Fidèle lecteur de votre gazette et de ses blagues, même les plus décoiffantes en anglais… …je souhaite désormais la recevoir à l'adresse suivante… Contact : Guy BUSSON Mél : bussong(a)laposte.net Lever le coude est la meilleure façon de ne pas baisser les bras- Les nouveaux euphorismes de Grégoire, de Grégoire LACROIX, Ed Max Milo (Signalé dans la gazette du 4 février) Celle-là, je ne la connaissais pas mais je pense que je vais l'afficher dans le rendez-vous des chasseurs de sanglier avec qui je vais me reposer la tête et fatiguer (un peu) le foie durant les weekends. Contact : René LECOUSTRE Mél : rene.lecoustre(a)cirad.fr Lu dans la gazette très bien informée FEA On taquine ce pauvre Sarko parce qu’il est venu le dernier jour et que manifestement il n’a pas la fibre agricole très profonde. La belle affaire ! Vous croyez qu’ils sont beaucoup dans la classe politique à l’avoir, la fibre agricole ? Vous n’étiez peut-être pas au Salon quand elles ou ils sont passés, mais entre nous il n’y en a aucune ni aucun qui sache comment on apprécie un dos de taureau, ni qui y comprenne grand-chose en agriculture. Je ne dirai pas le nom, mais cette semaine, il s’en est même trouvé un (en fait c’était une, et pourtant elle aurait dû savoir…) qui s’est pris les pieds dans le tapis en confondant les OGM avec les hybrides, c’est vous dire. Au Salon, on se souvient et on rit encore d’Edouard Balladur, alors Premier ministre, s’arrêtant pensivement devant un taureau charolais et demandant à l’éleveur combien il donnait de lait. La triste vérité est que les hommes politiques sont à l’image de nous tous qui constituons aujourd’hui la société française : des urbains ignares, vaguement mélancoliques d’un passé dont ils ont été déracinés depuis au moins deux générations, submergés d’informations mal comprises, mal exprimées, mal conclues. Vous me direz, il y a Chirac… Mais non, même Chirac n’y connait pas grand-chose ! D’ailleurs entre nous il ne met plus les pieds depuis longtemps dans sa campagne corrézienne que pour les photos. La sensibilité ruralo-agricole s’émousse vite, quai Voltaire… Voir : http://www.socopag.fr/ Contact : François LANDRIEU Mél : socopag(a)free.fr Experts (1) - Bisphénol A : l'Afssa relève des ''signaux d'alerte'' Dans un nouvel avis faisant suite à de nouvelles études, l'Afssa reconnaît l'existence ''des effets subtils'' du BPA chez des jeunes rats. Pourtant, selon elle, les conséquences sur la santé humaine ''ne sont pas clairement établies''. Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/ bisphenolA_Afssa_avis-fevrier_signaux_alerte_9541.php4 Ma remarque (GW) : Et voilà comment nos amis écologistes catastrophistes font dire aux experts de l'AFSAA le contraire de ce que ces experts nous disent… Experts (2) - "Discrédités" !?! L’EFSA est à mes yeux discréditée, car elle a pris des positions récurrentes en faveur des OGM et il y a visiblement des passerelles manifestes entre certains de ses experts et les firmes. On ne peut pas être juge et partie - Jacques MULLER, sénateur Vert du Bas-Rhin Ma remarque (GW) : Que les marchands de peurs en tous genres, s'attaquent aux experts de l'EFSA, c'est plutôt drôle. Mais de quoi sont-ils eux-mêmes experts ? Et de fait quand les politiques vont demander aux experts un avis, les vrais experts ricaneront et ceux qui font profession de prédire des catastrophes feront ce pour quoi ils sont payés.
Ce sont toujours ces salauds de pauvres qui font des gosses pour toucher les allocs. C'est connu. Et d'ailleurs Yves Cochet, député "vert" s'est illustré sur ce thème. C'est rigolo comme les "vieilles idées" reviennent vite à la surface (Gazette du 4 mars) Tant il est vrai, que le "Kapital" des pauvres, c'est leur descendance. A chacun son Kapital ! Pour Yves Cochet, c'est son traitement de député. Contact : Jacques DE-LASSUS Mél : jacques.de-lassus(a)developpement-durable.gouv.fr Ma remarque (GW) : Mais ne versons pas dans l'antiparlementarisme ! Tu as peut-être entendu parler du témoignage d'un agriculteur, Pierre PRIOLET, il y a quelques jours, au téléphone sur France Inter (message reçu le 22 février…) Il était samedi soir l'invité de Thierry Ardisson sur "Salut les terriens". Son intervention est très brillante ! Le scandale des grandes surfaces, le mirage d'un monde qui vit sur la finance, les fruits qui parcourent en moyenne 2500 km avant d'être consommés. Il a les tripes pour le dire et le public est conquis. Tu peux l'écouter sur : http://player.canalplus.fr/#/319506 Passées les conneries du début, le témoignage démarre à 5mn40s et dure à peu près 17 mn. Tout bon ! Contact : Serge Le DOARE Mél : serge.le.doare(a)wanadoo.fr Emissions historiques sur l'agriculture (France Culture - La fabrique de l'histoire) C'est assez rare pour être souligné. Vous trouverez ces émissions et les Podcast à cette adresse : Une semaine de la fabrique de l'histoire dédiée à l'agriculture Voir : https://sites.google.com/site/legerbertrand/goodies-3/unesemainedelafabriquedelhistoirededieealagriculture Je souligne pour les collègues d'Arvalis, l'émission du 25/02 qui retraçait l'histoire du blé et pour les collègues du Cemagref l'émission du 24/02 sur la mécanisation. Contact : Bertrand LEGER Mél : b.leger(a)arvalisinstitutduvegetal.fr La Commission annonce une proposition visant à laisser aux États membres le choix de cultiver ou non des OGM et adopte cinq décisions concernant des OGM Voir : http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/10/222 &format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=en Excès de précaution (et passion pour le catastrophisme) Voir : http://www.lesechos.fr/journal20100303/ lec1_idees/020393845996-exces-de-precaution.htm Les OGM progressent de 7 % par an, portées par les Etats-Unis Voir : http://www.lesechos.fr/info/agro/ 020393279999-les-ogm-progressent-de-7-par-an-portees-par-les-etats-unis.htm
Questions
and Answers on Genetically Modified Organisms (GMO's)
Point
de vue : Toujours plus de données
En 2009, le volume de données utilisateur a augmenté de 27,3% en une année ! (source IDC)… On ne mesure plus les espaces disques en Giga octets mais en Tera. Pour moi qui ai connu la carte et le ruban perforés comme uniques espaces de stockage de l'information, le changement est de taille. Avec les baies de stockage d'informations que nous avons maintenant, nous n'avons pas à nous inquiéter de manquer d'espace sur nos disques mais toutes ces informations sont-elles vraiment utiles ? Combien d'entre nous ont-ils des boîtes-aux-lettres électroniques convenablement classées, avec uniquement des documents encore utiles ? Ne trainons-nous pas toutes ces informations pas très utiles comme des boulets ? Contact : Guy WAKSMAN Mél : waksman(a)acta-informatique.fr
Salon Bois Energie 18 – 21 mars - SAINT-ETIENNE Plus de 270 exposants et sociétés représentées venant de 14 pays. Une croissance de plus de 25 % en surface d’exposition (stands) intérieure par rapport à l’année dernière a été enregistrée. Les meilleurs équipements de l’industrie bois énergie en exposition sur cette édition. Tout le monde sera captivé par les flammes dansantes et la magie du bois énergie provenant d’une trentaine de poêles et cheminées de haute performance en démonstration. Ca va chauffer !! Les emplacements extérieurs sont déjà tous réservés par des fournisseurs d’équipements d’exploitation forestière, de services, de combustibles et de matériels de chauffage au bois. Une gamme complète d’équipement en démonstration pendant tout l’événement : fendage, coupage, déchiquetage, hachage, broyage ! 