Je ne reçois plus la gazette depuis deux semaines maintenant. Dommage. A quoi est-ce du? Est-il possible de la recevoir de nouveau?
Contact : Jean-Yves FRANCART
Mel : jyfrancart(a)yahoo.fr


Ma réponse (GW) : Yahoo.fr censure ma gazette. Il vous faut râler après eux mais je crains que cela ne serve pas à grand-chose. La semaine prochaine vous recevrez si tout va bien l'adresse de ma gazette sur notre site.


Afin de recevoir votre excellente gazette, merci de bien vouloir noter le changement d'adresse e-mail
Contact : Philippe CASTELLIER
Mél : philippecastellier(a)mpfdecojardin.com


Adresse perso
Cher Guy, Je n'ai plus vraiment le temps de lire votre intéressante gazette au bureau donc pourriez-vous remplacer mon adresse actuelle par mon adresse perso afin que je puisse la lire à la maison tranquillement ? Par avance merci.
Contact : Lucie HULIN
Mél : hulinlucie(a)yahoo.fr


Micro-ordinateurs mis au rébus (Suite à la gazette du 11 septembre)
Je profite de cette faute de frappe pour faire une proposition.
Une fois sur deux, les lignes de votre gazette sont plus longues que mon écran.
La solution la plus simple est donc de la lire sur le site "acta"
Avec un lien direct dès le début de votre gazette, ce serait encore plus simple.

En attendant je cherche le premier lien par exemple pour la gazette du 11/09 c'était
http://www.acta-informatique.fr/?d=5163
Ensuite je vais dans le menu gauche "Nos gazettes"
Ensuite je clique sur "Les dernières gazettes"
Ensuite sur celle du jour...
Donc un lien direct vers la dernière gazette m'éviterait 3 clics (eh! oui j'en suis là !)
Contact : Michel CORTIER
Mél : mcortier(a)terre-net.fr

Ours (Suite à la contribution de M. Laffont dans la gazette du 28 août)
Je partage bien des points apportés par l'analyse de Marc LAFFONT pour un autre regard pondéré sur l'agropastoralisme pyrénéen en cohabitation avec les démarches de préservation des faunes et flores locales, dénichée dans la gazette 35-2008.
Sur bien des sujets d'actualité cette production régulière ne tarit pas en débats sérieux ou amusants, toujours intéressants. Bien cordialement et bonne continuation,
Contact : Gérard BOZZOLO
Mél : bozzolo(a)ensat.fr


Petite étuve ? (Suite à la gazette du 21 août 2008)
Pour le monsieur qui cherche une petite étuve pour faire des matières sèches de graines, je lui suggère d'utiliser un four micro-onde : 3 séries de 3 minutes espacées d'une minute pour que ça ne s'enflamme pas. C'est très efficace et juste.
Contact : Jean-François DEVAUX
Mél : devaux(a)fr.oleane.com


Deux points de vue sur "La brevetabilité du vivant menace-t-elle l’agriculture ?" (Libération – 19 septembre 2008)

>>> José Bové Syndicaliste (Confédération paysanne)
Ces dernières décennies ont vu s’affirmer la volonté des firmes semencières puis agrochimiques de contrôler l’agriculture et l’alimentation par le monopole de la production des semences. Les transnationales veulent étendre leurs tentacules sur les paysans du monde. D’une part, avec les brevets sur le vivant, elles veulent imposer un modèle unique d’agriculture industrielle, basé sur les semences OGM et le développement de la vente des pesticides. Force est de constater que c’est un échec agronomique et un appauvrissement dramatique de la biodiversité.
D’autre part, avec le Certificat d’obtention végétale, les entreprises organisent le biopiratage, à travers le secret sur l’origine des plantes «découvertes» et la mise en œuvre d’«OGM clandestins» par de nouvelles méthodes de sélection, utilisées sans information ni débat. Le projet des multinationales est de remplacer la biodiversité librement accessible par des variétés artificielles, sur lesquelles les firmes auront apposé leur marque de propriété.
Ce nouveau cadre juridique leur permet de s’approprier ce qui n’aura pas disparu en le contaminant avec leurs gènes brevetés. Cette guerre au vivant se fait au mépris des conventions internationales, qui définissent les droits des Etats de protéger la santé, l’environnement et la biodiversité des contaminations génétiques, mais aussi ceux des paysans à conserver, utiliser, échanger et vendre les semences reproduites à la ferme. L’UE a ratifié ces engagements mais en a délégué l’application aux Etats membres, qui n’en font rien !

