Les archives
de cette gazette sont disponibles sur le site de l'AFIA
Voir : http://www.informatique-agricole.org
La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique
agricole" est réalisée avec le concours de vitisphere.com
Voir : http://www.vitisphere.com/
Conseils de psy pour optimiser 2012 (Le Monde - 4 janvier 2012)…
Viser les petits engagements, par Michel Lejoyeux est professeur
de psychiatrie et d'addictologie et auteur de "Changer... en
mieux"
Dans le domaine du travail, comment s'adapter à ce que nous
imposera la crise, l'évolution technologique et bien d'autres surprises
que nous réserve 2012 ? Peut-être en évitant le syndrome dit "de
l'imposteur" et en commençant à se trouver légitime dans les
tâches que l'on accomplit et les missions que l'on assume. Pourquoi
ne pas décider, en début d'année, de "mieux" travailler,
c'est-à-dire de défendre farouchement, face aux exigences de productivité
ou d'efficience, son espace intime, sa vie personnelle, amoureuse,
familiale et artistique.
Préparons aussi les temps partagés avec nos familles, nos amours,
nos enfants avec autant de sérieux et de concentration que nous
mettons au travail. Et préférons les "petits" engagements,
les défis que l'on relève en une journée aux grandes déclarations
d'intention, rarement suivies d'effet.
Pensée sur le monde perdu du communisme (Adieu camarades)
J'ai voulu montrer d'abord la complexité de ce monde disparu,
explique le réalisateur qui milite aujourd'hui à Solidarnost, un
mouvement d'opposition à Vladimir Poutine. J'ai essayé de faire
revivre notre histoire avec son atmosphère, ses chansons, ses émotions.
Le communisme n'était pas seulement une idéologie, c'était un univers,
la matière de notre vie. Comme tout le monde, j'étais conscient
des mensonges et des dérives, mais cela ne m'empêchait pas de croire
aux idéaux inculqués dans l'enfance. - Andreï NEKRASSOV – Le Monde
Télévision – Janvier 2012– Sur ARTE les 24 et 31 janvier, 7 février
2012
Voir : http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2012/01/23/
le-monde-perdu-du-communisme_1632792_3236.html
A thought for today
To be capable of embarrassment is the beginning of moral consciousness.
Honor grows from qualms - John LEONARD, critic (1939-2008)
Another thought
Remorse is a violent dyspepsia of the mind - Ogden NASH, poet
(1902-1971)
And a third one
There are two kinds of light -- the glow that illuminates, and
the glare that obscures - James THURBER, writer and cartoonist (1894-1961)
ITK recrute 1 agronome-modélisateur et 3 développeurs Java EE
Voir : http://itkweb.com/?page_id=677
Voir : http://www.ysoria.com
Contact : Eric JALLAS
Mél : eric.jallas(a)itkweb.com
Autre avis de recherche…
UCATA, organisme de conseil et vulgarisation agricole (association
agriculteurs du Cher) Recherche 1 ingénieur conseil H/F en grandes
cultures
- Prise en charge de l’expérimentation (protocoles, réalisation des
essais, synthèse et conseil).
- Animation de groupes et développement technique, économique et règlementaire.
Contact : Marc GOURDOU
Mél : pmg18(a)wanadoo.fr
Applications agricoles pour smartphones et tablettes : appel
à contribution
Si les agriculteurs sont de plus en plus utilisateurs d'applications
en ligne, il sont également demandeurs de plus de mobilité. Pouvoir
consulter une application sur smartphone en bout de champ ou dans
l'étable sera bientôt possible. Mais il faut bien reconnaître que
ces applications sont encore peu nombreuses. Afin de faire un état
des lieux des applications existantes, vous trouverez à l'adresse
ci-dessous un tableau à remplir (Google Docs). Si vous avez vous-même
développé une application ou en utilisez une, n'hésitez pas à compléter
ce tableau. Merci pour votre contribution.
Voir : http://www.journalduwebagricole.fr
Le jury du "Press club, humour et politique" vient de
dévoiler sa première sélection des meilleures petites phrases pour
le concours 2012
Voir : http://www.linternaute.com/actualite/politique/photo/
les-plus-belles-perles-des-politiques/qui-sont-les-politiques-les-plus-droles.shtml
Dessins et histoires humoristiques
Voir : http://www.facebook.com/Fropki#!/photo.php
Un quasi hoax : L'eau dans le four micro-ondes = danger
Voir : http://www.hoaxbuster.com/hoaxliste/danger-micro-ondes
See: http://www.hoax-slayer.com/microwave-water.html
ICT-AGRI
|
All
who work with ICT in agriculture should register at: http://db-ictagri.eu
A recommendation by Nicolaï Fog HANSEN - EFITA President
E-mail: nfh(a)lr.dk
|
La terre
vue du sol (un grand morceau d’anthologie à ne pas manquer !)
Il y manque cependant le meilleur paru dans la version papier
du Monde Magazine : Ce sont les Pierre et Marie Curie du terroir.
Microbiologistes, Claude et Lydia Bourguignon alertent depuis plus
de trente ans sur l’appauvrissement des terres causé par l’agriculture
intensive. Des arguments qui touchent particulièrement les vignerons.
Voir : http://www.lemonde.fr/m/article/2012/01/27/la-terre-vue-du-sol_1634713_1575563.html
Ne pas rater : la séquence du repas de nuit des chauves-souris.
Au menu, nectar de fleur de cactus pollinisées à l’occasion.
Voir : http://www.youtube-nocookie.com/embed/xHkq1edcbk4?rel=0
Pastiche de Fernandel chantant notre Président
Voir : http://www.youtube.com/watch?v=aSoZAk8J66w
L’Acta ne souhaite pas poursuivre en 2012 son aide à la publication,
l’édition et la distribution de « Du côté du web et de l’informatique
agricole », la gazette électronique de l’Afia après l'avoir
soutenu plus de 10 ans (1)
Je lis votre gazette depuis quelques (nombreuses) années. Je serai
très attristé si elle devait s'arrêter. Est-il envisageable de lancer
un appel à contribution : Peut-être sommes-nous assez nombreux à être
prêt à donner quelques euros (5€ ? 10€ ? 30€ ?) pour contribuer à
financer cette publication ?
Contact : Joseph LANGE
Mél : earl.lange(a)wanadoo.fr
(2)
Merci beaucoup pour vos bons voeux, cher Monsieur Waksman. Je
vous présente à mon tour les miens pour une belle année 2012, heureuse,
sereine, riche en bonnes surprises malgré la morosité ambiante.
Je regrette beaucoup que l'ACTA ait décidé jeter le gant. Il me semblait
que la diffusion des connaissances et la promotion des échanges entre
les professionnels de la filière agricole faisait partie de ses missions.
J'avais du mal comprendre, car sinon on ne couperait pas les vivres
à un e-zine qui assure remarquablement ces missions à la satisfaction
de ses nombreux lecteurs, même si quelques grincheux viennent parfois
perturber cette communauté vivante et passionnée.
Je vous souhaite en tout cas de réussir dans votre entreprise.
Bien cordialement,
Contact : Jean-Paul VIGNAL
Mél : jaypeevee(a)aol.com
(3)
Bonjour Guy,
Bonne année à toi.
On aurait pu la souhaiter meilleure sans cette idée saugrenue de l’ACTA
de fermer ta fenêtre. Espérons que tu arriveras à faire survivre la
Gazette car, comme à beaucoup, elle me manquerait. Le retraité que
je suis a encore besoin des œuvres du retraité que tu es devenu depuis.
Fidèles amitiés.
Contact : Bernard FONSECA
Mél : bernard.fonseca(a)free.fr
(4)
Merci de persévérer. Par les temps qui courent, il est de plus
en plus difficile de faire entendre sa voix quand elle risque de faire
réfléchir.
Très cordialement,
Contact : J. PERRIER
Mél : perrier(a)agroalimentaire.net
(5)
Je la "feuillette" (dirai-je si elle était en pages
physiques) plus que je ne la lis, mais je butine quelques articles
et y prend beaucoup de plaisir. Je suis heureux que Michel REMONDAT
(et Vitisphère) permette la continuité de la diffusion. Bonne année
à vous deux et à vos parutions.
Très cordialement.
Contact : Jean BARCIET
Mél : jean.barciet(a)orange.fr
(6)
Vœux, gazette, communauté addicte...
Mon cher Guy, tout d'abord mes meilleurs vœux à vous et les vôtres
en ce début d'année tout à la fois morose quant au contexte économico-politique
et surprenant quant au climat.