20 000 visiteurs sont attendus pendant les quatre jours de l’événement. Un programme complet et dynamique est prévu pour les professionnels (Jeudi/Vendredi) et les particuliers (le weekend) avec pour thème les derniers développements du secteur de bois énergie. Des visites techniques, le Concours de l’Innovation, des spectacles de sculpture à la tronçonneuse, une zone ludique pour les enfants, etc. Le salon Bois Energie 2010, l’événement à ne pas manquer ! ! Voir : http://www.boisenergie.com/article.php3?id_article=208 La Fête de l’Internet en Côte-d’Or 20 - 28 Mars 2010 Voir : http://www.sati.tv/spip.php?article1445 Acteur en élevage laitier, j’analyse, j’agis 23 mars 2010 - MUR DE BRETAGNE (22) Dans le contexte économique actuel, la gestion de l’exploitation revêt une importance primordiale dans la construction du résultat économique. La journée «Acteur de l’élevage laitier, j’analyse, j’agis » a pour objectif d’apporter des éléments de décision aux éleveurs laitiers et à leurs conseillers. Elle propose une nouvelle démarche où l’agriculteur doit être acteur et où le conseiller l’accompagne dans l’action. Comme dans toute activité économique, la maîtrise des coûts reste capitale. Des marges de manœuvre existent dans beaucoup d’exploitations. Cependant, les décisions doivent être prises en mesurant les conséquences de ses choix, pour éviter de fausses économies (pertes supérieures au gain escomptées). Au delà des résultats des études menées par les Chambre d’agriculture depuis de nombreuse années, cette journée, ponctuée de témoignages d’éleveurs présentera : - des indicateurs et des repères sur les résultats économiques - une hiérarchisation des postes du coût de production, pour identifier les axes de travail à privilégier - des outils de diagnostic et de tableau de bord, pour situer et suivre son exploitation - des fiches actions, pour une mise en œuvre pratique en exploitations Cette journée s’inscrit dans le cadre de la campagne régionale « Agir sur les coûts de revient », qui concerne toutes les productions : lait, viande bovine, porcs, aviculture et grandes cultures. Cette campagne, animée par les Chambres d’Agriculture de Bretagne, revêt plusieurs formes d’actions collectives au cours de l’année 2010 : articles de presse, portes ouvertes, journées techniques, formations. Contact : Hubert VIANNAY Mél : hubert.viannay(a)cotes-d-armor.chambagri.fr
Le risque industriel, une question de Sciences Humaines et Sociales 24 - 25 mars 2010 - LYON Voir : http://umr5600.univ-lyon3.fr/actualites/risque/Risque_industriel_Question_SHS.pdf Aliments santé 31 mars - 1er avril – PARIS Deux journées organisées par Archimex et l’Adria de Quimper sur l’actualité des aliments santé, les tendances et les innovations ainsi que la réglementation avec de nombreux experts. Voir : http://www.adria.tm.fr/ "Agencez un stand" : Formation agritouristique proposée par le service Tourisme de la Chambre d'Agriculture de l'Orne 1er avril - ALENÇON Cette formation s'adresse à tous les prestataires et partenaires touristiques ou producteurs fermiers en vente directe. Au cours de cette journée interactive et d'échanges avec l'intervenant conseiller en communication, seront abordées les astuces qui pourront être mises en place facilement pour avoir un stand vivant et attractif, mais aussi comment clarifier son message à faire passer en fonction de l'objectif visé (promotion et/ou vente). Voir : http://www.orne-agri.com Contact : Joëlle LEGENDRE Mél : joelle.legendre(a)orne.chambagri.fr Désherb'ACTION : 4 colloques au champ que ARVALIS - Institut du végétal prépare avec de nombreux partenaires - 6 mai 2010 : Epieds (Eure) - 19 mai 2010 : Le Sollier (Cher) - 2 juin 2010 : Le Magneraud (Charente Maritime) - 9 juin 2010 : Encrambade-Baziège (Haute Garonne) Contact : Xavier GAUTIER Mél : presse(a)arvalisinstitutduvegetal.fr International conference “Discovering, Mining and Managing Complex Agricultural Data” 1 – 3 July - Crete, GREECE See: http://www.ise.ufl.edu/cao/CAODM2010/index.htm Contact : Petraq PAPAJORGJI E-mail: petraq(a)ufl.edu Quiz 1 : Maîtrisez-vous l'humour au féminin ? Qui est l'interprète des sketchs "Le noir", "Le répondeur" ou "La réunion de chantier" ? Quelle humoriste proposait "La minute blonde" sur Canal + ? Voir : http://www.linternaute.com/humour/questionnaire/fiche/11413/d/f/1/
USDA Agricultural Projections to 2019 Paul Westcott, ERS Contact No. (OCE-2010-1) 106 pp, February 2010 This report provides longrun (10-year) projections for the agricultural sector through 2019. Projections cover agricultural commodities, agricultural trade, and aggregate indicators of the sector, such as farm income and food prices. See: http://www.ers.usda.gov/Publications/OCE101/OCE101.pdf Global Status of Commercialized Biotech/GM Crops: 2009 - The first fourteen years, 1996 to 2009 (…)For example in 2009, an impressive 85% of the 35.2 million hectare national maize crop in the USA was biotech, and remarkably, 75% of it was hybrids with either double or triple stacked traits – only 25% was occupied by hybrids with a single trait. Similarly, biotech cotton occupies up to approximately 90%, or more of the national area of cotton in the USA, Australia and South Africa, with double-stacked traits occupying 75% of all biotech cotton in the USA, 88% in Australia and 75% in South Africa (…). See: http://www.isaaa.org/resources/publications/ briefs/41/executivesummary/default.asp Le portail Internet agricole du département du Tarn vient d'être entièrement rénové Voir : http://www.agritarn.com Contact : A. RENAULT Mél : alexandre.renault(a)paysantarnais.com Agriculture bio : l’objectif de 6% de la SAU à l’horizon 2012 est hors d’atteinte, confirment les chiffres 2009 de l’Agence Bio En 2009, le total des surfaces certifiées et en cours de conversion en agriculture biologique s’est élevé à 670.000 hectares, s’est félicitée Elisabeth Mercier, directrice de l’Agence bio. C’est-à-dire presque 100.000 hectares de plus qu’en 2008. En outre, chaque mois, 300 agriculteurs ont franchi le pas de la conversion. "Désormais, c’est plus de 16.000 exploitants qui pratiquent l’agriculture bio ; un chiffre en croissance de 23%", indique l’agence. Présentée ainsi, la progression est appréciable Voir : http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article615 Ferme 3D grandes cultures : un guide des bonnes pratiques Spécialisée dans la création de sites Internet et d'outils de communication, la société Vialaudis a mis en ligne le site "Ferme 3D grandes cultures". Hygiène, sécurité, réglementation, environnement, fertilisation, produits phytosanitaires.....sont au menu de ce site qui se veut avant tout pédagogique "Les outils multimédias, schémas, plans, clichés, séquences... Voir : http://journalduwebagricole.blogspirit.com/archive/2010/01/07/ ferme-3d-grande-cultures-un-guide-des-bonnes-pratiques.html Télédéclaration des calamités agricole Voir : http://journalduwebagricole.blogspirit.com/archive/2009/09/18/ tele-declaration-des-calamites-agricoles.html Les indicateurs de développement durable territoriaux Le développement durable est une démarche qui se décline de l'échelle planétaire à celle des individus. Les collectivités territoriales, les services de l'Etat, et les acteurs locaux de la vie économique et associative sont impliqués dans ce processus. Pour agir de façon cohérente et coordonnée, ces acteurs doivent pouvoir disposer d'un diagnostic partagé, reposant notamment sur des indicateurs. Pour atteindre cet objectif, la Datar et le Commissariat Général au Développement Durable ont mis au point une liste d'indicateurs de développement durable territoriaux, en concertation avec les experts nationaux, les associations d'élus locaux et les associations environnementales. La liste contient une cinquantaine d'indicateurs, parmi lesquels ceux "de premier niveau" permettent une vue synthétique des résultats obtenus. Voir : http://www.ifen.fr/indicateurs/indicateurs-de-developpement-durable-territoriaux.html?print= News@lim, la lettre d'information du secteur valorisation animale Voir : http://www.arvalisinstitutduvegetal.fr/fr/com_detail.asp?id=164 Qualit@lim, plaquette d'information ONIGC / ARVALIS Voir : http://www.arvalisinstitutduvegetal.fr/fr/com_detail.asp?id=397 Callune.fr vous propose une promotion de -10% sur les caissettes de viande de veau rosé limousin Les 4 kg de veau à 15.79 € le kg soit 63.18 € la caissette. Ce veau est élevé sur le plateau de Millevaches par le Gaec Chatoux-Pichon en reconversion à l'agriculture biologique, depuis juillet 2009. Voir : http://www.callune.fr/pages/index.php?id=1788 Modélisation dynamique du développement de la vigne Voir : http://www.vitisphere.com/breve-56361-recherche.htm
