AFIA
ACTA Informatique
Du côté du web et de l'informatique agricole 10 - 2011
Paris, 10 mars 2011


Pour lire cette gazette sur notre site : http://www.acta-informatique.fr/?d=8233


Concert RETINA de la chorale "Au Quai Chorale" le 19 mars
Ce concert sera déroulera à la Chapelle de l'Agneau de Dieu à 17 heures, 1 rue Paul Henri Grauwin 75012 PARIS (derrière la gare de Lyon, place Henri Fresnay).
"Au Quai Chorale", associe des personnels de la Maison Nationale des Éleveurs, du Crédit Agricole IdF et la BRED… Le quai, c'est celui de la Rapée.


Ah, la nostalgie du MINITEL !
Voir : http://www.3615google.fr/
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)jouy.inra.fr


On nous aurait menti ?
Sans prendre parti dans la querelle entre FNE et certains élus, majoritaires, de la région Bretagne, à propos de la campagne d'affichage visant "l'agriculture intensive", je reconnais être resté perplexe en regardant la photo de l'enfant jouant parmi les algues vertes. Habitant la Bretagne depuis 40 ans, j'avais pourtant de la peine à reconnaître le lieu mis en évidence. Cherchant parmi les sites les plus touchés par la prolifération et l'échouage des Ulves, je ne reconnaissais ni la baie de la Fresnaye, ni la baie d'Hillion, ni les Rosaires, ni Binic (où j'habite), ni la Lieue de Grève, etc. Je n'ai pas dû être le seul à me poser la question, puisque des habitants de la commune de Plouha ont fort bien reconnu la magnifique plage de Bréhec... dans le cadre d'un photomontage, car ce site est très peu concerné par ce qui est ailleurs un réel problème.

Voir l'extrait de Ouest-France du 4 mars 2011 qui relaie l'étonnement des habitants du coin.

Très modestement, il me semble que la résolution de ce problème "algues vertes", lié certes à la topographie, à la température, mais aussi, tout le monde le reconnaît, à un excédent de flux d'azote dû notamment à l'agriculture en général (pourquoi viser particulièrement, dans le texte de l'affiche, "l'élevage industriel des porcs" ?) me semble mériter mieux que de la pub bidonnée.
Voir : http://www.ouest-france.fr/actu/
actuDet_-Plouha-22-vraie-plage-mais-fausses-algues-vertes-_39382-1714830_actu.Htm

Contact : M. BLONDEL
Mél : blondel.binic(a)orange.fr


Campagne FNE: action de paysans lot-et-garonnais contre le Crédit agricole
Voir : http://www.cbanque.com/actu/22628/
campagne-fne-action-de-paysans-lot-et-garonnais-contre-le-credit-agricole



Autocaricature subliminale du journalisme à la française
Ceux qui fréquentent un peu mon blog connaissent la sévérité avec laquelle je juge le journalisme à la française. Dans De la Démocratie en Amérique, déjà, Alexis de Tocqueville repérait que la…
Voir : http://laurent.berthod.over-blog.fr/
article-autocaricature-subliminale-du-journalisme-a-la-francaise-68755667.html

Contact : Laurent BERTHOD
Mél : laurent.berthod(a)wanadoo.fr


Ma remarque (GW) : Il y a cependant un phénomène relativement nouveau à savoir la crise de la Presse. Les français ont toujours moins lu leurs journaux quotidiens que ne le font leurs voisins allemands, anglais, italiens par exemple. Mais aujourd'hui ils ne les lisent plus du tout et c'est la panique dans le secteur de la Presse. On ne sait plus quoi inventer : des OGM aux tunisiens qui risqueraient de vouloir rejoindre l'Europe, en passant par le climat qui se dérègle, etc. Tout ce qui est catastrophique ou risque de le devenir est bon à prendre.


A quoi répond M. Berthod : Je suis parfaitement d'accord avec vous. D'ailleurs avez-vous vu la dernière couverture de Télérama qui fait référence au "documentaire" proprement délirant de MMR ?


Sur quoi je réagis (GW) : De Mme Le Pen à Mme Robin en passant par beaucoup d'autres, c'est toujours le même discours aussi absurde qu'anxiogène… mais nous nous en sortirons ! J'ai confiance dans notre santé mentale.


Désabonnement
Attention : le désabonnement à notre liste de diffusion est toujours possible sur le site d'ACTA informatique.
Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5200


Incident d'envoi du complément de gazette du 7 mars
J'ai fait une erreur lors de l'envoi du complément de gazette de lundi dernier, 7 mars. Vous avez reçu un message incompréhensible. Merci de m'excuser (GW).

8th ECPA

5th ECPLF

EFITA 2011

11-14 July 2011
PRAGUE



ICT for Agriculture, food and the environment...

- Food quality
- SDI for Agriculture and Food industry
- Sensor technologies
- Future trends
- ICT Adoption
- Knowledge Management
- e-business
- Standardisation and Interoperability
- Rural development
- Nature protection
.../..
See: http://www.efita2011.cz/

Envoyez d'urgence vos articles... nous communiquons bien trop peu sur ce que nous faisons en informatique pour l'agriculture !

Contact : Guy Waksman
Mél : waksman(a)acta.asso.fr


Pensée du jour
Je suis convaincue qu'avec une ferme volonté, des choix solides, une ambition partagée, nous pouvons redresser la tête : il n'y a pas de fatalité au "déclin français" en matière industrielle. Il n'y a pas de fatalité au déclin français.
Anne LAUVERGEON - Le Monde du 3 février
Voir : http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/02/02/
reindustrialisons-nous_1474012_3232.html



"Pensée" de Mme Eva Joly… après une sortie incroyable sur DSK, une du même genre sur M. Chirac
Le coup de la maladie, c'est très classique. Pinochet aussi se disait très malade. Il a vécu beaucoup d'années après.


Thought for today
Perhaps the best cure for the fear of death is to reflect that life has a beginning as well as an end. There was a time when you were not: that gives us no concern. Why then should it trouble us that a time will come when we shall cease to be? To die is only to be as we were before we were born - William HAZLITT, essayist (1778-1830)


Agriculture Secretary Vilsack’s Statement on Record Forecast for U.S. Farm Exports
WASHINGTON, Feb. 24, 2011 – Agriculture Secretary Tom Vilsack made the following statement regarding today’s quarterly forecast for U.S. agricultural exports, which are expected to reach a record $135.5 billion in fiscal year 2011:
"Today’s quarterly forecast shows that U.S. agriculture continues to be on track for its best export year ever in fiscal year 2011, eclipsing the previous record set in 2008 by more than $20 billion. Compared to fiscal year 2010, export value is expected to grow 25 percent and volume by 10 percent.
"Furthermore, the agricultural trade surplus is expected to reach a record $47.5 billion, far surpassing the previous record of $36 billion set in 2008.
"Agricultural exports continue to be a bright spot in these trying economic times. The first quarter of fiscal year 2011 was the highest-grossing quarter ever for U.S. agricultural exports.
"Our export success is a testament to the productivity of our farmers and ranchers and underscores the quality and value of U.S. farm and food products. Agriculture also continues to play an important role in support of President Obama’s National Export Initiative goal of doubling all U.S. exports by the end of 2014.
"Today’s numbers are more good news not just for farmers and ranchers and the businesses and communities that support them, but for our nation’s economy as a whole. Every $1 billion in agricultural exports generates an additional $1.4 billion in economic activity and supports 8,000 jobs."
See: http://www.fas.usda.gov/scriptsw/PressRelease/
pressrel_dout.asp? Entry=valid&PrNum=0045-11



Ma remarque (GW) : La vitalité des américains (du Nord et aujourd'hui du Sud) est toujours impressionnante !




Captation, montage et mise en ligne de vidéo


Contact : Sylvie MASSELIN-SILVIN
Mél : masselin(a)acta-informatique.fr


L'origine des contes est toujours intéressante à connaître, celle des contes des 1001 nuits particulièrement
Voir : http://pages.infinit.net/vdemers/nuits.html
Signalé par Jean-Marie DEVILLARD
Mél : jmdevillard1968(a)yahoo.fr


A propos du très bon dessin signalé par Christian Gentilleau, une petite remarque : ce n'est pas une charrue (elle n'a pas de roue) mais une araire (Gazette du 3 mars)
Voir : http://www.blog-agri.com/ticagri/index.php/2011/02/25/
charrue-informatisee/

Contact : Olivier CASSOU
Mél : oc0666(a)cassou.fr


De qui, de quoi parle-t-on quand on dit « la science » ?
Voir : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1409


Science contrôlée ou science parallèle : un nouveau phénomène de société
Voir : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article975


L'écologie en bas de chez vous
Ce n’est pas à l'indignation qu’appelle Iegor Gran dans son dernier livre, L’écologie en bas de chez moi, c’est à la révolte. Avec verve et humour, ce livre traite de l’omniprésence de la nouvelle…
Voir : http://laurent.berthod.over-blog.fr/
article-l-ecologie-en-bas-de-chez-vous-67283933.html

Contact : Laurent BERTHOD
Mél : laurent.berthod(a)wanadoo.fr


Agricultures française et allemande: le point sur les chiffres
Depuis son arrivée à la tête de la FNSEA, Xavier Beulin ne cesse de le répéter: la France doit regagner la première place de l'agriculture européenne. Un discours qui…
Voir : http://www.planet-agri.com/fr/content/en-bref/
agricultures-francaise-et-allemande-le-point-sur-les-chiffres



Histoires drôles
Je ne crois pas vous avoir déjà rencontré, mais je lis chaque semaine votre chronique avec d'autant plus de plaisir que, au-delà des informations très intéressantes qu'elle contient, elle est riche d'histoires drôles que j'apprécie particulièrement.
Contact : Didier PICARD
Mél : didier.picard(a)grignon.inra.fr


Attention : vous trouverez plus loin l'excellente histoire suisse que M. Picard a jointe à son aimable message.


Judiciarisation du débat sur les OGM (Gazette du 27 janvier)
Je reste abasourdi par ce jugement. On n’aurait même plus le droit d’invoquer un conflit d’intérêt? Cela va intéresser pas mal d’experts actuellement sur la sellette.
Contact : Pierre-Gérard PONTAL, Toxicologiste
Mél : pg.pontal(a)cehtra.fr


Retour sur une campagne de calomnies
Il y a des moments où je me demande si, pour l’image de l’agriculture, il ne vaudrait pas mieux supprimer le Salon de l’agriculture, compte tenu de l'occasion qu'il présente de diffuser un nombre…
Voir : http://laurent.berthod.over-blog.fr/
article-retour-sur-une-campagne-de-calomnies-67855580.html

Contact : Laurent BERTHOD
Mél : laurent.berthod(a)wanadoo.fr


Cancer : la grande manip' de Cécile Descubes (France 3 Limoges)
« Il y a eu, à l’égard de mes propos, une très nette déformation (volontaire) de l’information lors du montage audio-visuel », a vivement réagi Farid Boumediene, chercheur au Laboratoire de géographie physique et environnementale de l’Université de Limoges, révolté de retrouver ses propos déformés lors de l’émission de France 3 Limoges, le 25 février dernier.
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr/
Cancer-La-grande-manip-de-Cecile.html



Action en justice de l'ANPP contre France 3 et le nouvel Observateur
Face au reportage Manger peut-il nuire à la santé ?, diffusé le 16 février sur France 3 et prolongé par la sortie du Livre noir de l’agriculture française d’Isabelle Saporta, l’Association nationale pommes poires (ANPP) a décidé de riposter. « Cette “journaliste“ met en place des pratiques douteuses : un ton racoleur et superficiel, des informations non vérifiées, sans oublier les mots et les images de ses interlocuteurs détournés pour mieux faire sa propre publicité »
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr/
Action-en-justice-de-l-ANPP-contre.html