Mais, votre dernière livraison nous montre que vous êtes confronté
à un souci majeur concernant la permanence d'édition de "La Gazette"
; votre gazette, notre gazette !...
Je souhaite donc, pour vous d'abord, mais aussi -égoïstement- pour
nous, que vous trouviez la solution financière qui pérennise cette
publication électronique entrée dans notre environnement hebdomadaire,
notre consommation d'information professionnelle, notre curiosité
à l'égard de points de vue parfois opposés et échangés sous votre
contrôle sans dérapage aucun...
Mon ressenti est celui d'un membre d'une sorte de communauté très
ouverte, où actifs et retraités restent en contact. Mes activités
de retraité (depuis onze ans maintenant) me conduisent à la ligne
d'affrontement des écolos peu écologues, des citadins aux idées préconçues,
mais aussi d'authentiques naturalistes, d'agriculteurs soit très "productivistes",
soit se voulant "paysans" ou liés aux AMAP, d'élus territoriaux
tiraillés entre ces différents types d'administrés et d'électeurs
: la gazette, Guy, m'est utile, j'y lis les points de vue, j'y trouve
les liens internet dont j'ai besoin. Et, de temps à autre, de plus
en plus rarement, j'y mets mon "grain de sel"...
Évidemment, je regrette (cela n'engage que moi) que l'ACTA, interface,
intersection même, catalyseur des Instituts techniques se désengage,
me doutant qu'il y a certainement de bonnes raisons gestionnaires
à cela...
Si possible longue vie encore à cet espace que vous avez créé et que
vous animez. Et encore une fois : bonne année 2012 !
Contact : Bruno DE LA ROCQUE
Mél : croquedale(a)wanadoo.fr
(7)
Tous mes voeux pour cette nouvelle année, et que continue à vivre
votre Gazette.
Voir : http://www.mauriceraison.fr/index.php?lang=fr
Contact : Maurice RAISON
Mél : mr(a)mauriceraison.fr / maurice.raison(a)bbox.fr
(8)
Je désapprouve l'orientation de l'ACTA en attendant de connaître
son projet de substitution éventuel.
Je pense que le lien entre notre univers technico économique professionnel
et l'univers socio culturel dans lequel nous évoluons est indispensable
pour la prise de décision des agriculteurs, le conseil en exploitation.
Les débats de la gazette remplissent généreusement cet objectif
Merci pour ce travail et meilleurs voeux de pérennité aux porteurs
d'un projet calé sur ce cadre de référence.
Contact : Lucien PAGES - Conseiller agricole
Mél : lucien.pages(a)suamme.fr
(9)
Bonjour et Bonne Année à vous. Et que votre lettre perdure !
Contact : Laurence THIEBLEMONT
Mél : laurence.thieblemont(a)apca.chambagri.fr
On nous annonce une année difficile...
Avec sérénité, un soupçon de douceur, une pincée de chaleur, pour
un monde doux comme le bonheur. Avec ces quelques mots je vous accompagne
avec " optimisme" et vous souhaite une bonne année 2012.
Santé, Passion, Business presse web y compris !
Contact : Claude FOULON
Mél : claude.foulon(a)wanadoo.fr
Hadopi : le loup dans la bergerie
Le nouveau président du Sénat veut nommer Didier Mathus au collège
Hadopi. La double particularité de cet homme est d’être député et,
surtout, d’être l’un des plus farouches opposants à cette institution.
Voir : http://www.linformaticien.com/actualites/id/22935/hadopi-le-loup-dans-la-bergerie.aspx
Ma remarque (GW) : M. Mathus pense que Hadopi est difficile à mettre
en œuvre. On peut difficilement lui donner entièrement tort. Mais
pourquoi ne pas essayer s’il est possible de limiter les dégâts du
piratage ? Autre question : comment les utilisateurs peuvent contribuer,
via les opérateurs, à la juste rémunération des créateurs, juste rémunération
c’est-à-dire en proportion de la diffusion de leurs œuvres, y compris
en streaming ?
Quel régime alimentaire pour les loups qui recolonisent l’Ouest
et le Centre de la Pologne ? (puisqu’il a été question de loups ci-dessus)
Le régime alimentaire du loup est au cœur de toutes les craintes face
à son extension. Cette étude tente de comprendre, grâce à l’analyse
du régime alimentaire, si l’Ouest et le Centre de la Pologne pourraient
être de bonnes zones de recolonisation pour le loup.
En étudiant les excréments du loup, il est possible de savoir quelles
proies il a chassé et dans quelles proportions. Dans l’Ouest et le
Centre de la Pologne, entre 2002 et 2009, le régime alimentaire du
loup se compose de la façon suivante : 94,8 % d’ongulés sauvages (42,8
% de chevreuil, 22,6 % de sanglier et 22,2 % de cerf). Les autres
proies sont des daims (2,7 %), des lièvres (2,5 %) et des castors
(1,4 %). Les animaux domestiques, chiens et chats uniquement, représentent
1 % de la biomasse alimentaire.
Voir : http://www.foretwallonne.be/component/content/article/42-foret-mail-old/1739-quel-
regime-alimentaire-pour-les-loups-qui-recolonisent-louest-et-le-centre-de-la-pologne--1042.html
Une bonne gestion du risque implique une sylviculture proche de
la nature
Ces dernières années, un intérêt grandissant pour la sylviculture
proche de la nature se fait sentir dans le monde forestier scientifique.
Cependant, les bases économiques de cette sylviculture n’ont pas encore
été bien développées. Certains scientifiques et praticiens ne voient
pas...
Voir : http://www.foretwallonne.be/component/content/article/42-foret-mail-old/
1741-une-bonne-gestion-du-risque-implique-une-sylviculture-proche-de-la-nature-1040.html
Ma remarque (GW) : Je découvre ce site très intéressant grâce à M.
Jacques HAZERA (Mél : jacques.hazera(a)pijouls.com).
Vu dans le gratuit Direct Matin n°1007 du mercredi 11 janvier 2012,
page 8…
« Fuite d’engrais : la gare de Mantes-la-Jolie évacuée. La gare
de Mantes-la-Jolie (78) a été évacuée hier au début d’après-midi après
la fuite sur les voies d’un kilo d’engrais d’un train de marchandises,
a-t-on appris auprès de la préfecture des Yvelines. Un périmètre de
sécurité a été mis en place autour du site, entrainant des perturbations
de la circulation. »
En lisant cette brève, certains pourraient se gausser sur Mantes-la-Folie
ou sur l’arrivée précoce du mois d’avril par suite d’un hiver doux.
Mais si cette information est véridique, elle ne suscite en moi qu’une
grande tristesse.
Faut-il en arriver à ce degré d’ignorance et de stupidité ambiante
pour espérer la dépasser un jour ?
Contact : Jean-Louis BERNARD
Mél : jlbernard.gif(a)orange.fr
Plan Algues Vertes : élus, ne condamnez pas la Bretagne à un repli
économique (Fdsea du Finistère)
A l’heure où les candidats à la présidentielle s’emparent du «
produire français », il ne fait pas bon « produire breton » pour les
agriculteurs des bassins-versants Algues vertes.
Le vote à l’unanimité du Conseil Général pour la charte de territoire
de la Baie de Fouesnant vendredi dernier n’est pas anodin et n’honore
pas nos élus, de quelque bord politique que ce soit.
L’agriculture est un pilier de l’économie française et fait vivre
directement 20 000 personnes dans le Finistère. C’est encore grâce
à elle, et au secteur agroalimentaire qui lui est associé, que la
Bretagne a mieux résisté que d’autres régions à la crise que nous
connaissons.
Qu’en ont retenu ceux qui fustigent le « modèle agricole breton »,
responsable de tous les maux et notamment des algues vertes ? Il est
bien commode de viser un « modèle » quand on s’en prend, en réalité,
au travail des agricultrices et agriculteurs de notre région.
Or, qu’a-t-on à leur reprocher ?
Les accuser d’être responsables des algues vertes est hors de propos
tant il y a bon nombre d’inconnues sur les origines de leur prolifération.
On ne peut assurément pas accuser les agriculteurs bretons de mal
faire leur travail. Depuis 20 ans, au moins, les agriculteurs bretons
ont intégré des mesures de protection de la qualité de l’eau qui n’existaient
nulle part ailleurs en France.
En 1994, c’est à la demande de la profession agricole que la totalité
de la Bretagne a été classée en zone vulnérable, de manière à répondre
aux exigences de la directive nitrates.
