Colloque du 9 avril : Echanges de données informatisées en agriculture ; deux ans de progrès dans le cadre du projet RESAGRI
9 avril 2009 - de 14h à 18h - PARIS
Voir : http://www.acta-informatique.fr/?d=7593

14 h - Introduction
Guy WAKSMAN - ACTA Informatique

14 h 20 - Le projet RES-AGRI
Bruno PREPIN - Délégué Général d'AEE

14 h 40 - Agri-connect
Jean-Jacques LE DELLIOU Agri-connect

15 h 00 - RES-AGRI : des messages normalisés au niveau international
Gaëlle CHERUY POTTIAU - Chef de projet d'Agro EDI Europe

15 h 20 - Situation des EDI dans le secteur élevage. Les réalisations au cours du projet Resagri :
- Prolongement de la démarche nationale GIEA par le développement de messages d'échanges selon la méthodologie DGME - UNCEFACT. Projets-pilotes réalisés.
- les contributions aux actions internationales de standardisation.
Jacques OBERTI (Institut de l'Élevage) et René ROGNANT (FIEA)

16 h 20 - Pause

16 h 40 - Echanges de données informatisées: Le point de vue des éditeurs
Benoît DREUX - ANELA

17 h - Les échanges de données dans les centres de gestion CERFRANCE : un gain de productivité déjà démontré.
Michelle ROUSSEAU - CER 53 – réseau CER France

17 h 20 - Discussion

17 h 30 - Fin du colloque

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=7593

Réunion du groupe de travail "Delphi agricole" de "programmation d'application métier"
8 avril – PARIS de 14h à 17h30 – PARIS – Maison Nationale des Eleveurs
Nathalie Rousse y présentera Virtual Laboratory Environment (VLE) et Record.
Virtual Laboratory Environment est une plate-forme informatique de multi-modélisation et de simulation de systèmes complexes dynamiques. C'est un ensemble d'outils et de bibliothèques qui permettent de coupler et simuler des modèles hétérogènes, c'est-à-dire spécifiés dans des formalismes différents. http://vle.univ-littoral.fr.
Le projet RECORD (REnovation et COoRDination de la modélisation de cultures pour la gestion des agrosystèmes) est un projet de création et développement d'une plate-forme informatique de modélisation et simulation permettant l'analyse, l'évaluation et la conception de systèmes de culture (http://record.toulouse.inra.fr). Le projet RECORD est soutenu par les départements EA (Environnement & Agronomie) et MIA (Mathématiques & Informatiques appliquées) de l'INRA. http://record.toulouse.inra.fr.
Contact : Guy WAKSMAN
Mél : waksman(a)acta-informatique.fr


L'évolution de l'utilisation d'internet dans le secteur agricole : pour échanger sur ce thème, Christian Gentilleau invite 4 à 5 professionnels représentant différents métiers…

Mercredi 8 avril 2009 de 16h00 à 18h00 – PARIS – Maison Nationale des Eleveurs

ACTA
Salle A de Maison Nationale des Éleveurs
149 rue de Bercy, PARIS 12 (métro Bercy ou Gare Lyon

Christian Gentilleau et Pierre Marin débattront avec :
Anne Guille-Hanin - Agralys
David Gauteraud - Alliance Pastorale
Laurent Mano - Preferendum
Animation : Alain Lautré - Iddem

Au-delà de la méthodologie et de la présentation des grandes lignes de l'enquête 2008/09 "Agrinautes, êtes-vous innovateurs ?", nous vous invitons à un échange sur l'évolution de l'utilisation d'Internet dans le secteur agricole de la part des agriculteurs mais aussi des autres professionnels et acteurs du secteur.

Pour préparer la réunion et mieux connaître l'enquête de référence, vous pouvez en retrouver un extrait en cliquant ici.

L'édition 2008/09 avec 1.500 réponses à une centaine de questions, permet de dresser une carte des usages et besoins des agriculteurs en 2008 ainsi que leur évolution par rapport aux enquêtes 2006 et 2007. Cette enquête est à considérer comme extérieure aux différents portails. En effet, elle a été réalisée avec la participation d'une vingtaine d'acteurs de l'internet agricole et pondérée en fonction des résultats Agreste 2008 sur les exploitations connectées.

