AFIA
ACTA Informatique |
Du
côté du web et de l'informatique agricole 51 - 2011
Paris, 22 décembre 2011 |
Musiques pour Noël
>>> Toccata and fugue in D minor by J. S. Bach played
on glass harp (musical glasses) by Robert Tiso
See: http://www.youtube.com/watch?v=XKRj-T4l-e8
>>> Amazing Grace chanté par 4 ténors (pour votre Noël)
Voir : http://www.clarrissegill.com/videoclips/amazing_grace.php
Bonjour Guy, Je te souhaite un très Joyeux Noël !
Voir : http://www.carte-humour.com/popup_flash.php3?
pic=noel/stripnoelch.swf&width=500&height=350&titre=Bou
Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)jouy.inra.fr
Curiosité du web : visiter Paris
Voir : http://www.paris-26-gigapixels.com/index-fr.html
Voici quelques citations relevées dans la littérature du XIX (Victor
Hugo, dans Cromwell), à partager ou faire partager…
“De tout mon destin, l’équilibre est rompu
L’Europe est d’un côté, ma femme est de l’autre” (Cromwell à Thurloe,
Acte II Scène V.)”
“La Chambre, afin d’emplir les caisses épuisées entend que chaque
Anglais,
Jeûne un jour par semaine au profit de l’Etat,
Moyen rare de faire son salut en aidant les finances.”
“Il faut que sur un roi le peuple se repose, car le peuple est pareil
au héron qui ne peut dormir que sur un pied” (L’orateur à Cromwell
Acte III, Scène XIV.)”
Contact : Louis Aimé AUMAITRE, ancien président du Conseil scientifique
de l’Acta
Mél : aaumaitre(a)wanadoo.fr
Thought for today
Every man is a damned fool for at least five minutes every day.
Wisdom consists in not exceeding the limit. -Elbert HUBBARD, author,
editor, printer (1856-1915)
Another thought for today
I am a kind of paranoiac in reverse. I suspect people of plotting
to make me happy. - J.D. SALINGER, writer (1919-2010)
And a third one
Teaching a child not to step on a caterpillar is as valuable to
the child as it is to the caterpillar - Bradley MILLER, activist (b.
1956)
De très nombreux agriculteurs ont participé à la première étude
menée conjointement par Offre&Demande Agricole et le cabinet Iddem…
Au fil des mois et des années, les résultats permettent de mieux
comprendre, de partager et d'alerter les professionnels du monde agricole
sur les évolutions qui s'opèrent dans les entreprises agricoles.
Aussi, nous poursuivons notre enquête par une nouvelle vague de questionnaire.
Que vous ayez déjà répondu ou non, vous avez ici l'occasion de donner
votre avis une nouvelle ou première fois.
Il vous suffit de cliquer sur ce lien Le moral
des agriculteurs
After watching this clip I've decided to send my cat to obedience
school!
See: http://www.youtube.com/watch?v=d1X55b6t-UM
Contact: Mick HARKIN
E-mail: harkin(a)iol.ie
Rigolo
Voir : http://www.youtube.com/watch_popup?v=yEH4Yum4nN4
ICT-AGRI
|
All who work with ICT in agriculture should register at: http://db-ictagri.eu
A recommendation by Nicolaï Fog HANSEN - EFITA President
E-mail: nfh(a)lr.dk
|
Merci pour toutes les informations que tu nous passes. Bonnes Fêtes
!
Contact : Fritz SCHUSTER
Mél : fritz.schuster(a)agrobase-logigram.com
Merci pour votre gazette, même si je ne partage pas tout, tout
m'y intéresse
Comme je n'aurai bientôt plus accès à ma boite e.mail actuelle
(retraite oblige), pourriez-vous m'inscrire à l'adresse suivante…
Grand merci par avance et très bonnes fêtes de fin d'année.
Contact : Michel BOUILHOL (Vetagro-Sup)
Mél : michel.bouilhol(a)yahoo.fr
Un blog intéressant sur Avallon (Yonne), une ville dont Yves van
Haecke, avec qui j’ai eu la chance de travailler en Pologne, a été
maire et député
Voir : http://avallon.blog.lemonde.fr/
Chronique des boniments anti-OGM ‒ La fameuse étude de l’université
de Sherbrooke
On peut lire sur mon blog la chose suivante : « La toxine (Bt-toxin)
produite par le maïs génétiquement modifié, censé s’éliminer dans
le tube digestif humain a été retrouvé dans le sang de 93 %…
Voir : http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-chronique-de-boniments
-anti-ogm-la-fameuse-etude-de-l-universite-de-sherbrooke-88591541.html
OGM, un sigle, des réalités – Un point de vue de Jean-Christophe
Pagès et Jean-Jacques Leguay
>>> Jean-Christophe Pagès et Jean-Jacques Leguay sont président
et vice-président du Comité scientifique du Haut Conseil des biotechnologies.
L'annonce par la société BASF du souhait de commercialiser une pomme
de terre résistante à une peste, le mildiou, a remis sur le devant
de la scène les articles traitant des OGM. Mais regrettons que la
nature de cette communication n'ait guère évolué et reste essentiellement
négative.
S'il était possible de prendre le temps d'exposer la diversité biologique
et technologique que recouvre le sigle OGM, tout lecteur serait en
droit d'exiger qu'il ne soit plus utilisé. Mais ce terme générique
et connu de tous offre l'avantage de ne pas obliger à entrer dans
les détails et, par association d'idées, de faire entrer en résonance
des données pourtant issues d'objets très différents. L'abondante
littérature scientifique dans le domaine, beaucoup plus nuancée lorsqu'elle
est critique, n'est pas nécessairement facile à intégrer pour le non-spécialiste
et ne trouve que peu d'échos dans la presse généraliste.
Evidemment, il n'est pas inutile de rappeler que le génie génétique
ne produit pas de panacée. Mais qui songerait à priver un diabétique
d'insuline ? De même, comment ne pas regarder avec intérêt une plante
qui permettrait de protéger une culture d'une peste ? Tout est question
de méthode, les techniques mises en oeuvre aujourd'hui ont quelques
défauts, qui ne les rendent pas dangereuses pour autant, mais qui
n'assurent pas nécessairement leur avenir. Et c'est ici que se joue
une partition délicate, il nous faut ne pas obérer les chances d'assurer
une correcte appréciation des technologies de demain. Bien que la
notion de progrès soit soumise à discussion, les nouvelles techniques
comme la mutagénèse ciblée offrent objectivement des perspectives
intéressantes. Nous devons pouvoir juger de l'utilité réelle de tel
ou tel produit, certes en prenant en compte les impératifs de sécurité,
mais également les impacts non environnementaux, qui sont des enjeux
de société.
Dès les débuts de la biologie moléculaire, la communauté scientifique
a considéré avec une certaine circonspection les potentialités offertes
par le génie génétique. De ces interrogations sont nées les grandes
lignes des cadres réglementaires qui n'ont depuis lors cessé de se
perfectionner. En Europe, toute demande est examinée par des instances
tant communautaires que nationales. En France, le Haut Conseil des
biotechnologies (HCB) associe à l'analyse des risques scientifiques
une évaluation des impacts socio-économiques et éthiques. Chaque mise
en culture ne peut être que la conséquence d'essais en milieu clos
puis ouvert. Dans la suite des études menées dans des espaces fermés
puis contrôlés, les plantes autorisées à la culture sont suivies par
des plans de surveillance dits de postcommercialisation. Et s'il n'est
pas question de faire de l'angélisme en occultant les objectifs commerciaux
des entreprises de biotechnologie, il ne faut cependant pas ignorer
que celles-ci répondent aux multiples exigences réglementaires. Dans
ces conditions, la pierre angulaire de l'évaluation des risques doit
rester la proportionnalité des mesures qui cadrent les autorisations.
Ayant écarté les dossiers qui comportaient des risques objectifs,
deux pièges doivent être évités. Une surévaluation des risques, en
se basant sur des hypothèses scientifiques avant tout théoriques,
bloquerait une production utile. La multiplication des exigences de
certitudes comme préalable à toute utilisation stériliserait les initiatives
de recherche avant même leur développement. De plus, nul ne doit ignorer
que le contrôle des produits du génie génétique a un coût. Pour le
demandeur, ce que l'on peut considérer comme normal, puisqu'il espère
tirer des bénéfices de ses investissements, mais également pour chacun
d'entre nous, puisque ce sont les Etats et la Commission européenne
qui encadrent les pratiques.
Enfin, constatons que les biotechnologies font déjà partie de notre
monde. Si rien n'impose de leur donner la prééminence, la diversité
des pratiques doit être garantie, c'est aussi selon ce principe qu'il
n'est pas question de se priver a priori des techniques du génie génétique.
