Achat d'un iPOD Touch aux USA ?
Compte tenu de la parité dollar /euro, Il semble intéressant d'acheter là bas L'iPOD TOUCH, mais question technique est il compatible avec les normes et réseau wifi que nous avons en Europe ?
J'ai eu quelques difficulté la bas à trouver des PC pour consulter ma messagerie. Il y a partout des accès libres WIFI, mais faut-il un portable ou avoir ce genre de produit.
Si un routard ou voyageur peut me donner la réponse ?
Contact : Jacques FOURNIER
Mél : jfournier5(a)orange.fr

Affaire Unigrains
Tout en reconnaissant des failles dans le système, trois anciens ministres de droite et de gauche ont soutenu vendredi que la Fnsea n'avait nullement détourné des fonds, comme l'accuse la justice. Elle n'avait fait que participer à un système de solidarité qu'ils approuvaient.
Tour à tour, l'ancien ministre du Budget Alain Lamassoure et les anciens ministres de l'Agriculture Henri Nallet et Michel Rocard ont témoigné auprès du tribunal correctionnel de Paris de leur soutien inconditionnel au premier syndical agricole français.
"J'ai bien compris que nous n'étions pas dans un univers réglementaire parfait", a raconté le socialiste Michel Rocard, mais "j'ai trouvé (cette solution) élégante". "Je nageais dans une admiration mais plus pour des raisons éthiques que réglementaires, je le reconnais", a-t-il renchéri.
Voir : http://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/
article-fraude-ministres-fnsea-solidarite-205-51253.html

Je souhaiterais évoquer deux points de la Gazette du 24 juillet qui m'ont interpellé…

> L'INRA nul sur les OGM !
Concernant l'abandon des recherches sur les OGM à l'INRA, vous écrivez qu'il faut savoir résister aux politiques. L'esprit d'indépendance dont faisaient preuve les anciens PDG ou Directeurs Généraux de l'INRA, eux-mêmes anciens chercheurs de l'Institut (voir Poly par exemple), n'a plus cours. Ces fonctions sont désormais occupées par des personnalités n'ayant pas un parcours de scientifique, nommées pour un temps pour initier et développer des programmes prioritaires définis par les politiques. Les crédits et les recrutements ne sont alloués qu'aux équipes qui conduisent des recherches sur ces programmes. C'est le pilotage de la recherche !!!!!! Les priorités retenues par les politiques sont censées répondre à l'attente des consommateurs et dans le contexte actuel de désinformation de ces derniers, on comprend que les recherches sur les OGM soient électoralement peu "payantes".

> Maladies génétiques
Autre sujet. Je suis atterré par ce qu'écrit Franck Pascal sur les maladies génétiques en relation avec la thérapie génique. Dire que ces maladies sont transmises par le sang de la mère suffit à décrédibiliser toutes ses remarques passées et futures !!
Contact : B. POUTREL
Mél : b.poutrel(a)wanadoo.fr

La tute (Terme pyrénéen pour la tanière de l'ours) de l’ours : chaudron pro-ours-anti-ours

>>> Avertissement : le texte suivant date de juin 2006
Les idées et constats introduits dans cette réflexion demeurent : malgré les quelques décès qui font les couvertures médiatiques pour des mortalités si peu naturelles, la population des ours pyrénéens s'est modestement accrue.

>>> Une couverture médiatique disproportionnée
Les positions médiatiques occupées par ces deux représentations de l’opinion publique monopolisent le débat de façon inversement proportionnelle à leur représentativité, notamment à l’endroit des éleveurs. Les éleveurs en général et les éleveurs pyrénéens en particulier ne sont plus contenus aujourd’hui que dans un % anecdotique de la société civile.