Ne reste qu’un seul grief possible : on reproche aux agriculteurs
de produire. Nourrir la société et, se faisant, générer de l’emploi
local et entretenir les paysages, n’a rien de honteux, bien au contraire
!
Nous continuerons d’améliorer nos pratiques, comme nous le faisons
depuis toujours, sans que cela ne remette en cause la pérennité de
nos exploitations. Aussi, nous ne pouvons accepter un plan s’appuyant
sur des mesures allant à l’encontre du bon sens agronomique et dont
l’application réglementaire pourrait se révéler désastreuse pour l’avenir
de nos territoires.
Aussi, nous appelons les élus qui auront à se prononcer sur le projet
de la Baie de la Forêt, et sur ceux des autres bassins-versants concernés,
à faire preuve de bon sens et à ne pas condamner injustement les agriculteurs
de ces territoires, et par la même l’économie régionale, à un repli.
Contact : Laure RICHARDEAU
Mél : annesophie.herry(a)fdsea29.fr
Quel drame cet accident d'avion en Belgique ce soir...un 747
s'est écrasé sur un cimetière près de Bruxelles
Aux dernières nouvelles et selon la police, 1256 corps de passagers
auraient déjà été retrouvés...
Pauvres Belges...
Contact : Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
New EU ICT-AGRI CALL: ICT and Automation for a Greener Agriculture
The ICT-AGRI 2nd call for trans-national projects aims at improving
the utilization of ICT and automation for a sustainable use of natural
resources, reduction of agriculture’s environmental footprints,
adaptation to and mitigation of climate change, while securing food
supply, quality and safety, farm economy, working conditions, and
animal welfare.
>>> Scope of the call
The call takes its offset in agricul-ture’s grand challenges as
ex-pressed in the 3rd SCAR Foresight Exercise*. According to the
fore-sight, a radical change in food consumption and production
in Europe is avoidable.
ICT-AGRI considers ICT and auto-mation to have a crucial enabling
role of for accomplishing radical changes in primary agricultural
production.
The call is therefore focused on innovations in the use of ICT and
automation in primary agricul-ture. Projects are expected to de-velop
and demonstrate feasible solutions for farming with proven positive
effects towards a greener European agriculture.
>>> Funding
Funding in this call is provided by national funding agencies in
a vir-tual common pot, meaning that funding is restricted to be
used within the respective funding countries. Expected total funding
amounts to € 4- 5 million. Funding conditions and amounts vary be-tween
countries.
>>> Call Process
The call is using a two-step selec-tion process. Pre-proposals are
reviewed by the funding agencies for eligibility and relevance ac-cording
to call topics, added-value of cross-border collaboration and national
priorities. Consortia be-hind successful pre-proposals are invited
to submit a full proposal, which will go through a peer-review before
the final selection and funding decision by the fund-ing agencies
>>> Important eligibility criteria
Projects must include partners from at least three funding countries.
Partners from non-funding countries can participate by funding their
own involvement.
Projects must be of duration up to 36 months.
Projects are required to state quantified and measurable expectations
of the sustainable use of natural resources, reduction of agriculture’s
environmental footprints and adaptation to and mitigation of cli-mate
changes.
Projects are required to seek compatible, transferable and scalable
methods and technologies.
Projects must demonstrate a clear added-value of being carried out
trans-nationally.
>>> Call Opening
The electronic submission system is expected to open in March 2012
with a deadline for submit-ting pre-proposals by the end of April
2012.
>>> Further Information
The full Guide for Applicants including national funding and national
regulations is available at the time of call opening. The ICT-AGRI
partners representing the funding agencies are available for more
information. For information and contact, visit our home-page http://ict-agri.eu
>>> Online search for partners
A dedicated tool for suggesting proposals and searching for part-ners
is available from January 2012 in ICT-AGRI Meta Knowledge Base http://db-ictagri.eu
Contact: Iver THYSEN, Danish Agency for Science, Technology and
Innovation
E-mail: ivth(a)fi.dk
Les institutions des marchés : régulation publique et régulation
contractuelle (le cas des marchés agroalimentaires)
4 février – LYON
Avec Gilles ALLAIRE, Directeur de recherches, INRA-SAE2, US-ODR (Observatoire
du Développement Rural) Toulouse
>>> Discutants : Patrick Mundler (enseignant-chercheur Isara
Lyon-LER) et Jean-Luc Mayaud (professeur, Lyon 2-LER)
Économiste, directeur de recherches de l’INRA, Gilles Allaire a publié
de nombreux articles développant une analyse hétérodoxe des marchés
agroalimentaires. « Quality in economics: a cognitive perspective
», dans Harvey M., McMeekin A., Warde A. [dir.], Qualities of Food,
Manchester University Press, 2004, pp. 61-93 ; « Cognitive Representations
and Institutional Hybridity », dans Agrofood Systems of Innovation.
Science, Technology and Human Values, vol. 29, n° 4, 2004, pp. 431-458
(avec S. Wolf) ; « Des secteurs aux normes. Les "peurs alimentaires"
et la régulation du "modèle anthropogénétique" », dans Économie
et société, série AG (Systèmes agroalimentaires), n°27, 2005, pp.
939-954 ; « Conventions professionnelles et régimes de responsabilité
», dans F. Eymard-Duvernay [dir.], L’économie des conventions, méthodes
et résultats, tome 1, collection Recherches, La Découverte, 2006,
pp. 279-293 ; « Les figures patrimoniales du marché », dans Économie
appliquée, Tome LX, n°3, 2007, pp.121-156 ; « Applying Economic Sociology
to understand the meaning of "quality" in food markets »,
dans Agricultural Economics, vol. 41, supp., 2010, pp. 167-180 ; «
La rhétorique du terroir », dans C. Delfosse [dir.], Le terroir dans
tous ses états, La boutique de l'histoire, éditeur, coll. Mondes ruraux
contemporains, 2011, pp. 75-100. Voir également, sur internet, les
participations au site de la Mission Agrobioscience (http://www.agrobiosciences.org).
Voir : http://www.ler-serec.org/
Contact : Jean-Luc MAYAUD
Mél : jean-luc.mayaud(a)ish-lyon.cnrs.fr ou jean-luc.mayaud(a)univ-lyon2.fr
BioTrace 2012 : vers une alimentation sécurisée ?
1 – 3 février - MONTPELLIER
L’association étudiante BioTrace organise, en partenariat avec le
Cirad, l’Inra, le pôle Qualiméditerranée, l’université Montpellier2
et avec le soutien de la région Languedoc-Rousillon, le 7e congrès
BioTrace intitulé « Nos aliments : des risques avérés aux bienfaits
sécurisés ». Il se déroulera du 1er au 3 février 2012 au Cirad de
Montpellier.
L’évènement réunira professionnels du secteur de l’agroalimentaire,
représentants de consommateurs et scientifiques autour de la problématique
de la sûreté et de la qualité des aliments dans un climat général
de défiance face aux diverses crises alimentaires qui se succèdent.
Les aliments sont sujets à des risques microbiologiques, chimiques
et physiques malgré les normes de plus en plus rigoureuses appliquées
par les différents acteurs de l'agroalimentaire.
Depuis quelques années, les exigences des consommateurs ont aussi
conduit à des changements des modes de production et de consommation.
Ces modifications s’accompagnent d’une évolution de la réglementation
et d’une véritable avancée technologique en matière d’évaluation et
de détection des risques.
>>> Le congrès sur trois axes
> Une approche sociologique de la sûreté alimentaire perçue par
les consommateurs et acteurs de l’agroalimentaire.
> Un état des lieux des normes, des législations et des labels
mis en œuvre afin d’assurer la traçabilité, l’origine, la qualité
et la sûreté des aliments (limites et problématiques de demain).
> Un bilan des moyens mis en œuvre pour prévenir, détecter et tracer
les polluants alimentaires (microbiologiques, biocides, nanomatériaux).
Il est à noter que deux chercheurs du Cirad, Didier Montet et Jean-Christophe
Meile (UMR Démarche intégrée pour l'obtention d'aliments de qualité)
interviendront pendant le congrès. Sur la thématique : Normes, labels
et législations, Didier Montet présentera une communication intitulée
« Relativisation de la sécurité des aliments – comparaison pays développés
/ pays en développement ». Accompagné de Jean-Christophe Meile, il
animera la troisième session sur la détection et traçabilité des contaminants
alimentaires.