Le vin, le bio et les consommateurs peuvent-ils faire bon ménage ? Oui, car La mise en valeur du terroir et le respect du consommateur sont les enjeux de la viticulture de demain. Aussi, pourquoi attendre pour boire sain ? Ardoneo.com, la vente en ligne où sont respectés les terroirs et les consommateurs. Créé il y a un an déjà, ardoneo.com continue sa croissance avec la même passion et une envie vivifiée : faire découvrir à ses clients (d’aujourd’hui et de demain) des vins élaborés dans le respect de l’environnement et garantissant un plaisir du palais maximum. À cette fin, ardoneo.com enrichit tous les mois son catalogue de vins bio, biodynamique ou raisonné et compte plus de 200 références à ce jour. Tous ne sont pas certifiés bio, car l'ambition du site n'est pas seulement d'accompagner ceux qui sont déjà certifiés, mais aussi d'encourager ceux qui sont dans la démarche sans avoir encore sauté le pas de la certification, à franchir le cap. Cette démarche nous semble essentielle si l’on veut faire progresser le pourcentage de vignes bio en France, situé bien en dessous des 5%. Une sélection drastique : Moins de 10% des échantillons dégustés sont sélectionnés Les vignerons sont choisis rigoureusement selon 2 critères : délectation et plaisir que procure leur cuvée avec un respect de l’environnement tangible. Aussi, travaillons-nous le plus possible en direct avec eux afin de les connaitre parfaitement, eux et leur terroir et de parfaire la confiance réciproque. Les plus grands figurent parmi notre sélection comme le Domaine Arretxea, Elian Da Ros, La Tour des Gendres dans le Sud Ouest, Pierre Morey à Meursault, Chantal Lescure et Henri Gouges sur la Côte de Nuits, le Mas Jullien et le Domaine d’Aupilhac en Languedoc ou encore les domaines Richaud et Combier en Côtes du Rhône, par exemple. Le site promeut aussi de nombreux vignerons moins connus dont les cuvées constituent d’excellents rapports qualité/prix comme le Domaine de la Garreliere en Loire ou les Chemins de Bassac en Languedoc. Choisir son vin d’après des critères comme la région, la robe, les arômes, les associations avec les mets et les caractéristiques environnementales, c’est aujourd’hui possible sur Internet avec www.ardoneo.com De plus, le site se veut clair et convivial afin que l’internaute reste concentré sur le produit et non sur les fonctions, les pages ou une navigation complexe et embrouillée. C’est dès la page d’accueil, que l’internaute sélectionne ses vins, en 1 clic, en dressant le portrait de son vin selon ses goûts et ses possibilités. L’achat peut porter sur une bouteille, oui, une seule bouteille, comme sur des lots composés ou non. Cette dernière possibilité est importante pour l’acheteur curieux, occasionnel qui ne se voit pas imposé un minima, alors que son achat ne vise pas la constitution d’une cave ! L’ergonomie est un service conçu pour faciliter la navigation et la réalisation des attentes des clients à partir d’un repérage qui guide dans le monde du vin, qui peut apparaître difficile et complexe pour les amateurs sans expérience : la recherche grâce aux arômes permet au novice, par exemple, d’orienter facilement ses choix par l’utilisation d’un vocabulaire simple, parlant et analogique (vin boisé, fruité, puissant…). De même, les accords mets-vins guident en toute simplicité et rapidité l’internaute qui souhaite trouver un accord idéal pour son plat. Les vins de bons et de très bons niveaux ne sont pas l’apanage des seuls amateurs éclairés ou des fins connaisseurs, chacun peut trouver, choisir et acquérir des vins répondant à des critères de qualité, de goût, de personnalité et de prix et ce qui en augmente la valeur, qui plus est, produit dans un souci environnemental qui en rehausse la valeur. Aussi, pourquoi ne pas venir voir de plus près ce que sont ces vins d’excellente tenue, à tous points de vue ? chez www.ardoneo.com En savoir plus sur le vin bio : http://www.millesime-bio.com/v2/ aivb_presentation-vin-bio.asp Contact : Sylvain MEYER Mél : sylvain.meyer(a)ardoneo.com
First International Congress on Biological Invasions declared 'overwhelming success' An international conference co-sponsored and co-organized by CABI has been declared an 'overwhelming success'. The conference held in Fuzhou, China strengthened international collaboration in managing biological invasions. See: http://information.cabi.org/t/184726/276437/3073/0/ Interview with animal welfare expert - Dr Temple Grandin Dr Temple Grandin is the academic world's best known autistic scholar and leading voice on animal welfare issues. She is the editor of the recently published CABI book - Improving Animal Welfare. In this interview Dr Grandin shares with us some of her insights into animal behaviour. See: http://information.cabi.org/t/184726/276437/3062/0/ Short article, summarizing what needs to be done in the next 10-30 years to help supply the food needed in the future… Radically Rethinking Agriculture for the 21st Century Population growth, arable land and fresh water limits, and climate change have profound implications for the ability of agriculture to meet this century’s demands for food, feed, fiber, and fuel while reducing the environmental impact of their production. Success depends on the acceptance and use of contemporary molecular techniques, as well as the increasing development of farming systems that use saline water and integrate nutrient flows. See: http://www.sciencemag.org/cgi/content/full/327/5967/833 Paysans.fr étend ses livraisons à toute la France A partir du 3 mars toutes les villes de France sont livrées par Paysans.fr Paysans.fr livre chaque semaine et à domicile tous les foyers de France (hors Corse et DOM-TOM) en légumes, fruits, viandes, poissons, produits laitiers, vin et pain. Après avoir étendu progressivement son service au Sud-ouest, au Sud-est et en Ile de France, ce sont maintenant toutes les régions de France qui vont bénéficier chaque semaine des livraisons de produits agricoles de qualité en partenariat avec 150 petites exploitations agricoles du Sud-ouest. En 7 ans Paysans.fr a imposé un nouveau modèle dans le paysage de la distribution alimentaire L'alternative Paysans.fr c’est des produits frais de grande qualité livrés gratuitement à domicile à des prix raisonnables grâce à des producteurs locaux mieux payés que par les centrales d'achat : Consommation responsable + Qualité des produits et du service + Prix équilibrés = Paysans.fr Quelques chiffres : - Chaque année depuis 7 ans, 2000 nouveaux clients et 20 nouveaux producteurs rejoignent Paysans.fr - En 2009, Paysans.fr a servi 7 500 familles régulièrement au cours de l’année grâce aux 150 fournisseurs de fruits, légumes, viandes, volailles ou fromages qui se sont engagés à ses côtés. Voir : http://www.paysans.fr Contact : Patricia JUTHIAUD Mél : patricia(a)paysans.fr Plus de licence obligatoire pour les associations de tourisme Le Tourisme social et associatif est principalement connu pour son objet : offrir un tourisme de qualité et des prix attractifs pour le plus grand nombre. C'est un opérateur touristique d'importance. Il gère 10% de l'offre d'hébergement payante et accueille annuellement plus de 15 millions de personnes.[...] Voir : http://www.loi1901.com/intranet/a_news/index_news.php?Id=1436
Journée Agro-phytos 2018 Pays-de-la-Loire : vers une réduction significative de l’usage des produits phytosanitaires en Pays de la Loire Le point sur la journée régionale "Grandes cultures" sur les connaissances agronomiques, pratiques et méthodes innovantes pour réduire l’utilisation des produits phytosanitaires et rester performant. Quelque 200 techniciens issus des sociétés de négoces, des coopératives, des organismes de développement, des centres de gestion, des établissements d’enseignement, des bureaux d’étude, de l’administration, des instituts de recherche, des fabricants de produits phytosanitaires… se sont mobilisés le 4 février dernier, pour s’informer, échanger et trouver des pistes de solution pour relever le défi que la Société demande à l’agriculture : réduire l’usage des produits phytosanitaires. Découlant du Grenelle Environnement 2, le plan Ecophyto 2018 vise à réduire de moitié l’utilisation des produits phytosanitaires en agriculture d’ici à 2018 si possible. Cette journée, organisée par la Chambre régionale d’agriculture des Pays de la Loire et ses partenaires*, avait donc comme objectif d’être une des étapes dans cette chaine en permettant à un maximum de techniciens de mieux connaître des essais récents et de nouvelles pistes à l’étude. C’est à la fois le bilan d’une période où ont été testées des techniques alternatives complémentaires mais un peu dispersées et le lancement d’une approche plus globale de la conduite des cultures. >>> Réduire l’usage des produits phytosanitaires ne peut se limiter à la seule question environnementale L’objectif de réduction des phytos répond au premier plan à des exigences de protection de l’environnement, notamment celle de la qualité de l’eau. Mais celle de la préservation de la santé – des consommateurs tout comme celle des agriculteurs, principaux utilisateurs de ces produits – est également un des enjeux. Cependant, réduire ou supprimer l’usage des produits phytosanitaires ne peut se limiter à la seule question environnementale. En effet, ce