>>> François Burgaud Directeur des relations extérieures au Groupement national interprofessionnel des semences et plants (Gnis)
La réponse est simple : oui, la brevetabilité du vivant pourrait être un risque pour l’agriculture. C’est pour cela que les semenciers y sont depuis toujours opposés et que la France interdit la brevetabilité des variétés végétales. En même temps, il est normal que les auteurs de nouvelles variétés, les sélectionneurs, gagnent leur vie.
C’est pourquoi a été créé un droit particulier de propriété intellectuelle, le Certificat d’obtention végétale (COV), qui permet de rémunérer les sélectionneurs et qui comporte deux différences essentielles par rapport au brevet : l’accès à la variété protégée, pour l’utiliser en sélection, est totalement libre. Les pays peuvent autoriser, dans certaines conditions, les paysans à faire leurs propres semences de variétés protégées. De plus, si la France brevette les inventions biotechnologiques, le Parlement a introduit ces deux particularités du COV sur ces brevets.
Concrètement, une variété génétiquement modifiée est, en France, aussi librement accessible pour la sélection qu’une variété conventionnelle, et peut aussi donner lieu à l’utilisation de semences de ferme. Ce système, pratiqué par 80 pays dont, récemment, 20 pays africains, est le seul qui favorise le développement agricole et la souveraineté alimentaire. Il permet à la France d’avoir 71 entreprises de sélection, à 70 % coopératives ou familiales, qui créent 400 nouvelles variétés par an et qui enrichissent les 7 000 variétés proposées aux agriculteurs et maraîchers.
Voir : http://www.liberation.fr/actualite/politiques/nouveaumonde/
contributions/352858.FR.php

Scientific and technical contribution to the development of an overall health strategy in the area of GMOs (from Agrow - 16 September 2008)
No demonstration of any health effect of genetically modified food products has ever been reported, concludes a new study by the European Commission's Joint Research Centre. There is a comprehensive body of knowledge that already adequately addresses current food safety issues with GM products.
The study was commissioned by the European Parliament to: consider possible health threats from GMOs; assess the current state of expertise in this field; define possible areas of improvement; and contribute to the development of an overall health strategy. The JRC's conclusions reaffirm the findings of a 2001 study by the Commission on 15 years' experience with GM products. The latest report reiterates the earlier observations that GM food is subject to greater regulatory scrutiny than conventional food. It repeats the conclusion that current GM plants present no new risks beyond those unintended effects that can also arise with conventional breeding.
See: http://ec.europa.eu/dgs/jrc/downloads/jrc_20080910_gmo_study_en.pdf

A time to sow? GM food could curb cost of staples
See: http://www.ft.com/cms/s/0/
f8b45556-4e97-11dd-ba7c-000077b07658.html?nclick_check=1


Call to speed up GM crop approval
A new European Commission report claiming foods made with genetically modified ingredients are safe has prompted fresh calls for Europe to speed up GM crop approvals to counter soaring food prices.
See: http://www.ft.com/cms/s/0/ac6b231c-8062-11dd-99a9-000077b07658.html


Articles publiés par ACTA Informatique sur l'informatique et le web agricole
Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5163


Quelle démarche pour mener un projet de logiciel en interaction avec des informaticiens ?
Des supports de formation (diaporama et son)
Voir : http://www.modelia.org/html/
080522_formationModeliaMai2008/supports_flash/supportsAvecSon.htm
Contact : Nathalie ROUSSE
Mél : nathalie.rousse(a)toulouse.inra.fr


Le dessin quotidien de François Cointe (souvent excellent !)
Voir : http://www.lemagit.fr/imagedujour/1/