Il importe donc que les moyens communautaires investis soient utilisés
autant pour évaluer que pour suivre la mise en oeuvre des biotechnologies.
Voir : http://www.lesechos.fr/opinions/
points_vue/0201800092030-ogm-un-sigle-des-realites-264786.php
Jeunes et agriculteurs, aujourd’hui
Voir : http://www.lamontagne.fr/
editions_locales/montlucon/jeunes_et_agriculteurs_aujourd_hui@CARGNjFdJSsAFBMNAxw-.html
Canis lupus
Au-delà de la qualité générale de votre gazette, je me permets
de trouver vos interventions sur le loup toujours assez faibles, pleines
de parti-pris, et jamais référencées, comme le montrent les extraits
ci-dessous :
- Ma remarque (GW) : Notre hostilité traditionnelle aux ours et aux
loups est tout de même bizarre quand les italiens vivent avec les
loups, les espagnols avec les ours, les slovènes ou les slovaques
avec ours et loups (par exemple). (n° 27 du 07/07/2011)
- Le loup au contraire est revenu naturellement ce qui prouve qu'il
est bien chez lui dans les Alpes italiennes et françaises. Il n'attaque
pas l'homme en dépit des légendes. Souvent on lui prête des dégâts
qu'il n'a pas commis. Par exemple, lorsqu'un chien errant tue un mouton,
l'assurance de l'éleveur exige que le chien et son propriétaire soient
identifiés pour accepter de rembourser. Or, il n'est pas facile à
trouver le propriétaire d'un chien errant qui, par définition, est
en ballade. Mais si c'est le loup, l'Etat est déclaré immédiatement
responsable et rembourse. Alors il est tentant de voir le loup partout...
Contact : Jean-Paul LEGROS, membre du Conseil scientifique du parc
national de la Vanoise. (n° 33 du 19/08/2010)
- Vacances (1) : Vivez l'émotion des loups (à 1 heure de la mer, à
St Martin Vésubie ? Alpes Maritimes) En bus Nice - St Martin Vésubie
à 1 €
Voir: http://www.alpha-loup.com
Ma remarque (GW): C'est là que nous voyons que le loup peut générer
plus d'activités qu'il ne fait de dégâts. (n° 29 du 22/07/2010)
Je vous engage donc à lire l'ouvrage que j'ai consacré à la problématique
du pastoralisme confronté - contre son gré - aux loups intégralement
protégés. Il ne pourra pas y avoir de règlement de ce conflit sans
la prise en charge par l'Etat de la gestion de la population de ces
prédateurs.
Contact : Marc VINCENT
Mél : vincent(a)avignon.inra.fr
Ma réponse (GW) : Merci de votre message.
Je reconnais bien volontiers mon incompétence en matière de loup et
je crois également volontiers en la pertinence de vos conclusions.
J’ai d’ailleurs donné plusieurs fois sur ce sujet la parole à M. Berthod
qui partage votre point de vue. Dernièrement j’ai donné le lien :
http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-des-nouvelles-du-loup-82835763.html
Je comprends bien votre point de vue et celui des éleveurs. Mais je
suis un peu surpris de voir des bergers espagnols supporter les ours
et des français (bergers ou non) les tuer. Je suis également surpris
de voir des bergers roumains vivre avec de très nombreux loups dans
leur environnement proche.
Comment expliquer ceci ?
A quoi répond M. VINCENT :
Pour répondre rapidement à vos interrogations… Chaque fois qu'il y
a rapport entre homme et loup, il y a conflit, quel que soit
le pays. Contrairement aux idées qui circulent dans les médias - puis
dans les têtes - ça ne passe pas aussi bien que ça chez nos voisins.
Les différences tiennent d'une part à ce que, contrairement à la France,
l'Espagne a émis des réserves en signant la convention de Berne, ce
qui l'autorise à gérer la population de loups sur son territoire.
Et en Italie, l'Etat ferme les yeux sur le braconnage qui sert là-bas
de mode de gestion.
D'autre part, dans tous ces pays, y compris la Roumanie que vous citez,
les systèmes d'élevage pastoraux diffèrent considérablement du système
pastoral "viande" à la française. Les troupeaux, en général
laitiers, sont de petites unités (200 brebis), souvent rentrées pour
la traite, et facile à protéger. En Roumanie, et dans d'autres pays
européens dit "de l'Est", le personnel berger est soumis
à des horaires infernaux pour des salaires misérables. C'est ceux-là
que l'on retrouve en Italie pour la traite et pour la protection des
troupeaux...
Lorsque le système d'élevage ressemble à ce que l'on peut trouver
en France dans le massif alpin (1000 à 2000 brebis), les problèmes
de cohabitation deviennent identiques comme c'est le cas dans le Piémont
italien.
Je pense que la solution à une véritable cohabitation homme-loup passera
inévitablement par une gestion de sa population, sinon, le braconnage
réglera peu ou prou le problème, mais avec des conséquences imprévisibles,
notamment en cas d'utilisation de poisons.
Pour terminer, je laisse la parole au spécialiste américain du loup,
David Mech : «Nous sommes dénigrés par beaucoup d’amoureux du loup
en tant qu’ennemis de cet animal parce que nous reconnaissons la nécessité
de contrôler souvent ses populations». «Jusqu’à ce qu’une méthode
de contrôle des populations de loups, qui ne soit pas mortelle, soit
découverte, il apparaît qu’un contrôle létal demeurera le moyen ultime
pour contenir les dégâts occasionnés par les loups sur le bétail et
les animaux de compagnie» in : Mech D. L. (1996). Le défi et l'opportunité
du retour de populations de loup " Canis lupus ". Faune
de Prov. (C. E. E. P.), 17: 33-43. Traduction par Patrick Bayle de
l'article The challenge and opportunity of recovering wolf populations,
Conservation biology 39 (32) 1995, pp. 1270-1278.
Je n'aborderais pas le cas de l'ours. A votre service pour d'autres
renseignements. Bien cordialement,
Contact : Marc VINCENT
Mél : marc.vincent(a)avignon.inra.fr
Le rapport sur les pesticides montre que le taux de conformité
des résidus continue de croître (Gazette n° 47 – 2011 du 24 novembre)
Le rapport EFSA 2011 (synthèse des enquêtes nationales 2009) montre
effectivement que le taux de conformité des denrées alimentaires en
Europe dépasse 97%.
Il mentionne aussi, c’est moins connu, que plus de 60% des denrées,
majoritairement issues de l’agriculture conventionnelle, ne contiennent
aucun résidu quantifiable alors que plusieurs centaines de molécules
y sont recherchées en routine.
Pour l’ensemble des denrées mises en marché, le % de celles qui sont
en infraction, c’est-à-dire excédant les LMR, ne cesse de décroitre
avec 1,2% du total contre 4,4 en 2006.
En revanche, je me suis toujours demandé pourquoi des substances comme
le cuivre, le soufre, l’azadirachtine, la roténone ou le pyrèthre
n’étaient jamais recherchées dans les enquêtes officielles.
En 2009 par exemple, 3,4% des légumes conventionnels excédaient les
LMR contre 0,5% des échantillons biologiques ce qui paraît logique.
Or ce 0,5% n’est constitué que par des substances de synthèse interdites
en AB.
Que trouverait-on si on recherchait les substances figurant au cahier
des charges AB donc logiquement les plus employées en agriculture
biologique ?
Pourquoi appliquer un passe-droit pour le cuivre, par exemple, alors
que cette substance possède une DJA et ses propres LMR ?
>>> Ci-dessous extrait d’un passage du rapport EFSA 2011
At EU level, no specific MRLs for organic products are in place; thus,
the MRLs established for conventionally produced products apply also
to this food category.
In 2009, a total of 3,090 samples of organic origin were taken by
a total of 25 countries, which corresponds to 5% of all surveillance
samples taken in the reporting countries.
For fruit and nuts grown organically, a lower rate of MRL exceedances
(0.4%) was found in comparison to conventionally grown fruit and nuts
(2.7%), for vegetables the MRL exceedances of the samples were 0.5%
and 3.4% respectively for organically and conventionally grown crops.
The following substances were found in organic samples, even if their
use was not allowed in organic production: chlormequat, fenbutatin
oxide, MCPA and MCPB, mepiquat, methabenzthiazuron and propamocarb.
Also residues of CS2 - which is an indicator for the presence of pesticides
belonging to the group of the dithiocarbamates - were found. However,
since some crops contain natural compounds which also release CS2
during the chemical analysis the results cannot prove beyond doubt
that dithiocarbamate pesticides were used.