Les producteurs de pommes ne veulent plus passer pour des poires !
L’ANPP (Association Nationale Pommes-Poires) veut "faire contrepoids aux propos insidieux qui laisseraient penser que nos assiettes sont composées de poisons". L'ANPP qualifie en particulier le reportage « Manger peut-il nuire à notre santé ? » d’I. Saporta de « sommet de désinformation » et en appelle à une réaction des pouvoirs publics. De plus, l’ANPP introduit une démarche judiciaire (en référé) pour interrompre la diffusion du reportage du fait en particulier de son caractère dénigrant et portant atteinte à l’intégrité professionnelle de D. Sauvaitre, son président.
Voir le communiqué de presse de l’ANPP
Voir également le blog de D Sauvaitre
Contact : JF PROUST
Mél : jf.proust(a)forumphyto.fr




Maison nationale des éleveurs et fibre optique


Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=8229
Contact : Emmanuel LEMEUR
Mél : emmanuel.lemeur(a)acta-informatique.fr


Le Pr Séralini est un des moutons noirs à protéger (d'après l'Express)
Voir : http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/
gilles-eric-seralini-l-homme-d-honneur_955709.html



Ma remarque (GW) : Le Prof. Séralini gagne normalement et très correctement sa vie comme professeur d'Université. Qu'il se fasse passer pour une victime m'a toujours fait sourire.
Ne pas gagner un contrat, perdre un client, voir un projet refusé par une commission d'experts; cela m'est arrivé "plus souvent qu'à mon tour", et je ne me suis jamais cru victime de quoi que soit, sauf de moi-même… seul responsable de mes échecs mais aussi parfois content de réussir.
Et puis combien de fois a-t-on dit ou écrit aux promoteurs des OGM ou à ceux qui comme moi (GW) n'ont rien contre les OGM ou ceux qui pensent que les OGM sont un non-problème, qu'ils sont vendus à Monsanto et aux autres semenciers (Limagrain, Syngenta, Basf… sans parler des semenciers chinois ou indiens) sans qu'aucun d'entre nous ne songe à se lancer dans un procès en diffamation ! Cette histoire de procès qui a donné gain de cause à M. Séralini est donc plutôt marrante.


"Notre poison quotidien" sera diffusé le 15 mars sur ARTE, à 20 heures 40 : terrorisme écologique ahurissant !
Voici ce que j'ai reçu d'un pote, ancien conseiller agricole (plutôt élevage) et qui circule sur Internet. Et lui, il me donne l'impression d'y croire... car il ne commente pas.
Je suis sidéré, outré, tant il y a de contre-vérités et d'énumérations sans nuances.
C'est à pousser nos concitoyens à l'anorexie !!!
Contact : B. DE LA ROCQUE
Mél : croquedale(a)wanadoo.fr


Ma remarque (GW) : L'écologie dans l'opposition, c'est intéressant… au pouvoir, c'est moins bien, me semble-t-il.


Retraite
Je suis lecteur attentif de votre gazette, très intéressé par le nombre et la qualité des informations qu'elle contient !
Pas toujours d'accord avec certaines prise de position, mais c'est le débat !
Je pars à la retraite et aimerais continuer à la recevoir à mon adresse personnelle.
Merci et bon courage !
Contact : Jean Alain BELLOUR
Mél : jeanalain.bellour(a)free.fr


Ma réponse (GW) : Restons toujours d'accord et unis pour ne pas être d'accord sur tout et travaillons ensemble dans "la vraie vie" comme on dit aujourd'hui, c'est-à-dire dans la recherche de solutions, sachant qu'au final, lorsque nos descendants se pencheront sur ce que nous aurons dit et fait, ils constateront que nous avons dit beaucoup de sottises et fait pas mal d'erreurs ! Mais que cela ne nous empêche pas de chercher, d'innover, d'expérimenter, de bâtir, d'évaluer, etc.


Histoire de la protection des cultures de 1850 à nos jours

 

Un magnifique livre de nos amis Christian Bain , Jean-Louis Bernard et André Fougeroux

Un éclairage des changements intervenus dans nos campagnes… La protection des cultures, sa raison d’être et ses objectifs, sont mal connus du public.

Cette discipline recouvre l’ensemble des méthodes utilisées, en France et dans le monde, pour minimiser les ravages exercés sur les récoltes par les champignons parasites, les insectes, les rongeurs, les mauvaises herbes…

Comment la protection des cultures était-elle gérée autrefois ? Quand, comment et pourquoi les méthodes de protection ont vu le jour ? Comment ont-elles évolué ?

Autant de questions auxquelles répond cet ouvrage qui souhaite donner un panorama complet de ce qui a existé et rendre un éclairage sur les pratiques actuelles et leurs origines.

Richement illustrée de photographies et de fac-similés rares, voire uniques, documentée de textes d’époque, cette édition explique les changements intervenus dans nos campagnes au cours des 150 dernières années et dessine les grandes tendances qui modèlent l’avenir.

Voir : http://www.lagalerieverte.com


Crise des politiques, des médias, des entreprises, des marques...
Si la communication n'est pas la seule responsable de cette situation, elle est nettement plus coupable que d'autres. En dissociant la parole du réel, la communication a fragilisé l'expression des figures d'autorité. A tel point que notre société de communication est devenue un « monde plat » où tout se vaut, où plus rien n'a de valeur.
Dans son livre « la communication transformative » Laurent Habib décrypte les dérives d'une communication qui a cédé aux idées vaines, sans effet ni valeurs. Il plaide donc pour une communication transformative, créatrice de valeur, qui cherche à imaginer comment l’idée peut gagner en « pouvoir agissant » au service des transformations que connaissent actuellement les entreprises, les marques et plus largement l’économie et la société.
Voir : http://www.communication-transformative.fr


C’est l’universalité du phénomène de disparition des abeilles qu’il faut chercher à comprendre en priorité
Voir : http://www.apiculture.com/articles/fr/universalite_2011.pdf
Contact : Joël SCHIRO
Mél : jschiro(a)miel-de-france.com


Le réchauffement climatique menacerait l'agriculture
Voir : http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2011/01/19/
04012-20110119ARTFIG00724-le-rechauffement-climatique-
menace-l-agriculture.php



A l'approche des cantonales, la ruralité, objet de l'attention des députés
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/4656395/
La-ruralite-objet-de-l-attention-des-deputes.html



La vie de la forêt
Voir : http://w3.upm-kymmene.com/upm/forestlife/index.html


Pro Silva envisage de réaliser quelques courts métrages sur la Sylviculture Naturelle et Continue
Ces courts métrages seront montés à partir des enregistrements réalisés lors de la « Visite Pro Silva » (tournés par Delphine Détrie pour l’émission Des Racines et des Ailes), auxquels s'ajouteront aussi ceux qu’a tournés Marc-Alexis Morelle.
Afin de financer ce projet, Pro Silva lance une souscription.
Voir : http://www.Pijouls.com/blog/


Hervé Guyomard, de l'Inra, milite pour une régulation des stocks agricoles : « Il faut une banque centrale mondiale des denrées »
Voir : http://www.liberation.fr/economie/
01012314294-il-faut-une-banque-centrale-mondiale-des-denrees



Ma remarque (GW) : on peut toujours en rêver (Voir ci-après)… mais pourquoi pas un mix entre différentes solutions de régulation ???


G20 : Argentine et Brésil opposés à une régulation des matières premières
Le ministre argentin de l'Économie, Amado Boudou, réaffirme l'opposition de son pays et du Brésil à une régulation du prix des matières premières proposée par la France.
Voir : http://www.pleinchamp.com/article/detail.aspx?
id=43617&page=1&local=false&pub_id=2&menu_id=3



Les emplois environnementaux en perte de vitesse ?
Bien que peu sensible à la crise économique, l'emploi environnemental n'en reste pas moins victime de son succès sur un marché du travail ralenti, selon les dernières statistiques du ministère.
Voir : http://www.actu-environnement.com/ae/news/
emplois-vert-ralentis-staitstiques-soes-11703.php4#xtor=EPR-1



Ma remarque (GW) : je continue de penser que les "emplois verts" comme ceux des "services aux personnes" tous aussi chers à M. Borloo sont des mirages. Ils existent certes, mais ne sont des "gisements d'emplois". Ils sont bien trop dépendants d'incitations fiscales couteuses pour nous tous (l'État !).


Du côté du statut de nos "langues régionales" – Question orale sans débat
Lors de la séance des questions orales sans débat du mardi 1er février 2011, j’ai interpellé M. Frédéric MITTERRAND, Ministre de la Culture, sur le statut des langues régionales.

L’article 75-1 de la Constitution stipule que « les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France », mais dans les faits, force est de constater que les langues régionales n’ont pas de véritable statut juridique. J’en veux pour preuve les récentes décisions de la Cour administrative d’appel de Nancy, qui a déclaré qu’il n’y a pas de « droit » spécifique aux langues régionales, et du Tribunal administratif de Montpellier, qui a enjoint une commune de l’Hérault à retirer ses panneaux d’entrée d’agglomération bilingues.

J’ai rappelé à M. le Ministre de la Culture que les membres du Groupe d’études sur les langues régionales, que j’ai l’honneur de présider actuellement, ont travaillé ensemble à l’élaboration d’une proposition de loi relative aux langues et cultures régionales, consensuelle et cosignée par des Députés de tous les bords politiques, qui constitue une bonne base de réflexion. Son inscription à l’ordre du jour des travaux du Parlement permettrait d’engager ce débat de société sur l’altérité culturelle.

C’est M. Luc CHATEL, Ministre de l’Éducation nationale, qui m’a répondu au nom de M. MITTERRAND. Sa réponse est très décevante. Une fois de plus, le Gouvernement se réfugie derrière le principe d’unicité du peuple français, d’égalité des citoyens devant la loi et d’indivisibilité de la République. Plus que jamais, j’ai l’impression que l’article 75-1, issu de la réforme de la Constitution, n’est que déclaratif. Le seul point positif que j’ai pu noter est la référence à l’examen, par le Sénat, d’une proposition de loi sur les panneaux bilingues à l’entrée des agglomérations.