Ce bruit disproportionné est à l’image des leaders qui se mettent en avant comme des guides de l’opinion publique généralement plutôt ignorante et donc passive dans sa masse, sinon crédule et aussi très versatile. Il est vrai que la patte Mitterrandienne avait fait de la cause de l’ours un acte quasiment politique, à tel point que cette passion passait pour une valeur de gauche ! Aujourd’hui, alors que la mise en pratique du plan de sauvegarde est réalisée par des ministres de droite, les avis sont reconsidérés dans une caricature qui conduit à produire, par ces ex pro-ours, des discours radicalement opposés ! L’Ecologie qui par nature doit s’engager sur des actions à long terme s’essouffle et se décrédibilise en servant de produit d’appel dans les super marchés des obédiences politiques. On peut, aisément, comprendre l’inconstance des spectateurs que sont les citoyens ordinaires…

Beaucoup, dans ces discours d’affrontement, relève de la méfiance et de la défiance qui surgit entre rats des villes et rats des champs tant sont différents leurs acquis culturels et leur perception du territoire. L’empathie des premiers reste teintée de romantisme. Une à deux générations a suffit pour gommer le souvenir de l’âpreté de la vie quotidienne paysanne de leurs aïeux, ne laissant subsister qu’un souvenir enjolivé commémoré par un cadre bucolique. La vision des seconds demeure très souvent étriquée et circonscrite à leurs intérêts vitaux sur le court terme. Soumis à la rudesse hivernale et à la sueur versée pendant la belle saison, leur ressenti manque de distance et s’enferme dans un individualisme que les habitudes autarciques héritées façonnent naturellement.
La différence de taille, cependant, tient dans le fait que ces derniers subissent de plein front les nuisances de cet animal mythique.

C’est aussi confusément un prétexte pour lancer un cri d’alarme et de désarroi devant leur propre disparition et devant le constat déprimant de l’évolution de leur lieu de vie dont la maîtrise visible leur échappe de jour en jour. Les conditions pessimistes de leur relève et de la transmission familiale s’ajoutent à ce malaise comme un désaveu.

Toutefois, pour bien s’imprégner du mal être et de la révolte de ces éleveurs de montagne, il est important de mieux comprendre leur désarroi, leur hantise, face à l’attaque des prédateurs (chiens, loups, lynx, ours). L’accompagnement économique qui a pour motivation de rembourser les pertes occasionnées par de telles agressions s’il est adapté pour réparer les dégâts matériels (environ 200 € par brebis), ne soigne pas la plaie morale subie par l’éleveur. Ce préjudice est un stress dans sa pure définition, celle qui correspond à une atteinte dont on ne maîtrise ni la survenue ni l’aboutissement ou la sortie victorieuse, provoquant de véritables pathologies dépressives. Certains éleveurs ne dorment plus et développent une névrose entretenue par le moindre bruit de sonnailles, attendant dans l’anxiété la prochaine fois, installés dans une forme d’insécurité sournoise.
En effet, depuis la domestication, le contrat de l’éleveur avec ses animaux est de les défendre, de les protéger et de les soigner pendant toute la phase de l’élevage. Rien n’est plus traumatisant que de constater cette forme de trahison envers leurs animaux, sans pouvoir agir, aggravée par la vision des séquelles laissées sur les troupeaux. Ceci est une remise en cause directe, culpabilisante, de l’acte professionnel et du lien d’appartenance intime et quasiment charnelle entre l’éleveur et ses animaux.

A titre de comparaison, pour que les urbains puissent appréhender ce désarroi, on peut mettre en avant, la décharge émotionnelle subie lorsque sa propre résidence a été cambriolée par effraction et qu’en plus, les malotrus ont saccagé votre bien. Alors, des envies de meurtre, montent momentanément en surface. Votre refuge intime semble avoir été violé et pourtant, il ne s’agit que de bien matériel ! Deux ou trois habitations plus loin, à côté d’une compassion éphémère de l’entourage, la distance par rapport à l’événement prendra vite une tournure analytique moins passionnelle : le % de vols dans le quartier est vraiment faible et ne nécessite pas de mettre en place des milices, les assurances permettront de réduire les pertes matérielles, l’ensemble étant ramené à des événements aléatoires purement statistiques.

