Merci beaucoup d'avoir signalé la journée nationale du don d'organes (Gazette du 19 juin). C'est une cause qui me tient beaucoup à cœur
Peut-être grâce à toi certains réfléchiront et prendront une décision.
Bien entendu, je suis à disposition pour toute information sur ce sujet.
Contact : Yolande BERTRAND-LABORDE
Mél : contact(a)albedoconseil.eu


Als die Nazis die Kommunisten holten, habe ich geschwiegen; ich war ja kein Kommunist (Gazette du 8 mai)
La pensée du pasteur Niemöller, je la croyais de Brecht. N'importe c'est la pensée qui est importante, pas la personne qui l'a dite.
Contact : Olivier CASSOU
Mél : olivier(a)cassou.fr


Ma réponse (GW) : Effectivement, cette pensée est parfois attribuée à Bertold Brecht…


Je ne retrouve pas l'histoire drôle qui met en scène G. Bush cherchant à améliorer sa politique en consultant la Reine d'Angleterre
Pouvez-vous me la renvoyer ou me dire la date de la lettre correspondante (le libellé de la devinette est difficile à retrouver et il est fondamental !) ?
Contact : Jean Marie BOISSON
Mél : jean-marie.boisson(a)univ-montp1.fr


Ma réponse : http://www;acta-informatique.fr?d=7105


Un blog qui m'a paru intéressant
Voir : http://recherche-solidarite-sud.midiblogs.com/sciences-technologie/
Contact : Jean AYMARD
Voir : jean-aymard(a)wanadoo.fr

Un de mes plus grands bonheurs est d'avoir vu grandir nos 4 enfants et aujourd'hui nos petits enfants. Et si je comprends bien la politique chinoise de l'enfant unique, je plains les chinois (A propos de "Faire des enfants tue")
L'humanité s'est réduite à 2000 individus aux pires moments de son histoire, c'est normal que nous ayons dans nos gênes, comme moyen de préserver l'espèce, la procréation, à tout prix. Les religions s'en font largement écho. Mais les choses ont changé, et je ne suis pas déprimé, mais réaliste.
La décroissance démographique est la seule solution réaliste à nos problèmes environnementaux.
S'ajoute un autre problème : Mais pourquoi faites-vous des enfants ?
"Mais pour qu'ils assurent mes vieux jours, pardi".
En France nous collons une dette de 20 000 € à chaque nouveau né, mais de plus, nous comptons sur lui pour assurer notre vieillesse.
Quand allons-nous arrêter cette spirale infernale ?
J'ai la joie d'avoir une petite fille de 2 ans ! Quel bonheur !
Un autre petit enfant au maximum me satisferait pleinement.
Mon activité professionnelle n'a eu qu'un but : élever mes enfants et assurer mes vieux jours sans peser ni sur eux, ni sur la société.
En passe d'atteindre cet objectif je lève le pied pour alléger le poids de mon empreinte écologique.
J'ai 56 ans, je suis heureux, je fais du tango http://tango-velours.fr
Dans une nation civilisée avant de faire des enfants, on s'inquiète de savoir si on pourra les loger.
Si tout le monde vivait comme moi il faudrait 4 planètes, nous n'avons qu'une seule planète ! Il faut donc diminuer le nombre de gens comme moi.
Bruno, pas du tout déprimé.
Contact : Bruno CHAUMONTET
Mél : bruno(a)chaumontet.net


Ma réponse : Votre idée sur la dette léguée à nos enfants est partagée par beaucoup de gens mais elle m'est toujours apparue comme rigolote, parce que nous leur léguons aussi un haut niveau de formation, des infrastructures de toutes sortes, des usines, des écoles, des résultats de travaux de recherche, des œuvres d'art. Ceci dit, rien ne nous empêche d'essayer de diminuer cette dette dont vous faites état.
Et puis en ce qui concerne l'idée que vous vous faîtes des enfants et des raisons que nous avons envie d'en avoir ou pas, je n'ai rien à en dire. C'est de l'ordre de l'intime bien sûr.
Soyons raisonnable et sachons séparer ce qui est du ressort de nos choix personnels de ce qui est du ressort de choix collectifs.
Rappel : dans un pays comme la France, la transition démographique a commencé vers 1750…