N’étant pas satisfait de ces éléments de réponse, je vais solliciter un entretien au Ministère de la Culture. J’espère pouvoir y être reçu très rapidement, avec une délégation du Groupe d’études sur les langues régionales.
Voir : http://www.armandjung-depute.fr
Contact : Armand JUNG Président du Groupe d’études sur les langues régionales
Mél : contact(a)armandjung-depute.fr



Projet
Agri Web Télé et Conférence Inetractives

Emission de synthèse du projet

Voir : http://www.eduter.fr/accueil/canal-eduter/videotheque/agriwebtv.html


"L'innovation agricole en panne" article paru dans Les Échos
Voir : http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/industrie/
221133674/ innovation-agricole-panne

Signalé par Gérard KAFADAROFF
Mél : gerard.kafadaroff(a)wanadoo.fr


Télédéclaration des demandes de la PMTVA en France métropolitaine et de l'ADMCA pour les départements d'Outre-mer pour la campagne 2011
À partir du 1er mars, les éleveurs de vaches allaitantes peuvent télédéclarer leur demande de prime au maintien du troupeau de vaches allaitantes (PMTVA) en France métropolitaine et des demandes d'aide au développement et au maintien du cheptel allaitant (ADMCA) dans les départements d'Outre-mer sur TelePAC.
Ce service permet aux agriculteurs d’effectuer leur demande d’aide en ligne pendant toute la période de dépôt des demandes, soit jusqu’au 16 mai 2011 inclus.
Avec ce service de télédéclaration, d'un usage simple et sécurisé, le ministère de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l’aménagement du territoire simplifie les démarches administratives des agriculteurs.
En 2010, près de 24 % d'agriculteurs concernés par ces aides animales ont choisi la télédéclaration, soit 22 509 dossiers enregistrés sur le site TelePAC, pour un total de 94 534 demandes d'aides PMTVA/ADMCA en France (métropolitaine et départements d'Outre-mer). Mis en place en 2004 dans le cadre du développement de l’e-administration, ce téléservice concerne l’ensemble des aides PAC du premier pilier. Depuis 2008, TelePAC est également ouvert aux départements d’Outre-mer. Il sera à terme élargi à l’ensemble des dispositifs d’aides du ministère pour en faire le guichet électronique de déclaration et de consultation des dossiers déposés.
Pour toute information complémentaire, les agriculteurs peuvent contacter leur Direction Départementale des Territoires (et de la Mer) ou leur Direction de l'Agriculture, de l'Alimentation et de la Forêt dans les DOM.
Voir : http://www.telepac.agriculture.gouv.fr

 

Les NTIC en Agriculture
Voir : http://www.blog-agri.com/ticagri/


Du côté de nos voisins suisses
Un agriculteur Suisse reçoit la visite d'un cousin qui a émigré aux USA et y a prospéré lui aussi dans l'agriculture.
Ils sont sur la terrasse du chalet du Suisse avec une bonne bière. Ce dernier présente son exploitation:

(A lire avec l'accent suisse)
"- Alors tu vois, la limite de ma ferme, c'est la bordure de la forêt à gauche, le petit ruisseau qui passe en bas, devant nous, et la route sur la droite."
Alors l'américain bombe le torse :

(A lire avec l'accent américain)
"- Yeah, moi, si je veux voir le limite de mon propriété, je me lève le matin à 5 h, je prends mon tracteur, je pars dans n'importe quelle direction, je roule tout droit toute la journée, le soir, je dors à côté de mon tracteur, le lendemain, je repars toujours tout droit et le soir seulement, j'arrive à le limite de mon propriété."

Réponse du Suisse, pas impressionné du tout :

(A lire avec l'accent suisse)
"Ah ben moi, si j'avais un tracteur comme ça, y a longtemps que j'm'en serais débarrassé..."

Contact : Didier PICARD
Mél : didier.picard(a)grignon.inra.fr


LaSalle - Beauvais : journée portes ouvertes
12 mars
Voir : http://www.lasalle-beauvais.fr


Agronomie et technologies au service du sol
17 mars 2011 - PARIS
Voir : http://www.agriculteursdefrance.com/fr/Agenda.asp?
Num=150&ThemePage=3&Rubrique=1



La santé aux champs ? Approches historiennes, 18e-20e siècles
19 mars 2011 - LYON
> Gouverner la santé publique, gouverner l’intensification : les arsenicaux dans l’agriculture française des années 1890 aux années 1960
> Santé publique et médicalisation des territoires ruraux (vers 1770-vers 1830)
Contact : Jean-Luc MAYAUD
Mél : jean-luc.mayaud(a)ish-lyon.cnrs.fr


CaribVET, réseau caribéen de santé animale
28 - 29 mars 2011 - Guadeloupe :
Voir : http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/communiques-de-presse/2011/sante-animale


Innovact : deux jours dédiés à l'innovation et aux start-ups en Europe
29 - 30 mars - REIMS
Voir : http://www.innovact.com


Fête de l'Internet : Démocratie locale et numérique
31 mars 2011 – ROUBAIX
Voir : http://fetedelinternet2011.ville-roubaix.fr


Nitrate, Nitrite, Oxyde nitrique : nouvelles perspectives pour la santé
31 mars 2011 - PARIS
En novembre 2000, un premier colloque international avait été mené au Sénat sur les nitrates, la santé et l’environnement, qui avait donné lieu à une publication. Plus de dix ans après cette manifestation, de nombreuses avancées scientifiques et médicales ont vu le jour. L’objectif de ce deuxième colloque organisé par l'Institut scientifique et technique de l'environnement, consiste à établir la meilleure synthèse des connaissances actuelles, tant sur le cycle des nitrates et des nitrites dans la cellule et dans l’organisme, que sur le rôle central de l'oxyde nitrique. Des recommandations pratiques sur l’alimentation, les additifs alimentaires et sur l’évolution des normes sanitaires seront ensuite dégagées et discutées.
Voir : http://www.colloque-nitrate-sante.com/
Voir : http://www.institut-environnement.fr/
Signalé par Laurent BERTHOD
Mél : laurent.berthod(a)wanadoo.fr

Nos stages
WatchGuard

Contact : Jean-Paul Archier
Mél : jpa(a)acta-informatique.fr


Announcement CAPIGI Programme
4 - 6 April 2011 - AMSTERDAM
CAPIGI 2011 connects governments, science and the agricultural sector and discusses the latest trends in geo-information relevant to the implementation of the European agricultural policy. CAPIGI 2011 brings the latest information on European initiatives including Galileo, INSPIRE GMES and of course the CAP reform. Geo-information trends are similar at government level and farm level. The programme of CAPIGI 2011 consists of different tracks framed in the context of innovations in agriculture and collaborations across scales.

>>> Session On Spatial Data Quality
Inspiring talks on how to measure and maintain the quality of spatial data. The City of Amsterdam, Kadaster, the UK Ordnance Survey and others present strategies of matching spatial data quality with policies. This session also includes a special track on Voluntary Geo Information with special attention to agriculture.

>>> Session On Spatial Data Requirements From Machine Guidance
CAPIGI presents an insight in the developments from machine manufacturers and their needs towards spatial data. Machine guidance brings great benefits to agriculture and this session includes presentations from Claas, the university of Modena and Reggio Emilia, and from the new service called ‘FarmPilot'.

>>> Session On Landscape Features Management
Landscape Features, such as trees, ponds, ditches and hedges are important parts of the landscape. The regulations offer opportunities to protect and maintain them, but this is easier said then done. This session discusses the technical aspects of measuring landscape features and the complexity of monitoring and control. Trimble shows their solutions for data maintenance and the EC will contribute with a presentation on backgrounds.

>>> Session On Remote Sensing Applications
Innovations and inspiration how farms, service providers and governments deal with the increased need of frequent sensing of fields, soils and crops. CAPIGI will have an extended track on sensing, including the innovative Dutch service provider Basfood, the secretary general of EURISY and the Belgium company Eurosense presenting the use of satellite imagery in monitoring good agricultural and environmental conditions.

>>> Session On Satellite Navigation Solutions
CAPIGI brings several talks on initiatives how to deal with GNSS data in collaborative mapping and information exchange. Of course we include an update of the European GNSS programme with the latest news on EGNOS and Galileo, brought by the GSA. Furthermore CAPIGI brings a presentation on MOVE-RTK; providing farmers with a RTK cm accuracy signal.

>>> And There Is More!
And there is more! The Dutch Ministry of Agriculture will present its vision on the impact of the reform scenarios on the geo-spatial registries. Capgemini presents its work on reduction of administrative burdens by restructuring information flows. The project FutureFarm presents its results. And of course CAPIGI will give you an update on the latest developments of the CAP reform presented by DG-AGRI.

See: http://www.capigi.eu/agenda/event-subscribe/1-capigi-2011.html
See: http://www.capigi.eu/
Contacts: Tamme VAN DER WAL, Roosmarijn HARING
E-mail: info(a)capigi.eu


Journées Nature 2011 en Midi-Pyrénées
28 mai au 5 juin 2011
La prochaine édition des Journées Nature Midi-Pyrénées se déroulera du 28 mai au 5 juin 2011 sur l’ensemble du territoire régional. Les structures souhaitant participer et proposer des animations lors de ces Journées peuvent s’inscrire sur le site Internet, jusqu’au 30 mars (inscription uniquement par Internet).
www.journeesnature.midipyrenees.fr

>>> Qui peut participer aux Journées Nature ?
Les collectivités et établissements publics, les associations, les structures de gestion d’espaces naturels labellisés (Parcs Naturels Régionaux, Parc National, Réserves Naturelles), les établissements scolaires d’enseignement général, professionnel ou agricole, les centres de formation et d’apprentis, les maisons familiales de Midi-Pyrénées, et les entreprises, …

Les Journées Nature 2010 avaient fédéré 450 structures autour de plus de 2 000 animations en Midi-Pyrénées.

Organisées tous les ans depuis 2006 par la Région, les Journées Nature ont pour objectif d’inciter les Midi-Pyrénéens à préserver leur environnement en leur faisant découvrir ou redécouvrir leur patrimoine naturel régional.
Voir : http://www.midipyrenees.fr/-Accueil-Journees-nature-



Deux ouvrages de notre collègue Jean-Paul Archier

Les VPN. Fonctionnement, mise en oeuvre et maintenance des Réseaux Privés Virtuels
Voir : http://www.editions-eni.fr


Postfix et Amavis. Installer et administrer un serveur de messagerie sous Unix ou Linux
Voir : http://www.editions-eni.fr

La PAC et la société européenne : ouvrons le champ des questionnements, libérons les manières de faire
3 - 5 août 2011 – MARCIAC (Gers), pendant le Festival "Jazz In Marciac"
17èmes Controverses de Marciac organisées par la Mission Agrobiosciences et la Communauté de Communes Bastides et Vallons du Gers.
Dans le cadre de la réflexion actuellement menée par la Commission européenne autour de « La PAC à l’horizon 2020 », les prochaines Controverses de Marciac, co-organisées par la Mission Agrobiosciences et la Communauté de Communes Bastides et Vallons du Gers, proposent de contribuer au débat sur les devenirs agricoles, alimentaires et territoriaux européens.
Au-delà des approches techniques, sectorielles ou financières, elles ouvrent le champ des questionnements et des préoccupations de l’ensemble de la société européenne, depuis l’accès à l’alimentation jusqu’au devenir de la ruralité, en passant par les modèles de production, l’environnement, la santé, les emplois, la culture ou encore le rapport au vivant.
L’objectif n’est pas seulement de parler "de" la PAC, mais que celle-ci "nous " parle. Une visée qui nécessite bel et bien de libérer les manières de faire et de penser.
-- Des contributions ouvertes à tous qui alimentent un forum dès février 2011,
- Des cercles d’échange pour favoriser la prise de parole de chacun,
- Des débats en plénière,
- Une grande diversité de participants et d’approches,
- Des séminaires croisés entre différents groupes de réflexion européens,
- Des rencontres avec des auteurs d’ouvrages, des réalisateurs de documentaires,
- Des regards décalés, des apéritifs sous les platanes, des concerts…

>>> Dès maintenant, un exercice de co-construction
Tous les citoyens qui le souhaitent sont invités à faire parvenir à la Mission Agrobiosciences, sous la forme d’un texte (cf modalités pratiques), ce qui leur paraît être le défi majeur de la PAC de demain, les points qu’il convient de mettre en débat, et/ou un court commentaire critique sur la communication élaborée par la Commission Européenne.
Ces contributions nourrissent un forum spécifique sur le site de la Mission Agrobiosciences et feront l’objet d’une synthèse restituée lors des Controverses.

>>> Cet été, une intelligence collective
Le succès et l’originalité des Controverses de Marciac résident depuis longtemps dans un dispositif permettant à chacun de s’exprimer, notamment à travers les « cercles d’échanges ». Ouvertes à tous les citoyens, elles favorisent la confrontation des regards, la reformulation des questions, la mise à jour des dissensus comme des points de convergence, grâce au va-et-vient constant entre les exposés de spécialistes, les apports du public et le retour critique d’observateurs.
Par ailleurs la diversité des formes d’échanges et des participants – des personnalités scientifiques, politiques et professionnelles aux côtés d’agriculteurs, de citoyens et de membres associatif, à l’échelle locale, nationale et internationale - permet de saisir l’éventail des savoirs, des pratiques et des réalités de terrain.