A ce sujet, les scientifiques insistent sur l’importance des aspects
sociologiques des normes et outils qui doivent s’adapter aux nouveaux
modes de consommation et usages alimentaires depuis l’agriculture
intensive des années 60 et 70. Mais Jean-Christophe Meile précise
« on ne pourra jamais tout contrôler même si maintenant on peut détecter
un grand nombre de molécules comme les pesticides, dans tous les aliments
».
Voir : http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/communiques-de-presse/2011/alimentation
La peur, les peurs et la sécurité
5 et 12 février –CHATENAY-MALABRY
La peur, sueur froide, étreinte de l’angoisse, pensées paniques, fuite
aux abris : les bons esprits la condamnent comme irrationnelle, les
croyants y voient un outrage au courage, aux ressources de la confiance
et de la liberté. Comment comprendre et interpréter la montée actuelle
des peurs collectives et toutes les demandes sécuritaires qu’elles
génèrent ? Les nommer lucidement, est-ce contribuer à leur emprise
sur l’imaginaire sociétal ? Ou bien est-ce assumer le courage d’être
et dépasser les angoisses immédiates?
Il est aisé de se ranger parmi les optimistes ou, à l’inverse, de
nourrir le catastrophisme ambiant. En revanche, la réflexion de fond
que ces questions soulèvent exige une capacité à vivre avec ces interrogations,
l’audace de les laisser ouvertes, de les recueillir en une démarche
sans cesse renouvelée.
Nous demandons à un sociologue, informé des mutations actuelles, de
mettre en regard ce que le passé nous apprend et ce que nous vivons
aujourd’hui. Une philosophe nous aidera à discerner le sens de ces
peurs et des attentes que l’on observe. Enfin une théologienne pourra
vérifier comment le courage d’être rencontre ces peurs et les transforme
sans les contourner.
Voir : http://www.erf-robinson.org/
index.php?mact=News,cntnt01,detail,0&cntnt01articleid=10&cntnt01origid=53&cntnt01returnid=53
Représentations
et stratégies alimentaires des personnes en situation de précarité
14 février 2012 - PARIS
Voir : http://info.alimentation-sante.org/t/51933/4031/91643550/2992/0
Formations ACTA au logiciel Diaphyt, logiciel d’appréciation des
pratiques phytosanitaires vis-à-vis des organismes non cibles
Trois formations se dérouleront le mois de mars prochain [le 21
à Paris, le 27 à Marcy l’Etoile à proximité de Lyon, le 29 à Baziège
à proximité de Toulouse].
Celles-ci se dérouleront en deux temps, avec le matin une définition
des objectifs de l’application du logiciel et l’après-midi un travail
sur des cas concrets après installation sur un poste (ordinateur portable
du participant). Vous pouvez avoir une idée de ce logiciel en allant
sur le site de l’ACTA avec accès à une version démo.
Voir : http://www.acta.asso.fr?d=6216
De plus, vous pouvez consulter les articles parus dans les Phytoma
n°618 - Septembre 2008 & n°634 - mai 2010.
Contact : Philippe DELVAL
Mél : philippe.delval(a)acta.asso.fr
Salon de l'agriculture durable : L'eau au coeur de l'agriculture
durable - Innovations techniques, échanges, valorisation
28 - 29 mars 2012 - AGEN
- Eau et prospectives : "Mieux comprendre les enjeux de l'eau
et du climat"
- Eau et innovation : "Des solutions pour préserver la ressource
et la compétitivité"
- Eau et qualité : "Qualité de l'eau : Quand l'agriculteur se
met à protéger l'eau"
- Eau et agronomie : "Quelles économies grâce aux outils de pilotage
!"
Voir : http://www.salon-agriculture-durable.org/
AMBROSIA 2012 - Colloque européen des acteurs et décideurs de la
lutte contre l'ambroisie
29 - 30 mars 2012 – LYON
Voir : http://www.ambrosia2012.eu
Quiz 1 : Les records de la nature
Mers, déserts, montagnes, météo : parfois, la nature se surpasse !
Devinez quels sont ses plus impressionnants records.
Voir : http://www.linternaute.com/nature-animaux/questionnaire/fiche/16335/d/f/1/
Pioneer - Les hybrides Aquamax valorisent la moindre goutte
Voir : http://www.agrisalon.com/
fr/permalien/article/6252721/Les-hybrides-Aquamax-valorisent-la-moindre-goutte.html
Filière bovine - Les indemnités du Fngra couvriront entre 20
% et 30 % du coût réel de la sécheresse
Les éleveurs victimes de la sécheresse ne sont pas prêts de
revenir dans leurs frais. Dans le Gers, avec un taux de perte de
production fourragère sur les prairies de 62 %, les producteurs
de bovins viande, victimes de la sécheresse et indemnisables, toucheront
du fonds de national de garantie des risques agricoles (Fngra) entre
80 EUR et 100 EUR par hectare d'herbe seulement...
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/6252825/
Les-indemnites-du-Fngra-couvriront-entre-20-et-30-du-cout-reel-de-la-secheresse.html
Poules Pondeuses - Plus de 90% des bâtiments aux normes 2012
En effet, il ne reste que 93 élevages à mettre en conformité
avec les nouvelles normes européennes sur les premiers mois de l'année
2012. Ce qui représente environ 8% du nombre total des 46 millions
de poules pondeuses que compte la France. En Espagne, ce chiffre
est de 43% soit 20 millions sur 46 millions de poules au total,
en Italie 18,5 millions sur 45 millions (soit 41%), et en Pologne
4...
Voir : http://www.agrisalon.com/
fr/permalien/article/6248921/Plus-de-90-des-batiments-aux-normes-2012.html
Optimiser les services fourragers des prairies permanentes. Des
outils pour caractériser et gérer la diversité floristique par Michel
Duru, Jean-Pierre Theau, Claire Jouany, Pablo Cruz (UMR Agir, Toulouse)
La prairie permanente est constituée d'un mélange important
d'espèces végétales dont les intérêts agricoles et environnementaux
sont de plus en plus avérés.
Cet article synthétise les principaux acquis de 10 années de recherche
conduites en partenariat avec des techniciens fourragers et des
éleveurs.
S'appuyant sur les concepts issus de l'écologie, il présente deux
outils : Herb'type, qui permet de définir, par des indices, la valeur
agronomique d'une prairie à partir d'un relevé de végétation simplifié
et Herb'opti, destiné à guider chaque éleveur dans ses pratiques
de récolte pour maintenir le potentiel fourrager des prairies tout
en valorisant au mieux mieux cette diversité. Ces outils ont déjà
prouvé leur efficacité dans la construction des typologies de prairies
pour le conseil en élevage et fournissent une série d'indicateurs
aux acteurs concernés par les services environnementaux. .
Voir : http://www.inra.fr/sciences_action_developpement/publications/facsade/
optimiser_les_services_fourragers_des_prairies_permanentes
Les routes du vin en France au cours des siècles ; Un carnet
de voyage sur les routes du vin en France
Roger-Paul Dubrion, professeur agrégé en histoire et géographie,
s'est penché sur les nombreux aspects que revêtent le transport
et le produit délicat et taxé qu'est le vin.
Les routes parcourues par les vins reconstituent l’histoire des
grandes provinces viticoles et de leur patrimoine (le canal du Midi,
le quai des Chartrons à Bordeaux ou celui de Bercy à Paris, la vallée
de la Loire, Beaune et le négoce bourguignon, la Champagne, les
monastères et les abbayes, la batellerie …).
Destiné à tous ceux qui s’intéressent au vin et à son histoire ce
beau livre est un véritable carnet de voyage de l’époque gréco-romaine
à nos jours illustré par les créations de Gaétan Nocq à partir d’illustrations
anciennes.
Roger-Paul Dubrion est professeur agrégé en histoire et géographie,
docteur en biogéographie, passionné par le vin et son histoire.
Gaétan Nocq est peintre, dessinateur, carnettiste, infatigable voyageur
du proche et du lointain. Il est membre du collectif "Les carnettistes
tribulants".
Voir : http://www.lagalerieverte.com/magpress/site/gfa/gfa.4464.15.29/fr/kiosk/detail.html
Michelin : un nouveau site pour les pneus agricoles
Michelin a lancé en France en décembre dernier un nouveau site Internet
dédié à ses activités agricoles . Il sera bientôt suivi par une ouverture
aux Etats-Unis et un déploiement en Europe au cours de cette année
2012. Michelin y présente bien sûr sa gamme et propose un outil d'aide
pour choisir le bon pneu : par métier ( grandes cultures, polyculture-élevage,...