Y a pas haut débit dans le Finistère, et pourtant…
J’ai participé, il y a quelques semaines, aux travaux de l’association "Investir en Finistère".
Voir : http://www.investirenfinistere.org/rubrique-1.html
Créée par les CCI, quelques dizaines d’entreprises du département et deux banques, cette association a pour but de promouvoir le Finistère.
Alors que nous constations encore une fois l’éloignement géographique de notre belle région, nous nous interrogions sur l’accès au très haut débit, d’abord pour toutes les entreprises, mais aussi à terme pour les particuliers.
Aujourd’hui, toutes les rues de nos communes et petites villes, ont été creusées, percées, labourées dans tous les sens (un véritable champ de bataille !) soit pour construire ou rénover les réseaux d’assainissement, effacer les réseaux électriques ou encore pour acheminer le gaz naturel (j’en oublie certainement…) ;
Nous avons évoqué lors de cette rencontre une recommandation de l’ARCEP (autorité de régulation des communications électroniques et des postes, ancienne ART) qui préconise entre autre : lors de travaux importants sur les réseaux, il serait judicieux de prévoir un fourreau pour y faire passer un jour de la fibre optique !
Voir : http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/crip-ftth-mai2008.pdf

Las ! Ce n’est resté qu’une recommandation.
Le constat est navrant : pas un seul fourreau ou presque de posé même si parfois on peut utiliser les anciens où passent les câbles cuivre !
Quand on sait que pour ce genre d’équipement, les travaux de génie civil représentent jusque 80% du coût, on peut considérer que nous venons de passer à côté d’une étape très importante pour réduire la fracture numérique dans nos petits bourgs qui sera lourde de conséquence pour l’avenir.
Pourtant les tranchées ont été ouvertes jusqu’aux portes des maisons, sont passées dans les jardins, à travers les clôtures et les murs…
Je ne suis pas directement concerné car j’habite en pleine campagne mais, comme pour l’ADSL qui aujourd’hui passe par la paire de cuivre (même si on est limité en débit et tout le monde n’est pas desservi), on peut espérer profiter des progrès technologiques et avoir accès un jour à un meilleur débit.
Quant à espérer voir les grands opérateurs investir dans un réseau difficilement amortissable et venir se disputer les quelques petits clients en zone rurale, on peut toujours rêver !
Dommage, une volonté (politique ?) forte aurait permis un investissement pour l’avenir à cout réduit.

Mais le rêve et la volonté ne peuvent-ils pas déplacer les montagnes, à défaut d’installer la fibre optique et bientôt j’espère, le TGV ?

Contact : Jean-Paul KERRIEN
Mél : jpkerrien(a)wanadoo.fr


Remarque (GW) : H5N1, vache folle, OGM, etc. je vous parie que la prochaine crise "sanitaire" ne sera encore qu'une crise médiatique ! Et puis où sont les milliers de morts évoqués ci-dessus, alors que nous vivons de plus en plus longtemps et plus longtemps en bonne santé ? (Remarque de GW dans la gazette du 7 août)
Je vous suggère de vous informer. Vous comprendrez pourquoi on ne peut prendre en compte l'allongement de la durée de la vie comme critère pertinent.
Contact : Franck PASCAL
Mél : franck.pascal(a)wanadoo.fr


Ma réponse (GW) : Vous êtes comme mes amis qui me regardent de travers quand je leur dis que plus on paie d'impôts, mieux c'est, puisque que plus on paie d'impôts, plus on est riche !

Formations "Veille, Prospective, Stratégie, Modes de vie, Emploi" au quatrième trimestre 2008
> Séminaire d'introduction à la veille et à la démarche prospective
Concepts, méthodes et applications pratiques
> La prospective territoriale
Pour quoi faire ? Comment faire ?
Concepts, méthodes, pratiques et témoignages
> Prospective et créativité
Penser l'impensable - Susciter l'innovation
> Prospective de l'emploi, des métiers et des compétences en France aux horizons 2015 et 2025
> Prospective des modes de vie, de la consommation et du commerce
> Méthodes et outils de la prospective stratégique
> Atelier de construction de scénarios contrastés
Formation-action appliquée à la construction de scénarios contrastés sur l'économie française en 2020
Voir : http://www.futuribles.com
Contact : Corinne ROËLS
Mél : croels(a)futuribles.com