>>> Un laboratoire d’idées
Le croisement des regards s’enrichit cette année d’une confrontation publique avec les participants de trois autres forums européens sur l’agriculture et les territoires, désormais jumelés aux controverses de Marciac :
la Magyar Agrarakadémia (Hongrie), le Foro de l’Institut des Etudes Sociales Avancées de Cordoue (Espagne) et les Rencontres de Gembloux (Belgique).

>>>Appel à contribution : modalités pratiques
- Pour télécharger la communication de la Commission européenne, cliquer ici.
- Les contributions ne doivent pas excéder une page (environ 2000 signes)
- Date-limite d’envoi : 30 avril 2011
- Adresse d’envoi : lucie(a)agrobiosciences.com. Tél : (0033) 562 881 450.
Pour en savoir plus, télécharger le dossier de présentation des 17èmes Controverses de Marciac "La PAC et la société européenne : ouvrons le champ des questionnements, libérons les manières de faire"

>>> A propos de la PAC, on peut lire sur le magazine Web de la Mission Agrobiosciences (publications originales accessibles gratuitement) :
- Crise économique et sécurité alimentaire : les politiques agricoles ont-elles encore un avenir ?. Par Lucien Bourgeois, économiste, membre de l’Académie d’Agriculture. Dans le cadre des 15èmes Controverses de Marciac. Télécharger la conférence en format PDF
- La politique agricole commune à l’horizon 2012 : huit pistes de réflexion pour faire face aux nouveaux enjeux. Par Tomas Garcia Azcarate, chef d’unité à la Direction générale « Agriculture et développement rural » de la Commission européenne.
- Agriculture et territoires ruraux : quelle politique agricole européenne voulons-nous ?. Les Actes de la 13ème Université d’Eté de l’Innovation Rurale. Marciac (Gers). Août 2007. Télécharger les Actes
- Faut-il supprimer la PAC ?. Le cahier du café-débat avec Lucien Bourgeois (Assemblée permanente des chambres d’agriculture) et Matthieu Calame (Fondation Charles-Léopold Mayer). Télécharger le cahier
- Réforme de la PAC : un compromis délicat, des ambitions revues à la baisse Revue de presse de la Mission Agrobiosciences, novembre 2008.
- Petite histoire de la PAC. Une chronique de Lucien Bourgeois, économiste, octobre 2008

Voir : http://www.agrobiosciences.org/article.php3?id_article=3001


Ma remarque (GW) : Et si en même temps que les outils de stabilisation des marchés (marchés à terme ? stockage ? etc.) aussi bien que l'augmentation de la productivité venaient à être évoquées…


L'évènement Cuma de l'année : le Salon aux Champs
1 – 2 septembre - HUSSON dans la Manche (entre le Teilleul et Mortain)
Voir : http://www.salonauxchamps.fr


Je ne parlerai pas en présence de mon avocat (1)
AVOCAT : Donc, la date de conception (du bébé) est le 8 août ?
TÉMOIN : Oui.
AVOCAT : Et que faisiez-vous à ce moment-là ?
TÉMOIN : Je b_isais.

Les stages Statistiques
d'ACTA Informatique et
de l'Institut de l'Elevage

- Initiation au logiciel statistique SAS - 3 jours
- SAS avancé - 3 jours
- Le langage Macro de SAS - 2 jours
- L'analyse de dispositifs expérimentaux avec SAS - 3 jours
- Analyse statistique avec SAS Enterprise Guide - 1 jour
- L'analyse des données avec SAS - 3 jours
- Traitement statistique des modèles mixtes avec SAS - 2,5 jours
- Traitement statistique des données qualitatives avec SAS - 2,5 jours

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=8026
Contact : Thierry Brun

Mél : brun(a)acta-informatique.fr


Hausse de 15% du trafic des sites agricoles en un an, avec moins d'utilisateurs dans le mois.
Évolution en un an, du nombre d'utilisateurs Uniques mensuels, des 10 premiers sites, d'après Google : en un an, à sites identiques, le nombre de visiteurs uniques a augmenté de 15% mais celui des utilisateurs dédupliqués dans le mois a baissé de 10%.
Ainsi le nombre de visites par utilisateur dédupliqué est passé de presque 7 à plus [...]
Voir : http://www.blog-agri.com/ticagri/index.php/2011/02/21/
hausse-de-15-du-trafic-des-sites-agricoles-en-un-an-avec-moins-dutilisateurs-dans-le-mois/

Contact : Christian GENTILLEAU
Voir : contact(a)tic-agri.com


KUHN a 1 628 "amis" français ... mais John Deere 357 487 sur la planète FaceBook
Les firmes de l'agroalimentaire français commencent à s'aventurer sur FaceBook. Ainsi,en un an, KUHN s'est constitué une communauté de 1 600 fans.
Le Gnis quant à lui après avoir fait ses premières armes auprès des jeunes avec son Concours Prairies Gnis, a lancé en janvier une communauté FaceBook autour de la biodiversité : GNIS "Cultivons la [...]
Voir : http://www.blog-agri.com/ticagri/index.php/2011/02/07/
kuhn-a-1-628-amis-francais-mais-john-deere-357-487-sur-la-planete-facebook/

Contact : Christian GENTILLEAU
Mél : contact(a)tic-agri.com


2ème édition de l'élection du Meilleur Site Internet professionnel de concession agricole, organisée par Terre-net Occasions

>>> Jarny.com, grand vainqueur de la 2ème édition de l'élection du Meilleur Site Internet professionnel de concession agricole ! Un événement Terre-net Occasions

Pour la 2ème année consécutive, Terre-net Occasions a organisé l'élection du Meilleur Site Internet professionnel de concession agricole.
Cette année, 3 catégories étaient récompensées : Meilleur Site Internet, Meilleure Innovation et Meilleur Design.

Les concessions JARNY (catégorie Meilleur Site Internet), Bouchard (catégorie Meilleure Innovation) et Beaupréau Motoculture (catégorie Meilleur Design) sont les lauréats de chacune des catégories.

Les agriculteurs ont voté en ligne du 8 décembre 2010 au 10 février 2011, un jury de professionnels s’est ensuite réuni le 14 février dernier pour départager les 10 finalistes de chaque catégorie. Ce jury composé de journalistes spécialisés en machinisme agricole, d'un dirigeant d’agence de création de sites internet, et du gagnant de l’édition précédente a ainsi établi le podium de chaque catégorie.

L'ensemble des gagnants a été récompensé lors du SIMA 2011 sur le plateau officiel SIMA Terre-net Web TV le 21 février dernier.

>>> Découvrez dès maintenant le palmarès complet de l'élection 2011 :

> Pour la catégorie Meilleur Site Internet professionnel :
1er prix : http://www.jarny.com
2ème prix : http://www.cheval-sa.com
3ème prix : http://www.agritek.fr

> Pour la catégorie Meilleure Innovation :
1er prix : http://www.groupe-bouchard.com
2ème prix : http://www.avenirmotoculture.com
3ème prix : http://www.ets-verhaeghe.fr

> Pour la catégorie Meilleur Design :
1er prix : http://www.beaupreaumotoculture.fr
2ème prix : http://www.agritek.fr
3ème prix : http://www.ets-verhaeghe.fr
Contact : Olivia HERMITTE
Mél : ohe(a)isagri.fr


PAC 2014-2020. Les Clés pour comprendre
Le Commissaire européen à l’Agriculture, Dacian Ciolos, a dévoilé les premières orientations de la Commission pour la réforme de la PAC à l’horizon 2020. La revue Chambres d’agriculture publie ainsi un dossier spécial consacré aux évolutions préfigurées, aux enjeux et aux prise de position des principaux Etats Membres. Elle apporte ainsi un éclairage sur les termes des nombreux débats (agricoles, budgétaires, institutionnels, environnementaux…) qui au-delà de l’agriculture, doivent prendre en compte des situations et des enjeux très hétérogènes suivant les pays.
Ce dossier très détaillé constitue un outil essentiel pour comprendre le contexte et les grands axes d'évolutions de la politique agricole commune en France et en Europe.
Voir : http://paris.apca.chambagri.fr/download/apca/o/
999_PAC2014_Press.pdf


Audit Sécurité
de votre réseau



- Vous souhaitez un diagnostic Sécurité de votre réseau informatique et Internet

- Vous souhaitez faire évoluer ce réseau

Virus, spam, intrusion, interconnexion de réseaux locaux, pare-feu, routeur, etc. : ACTA Informatique peut vous aider à dresser un diagnostic et à choisir les bonnes solutions.

Contact : Jean-Paul ARCHIER (Cisco Certified Network Professional) et WSCP (Watchguard Security Certified Professional)
ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional Partner
Mél : jpa(a)acta-informatique.fr


Les aides directes. Filet de sécurité, subvention d'équilibre ou politique d'orientation ? (Éditorial de l'excellente lettre n° 22 de Veille Économique du réseau CER France)
Depuis quelques mois on invoque souvent l’idée de filet de sécurité pour décrire le rôle que joueraient les paiements directs du premier pilier de la PAC. Cette interprétation nous paraît erronée.

Un filet de sécurité est un dispositif de sauvegarde sur lequel le funambule ne compte pas pour traverser le chapiteau, au contraire du balancier par exemple, qui lui est utile en permanence. Or, quelle est la nature d’un paiement dont l’exploitant sait qu’il en jouira de façon certaine et durable ? C’est un élément de produit brut qu’il intègre dans son prévisionnel de recettes, donc dans sa capacité future de financement.

En toute logique, l’exploitant engage son entreprise et son développement au maximum des possibilités que lui procure l’aide. Qui l’en blâmerait ? C’est la règle du jeu même de l’esprit d’entreprise. Il faut donc en tirer clairement les conséquences : en cas de conjoncture défavorable sur les marchés ou le climat, si la recette "aide directe", elle, ne faiblit pas, en aucune manière, elle ne vient compenser le manque de produit pour tenir les engagements financiers de l’entreprise.

Il est juste de dire en revanche que l’aide actuelle est intégrée dans l’équilibre dynamique qu’a construit chaque exploitant et sur lequel il table pour poursuivre sa trajectoire : le rôle du balancier. S’il le perdait brutalement il serait incapable de se rétablir.

C’est pour cela que les aides ont été créées depuis 1992 : pour ne pas déséquilibrer le funambule.

Or, la lecture des évolutions de la politique publique européenne depuis 1992 incite à considérer que la justification "subvention d’équilibre historique" a pour destin de s’amenuiser progressivement. Créée en compensation directe de l’arrêt de la politique de soutien des marchés agricoles, l’aide est devenue une aide filière couplée puis découplée, puis par fusion des diverses origines des aides directes une aide agricole assise sur une grande majorité de la SAU. Le dispositif est désormais déconnecté d’enjeux de filières. Les conditions sont réunies pour qu’il soit possible de jouer sur le curseur.

L’harmonisation progressive avec les nouveaux états membres et la rigueur budgétaire laissent augurer que ce volet subvention d’équilibre connaîtra un ajustement progressif à la baisse. Tout entrepreneur responsable doit s’y préparer, et par ses choix, trouver de nouveaux équilibres.

Pour autant, on voit bien que s’éloigne l’humeur d’abandon de toute politique agricole européenne et que le débat reprend de manière constructive sur l’idée de ne pas laisser l’orientation de l’agriculture européenne du 21ème siècle guidée par la seule volonté des marchés. La nuance est de taille : il ne s’agit plus de permettre de continuer comme avant, mais d’orienter l’évolution de l’agriculture.