"Faire des enfants tue" : mes amis écologistes ont des amis neurasthéniques, malthusiens et légèrement fêlés… mais ne leur dîtes pas : ils sont trop contents de se sentir "persécutés"
Je ne vais pas vous reprocher vos 4 enfants. Mais en même temps, heureusement que ça devient assez rare.
En 1975, le nombre moyen d'enfant par femme était d'environ 4 et la planète comptait 4 milliards d'habitants. Avec 4 enfants, la population double en gros tous les 30 ans. Nous serions donc environ 8 milliards aujourd'hui et la population dépasserait 16 milliards avant 2050.
On peut plaindre les chinois mais le sort de beaucoup d'africains, d'indiens, etc. n'est pas non plus très enviable et l'explosion démographique y est pour quelque chose. D'ailleurs, la baisse de la natalité ne passe pas forcément par des mesures autoritaires du type enfant unique. L'éducation, l'amélioration du statut des femmes, entre autres, sont aussi des moyens efficaces.
Les "malthusiens" ne sont pas tous neurasthéniques. René Dumont, favorable à la limitation des naissances, était assez combatif, pour ne donner qu'un exemple. Je n'ai pas trouvé le livre de M. et D. Tarier très intéressant et je n'aime pas son titre, mais je ne vois pas en quoi c'est un symptôme de dépression.
Contact : Jean-Claude LEBRETON
Mél : jean-claude.lebreton701(a)orange.fr


Ma réponse (GW) : Le grand René Dumont ne se ridiculiserait pas aujourd'hui en prônant la limitation des naissances en Europe… Tout le monde sait, comme vous le dîtes, que l'élévation du niveau d'éducation des filles est la condition nécessaire et suffisante de la baisse de la natalité d'une part et que d'autre part, en Europe nous avons un taux de natalité très faible.
Simplement, à mon sens, M. Tarier et un certain nombre de pseudo-écologistes veulent régenter nos vies, ce que je trouve plutôt rigolo.
Enfin permettez-moi de penser que ce sont nos enfants qui nous éduquent et que seuls nos enfants savent nous contester...

Lecteur assez assidu de cette gazette dont j'apprécie le contenu, je me permets de vous faire part de mon sentiment sur le débat toujours en cours concernant les OGM (en écho à la contribution de M. Jean-François LESPINASSE dans la gazette du 29 mai)
Je n'ai pas pour habitude d'intervenir sur ce type de débat sans fin mais je vous remercie de votre intervention qui restitue de façon pragmatique selon moi les priorités : quelle agriculture voulons-nous demain ? Comment maintenir et augmenter le capital naturel ? Comment ne pas oublier l'équité sociale (dans sa dimension locale et globale) dans nos modèles de développement dits "durables" ?
Merci donc de votre éclairage citoyen salutaire.
Contact : Valery MORARD
Mél : valery.morard(a)wanadoo.fr


Lecteur assez assidu de cette gazette dont j'apprécie le contenu, je me permets de vous faire part de mon sentiment sur le débat toujours en cours concernant les OGM (en écho à la contribution de M. Jean-François LESPINASSE dans la gazette du 29 mai)
Issu d'une famille d'agriculteurs, je me suis retrouvé, un peu par hasard, destinataire de votre lettre hebdomadaire en 2005. C'est avec plaisir que je reçois chaque semaine, depuis maintenant 3 ans, votre courrier. C'est avec intérêt que je lis les différentes contributions qu'elle contient. J'avoue parfois une lecture en diagonale, pris par le temps, ma famille grandissante, et mes activités professionnelles. J'avais envie de dire "comme tout le monde"...