Voir : http://www.journalduwebagricole.fr/
archive/2012/01/05/michelin%20-un-nouveau-site-pour-les-pneus-agricoles.html
Protection du maïs : lutte contre les mauvaises herbes, les ravageurs
et les maladies - campagne 2012 ''dépliant''
Résultats des essais variétés de maïs grain et maïs fourrage –
2011
Voir : http://www.editions-arvalis.fr/nouveautes.php
Domestication du bananier : quand linguistes et archéologues s’en
mêlent…
C’est une approche pluridisciplinaire qui a permis de retracer
l’histoire du bananier, au travers des âges et des continents. Biologistes
généticiens, linguistes et archéologues ont en effet croisé leurs
recherches pour comprendre l’évolution du bananier depuis les formes
sexuées jusqu’aux formes comestibles d’aujourd’hui produisant des
fruits dépourvus de graines.
De nombreux types de bananiers sauvages poussent spontanément dans
diverses régions du sud-est asiatique. L’homme s’y est intéressé très
tôt, pas uniquement pour le fruit qui comportait au mieux un peu de
pulpe autour de graines très dures, mais aussi pour ses fibres, ses
vertus médicinales et comme matériau d’emballage ou de construction…
Lorsqu’ils partaient explorer les îles voisines, les hommes embarquaient
plantes et animaux nécessaires à leur survie et bien sûr des bananiers.
Et c’est de la mise en contact sur place de formes génétiques jusqu’alors
isolées que vont apparaître des formes stériles (diploïdes puis triploïdes)
que l’homme va sélectionner. Certaines de ces formes ont été ensuite
largement dispersées et sont aujourd’hui cultivées dans le monde entier
pour le marché international de la banane dessert mais surtout comme
aliment de base de million de personnes.
Ces variétés de bananes restent toutefois très fragiles et reposent
sur une base génétique étroite. Les maladies, le manque d’eau, la
salinité des sols poseront à court terme de gros problèmes dans la
plupart des pays producteurs Aussi des scientifiques australiens,
belges et français ont-ils additionné leurs compétences pour recouvrer
au mieux ces processus de domestication et de diversification des
diverses variétés de bananiers dans le monde en vue d’assurer leur
durabilité.
>>> L’histoire ancienne du bananier
« L’hypothèse de bananiers primitifs déplacés entre les îles du sud-est
asiatique, et jusqu’en Inde, pour donner la diversité des génomes
des formes cultivées actuelles a été corroborée par l’étude des mots
relatifs aux bananiers », explique Xavier Perrier, chercheur au Cirad.
Des linguistes ont ainsi décrypté, dans les centaines de langues parlées
en Asie du Sud-Est, des familles de mots qui nomment les variétés
de bananiers. Leur connaissance des règles d’évolution de ces langues
leur a permis de distinguer, dans une même famille, les formes primitives
et dérivées et donc de retracer la dispersion géographique de ces
mots, et par là, des peuples qui utilisaient ces mots et cultivaient
ces bananiers.
Des études archéologiques ont permis de dater les évènements majeurs
de cette histoire. C’est ainsi qu’il y a 7 000 ans, des peuples de
Papouasie Nouvelle Guinée cultivaient déjà des bananiers tandis qu’il
y a 2500 ans, des bananiers étaient déjà présents sur la côte ouest
de l’Afrique !
Cette approche pluridisciplinaire a été initiée à l’occasion du congrès
international d’archéologie de Dublin en 2008 suivi d’un numéro spécial
de la revue Ethnobotany Research and Application, en 2009. Les résultats
de cette étude viennent de recevoir une reconnaissance par leur publication
dans la revue PNAS. Tout récemment, le groupe s’est retrouvé à Bruxelles
pour définir et programmer la poursuite de ces travaux à l’interface
des sciences biologiques et humaines.
Contact : Xavier PERRIER
Mél : xavier.perrier(a)cirad.fr
Les Risques
: une nouvelle fiche sur la Sylviculture Naturelle et Continue
Les risques, c'est à la mode d'en parler à propos de forêt...
Voir : http://www.pijouls.com/blog/jacques-hazera/sylviculture/pin-maritime/2012/01/07/les-risques/
L'agence américaine agricole (USDA) autorise deux nouveaux
traits OGM novateurs…
…du maïs tolérant à la sécheresse qui vont être mis en démonstration
dans les plaines de l'ouest américain dès 2012 et un soja au profil
en acide gras modifié lui conférant les mêmes propriétés que l'huile
de colza ou d'olive.
Voir : http://www.actu-ogm.fr/deregulation-traits-ogm-novateurs
La modification du chou d'Abyssinie pour la production de
lubrifiant : quel intérêt ?
Voir : http://www.actu-ogm.fr/biolubrifiant-industriel
Ruralité en campagne… Pour une démarche paysagère territoriale
Qu'est-ce que la ruralité, si ce n'est tout d'abord des paysages
? L'affirmation pourrait paraître incongrue en ces temps constatés
comme difficiles si elle ne concernait une société en manque de repères
et de projet, schizophrène et qui fonctionne encore sur le mode de
la dualité conflictuelle développement économique / défense de l'environnement,
s'appuyant sur des considérations sectorielles et de multiples spécialistes
(voire d'experts) s'ignorant trop souvent les uns les autres.
Si un consensus général se dégage au niveau des intentions pour maintenir
la riche diversité paysagère de la première destination touristique
mondiale, les institutions peinent à l'appréhender comme évolutive,
comme une expression de la singularité des territoires et une nécessité
d'inscrire le développement local dans les sites et les lieux dans
lesquels élus et habitants se reconnaissent et s'identifient. En effet,
l'innovation est tout autant comportementale que technologique et
c'est le regard sur la ruralité qui doit évoluer pour répondre aux
enjeux de la relation ville/campagne et en particulier celui de la
multifonctionnalité des espaces. Le paysage est une synthèse et la
démarche paysagère territoriale une médiation à l'exemple de la pluralité
du Collectif paysage qui conjugue le faire ensemble culturel, patrimonial,
aménageur, agricole, naturaliste entre connaissance, préservation
et développement.
Peut-on prôner un vivre ensemble sans une vision et un projet généraliste
et partagé qui permette d'inscrire les interventions des multiples
acteurs dans les caractéristiques de chaque territoire? Pour la compréhension
du cadre de vie, la dichotomie institutionnelle actuelle et le désengagement
de l'Etat laissent croire qu'il y aurait d'un côté la vie, réduite
à ses urgences économico-environnementales et de l'autre son cadre
compris comme superficiel et déconnecté des enjeux sociétaux.
Aujourd'hui tout autant qu'hier la véritable urgence est celle du
projet ; qu'il soit de territoire ou de société, pour agir local il
doit être situé. A contrario, quel est l'avenir d'un développement
économique essentiellement marchand, fonctionnaliste, individualiste
et cependant banalisé, indifférent aux formes du monde alentour et
à celles qu'il produit ? Un paysage lorsqu'il est observé et interprété
cesse d'être ordinaire. L'un des apports majeurs de cette démarche
de qualité humaniste est de donner un cadre de vie à une écologie
trop souvent ressentie comme stigmatisante afin de l'inscrire dans
l'espace du vécu local et social. Car le regard n'est pas naturel
et l'application de normes n'a jamais fait la qualité d'un projet.
Encore faut-il qu'il soit de territoire et collectif, que ses objectifs
soient qualitatifs et non pas seulement quantitatifs. A cet égard,
la disparité d'ingénierie de projet est particulièrement discriminante
entre les villes et les agglos qui ont les moyens de la réflexion
sur leur territoire et les bassins de vie ruraux particulièrement
démunis en zone de revitalisation rurale. Une proposition de définition
d'Agence rurale d'urbanisme avait été discutée en ce sens au sein
du collectif paysage comme susceptible de relayer une réforme de l'urbanisme
comprise comme véritablement territoriale avant que d'être réglementaire
(Plan Local de Territoire en lieu et place du Plan Local d'Urbanisme).
A cultiver dans le terreau du développement local.
Voir : http://www.collectifpaysages.org/
Contact : Jean Jacques VERDIER
Mél : jj.verdier(a)laposte.net
Réforme de la Pac - Les agriculteurs allemands contre les jachères
écologiques
"Nous lançons une initiative contre la " boulimie de
surfaces " en jachère, a annoncé lors d'une conférence de presse
le président de la puissante fédération du secteur Dbv, Gerd Sonnleitner.
Il espère récolter 50.000 signatures, seuil à partir duquel "
le Bundestag (chambre basse du Parlement) devra se pencher sur notre
requête ", a-t-il dit...