Les pistes ouvertes actuellement montrent le sens de cette orientation. Elle inciterait à trouver des voies de compétitivité en dehors de deux leviers qui prouvent actuellement leurs limites : la simplification des systèmes, d’une part, l’accroissement exponentiel des tailles des entreprises et la financiarisation qui l’accompagne forcément, d’autre part. L’orientation prendrait ainsi en compte les constats que la spécialisation expose extraordinairement les entreprises agricoles aux aléas climatiques et de marché et qu’elle appauvrit les territoires et la biodiversité. Elle placerait au second rang, en raison des impasses écologiques auxquelles elle conduit, la recherche d’une rentabilité à court terme et la standardisation de pratiques reposant sur l’affranchissement des contraintes pédoclimatiques et sanitaires.

Ainsi des aides octroyées en retour d’un engagement de se battre sur les marchés en privilégiant des voies de durabilité ou de création de valeur ajoutée renouvelleraient la légitimité du premier pilier de la future PAC. Ce dernier continuerait à jouer son rôle de balancier dans une perspective d’orientation, de soutien à la transition permanente. Ces aides concernent toutes les entreprises potentiellement ; à l’entrepreneur de s’engager ou pas.
Voir : http://www.cerfrance.fr/blog-agri/
Contact : Philippe BOULLET
Mél : phboullet(a)cerfrance.fr

 

Le journal du web agricole
Voir : http://journalduwebagricole.blogspirit.com/


Évolutions de la flore des vignobles
La flore des vignobles a évolué, en particulier à la suite de l’évolution des herbicides, de la généralisation de l’enherbement, au retour de l’entretien mécanique et parfois à l’introduction ou à l’expansion de certaines espèces autochtones ou introduites.

>>> Le groupe COLUMA Vigne lance une enquête nationale pour faire le point sur ces évolutions.
Organisée sous forme de tableau Excel en 5 thèmes (espèces France entière, principales et secondaires, espèces méridionales, principales et secondaires, autres), l'enquête vise à connaître, pour chacune des espèces citées :
- sa fréquence (absente, rare, fréquente, dominante),
- son statut (régression progression),
- son caractère ou non de nuisibilité.
L'enquête devrait permettre d’identifier les espèces qui sont en progression et, de ce fait, constituent une menace potentielle. Pour y participer…
Contact : Ph. PRINTZ
Mél : pprintz(a)afpp.net


Mais où sont les abeilles en ce moment ? Et si l'agroforesterie était une partie de la réponse...
Dès février, profitant de quelques belles journées, les abeilles sont à nouveau dehors pour récupérer des forces et ré-approvisonner leurs réserves avant d'attaquer la nouvelle saison de production qui débutera d'ici quelques semaines.

Mais où sont-elles ? Peu de fleurs dans les champs et pas de cultures mellifères en vue... Par contre, les plus observateurs auront remarqué les noisetiers en fleurs et le bourdonnement qui les accompagnent. Le lierre avait clôturé la saison, le saule ne va pas tarder à développer ses fleurs... En ce moment, c'est sur le noisetier que les abeilles trouvent une partie de leur alimentation, sous forme de pollen.

Une bonne occasion pour rappeler que les arbres champêtres, plantés ou qui se développent spontanément le long des routes, des chemins et des cours d'eau, sont une aubaine pour la biodiversité qui peut y trouver refuge et alimentation, notamment lorsque tout autour d'elle devient hostile : disparition des éléments fixes du paysage, monocultures, sols dénudés, etc.

Un prétexte aussi pour redire qu'il n'y a pas d'aménagement arboré à effet unique : mellifère, faunistique, anti-érosif, brise-vent ou paysager. Un arbre isolé ou en alignement, une haie diversifiée contribuent à la fois à tout ça, en protégeant les eaux et les sols, en produisant des fleurs et des fruits, en fixant du carbone, en tempérant les excès climatiques, en agrémentant les paysages, en produisant de la biomasse.

L'agroforesterie, par son approche transversale qui associe arbres et cultures, haies et ripisylves, apporte des éléments de réponses aux problématiques actuelles en s'inscrivant dans la durée. Le retour de l'arbre au coeur des espaces agricoles permet d'envisager un verdissement de la PAC alliant protection et production. Les systèmes agroforestiers, développés dans un souci d'optimisation des ressources, constituent une solution simple, durable et généralisable à grande échelle.

Voir : http://www.agroforesterie.fr/
Mél : racines.cimes(a)gmail.com


Du côté de la Russie
Dédié à tous les passionnés de Russie à travers le monde, lu de la Russie à l’Ukraine, des pays d’Europe de l’Est à l'ensemble des pays francophones, et dans bien d’autres régions encore, le Courrier de Russie affirme aujourd’hui son identité de media international avec une nouvelle adresse.
Voir : http://www.lecourrierderussie.com


L’Observatoire 2006-2008 du commerce de détail spécialisé en fruits et légumes frais vient de paraître (par Pascale Cavard-Vibert, Ctifl ; Christian Renault, bureau d’études AND)
Mis en place il y a 12 ans par le département produits et marchés du Ctifl en collaboration avec le bureau d’études AND (Agriculture Nutrition Développement), l’Observatoire du commerce de détail spécialisé en fruits et légumes frais dresse un panorama économique et financier des entreprises de ce secteur en France. L’observatoire 2006-2008 est désormais disponible.
Chaque année, l’Observatoire du commerce de détail se penche sur la population des détaillants spécialisés en fruits et légumes, en magasin et sur marché. L’étude financière est menée auprès de 500 détaillants spécialisés en fruits et légumes (dont plus d’une centaine non sédentaires), elle est complétée par une étude économique plus fine auprès de trois groupes d’opérateurs : les spécialistes traditionnels en magasin, les Grandes Surfaces Frais (GSF) et les spécialistes non sédentaires sur marché.
Cet Observatoire permet de mieux appréhender les choix stratégiques des opérateurs et d’évaluer leurs conséquences sur l’équilibre financier de leur activité. Il a également pour objectif d’analyser les initiatives propres à renforcer la présence des détaillants en fruits et légumes sur le territoire national.
Globalement l’année 2008 a été bonne pour les opérateurs de l’échantillon, avec une activité en croissance pour une majorité d’entre eux. Après une année 2007 plutôt mitigée, les Grandes Surfaces Frais se redressent en 2008 affichant une meilleure rentabilité que les autres catégories. Les spécialistes traditionnels souffrent moins en 2008 et le nombre d’opérateurs en croissance et en bonne santé financière augmente. Les marchés restent un lieu primordial de distribution des produits primeurs même si leur part de marché a reculé ces dernières années pour s’établir à 15% en 2008.
Voir : http://www.ctifl.fr


Le Ctifl publie une étude sur l’approvisionnement des magasins en circuit court (par Gilles Christy et Danièle Scandella, département Produits et Marchés du Ctifl)
Soutenus par les Pouvoirs Publics, de nombreux modes de ventes en circuits courts se sont développés ces dernières années, empruntant des modalités de distribution très diversifiées et impliquant une grande diversité d’acteurs. Afin d’éclairer et de mieux comprendre les enjeux et le fonctionnement de ces modes de vente, le Ctifl vient de publier une étude sur « L’approvisionnement des magasins en circuit court, opportunités et menaces pour la filière fruits et légumes ».
Voit : http://www.ctifl.fr


Cogénération / scieries
Les scieries françaises ont un handicap économique structurel avec l’Allemagne et leurs homologues européens (Italie, Belgique, Autriche, Pays Scandinaves), où les coûts de séchage sont inférieurs de 50% à ceux constatés sur le territoire national. Cette différence s’explique principalement par un tarif de rachat de l’électricité de 21 cts/kWh alors qu’il est de 13 cts/kWh en France, résultat d’une politique industrielle plus dynamique en Allemagne.
Le CIADT (Comité Interministériel d’Aménagement et de Développement du Territoire), présidé par le Premier Ministre en mai 2010 avait décidé de mettre fin à cette distorsion de concurrence. Un arrêté publié ce jour au Journal Officiel démontre qu’il n’en est rien. Le Gouvernement qui s’était engagé à porter à 18,5 cts/kWh le tarif de rachat de l’électricité pour les scieries, ne tiendra donc pas ses engagements.
Cette mesure portée à l’origine par M. Michel MERCIER, Ministre de l’Espace Rural et de la l’Aménagement du Territoire, n’a pas été concrétisée par son successeur, M. Bruno LE MAIRE, pourtant en charge de la Forêt. C’est une grande déception. L’avis de la CRE (Commission de Régulation de l'Energie) à l’appui de cet arrêté nous en donne l’explication. Cette instance a pris sa décision sur un schéma technique théorique (1,5mWe, 65% rendement), qui n’existe pas dans le monde réel. Au tarif proposé, aucun projet ne sera économiquement viable.
Mais, plus grave, la CRE en motivant son refus par de « forts conflits d’usage » sur les connexes de scierie, se fait le relai des représentants nationaux des papetiers et fabricants de panneaux qui ont ouvertement fait pression sur le Gouvernement pour supprimer cette mesure favorable aux scieries. A notre connaissance ni les panneaux, ni le papier ne sont fabriqués avec des écorces !! En somme, une décision en faveur des capitaux étrangers contre des capitaux familiaux, régionaux et français. Cette décision nous éloigne des engagements du Président de la République à Urmatt dont ce point faisait partie : « Avec Jean-Louis BORLOO, nous avons décidé de doubler et si c’est nécessaire, Jean-Louis, de tripler le tarif de rachat obligatoire d’électricité produite par des unités de cogénération, de taille moyenne, à partir du bois. C’est du concret cela aussi, parce que naturellement, si le prix est triplé, vous comprenez bien que l’intérêt des investisseurs pour cette technologie s’en trouvera renforcé ».
Voir : http://bois.fordaq.com/fordaq/news/
FNB_cog%C3%A9n%C3%A9ration_25471.html


AgriXchange

Vous êtes intéressé par les échanges de données informatisées en Agriculture, enregistrez-vous sur le site :
http://www.agriXchange.eu

«L´Afrique peut nourrir le monde», dit Kofi Annan au Conseil des Gouverneurs du FIDA

Le Président du FIDA Nwanze exhorte les leaders politiques des 167 Pays Membres à se concentrer sur la jeunesse pour construire une économie rurale dynamique

Rome, le 19 février 2011 - «L´Afrique possède les territoires et les personnes pour développer un système agricole capable de produire assez de surplus pour assurer la sécurité alimentaire mondiale dans les décennies à venir », a dit ce matin Kofi Annan, président de l'Alliance pour une Révolution Verte en Afrique (AGRA) lors de la conférence annuelle du FIDA (Fonds International de Développement Agricole).

Kofi Annan, ancien Secrétaire général de L'ONU a déclaré que de bons progrès allant vers ce but ont déjà été réalisés, grâce à «des idées créatives, des partenariats efficaces, l´engagement des gouvernements et les efforts des petits agriculteurs». Ces efforts continus visant à plus de ressources et d´initiatives rendront «l´Afrique capable de créer un surplus de production dédié à l´exportation mondiale», a-t-il dit aux représentants des 167 États Membres du FIDA rassemblés au siège social de Rome à l´occasion de son 34ème Conseil des Gouverneurs.

Dans son allocution, Annan a rappelé un certain nombre de facteurs qui ont mené au déclin du secteur agricole en Afrique et à l´augmentation de la pauvreté rurale, y compris l'exclusion du continent du progrès technologique agricole, la mauvaise gestion des ressources, une économie et une infrastructure faibles, un déséquilibre du régime commercial global et une baisse dramatique de l'aide au développement ces trois dernières décennies.