Je ne sais pas ce qu'il en est pour les enfants issus d'autres secteurs professionnels, mais pour ma part, je vois certes l'activité agricole commune profession pour ceux qui l'exercent, mais aussi pour une sorte de mission double, consistant à la fois à entretenir et protéger notre "bonne vieille Terre", et en même temps, en la respectant, à nourrir les populations qui vivent dessus. Ce n'est pas tout à fait la même chose que vendre des produits financiers...

Je vous écris pour soutenir les propos parus dans l'exemplaire de la semaine passée et rédigés par JF LESPINASSE. Je suis entièrement d'accord avec lui : les OGM ne sont qu'une partie émergée de l'iceberg de l'évolution agricole dans laquelle nous sommes plongés depuis quelques années. Et comme toute évolution, elle suscite des peurs, ce qui fait le lien avec votre réponse fort-à-propos.

La population mondiale allant croissant, et chacun voulant toujours se nourrir de façon plus riche à moindre coût, se pose inévitablement le problème d'une agriculture industrielle plus performante... Compte tenu des enjeux économiques présents derrière tout cela, il y a fort à parier que nulle agriculture artisanale, même fortement organisée, ne parviendra à retourner la rampe de lancement sur laquelle s'affrontent les groupes industriels de l'agroalimentaire.

À partir de là, je suis partagé, persuadé que rien n'est blanc, rien n'est noir. Mais que le chemin à trouver se trouve au milieu entre gris clair et gris foncé. Il faut une recherche agricole performante pour de multiples raisons. Pour qu'elle soit performante, elle a besoin d'argent. Il est évident que les premiers aptes à fournir cet apport sont les grands groupes industriels. Néanmoins, il faut également des produits de qualité plus rares (et donc plus chers) pour conserver notre patrimoine gustatif dans toute sa diversité. Là aussi, des enjeux considérables existent, en particulier en France, compte tenu de notre passé (et, je l'espère notre avenir) dans le domaine de la gastronomie.

Spécifiquement sur le sujet OGM, il est inévitable que les grands groupes industriels s'intéressent à la question. L'ultime étape avant commercialisation "à tout-va" est forcément la culture en champs. Pourquoi pas ? Et en tout cas, mieux vaut une expérimentation réglementée transparente, plutôt que des tentatives non avouées et dont nous découvrirons trop tard les conséquences, comme cela a pu être le cas par le passé dans d'autres démarches expérimentales industrielles de l'agroalimentaire. Pour moi, la question qui importe dans ce domaine spécifique, c'est être capable de rédiger (et faire adopter) une loi qui réglemente rigoureusement ces conditions d'expérimentation. Dire non à l'expérimentation, consisterait à dire non à la recherche. Mais que serions-nous aujourd'hui sans recherche et sans expérimentation durant les siècles qui nous précèdent ?

Cette problématique me paraît donc également s'inscrire dans un sujet plus global : trouver le bon compromis entre une agriculture rurale, de proximité, entretenant le territoire, surveillant son évolution, ayant le moyen de ne pas laisser en friche des petits morceaux de terre qui paraisse inexploitables observés à trop grande échelle, avec des productions raisonnées et de qualité..., et une agriculture industrielle, à moindre coût, nourrissant massivement les populations, investissant dans une recherche saine, contrôlant drastiquement les conditions de production et la qualité alimentaire de ce qu'elle écoule.

J'espère n'avoir blessé ni choqué personne par mes propos. Ce n'est surtout pas le but. Je vous remercie par avance de votre lecture et vous souhaite bon courage pour continuer à nous livrer chaque semaine une information passionnante.

Contact : Denis JEANJACQUOT
Mél : denis.jeanjacquot(a)orange.fr

Vous vous trompez, il me semble, au moins sur un point, c'est sur la demande des consommateurs. C'est peut-être malheureux mais dans les sondages les consommateurs demandent des poulets élevés en plein air, et au supermarché, ils achètent les poulets les moins chers. Plusieurs raisons à cela : les clients ont des difficultés financières (ah le pouvoir d'achat !) ou ne veulent plus consacrer autant d'argent qu'avant à la nourriture ou pensent que la différence de qualité ne justifie pas la différence de prix (Intervention de GW dans la gazette du 27 mars)
Je ne fais pas la même analyse que vous.
Tout le monde n'achète pas le poulet le moins cher, et la consommation de produits bio augmente de manière exponentielle...
Ce ne sont pas les dernières publications sur les ogm ou sur les pesticides qui vont inverser la tendance...

