Tous nos "verts" de France et de Navarre et autres adeptes du "principe de précaution" feraient mieux de s'inquiéter de l'excès invraisemblable de consommation de psychotropes (des médicaments utiles certes !) en France plutôt des OGM ! Mais évidemment, c'est plus facile de fantasmer sur de faux problèmes que de réfléchir sur les vraies grandes difficultés (Gazette du 16 octobre)
Pourquoi pas à vous également de vous en inquiéter de la consommation des psychotropes. Pourquoi attaquer les verts et autres pin pins de France et de Navarre.
Les verts, et autres azimutés de tous poils, ses abrutis qui finissent bien souvent par avoir raison. L'observation de leurs réflexions stupides qui se vérifie très souvent devrait quelque peu espérer à plus d'indulgences.
Le grenelle de l'environnement et autres balivernes feraient suite à l'intervention des défenseurs des OGM et autres clonages de prestige. Ah, bon!
Pour la recherche, dans le but de comprendre et de savoir, OGM et clonages, pourquoi pas?
Nous connaissons votre ardeur à défendre OGM et Clonages.
Comme vous le savez la vie place les espèces en concurrence, parasites et non parasites, d'ailleurs on peut aisément inverser, non parasites (par parasites) et parasites (par non parasites). Qui est le parasite. Chacun vie.
A trop vouloir éliminer on s'élimine soit même...
Dans l'absolu ;-) le clonage nous élimine, vous et moi. Plus de drague, de bouffées d'air chaudes, lorsque nous rencontrons l'autre qui nous attire comme un aimant. Plus de sexes, rien que des pipettes à clonage. Il n'y a qu'à voir, depuis des lustres déjà, les amours inséminés de nos cousines, mammifères, les vaches ;-). Vous me direz peut-être que le bras de l'inséminateur et de taille respectivement plus élevée que le plus bien membrés des taureaux. ;-)
Contact : M. MOLL
Mél : moll(a)supagro.inra.fr


Ma réponse (GW) : Vous comprenez que ce que vous voulez comprendre ! (et je suis d'ailleurs comme vous, je n'ai pas de leçon à donner !)
Vous me faîtes rire. Je n'ai jamais défendu le clonage animal. Mais votre méthode n'a rien que de très classique. On commence par prêter à son interlocuteur une idée qu'il n'a jamais défendu et en avant… Le résultat est acquis d'avance.
Votre diatribe est d'autant plus curieuse que je fais écho dans le paragraphe suivant à l'opposition du CNA au clonage animal, dont je ne vois d'ailleurs pas bien l'intérêt économique. Sur le fond, je vous rejoindrai tout à fait en considérant que le clonage nous concerne en tant qu'animal. De la même façon, je crois que l'interdiction des hormones en élevage peut être justifiée à la fois pour des raisons éthiques et économiques.
Par contre, se priver de l'apport des plantes GM me paraît toujours absurde.
Quand les soi-disant "verts" auront couvert l'Europe d'éoliennes aussi inutiles que couteuses, comme ils ont inutilement interdit le DDT avec toutes les conséquences catastrophiques que cette interdiction a comportées, vous vous direz peut-être que le temps de l'innocence est terminé pour cette "écologie" de pacotille.


Le psychotrope a cessé d'être un médicament, pour devenir un produit à traiter les malheurs de la société - Prof. Edouard ZARIFIAN – Le Monde 10 septembre
Ta posture de "don quichotte" contre les verts et autres "marchands de peur" de tous poils tombe particulièrement mal dans le cas présent à propos d'Edouard ZARIFIAN
Voir : http://www.ed-psycha.org/article.php3?id_article=584
Ton systématisme est "chiant au possible"…
Contact : Bruno FREMONT
Mél : fremont.bruno(a)free.fr


Ma réponse (GW) : Vous comprenez que ce que vous voulez comprendre ! (Bis)
Je ne suis pas sûr d'avoir été bien compris. J'approuve entièrement le propos de M. Zarifian qui n'a bien entendu rien d'un marchand de peur.