Contact : Christian GENTILLEAU
Mél : c.gentilleau(a)tic-agri.com


Les frontières du vivant - agriculture et médecine de 1945 à nos jours ?
1re rencontre : La codéfinition du vivant et des droits de propriété
9 avril 2009 - Université Paris Est, CHAMPS SUR MARNE
Voir : http://www.ifris.org/Seminaire-IFRIS-Les-Frontieres-du.html?date=2009-04


Prochain Forum de l'UN/CEFACT
20 - 24 avril 2009 - ROME
Le groupe de travail TBG 18 "Agriculture" présidé par M PREPIN (DG Agro EDI Europe) y poursuivra ses travaux de normalisation des échanges électroniques professionnels dans le monde agricole.
En effet, après la reconnaissance du message eDAPLOS "Fiche parcellaire" comme norme internationale par l'UN/CEFACT fin 2008, les travaux continuent avec d'autres projets de messages tels que le message "Cattle Registration Information Exchange" (passeport animal) ou encore le message "Electronic Data Exchange Proxy" (autorisation d'échange).
Voir : http://www.uncefactforum.org/TBG/TBG18/tbg18.htm
Contact : Gaëlle CHERUY - POTTIAU
Mél : gcheruy(a)agroedi.asso.fr

Télévision en agriculture

TV Agri http://www.tvagri.info La télé agricole http://lateleagricole.net Terre-net http://www.terre-net.fr/web-tv/ Terre d'infos http://www.terredinfostv.fr Arvalis Web Télé http://www.arvalis-tv.fr

OGM : l’Afssa rend enfin son avis sur l’étude autrichienne de Velimirov
Après quatre mois d’allers-retours entre les différents experts de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), Pascale Briand, sa directrice, a enfin rendu public son avis concernant l’étude de Velimirov et al., qui porte sur les effets biologiques du maïs transgénique MON NK603 x MON810 sur l’appareil reproductif des souris. L’avis de l’Afssa, qui confirme celui de l’agence européenne de sécurité des aliments (Efsa) validé lors de la réunion du 29 janvier 2009, relève les multiples erreurs commises par l’équipe autrichienne. "Une étude dont les résultats n’ont pas été soumis aux critiques du comité de lecture d’une revue scientifique" ;
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article511


La distribution des granulés et plaquettes de bois pour le chauffage en voie de structuration fulgurante
Les granulés et plaquettes de bois font une percée remarquée aujourd’hui en Europe parce qu’ils sont bon marché, renouvelables et écologiques. Fabriqués à partir de bois sains, sans colle, leur utilisation est neutre sur l’effet de serre et propre en matière de rejets.

Ces combustibles existent en France et en Europe depuis une trentaine d’année mais n’ont véritablement commencé à percer sur le marché qu’en 2004 avec l’arrivée du troisième choc pétrolier. C’est aussi grâce à un effort de recherche & développement important de la part de l’industrie du chauffage au bois pour mettre sur le marché des appareils de chauffage ultra automatiques et performants, qu’une offre adaptée a pu répondre au marché.

Ce succès a eu comme résultat immédiat un accroissement très important de la production, en particulier des granulés, la faisant passer en Europe de 2.5 millions de tonnes en 2004 à 6 millions en 2008, soit une augmentation de 240% en seulement 4 ans. En France, cette augmentation a été encore plus rapide puisque la production de granulés est passée de 45 000 tonnes en 2004 à plus de 200 000 t en 2008, soit une croissance de 450% en 4 ans. Ceci montre que côté production, les professionnels ont su s’adapter fort rapidement à cette croissance rapide, le nombre d’unités de production étant ainsi passé de 7 à 50 durant cette courte période.

Et la distribution ? Nos savons aujourd’hui que dans notre pays, la consommation se répartit globalement à 50% en sacs pour les poêles et 50% en vrac pour les chaudières. Si la distribution en sacs a fort peu posé de problèmes tant ce conditionnement peut emprunter des logistiques de distribution très classiques, il n’en était pas de même pour la filière vrac jusque l’an passé.

Cette distribution, qui s’apparente très étroitement à la distribution du fioul domestique, nécessite des camions citernes ou conteneurs spécifiques, capables de propulser le combustible dans le stockage des usagers de chaudières. Par ailleurs, cette distribution doit se réaliser principalement en camions de petite capacité pour pouvoir aborder au plus près des chaufferies, limitant par là même le rayon d’action des fournisseurs à une distance de 100 km environ de leur base. Par conséquent et jusque l’an passé, seuls les quelques dizaines de producteurs étaient capables de fournir efficacement ce service et à des coûts compétitifs uniquement autour de chez eux.

Un recensement des camions souffleurs, mené au mois de mars de cette année par l’ITEBE et la FF3C, et qui est publiée dans le magazine Bioénergie International à l’occasion de l’ouverture à Lons le Saunier du dixième salon BOIS ENERGIE, montre qu’un seuil d’organisation vient d’être franchi et dresse la liste de plus de 200 entreprises équipées de camions souffleurs en France : 90% pour granulés et 10% pour plaquettes.

Point fort intéressant, le recensement montre une évolution remarquable du nombre de distributeurs hors des filières de production et en particulier vers les professionnels de la distribution en vrac, d’aliments du bétail ou de combustibles.