Dire qu'il y a un problème de pouvoir d'achat est un raccourci.

Tout le monde n'a véritablement de pouvoir d'achat.
Il n'y a qu'à voir le nombre de foyers à faibles revenus qui ont un abonnement satellite + internet + téléphone portable + la clope....
C'est juste le fait qu'une partie des gens consacrent leur budget à du confort matériel (lecteur DVD, voiture avec clim, etc.) au lieu de le consacrer à leur bien-être corporel (alimentation saine par exemple, non enrichie en pesticides).
Lorsque les gens commencent à prendre conscience de certaines choses, leurs habitudes alimentaires changent.
Par exemple, le vin en culture raisonnée contiendrait systématiquement des résidus de pesticides - selon une étude récente.
La concentration serait jusqu'à 5800 fois supérieure à celle autorisée pour la norme de potabilité de l'eau.
Encore une bonne raison pour le consommateur de mettre moins de 3 euros dans sa bouteille de vin, non ?

Si on regarde la concentration en pesticides des aliments conventionnels (même du pain blanc), il est souhaitable pour une grande majorité des professionnels (des fabricants de phyto jusqu'au boulanger) que le consommateur final ne sache pas ce qu'il mange...

Surtout que le fabricant de phyto n'a pas à payer les frais de dépistages de cancers, ni de soins aux patients... C'est tout bénef.

Si les "empoisonneurs" devaient supporter ces frais (et non le consommateur), l'ordre de grandeur des prix dans les supermarchés serait inversé entre produits biologiques et produits conventionnels.

Avec cette politique de l'autruche, le consommateur est bien berné.
En consommant des produits enrichis en pesticides, il croit faire des économies.
Or, c'est tout l'inverse. En effet, une grande partie de son salaire brut sert à payer les soins engendrés par ces mêmes pesticides...
De plus, ces pesticides le privent de ce qu'il a de plus cher : sa santé... et elle n'a pas de prix à ses yeux.

Donc, si d'aventure le consommateur continuait à prendre conscience de la supercherie dans laquelle on le traîne depuis des lustres, j'en connais qui ont de bonnes raisons de trembler pour leur avenir à moyen terme.
Contact : Franck PASCAL
Mél : franck.pascal(a)wanadoo.fr


Ma remarque (GW) : Côté consommateurs, où sont les victimes des "empoisonneurs" ? Qui est tombé malade ? Comment peut-on à la fois nous dire que nos régimes de retraite sont menacés par l'accroissement de notre espérance de vie et nous dire que l'environnement est devenu malsain, que les pesticides nous tuent ? Ce n'est pas vraiment logique. Côté applicateurs de produits, c'est une autre histoire…

Les agriculteurs recyclent leurs emballages, la suite... (en Gironde)
30 juin - 4 juillet
La Chambre d'Agriculture organise une collecte d’Emballages Vides de Produits Phytosanitaires (EVPP) du 30 juin au 4 juillet. Il suffit de les porter dans l'un des 60 sites du département qui participent à l'opération (cf liste ci-jointe).
Exceptionnellement, les Emballages Vides des Produits Fertilisants (EVPF) également appelés EVPF, big bags ou sacs d’engrais seront repris, mais seulement sur certains sites. Ils devront être fagotés, par 10 pour les Big bag et par 50 pour les petits sacs d’engrais.
Depuis 6 ans que ces collectes sont organisées en France, la Gironde se place parmi les départements champions : 75% du gisement des emballages des produits phytosanitaires mis sur le marché a été récupéré en 2007.
Le principe est simple : l'agriculteur porte ses emballages, ensuite pris en charge par un prestataire agrée pour l'élimination ou le recyclage. Impossible bien entendu d'imaginer un ramassage "à la ferme" car il faudrait aller chez les 9 000 viticulteurs girondins !
Brûler ou enfouir ces emballages, même en papier ou carton, est interdit et nuit à l’environnement. Ils ne doivent pas non plus être mélangés avec les ordures ménagères. C'est pourquoi les viticulteurs sont invités à les stocker à l’abri de la pluie, en attendant la prochaine collecte.
Voir : http://www.dechets-gironde.fr/
Voir : http://www.gironde.chambagri.fr/