Breakthrough in genetic map of wheat scientists
Scientists from INRA -- the French National Institute for Agricultural Research -- said they have succeeded in constructing a map of one wheat chromosome, the largest one – chromosome 3B.
See: http://c.moreover.com/click/here.pl?z1626950796&z=950243312
Signalé par Bernard AUXENFANS
Mél : auxenfansb(a)attglobal.net


La petite histoire inventée par Anne Gouyon a déjà été inventée ! (Gazette du 7 août)
(…) et quant à l'histoire d'Anne GOUYON (et bien que j'avais déjà lu "Pourquoi j'ai mangé mon père"), elle a l'avantage d'exprimer en quelques lignes ce qu'elle pense du principe de précaution. J'avais aussi beaucoup apprécié, sur le même thème, celle rapportée par Christian BONNETIER dans la lettre du 6 mars 2008.
Contact : Christian GLAIZE
Mél : c.glaize(a)orange.fr


Il faut des marchés communs par zones géographiques - par Xavier Beulin, vice-président de la FNSEA (Journal L'Humanité du 27 septembre 2008)
La France dispose d’une agriculture diversifiée et je la revendique. Nous devons être en phase avec certains grands marchés internationaux en céréales, en vins, en viandes et en produits laitiers. Notre marché intérieur est caractérisé par une distribution très concentrée qui exige des gros volumes d’approvisionnement. Il faut en tenir compte et, en même temps, répondre à une demande plus diversifiée, y compris sur des marchés « de niches », avec des produits plus typés, dont ceux de l’agriculture biologique. Il y a vingt ans, produire et acheter bio était surtout une philosophie. Dès lors que la demande progresse sur un marché identifié, il faut y répondre, ce qui suppose de trouver des agriculteurs motivés et techniquement pointus. Car le paysan bio ne dispose pas de l’apport des molécules dont bénéficie l’agriculteur conventionnel pour l’assister dans la conduite de ses cultures. La progression de l’agriculture biologique sera aussi fonction de la demande, en sachant que les coûts de production sont plus élevés alors que les rendements sont plus faibles, dans un écart qui peut varier de moins 30 % à moins 60 %, selon les années.
Je suis pour une agriculture plus écologique et je pense que nous devons raisonner dans une perspective de trente à quarante ans, en intégrant l’augmentation de la demande en produits agricoles, qui va doubler, tandis que l’évolution climatique risque de poser de gros problèmes. Je suis effrayé de constater que certains veulent faire du Brésil « la ferme du monde » quand le GIEC (Groupe interministériel pour l’étude du climat) nous dit que ce pays pourrait connaître un climat semi-aride dans quelques décennies.
En France, l’agriculture conventionnelle va devoir diviser par deux l’utilisation de certains intrants pour respecter les engagements du Grenelle de l’environnement. L’agriculture conventionnelle va donc entrer dans une phase de recherche qui s’inspire de l’agriculture biologique avec l’obligation de réduire le volume des produits phytosanitaires. Il y a donc des ponts à construire entre ces deux types d’agriculture.
Au niveau européen, nous avons besoin de politiques d’orientation avec des aides différenciées pour éviter des spécialisations régionales trop poussées sur des productions comme les céréales, le lait ou la viande porcine. Je plaide depuis des années pour un meilleur soutien aux plantes protéagineuses. Elles ne sont pas assez aidées au point que leur culture est passée de 700 000 hectares à 200 000 hectares en France. Ces productions présentent pourtant l’intérêt de réduire nos importations de soja et d’améliorer les assolements par la rotation des cultures en utilisant moins d’engrais.
Si on veut une agriculture plus écologique, il faut que Peter Mandelson et Pascal Lamy (1) arrêtent de préconiser cette fuite en avant dans la libéralisation des échanges, via la baisse des tarifs douaniers dans le cadre du cycle de Doha. Pour l’Europe, cette dérégulation entre en totale contradiction avec les exigences que formule la Commission européenne sur des questions aussi diverses que la taille des cages pour poules pondeuses et le respect des directives agri-environnementales quand des grands pays concurrents de l’Europe ne sont pas soumis aux mêmes règles.
Je suis partisan d’une agriculture plus écologique. Mais, pour y parvenir, il faut des marchés communs par zones géographiques avec des protections tarifaires vis-à-vis du reste du monde. C’est ce qui nous permettra d’avoir une alimentation diversifiée tout en nous évitant de détruire l’outil de production dans certaines régions de la planète. En France, l’agriculture génère encore trois millions et demi d’emplois lorsque l’on intègre l’amont et l’aval de la production agricole. Préservons notre outil de production si nous voulons répondre à la demande alimentaire dans sa diversité.
(1) Respectivement commissaire européen en charge du Commerce et directeur général de l’OMC.
Voir : http://www.humanite.fr/2008-09-27_L-Humanite-des-debats_
Il-faut-des-marches-communs-par-zones-geographiques

"Twenty In Ten"
Les ministres de l’énergie et de l’agriculture américains ont annoncé la publication du National Biofuels Action Plan. Ce document a été réalisé dans le cadre du plan "Twenty In Ten" (réduire de 20% la consommation d’essence en 10 ans), qui prévoit la   réduction de "l’addiction" au pétrole des Etats-Unis, lancé par le Président Bush dans son discours sur l’Union du 23 janvier 2007 (cf. infra).

