Je suis atterré par ce qu'écrit Franck Pascal sur les maladies génétiques en relation avec la thérapie génique. Dire que ces maladies sont transmises par le sang de la mère suffit à décrédibiliser toutes ses remarques passées et futures !! (Contribution de M. Poutrel dans la gazette du 9 octobre)
A quoi répond M. Pascal : Tiens, quel drôle de raccourci... Où ai-je écrit que les maladies génétiques sont transmises per le sang ? C'est très drôle. Il faudrait déjà commencer par apprendre à lire. Je vous laisse avant d'éclater en fou-rire.


A quoi fait écho M. Poutrel : A moins que vous n'appreniez à écrire pour exprimer clairement ce que vous voulez dire, car apparemment je ne suis pas le seul à avoir "interprété" ainsi votre commentaire sur les maladies génétiques. Il semble également que je ne sois pas le seul à ne plus rire de vos abondantes remarques sur des sujets que manifestement vous maitrisez mal.
Contact : B. POUTREL
Mél : b.poutrel(a)wanadoo.fr


200 000 personnes sont, chaque année, victimes d'une intoxication en France
Voir : http://www.pesticides-etudes.mdrgf.org/2008/05/200-000-personnes-sont-chaque-anne.html


Ma remarque (GW) : pour l'essentiel, cela n'a vraiment rien à voir avec les pesticides mais ce n'est pas grave. Ce n'est pas nouveau et c'est toujours rigolo : on peut dire et écrire n'importe quoi en toute bonne conscience. En plus les droits du journaliste du Monde sont foulés au pied.


Accueil à l’INRA d’ingénieurs déjà employés par une structure de recherche-développement
Depuis 2005, l’INRA propose chaque année 3 postes d’accueil à des ingénieurs déjà employés par une structure de recherche-développement. Initialement réservée aux ingénieurs des instituts et centres techniques agricoles ou agroalimentaires et des chambres d’agriculture, cette procédure est depuis cette année étendue aux coopératives.

L’objectif de cette démarche est de renforcer les liens entre la recherche et le développement et de contribuer au renouvellement des compétences et des connaissances scientifiques des ingénieurs.

Les ingénieurs accueillis sont affectés pour 3 ans à un projet d’intérêt partagé entre l’INRA et l’organisme d’origine. Durant cette période, leur rémunération est assurée par l’INRA.

Les projets peuvent s’inscrire dans la logique d’émergence ou de renforcement d’unités mixtes technologiques ou de réseaux mixtes technologiques, ou encore en soutien à une opération de valorisation et de transfert d’une recherche de l’INRA ce qui semble plus approprié pour les coopératives.

Les dossiers doivent être constitués par l’ingénieur, l’unité et le département INRA d’accueil et l’organisme d’origine. Les documents nécessaires à la composition du dossier sont annexés à ce document. Les projets sont à adresser à l’INRA avant le 1er mars 2009 pour un recrutement entre septembre et décembre 2009.

La Mission Coordination des Actions avec les Partenaires Agricoles (MCAPA) de l’INRA en charge de ce dossier est à votre disposition pour tout complément d’information.

Contact : Martine GEORGET
Mél martine.georget(a)paris.inra.fr

Ce qui est rigolo dans l'argumentaire de nos chers "verts", c'est qu'ils reprochent d'abord à l'Europe d'exporter vers des pays tiers des céréales qui concurrencent les céréales produites localement dans ces pays. Mais quand on se propose d'exporter un peu moins de ces céréales en les transformant en biocarburants, cela ne leur plait pas non plus (Remarque de GW dans la gazette du 30 octobre)

Les biocarburants, ces pelés, ces galeux d’où vient tout le mal : j’ai été stupéfait du caractère partisan et caricatural de la nouvelle campagne contre les biocarburants à l’initiative d’un certain nombre d’ONG et associations françaises (www.agrocarb.fr).

Le principal argument avancé, ce sont les conséquences pour les pays du sud. On nous détaille tous les maux qui accablent les agricultures de ces pays, et par un subtil jeu dialectique, on parvient accréditer l’idée que les biocarburants, ce sont eux les pelés, les galeux dont viendrait tout le mal.