changement de pratiques a des conséquences en matière d’investissements techniques, de productivité, de rentabilité et naturellement d’équilibre économique des entreprises, agricoles et commerciales. Les choix à opérer nécessitent une approche globale alliant l’environnement à l’économie et au social si l’on veut avoir une chance de proposer une solution durable. Ainsi, sur le plan économique, le poids de l’agriculture dans l’économie régionale, la variabilité très forte des cours ces dernières années et la réduction des revenus des agriculteurs doivent être pris en compte. Si réduire les produits phytosanitaires permet quelques réductions de charges, il faut veiller à ce que cela ait aussi un effet positif sur la marge et sur le coût de production, ce qui suppose de ne pas trop réduire les objectifs de rendement. L’entrée de nouvelles cultures pour rallonger les rotations trouvera t’elle un marché ? De fait, la Société demande une réduction des produits phytosanitaires, sans pour autant envisager de payer plus cher des produits dont les coûts de revient auront augmenté. Ainsi, le marché des produits bio, quoiqu’en expansion, ne concerne qu’une partie limitée des achats des consommateurs dont la demande reste majoritairement orientée vers les produits alimentaires bon marché. Sur le plan social, certaines pratiques alternatives, comme le désherbage mécanique, peuvent paraître séduisante et simple à mettre en oeuvre sur le plan technique mais elles supposent une augmentation conséquente du temps de travail et du nombre de tâches, incompatible avec le souhait des agriculteurs d’avoir aujourd’hui un rythme de vie décent comme tout citoyen. Par exemple, les polyculteurs-éleveurs, très représentés en Pays de la Loire, s’ils souhaitent traiter leurs cultures aux heures optimales – début ou fin de journée – se trouvent confrontés à leurs impératifs de traite aux mêmes horaires ! Par ailleurs, la perte de rentabilité des entreprises ne pourrait être sans conséquence sur l’emploi salarié et induit. >>> L’Institut national de la recherche agronomique confirme qu’une baisse de 30 % des produits phytosanitaires est envisageable à court terme Des travaux très récents de l’INRA** viennent d’indiquer qu’une réduction de 30 % était envisageable en transformant les systèmes de culture. En revanche, leur conclusion est que pour aller plus loin, il faudra une véritable modification des systèmes de production et une baisse sensible de la production. Cette évolution aura des conséquences économiques fortes sur l’exploitation et sur l’économie agricole française globale. Concernant les évolutions de pratiques, il est important de souligner qu’on ne part pas de rien en matière de connaissances pratiques : des études et des essais entrepris ont déjà été lancés par les Chambres d’agriculture et les instituts techniques des Pays de la Loire pour réduire les intrants ces dernières années. On passe aujourd’hui à une autre étape avec une action visant à construire des systèmes de culture appelés "innovants", dans le cadre d’un observatoire constitué de la plateforme d’expérimentation de Saint-Fort (53) et de 9 autres exploitations de la région. Objectif : commencer par la prévention afin d’éviter le risque de développement d’un bio-agresseur ou d’en limiter l’intensité. Quand la prévention n’est pas suffisante, des solutions alternatives sans produits phytosanitaires sont à envisager. Il s’agira également d’innover, en introduisant des méthodes faisant appel, par exemple, à des outils mécaniques qui intègrent de l’électronique pour accélérer les cadences de désherbage. La recherche de nouvelles molécules par les laboratoires de produits phytosanitaires peut aussi ouvrir des perspectives. Enfin, les produits phytosanitaires restent nécessaires lorsqu’aucune de ces solutions n’est suffisante. Ils restent indispensables pour éviter une chute de rendement trop importante ou un salissement de la parcelle qui posera des problèmes les années suivantes. Ces systèmes supposent de construire de nouvelles stratégies globales de conduite des cultures et des règles de décision différentes de celles que l’on utilise encore largement. Au plan national enfin, 18 groupes de 10 fermes sont constitués, sous tutelle de l’Etat, pour faire de la recherche de références et de la démonstration. Les résultats obtenus devront permettre de faire un arbitrage objectif entre la façon dont les sols sont travaillés, la rotation des cultures (choix des variétés et conduites culturales) et l’apport en produits phytosanitaires. Toutes ces références et ces savoirs techniques devront être largement valorisés auprès des agriculteurs qui, sur le terrain, adaptent déjà leurs pratiques. Pour les accompagner en ce sens, les nouveaux bulletins de santé du végétal, lancés fin 2009, prenant la relève des anciens avertissements agricoles, vont jouer un rôle important dans les prochaines années. Ces éléments n’offriront pas des "recettes clés en main" mais seront des outils d’aide à la décision, basés sur l’agronomie, qui devront rendre les agriculteurs autonomes dans leurs décisions, dans une approche plus globale de la conduite des cultures. Dans tous les cas, des formations devront être ouvertes et rendues accessibles à tous les agriculteurs pour leur apprendre à faire évoluer leurs pratiques, la conduite de leurs cultures et, pourquoi pas, tous leurs systèmes de culture. Les formations Certiphyto qui se mettent en place au plan régional, constituent une première sensibilisation obligatoire pour tous. >>> La diffusion de nouvelles méthodes de culture et la généralisation de nouvelles pratiques agricoles doivent être soutenues L’objet de cette journée n’était pas de chiffrer quel objectif est réaliste ou non, mais de montrer que des résultats d’essais régionaux récents, la mobilisation de connaissances agronomiques fondamentales et l’exploration de nouvelles modalités de conduite des cultures peuvent permettre d’avancer dans la voie de la réduction de l’usage des produits phytosanitaires… Sans oublier le paradoxe auquel ont à faire face les agriculteurs : réduire l’usage des produits phytosanitaires tout en augmentant la production agricole pour nourrir la population mondiale en croissance ! Les agriculteurs ne pourront clairement relever ce défi que si leurs efforts sont valorisés à travers le prix de vente de leurs produits. * Arvalis-Institut du végétal, Cetiom, Inra, Coop de France Ouest et Terrena, Négoce Ouest. ** Rapport "Écophyto R&D Quelles voies pour réduire l’usage des pesticides ?" rendu public le 28 janvier 2010 Contact : Christophe SUARD Mél : Christophe.SUARD(a)pl.chambagri.fr 12ième colloque orges brassicoles : Baisse temporaire des surfaces en 2010 ? Dans un marché mondial de la bière à fort potentiel de progression, l’année 2010 risque de voir les surfaces d’orges brassicoles reculer dans l’hexagone. Ce phénomène devrait toucher tous les pays producteurs car les stocks de la récolte passée pèsent sur les marchés et sur les prix. Une situation passagère, selon certains experts, en attendant que l’année 2011 offre des perspectives plus favorables. >>> 12 litres de bière par habitant en Chine, 60 litres aux USA et Europe Les marchés de l’orge brassicole et du malt sont résolument mondiaux. La consommation de bière poursuit une croissance, certes ralentie, sur la planète : elle tend à s’infléchir dans les pays occidentaux sous l’effet des taxes et des allégations santé alors qu’elle continue de progresser, notamment en Chine, pays au potentiel immense s’il en est. Pour ce qui est de la production d’orge brassicole, l’UE tient actuellement une place majeure avec 55 à 60% de la production mondiale. Cependant, la compétition est âpre sur le marché, et entre cultures dans les assolements. Les experts présents au colloque ont néanmoins présenté toutes les raisons d’y croire. La recherche variétale est particulièrement active, le savoir faire de la filière française et la qualité des productions sont reconnus, l’orge trouve une justification agronomique dans bon nombre d’assolements. Les discussions ont également porté sur l’intérêt de mettre en place une contractualisation entre producteurs et acheteurs, ce qui apporterait des éléments de stabilité et amortirait la volatilité des volumes également demandée par les brasseurs. Les marchés se géreraient ainsi à moyen terme. >>> Les défis techniques de la directive nitrate Le 4ième programme d’action de la directive nitrate impose d’atteindre, hors dérogation particulière, la couverture