Contact : Jean-Louis BERNARD
Mél : jlbernard.gif(a)orange.fr
Du côté de la Météo Agricole
- La météo Agricole vous offre désormais le cumul de précipitations
des 30 derniers jours, ainsi que le déficit hydrique depuis le début
de l'année, en comparaison des moyennes sur 10 ans.
- Nouveau paramètre températures comparées aux moyennes saisonnières
sur 10 ans.
- Prévisions heure par heure, à 5 jours et 10 jours, élargies à l'ensemble
des communes disponibles sur La Météo Agricole.
Voir : http://www.lameteoagricole.net
Le 6 septembre la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE)
a rendu un jugement concernant la présence de pollen de maïs génétiquement
modifié MON810 dans le miel. Cet arrêt de la CJUE, conséquence d'une
plainte d'un militant anti-OGM, présente des conséquences pratiques
multiples et graves… (Contribution de M. KUNTZ dans la gazette du
1 décembre 2011)
J’ai bien vu sur votre dernière gazette l’info partielle sur
l’histoire de fous de l’arrêt miel/OGM de la CJUE du 6 septembre
dernier.
Vos lecteurs vont peut-être finir par croire qu’il n’y a que des
gens pas normaux ni très équilibrés chez les apiculteurs.
Puis je vous inviter à faire un tour sur les sites :
http://www.apiculture.com/mortalite-et-empoisonnement-abeilles
http://www.apiculture.com/spmf
http://www.apiculture.com/spmf/2011_09_28_info%20_ogm_SPMF_bulletin2.pdf
Contact : Joël SCHIRO
Mél : jschiro(a)miel-de-france.com
Une nouvelle agriculture africaine pour mettre fin à la famine
- Kofi Annan – Le Monde – 23 novembre 2011
La communauté mondiale a démontré que si elle décide de travailler
ensemble pour résoudre un grand problème mondial, elle peut réussir.
C'est de cette manière, il y a plus de trente ans, que la variole
a pu être éradiquée. Les vaccins sauvent désormais la vie de 2,5
millions d'enfants chaque année. Pourtant, aujourd'hui, de nombreux
engagements n'ont pas été réalisés et les solutions pour mettre
fin à la faim dans le monde – le plus grand défi de notre temps
– se focalisent sur le court terme. Ce manque de volonté a contribué
à alimenter la catastrophe.
La Journée mondiale de l'alimentation est passée, mais la catastrophe
est toujours présente dans la Corne de l'Afrique, où 13 millions
de personnes ont désespérément faim, 750 000 autres sont en situation
de famine, et plus de 30 000 enfants ont déjà péri faute de nourriture.
Alors qu'en apparence la sécheresse et les conflits semblent en
être la cause, cette tragédie trouve ses origines dans plusieurs
décennies de négligence quant au développement de l'agriculture
en Afrique.
La sécheresse menace presque toutes les régions du monde, mais c'est
uniquement en Afrique qu'elle a entraîné la famine. Ici, la pauvreté
largement répandue et la négligence ont entravé la capacité des
groupes les plus vulnérables à faire face à la sécheresse. Nous
devons restaurer leur capacité de résistance. Les efforts humanitaires
sont essentiels, mais chaque fois que nous attendons une crise pour
intervenir, nous pouvons être sûrs que la prochaine crise sera pire
encore. Les interventions à court terme ne font rien pour régler
les principales causes de l'insécurité alimentaire : des systèmes
agro-alimentaires défavorables aux petits agriculteurs du monde,
le changement climatique et la volatilité des prix alimentaires.
Il ne suffit pas de nourrir les affamés lorsque la famine les frappe.
Nous devons investir dans des solutions à long terme pour corriger
les conditions qui créent la famine.
Nous savons quelles sont les solutions, parce qu'elles ont démontré
qu'elles fonctionnent quand on leur donne une chance. En Afrique
de l'Ouest, le Ghana a réduit le problème de la faim de 75 pour
cent alors que son secteur agricole a connu une croissance de cinq
pour cent par an. De même, des pays et des régions qui étaient auparavant
des importateurs nets de denrées alimentaires sont devenus des exportateurs
nets. C'est le cas du Malawi et de la province des Southern Highlands
en Tanzanie. Dans chacun de ces cas, c'est un subtil mélange de
politiques, d'outils de financement, de technologies, d'enseignement
agricole et d'innovations sur le marché qui ont contribué au changement.
De tels succès nous montrent ce qu'il est possible d'atteindre.
En parallèle, nous devons traiter les aspects les plus urgents de
ce problème à une échelle mondiale. Il s'agit notamment du prix
élevé des denrées alimentaires, de la volatilité encore plus importante
des prix, du rôle de la spéculation sur les prix des denrées alimentaires,
et des conséquences du changement climatique sur l'agriculture,
particulièrement dans les régions vulnérables telles que la Corne
de l'Afrique. Nous devons utiliser la science et les technologies,
l'éducation et les différents outils politiques pour permettre aux
agriculteurs de s'adapter à des conditions changeantes et de produire
davantage de nourriture, pas moins.
Aujourd'hui, quatre Africains sur cinq dépendent d'activités agricoles,
d'élevage ou autres pour subvenir aux besoins de leurs familles.
C'est seulement en répondant à leurs besoins, et en mobilisant ces
armées de petits paysans que nous pourrons augmenter la production
alimentaire à la vitesse et à l'échelle nécessaires.
Alors que nous observons déjà un changement, le niveau d'investissement
et le degré d'innovation – sous la forme de partenariats et de technologies
– sont encore bien inférieurs à ce qui est nécessaire pour garantir
une sécurité alimentaire dans la Corne de l'Afrique et au-delà.
La communauté mondiale ne ferme pas les yeux face à cette réalité,
et chaque nation définit ses propres priorités et ses actions en
fonction de ses valeurs. Alors que le monde conjugue ses efforts
humanitaires pour faire face à la catastrophe en Afrique orientale,
nous pourrions approcher d'une nouvelle étape dans le domaine du
développement mondial. Récemment, les dirigeants des pays développés,
émergents et en développement se sont réunis pour discuter d'une
réponse à nous plus grands défis. Ce rassemblement des pays du G20
continue à être l'une des meilleures plateformes permettant aux
Etats de remodeler leur approche de l'agriculture, de l'aide humanitaire
et du développement.
Au total, les pays du G20 regroupent les deux tiers de la population
mondiale. Ils génèrent plus de 85 pour cent du produit intérieur
mondial. Ils peuvent faire correspondre cette puissance économique
à celle d'une nouvelle vision pour le développement mondial. Une
vision qui place le développement agricole durable en tête des priorités
et qui établisse un nouveau type de relations à multiples facettes.
Le développement ne peut plus être réduit à une simple relation
entre les riches et les pauvres, les donateurs et les bénéficiaires,
les prêteurs et les débiteurs. Au contraire, chaque nation doit
assumer sa part de responsabilité et agir sur la scène mondiale
pour résoudre le problème de la faim. Nous devons travailler ensemble
pour mettre sur pied un secteur agricole africain qui soit à même
de nourrir l'Afrique et, en fin de compte, de contribuer à nourrir
le monde. Nous avons beaucoup à apprendre des expériences menées
jusqu'ici en matière de transformation agricole et d'utilisation
des nouvelles technologies. Cependant, l'ensemble des gouvernements,
y compris ceux du continent, doivent tenir leurs promesses et mettre
en place les outils de financement et les politiques nécessaires
à une croissance de l'agriculture en Afrique. Car c'est là que se
trouve le plus grand potentiel pour accroître la production alimentaire
et mettre fin, une fois pour toutes, au problème chronique de la
faim, à la pauvreté et à la famine.
Voir : http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/11/23/
une-nouvelle-agriculture-africaine-pour-mettre-fin-a-la-famine_1607736_3232.html
La crise n°18 - Bien le bonjour d'Archimède
Résumé : Tout corps social plongé dans un bain d'austérité subit,
du bas vers le haut, une poussée de fièvre sociale et politique dont
la force est proportionnelle à l'intensité des inégalités dans la
société considérée.
1. Gérer la dette souveraine: fuite en avant, fuite en arrière ou
défaut raisonné
2. Qui peut prétendre au défaut raisonné?
3. Géopolitique: la déconnexion atlantique en marche
4. Et mes sous dans tout ça: l'heure de la suspicion
5. Le coin de l'intello: un nouveau triangle d'impossibilité
Annexe: chiffres de diffusion de la crise
Voir : http://www.ieim.uqam.ca/IMG/pdf/La_crise_no-18.pdf
Un document signalé par Henri REGNAULT
Mél : henri.regnault(a)univ-pau.fr
Un nombre record d'Américains survivent grâce aux bons alimentaires
Près de 46 millions d'Américains bénéficient du programme de bons
alimentaires du ministère de l'Agriculture des États-Unis, selon un
rapport dévoilé le 1er août.