Quels sont les leviers puissants qui ont fait naître et prospérer, dans un certain nombre de pays en développement, un "l’agrobusiness exportateur" au centre de tous ces dérapages, au détriment de l’agriculture vivrière ? Je ne prétends pas connaître parfaitement le dossier, mais en tant qu’agroéconomiste à la retraite particulièrement interpellé par cette problématique, il m’avait semblé que les causes profondes étaient plus larges et plus anciennes :
- la politique des institutions financières internationales (FMI et Banque Mondiale), qui l’a pratiquement imposé dans le cadre des programmes d’ajustement structurel.
- des gouvernements qui l’ont appuyé comme un moyen de rétablir les équilibres macroéconomiques et rembourser la dette.
- des élites fortunées locales qui l’ont vu là l’occasion de conforter leur pouvoir (et leurs abus de pouvoir).
- enfin bien sûr des groupes financiers internationaux attirés par des investissements lucratifs.

Le démantèlement des mécanismes de régulation des marchés agricoles, l’ouverture des frontières ont fait le reste.

Mais je n’avais probablement pas tout compris car l’argumentaire parfaitement ficelé de la campagne nous guide, tel le fil d’Ariane, vers le coupable désigné, les biocarburants, et singulièrement les programmes européen et français. Et le réquisitoire est sans nuance et sans concession.

Pourquoi donc cette focalisation sur les biocarburants ? Veut-on nous convaincre qu’en remettant en cause nos objectifs en Europe, on peut changer quoi que ce soit dans les pays du sud tant que perdure la logique actuelle ? L’"agrobusiness exportateur" n’a pas besoin des biocarburants pour prospérer. L’appropriation souvent illégale des terres, l’expropriation des petits paysans, le travail forcé, la destruction de la forêt, la monoculture extensive, en mot l’absence de contraintes sociales et environnementales, c’est précisément cela qui fait sa compétitivité à l’exportation. Et si rien ne vient entraver l’écoulement de ses produits, il a encore de beaux jours dans l’alimentaire. Bien sûr lorsque les biocarburants sont arrivés, ils ont été impliqués dans le processus, mais pourquoi leur faire porter toute la charge ?

Le "plaidoyer institutionnel", dont je ne conteste pas la nécessité, semble prendre ici une curieuse tournure.
Contact : Régis DEVINE
Mél : regisdevine(a)aol.com

Pourquoi les sites de nos organismes de recherche sont-ils aussi timides (ou absents) dans les débats sociétaux ?

56e Colloque AgriMMédia Paris - MNE - 2 décembre 2008 - de 14 h à 18 h Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=7432

AZF, un silence d'état : bienvenue sur www.azfsilencedetat.com
Un espace de parole et de liberté : telle est la vocation de ce site mis en ligne aujourd'hui, trois mois quasiment jour pour jour avant l'ouverture du procès de la catastrophe de l'usine AZF de Toulouse.

Comme je le démontre dans mon livre "AZF, un silence d'Etat" publié au Seuil, la vérité sur ce drame a été occultée dès les premières heures avec la complicité active des médias qui, pour la quasi-totalité d'entre eux, se sont contentés de relayer les inepties "chimiques" des autorités judiciaires.

Pour contourner cette chape de plomb et vous permettre d'échanger vos réactions et vos réflexions en toute liberté, je vous donne rendez-vous sur mon blog dès maintenant et pendant toute la durée du procès. Parallèlement, je vous tiendrai régulièrement informé, au travers de cette "newsletter" de l'actualité relative à ce procès, en particulier à chaque fois que la presse hésitera, refusera ou "oubliera" d'en livrer certains aspects.

Je vous engage également à me contacter, si vous avez été témoin de faits inédits relatifs à cette affaire dont vous n'avez encore jamais fait état et qui pourraient, selon vous, contribuer à la manifestation de la vérité.

Ce site, réalisé par l'agence Nouvelle Campagne, est aussi le vôtre. Ensemble nous allons en faire un instrument d'information indépendant, convivial et efficace.

>>> Ouverture du procès le 23 février 2009 à Toulouse

Le procès dans lequel l'ancien directeur de l'usine AZF, Serge Biechlin et la société Grande Paroisse, filiale de Total, sont cités à comparaître pour homicides, blessures et destructions involontaires, débutera le 23 février prochain. Il durera au bas mot "trois à quatre mois" selon l'"estimation raisonnable" faite, début octobre, par le procureur de la république de Toulouse, Michel Valet, qui s'est lui-même avoué incapable d'en prédire le terme...