Le NBAP aurait été plus novateur et utile il y a 8 ou 10 ans qu’il ne l’est aujourd’hui. Mais il vaut toujours mieux tard que jamais et la démarche retenue ne manque pas d’intérêt à défaut d’être très originale; elle tient compte des erreurs passées, et propose d’intégrer le développement de la production et de l’utilisation des Biofuels dans une approche systémique visant à maximiser l’intérêt général en réduisant au minimum les effets négatifs sociaux, environnementaux économiques, etc. induits.

Le rôle majeur des biotechnologies dans ce programme permettra peut-être d’avoir enfin une approche objective de l’impact qu’a l’introduction massive de végétaux modifiés génétiquement dans le milieu naturel, car il est peu probable que les "stake holders" écologistes laisseront mettre en place des cultures de biomasse dites de 3eme génération sans avoir reçu au préalable des assurances raisonnables sur leur innocuité.

>>> Office of Energy Efficiency and Renewable Energy (EERE)
See: http://apps1.eere.energy.gov/news/news_detail.cfm/news_id023

>>> USDA & DOE Release National Biofuels Action Plan
See: http://www.energy.gov/news/6633.htm

>>> Twenty In Ten: Strengthening America's Energy Security
See: http://www.whitehouse.gov/stateoftheunion/2007/initiatives/energy.html

Contact : JP VIGNAL
Mél : jaypeevee(a)aol.com

La désobéissance civile. Approches politique et juridique
David Hiez, Bruno Villalba (éds), Septentrion, Collection : Espaces Politiques, 230 pages, 2008, ISBN : 978-2-7574-0065-4, Ref : 1114, 20 euros

La désobéissance civile constitue un défi au Droit et aux règles de la démocratie représentative. La désobéissance civile s'enracine dans une histoire ancienne et complexe, que notre société, de plus en plus technicienne et individualiste, réactive. L'acte désobéissant connaît aujourd'hui un regain de vigueur, s'appuyant sur de nouveaux registres de légitimité. La contestation de la règle oblige les systèmes juridiques et politiques, notamment nos démocraties représentatives pluralistes, à reformuler les fondements de l'obéissance du citoyen à la loi. C'est que, contrairement aux contestations de type révolutionnaire, la désobéissance civile est une remise en cause de la règle juridique d'autant plus complexe qu'elle ne se situe pas en dehors du système légal mais en son sein, se revendiquant même comme une forme de participation démocratique à la production de la norme. Loin d'être un simple acte de négation de l'ordre politique, elle se revendique comme une contribution.
Ces interrogations relatives à la normativité ont déjà fait l'objet de recherches dans les diverses disciplines qui étudient le phénomène juridique. La science politique a, de se son côté, étudié le mécanisme en suivant les formes de mobilisation que génère la figure du désobéissant. En revanche, il n'est pas habituel de les faire se rencontrer pour un travail inter-disciplinaire et encore moins autour de la désobéissance civile. Dans cette matière où débats théoriques et action pratique sont si intimement mêlés, il semble profitable de confronter ces deux points de vue. Ce livre propose donc un échange croisé et parfois contradictoire, sur les raisons et fins de la désobéissance civile.
Voir : http://www.septentrion.com/tdmpdf/1114.pdf

Semaine européenne de la forêt (en ce moment)
Voir : http://www.europeanforestweek.org/home/fr/


Banane et canne à sucre : une exposition végétale présentée dans la serre de la Cité des sciences et de l’industrie
Jusqu'au 3 mai 2009 - Paris
Voir : http://www.cite-sciences.fr/csmedia/storage/Presse_PJ/2008DPBananeCanneSucre.pdf
Signalé par Raymond BONHOMME
Mél : rbonhomme(a)numericable.fr


Pastoralisme et gestion des territoires de montagne
29 octobre - MONTPELLIER
Conférence débat avec Marc Dimanche (Territoire & Pastoralisme, Suamme LR)
Voir : http://museum.agropolis.fr/pages/savoirs/savoirs.htm


24èmes journées matières premières "CLAUDE THIEULIN"
2 – 4 novembre – PARIS
Des sujets au cœur de la problématique quotidienne des acheteurs et vendeurs de matières premières…

Comme chaque année, les journées « Claude Thieulin » veulent répondre à un double objectif : analyser les marchés agricoles et prendre du recul sur l’environnement des filières animales...pour mieux anticiper.

