serait  donnée suffisamment tôt, pour les régions ou les productions où ces traitements sont moins usuels.

Des triazoles tels le propiconazole ou le tebuconazole sont identifiés comme particulièrement efficaces en Australie. C’est  probablement le cas  pour l’époxyconazole, le cyproconazole ou le metconazole. Une efficacité comparable voire plus persistante est attendue avec l’ensemble des strobilurines efficaces sur rouille brune et rouille jaune du blé.

Ce moyen de gestion permettrait de protéger les récoltes françaises durant les 5 ou 6 ans que prendraient l'introduction de nouveaux gènes de résistance à la race UG 99 dans les variétés correspondant aux critères technologiques ou de résistance aux stress biotiques et abiotiques propres à la production française.

Il est donc possible d'être raisonnablement serein  pour l’agriculture française face à ce phénomène, mais il convient de toujours  rester vigilant et particulièrement préoccupé par la situation des pays davantage  exposés à ce bio-agresseur.
Contact : M.DELOS - Expert Grandes Cultures et Biovigilance
Mél : marc.delos(a)agriculture.gouv.fr

Débat environnemental : les agrocarburants emboîtent le pas des OGM
Alors que la pertinence d'un développement massif des agrocarburants est de plus en plus remise en doute, les spéculations vont bon train et la bataille des déclarations et communiqués fait rage y compris entre les ministères. Tour d'horizon.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/
debat_ogm_agrocarburant_biocarburant_borloo_bussereau_4968.php4


Ma remarque (GW) : Et si les gens qui ne s'opposent pas par principe aux OGM sont des "vendus à Monsanto", on pourra dire (ce sera aussi ridicule !) que ceux qui s'opposent par principe aux agrocarburants, sont des "vendus aux pétroliers Total et Exxon".

Les nouvelles technologies au service des relations agriculteurs / fournisseurs - Enjeux et perspectives dans les démarches de conseil et d’accompagnement.
12 juin 2008 - PARIS
- Comment les nouvelles technologies de l’information et de la communication ont et vont encore changer la relation entre négoces et agriculteurs
Benoit Presles, Directeur de la Communication et des Services - Agridis
- Déployer des services en ligne pour renforcer, optimiser et fidéliser les relations avec ses adhérents
Maxime Tucou, Chef de Projet Extranet - Euralis
- Perspectives, recherches et développements sur les outils extranet au service du conseil agricole
Vincent Ayala, Chef de produit agreo grandes cultures - Neotic
- Les parcelles vues du ciel interprétées et traduites en conseils agronomiques
Henri Douche - Infoterra
- Mettre en place la certification du conseil et des services en s’appuyant sur les technologies de l’information et de la communication
Brice Guilloteau, Responsable services aux agriculteurs - CAVAC
Contact : Stéphanie LUGASSY
Mél : slugassy(a)neotic.fr


Des nouvelles technologies pour une agriculture durable
15 juin – BOULAY-LES-BARRES (45)
Dans le cadre de la route du blé 2008, qui traverse notre beau et bon pays Loire-Beauce, je propose une après midi de démonstration et d’échanges sur notre vision de l’agriculture de demain !
Voir: http://www.dumgest.fr/
Sur mon blog : http://www.agriculturejetaime.com/remdumdum
Contact : Rémi DUMERY
Mél : dumgest(a)gmail.com


Deuxième Forum Planète Terroirs
26 et 27 juin - Dentelles de Montmirail 2008
La question des terroirs intéresse et interroge notre agriculture et celle du Sud. Les terroirs donnent du sens et de nouvelles perspectives, plus encore aujourd'hui où le problème de la sécurité et de la sûreté alimentaires est posé dans le monde.
Riche de visites, de découvertes, de témoignages locaux et internationaux, d'expériences et d'apports multiples, ce Forum doit nous permettre de poursuivre les réflexions et les travaux sur les enjeux des terroirs et leur devenir.
Comme pour le précédent Forum qui s'est tenu en Aubrac en septembre 2006, l'UNESCO nous a accordé son patronage.
Voir : http://www.terroirsetcultures.asso.fr/
Contact : Karine LAGARDE
Mél : terroirsetcultures(a)yahoo.fr


Q: Why do female black widow spiders kill their males after mating?
A: To stop the snoring before it starts.
Contact: I. KITRON
E-mail: kitron1(a)terra.com.br

Appel à communications : Symposium ECOTECHS'08 - Des éco-indicateurs à l'évaluation et à la certification environnementale
Le Cemagref organise à Montoldre les 21 et 22 octobre prochains le symposium 'ECOTECHS 2008' sur le thème "Des éco-indicateurs à l'évaluation et à la certification environnementale"
Ce symposium traite de l'évaluation et de la certification environnementale pour l'agriculture et les filières de recyclage en lien avec l'agriculture (effluents d'élevage, boues, compost, déchets ménagers).
Ce symposium est destiné à répondre à deux questions :
- Où en est-on en matière d'évaluation et de certification environnementale (état des lieux, perspectives…) ?
- Quels outils et éco-indicateurs mettre en place pour mener à bien ces démarches en se concentrant plus particulièrement sur :
- les outils existants pour la certification environnementale (écolabels...)
- les outils d'évaluation environnementale tels que les éco-indicateurs, les outils de diagnostics environnementaux, l'Analyse de Cycle de Vie
- les écotechnologies par le biais notamment de l'écoconception et l'éco-évaluation.
Nous invitons les auteurs à soumettre leurs contributions sur ces thématiques qu'elles soient scientifiques ou techniques. Les contributions feront l'objet d'un article de 6 à 8 pages et d'une communication orale ou d'un poster intégré dans les actes du symposium :
- Date d'envoi des résumés (1 page max) : 15 mai 2008
- Notification de l'acceptation : 13 juin 2008
- Date d'envoi des articles : 31 juillet 2008
Pour plus d'informations : http://www.clermont.cemagref.fr/Geapa/ecotechs08/ecotechs08.htm
Contact : Marilys PRADEL
Mél : marilys.pradel(a)cemagref.fr


Tout sur la FCO
Voir : http://www.fcoinfo.fr


La Semaine du développement durable, un succès dans toute la France
Consacrée cette année à la production et à la consommation durables, la 6ème édition de la Semaine du développement durable a suscité 2 673 initiatives, soit une augmentation de plus de 200% du nombre de projets par rapport à l’édition 2007 de la Semaine du développement durable, occasionnant ainsi près de 10 000 manifestations sur l’ensemble du territoire. Les thèmes les plus traités par ces initiatives locales sont : la gestion des déchets, l’énergie, l’alimentation, l’habitat, le transport et la biodiversité.
Voir : http://www.developpement-durable.gouv.fr/article.php3?id_article=3067