«Le manque d´accès aux crédits et autres services financiers a aussi été un frein énorme au développement agricole. Mais tout cela commence à changer grâce aux efforts innovateurs d´un travail commun avec les banques afin de partager les risques et augmenter les prêts à l'agriculture», a-t-il dit, notant que ces partenariats ont incité le FIDA et l´AGRA a déployé 160 millions de dollars dans des prêts abordables pour l'agriculture en association avec des banques de commerce du Kenya, de l'Ouganda, du Mozambique, du Ghana et de la Tanzanie.

Annan a exhorté les délégués du Conseil des Gouverneurs du FIDA de soutenir les politiques et les investissements pour l'Afrique qui préconisent l'expansion des cultures vivrières de base, une approche cohérente à l'investissement à travers les filières agricoles et, surtout, un intérêt particulier sur les petits agriculteurs, qu'il a appelé " le pilier de l´agriculture africaine".

Lors de l'ouverture du Conseil, la Princesse Haya Al Hussein, Messagère de la Paix pour les Nations Unies et femme du Vice-président et Premier ministre des Émirats Arabes Unis, s´est également exprimée. Elle a souligné les défis relevés par la jeunesse rurale dans le Proche-Orient et a félicité le FIDA pour l'intérêt qu'il porte à la question des femmes et des jeunes des milieux ruraux.

«Plus de 80% du portefeuille de micro-financement du FIDA est destiné aux femmes», a-t-elle dit. «Les projets du FIDA offrent une chance de faire face au chômage rural massif, particulièrement parmi les jeunes. Le chômage des jeunes constitue un énorme défi à l'échelle mondiale, mais encore plus dans le monde arabe où la moitié de notre population a moins de 25 ans.»

Dans son discours au Conseil des Gouverneurs, le Président du FIDA Kanayo F. Nwanze s'est montré optimiste en ce qui concerne l'apparition de nouveaux marchés agricoles et filières, qu'il a décrit comme «des occasions d´offrir aux populations pauvres des zones rurales la possibilité de réaliser des profits plus grands que jamais, mais cela seulement s'ils peuvent compenser les hauts coûts d'entrée sur le marché. Il est essentiel de reconnaître que l'agriculture à n'importe quelle échelle est un business. Et les entreprises ont besoin de liaisons claires avec les filières - de la production au traitement, du marketing à la consommation.»

Nwanze a aussi noté que le soutien aux jeunes des zones rurales est inhérent à la construction d'économies rurales vibrantes, qui sont à leur tour la clé pour surmonter de plus grands défis comme celui de réduire la faim et la pauvreté, d'atténuer les effets du changement climatique, d´assurer la sécurité énergétique et la protection de l'environnement.

«L'Actualité montre clairement l'énergie, la créativité et le pouvoir des jeunes et aussi l'importance de s´assurer qu'ils puissent voir des possibilités d´avenir dans les sociétés dans lesquelles ils vivent», a-t-il ajouté.

Lors de cette séance d´ouverture s´est également exprimé Luigi Casaro, Sous-Secrétaire d'Etat au Ministère de l'Economie et des Finances du gouvernement italien. Il a souligné que «le soutien aux petits agriculteurs est la voie la plus efficace pour affronter le problème complexe de la réduction de la pauvreté et créer une croissance durable.»

Les séances de la matinée ont également été l´occasion d´accueillir avec enthousiasme deux nouveaux Etats membres au sein du FIDA, l´Ouzbékistan et la Hongrie, qui ont été acclamés.

Le Conseil des Gouverneurs est l'organe de décision le plus haut du FIDA. Sa réunion annuelle inclura une séance plénière de débats plus tard dans la journée, intitulée "Nourrir les générations futures : jeunes ruraux d´aujourd'hui - agriculteurs prospères et productifs de demain," modérée par Tumi Makgabo, ancienne Présentatrice de la CNN International. En cette occasion, les États membres du FIDA, des leaders d´associations des jeunes et des entrepreneurs du monde entier exprimeront leur point de vue.

Parmi les intervenants seront présents: Carlo Petrini, Président du Mouvement International Slow Food, Dayana Rivera Rivas, agricultrice et promotrice des activités rurales de l'Association des petits producteurs de café de La Marina (ASOPECAM) en Colombie; et Kevin Cleaver, Vice-président adjoint du FIDA et responsable des Programmes.

Le dimanche 20 février, second et dernier jour de cette rencontre, sera dédié à quatre réunions-débats chacune axée sur une région spécifique : l'Asie et le Pacifique, l'Amérique Latine et les Caraïbes, l´Afrique subsaharienne et le Proche-Orient, l'Afrique du Nord et l'Europe ; avec la participation d´experts du développement agricole, de jeunes entrepreneurs des zones rurales et des leaders d'organisations des jeunes. Ces séances tenteront d´examiner pourquoi les zones rurales n´exploitent pas les talents et énergies des nombreux jeunes femmes et hommes qui vivent dans les zones rurales des pays en voie de développement, et pourquoi autant d'entre eux quittent les campagnes pour tenter leur chance ailleurs.

- Pour en savoir plus sur la réunion annuelle du FIDA et prendre connaissance du programme détaillé des activités, prière de consulter le site web du FIDA à l’adresse.

- Pour obtenir les images de l’action du FIDA, prière de consulter la banque d'images du FIDA.

- L’équipe du FIDA chargée de mettre des informations en ligne sur les réseaux sociaux vous fera vivre en direct le Conseil des gouverneurs. Rendez-vous sur Twitter et Facebook.

>>> FIDA / IFAD
Le Fonds international de développement agricole (FIDA) œuvre aux côtés des populations rurales pauvres afin de leur permettre de cultiver et de vendre davantage de produits vivriers, d'accroître leurs revenus et de déterminer le cap de leur propre existence. Depuis 1978, le FIDA a investi plus de 12,5 milliards d'USD sous forme de dons et de prêts à faible taux d'intérêt octroyés à des pays en développement, permettant à plus de 370 millions de personnes de se libérer par elles-mêmes de la pauvreté. Le FIDA est une institution financière internationale et une organisation spécialisée des Nations Unies dont le siège est à Rome – la plate-forme alimentaire et agricole des Nations Unies. Il s’agit d’un partenariat unique regroupant 167 pays: membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et autres pays en développement.

 

 

Bovins Viande : Des pouvoirs publics qui semblent ne pas comprendre la gravité de la situation de crise
Conformément aux orientations définies par le Chef de l’Etat, suite à l’action de la Fédération Nationale Bovine, la Ministre de l’Économie Christine LAGARDE et le Ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire ont réuni les banques. Est annoncé l’engagement des banques à rechercher au cas par cas des solutions pour accompagner les éleveurs en difficulté de remboursement de prêt, avec notamment la possibilité d’aménagement de la durée des emprunts ou le report d’échéances.

La Fédération Nationale Bovine déplore le décalage entre la gravité de la situation de crise sur le terrain et le caractère limité de la réponse proposée, notamment avec l’absence de cadrage des dispositions. L’incompréhension va s’accroître entre le secteur de l’élevage et les pouvoirs publics, qui semblent ne pas mesurer le désarroi des éleveurs.

La FNB prend acte de l’engagement des banques, mais en jugera sur les actes. Et dans ce contexte, elle demande que ce plan d’aménagement financier fasse l’objet impérativement d’un comité de suivi mis en place par le Préfet dans chaque département, afin de préciser et favoriser l’action des médiateurs : modalités d’identification des éleveurs requérant ces mesures d’aménagement, mesures à mettre en œuvre selon les situations financières des exploitations,...

Compte tenu de la situation sans précédent qui affecte le secteur, la FNB demande également aux pouvoirs publics un « plan européen de soutien à l’élevage bovin-viande », à l’instar de la mesure précédemment mise en œuvre dans le secteur laitier. En parallèle, une hausse des restitutions communautaires doit être obtenue à Bruxelles afin de favoriser l’exportation sur pays-tiers et revaloriser le prix à la production, seule solution pour restaurer durablement la rentabilité de l’élevage bovin-viande.

Enfin, la FNB souligne le besoin d’engager dans les meilleurs délais les mesures structurelles d’appui à la production viande bovine sur l’enveloppe de 300 millions d’euros sur 3 ans annoncée par le Ministre de l’Agriculture en septembre dernier, et non mise en œuvre à ce jour dans le secteur.

L’urgence demeure en élevage bovin-viande.
Contact : Thierry RAPIN
Mél : t.rapin(a)fnb.asso.fr


Je ne parlerai pas en présence de mon avocat (2)
AVOCAT : Elle avait trois enfants, c'est exact ?
TÉMOIN : Oui.
AVOCAT : Combien étaient des garçons ?
TÉMOIN : Aucun.
AVOCAT : Y avait-il des filles ?
TÉMOIN : Monsieur le Juge, je pense que j'ai besoin d'un autre avocat. Est-ce que je peux avoir un autre avocat ?

Adhérez à l'AFIA
Chèque de 30 Euros à nous envoyer.
Un reçu vous sera adressé
.

L'AFIA est membre fondateur de l'European Federation for Information Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net


Du coté de FranceAgriMer, établissement national des produits de l'agriculture et de la mer (20 Go d'informations gratuites au service des filières élevage, grandes cultures, pêche et aquaculture)
Voir : http://www.office-elevage.fr/actu/actu-FAM-106.htm

> FranceAgriMer / Publications : "Les filières animales terrestres et aquatiques - Bilan 2010 / Perspectives 2011" pour les Produits Aquatiques / Viandes Rouges / Viandes Blanches / Lait. (Téléchargement gratuit)
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index87.htm

> FranceAgriMer / Aides
* Aides à la filière Lait : Stockage privé de beurre - Campagne 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/05aides/index518.htm#stock_beur2011

* Aides à la filière porcine : Stockage privé de viande porcine - Campagne 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/05aides/index517.htm

> Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires : Documents actualisés concernant la filière Porc.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index401.htm

> Cotations (viandes et lait), prix à la production :
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm
Voir : http://www.office-elevage.fr/prixprod/courbes.PDF

> Produits laitiers :
* Informations/Marchés & Filières/Statistiques :
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/lait/pcot-lait/indexcot-lait.htm
* Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises"
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-ens/statistique2.htm
* Statistiques : Retrouvez les chiffres du commerce extérieur lait et produits laitiers d'octobre 2010
Voir : http://www.franceagrimer.fr/../webzero/statistiques/statistique1.htm

> Intervention Céréales : Retrouvez la 8ème liste d'adjudication qui sera présentée le 09/03/2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/05aides/index511.htm

> Cotations
- Quotidiennement les cotations FAW et FCW dans la rubrique Marchés , hebdomadaire , tous les mardis les cotations à terme FAW et FCW pour le blé, les FMB orges de brasserie, ainsi que les cotations rendu port pour les principales céréales françaises (blé, orge, maïs, blé dur...) dans la rubrique Marchés

- Tous les jeudis soir retrouvez les dernières nouvelles du Comité de gestion des céréales à Bruxelles dans « le Céré-hebdo » publié dans la rubrique Coin des opérateurs

> Cotations des produits de la mer
Voir : http://www.ofimer.fr/Pages/Accueil/1Accueil2004.html

> FranceAgriMer / Publications / Pêche et aquaculture : Données de ventes déclarées en halles à marée / Décembre 2010
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/08publi_pdf/mer/2065d1_01.pdf

> Filière Pêche et aquaculture : Documents relatifs au conseil spécialisé du 24/02/2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/
02etablissement/02Etab_conseil_spe/index231_106.htm


> Filière Vins : Constatation nationale des prix moyens d’achat de vin en vrac
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426.htm

> Filière Viticulture : Publications : N° 19 du viticulture en date du 1er mars 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index86.htm


Du côté du ForumPhytoLesInfos1104
- Études scientifiques indépendantes : Recommandations de l’EFSA… et attaque de GF
- 2011, année de la chimie
- « Accorde-t-on trop de dérogations sur les phytos en France ? » (Réussir)
- Les producteurs de pommes ne veulent plus passer pour des poires !
- Développement du « Bio-contrôle » (méthodes alternatives/complémentaires) (IBMA)
- Protection phytosanitaire et voisinage
- Surenchère médiatique anti-agriculture chez les ONG (suite)
- Nitrate, nitrite, oxyde nitrique et santé : colloque scientifique 31 Mars, Paris
- « Ne vous précipitez pas pour interdire les produits chimiques » (John Entine)
- Pesticides et maladie de Parkinson
- La protection intégrée des cultures selon FARRE
- Pour sourire jaune : Marine Le Pen et les endives rouges
Contact : JF PROUST
Mél : jf.proust(a)forumphyto.fr

   

Du côté de la SAF – Agriculteurs de France
>>> De retour du Sima, des innovateurs… à l’ombre des grands équipementiers
Comme à chaque édition, le Salon international du machinisme agricole (Sima) confirme l’évolution de nos pratiques agricoles et l’orientation des équipements. Cette année, trois grandes tendances n’y font pas défaut et m’entraînent dans une réflexion sur le fond pour essayer de mieux comprendre vers quoi nous allons dans ce domaine.