De même, les dégâts imputables à l’ours ne représentent même pas 1% des pertes enregistrées dans les massifs, égrainent les statistiques… soit en moyenne 250 brebis/an

(à suivre plus bas)

>>> Un appui économique pour une autre fonction de l’acte agricole dans les massifs montagnards
Des moyens sont à mettre en place, mais certains le sont déjà au travers de l’acte politique de la CEE qui a instauré, dès 1975, des primes structurelles et un accompagnement au développement, comme aujourd’hui l’ICHN. Leur objectif est de permettre la préservation de l’environnement, la structuration du territoire et le maintien d’une activité économique agricole. Les DPU sont aussi là pour renforcer la défense du marché des productions agricoles et s’ajoutent à ces différentes contributions supportées par la collectivité élargie, mais sont désormais soumises à des clauses d’écoconditionnalité.

En conséquence, l’éleveur qui accepte ces subventions, même avec une réticence de façade et sans lesquelles il aurait déjà disparu doit, en contrepartie, accepter quelques évolutions.
Mais ici aussi tout est affaire de pédagogie. Rien de pire que les directives imposées depuis les bureaux, même bonnes, sans concertation ni pédagogie participatives.

Lui-même, et ses aînés ont su, en permanence, évoluer en fonction des pressions économiques et des attentes sociétales. Autrefois, en élevage de moutons par exemple, une grande partie des Pyrénées avait pour vocation principale la production lainière, la vente de doublons et de brebis de réforme constituant un sous-produit viande, comme l’était aussi l’agnelet des élevages laitiers. Avec l’effondrement des cours de la laine, la viande est devenue produit principal et la laine sous-produit. Cette inversion est assez fréquente en matière de spéculations agricoles : le soja plante olèoprotéagineuse, à son début, était utilisé pour la production d’huile avec, comme sous-produits, les tourteaux de soja. Aujourd’hui l’inversion est totale compte tenu de la forte demande des élevages européens. Dans le futur il en sera de même pour de nombreuses plantes qui auront pour fonctions principales une fourniture énergétique ou la production de cellulose. En montagne, les primes constituent déjà une part essentielle du produit principal, l’activité viande devenant progressivement sous-produit.

En conséquence, que les primes communautaires, soient données au titre de l’entretien du paysage et de la maintenance d’une activité rurale, même si cela peut conduire les éleveurs au métier de gardien de la montagne et de cantonnier, ne constitue pas une avanie. Cette activité peut acquérir ses lettres de noblesse et avec un peu de pédagogie être acceptée comme une fonction d’intérêt économique doublé d’un intérêt général reconnu. C’est affaire d’éducation de la corporation des éleveurs face à la demande sociétale et de reconnaissance de leur métier par cette dernière. Les entreprises de service et d’entretien de parcs, d’élagage, sont bien référencées sans aucune connotation péjorative !

Pourtant, il est nécessaire de mettre certains moyens supplémentaires spécifiquement liés à la politique de réintroduction de l’OURS. Les coûts engendrés à l’unité pour réussir une réintroduction, le programme de surveillance associé, le coût des remboursements liés aux dégâts qui leurs sont imputables, devraient être équitablement investis, à l’identique, en direction des éleveurs.

Certes, non pas affectés à titre individuel pour qu’ils servent à troquer la Kangoo contre une Toyota 4x4, mais destinés à une organisation collective. Ce serait l’occasion de réanimer les anciens syndicats valléens qui autrefois avaient pour charge d’organiser la gestion des espaces collectifs, de résoudre les conflits et de jouer le rôle de juge de paix sur ces estives. Ceux-ci auraient en charge de redynamiser la montagne, de mettre en place les équipements collectifs, clôtures, équipements modernes de logis-cabanes pour bergers et aussi pour mandat de louer les services de bergers professionnels, pendant les 5 mois de la durée de la transhumance. Cette orientation aurait l’avantage de remettre du monde dans la montagne, de retrouver des espaces réinvestis par des animaux avec un mode d’exploitation rationnel et ainsi d’ouvrir sur le tourisme vert. Toutefois, il est vrai que sur un budget d’environ 2 250 000 € en 2006 dédié au plan ours, 28% sont consacrés aux opérations de dédommagement et d’aides écopastorales (contre 51% sur un budget de 1 300 000 € en 2005), non comptés les postes affectés (ONF, ONC), ni les coûts spécifiques des réintroductions, est-ce suffisant en direction des éleveurs ?