La carte réalisée par le magazine montre enfin une répartition presque homogène des producteurs et distributeurs sur l’ensemble du territoire en 2009 alors que durant fort longtemps, ils sont restés cantonnés dans la moitié Est du pays. Cela ne suffit pas encore aujourd’hui à garantir une équité territoriale parfaite, mais nous estimons que cet objectif est atteignable d’ici un ou deux ans au maximum, par un doublement du nombre de camions par rapport à 2009. Et les indicateurs sont en ce sens convergents tant au niveau demande que production car rien que pour cette année 2009, la consommation et la production devraient dépasser les 100 000 t supplémentaires.
Voir : http://www.itebe.org


Du côté de Terre-net.fr - En direct du congrès de la Fnsea
> Le point sur les discussions en cours sur la mise en oeuvre du bilan de santé de la Pac (1ère partie)
> Le point sur les discussions en cours sur la mise en oeuvre du bilan de santé de la Pac (2ème partie)
> Panser ses plaies en préparant l'avenir
> Ambiance au congrès de la Fnsea - Le mot d'ordre reste malgré tout « l'unité » !
(Terre-net Web TV)
> Michel Barnier : « Pour une agriculture accompagnée par une grande politique agricole commune »
Terre-net Web TV)
> François Fillon en synergie avec le syndicat


Du côté de Web-agri.fr
> Suivez le salon Eurogénétique en direct
Voir : http://www.web-agri.fr/dossiers/eurogenetique-2007
> Christian Bizet et Louis Baclé, éleveurs - Le bien-être des vaches à la loupe
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=54669
> Normande - Pleins feux sur Ulerey, premier fils de Miglou
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=54674
> Engraissement des bovins au pâturage - N'hésitez plus... passez à l'herbe !
> http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=54640
> Organisation du travail en élevage porcin - La conduite en bandes à l'étude
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=54593
> Conseil de PRO - Coût de production et avantage économique à la Faf (par Cogedis)
Voir : http://www.web-agri.fr/outils/fiches/fichedetail.asp?id=54557 (réservé PRO)


Extraits de l’interview de Paul Vialle, vice-président du Conseil général de l’agriculture, de l’alimentation et des espaces ruraux, à l’occasion de son départ à la retraite, ancien DGER et ancien directeur de l’INRA.

Que retenez-vous de votre parcours ?
Le premier point, c'est que dans tout ce qui touche à l'agriculture, il y a un profond sens des hommes, des personnes. Le milieu agricole à des qualités humaines tout à fait exceptionnelles qui se retrouvent dans les organismes qui travaillent avec lui, le ministère, etc. on est donc dans un milieu très humain. Première caractéristique, donc, c'est le profond sens humain avec les valeurs qui l'accompagnent.

Comment concevez-vous le rôle d'un responsable dans l'administration ?
Un responsable, pour moi, tel que je l'ai vécu, c'est quelqu'un qui aide à révéler le potentiel des autres avec lesquels il travaille. On ne porte jamais quelque chose de manière seule, c'est toujours l'expression d'un collectif. Soit le collectif arrive à s'exprimer et on fait des choses merveilleuses – pour ça, je crois qu'il faut aimer les autres, les comprendre – soit il n'y arrive pas et, tout seul, j'en suis persuadé – enfin c'est ma vision propre – on ne fait pas grand-chose, on n'arrive à pas grand-chose. Et, par ailleurs, le rôle du responsable n'est pas de faire mais d'indiquer la direction, c'est de décrypter dans le monde extérieur, dans tous les éléments que l'on peut avoir quelles sont les lignes de force de demain, les transcrire, les faire admettre par les autres, les faire partager et, une fois que c'est partagé, tout le système, tout le monde se met en marche dans la bonne direction.

Êtes-vous optimiste pour l'avenir ?
Absolument, la vie est belle, superbe, quand on voit le chemin parcouru notamment par l'agriculture. Depuis une quarantaine d'années elle a intégré du savoir-faire, de la technologie, de la science, de la productivité, de la modernisation maintenant de l'environnement, etc. On ne peut qu'être formidablement optimistes. Nous vivons une des plus belles périodes du monde tout de même dans l'histoire de l'humanité et on n'est pas au bout.

Contact : Olivier MULLER
Mél : olivier.muller(a)agriculture.gouv.fr


Bluffé, le perroquet !
Un magicien travaille sur un bateau de croisière dans les Caraïbes. Puisque l'audience est différente chaque semaine, le magicien se permet de répéter les mêmes trucs semaine après semaine.
Il n'y a qu'un seul problème. Le perroquet du capitaine a vu plusieurs représentations et commence à comprendre les tours du magicien. Le perroquet commence à divulguer quelques trucs lors des représentations :
- Regardez... Regardez... Ce n'est pas le même chapeau.
- Il cache des fleurs sous la table, il cache des fleurs sous la table...
- Hé, pourquoi est-ce que toutes les cartes sont des as de pique ?
Le magicien est furieux mais ne sait pas trop quoi faire. Après tout, il s'agit du perroquet du capitaine. Un jour de tempête, le bateau coule et le magicien se retrouve sur un morceau de bois au milieu de l'océan en compagnie du perroquet. Ils se regardent avec haine sans dire un mot pendant plusieurs jours. Finalement, le perroquet se décide à parler:
- Ok, vous êtes vraiment le plus fort, j'abandonne. Mais où avez-vous caché le bateau ?


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