AFIA
ACTA Informatique
Du côté du web et de l'informatique agricole 49 - 2011
Paris, 8 décembre 2011


Pour lire cette gazette sur notre site : http://www.acta-informatique.fr/?d=8291


Redonner sens au progrès (une urgence en Agriculture)
La crise de l’idée de progrès est ouverte. Cette idée avait mobilisé les énergies et les intelligences de l’âge industriel. Elle subordonnait une philosophie de l’action à une conception déterministe de l’histoire. Tout pas en avant dans la connaissance était un pas vers le mieux-être.

>>> Le mot progrès s’écrit aujourd’hui entre guillemets
On célébrait les bienfaits de l’innovation. N’affranchissait-elle pas l’homme des contraintes de la nature qui entravaient sa marche ? Cette idée semble avoir perdu l’essentiel de sa force d’attraction dans les pays occidentaux. Le progrès y apparaît même comme une menace d’aliénation. Les sciences et les techniques sont diabolisées. Le mot progrès s’écrit aujourd’hui entre guillemets, et la maxime selon laquelle « on n’arrête pas le progrès » prend une valeur d’ironie sarcastique. L’attrait de l’inconnu est en passe de céder devant la crainte de l’incertain. Le principe de précaution devient principe de suspicion, d’abstention ou d’inhibition. Il affecte l’esprit d’entreprise autant que l’esprit de recherche. On aura même vu un explorateur chevronné faire l’éloge de l’« immobilisme » pour résoudre le problème de l’énergie !
Situation paradoxale, car nos contemporains se bousculent aussi pour profiter des réalisations de la révolution des technologies de l’information et de la communication ou bénéficier des exploits de la médecine ! Ils contribuent massivement à l’artificialisation de nos existences qu’ils dénoncent.
Les empoignades autour du réchauffement climatique portent la trace de cette schizophrénie. C’est à l’autorité de scientifiques (les prix Nobel du GIEC) qu’il est demandé de certifier la fatalité d’une catastrophe imputable à la puissance de nos sciences et techniques. La climatologie est appelée à devenir une eschatologie !
Aux pays qui n’ont pas bénéficié des progrès économiques et sociaux réalisés pendant les deux siècles de l’âge industriel, cette crise idéologique apparaît comme une manoeuvre hypocrite pour les maintenir dans la dépendance. La Chine a revendiqué à Copenhague son « droit au développement ».
Elle a ses raisons politiques propres de grande puissance naissante. Elle a été entendue des plus pauvres.
Les pays riches vont-ils empêcher les pays pauvres de faire le parcours qui a été le leur, au risque de les maintenir de force dans un état de misère de plus en plus indigne ? Vont-ils, les aider à emprunter le même chemin, au risque de rendre la vie humaine invivable ?

>>> Une vue de plus en plus étroitement économiste du progrès soumise aux mathématiques probabilistes
Dans ce dilemme, c’est l’idée même de progrès qui est en cause. Il semble qu’on ait perdu de vue jusqu’à son but. Aux yeux des philosophes des Lumières, ce but était la liberté individuelle, par et pour une oeuvre collective. Pour les philosophes-ingénieurs de la révolution industrielle, ce fut une organisation rationnelle de la société. D’où une vue de plus en plus étroitement économiste du progrès soumise aux mathématiques probabilistes. L’homme en tant qu’être de désirs, de rêves et de libres inventions a été oublié. Le consumérisme aidant, on a voulu le réduire à un être de besoins capable de se muer par calcul en agent rationnel.
Avec la chute du mur de Berlin et la disparition de l’URSS, Francis Fukuyama ne fut pas le seul à considérer que cette vision de l’homme l’avait définitivement emporté. L’histoire était finie, la mondialisation était une civilisation ultime, la plus parfaite. L’individualisme triomphant, on n’a pas hésité à ériger l’égoïsme en vertu cardinale pour chacun, l’efficacité en valeur suprême pour tous.
Vingt ans après, c’est cette vision qui est entrée en crise. Voici l’histoire à nouveau ouverte sur un avenir.
Nous savons désormais que nous ne pourrons pas le connaître et le déterminer d’avance. Ce qui n’empêche pas, au contraire, de devoir anticiper, c’est-à-dire de prendre les devants à nos risques et périls.
Plus que jamais la démarche prospective s’impose, comme une éthique ouvrant activement le champ des possibles à la pensée et à l’action.
Le catastrophisme ambiant cultive en Occident une fascination morbide pour la fragilité humaine. Il inspire une morale de la sobriété et de la frugalité qui n’est qu’un repli craintif devant une chance à saisir.
Notre temps n’est-il pas celui où, conscients des risques, nous avons la possibilité d’inventer de nouvelles formes de vie humaine, qu’il s’agisse du travail, de la recherche, de la médecine et du soin autant que des relations affectives ?
Bref, nous avons la chance de pouvoir et de devoir redonner sens au progrès. C’est une chance, car, sans le sens du progrès, il n’y a pas d’humanité qui vaille.
Pr. Dominique Lecourt - Directeur général de l’Institut Diderot
Jean-Claude Seys - Président de l’Institut Diderot
Voir ; http://www.institutdiderot.fr/wp-content/uploads/2011/09/
DossierdePresse-LavenirduProgres.pdf



Dialogue avec Dominique Lecourt sur l’idée de progrès
Voir : http://www.lcp.fr/emissions/le-sens-du-progres/vod/
21418-dialogue-avec-dominique-lecourt-sur-l-idee-de-progres/dominique-lecourt


Le Forum Phyto

Voir : http://www.forumphyto.fr/


Pensée d’un fils pour son père
S'il n'a pas été un homme parfait, il fut ce père exceptionnel qui m'a appris à respirer, à aimer la vie, la musique, à apprécier la chose la plus infime, toucher un tissu, regarder un paysage, boire à une source, si peu de chose pour enchanter une journée entière. - Jean GIONO


Autre pensée du jour
La Musique et l'Amour sont les deux ailes de l'âme - Hector BERLIOZ


Et une troisième
Notre pays, depuis plus de trente ans, 
a été de drame national en drame national. Ce fut 
la guerre, la défaite et ses humiliations, l’Occupation 
et ses horreurs, la Libération, par contrecoup, l’épuration et ses excès (…) ; et puis la guerre d’Indochine, 
et puis l’affreux conflit d’Algérie. (…) Le moment n’est-il pas venu de jeter le voile, d’oublier ces temps où les Français ne s’aimaient pas, s’entre-déchiraient et même s’entre-tuaient ? – Georges POMPIDOU – 1972


Thought for today
It is unwise to be too sure of one's own wisdom. It is healthy to be reminded that the strongest might weaken and the wisest might err - Mohandas K. GANDHI (1869-1948)


Another thought for today
All great truths begin as blasphemies - George Bernard SHAW, writer, Nobel laureate (1856-1950)


De jeunes musiciens talentueux
Voir : http://www.alma-viva.com



ICT-AGRI


All who work with ICT in agriculture should register at: http://db-ictagri.eu
A recommendation by Nicolaï Fog HANSEN - EFITA President
E-mail: nfh(a)lr.dk


Ci-après, la réponse de M.HAZERA à qui j’indiquai que je ne voyais pas le rapport entre la régénération naturelle en forêt (dont M. HAZERA est un ardent promoteur) d’une part et la multiplication et vente de semences dites paysannes d’autre part
Ce n'est qu'à titre d'exemple, dans le but d'illustrer mon propos, que j'ai cité le cas de la régénération naturelle en forêt. Je précise donc cet exemple en disant que même cette régénération naturelle n'est pas vraiment naturelle ; en effet, ce sont en réalité des multitudes de forestiers qui œuvrent depuis des décennies pour sélectionner peu à peu, sur le terrain, la qualité génétique de leurs arbres (comme le faisaient sans doute autrefois, je suppose, les paysans du monde entier). Le principal travail du forestier consiste à améliorer sans cesse le patrimoine génétique de ses peuplements : il coupe, au profit du bel arbre, celui qui est sans avenir.

Vous faites donc une erreur en affirmant qu'il n'y aurait pas là "l'ombre d'un travail de recherche". Ce qui est vrai, c'est que ce n'est pas le fruit d'une recherche de laboratoire. La Loi en cours de discussion semble donner la priorité aux obtentions de laboratoire contre les obtentions empiriques... mais de quel droit ? Les obtentions empiriques ont au moins, sur les créations de laboratoire, deux avantages décisifs : elles sont intimement adaptées à leur écosystème local et, de plus, c'est la durée qui permet leur adoption. Elles bénéficient d'un retour d'expérience de longue haleine, l'expérimentation en continu éliminant, sur le long terme, les souches inadaptées.

Si les agriculteurs devaient réellement être taxés pour leurs semences de ferme, je ne vois pas pourquoi les forestiers resteraient épargnés : les principes sont les mêmes, seule change la durée. Pour ma part, je m'insurge contre une telle hypothèse qui rendrait – j'en suis certain – les cultivateurs esclaves des financiers : ce serait une victoire supplémentaire de la spéculation.

Contact : Jacques HAZERA
Mél : jacques.hazera(a)pijouls.com


Je suis en phase avec l'esprit du commentaire de B. Auxenfans "Un regard sur deux articles marrants sur les OGM en Argentine et aux USA" (Gazette du 3 novembre), sauf sur le sixième point…
6. “In the 1990s Monsanto considered there was almost no risk of the occurrence of GR weeds [6,60].”
On peut toujours faire dire à Monsanto ce qu’on veut…

Si, si, c'est bien Monsanto qui le disait :

Par exemple en 1995 au Columa de Reims:
Bradshaw L.D., Padgette S.R., Wells, B.H., Fichet, Y., 1995 - Discussion sur l'absence de risque de développement de mauvaises herbes résistantes au glyphosate. Seizième confé­rence du COLUMA. Journées internationales sur la lutte contre les mauvaises herbes, Reims, France, 6-8 décembre 1995. Tome 1. : 235-244.