C’est au contraire un pari sur l’avenir qui se décline ici à l’inverse de l’extinction lente, mais inexorable des éleveurs qui se dessine aujourd’hui, en Pyrénées, si leur rôle et leur mission ne sont pas redéfinis.

Contact : Gérard BOZZOLO (juin 2006)
Mél : bozzolo(a)ensat.fr

Avis d'offre d'emploi (CDD) à Grignon
L’UMR agronomie INRA/AgroParisTech de Grignon (78) recrute un jeune ingénieur agricole ou agronome pour une mission de 10 mois dans le cadre d'une étude nationale sur les stratégies de protection des cultures économes en produits phytosanitaires.
L’ingénieur aura en charge l’élaboration concrète de deux documents :
- la réalisation d’un jeu de fiches sur les solutions agronomiques pour limiter le recours aux produits phytosanitaires contre les maladies et les ravageurs en grandes cultures ;
- l’élaboration du guide pour la conception de systèmes de culture en "grandes cultures".
Ce travail s’appuiera sur l’animation de comités d’experts.
Contacts : Laurence GUICHARD
Mél : guichard(a)grignon.inra.fr


AB - La Terre est notre Métier : La Recherche à l’honneur !
10 - 12 octobre 2008 – GUICHEN (35)
Pour mieux comprendre le programme régional de recherche coordonné par Inter Bio Bretagne au sein de la Commission Interprofessionnelle de Recherche en Agriculture Biologique (C.I.R.A.B.) et diffuser largement les résultats techniques, un partenariat avec Agrobio 35 a permis l'organisation de conférences dédiées à la recherche sur le salon professionnel "La Terre est notre Métier" (pôle professionnel du salon "Ille & Bio", du 10 au 12 octobre à Guichen - 35).
En effet, la C.I.R.A.B. assure depuis 2003 l'accompagnement scientifique du développement de l'Agriculture Biologique en Bretagne à travers une triple mission de coordination, d'expertise et de diffusion des résultats des travaux de recherche-expérimentation. Ce programme compte plus 60 actions et rassemble tous les partenaires bretons acteurs de la recherche en Bio : le réseau GAB / FRAB, les Chambres d'Agriculture, le Lycée Agricole de Suscinio, l'INRA, les stations d'expérimentations légumes dont la P.A.I.S à Suscinio., SECL à Pleumeur Gautier et SEHBS à Auray.

Quatre études majeures issues de ce programme régional seront présentées le vendredi 10 octobre sur le salon "La Terre est notre Métier" :

1. "Vers une sélection de variétés de blé tendre adaptées à l’Agriculture Biologique" Le vendredi 10 octobre à 13h30, par Bernard ROLLAND (INRA du Rheu)

2. "Estimer l’impact de la production de lait de vache biologique sur l’environnement" Le vendredi 10 octobre à 15h00, par Françoise ROGER (Chambre d'Agriculture d’Ille et Vilaine)

3. "L’approche microbienne en élevage laitier biologique" Le vendredi 10 octobre à 15h00, par Steven GUYADER (technicien à Agrobio 35)

4. "La sélection de variétés potagères biologiques" Le vendredi 10 octobre à 13h30, par Mathieu CONSEIL (Inter Bio Bretagne - Plateforme P.A.I.S. à Suscinio)

Et une contribution de l'ITAB
"Les Qualités des produits Bio : de l’analytique au global" Le samedi 11 octobre à 11h00, par Bruno TAUPIER LETAGE (ITAB - Institut Technique de l’Agriculture Biologique)
Voir : http://www.salonbio.fr/index.php/les-conferences
Contact : Virginie FASSEL
Mél : virginie.fassel(a)interbiobretagne.asso.fr