Voir : http://www.agrisalon.com/
fr/permalien/article/6160503/Les-agriculteurs-allemands-contre-les-jacheres-ecologiques.html
Guide pratique des maladies des bovins en poche
Après le succès de la 4ème édition de "Maladies des bovins"
présentant plus de 200 pathologies parmi les plus courantes (1 700
photos et illustrations), l’éditeur publie en format 10X18 "le
guide pratique des maladies des bovins".
L’ouvrage référence plus de 100 pathologies les plus courantes chez
les bovins, illustré avec près de 600 photos et illustrations originales,
rares et en couleurs.
Les auteurs, praticiens et enseignants vétérinaires ont uni leur savoir
et leur savoir-faire pour regrouper dans un seul ouvrage l’essentiel
des connaissances utiles pour le suivi des bovins vétérinaires. Ils
détaillent pour chaque maladie les causes et les facteurs de risques,
les symptômes, le dispositif général de lutte et le traitement.
Pratique en format poche, c’est un ouvrage indispensable pour les
éleveurs et les acteurs de la santé animale.
>>>Les auteurs Jean-Marie Gourreau est vétérinaire, directeur
de recherche à l’ANSES. Sylvie Chastant, Renaud Maillard et François
Schelcher sont vétérinaires, professeurs à l’ENV - Toulouse. Jean-Marie
Nicol est vétérinaire praticien rural.
Voir : http://www.lagalerieverte.com
Une année avec les pépiniéristes : l'arrachage de la pépinière
Comment fabrique-t-on un plant de vigne ? Quelle est la durée
nécessaire ? Est-ce une production artisanale ou industrielle ? Pourquoi
acheter local ? Le métier de pépiniériste est souvent méconnu de la
filière viticole. Face à ce constat, le Syndicat des Pépiniéristes
Viticoles de la Gironde et du Sud-Ouest* a décidé de faire partager
aux viticulteurs ce métier.
Nous vous donnons ainsi rendez-vous tous les mois pour suivre les
différentes étapes de la production d'un plant, faire connaissance
avec la pépinière de la Gironde et du Sud-Ouest au travers de quelques
chiffres et faire le lien avec les activités au vignoble.
Au programme ce mois-ci, l'arrachage de la pépinière.
Les plants traditionnels greffés au printemps dernier ont été plantés
en pépinière en mai. Cette étape, qui dure 6 mois, permet la consolidation
de la soudure, la formation des racines et la pousse d’une tige. Pendant
l’été, la totalité des pépinières a été contrôlée par les techniciens
de France AgriMer. Ils vérifient la pureté variétale (absence de mélange
de cépages) et la traçabilité administrative. A la suite de ce contrôle,
l’autorisation de commercialiser les plants en matériel certifié est
délivrée.
>>> Une opération physique
Les bois sont maintenant aoûtés. Les premières gelées facilitent la
chute des feuilles. Les plants peuvent être arrachés pour être triés,
conditionnés, étiquetés et conservés en chambre froide. L’arrachage
de la pépinière est une opération physique qui dépend des conditions
météorologiques et demande l’intervention d’une main œuvre importante.
C’est une opération délicate; chaque lot doit être étiqueté pour éviter
les mélanges, au fur et à mesure de l’arrachage.
>>> Pendant ce temps à la vigne…
Les plantations de la saison 2012 peuvent déjà être préparées. Première
étape, l’étude des sols pour évaluer leurs potentialités viticoles,
leurs sensibilités à la dégradation et les contraintes culturales.
Cette analyse préalable permettra d’adapter le matériel végétal en
fonction du terroir et des objectifs de production. Elle guidera le
viticulteur dans le choix des actions à mener pour préparer la parcelle.
Enfin, elle déterminera la fertilisation à apporter avant plantation.
Pour en savoir plus, demandez à votre pépiniériste la plaquette "Préparer
ses plantations", rédigée en collaboration entre la Chambre d'Agriculture
de la Gironde et le Syndicat des Pépinièristes Viticulteurs de la
Gironde et du Sud-Ouest.
>>> La pépinière de la Gironde et du Sud-Ouest ce sont :
- 22 millions de plants greffés en 2011
- 43 adhérents du Syndicat des Pépiniéristes Viticulteurs de la Gironde
et du Sud Ouest qui représentent 80 % des mises en œuvre.
- En 18 ans, évolution vers une diminution du nombre de pépinières
viticoles (-41%) et une augmentation du nombre de plants produits
(+ 15%).
* Depuis sa création en 1931, Le Syndicat des Pépiniéristes de la
Gironde et du Sud-Ouest reste fidèle à sa vocation première : "mettre
en commun des moyens, défendre les intérêts de chacun". De cet
engagement sont nés une culture et un esprit qui guident ses actions
au quotidien. Le Syndicat représente ses adhérents auprès des différents
services et administrations. Il défend la profession sur le plan fiscal
et juridique. Il informe l'ensemble de la filière par de nombreux
documents et par sa commission technique. Il fédère et rassemble la
profession. Son Président est David Amblevert.
Contact : Magali TEMPLIER
Mél : m.templier(a)gironde.chambagri.fr
AgriXchange
|
Vous
êtes intéressé par les échanges de
données informatisées en Agriculture, enregistrez-vous
sur le site :
http://www.agriXchange.eu |
Trois
rendez-vous pour télédéclarer les demandes d'aide Pac sur Internet
…Puis à partir du 1er mars et jusqu’au 15 mai 2012 inclus, ce
sera le tour de la prime au maintien du troupeau de vaches allaitantes
(PMTVA). Enfin, du 1 er avril au 15 mai 2012 inclus, tous les
agriculteurs pourront...
Voir : http://www.journalduwebagricole.fr/archive/2012/01/11/trois-rendez-vous-pour-teledeclarer-les-demandes-d-aide-pac.html
Sélectionner très tôt des tilapias mâles
L’élevage des tilapias n’est rentable que s’il porte uniquement
sur des populations mâles. Mais les méthodes d’inversion hormonale
utilisées pour produire de telles populations présentent de nombreux
inconvénients. Le Cirad explore depuis plusieurs années une approche
génétique. Il vient de découvrir le moyen de sélectionner très
tôt des géniteurs à descendances mâles grâce à un gène présent
dans la tête des alevins.
Chez le tilapia, le contrôle du sexe est une préoccupation majeure
pour les producteurs. Les mâles grossissent plus vite que les
femelles, et ces dernières font des petits tous les mois dès l’âge
de 4 mois. L’utilisation de populations monosexes mâles permet
donc d’optimiser la croissance des animaux en élevage et la transformation
de l’aliment. Cependant, ces populations sont principalement produites
par des techniques d’inversion hormonale, qui soulèvent bien des
questions pour l’environnement et le consommateur. Afin de trouver
une alternative à ces pratiques, une équipe du Cirad propose deux
approches, l’une environnementale, qui repose sur l’effet masculinisant
des fortes températures, l’autre génétique, qui passe par l’utilisation
de géniteurs à descendances monosexes mâles, les mâles YY.
>>> Produire des populations monosexes
Pour sélectionner les mâles YY, à descendances monosexes mâles,
il faut faire appel à des approches indirectes comme le testage
sur descendances, car il n’existe pas de chromosomes sexuels différenciés
chez la plupart des poissons. En analysant le sex-ratio d’une
descendance, on peut identifier le génotype sexuel (XX, XY, YY)
de ses parents. Seul problème : pour sexer les descendants, et
donc identifier les parents intéressants, il faut attendre 4 à
5 mois. Tous les laboratoires travaillant sur le tilapia recherchaient
donc dans les gonades des marqueurs moléculaires qui permettraient
un sexage précoce, efficace et simple.
>>> Un gène dimorphique lié au sexe dans la tête des
alevins
L’équipe du Cirad a eu l’idée de regarder dans la tête des alevins.
Elle y a trouvé un gène considéré jusque-là comme typiquement
gonadique chez tous les vertébrés, qui présentait un énorme dimorphisme
d’expression lié au sexe, beaucoup plus précoce dans le système
nerveux central que dans les gonades. En utilisant des mélanges
de populations monosexes mâles et monosexes femelles, elle a constitué
des lots de différents sex-ratios connus (100 % de femelles, 75
%, 50 %, 25 % et 0 %) et a réalisé, en aveugle, un sexage moléculaire
sur chacun des lots d’alevins âgés de 14 jours. Le reste de chaque
lot était conservé et sexé à 4 mois par la technique classique.