Compte tenu de l'affluence attendue, les audiences se dérouleront non pas au palais de justice, pourtant fraîchement rénové, mais dans la grande salle Jean Mermoz qui contient 1200 places assises, plus deux salles attenantes mises à dispostion du public et des médias.

Il est vrai que, compte tenu de l'ampleur du drame, 229 personnes physiques et morales se sont portées parties civiles. Sans compter les experts et, probablement, la centaine de témoins qui seront cités à la barre.

Au total, ce procès qui s'annonce "exceptionnel", "hors norme", "historique", coûtera autour de 3,5 millions d'euros. Sans doute un record.

Mais entre ces fastes judiciaires et l'indigence du dossier d'instruction, le contraste donne le vertige. Que va-t-on juger au juste ? Sur quoi peut déboucher ce procès à grand spectacle dont les fondations ne reposent que sur du sable, comme je le démontre dans mon livre ? "Compte tenu de la somme des souffrances engendrées par la catastrophe, il y aura certainement un décalage entre le jugement rendu par la justice et les attentes des victimes", a prudemment déclaré le procureur Michel Valet. On est bien loin des affirmations péremptoires de son illustre prédécesseur pour qui l'affaire était réglée à "99%" trois jours seulement après l'explosion...

Contact : Marc MENNESSIER
Mél : mennessiermarc(a)wanadoo.fr


Ma remarque (GW) : Le mensonge dans lequel paraît s'être enlisé l'État a certainement des raisons politiques. Au lendemain du 11 septembre, comme vous le soulignez, il était difficile de parler d'une autre cause que de l'impéritie de la direction d'AZF…
Mais plus fondamentalement, c'est la méfiance des français vis-à-vis de la chimie qui me paraît en cause. La chimie, c'est la science du diable et il fallait que le diable, c'est-à-dire Total soit coupable à tout prix.
Alors que notre pays a réussi dans l'aéronautique comme dans l'agriculture (par exemple), nous n'avons jamais surmonté une méfiance viscérale vis-à-vis de la chimie, méfiance dans la France a pâti pendant que l'Allemagne montait en puissance dans la seconde moitié du 19 ème siècle jusqu'à la seconde guerre mondiale.
Les français instruisent un procès en sorcellerie à la chimie (et aux OGM !) mais cela ne les empêche pas de se bourrer de médicaments !

Avis de recherche : citations liées au monde du jardin
Je suis à la recherche de citations liées au monde du jardin et en fonction des mois de l'année.
Je ne sais pas si vous avez ce genre d'informations mais merci par avance.
Contact : Caroline RIZZI
Mel : crizzi(a)pollen-sa.fr


Naissance : le JeWee, c'est parti !
27 novembre
L'équipe Terre-net Média a le plaisir de vous annoncer le lancement ce jour jeudi 27 novembre du tout 1er JeWee, le Journal Web TV agricole quotidien.
Au programme de ce JeWee : le fil d'info, la météo, les cours et marchés et la minute des annonces matériel & emploi.
Le JeWee permet d'informer synthétiquement, tous les jours, les professionnels agricoles grâce à une formule dynamique de 6 minutes et confirme la ligne Terre-net Web TV : qualité, fraîcheur, pertinence...
Découvrez le JeWee quotidien sur les pages d'accueil de Terre-net www.terre-net.fr et Web-agri www.web-agri.fr chaque jour à partir de 12h30.
Voir : http://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/
article-jewee-journal-web-agricole-quotidien-video-205-52420.html

Intel et le CNAM vous invitent à un RDV autour de la révolution électronique
Jusqu'au 1er mars 2009 - PARIS
Intel, le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) et son Musée présentent le programme L’électronique, une révolution pleine d’avenir. Ce rendez-vous culturel doit permettre à chacun de découvrir et de s’initier à la « culture électronique », et d’interroger les enjeux, présents ou futurs, sociétaux ou économiques, liés à la révolution électronique. Depuis l’invention du transistor, du circuit intégré et du microprocesseur, notre quotidien s’est radicalement transformé. Décryptage sur une société en pleine mutation.
Voir : http://www.revolution-electronique.com