Journée technico-économique Oeufs biologiques
16 octobre 2008 - MARSAZ (26)
Avec les produits laitiers, les œufs représentent 21% du marché des aliments biologiques, secteur globalement en progression de 10% par an. En terme de production biologique, la région Rhône-Alpes arrive en deuxième position au même niveau que les Pays de la Loire, après la Bretagne. Aussi bien en vente directe qu’en circuit long, le marché n’est pas saturé et les acteurs sont à la recherche de nouveaux producteurs.
Programme :
- Le marché des produits biologiques, par Marinette Feuillade, Directrice de Corabio
- Production et marché de l’œuf bio, par Franz Guerder de l’ITAVI
- Produire en élevage fermier pour la vente directe, témoignage d’Alexandre Timsit, éleveur et maraîcher à Dieulefit
- Présentation de Val d’Eurre,  50 000 poules bio en production en Drôme-Ardèche, par Patrice Guillermet, Directeur
- Présentation d’Avibresse, 7 800 poules bio en production dans l’Ain par Albert Duperrier, dirigeant de la SAS
- Les règles de production en agriculture biologique, par Laurent Mathys, ULASE
- Prévisionnel d’investissement pour un bâtiment d’élevage de 6000 poules pondeuses, par Isabelle Béguet, technicienne de Valsoleil
- Techniques d’élevage en agriculture biologique, Clément Persyn, technicien bio de Val d’Eurre
- Conseils techniques et sanitaires en élevage biologique, Christine Filliat, Docteur vétérinaire
- La journée sera clôturée par la visite de l’élevage de Bruno Graillat à Saint Avit (26).
Voir : http://www.corabio.org
Contact : Olivier ROUSSEAU
Mél : olivier.rousseau(a)corabio.org


Agricultural Research for Improving Arable crops competitiveness
17 octobre - BRUXELLES
Le projet EUROCROP "Agricultural Research for Improving Arable crops competitiveness", financé par la DG Recherche de la Commission Européenne dans le cadre du 6ème PCRD, a pour objectif de proposer des orientations de recherche en vue d'améliorer la compétitivité "durable" (incluant les aspects environnementaux et sociétaux) du secteur européen des grandes cultures.
Cette action de coordination présentera ses conclusions lors de sa conférence finale, organisée en collaboration avec le Comité Economique et Social Européen.
L'un des buts de la conférence est de recueillir des commentaires ou questions des participants par une séance de questions ouvertes et de débats. Ces éléments seront pris en compte dans le rapport final.
La conférence sera en traduction simultanée Anglais / Français / Allemand.
Dans le cas ou vous ne pourriez participer à la conférence, vous pouvez nous envoyer des commentaires ou questions en ligne.
Voir : http://www.eurocrop.cetiom.fr/
Contact : Etienne PILORGE
Mél : pilorge(a)cetiom.fr

Salon des vignerons de France
17 – 19 octobre - ISSY-LES-MOULINEAUX
Voir : http://www.vino-media.org/


Brin de Culture est de retour (dans l'Orne) !
17 - 26 octobre
Suite au succès de la première édition en 2007, agriculteurs du réseau " Bienvenue à la ferme " et artistes s'associent à nouveau - du 17 au 26 octobre - pour vous offrir une évasion hors du commun en campagne normande et faire rimer culture et agriculture

Brin de Culture est l'occasion de :
- montrer l'ouverture d'esprit et la capacité d'entreprendre des agriculteurs Bienvenue à la Ferme pour toujours mieux accueillir
- permettre à des artistes de se produire dans des lieux nouveaux, insolites et chaleureux
- contribuer à diffuser la culture pour tous en milieu rural