Les données du mois de mai 2011, les plus élevées de l'histoire de
ce programme, confirment une augmentation de 12,1 % du nombre de bénéficiaires
par rapport à la même date l'an dernier.
Voir : http://www.radio-canada.ca/
nouvelles/International/2011/08/05/007-aide-alimentaire-etats-unis-nombre-record.shtml
La langue française est une vraie vacherie !!!!!
Mohamed, accablé de problèmes décide de se suicider.
Il accroche une corde à une branche d'arbre, puis monte sur un tabouret.
Il passe sa tête dans le noeud coulant et s'apprête à sauter, lorsqu'un
brave curé qui passait par là lui crie :
- Arrête, arrête ! Ne fais pas ça ! Quels que soient tes soucis et
tes peines, tu trouveras force et réconfort dans les Saintes Ecritures
!
Tiens, prends ma Bible et lis là, elle te sauvera du désespoir ! !
- Laisses moi avec ta Bible, lui répond Mohamed, je n'ai trouvé aucune
aide dans notre Coran, ce n'est pas ta maudite Bible qui pourra me
sauver !
- Prends là, dis le Curé en s'éloignant, ouvre là : à n'importe quelle
page et suis les sages conseils qu'elle te donne ! ! !
Le curé s'en va et Mohamed se dit qu'au point où il en est, cela vaut
peut-être la peine d'essayer.
Il se libère de la corde et descend du tabouret.
Il prend la Bible, l'ouvre au hasard et lit :
”Repends-toi !"
Contact : Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
Les
stages
WatchGuard
d'ACTA
Informatique
|
Contact : Jean-Paul Archier
Mél : jpa(a)acta-informatique.fr
|
Stage « expérimentation : de la conception d'un protocole
d'essai à l'interprétation des résultats » organisé par ARVALIS –
Institut du végétal
24 - 26 janvier 2012 - BOIGNEVILLE (91).
Voir : http://www.formations-arvalis.fr/formation.php?id_formation=1098&id_formation_categorie=
&id_formation_theme=&id_formation_culture=&mois1=&mois2=&annee1=&annee2=&motscles
Contact : Edwige FONTAINE
Mél : e.fontaine(a)arvalisinstitutduvegetal.fr
Colloque inaugural de la Chaire Unesco "alimentations du monde"
27 janvier 2012 - MONTPELLIER
>>> Contexte et problématique
Le diagnostic de la situation alimentaire mondiale est très préoccupant
: la FAO estime que deux milliards d’individus souffrent de la faim
ou de carences alimentaires sévères et, selon les statistiques de
l’Organisation mondiale de la santé, environ un milliard de personnes
seraient atteintes d’obésité.
Cette situation est aggravée par l’augmentation des prix des denrées
alimentaires et par de nouvelles contraintes posées aux systèmes agraires
: changements climatiques, spéculations financières, concurrence avec
les biocarburants, etc.
Une « alimentation durable » serait liée à des modes de production
agroalimentaire et de commercialisation qui respecteraient l’équité
économique et sociale et préserveraient l’environnement, la santé
et la diversité culturelle. Mais sous l’influence conjuguée de l’évolution
des modes de vie, de la concentration et de la financiarisation de
l’industrie agroalimentaire et de la distribution, le modèle alimentaire
industriel de masse, qui tend à devenir dominant, répond de moins
en moins à ces critères de durabilité. Dès lors se pose la question
de savoir comment faire de l’alimentation durable un « bien commun
».
>>> Objectifs et organisation
Ce colloque a pour objectif de présenter des points de vue de scientifiques,
de représentants d’organismes publics et du secteur privé et d’acteurs
de la société civile venus de différents pays pour susciter des débats.
Il n’a donc pas un caractère académique et sera très ouvert au dialogue.
La langue de travail sera le français.
>>> Conférence d’ouverture
Jean-Christophe Victor (« Le dessous des cartes ») sous réserve
>>> Sécurité alimentaire : un objectif hors d’atteinte ?
Beaucoup reconnaissent aujourd’hui que l’objectif du Millénaire pour
le développement des Nations unies, qui visait à réduire de moitié
entre 1990 et 2015 la proportion de personnes sous-alimentées dans
le monde, est désormais hors de portée. Le milliard d’individus qui
souffre de la faim est-il donc condamné à des promesses sans lendemains
? Faudra-t-il se résoudre à l’idée que ce milliard représente une
minorité d’« invisibles », victimes de conflits et d’Etats défaillants,
et seulement pris en charge en situation d’urgence par le système
international ? Retour sur une histoire longue du traitement de la
question alimentaire pour mieux en appréhender les ressorts.
Présidente : Laurence TUBIANA (fondatrice de l’Institut du développement
durable et des relations internationales, directrice de la Chaire
développement durable de Sciences-Po)
- Olivier DE SCHUTTER (rapporteur spécial des Nations unies pour le
droit à l’alimentation)
- Pedro KITOKO (Conseil national de la sécurité alimentaire et nutritionnelle,
Brésil) sous réserve
- Maryam RAHMANIAN (Centre for Sustainable Development and Environment,
Iran, membre du groupe d’experts de haut niveau du Comité de la sécurité
alimentaire mondiale, FAO) sous réserve
>>> Comment mange le monde ?
A côté de la sous-nutrition existent des problèmes de malnutrition,
par carence (la faim « cachée ») ou par excès (l’obésité). Ces questions
de santé publique liées aux régimes alimentaires ne se posent pas
partout de la même manière (certains régimes sont considérés comme
modèles : Japon, Méditerranée) et on observe encore une grande variété
de systèmes alimentaires dans le monde. Pourtant, une tendance globale
se dessine vers une surconsommation calorique, avec une plus forte
proportion de produits animaux et transformés.
Président : Claude FISCHLER (Ecole des hautes études en sciences sociales)
- Ruth CHARRONDIERE (FAO)
- Salamatou SOW (Université Abdou Moumouni, Niamey)
- Tim LANG (City University London) sous réserve
>>> « AGROPOLY » : un système agroalimentaire mondial de
plus en plus concentré et financiarisé ?
Alors que la population mondiale et la consommation alimentaire ne
cessent d’augmenter, les secteurs de l’agrofourniture, de l’agroalimentaire
et de la distribution sont de plus en plus concentrés, globalisés
et financiarisés. Les grandes firmes multinationales deviennent, dans
de nombreux pays et sur les marchés internationaux, les pilotes des
filières du système alimentaire, du producteur au consommateur. Ces
géants imposent de nouvelles normes de qualité et de traçabilité,
uniformisent les systèmes agricoles et alimentaires, orientent les
prix, etc. Quelles sont les perspectives d’une telle trajectoire ?
Un autre modèle agroalimentaire est-il possible ?
Président : Andrea FERRANTE (Association italienne pour l'agriculture
biologique, membre de la Via Campesina et de l’International Planning
Committee for Food Sovereignty)
- Serigne DIOP (Nestlé, directeur Afrique de l’Ouest)
- Vincent JACOB (Crystal Consulting)
- Raymond JUSSAUME (Michigan State University)
>>> Synthèse et conclusions
· Hassan BENABDERRAZIK (ancien secrétaire général du ministère de
l’Agriculture du Maroc)
Contact : Damien CONARE
Mél : damien.conare(a)supagro.inra.fr
Babar fête ses 80 ans
Pour célébrer l'évènement, plusieurs expositions sont programmées,
une série télévisée en 3D et une ribambelle de produits dérivés.
Voir : http://www.journaldunet.com/video/219445/babar-fete-ses-80-ans/
La faune auxiliaire des vignobles de France. Une alternative
naturelle de lutte contre les ravageurs
Le guide, très bien documenté, apporte aux viticulteurs une
bonne connaissance des principales espèces de ravageurs et de
leurs ennemis naturels (les auxiliaires) qui cohabitent sur ses
parcelles.
Les auteurs font le point sur les connaissances actuelles des
mécanismes naturels de régulation des insectes et des acariens
nuisibles à la vigne. Ils mettent à disposition des méthodes d’identification
accessibles et fiables. Ils abordent dans la dernière partie les
techniques pour préserver et favoriser la faune auxiliaire.
Fruit de la collaboration de seize spécialistes, chercheurs, enseignants,
ingénieurs, c’est un ouvrage de référence sur l’inventaire de
la faune auxiliaire du vignoble, son identification et son utilisation
en tant qu’alternative à la lutte chimique contre les ravageurs.