Et dans toute une série de communications à des congrès et des articles.

Le raisonnement était solide et basé sur des données établies :
1. l’échec des tentatives d’obtention de plantes résistantes par mutagénèse

2. le fait que les mutants sélectionnés in vitro et portant des formes peu sensibles de l’enzyme cible du glyphosate (enoyl pyruvyl shikimate 3-phosphate synthase ou EPSPS) avaient de faibles capacités de croissance, car la mutation diminuait aussi l’affinité du substrat naturel pour l’enzyme

3. le fait qu'on connaissait des EPSPS bactériennes peu sensibles au glyphosate, mais leur séquence d’acides aminés est différente à plus de 50 % des EPSPS végétales. Il est donc exclu d’obtenir l’ensemble des mutations correspondantes

4. l'absence ou quasi-absence de métabolisation du glyphosate dans les plantes, ce qui ne laisse pratiquement pas de possibilité de sélection par ce biais

5. l'absence d’activité résiduaire dans le sol, qui limite la durée de la pression de sélection

Mais l'inventivité de la biologie ayant peu de limites, tout cela a été contourné par, entre autres :
1. l'altération de la mobilité du glyphosate dans la plante

2. l'apparition de mutations dans le gène codant pour la protéine cible du glyphosate, mutations qui ont un faible coût physiologique. On en connaît au moins 3 à présent

3. modifications de la cuticule rendant celle-ci moins réceptive des pulvérisations et moins perméable

Comme tant d'autres, merci et félicitations pour la vie de cette gazette.

Cordialement,

Contact : Christian GAUVRIT
Mél : christiangauvrit(a)orange.fr



Terre-net Web TV
Voir : http://www.terre-net.fr/Web-TV/


A propos de « Environnement - Selon un rapport du Commissariat général au développement durable, les régions les plus polluées par les pesticides et les engrais voient leur facture d'eau augmenter considérablement... (20 minutes) » que tu mentionnes dans la dernière gazette, il me semble utile d'ajouter deux points importants à ton commentaire (Gazette du 10 novembre 2011)

1) L'étude du Commissariat Général au développement durable n'évoque que les coûts de la pollution. Outre le manque de crédibilité de cette analyse, il faut noter qu'en matière de développement durable, il faudrait, en toute bonne logique, faire une analyse coûts / bénéfices. Bénéfices environnementaux : moins de surface agricole, donc plus d'espaces naturels, pour une même quantité d'aliment produite ; baisse de pression des ravageurs et maladies des plantes. Bénéfices sociétaux et économiques : pénibilité réduite du travail ; meilleure productivité ; plus de temps libre ; meilleure régularité dans la production des produits alimentaires en quantité et en qualité, etc.

2) De plus, il faut noter dans le texte la présence d'affirmations à tonalité catastrophiste, sans justification. Par exemple, page 10 : « Si les tonnages vendus baissent, l'efficacité des nouvelles molécules ne cesse de s'accroître et les substances agissant à très faibles doses se substituent aux substances plus lourdes dont les effets sont mieux connus (produits soufrés et cuivrés). »
Or, contrairement à cette affirmation, les nouvelles substances subissent de nombreux tests avant mise en marché. On SAIT que, pour une dose donnée, elles sont moins toxiques, plus biodégradables, plus respectueuses de l'environnement que les anciennes. Voir diapositives illustrant cette évolution positive :
http://www.forumphyto.com/wp-content/uploads/2011/07/0904OpecstUipp.pdf (dans la page Histoire de la protection phytosanitaire)

Voir également : http://www.forumphyto.fr/2011/07/15/histoire-de-la-protection-phytosanitaire-2/
de ForumPhyto).

Cet argument a également été bien exposé par Laurent Berthod dans « Pesticides : le chiffre du jour » :
http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-pesticides-le-chiffre-du-jour-43805662.html
Contact : JF PROUST
Mél : jf.proust(a)forumphyto.fr


Liste des derniers billets publiés sur le blog de mon très estimé ancien collègue Bernard Curé
- Gelée de pommes - Une recette de grand-mère
- Découverte de la légendaire MANDRAGORE
- L'agriculture Chinoise (2)
- CLOUD... ou l'effondrement de la théorie réchauffiste prônée par le GIEC
- Impressions de Chine - juin 2011 - HAILAR Mongolie intérieure
- Biotechnologies végétales, pour comprendre et avancer...
- Le concombre démasqué ?
Si vous voulez recevoir un courriel à chaque parution d'un nouveau billet, veuillez-vous abonner directement sur mon blog (colonne de droite : 3ème pavé).
Voir : http://bebop762653.wordpress.com/
Contact : Bernard CURE
Mél : curebe(a)wanadoo.fr


Les rendements en France pourraient aussi facilement augmenter si les semences de betteraves transgéniques - comme la Betterave RR, par exemple - étaient commercialisées en France et si la CGB et les betteraviers le voulaient vraiment et se faisaient entendre ! C'est bien dommage ... et c'était le principal message de mon article : "Filière agricole trop silencieuse, timide et apeurée" (Contribution de M. AUXENFANS dans la gazette du 17 novembre)
Lorsque j'avais répondu à Monsieur AUXENFANS, c'était vers le 10 octobre. Nous sommes aujourd'hui le 18 novembre. La campagne d'arrachage de betterave se termine dans les prochains jours mais déjà dans les bassins de productions du nord de la France, (Nord, Picardie, Haute Normandie, Ile de France et Champagne Ardennes, des records sont en train d'être battus.

Beaucoup de planteurs dépasse les 100 tonnes de betteraves ramenées à 16% de sucre c'est à dire 16 tonnes de sucre à l'ha et dans le Pas6de6Calais et la Somme quelques parcelles ont dépassé les 140 tonnes ramené à 16% de sucre ce qui fait 22T par ha de sucre. De plus contrairement à certaines années, ce sucre est facilement extractible par les sucreries, les tares terre et collets sont les plus faibles depuis cinq ans car les conditions climatiques sont encore très favorables (très peu de pluies depuis le début de la campagne). Cette année s'annonce comme une année record. En créant quelques variétés un peu plus tolérantes à la sècheresse pour les bassins sud (le secteur d'Artenay et celui de Pithiviers) et nous aurons des productions qui permettront une performance globale de l'industrie betteravière supérieure à celle de la canne à sucre car nécessitant beaucoup moins d'eau.

Il ne sera peut-être pas nécessaire d'utiliser la betterave RR car les nouveaux herbicides très performants le sont à des doses très inférieures aux herbicides des générations précédentes. ET comme le rendement augmente, la rotation betteravière s'allonge réduisant d'autant les problèmes de betteraves montées, tant que le quota existe.
Après 2015, ce sera peut-être autre chose.
Contact : Richard DAMBRINE
Mél : dambrine.richard2(a)wanadoo.fr


Et en rapport avec la réflexion de M. DAMBRINE….


Salon de la betterave - Salon Betteravenir : un planteur de betteraves sur deux présent dans l'Aisne
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/6015197/
Salon-Betteravenir-un-planteur-de-betteraves-sur-deux-present-dans-l-Aisne.html



Idaho Sugar Beet Crop Expected To Tie Record (dans l’Idaho comme en France mais pas comme aux USA où globalement la récolte de betterave n’est pas excellente)
See: http://www.capitalpress.com/content/JO-BeetHarvest-111811


Tous les articles présentés au congrès EFITA 2011 à Prague sont disponibles

See: http://www.efita.net/?d=6861

Les fresques murales : A la ville ou à la campagne ?
Dans nos villes fleurissent de grandes fresques murales ou des trompe-l’œil pour étayer l’œil des citadins.
Est- ce réservé uniquement à nos grandes agglomérations ?
Et bien non, dans nos campagnes fleurissent également de nombreuses réalisations.
Dans l’Eure, la Seine Maritime, en autre, de nombreux château d’eau sont peints des pieds à la tête. Souvent réalisés par Ateliers ADELINE, ces châteaux d’eau mettent en avant la vie rurale d’autrefois.
Un tour de France s’impose en visitant le site http://www.trompe-l-oeil.info qui est maintenant la plus grande base de données mondiale de cet art.
Contact : Lionel GRIPON
Mél : lionel.gripon(a)bayer.com


Et en effet, tous ceux qui disent de mal de l’agriculture (comme de l’industrie !) sont de « bons clients » pour les médias, qu’il s’agisse de pesticides, d’OGM, de Bio, de bien-être animal, d’algues vertes, de vaches folles… (Gazette du 17 septembre 2011)

Attention Cher Guy,
La conclusion n'est pas vraiment tirée de ce qui précède. Un procédé bien trop expéditif, qui ressemble à celui que vous critiquez souvent chez les autres. La fraude est une chose.
Il y a des bonnes raisons de critiquer les pesticides, les OGM (voir les résultats scientifiques à moyen terme sur les Round-up Ready publiés par l'INRA), le bien-être animal malmené, les engrais et les algues vertes, sans parler des vaches folles.
Ce n'est pas nécessairement dire du mal….
Et cela peut même être positif.
Et ce n'est pas nécessairement de la fraude, loin de là…
Regardez ce que l'on dit depuis si longtemps sur les antibiotiques utilisés en élevage….
Qui fraude? Bien à vous.