hivernale des sols à l’horizon 2012. La production d’orge de printemps, comme toutes les cultures de printemps, va devoir s’adapter à cette nouvelle situation, notamment en tenant compte plus précisément de l’azote minéral dans le sol à la sortie de l’hiver pour optimiser le rendement et maîtriser la teneur en protéine des grains. La maîtrise technique de ces CIPAN est tout à fait possible, sans impact négatif sur le rendement ou la qualité. Le coût de production pouvant s’élever du fait de la gestion des couverts hivernaux, peut temporairement réduire l’offre d’orge de printemps, en tout cas, tant que le prix de marché n’aura pas trouvé une tendance porteuse. >>> La Chine a l’honneur Les exposés de France Export Céréales et de Supertime (leader chinois de la malterie) ont montré que le potentiel pour l’orge française était important. La consommation de bière croît, le pays importe plus de la moitié de ces besoins en orges (environ 1.7 million de tonnes en 2009). Néanmoins la compétition est forte entre les origines Australie, Canada et France. C’est pourquoi de nombreuses actions sont déployées vers les opérateurs chinois (séminaires, opération de démonstration, test d’optimisation du maltage, …) pour leur permettre de bien connaître les orges brassicoles françaises et optimiser leur transformation, malgré une distance de transport maritime importante. Le colloque « Orges Brassicoles Perspectives 2010 » organisé par ARVALIS - Institut du végétal en collaboration avec Malteurs de France, Brasseurs de France et France Export Céréales s’est tenu le 3 février 2010 à Paris. Revivez le colloque grâce à 6 vidéos : http://www.arvalis-tv.fr
European Commission approves Amflora starch potato - BASF plans to start commercial cultivation in 2010 - Amflora will increase the competitiveness of the European starch industry Ludwigshafen, Germany – March 2, 2010 – Today the European Commission approved Amflora, BASF's genetically optimized starch potato, for commercial application in Europe. The potato can now be used for the production of industrial starch. "After waiting for more than 13 years, we are delighted that the European Commission has approved Amflora," said Stefan Marcinowski, member of the Board of Executive Directors of BASF SE. “We hope, that this decision is a milestone for further innovative products that will promote a competitive and sustainable agriculture in Europe.” "The way is now clear for commercial cultivation of Amflora this year," said Peter Eckes, President of BASF Plant Science. "Amflora will strengthen the international position of the European potato starch industry." The European Food Safety Authority (EFSA) confirmed on several occasions during the approval process that Amflora is safe for humans, animals and the environment. Now that the European Commission has given its approval to Amflora's commercial cultivation, Sweden as the so-called “rapporteur” country will formally issue its legal approval. The application for approval of Amflora was filed in Sweden in 1996. Amflora produces pure amylopectin starch used in certain technical applications. Food use is not foreseen. It was developed in collaboration with experts from the European starch industry to respond to the demand for pure amylopectin starch. Conventional potatoes produce a mixture of amylopectin and amylose starch. For many technical applications, such as in the paper, textile and adhesives industries, pure amylopectin is advantageous, but separating the two starch components is uneconomical. The industry will benefit from high-quality Amflora starch that optimizes industrial processes: it gives paper a higher gloss, and concrete and adhesives can be processed for a longer period of time. This reduces the consumption of energy, additives and raw materials such as water. The Amflora approval process to date: - The Amflora approval process was initiated more than 13 years ago with the request for authorization submitted in August 1996. The scope of the application included cultivation, industrial use and the use of pulp as feed. - During the so-called moratorium on genetically modified products between 1998 and 2004, no approvals for genetically modified plants were granted in the EU. - BASF Plant Science resubmitted a dossier for cultivation and a dossier for food and feed use in 2003 and 2005, respectively, due to modified EU regulations. - In 2006, the EU Commission published two EFSA assessments that for both dossiers concluded that Amflora is as safe as conventional potatoes for humans, animals and the environment. - In November 2006, the then responsible EU-Commissioner Stavros Dimas forwarded his proposal for authorization of cultivation of Amflora to the Regulatory Committee consisting of representatives from all EU Member States. - After two inconclusive votes in the Regulatory Committee in December 2006 and the Council of Agricultural Ministers in July 2007, Commissioner Dimas failed to adhere to the approval procedure defined by EU legislation and did not adopt the proposal for cultivation. - On September 21, 2007, EU-Commissioner Dimas answered questions by Green MEP Hiltrud Breyer (WRITTEN QUESTION P-4070/07 by Hiltrud Breyer (Verts/ALE) to the EU Commission that Amflora is safe. - The dossier for food and feed use was voted upon in the Standing Committee – consisting of members from all EU Member States – in October 2007 and Council of Agricultural Ministers in February 2008. After a qualified majority was not reached in either votes, the decision on Amflora was passed on to the EU Commission. - BASF expressed its dissatisfaction with EU-Commissioner Dimas’ handling of the approval process in an open letter to EU-Commissioner Dimas on April 17, 2008. - In its “orientation debate“ on genetically modified organisms on May 7, 2008, the EU Commission decided to request EFSA to prepare a new consolidated scientific opinion on the use of antibiotic resistance marker genes in genetically modified plants by September 30, 2008. Such a marker gene is also used in Amflora. - In a press release following the debate, EU-Commission President José Manuel Barroso stated that the EU Commission will adopt the pending decision “if and when“ EFSA confirms the safety of Amflora. - On May 19, 2008, BASF Plant Science requested access to any documents in the possession of the EU Commission in connection with the authorization procedure for Amflora. These documents did not reveal any new scientific evidence regarding the safety of Amflora. - On July 24, 2008, one year after the vote in the Council of Agricultural Ministers (the last formal step prior to adoption of a decision), BASF Plant Science filed an action with the European Court of First Instance against the EU Commission for failure to act. - EFSA in autumn 2008 informed that its opinion on antibiotic resistance marker genes would not be finalized until December 15, 2008. - However, on December 10, 2008, the EU Commission granted EFSA a second extension for its opinion to March 31, 2009. - On June 11, 2009, EFSA published its final, positive opinion on the use of antibiotic resistance marker genes in genetically modified plants. - Today, March 2, 2010, the European Commission gave its approval to commercial cultivation of Amflora in Europe. >>> About BASF Plant Science BASF Plant Science – a BASF group company - is one of the world’s leading companies providing innovative plant biotechnology solutions for agriculture. Today, about 700 employees are helping farmers meet the growing demand for improved agricultural productivity and healthier nutrition for humans and animals. BASF Plant Science has developed an unparalleled gene discovery platform focusing on yield and quality traits in crops such as corn, soybean and rice. Jointly with leading partners in the seed industry BASF Plant Science is commercializing its products. Current projects include higher yielding row crops, nutritionally-enhanced corn for animal feed or higher content of Omega-3’s in oil crops for preventing cardiovascular diseases. To find out more about See: http://www.basf.com/plantscience >>> About BASF BASF is the world’s leading chemical company: The Chemical Company. Its portfolio ranges from chemicals, plastics and performance products to agricultural products, fine chemicals as well as oil and gas. As a reliable partner BASF creates chemistry to help its customers in virtually all industries to be more successful. With its high-value products and intelligent solutions, BASF plays an important role in finding answers to global challenges such as climate protection, energy efficiency, nutrition and mobility. BASF posted sales of more than €50 billion in 2009 and had approximately 105,000 employees as of the end of the year. BASF shares are traded on the stock exchanges in Frankfurt (BAS), London (BFA) and Zurich (AN). See: http://www.basf.com Quiz 2 : Etes-vous fleur bleue ? S'agit-il d'une pensée, d'une gentiane ou d'un myosotis ? Voyons voir si vous reconnaissez ces fleurs bleues. Voir : http://www.linternaute.com/jardin/questionnaire/fiche/11497/d/f/1/