A la fois catalogue (Plus de 400 photos et près de 50 planches
d’identification détaillées) et outil de travail, il est destiné
à tous les acteurs de la filière viti-vinicole, viticulteurs et
prescripteurs, mais aussi aux étudiants, chercheurs et entomologistes.
Auteurs : Institut français de la vigne et du vin sous la direction
de Gilles Sentenac
Voir : http://www.lagalerieverte.com/
magpress/site/gfa/gfa.4464.12.19/fr/kiosk/detail.html?prodref=gfa.4464.19765&noAdd=true
La MSA lance sa nouvelle campagne Santé-Sécurité au Travail
en agriculture
« Votre corps est votre premier outil de travail, préservez-le
! » : c'est avec cette accroche que la MSA lance sa nouvelle campagne
Santé-Sécurité au Travail, menée en partenariat avec le Ministère
de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche et de la Ruralité,
la FNSEA, les Jeunes Agriculteurs, Groupama, le Crédit Agricole
Assurances et le Syndicat National des Dermatologues et Vénérologues.
Après le succès remporté en 2010 avec l'action de prévention sur
le renversement du tracteur, la MSA a choisi cette année de sensibiliser
les professionnels du monde agricole sur l'hygiène de vie au travail
à travers 4 grandes thématiques : l'alimentation et le sommeil,
le dos, la peau, les pieds et les mains.
>>> Le concept
Loin des actions de prévention classiques, cette nouvelle campagne
joue la carte de l’interpellation avec des slogans qui ne devraient
pas passer inaperçus comme « Un escargot protège sa peau avec
sa coquille, mais vous n’êtes pas un escargot » ou «Une fourmi
peut porter jusqu’à 60 fois son poids, mais vous n’êtes pas une
fourmi ».
L’objectif est de comparer les capacités physiques des actifs
agricoles à celles de diverses espèces animales afin de mieux
leur faire prendre conscience de la fragilité de leur corps… et
donc de les inciter à se protéger.
Une campagne décalée qui prouve qu’il est possible de traiter
- avec des symboles forts et une touche d'humour - d’un sujet
aussi sérieux que la santé et la sécurité au travail en agriculture.
Retrouvez les visuels de cette campagne à partir du 5 décembre
2011 dans la presse agricole départementale et régionale... et
plus encore... et tout au long de l'année 2012 via les nombreuses
actions mises en oeuvre par les équipes MSA et leurs partenaires.
Voir : http://www.msa.fr
Agroforesterie
: générer un revenu complémentaire ? (aux Editions France Agricole)
Des arbres dans nos parcelles cultivées ? Pourquoi pas ! Depuis
un siècle, ils ont été systématiquement retirés des parcelles agricoles.
Pourtant, de plus en plus, on étudie leur valeur ajoutée en matière
:
- de sols et pour les différentes productions végétales,
- de biodiversité et de protection de l’environnement,
- de qualité de l’eau (bilan hydrique).
La première partie, pose les bases pour comprendre le fonctionnement
d’une parcelle agroforestière. La seconde donne les outils pratiques
pour réussir un projet en agroforesterie en détaillant:
- le choix des parcelles et des arbres,
- les techniques de plantations et de récolte,
- la répartition et le travail des surfaces,
- l’étude de faisabilité et la préparation de budget
En bonus : un DVD sur l’enjeu et les perspectives de l’agroforesterie.
>>> Les auteurs
- Christian Dupraz : directeur de recherche à l’INRA, ingénieur
en chef du Génie rural et des Eaux et forêts, président de l’association
française d’agroforesterie
- Fabien Liagre : fondateur d’Agroof développement, entreprise de
conseil sur l’arbre hors forêt, collaborateur à différents programme
de recherche avec le CIRAD et l’INRA
Voir : http://www.lagalerieverte.com/
Dernières publications du Ctifl
>> Le Point Sur
- « Le stockage de courte durée des fruits et légumes frais aux
stades de gros et de détail », novembre 2011
- « Règles de commercialisation des fruits et légumes », septembre
2011
- « Les carabes en cultures fruitières et légumières », septembre
2011
>> Le Point Sur collection Méthodes alternatives
- « Nématodes entomopathogènes contre l’otiorhynque du fraisier
», octobre 2011
>> Nos dernières publications
- « Maîtrise de la protection intégrée, tomate sous serre et abris
», septembre 2011
- « Tomate, qualité et préférences », septembre 2011
>> Publications a venir
- « Monographie Abricot », janvier 2012.
Voir : http://www.fruits-et-legumes.net/
Val'hor
Le site web de Val'hor, mis à jour en novembre 2011, a pour
objectifs de faire comprendre le fonctionnement et les missions
de Val’hor, de rendre compte de l'activité des quelque 50 000 établissements
de la filière et de les fédérer mais aussi de diffuser l'information.
Le site s'articule autour de quatre rubriques :
- Rubrique “Promotion & Evénements”, dans laquelle sont présentées
toutes les actions de communication menées par Val’hor.
- Rubrique “Qualité & Certification” dédiée à «Plante Bleue
» et à la Charte Qualité Fleurs.
- Rubrique “Recherche & Innovation” avec la possibilité de consulter
les résultats d’essais Astredhor et Plante&Cité co-financés
par Val’hor.
- Rubrique “Etudes & Statistiques” délivrant des données chiffrées
sur la filière, le marché et les consommateurs.
Voir : http://www.valhor.com
Signalé par Joséphine PIASENTIN
Mél : josephine.piasentin(a)astredhor.fr
Un carnet de voyage sur les routes du vin en France
Roger-Paul Dubrion, professeur agrégé en histoire et géographie,
s'est penché sur les nombreux aspects que revêtent le transport et
le produit délicat et taxé qu'est le vin.
Les routes parcourues par les vins reconstituent l’histoire des grandes
provinces viticoles et de leur patrimoine (le canal du Midi, le quai
des Chartrons à Bordeaux ou celui de Bercy à Paris, la vallée de la
Loire, Beaune et le négoce bourguignon, la Champagne, les monastères
et les abbayes, la batellerie …).
Destiné à tous ceux qui s’intéressent au vin et à son histoire ce
beau livre est un véritable carnet de voyage de l’époque gréco-romaine
à nos jours illustré par les créations de Gaétan Nocq à partir d’illustrations
d’époques.
Auteurs :
- Roger-Paul Dubrion est professeur agrégé en histoire et géographie,
docteur en biogéographie, passionné par le vin et son histoire.
- Gaétan Nocq est peintre, dessinateur, carnettiste, infatigable voyageur
du proche et du lointain. Il est membre du collectif "Les carnettistes
tribulants".
Voir : http://www.lagalerieverte.com/magpress/site/gfa/gfa.4464.15.29/fr/kiosk/detail.html?
prodref=gfa.4464.20773&noAdd=true&fromSearch=true
Nouveau catalogue formation 2012 ARVALIS – Institut du végétal
/ CETIOM
Voir : http://www.formations-arvalis.fr/catalogue_formations_ARVALIS.pdf
Le BCMA ouvre un espace de travail sur le strip-till
Le Strip Till> est une technique qui consiste à réduire le travail
de préparation du sol en travaillant la ligne de semis en bandes.
Un espace de travail, animé par le BCMA, permet d'échanger sur les
expériences des agriculteurs et des salariés agricoles sur cette technique.
Rejoignez cet espace, si vous n'êtes pas encore membre de www.pardessuslahaie.net,
créez votre compte!
Voir : http://www.pardessuslahaie.net/backend.php/workspace/168/
Bâtiments d'élevage - Quelle est la consommation réelle de votre
tracteur pour l'alimentation des animaux ?
La chasse au gaspillage énergétique, et donc économique, constitue
un souci croissant pour les agriculteurs, les différents plans d'aides
mis en place, comme le plan de performance énergétique ou le plan
de modernisation des bâtiments d'élevage, ainsi que la communication
qui a été faite autour d'eux, ont surtout mis l'accent sur la réduction
de la seule facture électrique...
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/5980193/
Quelle-est-la-consommation-reelle-de-votre-tracteur-pour-l-alimentation-des-animaux.html
Comités de Développement des agriculteurs du Finistère
Voir : http://www.pardessuslahaie.net/comites-developpement-des-agriculteurs-du-finistere
Vous vous intéressez aux circuits courts, au développement
de nouvelles activités sur les exploitations agricoles…
Voir : http://www.pardessuslahaie.net/frontend.php/trame/232
Un grand pas dans la lutte contre les mammites
Les infections intramammaires, communément appelées mammites, sont
la principale cause de pertes économiques en production laitière.