Contact : Bernard A. WOLFER
Mél : wolfer(a)inra-ifris.org


Ma réponse (GW) : Je suis d’accord avec vous sur le fond. Des problèmes, il y en aura toujours à résoudre. Chaque nouvelle technique a ses avantages et comporte évidemment des inconvénients. Mais nous ne parlons pas de la même chose. Je défends notre capacité à produire, je défends la productivité et la compétitivité de notre agriculture (bio comprise) comme celles de nos industries et services. Je me trompe peut-être mais je voudrais que nous fassions front ensemble contre tous les marchands de peur qui font feu de tout bois et prennent prétexte de n’importe quelle difficulté pour condamner les producteurs.
Voir : http://www.forumphyto.fr/2011/11/18/
une-fraude-scientifique-incroyable%e2%80%a6-et-une-lecon-d%e2%80%99humilite/

Voir : http://www.questions-science.com/blog/?p=265


Fukushima : l'accumulation de déchets contaminés inquiète l'AIEA
Si l'AIEA délivre un satisfecit aux japonais pour les travaux de décontamination, elle souligne cependant le problème posé par les résidus et émet des recommandations pour limiter et gérer les déchets considérés comme radioactifs.
Voir : http://abonnement.actu-environnement.com/HS?
a=ENX7CqkLoLDI8SA9MKJJ77TnGHxKLDkcuPcStGb5lw8W0bBhOG5mpqVsje_HhdB5YlBV



Ma remarque (GW) : Si je me réfère à la discussion engagée ci-dessus sur le fait que rencontrer des problèmes de production n’a rien que de très normal mais qu’en faire tout un plat pour vendre de la peur est parfaitement anormal… disons que la bonne nouvelle est que les ingénieurs japonais ont l’air de s’en sortir… s’il ne leur reste d’après l’AIEA qu’à gérer les déchets considérés comme radioactifs (ce qui n’est sans doute pas un mince problème tout de même).
Mais y aura-t-il des médias pour annoncer par exemple que les ingénieurs japonais font la preuve que le nucléaire est une technologie sûre, capable de résister à la pire des catastrophes ? Y aura-t-il des médias pour dire que les agriculteurs français et toutes les filières agro-alimentaires ont fait d’énormes efforts pour fournir à leurs clients des produits de plus en plus sûrs, avec des modes de production impactant le moins possible l’environnement ?



VOA3R : partager des ressources documentaires

See: http://voa3r.eu/


Le Gouvernement maintient son opposition à la culture du maïs MON810
Le Ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement et le Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du Territoire prennent acte de la décision du Conseil d’État annulant la clause de sauvegarde prise par la France en 2008 pour interdire la culture du maïs transgénique MON810.
Afin d’interdire la culture d’un maïs transgénique sur son territoire, la France a pris une clause de sauvegarde en 2008 en application de la directive 2001/18/CE relative à relative à la dissémination volontaire d'organismes génétiquement modifiés dans l'environnement. Le Conseil d’État vient d’annuler cette clause de sauvegarde après avoir interrogé en février 2010 la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE).
Des questions sur l’innocuité environnementale de ce maïs demeurent et ont été notamment formulées en décembre 2009 par le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) et dans de nouvelles études scientifiques publiées depuis. Ces incertitudes persistantes conduisent le Gouvernement à maintenir, sur le territoire français, son opposition à la mise en culture du maïs MON810. Il étudie, dès à présent, les moyens d’atteindre cet objectif.
Voir : http://agriculture.gouv.fr/opposition-culture-mais-mon810
Voir : http://abonnes.lemonde.fr/politique/article/2011/11/29/
sarkozy-reste-oppose-a-la-culture-du-mais-ogm-monsanto-en-france_1610760_823448.html



La France persiste à refuser les OGM
Le gouvernement manque néanmoins d'éléments scientifiques pour décréter un moratoire.
Voir : http://www.lefigaro.fr/environnement/
2011/11/29/01029-20111129ARTFIG00704-la-france-persiste-a-refuser-les-ogm.php



Sur le blog de NKM
Voir : http://nkm-blog.org/le-mon810-toujours-pas/

>>> Réponse postée sur ce blog par M. Kuntz (mais non publiée!)
L'interdiction du MON810 a été un marché de dupe, destiné à positionner la Majorité présidentielle sur le thème de l?« écologie » lors du Grenelle (interdiction des OGM contre non évocation du nucléaire par les écologistes). Tractations aussi peu glorieuses que celles du PS avec les Verts sur le nucléaire. Ce deal n'a pas apporté une seule voix à la Droite qui a perdu toutes les élections depuis le Grenelle ?
Les soi-disant "doutes sérieux" sur le MON810 ont été concoctés de toutes pièces pour honorer ce deal. Rien de plus.
Madame la Ministre, vous vous honoreriez de sortir de ces calculs politiciens sur le dos de l'agriculture française et des chercheurs.
Je vous mets au défi de publier ce commentaire.
Voir : http://www.marcel-kuntz-ogm.fr
Contact : Marcel KUNTZ
Mél : kuntz(a)ujf-grenoble.fr


Question à M. KUNTZ : pensez-vous la voie « génomique » proposée par l’Inra puisse aboutir rapidement ou non à la création de nouvelles variétés ?
Voir : http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/
genomique-de-la-betterave-lancement-du-programme-francais-aker-49595.html


Probablement, des données intéressantes seront-elles générées. Ce qui est sûr c'est qu'il y a de la concurrence…
Voir : http://www.docstoc.com/
docs/80137572/KWS-and-BASF-collaborate-to-develop-high-yielding-sugar-beet

On peut citer aussi un projet chinois en collaboration avec le Centre international de recherche sur le riz (IRRI) de séquencer les génomes de 3 000 variétés de riz.

Sommes-nous capables en France de transformer de telles données scientifiques en INNOVATION ? Là je suis plus sceptique.
S'il est interdit a priori, par le politiquement correct, d'utiliser certaines techniques de biotechnologies... sous prétexte "qu'il n'y a pas de demande sociétale " (Steve Jobs ou Bill Gates se sont-ils posé cette question ?), à mon avis, l'amélioration variétale française n'est pas sur les bases les plus favorables pour passer au stade R&D.
Mais, peut-être qu'un jour, comme aurait dit Coluche, on s'autorisera à penser dans les milieux autorisés...
Contact : Marcel KUNTZ
Mél : kuntz(a)ujf-grenoble.fr


La betterave française défie la canne brésilienne
Voir : http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/12/07/
la-betterave-francaise-defie-la-canne-bresilienne_1614322_3244.html


 


Les NTIC en Agriculture
Voir : http://www.blog-agri.com/ticagri/


MAIS MON 810 : La décision du Conseil d’Etat est une chance pour l’agriculture française. Le gouvernement doit s’y conformer ! (AFBV)
Le Conseil d’Etat a annulé les arrêtés suspendant la culture du maïs OGM Bt Mon 810 par une décision rendue lundi 28 novembre 2011. Le Conseil estime que le Ministère de l’Agriculture n’a pas « apporté la preuve de l’existence d’un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l’environnement ». Ainsi la suspension de la culture du Mon 810 est sans fondement. Cette décision fait suite à celle de la Cour de Justice de l’Union Européenne du 8 septembre 2011. Elle devrait ouvrir des perspectives prometteuses pour les agriculteurs français qui pourraient enfin avoir accès à des innovations indispensables à la compétitivité de l’agriculture française.

Hélas, dès lundi, par la voix de deux de ses Ministres, et non des moindres, Nathalie Kosciusko-Morizet et Bruno Le Maire, le gouvernement a annoncé son intention de trouver d’autres éléments pour interdire la culture du Mon 810 en France. Ce que le Président de la République a confirmé mardi. Les responsables politiques refusent donc de se conformer aux avis des instances scientifiques comme juridiques. Les raisons invoquées seraient des risques sur l’environnement mais on voit bien que les éventuelles études seront recherchées pour justifier l’interdiction et non l’inverse.
La vérité est que l’on refuse le Mon 810 parce qu’on le refuse. C’est l’argumentaire d’un enfant buté. En effet il n’existe aucun fait observé, aucun résultat scientifique, aucune expérimentation permettant de mettre en évidence de tels risques. La conclusion est claire. Le gouvernement veut bien se battre pour la filière nucléaire mais il a décidé de sacrifier les agriculteurs, la filière semencière et l’innovation agronomique française.
Pourquoi un tel aveuglement, une telle abdication ? Pourquoi se priver des conditions de la compétitivité ? On ne peut y voir qu’un calcul électoraliste. C’est bien mal préparer l’avenir de notre pays. Peut-on encore espérer que les jours qui viennent conduiront à une réflexion plus responsable ?

>>> Qui sommes-nous ?
L'AFBV est une ONG créée en juin 2009, strictement indépendante, réunissant des personnes de divers horizons dont le but est d'informer sur la réalité des biotechnologies végétales de la façon la plus crédible possible en s'appuyant sur l'expertise de ses membres et sur des travaux reconnus par la communauté scientifique. Elle est présidée par Marc Fellous, Professeur de génétique humaine, ancien Président de la Commission du Génie Biomoléculaire et s'appuie sur un Comité scientifique présidé par Georges Pelletier, Directeur de Recherche émérite INRA, membre de l'Académie des Sciences et membre de l’Académie d’Agriculture.