Paul et les autres - Paysans d’un bout du monde (Edition Isoète - 34 €)
Sortie le 21 novembre
Au pays de Paul dans sa vie, voici d’autres regards, de nouvelles histoires. Le travail photographique de Philippe Truquin a commencé lors d’une rencontre avec Paul Bedel dès 2004 au cours des derniers mois de tournage du documentaire. Rémi Mauger lui a ensuite proposé d’élargir le cercle. Aux intimes. Les parents, le petit frère, les proches, les amis d’hier et les voisins. Ceux de Paul et les siens. Leur point commun : être ou avoir été paysan, là, dans la Hague.
L’épopée nucléaire ne les pas balayés. Ils s’accrochent. Certains composent avec la nouvelle spécialité locale, d’autres lui tournent résolument le dos. L’usine, ils vivent avec. Ou à côté. Cette chronique photographique conduit aussi vers ceux qui ont pris quelques distances (tout en gardant des attaches). Paul et les autres, c’est la Hague de la terre et sa diaspora.
Philippe Truquin connaissait à peine ce territoire et pas du tout ses habitants. Pendant trois ans, il n’a cessé d’y venir et revenir. Jeter un oeil, serrer des louches, tailler des bavettes, partager des repas et des interrogations. Il a pris son temps, car c’est là son travail : photographier, c’est prendre le temps.
Ce livre résulte d’une double approche, d’un double point de vue. Rémi Mauger, l’enfant du pays, écrit du dedans. Philippe Truquin, citadin venu d’ailleurs, photographie du dehors et prête l’oreille à ce petit monde pas aussi taiseux qu’il n’en a l’air.
Contact : Rémi MAUGER
Mél : remi.mauger(a)france3.fr


XIe rencontre de la démocratie locale
28 - 29 novembre 2008 - Ivry-sur-Seine
"Démocratie locale et mobilisation sociale" : tel est le fil conducteur que l’association pour la démocratie et l’éducation locale et sociale (Adels) propose pour les 11e Rencontres de la démocratie locale : Les instances locales sont-elles le lieu de délibération sur les questions quotidiennes qui mobilisent les habitants : le logement, l’emploi, la santé, les transports, la parentalité,… ? Comment sont liées délibération et décision publique ? Les questions des inégalités sociales et des disparités territoriales sont-elles traitées ? Sur ce thème et sur les nombreuses propositions émises par les partenaires de l’Adels, les 11e Rencontres de la démocratie locale ouvriront des ateliers, des forums, des conférences-débat.
Voir : http://11erencontres.wordpress.com

L’Apprenti - Un film de Samuel COLLARDEY
Sortie nationale le 3 décembre 2008

Prix du meilleur film de la semaine internationale de la critique à la 65e Mostra de Venise
Prix Spécial du Jury, Festival International du Film Francophone de Namur 2008
Bayard d'or de la Meilleure Première Œuvre, Festival International du Film Francophone de Namur 2008

>>> Le synopsis : Mathieu, 15 ans, est en stage dans la ferme de Paul, une exploitation familiale paysanne des plateaux du Haut-Doubs. Outre l'apprentissage des méthodes de travail, Mathieu doit s'intégrer à la vie de la famille, prendre ses marques, faire sa place. L’Apprenti est l’histoire d’un adolescent qui se cherche, qui a des doutes, des problèmes personnels et familiaux à gérer et qui trouve, petit à petit, des repères grâce à la pédagogie de l’alternance : il se confronte à la réalité et grandit progressivement en discutant avec des adultes. Autour des gestes du travail, des liens se tissent avec Paul. Il apprend à son contact ce qui ne s'apprend pas dans une salle de classe.

>>> L’acteur principal : Mathieu Bulle est né le 30 novembre 1990. Il n’est pas d’origine agricole et a fait le choix d’entrer en Maison familiale (contre l’avis de sa mère) après une 4e car Mathieu s’ennuie à l’école classique. Il fait d’abord une troisième de l’enseignement agricole, puis un BEPA productions animales à la MFR de Vercel (Doubs) en formation scolaire par alternance (Le titre L’Apprenti ne correspond pas exactement à la réalité car Mathieu est, en fait, sous statut scolaire). Il est aujourd’hui élève à la MFR de Montbozon (Haute-Saône) en terminale Bac pro agroéquipement. Il devrait poursuivre en technicien supérieur l’an prochain. Mathieu va fêter ses 18 ans dans quelques jours.