Les sex-ratios identifiés à 14 jours correspondent à 100 % à ceux
trouvés à 4 mois.
C’est une nouvelle étape franchie pour un contrôle du sexe chez
le tilapia par des approches respectueuses du consommateur et
de l’environnement.
Voir : http://www.cirad.fr/nos-recherches/resultats-de-recherche/2010/node_5706
Des pertes supérieures
à 100 M € : l’industrie d’abattage-découpe de porc au bord du gouffre
Pour l’industrie d’abattage et découpe de viande porcine, la maison
brûle. Prises en étau, les entreprises manquent d’air et c’est maintenant
l’agonie qui les guette : les pertes de l’année 2011 dépassent 100
millions d’euros… Du jamais vu.
En ce début 2012, c’est donc un cri d’alarme et un appel à la responsabilité
qu’il convient de pousser pour la filière porcine française. Après
plusieurs années de grandes difficultés, les éleveurs ont retrouvé
des perspectives. Tant mieux ! Cette évolution était nécessaire pour
eux et il convient sans doute de la consolider. Mais combien de temps
pense-t-on pouvoir vivre en vase clos alors que nous sommes en réalité
dans un marché européen de plus en plus ouvert ? Peut-on s’inscrire
dans l’objectif d’être les plus chers en Europe et avoir en même temps
des ambitions exportatrices sur des marchés où nos concurrents ont
un double avantage : celui d’une matière première moins chère et de
coûts de transformation plus compétitifs ? L’embellie risque donc
d’être de courte durée si le système s’effondre par l’aval.
>>> Réformer notre modèle pour sortir de la sclérose du marché
A la lecture euphorisante du bilan 2011 du Marché du Porc Breton,
c’est certes un tout autre diagnostic que portent les « experts »
sur l’état de santé du secteur. « Record de prix depuis 10 ans, forte
demande à l’export, situation qui tourne à l’avantage des éleveurs,
Objectif 2012 : le cadran à 1,40… » : les raisons de se réjouir seraient
nombreuses en ce début d’année. En réalité, elles sont autant d’illusions
et de dénis de réalité. Quand sonne le glas pour les entreprises d’abattage-découpe,
l’air joué par la fanfare[1] du Marché du Porc Breton ressemble fort
à celui de l’orchestre du Titanic… Dans le futur, à quoi serviront
les records au marché au cadran si les éleveurs ne sont plus payés
par des abattoirs en faillite ?
Osons pour une fois regarder les choses en face. La charge à la fois
la plus importante et la plus volatile de la filière porcine est celle
de l’alimentation animale et les éleveurs de porcs sont soumis depuis
des années aux aléas du marché des céréales et des oléoprotéagineux.
Alors, posons cette question : pourquoi l’aval de la filière porcine
doit-il toujours être la variable d’ajustement du marché céréalier
? Pourquoi les entreprises d’abattage sont-elles prises à partie,
vilipendées, accusées, rendues responsables des difficultés des éleveurs
alors qu’aucun compte n’est jamais demandé à l’industrie de l’alimentation
animale et au secteur des grandes cultures ? Eux, ne sont jamais critiqués
sur leurs marges. Or ce sont les industriels des viandes que l’on
retrouve à la barre du tribunal de l’observatoire des prix.
Ainsi, pendant que leurs fournisseurs spéculent, les éleveurs préfèrent
s’en remettre au cérémonial quasi-liturgique du marché au cadran.
Cette organisation, qui impose à chaque abattoir un règlement intérieur
dans lequel les devoirs (par exemple un quota obligatoire d’achat
de porcs) sont bien plus nombreux que les droits, défie en permanence
les principes les plus élémentaires de la concurrence. Rappelons encore
que le MPB côte un produit virtuel : seulement 3,9 % des carcasses
produites en France répondent à la définition du prix de base [2].
Cette référence basse a sans doute des vertus concernant l’action
syndicale : afficher un cours le plus bas possible aide à légitimer
la revendication. Mais, elle gène assurément les entreprises d’abattage-découpe
pour établir une chaîne de valeur suffisante face à des clients qui
peuvent prendre en référence un « prix cadran » sciemment sous-évalué
et les met en situation de faiblesse.
Sur ces seuls constats, on peut se demander si la France n’aurait
pas la filière porcine la plus bête du monde !
>>> Reprendre la main sur le marché européen
Aujourd’hui, nous voulons dire la vérité : ce modèle, si puissant
pour porter le développement durant les « 30 glorieuses » de la filière
porcine, est à bout de souffle. Il ne crée plus de développement ;
il ne crée plus de valeur. Cette réalité s’exprime dans les chiffres
: la production porcine française a commencé son déclin. En 15 ans,
de 1986 à 2000, les abattages français de porcs ont progressé de 1,7
à 2,1 millions de tonnes (+ 25%). Dans la décennie qui a suivi, ils
ont stagné puis amorcé une baisse à 2 millions de tonnes (-5%).
Dans le même temps, entre 2000 et 2009, la production allemande bondissait
de 23%, l’Espagne augmentait de 17%, le Danemark de 15% et même l’Italie
de 14%.
Pire, ce modèle sclérosé fait de l’économie porcine française le marchepied
sur lequel les pays concurrents prennent appui pour s’arbitrer. En
2003, une pièce de porc sur six commercialisées en France n’était
pas d’origine française ; en 2010, cela représente une pièce sur cinq
: sur la seule année 2010, les importations de pièces de porcs, principalement
en provenance d’Espagne et d’Allemagne, ont augmenté de 3,9%. L’Espagne
déverse aujourd’hui 280.000 tonnes de pièces de porc, principalement
des jambons, sur le marché français et les importations allemandes
ne cessent de croître avec 75.000 tonnes. Au-delà de la matière première
à très bas prix, ces pays apportent aujourd’hui sur le marché français
de la valeur ajoutée et du service grâce à leur faible coût de main-d’œuvre.
Le résultat n’est pas glorieux pour la balance commerciale de la France
déficitaire de 115 millions d’euros en 2010 pour l’ensemble du secteur
porcin (animaux, viandes et charcuterie), alors qu’elle était régulièrement
excédentaire jusqu’en 2006. Concernant les viandes fraîches et congelées,
le solde commercial français s’est considérablement détérioré passant
de 41,1 M€ en 2009 à 21,1 millions en 2010 et il est presque 7 fois
moins important que ce qu’il était il n’y a que 5 ans (141,3 millions
d’€ en 2006). Nous avons perdu la main en Europe. Pendant combien
de temps encore les thuriféraires du modèle porcin français vont-ils
aveuglément nier cette évidence pour esquiver toute remise en question
?
>>> Les entreprises d’abattage-découpe face à leur responsabilité
Le bilan de l’année 2011 tient en quelques chiffres et il est calamiteux
pour l’industrie.
A l’achat, les cours à la production ont affiché en 2011 leur plus
haut niveau depuis 10 ans : le prix de base du marché du porc breton
(MPB) s’établit à 1,309 €/kg pour un prix moyen réellement payé aux
éleveurs supérieur à 1,50 €. De l’autre côté, à la vente, les conditions
du marché et de la concurrence sont de plus en plus rudes, de plus
en plus impitoyables.
Pour autant elles ne sont pas acceptables lorsque l’abaissement sans
limite des coûts de transformation conduit à restaurer l’esclavagisme
dans les abattoirs allemands pour accéder à des coûts de main-d’œuvre
inférieurs à 7 €/h. Par quels dérèglements de l’Europe cela est-il
possible ?
Elles ne sont pas acceptables lorsque l’on trouve ces derniers jours
dans les linéaires des grands distributeurs français de la longe avec
os à 2,19 €/kg et des côtes de porc à 2,29 (donc seulement 10 centimes
pour découper et conditionner !) ou de l’épaule de porc à 1,69 soit
un prix inférieur à celui de la matière première additionné des coûts
d’abattage et découpe ! Par quelle interprétation de la LME cela est-il
possible ?
Elles ne sont pas acceptables lorsque le prix du jambon frais VPF
payé par les salaisonniers est arbitré de façon collective sur celui
de l’offre espagnole. Par quel reniement de l’accord interprofessionnel
sur l’étiquetage de l’origine cela est-il possible ?