Du côté de MATEVI (Gironde) - Succès pour les Rencontres Viticoles d’Aquitaine - Sélection clonale - Sélection de clones plus tardifs pour le Merlot N et le Sauvignon B - Bilan des expérimentations Protection du vignoble 2009 - PAC 2010 : Nouveautés pour les viticulteurs Voir : http://www.matevi-france.com/ Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne - Retournement des tracteurs : Une plaquette réalisée par la MSA fait le point sur la nature du risque et sur les précautions à prendre. Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/ fileadmin/documents/p1016001.htm - Le service de remplacement recrute : Le Service de Remplacement recherche des salariés sur tout le département. Pour les étudiants durant les vacances scolaires ou les week ends En complément d’un autre emploi. Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/ fileadmin/documents/p1024001.htm - Aide laitière : Une aide conjoncturelle devrait être versée dans la première moitié de l'année aux producteurs ayant vu le prix d'achat de leur lait par les laiteries chuter de plus de 10 %. Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/fileadmin/ documents/pac/p1005001.htm#%aidelaitiere - Attibutions de DPU en 2010 : Celles-ci se feront exclusivement à partir de la réserve nationale, il n'existera pas de programme départemental en complément. Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/fileadmin/ documents/pac/p1019001.htm#%attrib - L'actualité de la presse locale : Elle peut être suivie en temps réel par des lecteurs des flux émis par 4 journaux hauts-marnais : l'Avenir Agricole et Rural de la Haute-Marne, le Journal de la Haute-Marne; la Voix de la Haute-Marne et l'Affranchi de Chaumont. Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/actualites/presse-locale.html Du côté du ForumPhytoLesInfos1004 - Etats généraux du sanitaire (DGAL) - Voyage au pays de l'expertise (G Pascal, AFIS) - Questions de parlementaires - Conférence GlobalGap à Athè;nes : qqs présentations - Fusion AFSSA-AFSSET : l'enjeu de l'indépendance de l'expertise (Le Monde) - Sharka en Rhône-Alpes : responsabilité de l'INRA ? - Usages orphelins en Viticulture (Viti-net) - Eco-production en horticulture (Astredhor) - La vie en vert, deux fois plus chère pour les pauvres (l'Expansion) - The future of food (videos in English) (USC Canada) - L'utopie écologique des fermes verticales (Les Echos) - Pour sourire : Le principe de précaution expliqué aux enfants (L. Berthod) Voir : http://www.forumphyto.fr/index.php?option=com_content&view=article& id=143:10-04-etats-genarux-du-sanitaire-expertise&catid=1:actualites& Itemid=200019
- Statistiques Stockage Privé Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-mens/stockage.htm - Informations/Marchés & Filières/Statistiques : Mise à jour des cahiers statistiques Dénaturation, stocks privés France, abattages, cours France Voir : http://www.office-elevage.fr/statistiques/statistique1.htm - Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises" Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-ens/statistique2.htm - Produits éligibles : Mise à jour de la liste Voir : http://www.office-elevage.fr/prg-sociaux/prg-sociaux.htm >>> Filière grandes cultures - Cotations : Quotidiennement les cotations FAW et FCW dans la rubrique Marchés - Hebdomadaire : Tous les mardis les cotations à terme FAW et FCW pour le blé, les FMB orges de brasserie, ainsi que les cotations rendu port pour les principales céréales françaises (blé, orge, maïs, blé dur...) dans la rubrique Marchés - Tous les jeudis soir retrouvez les dernières nouvelles du Comité de gestion des céréales à Bruxelles dans « l’ ONIGC-hebdo » publié dans la rubrique Coin des opérateurs - Prévisions : Retrouvez les derniers bilans de la campagne 2008/2009 pour le blé, l'orge, le maïs et le blé dur dans la rubrique Coin des opérateurs - Retrouvez les dernières publications en date > Filière des produits de la mer et de l'aquaculture - Cotations des produits de la mer Voir : http://www.ofimer.fr/Pages/Accueil/1Accueil2004.html >>> Filière des vins, des fruits, des légumes et de l'horticulture - Filière Vins : Mise à jour des Cotations réglementaires et Constatation nationale des prix moyens d’achat de vin en vrac Campagne viti-vinicole 2009-2010 Voir : http://www.franceagrimer.fr/informations/cotations/FAMCot-VIN.htm - FranceAgriMer fait le point sur les forces et les faiblesses de l’offre française de vins sur le marché américain Voir : http://www.franceagrimer.fr/PDF/Communique_presse/viticulture020310/ CommuniquepresseFranceAgriMeroffrefrançaisevinEtats-Unis.pdf - Impact de la crise sur le marché du vin aux Etats-Unis : forces et faiblesses de l’offre française Voir : http://www.franceagrimer.fr/PDF/Communique_presse/ viticulture020310/Forcesfaiblessesoffrefrançaisevin.pdf
Du côté de
la Lettre d'informations sur les plantes génétiquement modifiées
Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne - La terre et les hommes sans les vaches : Exercice d'écriture proposé aux écoles de Haute-Marne, pour une présentation lors de la Foire de Chaumont. Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/fileadmin/ documents/grand_public/p1020001.htm - Aides aux investissements : Le plan de modernisation des bâtiments d'élevage(PMBE), le plan de performance énergétique (PPE), le plan végétal pour l'environnement (PVE) vont être tous 3 gérés sous forme de réponse à des appels d'offre. L'échéance du prochain est fixé au 30 avril prochain. Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/fileadmin/documents/technique/p1046001.htm Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/fileadmin/documents/pac/p1073001.htm Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kitPublication/fileadmin/documents/pac/p1009001.htm Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea) >>> Actions et revendications > Soutien de la profession agricole aux irrigants Les syndicats agricoles soutiennent les irrigants des régions Aquitaine et Midi-Pyrénées qui se sont rassemblés hier à Mont de Marsan et à Toulouse face aux annonces de réductions drastiques de volumes d’eau alloués à l’agriculture. (9/3/2010) > Xynthia Le monde agricole solidaire (5/3/2010) > LMAP Le 24 février 2010, Jean-Michel Lemétayer, président de la FNSEA s'est fait audtionné par la commission économique du Sénat. (3/3/2010) > Elections TPBR et élections CCBR Du 15 au 29 janvier dernier, l'ensemble des bailleurs et des preneurs de France ont été appelés à élire les assesseurs aux tribunaux paritaires des baux ruraux et les membres aux commissions consultatives départementales des baux ruraux. (2/3/2010) > Photovoltaïque Dès la parution de l’arrêté du 12 janvier 2010 fixant les nouveaux tarifs d’achat, de nouvelles conditions de production mais aussi des règles de gestion de la période transitoire pénalisante pour les porteurs de projet, les représentants agricoles ont fortement réagi pour dénoncer une discrimination et une remise en cause inacceptables à l’encontre des agriculteurs. Le monde agricole a été entendu et un arrêté complémentaire est à l’étude. (1/3/2010) >>> Informations générales > Producteur De Lait Une note du ministère de l'Agriculture, précisant les conditions dans lesquelles les producteurs de lait pourront bénéficier de l'enveloppe exceptionnelle de 51 M€ allouée par Bruxelles l'an dernier, vient de paraître. (9/3/2010) > Bilan des Assises des Territoires Ruraux Michel Mercier tire un premier bilan des assises des Territoires Ruraux qui donnera lieu à un plan d'action en faveur des territoires ruraux. Ce bilan est disponible (5/3/2010) > Plan de maîtrise du sanglier : étude des bilans départementaux Mis en œuvre depuis l'été 2009 à la demande des syndicats, le plan national de maîtrise du sanglier a pour but d'améliorer la coordination des outils existants afin de réduire sensiblement les populations de sangliers et les dommages dont cette espèce est responsable. (3/3/2010) > Viticulture Initialement prévue le 31 janvier 2010, la date limite de dépôt des dossiers d’arrachage 2009-2010 préalable à une action de restructuration du vignoble a été reportée au 30 avril 2010 (2/3/2010) > Espèces nuisibles : une nouvelle réglementation en préparation Suite au rapport du député Pierre Lang, le ministre de l'Ecologie a noté qu'il était nécessaire d'achever le dispositif de lutte contre les espèces invasives et envahissantes. (2/3/2010) > Elections TPBR et CCBR Les résultats des élections des TPBR et des CCBR sont disponibles (1/3/2010) > MSA, principe d'annualité Une circulaire de la MSA reprécise le principe d’annualité. Des explications sur le principe d’annualité sont disponibles. (26/2/2010)