L'émission no&a – Biomasse : l'innovation grandeur nature
18 septembre - EVREUX
Voir : http://www.novea-normandie.fr


Stage reconnaissance de la flore des vignobles
23 septembre – LEGTA Charlemagne - Carcassonne
Voir : http://www.afpp.net/Calendrier.htm


Les entretiens du nouveau monde industriel
3 - 4 octobre 2008 - PARIS
Voir : http://www.iri.centrepompidou.fr/nouveau_monde.php
Voir : http://www.digitallyours.fr/lesentretiens.html


The mid age man
The mid age woman says to her husband "Darling I have a question"
"Shoot" responds the mid aged man.
"I don't complain but... how comes that recently you ask for it EVERY NIGHT and you DO IT"
The mid age man thinks for a moment and he finds the answer "It's because I forget..."
Contact: Alecos TRINGIDES
E-mail: tringos(a)logos.cy.net

Impacts environnementaux des biocarburants : La filière DIESTER compte sur la nouvelle méthodologie de l’ADEME pour éclairer le débat
Paris, le 26 juin 2008 - L’étude lancée par l’ADEME, l’Institut Français du Pétrole, les ministères de l'Ecologie et de l’Agriculture et l’Office interprofessionnel des grandes cultures, va permettre de disposer d’éléments scientifiques objectifs pour évaluer les impacts environnementaux des biocarburants de première génération en comparaison de ceux des carburants issus du pétrole.

Analysant les impacts "filière par filière, culture par culture", cette étude doit permettre de clarifier les spécificités de chacune des filières, qu’elles soient françaises ou d’importation. Elle apportera ainsi des éléments permettant de lutter contre les récents amalgames qui tendraient à remettre en cause les avantages de l’ensemble des biocarburants, sans distinction d’origine ni de modalités de production.

En France, la filière Diester s’appuie sur la culture du colza et du tournesol sur des terres réservées à l’agriculture. Grâce à la production simultanée de tourteaux, cette filière limite aussi nos besoins en soja produit outre atlantique. C’est aussi un point essentiel à prendre en compte dans le suivi international de l’utilisation des sols.

Par ailleurs, la recommandation de poursuivre les travaux sur les émissions de protoxyde d'azote (N2O) devra permettre de clarifier ce débat scientifique.
Dans ce domaine, la filière Diester a mis en place une démarche de progrès afin d’améliorer ses performances énergétiques et gaz à effet de serre, qui vise notamment à réduire les apports en intrants azotés.

Réagissant à cette annonce, Philippe Tillous-Borde, Directeur Général de Proléa, a déclaré :
"Au cours des derniers mois, trop de simplifications ont été faites sur les biocarburants, sans prendre en considération les particularités liées à leur origine et leurs méthodes de production. Il est de notre devoir de souligner les spécificités de la filière Diester : une filière française organisée pour produire de manière maîtrisée un biocarburant - le DIESTER - dans le cadre de rotations bénéfiques pour l’environnement, et produisant simultanément des aliments pour les élevages. J’espère que cette initiative va remettre un peu d’objectivité dans le débat sur les avantages environnementaux des biocarburants de première génération. Cette étude devrait permettre d’identifier les critères de durabilité que nous appelons de nos vœux et qui devraient nous guider dans l’optimisation de notre filière de production."
Voir : http://www.prolea.com/fileadmin/extranet/fichiers/thematique/filiere/actualites/
communiques_2008/communique_080626.doc