Et le programme est très alléchant :
- Balades culturelles ou contées
- Ateliers musicaux, Concerts de musique classique, baroque, cuivres, Cabaret
- Lectures, contes et histoires normandes
- Démonstration du travail d'un vitrailliste
- Conférences et témoignages sur la Route du Lait de la Savoie à la Mongolie, la vie des fermes sous l'occupation allemande, les chemins de St Jacques et du Mont Saint Michel, l'allaitement maternel
- Land-Art et autres expositions de peinture, sculptures, photos
Voir : http://www.normandiealaferme.com/
Contact : Maria MONTERO
Mel : maria.montero(a)orne.chambagri.fr


Biodiversité et changements climatiques
21 octobre - MONTPELLIER
Voir : http://www.afpp.net/Calendrier/


Assemblée générale constitutive de L’Association Française d’Agronomie
23 octobre 2008 – PARIS - AgroParisTech
A la différence de nombreuses communautés scientifiques et techniques liées à l’Agriculture et à l’Environnement, l’Agronomie (au sens restreint du terme) ne dispose pas en France d’une structure associative.
La plupart des grands enjeux de développement durable qui se sont fait jour dans la dernière décennie ne peuvent être correctement appréhendés sans que soit pris en compte l’apport spécifique de l’agronomie : les agronomes doivent donc se faire entendre.
La création de l’Association Française d’Agronomie vient répondre à ce besoin des agronomes et de l’agronomie française. D’ores et déjà, un certain nombre de collègues qui se réclament de cette discipline, et appartenant à différents secteurs d’activité professionnelle (enseignement, recherche, développement, administration, organismes internationaux, production…), ont souhaité en être membres fondateurs. Complémentaire et solidaire de l’ESA (European Society of Agronomy), l’association pourra viser plusieurs objectifs : susciter des échanges et débats entre agronomes appartenant à différents secteurs, et exerçant des métiers différents, tant sur la discipline elle-même que sur ses implications et mises en oeuvre ; favoriser l’expression de points de vue et d’analyses prenant en compte les compétences et savoir-faire spécifiques de cette communauté ; contribuer à la capitalisation et à la transmission des connaissances et expériences acquises dans différents les champs de l’agronomie ; promouvoir la discipline dans les formations et auprès des jeunes en formation, de susciter des vocations et de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes agronomes ; établir des liens durables et à bénéfices mutuels avec d’autres associations dont les objets et motivations s’apparenteraient, d’une façon ou d’une autre, à ceux de l’association française d’agronomie.
Ces objectifs pourront être poursuivis à travers toute la gamme des modalités auxquels ont recours les associations de ce type : rencontres, éditions, organisation d’événements, mise en place de commissions d’étude et groupes de travail, formations, etc.
L’Association Française d’Agronomie sera avant tout ce que les adhérents en feront, et nous comptons donc sur votre présence pour cette assemblée générale constitutive.

Pour l’Association de Préfiguration de l’AFA, J.Boiffin, Président


>>> Programme de la journée

> Quels défis pour l’agronomie ?
- Les enjeux internationaux de l’agriculture : quelles implications pour l’agronomie ? par Michel GRIFFON (CIRAD) (discutant : Matthieu CALAME, Fondation pour le Progrès de l’Homme)
- L’agronomie dans l’exploitation agricole : quelle utilité ? par Bernard GUIDEZ, (agriculteur, Président du Forum de l’Agriculture Raisonnée Respectueuse de l’Environnement) (discutant : Robert HABIB, CIRAD)
- Agronomie et Agriculture : histoires parallèles ? par Peter JONES (Université de Birmingham, Royaume-Uni) (discutant : Jean-Marc MEYNARD, INRA-SAD)

>> Quel objet et quelles activités pour l’association française d’agronomie ?
- Une association française d’agronomie : quelle place, quels rôles ?
- 15h-16h : L’Association Française d’Agronomie : quelles attentes, quelles activités ?
Résultats d’enquête et réflexions de l’APAFA proposés par Philippe PREVOST et Jacques CANEILL.
Voir : http://www.montpellier.inra.fr/afa