Du côté de Pleinchamp.com - Retrouvez les Débats de Terre d’Infos TV sur Pleinchamp.com Près de 5.000 internautes ont répondu aux sondages posés par Pleinchamp à l’occasion du Salon de l’Agriculture. Les résultats de ces sondages ainsi que les questions des internautes ont été relayés, en direct, dans les Débat de Terre d’Infos TV animés, chaque jour, par Claude Carré. Pour pouvez visionner les vidéos de ces Débats sur pleinchamp.com, rubrique Terre d’Infos en Direct. Au programme : «Recherche et innovation : quels enjeux ?» ; «Quelle agriculture pour demain ?» ; «Quel revenu pour les agriculteurs » ; « S'adapter et lutter contre les changements climatiques» ; «La table France est-elle un modèle ?» ; «Nourrir la planète» ; «Tourisme vert et circuit court» ; «Environnement : l’après Grenelle». Voir : http://www.pleinchamp.com/animations/salons/sia2010/sia/ terredinfos.asp Quiz 3 : Etes-vous un as des macarons ? Vous adorez croquer dans ces gourmandises colorées, mais connaissez-vous tous les trucs et astuces pour obtenir de magnifiques macarons ? Voir : http://www.linternaute.com/femmes/cuisine/ questionnaire/fiche/11598/d/f/1/
Les Enjeux du Quotidien : Les Français et Internet - 1ère vague de la saison 2010 d’une série d’études exclusives sur le quotidien des Français "Les Enjeux du Quotidien", réalisés par TNS Sofres pour l’EPIQ*, sont une série d’études traitant de sujets se situant au cœur de l’actualité et des préoccupations quotidiennes des Français. Ce premier volet de la saison 2010 porte sur "les Français et Internet". Il est publié le 16 février 2010 dans les titres de Presse Quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale. >>> Principaux enseignements de cette édition : - Internet : une source d’information importante pour la majorité des Français ; - Les Français sont convaincus de la complémentarité d’Internet et des journaux ; - Communiquer, s’informer, se distraire, acheter… une multiplicité d’utilisations d’Internet, qui s’inscrit dans le quotidien des Français ; - Publicité en ligne : du clic à l’achat. >>> Internet : une source d’information importante pour la majorité des Français 59% des Français considèrent Internet comme une source d’information importante (+5 points par rapport à 2006), dont 9% qui la qualifient de "source d’information par excellence" (+2 points). Sans surprise, les plus jeunes font une place plus importante à Internet dans leur quête d’information que les plus âgés : 72% des 15-34 ans estiment qu’Internet est une source d’information importante (dont 14% en font la source d’information par excellence), pour 57% des 35-59 ans et 50% des 60 ans et plus. Cependant, le fossé générationnel ne se creuse pas : chaque classe d’âge présente une progression de 5 points par rapport à 2006. Les plus nombreux à considérer Internet comme source d’information importante voire incontournable sont les habitants d’Ile de France (64%), d’Alsace et de Rhône-Alpes (63% chacun), de la région PACA et la Corse (63%) et de Picardie (62%). >>> Les Français sont convaincus de la complémentarité d’Internet et des journaux Vu comme une source importante d’information, Internet ne cannibalise pas pour autant le rôle informatif des journaux. Une large majorité de Français (69%, sans évolution depuis 2006) considère Internet comme "une source d’information complémentaire aux journaux car il permet de trouver des informations de nature différente». Il s’agit surtout des 35-49 ans (74%), devant les 15-34 ans (64%). Les Français issus des catégories socioprofessionnelles aisées sont 77% à concevoir Internet comme un complément d’information aux journaux, pour 67% des employés et ouvriers. Les plus nombreux en accord avec cette affirmation habitent en Bretagne (79%), dans le Limousin (78%) et en Auvergne (74%). Les Français sont tout de même un quart (26%) à percevoir Internet comme "une source d’information qui remplace les journaux car il permet de trouver toutes les informations". Les plus jeunes (15-34 ans) sont les plus nombreux à partager ce point de vue (35%), ainsi que les PCS- (30%, pour 22% des PCS+), les Alsaciens (32%) et les habitants de Franche-Comté (30%). Les Français ne sont qu’1% à déclarer qu’Internet n’est pas une réelle source d’information. >>> Communiquer, s’informer, se distraire, acheter… une multiplicité d’utilisations d’Internet, qui s’inscrit dans le quotidien des Français La quasi-totalité des internautes interrogés utilise Internet pour "envoyer ou recevoir des emails" (96%), "obtenir des informations pratiques" (93%) et pour "se distraire" (88%). Viennent ensuite le "suivi de l’actualité" (80%), "l’achat de produits ou services" (76%), "l’utilisation d’une messagerie instantanée" (72%) et "la consultation d’un blog" (62%). Par rapport à 2006, les activités dont l’usage a particulièrement augmenté sont la consultation de blogs (+11 points) et l’achat de produits ou services (+6 points). La principale évolution se situe au niveau de la régularité de ces usages. La pratique de l’ensemble des différentes activités est en effet beaucoup plus régulière, surtout pour "le suivi de l’actualité" (37% utilisent "souvent" Internet pour s’informer de l’actualité, +8 points), pour se distraire et se détendre (58% de "souvent", +7 points), et l’achat de produits ou de services (24% de "souvent", +5 points). >>> Publicité en ligne : du clic à l’achat Lors de leur navigation sur Internet, la majorité des internautes français (57%) ne clique jamais sur les publicités. Cependant, près de 2 internautes sur 5 (42%) déclarent avoir cliqué sur des bandeaux publicitaires, dont 17% qui déclarent le faire de temps en temps. Ce phénomène concerne 45% des 15-34 ans, 42% des 35-59 ans et seulement 37% des 60 ans et plus. Ils sont les plus nombreux à cliquer sur une publicité en Poitou-Charentes (48%), en Rhône-Alpes (47%), en Champagne-Ardenne et dans la région Nord-Pas de Calais. Leurs principales motivations sont liées à l’offre proposée (81% de citations), avec une motivation légèrement plus affirmée pour le service ou le produit proposé (59% de citations) que pour la promotion ou l’offre commerciale proposée (55%). Mais cliquer sur un bandeau publicitaire conduit-il forcément à l’achat ? Pour 50% des personnes interrogées, ce clic peut aboutir à un achat (35% "Oui, rarement", 14% "Oui, occasionnellement", et 1% "Oui, régulièrement"). Il s’agit surtout des 15-34 ans, les habitants de Basse-Normandie (63%), de Poitou-Charentes et de Haute-Normandie (59%). Les moins nombreux viennent de Champagne-Ardenne (34%) et des Pays de la Loire (39%). >>> "Les Enjeux du Quotidien" Cinq vagues sont réalisées chaque année. Chaque vague est issue d’une méthodologie spécifique : l’enquête est réalisée pendant 2 mois, chaque jour, auprès d’un échantillon d’environ 4 000 personnes représentatives de la population de plus de 15 ans résidant en France. Les différentes vagues sont disponibles sur www.tns-sofres.com, la prochaine vague portera sur : "Les Français et la biodiversité". >>> A propos de cette première vague de la saison 2010 L’étude sur "Les Français et Internet" a été réalisée du 26 octobre au 30 décembre 2009, par téléphone, auprès d’un échantillon national de 5 057 individus âgés de 15 ans ou plus. >>> A propos des Enjeux du Quotidien "Les Enjeux du Quotidien" sont une série d’études dont objectif est d’aborder les enjeux de société sans langue de bois et sans parti pris, en bousculant parfois les présupposés sur l’opinion des Français. Ces études sont réalisées tous les deux mois au travers de l’étude nationale de mesure d’Audience des titres de presse d’actualité, confiée à TNS Sofres. * Ces études entrent dans le cadre de l’EPIQ (Etude de la Presse d’Information Quotidienne) commanditée par la Presse Quotidienne Régionale, la Presse Quotidienne Nationale, la Presse Quotidienne Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale. >>> A propos de TNS Sofres Leader français et référence des études marketing et d’opinion, TNS Sofres est une société du groupe TNS, l’un des leaders mondiaux du marché et n°1 mondial des études ad hoc. Nous proposons une gamme de prestations d’études, ad hoc ou collectives, autour de 5 expertises : compréhension des marchés et des consommateurs, innovation, gestion de la marque, communication et gestion de la relation client. L’ensemble de ces prestations est réalisé dans 11 secteurs composés d’experts dédiés à certains marchés ou clients. TNS est présent dans 70 pays dans le cadre d’un réseau intégré, et est à même de conduire des études dans plus de 100 pays. Voir : http://www.tns-sofres.com Contact TNS Sofres : Céline ROSSIGNOL Mél : celine.rossignol(a)tns-sofres.com