Elle est parrainée par des personnalités comme Axel Kahn (généticien, Président Université Paris Descartes), Jean-Marie Lehn (prix Nobel de chimie), Maurice Tubiana( Président honoraire Académie de Médecine, Académie des Sciences), François Gros (Secrétaire perpétuel honoraire Académie des Sciences, ancien Directeur Institut Pasteur), Claude Allègre (ancien Directeur Institut physique du globe, ancien Ministre Education et Recherche, Académie des Sciences), Dominique Lecourt (professeur philosophie des Sciences Université D.Diderot), Pierre Joliot ( biologiste, professeur honoraire Collège de France, Académie des Sciences et National Academy of Sciences américaine), Étienne Émile Baulieu (professeur honoraire au Collège de France, ancien Président de l’Académie des Sciences)

Parmi ses adhérents, l'AFBV compte 44 chercheurs de la Recherche publique dont 21 Directeurs de Recherche (INRA, CNRS, CIRAD, IRD, INSERM), 20 Académiciens (Sciences, Médecine, Agriculture, Technologies, Pharmacie, Vétérinaire), d'anciens Directeurs d'Instituts (Institut Pasteur, INRA, CIRAD), mais aussi des professeurs, des chercheurs et cadres de la Recherche privée et du secteur public, de nombreux agronomes, de nombreux agriculteurs souvent responsables d’organisations professionnelles agricoles et diverses personnes issues de la société civile.
Voir : http://www.biotechnologies-vegetales.com
Contact : Gil Kressmann
Mél : gil.kressmann(a)wanadoo.fr

Les stages
WatchGuard
d'ACTA Informatique

Contact : Jean-Paul Archier
Mél : jpa(a)acta-informatique.fr


Un homme regarde la télévision et contrôle le ticket de loto qu'il a validé le matin même

Ses six numéros sortent ! Waouh ! Il est fou de joie, il court sur son balcon et crie à sa femme qui vient de sortir et se trouve déjà de l'autre côté de la route :

 -"Chérie, chériiiiiiiie, grouille-toi, viens vite, vite ! Nous avons gagné la super cagnotte du loto".

 La femme saute de joie et traverse la route. C'est alors qu'un bus arrive et l'écrase.

L'homme jubile et saute de joie :

 - "Oh Putain !!! Quand une journée est bonne, elle est vraiment bonne !"

Immorale, cette histoire ? Mais rien de vous empêche de remplacer homme par femme et vice-versa !

Belle journée. Amicalement.

Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)jouy.inra.fr


Entre agricolisation et pastoralisation. Histoire sociale du développement agricole et de ses acteurs dans le département du Doubs, 19 ème siècle-première moitié du 20 ème siècle
10 décembre 2011 – LYON
Soutenance de thèse de doctorat d’histoire de M. Mathieu KALYNTSCHUK
>>> Jury
*Claude-Isabelle Brelot*, Professeur d’histoire émérite, Université Lumière Lyon 2, examinateur
*Jean-Luc Mayaud, Professeur d’histoire, Université Lumière-Lyon 2, directeur de la thèse
*Jean-Marc Olivier, Professeur d’histoire, Université Toulouse 2-Le Mirail, rapporteur
* Catherine Vuillermot, Maître de conférences-HDR en histoire, Université de Besançon, examinateur
* Serge Wolikow, Professeur d’histoire, Université de Bourgogne-Dijon, rapporteur

>>> Résumé
Nulle part n'existe un aussi grand nombre d'agronomes qui consacrent leurs talens et leurs veilles à découvrir et à répandre les vérités utiles, ni un aussi grand nombre d'excellens ouvrages sur l'agriculture, et nulle part il n'y a un aussi grand nombre de fermiers ignorans et incapables de comprendre ce qu'il leur importeroit le plus d'apprécier ». Tel est le panorama de l’agriculture française dressé en 1821 par Désiré Ordinaire, membre de la Société d’agriculture du Doubs.
Cette image d’une France agricole peu capable d’innovation – à l’exception des grands propriétaires agronomes – est longtemps restée ancrée dans la pensée des chercheurs, qui trop souvent ont considéré que l’agriculture a commencé à se développer avec le productivisme des années 1960.
Selon nous, le « développement agricole » est pourtant un processus plus ancien, qui trouve ses fondements dans des initiatives individuelles ou collectives parfois précoces. Après avoir précisé le concept de « développement agricole », nous nous sommes donc appliqués à démontrer qu’au 19^e siècle déjà, l’agriculture française est dynamique.
L’exemple du département du Doubs permet alors d’étudier les modalités du passage à la spécialisation pastorale. L’analyse des acteurs du développement agricole au cours des 19 ème et 20 ème siècles, adossée aux méthodes prosopographique et micro-historique, autorise à proposer des éclaircissements sur les changements du monde agricole et sur leur chronologie.
Au final, le suivi de plus de 800 individus – membres de la Société d’agriculture, des comices et des chambres consultatives, des syndicats et des mutuelles, ou encore des lauréats de certains concours – permet de préciser et de périodiser l’émergence des élites agricoles, acteurs du développement. Ces élites n’ont pas forcément fait le choix de la spécialisation pastorale, révélant ainsi un processus complexe entre agricolisation et pastoralisation.
Contact : Jean-Luc MAYAUD
Mél : Jean-Luc.Mayaud(a)ish-lyon.cnrs.fr


Trois ouvrages de
Jean-Paul Archier

Cisco ASA : Mise en oeuvre et configuration de base des boîtiers de sécurité ASA
Voir : http://www.editions-eni.fr



Les VPN. Fonctionnement, mise en oeuvre et maintenance des Réseaux Privés Virtuels
Voir : http://www.editions-eni.fr


Postfix et Amavis. Installer et administrer un serveur de messagerie sous Unix ou Linux
Voir : http://www.editions-eni.fr


Aux Portes Ouvertes du Domaine de la Vrille Têtue
10 - 11 décembre 2011 - SAINT VINCENT DE PAUL (Gironde)
Voir : http://www.vrilletetue-vinbio-paysan.fr/


Perspectives de la presse numérique
13 décembre - au CNAM - PARIS
En quelques années les modèles économiques de la presse se sont complètement transformés.
La lecture s’effectue de plus en plus fréquemment sur les téléphones mobiles, les ordinateurs, les tablettes.
Cela affecte les contenus, le consentement à payer des lecteurs et les modèles d’affaires.
De nouveaux contributeurs comme les blogueurs viennent concurrencer les journalistes traditionnels, et le concept même de journal est questionné par l’apparition de fermes de contenus.
Cette journée sera l'occasion d'un dialogue entre professionnels et chercheurs sur ces évolutions, sur les modèles économiques qui se dessinent et qui entraînent une révision des métiers, des contenus et des attentes des lecteurs
L’inscription est libre, mais obligatoire, auprès de : Patricia.Brifaut(a)polytechnique.edu
Voir : http://www.univ-paris13.fr/images/stories/Evenements/Projet_presse_v92_Invit.pdf


Colloque forêts et territoires
13 décembre - PARIS
>>> « La forêt et le bois au coeur des projets de territoire », les témoignages du terrain
>>La forêt, atout pour le territoire
- Chartes forestières de territoire en région rurale : le parc naturel du Morvan.
- Chartes forestières de territoire en région périurbaine : l'agglomération de Rouen Elbeuf Austreberthe.
- Exemple d'un plan de développement de massif.
>> Le bois, moteur de développement local
- La combinaison de deux pôles d'excellence rurale: la Communauté de Communes de la Montagne du Haut Languedoc.
- L'application d'un plan d'approvisionnement territorial: le Pays Loue Lison.
- Un pôle d'excellence rurale en devenir: le Pays d'Épinal Coeur des Vosges.
- Débat avec la salle.

>>> La forêt et le bois : quels outils pour des demandes diverses ?
>> La diversité des demandes adressées à la forêt et au bois
> Diversité des demandes dans le temps
> Diversité des demandes de nos concitoyens
> Diversité au niveau d’un département
>> La diversité des outils d’animation au service du développement territorial
> La charte forestière de territoire : Outil de développement de la multifonctionnalité des forêts.
> Le plan de développement de massif : outil de développement de la gestion forestière.
> La complémentarité des outils : les conclusions du projet FORetTER.
> Les stratégies locales de développement forestier : outil général d'animation territoriale défini par la loi de modernisation de l'Agriculture et de la Pêche du 27 juillet 2010.
Voir : http://agriculture.gouv.fr/colloque-forets-territoires

Contact : Marie-Françoise CHABOSSEAU
Mél : marie-francoise.chabosseau(a)agriculture.gouv.fr


La promotion de l’origine au Brésil
13 décembre 2011 – LYON
Soutenance devant l’Université Lyon 2, de la thèse de doctorat de géographie de Mme Delphine VITROLLES
>>> Jury*
* Patrick Caron, Directeur scientifique, géographe, CIRAD, examinateur
* Claire Cerdan, Chercheur, CIRAD, co-encadrante de la thèse
* Bernard Charlery de La Mazelière, Professeur de géographie, Université Toulouse 2-Le Mirail, rapporteur
* Claire Delfosse, Professeur de géographie, Université Lumière-Lyon 2, directeur de la thèse
* Bernard Pecqueur, Professeur d’économie, Université Joseph Fourier-Grenoble 1, rapporteur
* John Wilkinson, Chercheur CNPq 1C, Université fédérale rurale de Rio de Janeiro, examinateur

>>> Résumé
Géant lusophone d’Amérique Latine et deuxième puissance agro-exportatrice mondiale, le Brésil est un pays émergent. Depuis les années 1990, de nouveaux outils de promotion de l’origine des produits agroalimentaires se développent à l’initiative du gouvernement et de la société civile. Leur foisonnement interroge les modes d’interprétation et d’appropriation de référentiels de normes internationaux et nationaux. En Europe, le lien à l’origine et l’ancrage territorial des produits locaux se sont forgés sur un temps assez long et confirment l’hypothèse de la construction sociale de la qualité. Pays du nouveau monde, la première image associée au Brésil est celle d’un pays dont la frontière agricole ne cesse d’avancer et donc a priori sans ancrage fort des populations à un territoire. Or la structure et les modes d’occupation de l’espace sont plus complexes. Ils résultent des traditions des différentes vagues d’immigration, de leur mode d’appropriation locale et de la construction d’identités spécifiques. La construction du lien à l’origine reflète aussi l’insertion au marché international d’un pays qui, à l’heure actuelle, participe pleinement à une économie mondialisée. Aussi, la promotion de l’origine au Brésil réactualise-t-elle le regard porté sur l’agriculture brésilienne, dépassant le champ d’une agriculture d’exportation et interrogeant celui de l’économie locale et régionale. Au-delà des intérêts économiques liés à l’ouverture à l’export de marchés de niche, la revendication du local apparaît comme un indice de l’émergence d’un marché national enclin à protéger et promouvoir son patrimoine culturel et naturel ; un marché où le local fait sens pour des acteurs qui mobilisent l’origine.
Contact : Jean-Luc MAYAUD
Mél : Jean-Luc.Mayaud(a)ish-lyon.cnrs.fr


Première rencontre européenne d'agroforesterie".
16 décembre 2011 -PARIS
Des représentants de 15 pays européens seront présents.
Voir : http://www.agroforesterie.fr/JOURNEE_AGROF_UE/journee_UE.html
Contact : Yasmine EVIEUX
Mél : racines.cimes(a)gmail.com


Q.: How many acoustic guitar players does it take to screw in a light bulb?
A.: We're acoustic! Leave it to the electric guitar players!

Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

Voir : http://www.vitisphere.com/


30 000 hectares de l’Eure cultivés au centimètre carré près !
30 000 hectares sont aujourd’hui cultivés dans l’Eure à l’aide d’une technique de pointe : l’agriculture de précision.
Cette modulation intra-parcellaire répond au moins à 3 objectifs majeurs : le respect de l'environnement, des sols, de la qualité de l'eau, l’adaptation des volumes d’intrants aux besoins, l'optimisation économique à l'échelle de l'exploitation
Déjà plus de 150 agriculteurs participent à cette démarche innovante. D’autres pistes de recherches sont en cours notamment sur la protection des plantes.
Voir : http://www.defisol.fr
Contact : Benoît DREUX
Mél : b.dreux(a)defisol.fr


Tuduca, un Logiciel pour Faciliter et Sécuriser la Préparation des Bouillies
Elaboré et lancé par la société Agri-conseil après une phase de test par des agriculteurs, le logiciel Tuduca se positionne comme un nouvel outil qui vise à faciliter et à sécuriser les préparations de bouillies. Tour d'horizon d'un logiciel aux multiples fonctionnalités, qui combine vocations techniques et réglementaires :

>>> Les "plus" Tuduca !
- Préparation des bouillies (Nombre de produits illimités !, vérification réglementaire, compatibilité physico-chimique,...)
- Remplissage du pulvérisateur (doses, volumes/Ha, volumes totaux,...)
- Informations supplémentaires sur la réglementation (stades BBCH, nombre d'application, commentaires application, dérogation,...)
- Informations produits physico-chimiques (pH, dureté, sensibilité lumière, température optimale,...)
- Equivalences produits avancées : par % (identique, presque identique, assez différent)
- Correction de l'eau (pH et dureté)
- Impression des feuilles de route avec l'ordre d'incorporation des produits dans la cuve et quantités calculées pour le pulvérisateur
- Rangement du local phytosanitaire (en cours de développement)
Pour en savoir plus, téléchargez gratuitement la démo… : http://www.agri-conseil.com/ => espace Tuduca
Mail : tuduca(a)agri-conseil.com


Du côté d’UNIGRAINS
UNIGRAINS est l’établissement financier spécialiste de l’agroalimentaire et de l’agro-industrie dont l’objectif est d’accompagner les projets de façon active et durable.
UNIGRAINS s’adresse aussi bien aux PME et aux coopératives qu’aux groupes à vocation nationale ou européenne et propose une large palette de solutions de financements adaptés aux besoins et aux spécificités des entreprises.
Son expertise reconnue des filières agroalimentaires et agro-industrielles en fait un acteur incontournable du secteur.
UNIGRAINS accompagne ainsi plus de 200 entreprises comme actionnaire minoritaire.
Voir : http://www.unigrains.fr/


Prêts, Trésorerie - L'activité bancaire est bien orientée
Il n'y a pas meilleur indice pour apprécier la situation financière des agriculteurs et leur moral que l'activité de crédit des banques. Et en cette fin novembre, elle n'est pas mauvaise malgré la sécheresse du printemps dernier et ses frayeurs. « Le niveau des encours des prêts est même en légère augmentation. La collecte d'épargne est correcte...
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/
permalien/article/6045334/L-activite-bancaire-est-bien-orientee.html



La France et la Fondation Gates lancent un partenariat pour le développement agricole
Bruno LE MAIRE, Ministre français en charge de l’agriculture, et Bill GATES, Co-président de la Fondation Bill et Melinda Gates, se sont rencontrés au G20 et se sont accordés sur un plan d’action pour venir en aide aux mal-nourris de la planète.
Bruno LE MAIRE, Ministre français de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du Territoire, et Bill GATES, Co-président de la Fondation Bill et Melinda Gates, ont annoncé aujourd’hui le lancement d’un partenariat pour accroitre les investissements pour la productivité agricole dans les pays en développement. Ce partenariat est la suite concrète des engagements du G20 pour une action plus globale sur la sécurité alimentaire et une contribution à l’ensemble des initiatives liées au développement.
A l’issue d’une rencontre au sommet du G20 de Cannes, Bruno LE MAIRE et Bill GATES ont souligné l’impérieuse nécessité de placer le développement agricole au coeur de l’agenda politique global, élément clé pour relever le défi de la pauvreté et pour poser les jalons de la croissance et de la stabilité mondiales.
Bruno LE MAIRE et Bill GATES se sont entendus sur les actions suivantes :

- Soutien au Système d’information sur les marchés agricoles (AMIS), lancé à Rome le 15 septembre, pour améliorer la qualité des informations sur les marchés agricoles, y compris sur les stocks. La Fondation fournira une assistance technique et financière de 1,5 millions de dollars à cette initiative et assistera la Présidence pour garantir que les pays en développement disposent des outils nécessaires pour y participer. La France, qui a été élue à la Présidence d’AMIS pour un an, va détacher un expert permanent au secrétariat d’AMIS, hébergé par la FAO.

- L’organisation, d’ici à la fin de l’année, avec la nouvelle Présidence mexicaine du G20, d’une rencontre trilatérale, afin d’assurer que ce plan d’action continuera d’être mis en oeuvre à l’avenir et de soutenir le travail initié par la Conférence du G20 sur la recherche agricole pour le développement, qui s’est tenue à Montpellier les 12 et 13 septembre 2011, sur l’augmentation des investissements en faveur des innovations agricoles.

Les trois-quarts des habitants les plus pauvres de la planète tirent leur alimentation et leurs revenus de petites exploitations familiales et la plupart de ces petits paysans sont des femmes.
S’ils sont en mesure de produire plus tout en préservant la fertilité des sols au bénéfice des générations futures, ils pourront ainsi améliorer la qualité nutritionnelle de l’alimentation de leurs foyers et garantir leur autonomie alimentaire sur le long terme. La Fondation Bill et Melinda Gates a engagé à ce jour plus de 1,8 milliards de dollars dans le soutien à la productivité de l’agriculture familiale.
Voir : http://agriculture.gouv.fr/La-France-et-la-Fondation-Gates

Ageekculture : un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information

Voir : http://www.ageekculture.com/

Adoption du mini-paquet lait : Les producteurs : otages de la position de la France !
La LMA et la contractualisation obligatoire individuelle ont semé le chaos dans la filière laitière française. Pourtant, une petite lueur d’espoir pourrait apparaître grâce à l’accord sur le paquet lait européen, en cours de finalisation à Bruxelles. En effet, l’Europe va se doter d’une réglementation qui permettra aux producteurs de s’organiser jusqu’à un certain niveau de la production européenne (3,5%) et nationale (33%), sans incompatibilité avec le droit de la concurrence. Les organisations de producteurs reconnues pourront ainsi négocier de façon libre et volontaire les clauses du contrat avec leurs acheteurs voire, si elles le souhaitent, mettre des moyens en commun dans le cadre d’Association d’Organisations de Producteurs pour élargir leur pouvoir de négociation.
Malgré un lobbying acharné pour faire du mini paquet lait un « copier coller » des dispositions de la LMA relatives à la contractualisation obligatoire, la France n’a pu arracher à ses partenaires que la possibilité pour chaque Etat membre de rendre les contrats obligatoires, et ce pour une durée de 6 mois ! Les tensions et crispations entre producteurs et industriels laitiers (privés ou coopératives) liées à la mise en œuvre de la contractualisation obligatoire en France ont heureusement découragé le législateur européen de prendre le même chemin que la France.
D’ailleurs, en s’érigeant contre les propositions de contrats de certains industriels laitiers pour leur demander de revoir leur copie, alors même que ces propositions avaient été émises en application de la loi, le Ministre et bon nombre de responsables professionnels ont officieusement reconnu les effets pervers de la LMA. Cette invitation du Ministre à refuser de signer les propositions de contrats des industriels n’équivaut-elle pas à nous demander, à nous producteurs laitiers, de nous mettre hors la loi ? Ne pas signer, c’est refuser la contractualisation obligatoire individuelle voulue par la LMA !
Face à cette hérésie, il est tout à fait justifié, voire même salvateur, qu’une des nouvelles dispositions incluses dans le paquet lait autorise formellement le producteur à refuser la proposition de contrat de l’industriel laitier, mais aussi qu’il reprenne individuellement ou collectivement les négociations sur l’ensemble des clauses du contrat. Cette disposition est une véritable avancée pour rééquilibrer les négociations entre producteurs et acheteurs.
Le paquet lait devrait ainsi permettre aux producteurs de lait français de sortir du marasme économique et juridique dans lequel ils ont été plongés, bien malgré eux. Encore faudra-t-il que France et Europe accordent désormais leurs législations respectives. Les grands principes du droit exigent que les règles européennes priment sur le droit national : une modification de la LMA sera nécessaire pour être compatible avec le droit communautaire. Mais le paquet lait ne pourra s’appliquer que fin 2012 : que faisons-nous, nous, producteurs, pendant cette période ? Nous attendons des réponses de façon urgente. La situation ne relève pas de notre responsabilité, mais nous en subissons une fois de plus les conséquences, alors qu’on nous avait répété que l’objectif consistait à nous conférer plus de pouvoir en rééquilibrant le rapport de force !
Bien sûr, nous pourrons toujours saisir le « Médiateur des contrats », nouvel intervenant instauré par la LMA, ou encore nous « amuser » à entamer des démarches qui n’auront pour tout mérite que d’entretenir clivages, tensions et discussions entre opérateurs de la filière française.
Pendant le temps que nous perdons à nous sortir du marasme « LMA », nos concurrents européens sont en train d’essayer de faire passer une « disposition» profondément inacceptable. En effet, certains Etats, notamment du Nord de l’Europe, tentent de conditionner leur accord sur la contractualisation à une augmentation de leur quota laitier par le biais d’un artifice technique, le coefficient matière grasse. Si une telle décision politique devait être adoptée, ceci aurait pour conséquence d’augmenter de manière significative le quota national de ces pays afin de couvrir leur dépassement de cette fin de campagne !
Or, en sus de la contractualisation obligatoire, la France laitière maintient une politique extrêmement rigide de gestion des volumes basée sur le prélèvement d’une Taxe Fiscale Affectée assise sur le dépassement individuel des producteurs, alors même que la France ne réalise pas son quota national. Avec une telle politique, la France s’assure une nouvelle fois, pour la campagne en cours, de rester structurellement en sous-réalisation de son quota national. Une situation sur laquelle nos transformateurs semblent se complaire si l’on en croit les allocations provisoires proposées dans l’instant ! [1]
Comment la filière laitière française a-t-elle pu en arriver à ce stade et surtout s’en satisfaire alors même que la Commission, dans de récents courriers adressés aux autorités françaises, déclare formellement que la gestion française des quotas n’est pas conforme avec la réglementation européenne ?
Là aussi, bien malgré nous une fois de plus, la France administrative et la France laitière, en nous contraignant nous producteurs à rester hors de la loi européenne, vont nous obliger à jeter du lait, anticiper la réforme de certains de nos animaux, à payer une taxe illégale… alors que nos collègues européens vont pouvoir bénéficier d’un supplément de quota, et tout ceci sous le regard complice de tous : un comble !
Vous pourrez comprendre nos doutes.
[1] Depuis 1996, la France n'aura réalisé sa référence laitière qu'une seule fois, c'était en 2003 !
Voir : http://nonauxpenalites.com
Contact : Anne Sophie HERRY
Mél : AnneSophie.Herry(a)fdsea29.fr