Biomass Days
28 septembre - 5 octobre 2008
Les Journées Européennes de la Biomasse ont pour objectif d'informer le grand public sur la signification et les possibilités d'utiliser les matières premières renouvelables à l'heure actuelle et dans le futur. Ces journées sont organisées communément dans 12 pays de l’Union à l’occasion des Biomass Days. Pour cette année, l’ITEBE, en partenariat avec la Commission Européenne et le projet REGBIE+, organise du 28 septembre au 5 octobre 2008, les journées portes ouvertes sur les granulés biocombustibles : GRANUTOUR 2008
Voir : http://www.granutour.com/wiki/Accueil
Signalé par Karine THOMAS - Midi-Pyrénées Bois
Mél : karine.thomas(a)mpbois.net


Remodeler le pays. Terrasses et traversiers en Cévennes
1er octobre - MONTPELLIER
Conférence débat avec Thierry Tatoni (Organisation et vulnérabilité des systèmes écologiques, UMR Cnrs, Univ. P. Cézanne, Institut Méditerranéen d'Ecologie et de Paléoécologie)
Voir : http://museum.agropolis.fr/pages/savoirs/savoirs.htm

Assemblée générale constitutive de L’Association Française d’Agronomie
23 octobre 2008 – PARIS - AgroParisTech
A la différence de nombreuses communautés scientifiques et techniques liées à l’Agriculture et à l’Environnement, l’Agronomie (au sens restreint du terme) ne dispose pas en France d’une structure associative.
La plupart des grands enjeux de développement durable qui se sont fait jour dans la dernière décennie ne peuvent être correctement appréhendés sans que soit pris en compte l’apport spécifique de l’agronomie : les agronomes doivent donc se faire entendre.
La création de l’Association Française d’Agronomie vient répondre à ce besoin des agronomes et de l’agronomie française. D’ores et déjà, un certain nombre de collègues qui se réclament de cette discipline, et appartenant à différents secteurs d’activité professionnelle (enseignement, recherche, développement, administration, organismes internationaux, production…), ont souhaité en être membres fondateurs. Complémentaire et solidaire de l’ESA (European Society of Agronomy), l’association pourra viser plusieurs objectifs : susciter des échanges et débats entre agronomes appartenant à différents secteurs, et exerçant des métiers différents, tant sur la discipline elle-même que sur ses implications et mises en oeuvre ; favoriser l’expression de points de vue et d’analyses prenant en compte les compétences et savoir-faire spécifiques de cette communauté ; contribuer à la capitalisation et à la transmission des connaissances et expériences acquises dans différents les champs de l’agronomie ; promouvoir la discipline dans les formations et auprès des jeunes en formation, de susciter des vocations et de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes agronomes ; établir des liens durables et à bénéfices mutuels avec d’autres associations dont les objets et motivations s’apparenteraient, d’une façon ou d’une autre, à ceux de l’association française d’agronomie.
Ces objectifs pourront être poursuivis à travers toute la gamme des modalités auxquels ont recours les associations de ce type : rencontres, éditions, organisation d’événements, mise en place de commissions d’étude et groupes de travail, formations, etc.
L’Association Française d’Agronomie sera avant tout ce que les adhérents en feront, et nous comptons donc sur votre présence pour cette assemblée générale constitutive.

Pour l’Association de Préfiguration de l’AFA, J.Boiffin, Président


>>> Programme de la journée

>> Quels défis pour l’agronomie ?
- Les enjeux internationaux de l’agriculture : quelles implications pour l’agronomie ? par Michel GRIFFON (CIRAD) (discutant : Matthieu CALAME, Fondation pour le Progrès de l’Homme)
- L’agronomie dans l’exploitation agricole : quelle utilité ? par Bernard GUIDEZ, (agriculteur, Président du Forum de l’Agriculture Raisonnée Respectueuse de l’Environnement) (discutant : Robert HABIB, CIRAD)
- Agronomie et Agriculture : histoires parallèles ? par Peter JONES (Université de Birmingham, Royaume-Uni) (discutant : Jean-Marc MEYNARD, INRA-SAD)

>> Quel objet et quelles activités pour l’association française d’agronomie ?
- Une association française d’agronomie : quelle place, quels rôles ?
- 15h-16h : L’Association Française d’Agronomie : quelles attentes, quelles activités ?
Résultats d’enquête et réflexions de l’APAFA proposés par Philippe PREVOST et Jacques CANEILL.
Voir : http://www.montpellier.inra.fr/afa