L’aide à la conduite des matériels, vers plus de précision et surtout permettant une économie de moyens, devient une offre largement diffusée et concurrencée, de plus en plus sophistiquée et apportant un niveau de fiabilité qui ne crée plus de doutes quant à son intérêt dans un grand nombre d’applications.

L’évolution des règles d’emploi des produits phytosanitaires et leurs restrictions d’emploi apportent des alternatives de plus en plus intéressantes pour accompagner la croissance des végétaux et les maintenir dans un environnement propre. Elles nous engagent vers un retour aux bonnes pratiques agronomiques, pour le plus grand bonheur, finalement, des puristes agronomes.

L’évolution, encore et toujours, de la taille des matériels, certains d’entre eux frôlant la démesure dans notre contexte français, nous apporte un bon éclairage sur l’émergence des grandes structures qui seront dorénavant nos concurrentes. Les plaines d’Ukraine comme les grands plateaux brésiliens deviennent les grands offreurs mondiaux.

Ces trois tendances m’ont d’autant plus frappé, qu’elles nous sont présentées par une dichotomie d’offre, venant de groupes de constructeurs issus de très grandes concentrations d’entreprises les plus diverses, mais aussi par de nouveaux entrants apportant, justement, un panel d’innovations correspondant bien à notre propre évolution. Quel délice de traverser ces stands de la démesure, présentant une offre sans limite, permettant même aux entreprises agricoles des équipements d’une seule marque, à la limite de la sponsorisation qui pourrait nous effrayer ! Mais aussi, quel bonheur de retrouver sur une petite surface attenante, une nouvelle application, répondant à la préoccupation du moment, et justement mise au point par un acteur de terrain.

Damien BONDUELLE, Président de la Commission Agriculture & GMS de la SAF-agriculteurs de France

>>> OGM dans l’alimentation animale : vers un déblocage de la situation ?
Dans les prochains mois, l’Union européenne devrait - sauf nouveau rebondissement - instaurer un seuil de tolérance de 0,1 % pour les traces d’OGM non autorisés dans les importations d’alimentation animale. Le comité d’experts en charge de la question vient en effet de trancher à la majorité qualifiée des États membres. La décision du « Comité permanent de la chaîne alimentaire et de la santé animale » est un préalable à la mise en œuvre d’un règlement de la Commission européenne.
Après plusieurs reports, ce vote constitue une avancée a minima sur la question des OGM. Il s’agit surtout d’en finir avec le blocage des cargaisons de maïs et de soja, non déchargées en Europe pour causes de traces d’OGM non autorisés sur le continent alors qu’ils sont autorisés dans leur zone de production. Chaque année dans l'Union européenne, environ 4 millions de tonnes de maïs et 33 millions de tonnes de soja (équivalent tourteau) en provenance du continent américain sont destinées à l’alimentation animale.
Le Conseil et le Parlement européen ont trois mois pour se prononcer. Un vote qui devrait suivre l’avis rendu par le comité d’experts. La fin de la tolérance zéro sur cette question semble être acquise. L'eurodéputé José Bové, qui approuve cette décision, le dit lui-même dans un entretien sur la chaîne Public Sénat : « zéro, ça n’existe pas » !
Voir : http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/
jose-bove-01-dogm-seuil-n-pas-une-capitulation-rase-campagne-77986

Voir : http://www.agriculteursdefrance.com/fr/LaLettreInternet.asp?
ThemePage=2&Rubrique=1



Du côté de l'Institut de l'Élevage
>>> Toutes Filières
> Imaginer l’élevage de demain - Projet international sur quatre ans

>>> Bovins lait
> Mise à jour des formules de conversion avec le changement de base - Note IBL n° 2011-02
> Marchés mondiaux des produits laitiers - A l’heure de la volatilité
> Initiative solidaire en Normandie 0 800 971 271 : Un numéro vert lorsque l’herbe a jauni !
> Contractualisation laitière : Le Cniel publie un guide de bonnes pratiques

>>> Bovins viande
> Accédez en ligne aux index officiels des taureaux d’Insémination Animale de monte publique
> Carte mensuelle des apports de données commerciales d’abattage dans le SIG

>>> Ovins viande
> Fiches techniques en production ovine - Co-production Institut de l'Elevage - CIIRPO

>>> Équins
> Chiffres clés 2010 : Filière équine (données 2009)

 



Du côté des Insectes
> Première 'Épingle' : pourquoi tant d'espèces de lépidos ? " Le régime n’est pas en cause "

> Seconde 'Épingle' : la peste soit d'Apis cerana : " L'invasion des abeilles asiatiques "

> Le reste de l'actu de l'entomosphère est 'À lire sur Internet'.
Vori : http://www.inra.fr/OPIE-Insectes/epingle11.htm

> Les titres et contenus du numéro 160 d'Insectes, à paraître bientôt.
Voir : http://www.inra.fr/OPIE-Insectes/i-sommai.htm

Contact : Alain Fraval
Mél : afraval(a)orange.fr


Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea)
>>> Informations générales
> Pratiques commerciales déloyales
Le COPA vient de publier récemment une liste non-exhaustive des pratiques commerciales et des conditions contractuelles potentiellement déloyales et abusives. (9/3/2011)

> Répartition des eaux dans le bassin Loire – Bretagne
Vous recherchez des informations sur la répartition des eaux dans le bassin Loire - Bretagne. (8/3/2011)

> Mesures agroenvironnementales
Vous souhaitez vous informer sur la mise en oeuvre des mesures agroenvironnementales pour la période 2010-2013 ? (3/3/2011)

> Entreprises et biodiversité
Vous recherchez des informations relatives à l'enquête menée par le Ministère de l'écologie et du développement durable sur les entreprises et la biodiversité ? (2/3/2011)


>>> Actions et revendications
> Contractualisation: un numéro indigo à disposition des agriculteurs
Le syndicalisme agricole met en place un numéro indigo pour aider et conseiller les producteurs qui s'interrogent sur la contractualisation prévue par la LMA. (1/3/2011)


Du côté de TV Agri
>>> Powerboost : Le magazine des passionnés du machinisme
Cette semaine, toujours et encore des nouveautés comme, par exemple, des images au champ du train de chenilles Terra Trac de Claas et de la presse New Holland avec le système CropID. Vous découvrirez aussi une interview exclusive du numéro 2 de John Deere - Mark von Pentz - qui permet de mieux comprendre la stratégie du groupe.
Voir : http://www.powerboost.info

>>> Cultures News : Toute l'actualité des grandes cultures
Retour dans ce Cultures News sur les temps forts du SIMA qui s'est tenu du 20 au 24 février dernier à Paris Nord Villepinte. Michel Portier, le directeur d'Agritel, a fait part sur le plateau télé du pôle agroéquipement de ses inquiétudes quant aux conséquences des tensions internationales sur le marché des matières premières agricoles. Et puis Philippe Roux du GNIS vous dira tout sur les progrès réalisés dans le domaine des trieurs. Avec toujours des actus en bref et un point sur les cultures.
Voir : http://www.culturesnews.info

>>> Politiquesalaferme.com
Arnaud Montebourg : « Je dis souvent aux agriculteurs : vous êtes socialistes mais vous ne le savez pas »
Cette semaine, notre invité sur le plateau de Politiques à la ferme est Arnaud Montebourg, le président du Conseil général de Saône-et-Loire et candidat à la Primaire socialiste pour l'élection présidentielle de 2012. Il propose des mesures très restrictives contre la spéculation mais n'attend rien du G20 qu'il surnomme « G vain » parce qu' « on y annonce beaucoup de choses [...] mais rien n'est jamais suivi des faits. » Il dénonce aussi « la super puissance d'influence que sont devenues les grandes marques de la distribution ». Il faut selon lui imaginer un système différent, « un système coopératif pour garantir des prix aux producteurs sans étriper le consommateur. » Il suggère de transposer le modèle coopératif agricole aux autres pans de l'économie : « c'est mettre du socialisme dans le capitalisme. Je dis souvent aux agriculteurs : vous êtes socialistes mais vous ne le savez pas. » Il prend enfin très au sérieux la percée de Marine Le Pen dans les sondages : « Les solutions de Mme Le Pen ne sont pas le bonnes solutions. Ce sont des solutions isolationnistes et non pas de recherche de compromis. Moi je propose de brider les marchés financiers, de mettre sous-tutelle le système financier. »
Voir : http://www.politiquesalaferme.com

Protéger vos réseaux avec des firewall WatchGuard

ACTA Informatique dispose de la certification Watchguard Professional Partner

Contact : Jean-Paul Archier
- CCNP (Cisco Certified Network Professional)
- WSCP (Watchguard Security Certified Professional)
Mél : Jean-Paul.Archier(a)acta-informatique.fr


Du côté de Pleinchamp.com - La mission des Jeunes Agriculteurs : installer demain
En Europe, 6% seulement des agriculteurs ont moins de 35 ans. Le renouvellement des générations est une urgence nationale et européenne si demain, l'Europe veut garantir sa sécurité alimentaire, préserver une activité économique... Comment se donner les moyens d'installer encore demain?

>>> Les articles du dossier réalisé par JA Mag :

> Installer demain
> Améliorer encore et toujours l'accompagnement
> Menaces sur la légitimité des JA ?
> Un jeune agriculteur témoigne
> Passionné, il raconte son métier aux élèves
> Un accord-cadre entre JA et l'Education nationale
> Des outils à la disposition des agriculteurs
> « Il n'y a pas de crise de vocation »


Je ne parlerai pas en présence de mon avocat (3)
AVOCAT : Comment votre premier mariage s'est-il terminé ?
TÉMOIN : Par le décès.
AVOCAT : Et, par le décès de qui s'est-il terminé ?
TÉMOIN : Devinez.

MétéoPro sous Windows...


...l'agrométéorologie enfin opérationnelle
Contact : Luc Fricot
mailto:fricot(a)acta-informatique.fr


Qui va déployer la fibre optique en dehors des grandes villes ? (Point de vue de Nicolas Aubé, Président de CELESTE)
Les règles du déploiement de la fibre optique en France sont désormais connues. L'Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP) vient de publier sa décision qui organise ce déploiement en dehors des « zones très denses », donc hors des grandes villes. Voici quelques clés de décryptage.