Le journal du web agricole
Voir : http://journalduwebagricole.blogspirit.com/


OGM: BASF développe un colza enrichi en oméga-3
Le groupe de chimie allemand BASF a annoncé qu'il développait un colza transgénique enrichi en oméga-3, destiné à la préparation culinaire et aux compléments alimentaires, deux jours après sa demande d'autorisation de commercialiser une pomme de terre OGM.

Le groupe allemand a conclu un partenariat pour développer en commun avec le groupe agro-alimentaire américain Cargill ce colza, qui permettrait de produire à moindre prix une huile "riche en acides gras polyinsaturés oméga-3", a-t-il annoncé dans un communiqué.

Cette huile, pourrait être mise à la disposition de l'industrie agro-alimentaire et pharmaceutique "d'ici à la fin de la décennie", a-t-il ajouté.
Voir : http://www.rtbf.be/
info/societe/detail_ogm-basf-developpe-un-colza-enrichi-en-omega-3?id=7017853



Poeleabois.com réchauffe son capital en levant 110 000 euros
Edité par CanoP, Poeleabois.com et Bois-de-chauffage.net souhaitent s'installer sur le marché du bois en ligne.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/canop-leve-110-000-euros-1011.shtml


Des vignes à l’hôtel 4 étoiles
La diversification peut permettre de générer d’autres bénéfices car elle génère des ventes à emporter…
Voir : http://www.maison-olivierleflaive.fr


Un producteur-négociant en vins coté en bourse
Voir : http://www.advini.com


Si nous n’avions pas opté pour cette diversification, nous ne serions plus agriculteurs aujourd’hui (revue du Fafsea)
Voir : http://www.prunay.fr
Voir : http://www.ecole-prunay.fr

AgriXchange

Vous êtes intéressé par les échanges de données informatisées en Agriculture, enregistrez-vous sur le site :
http://www.agriXchange.eu

Soil Action Newsletter - European Soil Portal
See: http://eusoils.jrc.ec.europa.eu


Roundup Ready Alfalfa Is Back - Farm Industry News - 03-Nov-2011 - By Lora Berg
(…) When growers purchase Roundup Ready seed, they need to agree to read and follow a Technology Use Guide, which outlines the requirements for using the seed. Seed suppliers are required by the USDA to identify and list all Roundup Ready alfalfa field locations, which means all growers must provide their seed supplier with the GPS coordinates of all of their Roundup Ready alfalfa fields.
Growers must follow USDA guidelines when selling hay and may only export Roundup Ready hay to countries where regulatory approval has been granted. (…)
See: http://farmindustrynews.com/seed/roundup-ready-alfalfa-back
See: http://www.alfalfa.org/


Prix du Livre 2011 de l’Académie de la Viande à M. Dominique Lestel pour Apologie du Carnivore (Fayard éd.)
Le Prix du Livre 2011 de l’Académie de la Viande a été décerné à M. Dominique Lestel, pour son ouvrage « Apologie du carnivore », publié chez Fayard. Les membres du jury ont souligné les qualités de la critique de fond posée par l’auteur concernant les positions végétarienne et anti-spéciste.
Les critiques qu’il formule ensuite sur certains aspects de l’élevage moderne n’emportent pas toute l’adhésion des membres de l’Académie, mais a le mérite de contribuer au débat avec des arguments qui méritent d’être examinés.

>>> Académie de la viande : fondée en 1983, elle regroupe 50 personnalités de la filière viande, de la recherche, de l’enseignement, ainsi que des journalistes et des auteurs. Elle favorise une meilleure connaissance des produits carnés, dans leurs aspects qualitatifs, nutritionnels, gastronomiques et culturels. Elle est actuellement présidée par François Landrieu, journaliste.
Voir : http://academiedelaviande.net
Mél : academiedelaviande(a)free.fr


La génomique bovine : contribution à l'avenir de l'élevage bovin
Ce colloque organisé par l'Inra, avec la collaboration des organisations professionnelles françaises concernées, s'est déroulé durant le sommet de l'élevage le 6 octobre 2011 à Clermont-Ferrand.
Voir : http://www.inra.fr/content/view/full/68697279


Résidus de pesticides dans l’alimentation dans l’UE en 2009 (Rapport de l’EFSA)
Dans un communiqué de presse (en français, in English), l’EFSA (agence européenne de sécurité des aliments) annonce la publication de son rapport annuel 2009 (in English) sur les résidus de pesticides. 97,4% des échantillons analysés sont conformes aux LMR (limites maximales de résidus), soit 1% de plus que l’année précédente. L’agence souligne que la conformité des échantillons analysés s’accroît continûment depuis plusieurs années.…
Voir : http://www.forumphyto.fr/2011/11/09/residus-de-pesticides-dans-l%e2%80%99
alimentation-dans-l%e2%80%99ue-en-2009-rapport-de-l%e2%80%99efsa/

Contact : JF PROUST
Mél : jf.proust(a)forumphyto.fr


250ème anniversaire de l'Académie : La solidarité, visions et réalités
Voir : http://www.academie-agriculture.fr

 


La gazette Agrisalon du Crédit Mutuel
Voir : http://www.agrisalon.com


Agricultural Information Management Standards (AIMS) newsletter
See: http://aims.fao.org/newsletter


Les TIC au service de la lutte contre les changements climatiques. La technologie offre des moyens concrets de réduire les émissions de gaz carbonique
Genève, le 29 novembre 2011 – L'UIT, aux côtés d'un groupe de partenaires du secteur privé, s'efforcera de convaincre les délégués à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP-17), qui s'ouvre à Durban cette semaine, de tirer parti des atouts des technologies de l'information et de la communication (TIC) pour encourager l'atténuation des effets de ces changements et l'adaptation à ces effets.

Les technologies évoluées d'aujourd'hui permettent de transformer les processus sociaux, industriels et économiques et de mettre en œuvre les changements nécessaires pour parvenir à la durabilité. Toutefois, si les milieux technologiques et les ministères des TIC s'accordent à reconnaître que les TIC peuvent véritablement changer le cours des choses, tel n'est pas le cas, loin de là, des groupes de pression écologistes et des décideurs.

Cette conférence est pour l'UIT et ses partenaires l'occasion de faire savoir que les TIC sont, au XXIe siècle, des éléments-clés de la résolution de ces problèmes.
L'UIT est convaincue qu'elles doivent impérativement faire partie intégrante de toute politique globale de lutte contre les changements climatiques.

A cette fin, l'UIT et la Global e-Sustainability Initiative (GeSI) ont formé la Global Coalition on ICT and Climate Change (Coalition mondiale sur les TIC et les changements climatiques), afin d'envoyer un message unifié à la Conférence. Les organisations membres de cette coalition sont, entre autres, le Secrétariat de la CCNUCC, le Pacte mondial (Nations Unies) et TechAmerica; elle inclut aussi des représentants de haut rang des Gouvernements du Ghana, de la République sudafricaine et de l'Egypte.

Le message de la coalition est simple: les TIC, par exemple les réseaux électriques intelligents, les systèmes de transport intelligents et l"Internet des objets", qui offrent des opportunités fantastiques de réduire les émissions de gaz à effet de serre produites par des secteurs énergivores, doivent absolument faire partie intégrante de toute politique solide de lutte contre les changements climatiques à l'échelle mondiale, régionale et nationale. La preuve en est que la coalition explique aussi comment le secteur des TIC utilise la technologie pour réduire sa propre empreinte carbone.