Divers agents pathogènes en sont responsables, mais le staphylocoque
doré est l’un des plus fréquents et le plus difficile à combattre.
Des chercheurs de l’INRA et de l’ANSES (1), en utilisant une technique
innovante, sont parvenus pour la première fois à identifier des protéines
de cette bactérie qui provoquent une réponse immunitaire lors d’une
mammite chez les ovins. Ils ont également identifié des protéines
spécifiquement produites par des souches pathogènes provoquant des
mammites sévères ou des mammites modérées. Ces travaux vont permettre
de mieux comprendre le processus d’infection par le staphylocoque
et, par la suite, de lui découvrir de nouveaux points faibles.
Voir : http://www.inra.fr/content/view/full/65182473
AgriXchange
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Le secteur de l'agroalimentaire oscille entre prudence et innovation
Le secteur mondial de l'agroalimentaire connaît une situation
paradoxale depuis quelques mois : les industriels sont globalement
plus pessimistes que ceux des autres marchés, mais ils prévoient néanmoins
des perspectives de croissance organique significatives.
C'est en se basant sur ce constat que Grant Thornton a lancé une étude
au cours de l'année 2011 sur l'industrie agroalimentaire dans le monde
intitulée « Managing through uncertainity : Food & Beverage industry
in transition», afin d'analyser les tendances émergentes du secteur.
Le pessimisme est confirmé en France. Certains indicateurs, tels que
la morosité de l'emploi ou encore la consommation en berne, entraînent
une grande prudence des patrons de l'agroalimentaire.
L'enquête révèle que sur ces dix dernières années, la France est passée
de la 1ère à la 4ème place mondiale parmi les exportateurs de nouveaux
produits agroalimentaires, derrière les Etats-Unis, les Pays-Bas et
l'Allemagne. Cette rétrogradation est due au fait qu'une multitude
de PME françaises ne dispose pas de la taille critique pour se développer
à l'international. Sur les 10 000 entreprises que compte le secteur
agroalimentaire en France, 75% d'entre elles comptent moins de 20
salariés.
L'étude de Grant Thornton démontre clairement que l'un des enjeux
de la prochaine décennie pour ce secteur sera le rapprochement d'entreprises,
à l'image de la consolidation du segment des produits laitiers ces
dernières années.
La crise a également révélé le renforcement de concurrents supplémentaires
parmi les pays émergents tels que l'Inde, le Brésil ou la Chine. Face
à cette nouvelle menace, l'intensification des efforts d'innovation
des industries agroalimentaires constitue une priorité pour les industriels.
Le rapport de Grant Thornton révèle en outre que les acteurs mondiaux
de ce secteur doivent également faire face à la hausse du prix des
matières premières (+41% en 2011 par rapport à 12% en 2010) et la
chute de leurs profits. La plupart des sociétés ont du mal à maintenir
leurs marges face aux pressions exercées par les grandes enseignes
de la distribution. En effet, la taille de l'entreprise est aujourd'hui
déterminante : les petites entreprises dépendent des chaînes de distribution
qui leur imposent leurs prix. Les grandes enseignes, quant à elles,
profitent des hausses subies sur les prix à la consommation. Les tensions
sur les marges sont un facteur clé du secteur.
« Face à ces problématiques de compétitivité et de mondialisation
accrues, le secteur agroalimentaire français possède de nombreux atouts,
tels que l'image de qualité dont il bénéficie à l'étranger et une
forte capacité à jouer sur la différenciation de ses produits. » affirme
Vincent Frambourt, directeur du secteur agroalimentaire et associé
au sein de Grant Thornton.
« La France doit aussi saisir les opportunités et s'adapter aux nouvelles
tendances des consommateurs et à l'émergence de nouvelles attitudes
alimentaires : une demande en hausse pour les produits sains et bios,
ainsi qu'un retour à la tradition de cuisine familiale, avec des produits
certes plus onéreux mais de qualité » continue l'expert. Le développement
de nouveaux produits est la priorité n°1 au niveau stratégique. Les
entreprises, en France comme à l'international, agissent sous les
contraintes et les régulations nationales et européennes qui boulversent
régulièrement le secteur (par exemple, la taxe du soda en France ou
la taxe sur les produits gras au Danemark).
L'Etat a pris des engagements supplémentaires pour stabiliser les
prix alimentaires. Le dernier G20 en novembre dernier, sous la présidence
de la France, a redonné de l'espoir aux intervenants du secteur de
l'agroalimentaire en prenant des engagements supplémentaires pour
contribuer à stabiliser les prix, et développer davantage l'information
sur le niveau de ces derniers tout comme l'état des stocks mondiaux.
Contact : Agnès DE RIBET
Mél : agnes.deribet(a)fr.gt.com
Contrairement à de nombreuses idées reçues, la loi sur les certificats
d’obtention végétale reconnait aux agriculteurs le droit de ressemer
leurs propres récoltes
Voir : http://www.fdsea59.fr/sites/paysansinfo/actions/2011/decembre/
semences_de_ferme__des_eclaircissements.aspx
Convaincre de l’utilité d’une sylviculture tropicale
Les connaissances acquises depuis plus de 100 ans dans le domaine
de la sylviculture tropicale sont très peu prises en compte par les
gestionnaires des forêts. Pourtant il est urgent de convaincre. De
nouveaux acteurs tout comme de possibles compensations du coût de
la sylviculture pourraient faire effet de levier. C’est ce qu’ont
montré les experts lors de la conférence internationale « Priorités
de recherche en sylviculture tropicale : vers de nouveaux paradigmes
? » organisée à Montpellier du 15 au 18 novembre dernier.
En forêt tropicale, l’exploitation rime-t-elle forcément avec dégradation
? La réponse est non. Les exposés de la conférence internationale
IUFRO « Priorités de recherche en sylviculture tropicale : vers de
nouveau paradigmes ? » organisée à Montpellier du 15 au 18 novembre
dernier l’ont clairement démontré. En effet, d’une part, les forêts
exploitées selon de bonnes pratiques de gestion conservent une forte
biodiversité et d’autre part, des interventions sylvicoles après exploitation
permettent d’assurer une production soutenue et durable de produits
forestiers. Mais à l’heure actuelle, les recommandations formulées
par la recherche ne sont pas appliquées par les gestionnaires. Comment
alors inciter ces derniers à mettre en œuvre une sylviculture ? C’est
là tout l’enjeu de la recherche qui a été mis en exergue lors de la
conférence.
>>> Le coût de la sylviculture de demain : une contrainte
à prendre en compte
Appliquée à grande échelle, la sylviculture comporte un coût que peu
de gestionnaires forestiers se déclarent prêts à assumer. Aujourd’hui,
les chercheurs montrent que, si la sylviculture est reconnue comme
un outil permettant de préserver les forêts tropicales tout en tirant
des bénéfices économiques, son coût reste élevé. Un financement par
des mécanismes de paiements pour services environnementaux pourrait
cependant être envisagé. Reste encore à donner vie à cette idée pour
espérer convaincre. Pour cela, les sciences forestières devront tester
à grande échelle des traitements sylvicoles post-exploitation afin
d’en évaluer les coûts et bénéfices tant d’un point de vue économique
que d’un point de vue environnemental.
>>> La sylviculture : assurer un compromis entre production
de biens et de services environnementaux
Les forêts tropicales, dont l’exploitation a débuté il y a plus de
60 ans, présentent aujourd’hui un appauvrissement flagrant de leurs
ressources. Pourtant, au-delà du bois d’œuvre, les produits forestiers
non ligneux (fruits, graines, résines, écorces, gibier) ou l’écotourisme
représentent aujourd’hui d’autres revenus offerts par les forêts tropicales.
Les populations rurales - communautés forestières ou agriculteurs
- l’ont bien compris. Constituant de nouveaux acteurs dont la sylviculture
doit tenir compte dans le domaine de la gestion forestière, ces populations
pourraient également servir de levier d’action.
L’émergence de nouveaux marchés de paiements pour services environnementaux
ouvre des opportunités de valorisation économique des services fournis
par les forêts, en particulier la biodiversité et le stockage de carbone.
La sylviculture de demain doit trouver les meilleurs compromis entre
production de biens et préservation des services. Elle s’adressera
en outre, inévitablement, à des forêts perturbées, parfois dégradées,
qu’il faudra gérer de façon rigoureuse.
Voir : http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/communiques-de-presse/2011/sylviculture
Derniers ajouts au Larousse...
Maison Blanche : Actuellement Barack noire.
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à l'AFIA
Chèque de 30 Euros à
nous envoyer.