>>> Le contenu du film : Au-delà des aspects formels (image soignée, émotion et tristesse, personnages attachants, agriculture passéiste, langage des adolescents, milieu familial défavorisé…) et de l’histoire de Mathieu, le film rend hommage à tous les maîtres de stage ou d’apprentissage qui s’investissent avec passion dans la formation des jeunes et qui ont le souci de transmettre leur passion.
L’Apprenti, qui aurait pu s’appeler Au-delà des murs, porte un regard inédit et peu banal sur la problématique de l’éducation. Avec Entre les murs (adaptation du roman de François Bégaudeau, Palme d’Or au festival de Cannes), nous avons découvert la chronique d’une classe, des scènes de cours, l’investissement d’un professeur face à 25 élèves. Avec L’Apprenti, nous saisissons la vie d’un adolescent, des instants de tous les jours, nous découvrons un adulte, maître de stage, qui a un rôle de formateur, sans avoir le statut d’enseignant…
"A l’école "classique", l’élève est écartelé entre trois univers : l’école, sa vie familiale, sa vie sociale. Avec l’alternance des Maisons familiales, ces trois mondes ne font plus qu’un. L’unité pédagogique est reconstituée" disait Roger Cousinet, pédagogue de l’Education nouvelle.
L’Apprenti illustre, en quelque sorte, la vision des Maisons familiales rurales : un système ambitieux qui tente de saisir l’intégralité des personnes en formation et de mobiliser toutes celles qui les entourent dans un processus éducatif. Proposer un apprentissage personnel et global qui ne dépend pas seulement des enseignements du maître et s’appuyer sur une pédagogie du réel, tels sont, en effet, les deux axes majeurs de l’approche des MFR.
Dans tous les cas, une idée essentielle est commune aux deux films : le chemin est toujours sinueux pour accompagner un jeune à entrer de plain-pied dans la société.
Voir : http://www.tfmdistribution.com
Contact : Patrick GUES
Mél : patrick.gues(a)mfr.asso.fr


Histoire et dynamique de la châtaigneraie cévenole
3 décembre - MONTPELLIER
Conférence débat avec Daniel Travier (Musée des vallées cévenoles)
Voir : http://museum.agropolis.fr/pages/savoirs/savoirs.htm


Mondiaviti
3 - 4 décembre 2008 – BORDEAUX
Colloque Le Grenelle de l’Environnement : conséquences et mesures pratiques
- La réduction de 50 % du recours aux intrants phytosanitaires : comment y parvenir ?
- Production intégrée : une contribution au développement durable
Contact : Geneviève MALPEL
Mél : genevieve.malpel(a)vignevin.com Tél 05 56 35 58 80


Les sols au cœur de l'environnement
5 décembre – PARIS
Voir : http://www.gissol.fr/actualite/Journee%20Gis%20Sol-AFES/index.php

La lourdeur administrative ne rend-t-elle pas les agriculteurs hermétiques à certains messages ?
5 décembre – ferme de LA MOINERIE, aux portes de Dinan, à mi-chemin entre Rennes et St Malo
Voir : http://syrpacom.on-web.fr/syrpa2006/print_mail_v2.php?chm=.%
2FMailing%2F2008%2F&nom=SyrpaOuestLamoinerie
Voir : http://www.lamoinerie.com


Salon du Cheval
6 - 14 décembre 2008 - PARIS
Voir : http://www.salon-cheval.com


Le management environnemental en agriculture : Quelles perspectives au regard des nouveaux enjeux environnementaux ?
11 décembre 2008 - AMIENS
Cette journée organisée par l'ADEME permettra de découvrir les différentes applications du management environnemental pour une agriculture durable en s'appuyant sur des témoignages et des exposés
Voir : http://www.sme-agriculture.com
Contact : Regine CASTET
Mél :regine.castet(a)coopdefrance.coop


Le client, source d'innovation marketing
11 – 12 décembre 2008
Voir : http://www.adetem.org/index.php?art=1&th=303


Premières Rencontres Internationales de l'Agriculture Durable
10 décembre - PARIS
Contact : Mélodie REYNAUD
Mél : organisation(a)iad-agri.com


MécaCéréales
5 août 2009 au Lycée agricole Le Chesnoy – Amilly (MONTARGIS)
Voir : http://www.mecacereales.cuma.fr
Contact : François BOURON
Mél: francois.bouron(a)cuma.fr


TEACHER: Millie, give me a sentence starting with "I."
MILLIE: I is...
TEACHER: No, Millie..... Always say, "I am."
MILLIE: All right.... "I am the ninth letter of the alphabet."