Ainsi que l'a dit le Dr Hamadoun Touré, Secrétaire général de l'UIT: "Il est impératif que notre monde, interconnecté au plus haut point, devienne aussi plus respectueux de l'environnement et plus durable. Les technologies "intelligentes" aideront à réduire la fracture numérique et à améliorer la vie quotidienne de millions - voire de milliards - de personnes. Il suffit de penser aux avantages des systèmes de transport intelligents, ou de la numérisation de produits, de processus et de services. Il nous faut aujourd'hui agir pour exploiter au maximum les puissants outils dont nous disposons déjà".

>>> Le programme de la Conférence COP-17
Au cours des dix jours que durera cette conférence, la Coalition prendra plusieurs initiatives pour faire passer son message. A l'initiative de l'UIT, un "pavillon des TIC", sera consacré à des présentations sur les TIC et l'environnement, et l'UIT publiera deux nouveaux rapports expliquant comment les TIC ont aidé le Ghana à atténuer les effets des changements climatiques et à s'y adapter.

La CCNUCC organisera le 1er décembre une Journée des TIC et mettra en place un "Centre de participation virtuelle" avec des conférences vidéo, des présentations, des expositions et la participation interactive du secteur privé. En outre, deux manifestations organisées en parallèle seront exclusivement consacrées au rôle des TIC dans la durabilité de l'environnement: "Les TIC et l'adaptation", organisée par la CCNUCC, et "Les TIC et l'atténuation", coorganisée par TechAmerica et la GeSI, avec des contributions de l'UIT et de la CCNUCC.

Pour compléter cette série de manifestations liées à la défense de l'environnement, le 5 décembre, la GeSI lancera le prix "Transformative Step of the Day", destiné à récompenser les solutions TIC innovantes présentées au cours des négociations dans le cadre de la conférence COP-17.
Voir : http://www.itu.int/themes/climate/events/cop17/index.html


Q.: How many Harvard men does it take to change a light bulb?
A.: Only one. He holds the bulb and the world revolves around him.

Adhérez à l'AFIA
Chèque de 30 Euros à nous envoyer.
Un reçu vous sera adressé
.

L'AFIA est membre fondateur de l'European Federation for Information Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net


Du côté du catalogue des formations 2012 de l'Institut du Développement Forestier
Parmi la vingtaine de stages proposée cette année, quelques nouveautés :
• La fiscalité en forêt : mode d’emploi
• Chemins et voisinage : mode d’emploi
• Espace forestier et régime juridique : mode d’emploi
• Quelles méthodes alternatives pour maîtriser la végétation concurrente ?
• Plants forestiers : des méthodes pour bien choisir
Tous les renseignements sur les stages sont disponibles sur notre site Internet www.foretpriveefrancaise.com en rubrique Services et formation.
Contact : Florent GALLOIS
Mél : idf-formation(a)cnpf.fr


Du côté du blog de Christian GENTILLEAU
>>> Des codes QR dans les champs en Ontario.
En Ontario (Canada) les résultats d'essais de certains semenciers sont en accès immédiat sur l'ordiphone (smartphone) à partir de la lecture du code QR (quick réponse ou code barre 2 dimensions) présent sur la pancarte.
Il est possible ainsi d'accéder à toutes les informations concernant la parcelle (variété, dates de semis, traitements,... avec également des [...]
Voir : http://www.blog-agri.com/
ticagri/index.php/2011/11/17/des-codes-qr-dans-les-champs-en-ontario/

Contact : Christian GENTILLEAU
Mél : contact(a)tic-agri.com


Du côté de FranceAgriMer : Etablissement national des produits de l'agriculture et de la mer. 100 Go d'informations gratuites au service des filières de l'élevage, des produits de la mer et de l'aquaculture, des plantes aromatiques, des vins, des fruits, des légumes, de l'horticulture et des grandes cultures
Voir : http://www.office-elevage.fr/actu/actu-FAM-143.htm

> FranceAgriMer / Notes aux opérateurs
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/06reglements/index651.htm
* Note 11/2011 : Objet : Notice d’information concernant l’ouverture et les modalités de gestion de la procédure d’adjudication permanente pour le sucre NC 1701 à un taux réduit de droits de douane
* Note 10/2011 : Objet : Prise en compte des jours fériés 2012 pour le dépôt des demandes et la délivrance des certificats
* Note 09/2011 : Modèle de preuve d’arrivée à destination en Algerie

> Elevage / Cotations (viandes et lait), prix à la production
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm

> Hebdo conjoncture élevage
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index427.htm#hebdo_elev

> Produits laitiers / Informations/Marchés & Filières/Statistiques
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/lait/pcot-lait/indexcot-lait.htm

> Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises", secteur bio et non bio
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-ens/statistique2.htm

> Statistiques : Retrouvez les chiffres du commerce extérieur lait et produits laitiers
Voir : http://www.office-elevage.fr/statistiques/statistique1.htm

> Filière Grandes Cultures / Cotations : Quotidiennement les cotations FAW et FCW, hebdomadaire, tous les mardis les cotations à terme FAW et FCW pour le blé, les FMB orges de brasserie, ainsi que les cotations rendu port pour les principales céréales françaises (blé, orge, maïs, blé dur...)
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index421.htm#Cot_FCW_FAW
> Tous les jeudis soir retrouvez les dernières nouvelles du Comité de gestion des céréales à Bruxelles dans « le Céré-hebdo »
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index81.htm

> Filière Grandes Cultures / Statistiques
* Statistiques de collecte et de stocks, du commerce extérieur et des Fabricants d’Aliments du Bétail
Voir : http://www.franceagrimer.fr/
Projet-02/04infos_eco/042infos_eco_filie/index421_cere.htm

* Statistiques de la meunerie et bilans mensuels des utilisations de céréales
Voir : http://www.franceagrimer.fr/
Projet-02/04infos_eco/042infos_eco_filie/index421_cere2.htm


> Filière Grandes Cultures / Publications :
* Flash Info Bio : Céréales biologiques - Situation des marchés 2011/12 - Edition : Novembre 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/
Projet-02/04infos_eco/042infos_eco_filie/index421_cerebio.htm

* Situation mensuelle des céréales BIO Lettre d’information sur les marchés - Campagne 2011/12
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index81.htm

> Filière Oléo-protéagineux / Publication : Flash Info Bio Oléagineux & Protéagineux biologiques Situation des marchés 2011/12 - Edition : Novembre 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index82.htm

> Filière Pêche et Aquaculture : Tableau hebdomadaire des chiffres clés, les notes des ventes en halle à la marée
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index429.htm

> Filière Vin / Cotations :
* Constatation nationale des prix moyens d’achat de vin en vrac
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426.htm
* Le communiqué de prix et l'historique de la campagne S17 du 01/12/2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426b.htm
> Filière Vin / Publication : N°32 de ViticultureS en date du 1er décembre 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index86.htm

 
La gazette Pleinchamp du Crédit Agricole
Voir : http://www.pleinchamp.com


Du côté de l’Institut de l’Elevage
>>> Toutes filières
> Offre de stage de 3 à 4 mois : Poids économiques des caractères : Comparaison de logiciels de simulation en ruminants

> Offre de stage de 6 mois : Quels bâtiments d’élevage pour demain ?

> Offre de stage de 6 mois : Luzerne : Etat des lieux de la valorisation "animale" de la luzerne et proposition de systèmes pour l’améliorer

> Au Fil des Réseaux Sud-ouest n° 6 - Bulletin d’information sur les publications des Réseaux d’élevage dans le Sud-Ouest

>>> Bovins lait
> Offre de stage de 6 mois : Implications organisationnelles et stratégies d’acteurs dans le contexte de la sélection génomique en bovins : le cas des races locales

>
Poste de CDD d’Ingénieur agri ou agro de formation zootechnique

> Calendrier des index en 2012 - Note IBL n° 2011-08

> ETRIA, la web-application de gestion des déclarations administratives de taureaux d’insémination artificielle
Voir : http://www.etria.idele.fr

>>> Bovins viande
> Offre de stage de 6 mois : Implications organisationnelles et stratégies d’acteurs dans le contexte de la sélection génomique en bovins : le cas des races locales

> Offre de stage de 6 mois : Prise en compte de la carrière reproductive de la vache dans les objectifs de sélection des races allaitantes

> Offre de stage de 6 mois : Valeur économique des caractères de composition fine des viandes en vue de leur prise en compte dans les indices génétiques

> Poste de CDD d’Ingénieur agri ou agro de formation zootechnique

> Offre de stage de 6 mois : Menconai : Recherche de mensurations informatives sur les conditions de naissance des veaux. Poursuite des analyses

> Les systèmes bovins viande en Normandie - Conjoncture 2010 - Actualisation économique de 9 cas types

>>> Veau de boucherie
> Offre de stage de 6 mois : Menconai : Recherche de mensurations informatives sur les conditions de naissance des veaux. Poursuite des analyses

>>> Ovins lait
> Offre de stage de 6 mois : Variabilité et profils d’évolution de l’état corporel des brebis en système pastoral

>>> Ovins viande
> Offre de stage de 6 mois : Variabilité et profils d’évolution de l’état corporel des brebis en système pastoral

> Brèves de Bergerie - n° 36 - N° spécial : Résultats techniques et économiques 2010


Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne
- Recevoir une critique : pas facile mais utile : si faire une critique est un art, en recevoir une avec panache est un sacré challenge !
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/dc/marguerite/index.php?post/2011/11/24/
RECEVOIR-UNE-CRITIQUE-%3A-pas-facile-mais-utile


- Revenus agricoles 2010 en Champagne Ardenne : globalement une bonne année, malgré des volumes en régression grâce à la hausse des prix des produits et à une baisse de certaines charges
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/
espace-grand-public/agriculture-departementale/revenus-2010.html