Les 17 règles d’or pour lutter contre les risques en ligne et pour une meilleure sécurité de la navigation sur les réseaux sociaux mobiles L'Agence de cyber sécurité de l'UE - l'ENISA (Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information) présente aujourd’hui un nouveau rapport sur l’accès des réseaux sociaux par les téléphones portables, 'En ligne instantanément’. Le rapport souligne les risques et les menaces des services mobiles de réseaux sociaux, par exemple: le vol d’identité, la fuite des informations d’entreprise et les risques de réputation des réseaux sociaux mobiles. Le rapport donne également les 17 «règles d’or» pour lutter contre ces menaces. Les sites de réseaux sociaux en ligne (SRSL) ont connu une tendance de croissance exceptionnelle sur Internet. 211 millions d’utilisateurs (sur 283 millions) en Europe utilisent les SRS ; principalement Facebook dans 11 des 17 pays étudiés. La façon moderne de rester en contact au niveau professionnel et personnel se fait par le biais de SRS et autres outils numériques. Par conséquent, les moyens par lesquels les gens se rencontrent, échangent des avis communiquent des informations et des idées, évoluent. Avec la popularité croissance des SRS, la demande d’accès instantané et permanent par téléphone portable a augmenté, comme les réseaux sociaux mobiles (RSM). Plus de 65 millions d’utilisateurs accèdent désormais au réseau social Facebook via leur portable. Les utilisateurs de RSM sont 50% plus actifs que les utilisateurs non-mobiles et sont estimés à 134 millions en Europe d’ici 2012. De nombreux utilisateurs de RSM utilisent également leur téléphone portable comme périphérique de sauvegarde de leur courrier professionnel, données personnelles, contacts et codes d’accès. En conséquence, la perte d’un téléphone portable peut causer des dommages importants, notamment lorsqu’ils sont utilisés illégitimement pour accéder aux RSM. De nombreux téléphones portables sont vendus en offre complète avec des applications intégrées comme les services de ‘plate-forme’ par exemple. Plusieurs histoires venues d’Italie, de France, d’Espagne, de Grèce, du Royaume-Uni témoignent d’une grande méconnaissance des utilisateurs des SRS et des RSM quant aux risques de sécurité, aux problèmes liés à la protection de la vie privée et les menaces liées à l’utilisation frauduleuse des informations mises en ligne sur un service de réseau social et de la protection de la vie privée en ligne. Plusieurs risques/menaces exceptionnels sont identifiés dans ce rapport. Le rapport de l’ENISA donne une vue d’ensemble de la situation et souligne en particulier l’importance de la sensibilisation des utilisateurs sur l’utilisation des réseaux sociaux en ligne de manière plus sure sur un téléphone portable pour éviter des dommages et les conséquences imprévisibles. Les risques incluent le vol d’identité, et des dommages importants à la réputation de la personne et de l’entreprise ou de la fuite des informations. Deux exemples d’études de cas : - Le faux profil sur Facebook. Un professeur de l’Université de Turin a découvert que quelqu’un avait créé un profil pour lui sur Facebook avec des détails insultants, affectant sa réputation. - Fuite des informations/réputation de l’entreprise. Après un incident en 2008, Virgin Atlantic airlines a licencié 13 membres de son personnel qui avait posté des commentaires sur Facebook qui critiquaient critiquaient la propreté de la flotte de la compagnie et les passagers. De la même manière, le personnel de l’enregistrement de British Airlines à Gatwick avait posté des messages sur Facebook disant par exemple que les voyageurs "sentaient mauvais" et le fonctionnement "chaotique" à Heathrow. Le rapport donne également une vue complète du monde des SRS sous l’objectif de la directive européenne sur la protection des informations (Dir. 95/46/EC). Le directeur exécutif de l’ENISA commente : «Ce rapport fournit des conseils pratiques aux utilisateurs sur la manière de renforcer la sécurité en ligne partout et à tout moment lorsqu’ils profitent de ces services de réseaux sociaux.» Le document inclut 17 «règles d’or" pratiques. En voici quelques exemples : - Ne pas oublier de se déconnecter du réseau social après utilisation. - Ne pas permettre la mise en mémoire du mot de passe par le réseau social (cette fonction s’appelle "Auto-complete»). - Ne pas mélanger les contacts professionnels avec les contacts privés. - Faire immédiatement état de la perte/du vol de téléphone portable contenant des contacts, photos ou informations personnelles en mémoire. - Paramétrer le profil au niveau de confidentialité adéquat. Voir : http://www.enisa.europa.eu/act/ar/deliverables/ 2010/onlineasithappens Mél : awareness(a)enisa.europa.eu Les détecteurs de fumée deviennent obligatoires dans les logements Déposée en 2005, par deux députés UMP (1) après des incendies meurtriers durant l'été, l'obligation d'installation d'au moins un détecteur de fumée par logement vient d'être définitivement adoptée cet ... Voir : http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4115 39% des Français utilisent l'Internet mobile Que ce soit depuis leur téléphone mobile ou grâce à une clé 3G, 39% des Français de 15 (...) Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/ lire-39-des-francais-utilisent-l-internet-mobile-30063.html
The Trouble with Harry! A first-grade teacher, Ms. Brooks, was having trouble with Harry, one of her students. The teacher asked, 'Harry, what's your problem?' Harry answered, 'I'm too smart for the 1st grade. My sister is in the 3rd grade and I'm smarter than she is! I think I should be in the 3rd grade too!' Ms. Brooks had had enough. She took Harry to the principal's office. While Harry waited in the outer office, the teacher explained to the school principal what the situation was. The principal nodded gravely and told Ms. Brooks he would give the boy a test. If he failed to answer any of his questions he was to go back to the 1st grade and behave. She agreed. Harry was brought in and the conditions were explained to him and he agreed to take the test. Principal: 'What is 3 x 3?' Harry: '9.' Principal: 'What is 6 x 6?' Harry: '36.' .... And so it went with every question the principal thought a 3rd grader should know. The principal looked at Ms. Brooks and told her, 'I think Harry can go to the 3rd grade.' Ms. Brooks said to the principal, 'Let me ask him some questions.' The principal and Harry both agreed. Ms. Brooks asked, 'What does a cow have four of that I have only two of?' Harry, after a moment: 'Legs.' Ms Brooks: 'What is in your pants that you have but I do not have?' The Principal wondered why would she ask such a question! Harry replied: 'Pockets.' Ms. Brooks: 'What does a dog do that a man steps into?' Harry: 'Pants.' Ms. Brooks: What starts with a C, ends with a T, is hairy, oval, delicious and contains thin, whitish liquid?' Harry: 'Coconut.' The Principal sat forward with his mouth hanging open. Ms. Brooks: 'What goes in hard and pink then comes out soft and sticky?' The Principal's eyes opened really wide and before he could stop the answer, Harry replied, 'Bubble gum.' Ms. Brooks: 'What does a man do standing up, a woman does sitting down and a dog does on three legs?' Harry: 'Shake hands.' The Principal was trembling. Ms. Brooks: 'What word starts with an 'F' and ends in 'K' that means a lot of heat and excitement?' Harry: 'Firetruck.' The Principal gasped a sigh of relief and told the teacher, 'Put Harry in the fifth-grade, I got the last seven questions wrong...' Contact: Mick HARKIN E-mail: harkin(a)iol.ie
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