En ce qui concerne l’évolution des prix des matières premières, nous reviendrons sur la hausse spectaculaire et le repli tout aussi  brutal des principales céréales et du soja. Coté offre, nous écouterons le témoignage d’un acteur particulièrement actif sur le développement des productions végétales dans les pays de l’Est. Coté demande, nous évoquerons aussi le marché du riz, clé de lecture intéressante de la consommation asiatique. Nous reviendrons sur le marché du phosphate et ses débouchés en forte concurrence. Nous aborderons la réintroduction des graisses animales dans les formules françaises grâce à la levée des dernières contraintes qui pèsent sur leur utilisation. Enfin, nous rappellerons les facteurs essentiels à suivre pour analyser le marché des devises.

Puisque la grande question est de savoir où l’on va dans un marché mondialisé de plus en plus versatile, deux grands thèmes se sont imposés rapidement pour cette nouvelle édition des JMP : la dynamique  des pays de l’Est et la gestion du risque. Ils font l’objet de deux tables rondes.

>>> L’Alimentation animale se lève à l’Est
Les pays d’Europe de l’Est et de l’ex-CEI sont vus au pire comme un concurrent, au mieux comme un eldorado où aller planter le drapeau de notre efficacité zootechnique. Seule certitude, nous sommes aux portes d’un marché captif, où la consommation des denrées animales progresse régulièrement alors même que l’organisation des productions se met en place de façon assez hétérogène selon les pays concernés. Quels sont les nouveaux membres de l’U.E qui compteront en matière d’élevage et d’alimentation animale demain? Quels capitaux européens et étrangers investissent là bas ? Quel potentiel d’exportation avons-nous réellement vers ces nouveaux consommateurs ? Sur quels secteurs avons-nous des atouts à faire valoir ? Nous essaierons de répondre à toutes ces interrogations grâce aux témoignages d’acteurs économiques implantés sur place et d’observateurs de ces filières.

>>> Comment le fabricant peut-il aider l’éleveur à gérer son risque  face aux fluctuations des marchés ?
Face à une volatilité des marchés inscrite dans la durée, il est important pour un industriel de sécuriser ses marges. C’est aussi le cas pour son client, l’éleveur. Au cours d’une table ronde, nous essaierons de comprendre quelles sont les attentes des éleveurs, et les réponses que peuvent leur apporter les fabricants en termes de gestion du risque.  Les stratégies sont diverses, les outils encore imparfaits, mais la réflexion et les offres s’intensifient.

Comme chaque année, la salle pourra s’exprimer directement, mais aussi grâce au système de vote interactif qui nous accompagnera pendant les deux journées

Contact : P.LE CADRE
Mél : lecadre.patricia(a)neuf.fr

Résultats de l’étude TOURISME & E-MAILING : pratiques, perceptions et perspectives d'utilisation
17 et 23 novembre 2008 à 15h – Via le web
Les sociétés Dolist.net et Expertiz révèlent les résultats de leur dernière étude sur les aspects de l’e-mail marketing dans le secteur du Tourisme. L’objectif de cette analyse est d’obtenir "une photographie" des pratiques, de la perception de l'efficacité et des perspectives d'utilisation de l'e-mailing dans le secteur du tourisme.

Au moyen d’un questionnaire expédié à plus de 150 entreprises du secteur entre le 15 juillet et le 12 septembre 2008, 120 répondants ont permis d’élaborer une vision assez précise de l’utilisation de cet outil.

Les personnes interrogées sont responsables marketing ou Internet des principaux acteurs du tourisme français : agences de voyages, tours opérateurs, compagnies aériennes, loueurs de voitures, hôteliers, Offices de Tourisme, Comités Départementaux et Régionaux du Tourisme...

Quelques points clés révélés par cette étude :

- 90% des répondants jugent l'e-mail marketing plutôt efficace. Près de 40% ont d'ailleurs augmenté les budgets alloués à l'e-mail marketing en 2008.

- 80% avouent que la fidélisation (des prospects ou clients) est l'objectif prioritaire. Seulement 20% d’entre eux l'utilisent pour prospecter. Toutefois seuls 15% ont des objectifs de vente déclarés.

- 29% seulement des répondants jugent satisfaisante la qualité des données de leur base de contacts ! Les données proviennent plutôt de fichiers internes existants, de contacts collectés sur des salons ou sur des sites web. La collecte d'informations sur les réseaux de points de vente est « sous utilisée ».

- 46% minimum des répondants n’utilisent pas ou très peu la segmentation de leurs bases clients ; alors que la communication touristique doit de plus en plus s'adapter aux attentes des différents publics…

- 22% ne traitent pas les erreurs d'adressage (eNPAI), qui est pourtant un sujet déterminant en matière de délivrabilité des campagnes en boîte de réception.