Contact : Christian RENAUDIN
Mél : crenaudin(a)haute-marne.chambagri.fr



Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea)
>>> Actions et revendications
> Inédit: la filière betteravière lance une campagne de communication
Pour la première fois de son histoire, la filière betteravière lance une campagne de communication grand public sur les écrans de télévision et sur la toile. (07/12/2011)

> Semences de ferme: pourquoi une loi?
En application du règlement communautaire, la loi relative aux certificats d’obtention végétale, adoptée le 28 novembre, autorise l’utilisation des semences de ferme, avec pour contrepartie la rémunération des obtenteurs. Par rapport au règlement européen, la Loi élargit les modes possibles de perception en introduisant la possibilité d’accords collectifs ou d’accords interprofessionnels. (06/12/2011)

> Opération paille: premier bilan
La sécheresse du printemps dernier, qui s’est installée sur la France, a engendré de graves difficultés pour les exploitations françaises. Les éleveurs particulièrement touchés ont alors vu leur stock de fourrage fondre comme neige au soleil et se sont retrouvés dans l’incapacité de nourrir leurs troupeaux. (05/12/2011)

> Production apicole: une bonne année 2011 mais de fortes disparités selon les terroirs de production
Le bilan de la production de miel pour la campagne apicole 2011 est positif mais les conditions climatiques de l’été ont limité la production dans certaines zones. L’absence de données précises ne permet pas d’estimer clairement le rebond de la production française. Les apiculteurs professionnels constatent une nouvelle fois une situation sanitaire des colonies complexe à analyser. (01/12/2011)

> La cacophonie de la TVA
La profession agricole s'insurge contre une application illogique et illisible de la TVA. (29/11/2011)

>>> Informations générale
> Grenelle de l'environnement
Le troisième rapport annuel sur le Grenelle de l'environnement vient d'être communiqué au Parlement. (07/12/2011)

> Paiement des aides PAC au 1er décembre
Vous êtes agriculteur et vous recherchez des informations sur le paiement des soutiens directs à partir du 1er décembre. (06/12/2011)

> Vers un contrôle périodique du lavage du pulvérisateur ?
Le Conseil Supérieur de la Prévention des Risques Technologiques vient d'adopter un projet d'arrêté concernant le lavage des fûts, conteneurs et citernes de matières dangereuses. (05/12/2011)

> Ce qui change avec la loi "littoral"
La loi « littoral » impose des prescriptions d’urbanisme très strictes sur l’ensemble du territoire des communes ayant une façade littorale. (02/12/2011)

> Inauguration du Centre de Synthèse et d'Analyse sur la Biodiversité
Le CESAB, nouvellement créé par la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité a été inauguré le 15 novembre 2011, sur le site du Technopôle de l’Arbois-Méditerranée. (01/12/2011)

> Conditionnalité 2012: les modifications
Le 16 novembre, le Ministère de l'Agriculture a réuni le Ministère de l'Ecologie, les organisations professionnelles agricoles et les associations environnementales, afin de présenter ses propositions de modifications de la conditionnalité pour la campagne 2012. (30/11/2011)


20 astuces pour éviter les fautes d'orthographe
"Fréquemment" avec un ou deux "m", le cent de "trois cents euros" avec ou sans "s" : déjouez les pièges de la langue française.
Voir : http://www.journaldunet.com/
management/vie-personnelle/faute-orthographe/


MétéoPro sous Windows...


...l'agrométéorologie enfin opérationnelle
Contact : Luc Fricot
mailto:fricot(a)acta-informatique.fr


38% des développeurs intéressés par Windows Phone 7
L'intérêt des développeurs pour l'OS mobile de Microsoft progresse au détriment de Blackberry. L'indicateur est tiré d'une étude signée IDC, réalisée pour le compte d'Appcelerator.
Voir : http://www.journaldunet.com/
developpeur/outils/les-os-mobiles-preferes-des-developpeurs.shtml



France Télécom et SFR vont déployer de la fibre en dehors des zones très denses
France Télécom et SFR ont signé un accord qui marque enfin une avancée importante dans le déploiement de la fibre optique en dehors des zones très denses (et donc rentables) de l'Hexagone.
Voir : http://www.channelnews.fr/lists/lt.php?id=KkxWBgYIT1MED0QFUF8BWg%3D%3D


SFR lance une carte SIM... en composants végétaux
Voir : http://www.linformaticien.com/
actualites/id/22246/sfr-lance-une-carte-sim-en-composants-vegetaux.aspx



L’Arcep se félicite de l’accord Orange-SFR sur la fibre
Voir : http://www.linformaticien.com/
actualites/id/22213/l-arcep-se-felicite-de-l-accord-orange-sfr-sur-la-fibre.aspx



430 millions d’abonnés 4G/LTE en 2016
L'adoption du LTE/4G passera d'abord par les entreprises avant d'atteindre le grand public. Lequel se connectera massivement à travers tablettes et smartphones.
Voir : http://www.silicon.fr/430-millions-dabonnes-4glte-en-2016-65684.html


Trimestriels HP : retour à la sérénité… l’effet Meg Whitman ?
Malgré des résultats en demi-teinte, les marchés ont plutôt bien réagi. Est-ce l'effet Meg Whitman ? La nouvelle présidente du groupe se veut rassurante et annonce une année 2012 de « remise à zéro et reconstruction
Voir : http://www.silicon.fr/hp%c2%a0-retour-a-la-serenite-leffet-meg-whitman-65642.html


BNP-Paribas devient opérateur mobile
La BNP-Paribas lance une offre de forfaits et terminaux mobiles sur le réseau d'Orange. Objectif, démocratiser les transactions financières électroniques.
Voir : http://www.silicon.fr/bnp-paribas-devient-operateur-mobile-65781.html


Près de la moitié des DSI ignorent l’origine des terminaux utilisés dans l’entreprise
L'arrivée mal encadrée des terminaux mobiles personnels dans les usages professionnels met en péril la sécurité des SI de l'entreprise... tout en augmentant leur productivité.
Voir : http://www.silicon.fr/
pres-de-la-moitie-des-dsi-ignorent-lorigine-des-terminaux-utilises-dans-lentreprise-65748.html



Logiciels libres et
Open Source
utilisés par ACTA Informatique

- e-GroupWare : travail collaboratif
- SpamAssassin : antispam
- ClamAV et Amavis : antivirus
- SquirrelMail : webmail
- Nagios et MRTG : analyse traffic réseau


Contact : Jean-Paul ARCHIER
Mél : jpa(a)acta-nformatique.fr

Paraprosdokians
Definition: A figure of speech in which the latter part of a sentence or phrase is surprising or unexpected; frequently used in a humorous situation.

"Where there's a will, I want to be in it," is an excellent example.

1. Do not argue with an idiot. He will drag you down to his level and beat you with experience.

2. The last thing I want to do is hurt you. But it's still on my list.

3. Light travels faster than sound. This is why some people appear bright until you hear them speak.

4. If I agreed with you, we would both be wrong.

5. We never really grow up, we only learn how to act in public.

6. War does not determine who is right - only who is left.

7. Knowledge is knowing that a tomato is a fruit. Wisdom is not putting it in a fruit salad.

8. Evening news is where they begin with 'Good Evening,' and then proceed to tell you why it isn't.

9. To steal ideas from one person is plagiarism. To steal from many is research.

10. A bus station is where a bus stops. A train station is where a train stops. On my desk, I have a work station.

11. I thought I wanted a career. Turns out that I just wanted pay checks.

12. Whenever I fill out an application, in the part that says, 'In case of emergency, notify:' I put 'DOCTOR.'

13. I didn't say it was your fault, I said I was blaming you.

14. Women will never be equal to men until they can walk down the street with a bald head and a beer gut, and still think they are sexy.

15. Behind every successful man is his woman, telling him how stupid he is.

16. A clear conscience is the sign of a fuzzy memory.

17. I asked God for a bike, but I know God doesn't work that way. So I stole a bike and asked for forgiveness.

18. You do not need a parachute to skydive. You only need a parachute to skydive twice.

19. Money can't buy happiness, but it sure makes misery easier to live with.

20. There's a fine line between cuddling and holding someone down so they can't get away.

21. I used to be indecisive. Now I'm not so sure.

22. You're never too old to learn something stupid.

23. To be sure of hitting the target, shoot first and call whatever you hit the target.

24. Nostalgia isn't what it used to be.

25. Change is inevitable, except from a vending machine.

26. Going to church doesn't make you a Christian any more than standing in a garage makes you a car.

27. A diplomat is someone who tells you to go to hell in such a way that you look forward to the trip.

28. Hospitality is making your guests feel at home even when you wish they were.

29. I always take life with a grain of salt. Plus a slice of lemon, and a shot of tequila.

30. When tempted to fight fire with fire, remember that the Fire Department usually uses water.

Have a great day!


HYPP, Hypermédia pour la protection des plantes


HYPP est un compagnon très intéressant qui m apporte un grande satisfaction et m enrichit énormément car ma formation agricole limitée ne m a pas permis durant ma jeunesse d accéder a une connaissance élargie de la biologie…
Un témoignage de M. Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr

Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5183



Déclaration C.N.I.L. numéro 667690
Vous êtes plus de 28 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage personnel et les besoins de votre entreprise.
Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue ou encore vous désabonner (loi No 78-17 du 6 janvier 1978), et bien sûr contribuer à la rédaction de cette gazette presque hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande à Guy Waksman.
ACTA Informatique est partenaire France Télécom (SDSL et OLEANE), distributeur des routeurs CISCO et des firewall WATCHGUARD et CISCO.
ACTA Informatique réalise des sites Internet aussi bien que des applications pour PC sous WINDOWS, et propose un grand nombre de stages de formation.