Un reçu vous sera adressé.
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L'AFIA
est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net
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Du côté de la revue « Paysans »
> G20 : le tournant agricole par Pierre Pagesse
>>> Agriculture
> Le nouveau visage de l’agriculture dans le monde. L’agriculture
dite familiale domine encore mais les formes d’exploitations sont
de plus en plus diverses, d’où un risque de situations conflictuelles.
Une agriculture de firme, à visée purement financière, risque de se
développer au détriment de populations paysannes de plus en plus précarisées.
Bertrand Hervieu et François Purseigle. Discussion avec Jacques Picard,
Jean-Paul Jamet et Lucien Bourgeois.
> Petite histoire de l’amélioration des plantes. Cet effort d’amélioration
est aussi ancien que l’agriculture. Il a été, et restera, un des principaux
moteurs de son évolution. Mais il prend des voies diverses et complémentaires.
Il n’y a pas que les OGM. André Gallais.
>>>Agriculture et société
> Quelles agricultures et quel enseignement agricole ? La mission
de cet enseignement est d’assurer la modernisation et la diversité
de l’agriculture. Il apprend aussi la complexité du vivant et prépare
à la compréhension d’un monde dans lequel les interactions sont nombreuses
mais pas encore toutes perçues. Fernand Girard.
> Agriculteur, un métier moins dangereux qu’on le dit. Selon une
étude de la MSA, les agriculteurs sont en meilleure santé que le reste
de la population. Contrairement aux idées reçues, il y a chez eux
moins de décès pour cause de cancers. Essentiellement à cause d’une
meilleure hygiène de vie. Michel Bourdoncle.
>>> Economie
> Comment guérir de la dette ? Lectures croisées de deux ouvrages
: Ce qui ne peut plus durer des Gracques et L’échéance de François
de Closets. Un constat qui ne diffère que par la coloration du propos.
Les pays très endettés devront suivre une longue cure d’austérité
pour retrouver leur équilibre financier. Deux livres qui ouvrent un
débat d’idées sur les remèdes. Patrick Thourot
>>> Monde
> Les impacts des révolutions arabes au Maghreb. Un soutien à la
construction démocratique devra tenir compte des particularismes et
des situations concrètes qui sont très variables selon les pays concernés.
Mais nul ne peut dire avec certitude comment elles vont évoluer. Jean-François
Coustillière.
>>> Livre
> Financer nos dépenses de santé : que faire ? de Christian Prieur
par Aude Fernandez.
Voir : http://www.revue-paysans.fr
Du côté de FranceAgriMer : Etablissement national des produits
de l'agriculture et de la mer (100 Go d'informations gratuites au
service des filières de l'élevage, des produits de la mer et de l'aquaculture,
des plantes aromatiques, des vins, des fruits, des légumes, de l'horticulture
et des grandes cultures)
Voir : http://www.office-elevage.fr/actu/actu-FAM-145.htm
> FranceAgriMer / Aide à l'export / Note aux opérateurs : Modèle
de preuve d’arrivée à destination au Maroc
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/06reglements/index651.htm
> Elevage : Cotations viandes, prix à la production
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm
> Hebdo conjoncture élevage
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index427.htm#hebdo_elev
> Produits laitiers : Informations/Marchés & Filières/Statistiques
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/lait/pcot-lait/indexcot-lait.htm
* Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises",
secteur bio et non bio
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-ens/statistique2.htm
> Filière Elevage / Publication : Lapin de France / La filière
cunicole française à l’horizon 2025
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index87.htm
> Consommation / Produits carnés : Mise à jour du tableau de bord
sur les achats des ménages de produits carnés
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index427.htm
> Consommation / Filière lait : Mise à jour des données du panel
Kantar sur les achats des ménages de produits laitiers.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index428.htm
> Documents relatif au conseil spécialisé lait du 8 décembre 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/02etablissement/02Etab_conseil_spe/index231_103.htm
>Documents relatif aux comités "lait de chèvre" et "lait
de brebis" du 25 octobre 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/02etablissement/02Etab_conseil_spe/index231_203.htm
> Filière Grandes Cultures / Cotations : Quotidiennement les cotations
FAW et FCW , Hebdomadaire, tous les mardis les cotations à terme FAW
et FCW pour le blé, les FMB orges de brasserie, ainsi que les cotations
rendu port pour les principales céréales françaises (blé, orge, maïs,
blé dur...) :
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index421.htm#Cot_FCW_FAW
> Tous les jeudis soir retrouvez les dernières nouvelles du Comité
de gestion des céréales à Bruxelles dans « le Céré-hebdo »
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index81.htm
> Filière Sucre : Documents relatif au Conseil spécialisé sucre
du 08/12/2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/02etablissement/02Etab_conseil_spe/index231_109.htm
> Filière Sucre : Publications : N° 490 et 491 de la Situation
statistique mensuelle du marché du sucre, N° 16 de la Note de conjoncture
: "Le marché du sucre", Info sucre n°93
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index83.htm#infosucre
> Filière Grandes Cultures / Publications : Chiffres clés des rencontres
régionales 2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index81.htm#autres
> Filière Grandes Cultures / Conseil spécialisé du 14/12/2011 :
Présentation sur la situation des marchés
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/02etablissement/02Etab_conseil_spe/index231_101.htm
> Filière Pêche et Aquaculture : Tableau hebdomadaire des chiffres
clés, et la note hebdo ports. Avec les synthèses mensuelles pour septembre
et octobre 2011.
Et la Mise à jour des données d'achats des ménages de produits aquatiques
frais pour le mois d'octobre 2011.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index429.htm
>Filière Vin / Cotations : Constatation nationale des prix moyens
d’achat de vin en vrac
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426.htm
>Filière Vin / Cotations : Le communiqué de prix et l'historique
de la campagne
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426b.htm
> Filière Fruits et légumes / Publications : " Les filières
des fruits & légumes - Données 2010, version définitive - Edition
automne 2011"
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index84.htm
> Filière Vin / Publications : "Les ventes de vins tranquilles
en grande distribution - bilan de campagne 2010/2011"
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index86.htm
Du côté de la
Chambre d'Agriculture de Haute Marne,
- Prestations de la Chambre d'Agriculture : les tarifs applicables
en 2012.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/la-chambre-dagriculture/prestations/prestations-de-la-chambre-dagriculture.html
- Résultats des essais de cultures énergétiques
Les Chambres d'Agriculture de Champagne Ardenne ont mis en place des
essais de cultures dédiées à la production d'énergie comme le miscanthus,
le switchgrass ou le saule. Les premiers résultats en sont disponibles.
Ils indiquent des potentiels de rendement très variables selon les
conditions de culture.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/environnement-energie/energie
-et-agroressources/cultures-dediees-a-la-production-de-biomasse.html
- Aide aux protéagineux : compte tenu des surfaces engagées, l'aide
supplémentaire va être portée à 140 EUR / ha en 2011
Par ailleurs, l'aide de base qui était de 55.57 EUR / ha sera découplée
en 2012 sur la base de la référence 2005-2008.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/fileadmin/documents/pac/p1017001.htm
- Réduction des DPU : le coefficient stabilisateur destiné à permettre
le respect des enveloppes globales aboutit à une baisse de 3.4 % en
2011.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/fileadmin/documents/pac/p1002001.htm
- Report d'échéances pour les éleveurs : la demande devait initialement
en être faite avant le 31 octobre. La date limite de dépôt des dossiers
a été repoussée au 30 mars 2012.