- 50% des répondants n'utilisent pas les résultats statistiques des campagnes réalisées pour améliorer la pertinence des campagnes à venir !

- 23% uniquement ont vérifié l'aptitude des messages envoyés à passer outre les dispositifs « anti-spam ».

- 29% des répondants ont vérifié la qualité de présentation visuelle de leurs messages sur les principaux outils alors que les outils de messagerie se multiplient et évoluent sans cesse. Les principaux freins internes au développement sont la qualité de la base et la disponibilité des équipes.

- 72% pensent malgré tout que l'e-mail marketing est un vecteur incontournable sur Internet et 90% souhaitent développer leurs pratiques.

Utilisé comme un levier de fidélisation, l'e-mail marketing pourrait être mieux organisé, en vue de meilleurs résultats.
Toutefois, on retiendra que la professionnalisation de l’e-mail marketing est en marche dans le secteur du tourisme, qui n’affiche au final qu’un retard relatif par rapport aux autres secteurs marchands sur Internet.

Cette étude sera par ailleurs présentée dans son intégralité par Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist.net, à l’occasion de deux web-séminaires. Ces conférences en ligne seront organisées gratuitement les 17 et 23 novembre 2008 à 15h. Information et inscription sur le site www.dolist.net.

Contact : Jean-Paul LIEUX
Mél : jp.lieux(a)dolist.net


FOOTPRINT Annual Meeting 2008
6 - 7 November 2008 - WROCLAW (Poland)
FOOTPRINT is an innovative project funded by the European Commission which develops 3 software tools to undertake pesticide risk assessments at the national, regional and farm scale for any place in Europe.  The 3 tools are based on
i) a classification of the European agricultural landscape in a large number of agro-environmental scenarios; and,
ii) the deployment of the best pesticide fate models to allow the prediction of the environmental transfer of pesticides in these scenarios.
See: http://www.eu-footprint.org
See: http://www.eu-footprint.org/annualmeeting2008.html
Contact: Igor G. DUBUS
E-mail: i.dubus(a)eu-footprint.org

Diversité génétique animale en Région wallonne : patrimoine et valorisation
24 octobre 2008 - NAMUR
Si la biodiversité est devenue un terme utilisé couramment ces dernières années, elle concerne généralement la faune et la flore sauvage. Des espèces sauvages en voie de disparition aux biotopes particuliers qui se réduisent comme peau de chagrin, les scientifiques, volontaires et médias diffusent un grand nombre d'informations afin d'alerter le monde sur cet appauvrissement planétaire.

Il est une biodiversité dont on parle beaucoup moins, celle de nos espèces et races domestiques. Ce patrimoine vivant, que l'homme a créée depuis le début de la domestication, représente cependant une richesse qu'il serait dommage de laisser disparaître.

En ces temps difficiles pour l'agriculture où nombre de concepts liés à la grande production sont remis en question, ces races locales sont peut-être un atout à jouer. Elles peuvent représenter une alternative pour les exploitations agricoles wallonnes.

Différentes pistes permettraient d'utiliser ces races locales dans le cadre de production de produits de terroir de qualité, mais également dans les secteurs du tourisme rural et de la gestion de l'environnement.

Cette après-midi de rencontres du 24 octobre 2008 à Namur a pour objectif d'illustrer ces pistes en présentant des expériences réalisées en France, mais aussi, quelques exemples d'utilisation de nos races locales en Wallonie.

- Mise en perspective : la Plate forme "Diversité génétique animale
- Quatre témoignages sur des actions liées à la conservation de la Diversité génétique animale en Région Wallonne:
- La conservation des ressources génétiques animales en France
- Une diversité d'acteurs pour valoriser nos ressources génétiques animales
Voir : http://www.cra.wallonie.be/img/manifestations/
manifestations_Biodiversite_animale_24.10.2008.pdf
Mél : maisondesmusees(a)msw.be


Journée nationale lapin de chair
25 novembre 2008 – PACE (35)
Voir : http://www.vigie-viande.info/VigieViande/VViande.nsf/3019c0c933c9ca97
c1256f6c0056589e/605c23717d5fc3a6c12574d400529f6f?OpenDocument


IVe Journée technique nationale de l’apiculture
27 novembre 2008 - DIJON (21)
Voir : http://www.cnda.asso.fr/CNDA/AG%202008/
Journée%20technique/Plaquette/CNDA_bourgogne.pdf


Sacha Guitry a dit…
Moi je suis contre les femmes, tout contre.