Le déploiement dans les grandes villes avait déjà fait l'objet d'une décision fin 2009, à l'initiative des opérateurs télécoms. Ceux-ci doivent déclarer leur intérêt pour le fibrage d'une zone donnée, en le finançant seuls ou en co-investissement avec leurs concurrents s'ils souhaitent investir sur la même zone. Dans ces grandes villes, quatre fibres optiques seront installées pour chaque logement. Cela signifie qu'à terme plusieurs opérateurs peuvent être présents simultanément dans les habitations. Plusieurs offres coexistant, les abonnés pourront changer assez facilement d'opérateur.

>>> Une seule fibre par logement

Qu'en est-il en dehors de ces très grandes villes ? Le schéma de déploiement est différent. Le fibrage d'une habitation ou d'une entreprise coûte plus cher, car les distances de fibre sont plus importantes, et les immeubles comportent moins de logements. Il a donc été décidé qu'une seule fibre optique équiperait chaque logement. Celle-ci sera raccordée à un « point de mutualisation », couvrant au minimum 1 000 logements dans les villes, et 300 logements dans les zones peu denses. Pour un abonné, le passage d'un opérateur à un autre se fera avec une coupure de service, un peu comme le dégroupage d'une ligne ADSL aujourd'hui, ce qui pourra causer quelques difficultés pour les utilisateurs.

Ce déploiement sera à l'initiative des opérateurs télécom, des gestionnaires de zone ou des collectivités. Ces organismes auront le rôle d'« opérateurs d'immeubles ». Ils proposeront un découpage d'une commune en zones de 1 000 logements minimum dans les villes de moyenne importance, et 300 dans les zones rurales. Lorsqu'ils commenceront à déployer la fibre dans une de ces zones, ils devront s'engager à fibrer l'intégralité de cette zone en 5 ans : sous réserve d'accord des propriétaires ; soit la fibre sera installée dans chaque logement, soit elle sera prête à l'être sur demande des abonnés. Dans une même commune, on pourra donc avoir une zone fibrée à 100% d'un côté, et une zone sans fibre de l'autre.

>>> Un découpage en zones de 1 000 logements

Pourquoi ce chiffre de 1 000 logements (et 300 en zone rurale) ? Cette limite n'est pas évidente a priori ; puisqu'on a aujourd'hui une structure différente pour le réseau téléphonique et l'ADSL. Les répartiteurs téléphoniques équipent une zone de l'ordre de 10 000 lignes, soit dix fois plus. Le déploiement en ADSL a suivi ce schéma puisque les équipements centraux, les « DSLAM », se situent dans ces répartiteurs principaux. Ce schéma initial est à l'origine des « zones blanches » de l'ADSL, car les habitants qui se trouvent à plus de 5 km du répartiteur ne peuvent pas avoir l'ADSL, à cause des limitations de cette technologie, et ne peuvent pas changer de répartiteur, étant donné la structure de distribution du réseau téléphonique. La seule solution pour eux est l'équipement en ADSL des sous-répartiteurs.

La fibre optique ne présente plus la limite technique de 5 km, puisqu'on peut éclairer une fibre avec des équipements communs jusqu'à 20 km voire plus. Pourquoi n'avoir pas choisi des zones de 10 000 lignes pour la fibre optique ? Le choix du chiffre de 1 000 lignes résulte d'un compromis technique entre les opérateurs qui ont choisi la technique du « PON », et celle du « point à point ». Le PON permet de diviser une fibre initiale en un arbre de plusieurs fibres pour raccorder des logements. C'est la technologie choisie par Orange par exemple. Le point à point utilise une fibre unique par logement. Cette structure a été choisie par Free notamment.

Les opérateurs PON ont besoin que le point central de raccordement pour un groupe d'immeubles ne soit pas trop éloigné des logements. Une structure de distribution depuis les répartiteurs n'aurait pas été possible pour ces opérateurs. Ils demandaient au contraire un point central de raccordement très proche des immeubles. En revanche, ce schéma n'aurait pas convenu aux opérateurs « point à point », car les chemins de câbles de distribution, proches des immeubles, auraient été vite saturés par le nombre de fibres posés par tous les opérateurs.

Ce compromis à 1 000 logements correspond à des points centraux, dits « de mutualisation », au niveau des sous-répartiteurs téléphoniques. Le schéma de déploiement de la fibre est donc le suivant : une seule fibre entre chaque logement et son sous-répartiteur téléphonique, utilisable par tous les opérateurs qui pourront la « dégrouper » ; de là tous les opérateurs repartent vers leur central optique, en mutualisant ou non le signal sur leurs fibres.

>>> Qui va déployer la fibre ?

Le cadre technique est désormais fixé, on peut considérer que c'est un juste compromis car il laisse le choix de leur technologie aux opérateurs et il permet d'utiliser efficacement les infrastructures de France Télécom déjà installées dans les villes.

L'initiative du déploiement est laissée aux opérateurs télécoms. Ceux-ci vont choisir les zones de 1 000 logements dans telle ou telle commune suivant leur intérêt commercial. Il y a néanmoins une certaine péréquation car l'ensemble de la zone de 1 000 logements devra être équipée, ce qui évite les trous de couvertures liés à des îlots jugés non rentables ou plus éloignés physiquement. Toutefois, il est probable que des zones entières soient laissées de côté dans un premier temps. En revanche, ce palier de 1 000 logements impose des barrières à l'entrée importantes : l'investissement financier et l'organisation de ce déploiement fait qu'il sera impossible pour des petites structures privées ou publiques.

On peut donc imaginer deux types d'acteurs pour ce déploiement de la fibre. D'une part, les opérateurs « grands public », qui ont commencé à le faire en zone très denses, et qui ont fait des annonces sur certaines villes d'importance moyenne. D'autre part, les collectivités. Celles-ci devront s'organiser au moins à l'échelle de la commune, voire à celle des communautés de communes ou des départements. Il est possible qu'elles deviennent elles-mêmes « opérateurs d'immeubles » pour équiper les logements de leurs administrés. C'est la continuité du mouvement entamé par certaines collectivités depuis 5 ans, avec le lancement de délégations de service public afin de fibrer les zones d'activités, les centraux téléphoniques, ou directement certains abonnés, comme à Pau ou Saint Quentin en Yvelines par exemple. Grâce à ces initiatives publiques, les opérateurs, comme CELESTE, qui équipent les entreprises peuvent d'ores et déjà proposer la fibre optique à la plupart des entreprises du pays.

>>> La fibre, un service public ?
Le fait de choisir des zones de 1 000 logements inquiète certaines collectivités. En effet, celles-ci craignent que les opérateurs télécom ne fassent leur marché avec les zones rentables, et ne leur laissent que les zones non rentables. Cela aurait un double effet négatif pour elles : d'abord, ces zones seront probablement plus coûteuses à raccorder ; puis les collectivités ne pourraient pas gagner de l'argent sur les zones rentables afin de subventionner ces zones reculées.
L'enjeu pour elles va être de négocier avec les opérateurs cette péréquation dans le découpage des mailles territoriales en zones de fibrage. Elles pourront leur proposer de co-investir en échange de critères liés à l'aménagement du territoire.
La fibre ne sera probablement pas un service public, mais c'est une opportunité de rapprochement entre les opérateurs et les collectivités pour établir une vision conjointe. Rendez-vous en 2025, nous devrions alors tous être fibrés !

Contact : Franck TUPINIER
Mél : ftupinier(a)myntic-pr.com


Logiciels libres et
Open Source
utilisés par ACTA Informatique

- e-GroupWare : travail collaboratif
- SpamAssassin : antispam
- ClamAV et Amavis : antivirus
- SquirrelMail : webmail
- Nagios et MRTG : analyse traffic réseau


Contact : Jean-Paul ARCHIER
Mél : jpa(a)acta-nformatique.fr

Le top 5 des plateformes de blogs
Qui domine le classement des hébergeurs de blogs en France ? Quels sites sont les plus visités ? Combien de temps y passent les internautes ? Les réponses avec Médiamétrie.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/
audience-plateformes-de-blogs/



Microsoft paie 1 milliard de dollars son ticket d’entrée chez Nokia
Microsoft s'apprêterait à verser 1 milliard de dollars pour aider Nokia à intégrer et promouvoir Windows Phone sur ses terminaux mobiles.
Voir : http://www.silicon.fr/
microsoft-paie-1-milliard-de-dollars-son-ticket-dentree-chez-nokia-47026.html



L’arrivée de l’iPad 2 va relancer les forfaits mobiles tablettes en France
SFR est le premier à pré-annoncer l'arrivée de l'iPad 2 dans ses boutiques. Les tablettes constituent les nouveaux leviers de développement des opérateurs mobiles.
Voir : http://www.silicon.fr/
larrivee-de-lipad-2-va-relancer-les-forfaits-mobiles-tablettes-en-france-47060.html



Internet représenterait 25% de la croissance PIB en France
Une étude à la gloire d'Internet, où le principal sponsor s'appelle Google, et un rapport qui demande plus d'investissements publics...
Voir : http://www.silicon.fr/
internet-representerait-25-de-la-croissance-pib-en-france-47079.html



L’attaque de Bercy : « Un mal pour un bien » selon Check Point
L'attaque de 150 postes clients du ministère de l'Economie démontre les failles de sécurité, humaines ou applicatives, auxquelles n'échappent pas les grands comptes face à des organisations criminelles bien organisées.
Voir : http://www.silicon.fr/ lattaque-de-bercy-
%c2%ab-un-mal-pour-un-bien-%c2%bb-selon-check-point-46939.html



Piratage de Bercy : tous les regards se tournent déjà vers la Chine
Si François Baroin se refuse à évoquer les pistes suivies par les enquêteurs, après le hacking dont a été victime Bercy, les soupçons se concentrent sur la Chine. D'autant que, dans une affaire similaire
Voir : http://www.channelnews.fr/expertises/28/
9089-piratage-de-bercy-tous-les-regards-se-tournent-deja-vers-la-chine.html



Windows 7 a doublé Vista
Chaque mois, JDN Solutions dissèque l'équipement des postes clients des internautes. En février, Windows 7 est passé devant Vista. Mac OS et iOS ont atteint 10% de parts de marché.
Voir : http://www.journaldunet.com/solutions/systemes-reseaux/marche-des-os/


La "filière Internet" française pèse 72 milliards d'euros
Contribution au PIB, à l'emploi, aux entreprises... Voici ce que représente vraiment "l'économie d'Internet" en France, selon le rapport McKinsey remis à Eric Besson le 9 mars 2011.
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/le-net/internet-dans-l-economie-francaise/



Vers un tarif social sur les abonnements mobiles
Voir : http://www.linformaticien.com/Actualit%C3%A9s/tabid/58/newsid496/
10508/ vers-un-tarif-social-sur-les-abonnements-mobiles/Default.aspx


HYPP, Hypermédia pour la protection des plantes


HYPP est un compagnon très intéressant qui m apporte un grande satisfaction et m enrichit énormément car ma formation agricole limitée ne m a pas permis durant ma jeunesse d accéder a une connaissance élargie de la biologie…
Un témoignage de M. Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5183



There are 3 kinds of men in this world:

- Some remain single and make wonders happen.

- Some have girlfriends and see wonders happen.

- The rest get married and wonder what happened.

Contact : Israel KITRON
Mél : noga96(a)yahoo.com


Déclaration C.N.I.L. numéro 667690
Vous êtes plus de 28 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage personnel et les besoins de votre entreprise.
Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue ou encore vous désabonner (loi No 78-17 du 6 janvier 1978), et bien sûr contribuer à la rédaction de cette gazette presque hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande à Guy Waksman.
ACTA Informatique est partenaire France Télécom (SDSL et OLEANE), distributeur des routeurs CISCO et des firewall WATCHGUARD et CISCO.
ACTA Informatique réalise des sites Internet aussi bien que des applications pour PC sous WINDOWS, et propose un grand nombre de stages de formation.