Voir : rehttp://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/politique-agricole/risques-conjoncture/secheresse-2011.html
Contact : Christian RENAUDIN
Mél : crenaudin(a)haute-marne.chambagri.fr
Du côté de l’Institut de l’Élevage
>>> Toutes filières
> Offre de stage de 3 mois : Programmation SAS : Evaluer la
performance d’un jury sensoriel
> Liste des
Entreprises de Mise en Place (EMP) déclarées auprès de l’Institut
de l’Elevage
>>> Bovins lait
> Offre de stage de 6 mois : Développer la filière bio en
Basse Normandie. Appui à la constitution de la filière Bio Danone/Stonyfield
> Le Cahier
fermier n° 20
> Guide pratique
des maladies des bovins
> Modélisation individuelle de
la reproduction des vaches Holstein intégrant les effets de la production
laitière et des réserves corporelles - 3R 2011 - 7 et 8 décembre
2011
>>> Bovins viande
> Répertoire
des résultats de l’évaluation IBOVAL 2010 pour les races bovines à
viande - Evaluation génétique des races bovines à viande à partir
des généalogies et du contrôle des performances en ferme de la naissance
au sevrage et post-sevrage
> Guide pratique
des maladies des bovins
> TRAVIBOV
: des fiches solutions pour améliorer le travail en élevage bovin
viande
>>> Ovins lait
> Le Cahier
fermier n° 20
> Les critères
d’appréciation de bonne santé
> La pose et
la dépose des éponges en images
>>> Ovins viande
> Production
et valeurs alimentaires des prairies permanentes riches en légumineuses
en Limousin
> Production
et valeurs alimentaires des prairies permanentes pauvres en légumineuses
en Limousin
> Rationner
les agneaux en bergerie : intérêts et méthodes - Alimentation
des agneaux en bergerie
> La complémentation
des agneaux de bergerie sous la mère - Alimentation des agneaux
en bergerie
> Geovial n° 10 - 2011
>>> Caprins
> Le Cahier
fermier n° 20
Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea)
>>> Actions et revendications
> Les
agricultrices françaises se réunissent
Le 13 décembre, les professionnelles se sont réunies à Paris lors
d'une Journée dans le cadre de la Commission Nationale des Agricultrices.(20/12/2011)
> Stratégie
de création des aires protégées
Les responsables syndicaux demandent à faire partie de la Stratégie
de création des aires protégées. (19/12/2011)
> La
profession rencontre France Nature Environnement
La profession agricole rencontre France Nature Environnement sur
le sujet de l'artificialisation des sols. (16/12/2011)
> Financement
des syndicats en France
Le nom de la FNSEA est associé depuis quelques jours à des articles
de presse agressifs quant au financement des syndicats en France suite
à une mission d’enquête parlementaire. (15/12/2011)
>>> Informations générales
> Légalité
des CVO: saisine du Conseil constitutionnel
Des viticulteurs girondins ont saisi la Cour de cassation concernant
une question prioritaire de constitutionnalité.
(20/12/2011)
> Vers
une intégration des pollinisateurs dans les Bulletins de Santé du
Végétal?
Le nouvel indicateur est proposé par le CETIOM. Pour rappel, Les Bulletin
de Santé des Végétal (BSV) ont vocation à donner une information,
publique, sur la situation sanitaire des cultures dans une région.
Ils répondent à des exigences contrôlées, validées et certifiées par
l’Etat. (19/12/2011)
> Point
sur la pénibilité en agriculture
Conformément à la loi de 2010 sur réforme des retraites, les entreprises
de plus de 50 salariés exposés à des facteurs de pénibilité doivent
avoir conclu un accord ou plan d’actions de prévention de la pénibilité
au 1er janvier 2012. (16/12/2011)
> Ovins
et caprins : report des règles d’identification électronique jusqu’en
2015
L’identification électronique des ovins et caprins nés après 2010
a été rendue obligatoire au niveau européen depuis le 1er janvier
2011. Pour les animaux nés avant 2010, l’identification devait devenir
obligatoire à partir du 1er janvier 2012. (14/12/2011)
> Paquet
lait
Le Parlement européen et le Conseil viennent de trouver un accord
politique sur le paquet lait. (13/12/2011)
Derniers ajouts au Larousse...
Titeuf : Ce qui sort de la TitePoule.
MétéoPro
sous Windows...
|
...l'agrométéorologie
enfin opérationnelle
Contact : Luc Fricot
mailto:fricot(a)acta-informatique.fr
|
La Presse à l’ère numérique : comment ajouter de la valeur à l’information
?
Alors que le nombre de Français déclarant lire tous les jours
un quotidien payant diminue régulièrement : de 43 % en 1989, à 36%
en 1997, il est passé à 29% en 2008, le nombre de lecteur en ligne
ne cessent lui d’augmenter. Ainsi, chaque jour, près de 6,6 millions
d’internautes se connectent en France pour consulter les informations
sur des sites d’actualité. Le formidable essor d’Internet a en effet
créé une très grande facilité de diffusion de l’information que les
internautes ont pris l’habitude de consommer de façon gratuite.
L’étude du Centre d’analyse stratégique fait apparaître que la situation
de la presse française est préoccupante, sans être aussi problématique
qu’au
Royaume-Uni ou aux États-Unis. Le basculement des journaux vers le
numérique apparaît cependant comme une évolution irrésistible qui
ne peut être contournée ou différée.
Afin de tirer parti des innovations les plus prometteuses comme la
tablette tactile et redonner à l’information toute sa valeur, le Centre
d’analyse stratégique recommande de :
1/ Étendre l’opération « mon journal offert » aux abonnements « tout
numérique » des grands quotidiens et à ceux des pure players.
2/ Développer des modules d’ingénierie informatique, d’infographie
et de data journalisme, au sein des formations de journaliste.
3/ Créer un laboratoire français de réflexion en ligne dédié à l’avenir
de la presse.
4/ Conditionner l’attribution des financements du fonds d’aide au
développement des services de presse en ligne (SPEL) à des engagements
en matière de développement de contenu enrichi
5/ Aligner le taux de TVA de la presse payante en ligne (19,6%) sur
celui de la presse papier (2,1%).
L’innovation alliée à la qualité du contenu forme la seule véritable
stratégie payante dans les années à venir.
L'objet de cette note est de faire le point sur les conséquences et
les perspectives pour la presse des évolutions liées au numérique.
Le Centre d’analyse stratégique présentera à cette occasion cinq propositions
pour redonner à l’information toute sa valeur dans les années à venir.
Voir : http://www.strategie.gouv.fr/Les-notes-d-analyses
Pénurie de disques : 3,8 millions de PC en moins, Intel impacté
Intel vient d’annoncer la révision à la baisse de sa projection
de chiffre d’affaires pour le trimestre en cours. Le fondeur ne prévoit
plus de facturer que 13,4 à 14 milliards de dollars alors
Voir : http://www.channelnews.fr/
actu-societes/fournisseurs/11381-penurie-de-disques--38-millions-de-pc-en-moins-intel-impacte.html
La reconnaissance faciale optionnelle pour Google+
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/
actualites/lire-la-reconnaissance-faciale-optionnelle-pour-google-47013.html
Orange lance une offre Fibre Pro
Orange vient de lancer une offre « Fibre Pro » avec un débit symétrique...
Voir : http://www.channelnews.fr/
accueil/en-bref/101-actualite-des-societes/11380-orange-lance-une-offre-fibre-pro.html
L'Union Européenne suspend le rachat de Motorola par Google
Voir : http://www.linformaticien.com/
actualites/id/22703/l-union-europeenne-suspend-le-rachat-de-motorola-par-google.aspx
Plus de 200 milliards de vidéos regardées sur le web
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/
actualites/lmi/lire-plus-de-200-milliards-de-videos-regardees-sur-le-web-47053.html
Logiciels libres et
Open Source utilisés par
ACTA Informatique
|
-
e-GroupWare : travail collaboratif
- SpamAssassin : antispam
- ClamAV et Amavis : antivirus
- SquirrelMail : webmail
- Nagios et MRTG : analyse traffic réseau
Contact : Jean-Paul ARCHIER
Mél : jpa(a)acta-nformatique.fr |
A Jewish joke
The Teacher asked young Patrick Murphy: "What do you do at
Christmas time?
Patrick addressed the class: "Well Ms. Jones, me and my twelve
brothers and sisters go to midnight mass and we sing hymns; then we
come home very late and we put mince pies by the back door and hang
up our stockings. Then all excited, we go to bed and wait for Father
Christmas to come with all our toys.
"Very nice Patrick," she said. "Now Jimmy Brown, what
do you do at Christmas?"
Well, Ms. Jones, me and my sister also go to church with Mom and Dad
and we sing carols and we get home ever so late. We put cookies and
milk by the chimney and we hang up our stockings. We hardly sleep,
waiting for Santa Claus to bring our presents.
Realizing there was a Jewish boy in the class and not wanting to leave
him out of the discussion, she asked, "Now, Isaac Cohen, what
do you do at Christmas?"
Isaac said, "Well, it's the same thing every year...Dad comes
home from the office. We all pile into the Rolls Royce; then we drive
to Dad's toy factory. When we get inside, we look at all the empty
shelves and begin to sing: What A Friend We Have in Jesus.
Then we all go to the Bahamas.
HYPP,
Hypermédia pour la protection des plantes
|
HYPP
est un compagnon très intéressant qui m apporte
un grande satisfaction et m enrichit énormément
car ma formation agricole limitée ne m a pas permis durant
ma jeunesse d accéder a une connaissance élargie
de la biologie…
Un témoignage de M. Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr
Voir : http://www.acta-informatique.fr?d=5183
|
Déclaration C.N.I.L. numéro 667690
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