Dans tous les cas, les grands clients imposent, d’une façon ou d’une
autre, aux abattoirs français de s’aligner sur le prix européen et
verrouillent des conditions d’achat drastiques par des cahiers de
charges définis unilatéralement aux termes desquels on voit s’empiler
les pénalités, retailles de prix et autres retours de marchandises
sans la moindre possibilité de recours vers l’amont. Là encore les
entreprises d’abattage-découpe jouent le rôle de variables d’ajustement
de la filière. La perte de contrôle du système est telle que, dans
certains cas, des obligations légales comme le délai de paiement ne
sont même plus respectées…
Côté consommation, rien ne va plus : le modèle français pense soutenir
la consommation en alimentant un flux de porcs poussés de l’amont
vers l’aval, alors que tous les modèles performants d’aujourd’hui
sont tirés par la demande. Le résultat se lit dans l’actuelle baisse
historique de la consommation de viande de porc (-3,3% en 2011 selon
KantarWorld Panel), alors que la volaille consolide sa position dans
les linéaires. Un exemple à venir de cette impasse stratégique concerne
la qualité des viandes et leur acceptation par les consommateurs :
il reste peu de temps avant de voir dans nos abattoirs des porcs non
castrés (parce qu’il en va de l’intérêt économique des éleveurs) tandis
que les cahiers des charges des salaisonniers en refuseront la viande…
On le voit, ce modèle ne peut qu’entraîner de nouvelles baisses de
consommation dans le futur.
>>> Résoudre la crise structurelle du modèle industriel
Le résultat de cette situation est sans appel : les entreprises d’abattage-découpe
suffoquent au point d’être aujourd’hui en danger de mort. Certes,
la finalité économique de ces entreprises n’est pas la même selon
qu’elles sont indépendantes, coopératives ou filiales de groupes de
distribution. De nombreux déséquilibres proviennent de ces différences
structurelles qui n’interpellent personne, mais conduisent à des divergences
stratégiques expliquant une partie du désordre actuel.
Or les règles et les conditions du marché s’imposent à toutes les
entreprises : avoir un comportement loyal sur le marché, connaître
les coûts, optimiser sa compétitivité, définir le vrai prix de revient
et ceci sur tous les produits : pièces de découpe, produits demi sel,
viandes piécées, saucisserie… Plus on va vers le produit élaboré,
vers ce que certains pensent être l’eldorado de la valeur ajoutée,
plus en réalité on n’a que des coûts ajoutés. Soumises au carcan du
modèle économique actuel, les entreprises en perdent leur capacité
à respecter les principes économiques de base. Cette crise structurelle
de la politique industrielle du secteur a atteint son paroxysme en
2011, entraînant l’ensemble des opérateurs dans une paupérisation
extrême.
100 millions de pertes au bas mot : ce chiffre vertigineux suffira-t-il
à une prise de conscience collective pour changer les choses ? A un
moment où la situation devient critique en France pour l’emploi industriel,
nos gouvernants doivent savoir que le déclin de la filière porcine
française est aussi le résultat d’une passivité coupable des pouvoirs
publics à son égard.
La dégénérescence économique s’installe dans cette filière et la spirale
de la destruction de valeur tourne à plein régime faisant plonger
tous les maillons économiques. Il n’y a pourtant pas de fatalité à
ce que la viande porcine, par la banalisation qui en est faite à tous
les niveaux, conserve le triste record de protéine animale la moins
chère du marché en France, et en Europe, alors qu’on la retrouve bien
mieux valorisée dans les linéaires des magasins russes ou chinois
! Une exception qui ne pourra pas durer…
L’hémorragie est déjà abondante, mais le pire peut encore être évité.
Il faut pour cela accepter beaucoup de remises en cause et s’engager
dans une réforme profonde du modèle économique. En ferons-nous un
consensus ? En aurons-nous le courage ? En trouverons-nous la volonté
? Il nous reste peu de temps pour agir dans ce qui devrait être un
véritable « Grenelle de la filière porcine française ». Il est plus
que temps de redresser la tête et de se retrousser les manches. Des
milliers d’emplois sont en jeu.
[1] cf le journal Les Marchés du 2 janvier 2012
[2] Le MPB côte un porc à 56 points de TMP alors que la moyenne des
carcasses est aujourd’hui à 61 points (soit un différentiel de 21
ctes/kg).
Contact : François CASSIGNOL
Mél : francois.cassignol(a)snivsncp.fr
Quiz 2 : Imbattable sur les constructeurs allemands ?
Quatre quiz pour tester vos connaissances sur les marques d'outre-Rhin.
Voir : http://www.linternaute.com/auto/questionnaire/fiche/13487/d/f/1/
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L'AFIA
est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net
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Du côté du ForumPhyto LesInfos
1202 23 janvier 2012
> «
Enfin la vérité sur les pesticides » (ANDEF, Brésil)
> «
Sauver la pomme originelle pour avoir des fruits sans phytosanitaires
» ( ?) (AFP)
> Lutte
biologique contre la mouche de l’oignon (Canada)
> Guide
des bonnes pratiques phytosanitaires pour la banane (Coleacp/PIP)
> Formation
au logiciel Diaphyt de réduction des risques phytosanitaires (ACTA)
> Pesticides
contrefaits = possibles explosifs (Europol)
> Coccinelle
Asiatique (Dossier de liens, B Peiffer)
> «
Mes champignons sont plus intelligents que votre étudiant d’honneur
»
> Pour
sourire : « Thanks, Jesus, for this food. De nada »
> Principe
de précaution expliqué aux enfants (2)
> Pour
sourire : L’abus d’alcool peut être dangereux…
Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne
- Remboursement partiel de la taxe sur les produits pétroliers
: la mesure est reconduite pour les consommations 2011. Les dossiers
sont à déposer avant le 15 avril 2012.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/fileadmin/documents/pac/p1065001.htm
- Conjoncture pétrolière : malgré le ralentissement économique et
ses conséquences sur le prix des matières premières, le marché du
pétrole reste tendu pour des raisons tenant largement à la politique
internationale.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/espace-grand-public/economie-agricole/perspectives-petrolieres.html
- Transferts de référence herbe : l'intégration du maintien des prairies
dans la conditionnalité a amené la création de "références herbe".
Celles-ci peuvent être modifiées suite à divers évènements. Les formulaires
et notices 2012 sont disponibles.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/politique-agricole/conditionnalite/references-herbe.html
- Activation des DPU en 2012 : pour l'essentiel des situations à partir
des surfaces déclarées, y compris le cas échéant l'emprise des particularités
topographiques.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/politique-agricole/dpu/activation-des-dpu.html
Du côté du n° 151 de la lettre d'information des filières de l'élevage,
des produits de la mer et de l'aquaculture, des plantes aromatiques,
des vins, des fruits, des légumes, de l'horticulture et des grandes
cultures
Voir : http://www.office-elevage.fr/actu/actu-FAM-151.htm
>>> FranceAgriMer
> FranceAgriMer participe à l’European Seafood Exposition à Bruxelles,
du 24 au 26 avril 2012 : L’European Seafood Exposition, salon professionnel
international pour la filière des produits de la pêche et de l’aquaculture
se tiendra du 24 au 26 avril 2012 à Bruxelles. Les entreprises françaises
souhaitant rejoindre FranceAgriMer au sein du pavillon France peuvent
télécharger le dossier d’inscription et le retourner dûment rempli
et signé, accompagné du règlement correspondant par voie postale.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/even/even.htm
> FranceAgriMer sera à la Foire de Vérone en Italie les 2 &
3 février 2012.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/even/even.htm#2012
>>> Filière de l'élevage et de ses productions
Le nouveau dispositif d'établissement des cotations des viandes bovines
a démarré cette semaine avec les cotations GBEA de la semaine 3 de
l’année 2012. Cette importante évolution du dispositif vise à améliorer
la représentativité, et la qualité des cotations GBEA ainsi que leur
adéquation aux besoins des marchés et des opérateurs, cela dans le
strict respect des obligations communautaires.
Cependant, des difficultés techniques et informatiques nous conduisent
à publier avec retard les grilles de cotations au nouveau format.
Nous mettons tout en œuvre pour, dès la semaine prochaine, publier
celles-ci dans les meilleurs délais.
Par ailleurs, nous attirons votre attention sur le fait qu’il convient
d’interpréter avec prudence les premières données de cotations GBEA
en nouveau système. En effet, celui-ci est appelé à s’améliorer encore
pour devoir rapidement atteindre un niveau de représentativité supérieur
à celui du précédent système. D’autre part, l’architecture même du
nouveau référentiel de prix peut conduire le lecteur à apprécier différemment
l’interprétation des chiffres, notamment en raison du degré de finesse
supérieur des nouvelles cotations GBEA (tiers de classe, le cas échéant
avec des critères de type, âge, poids, race des animaux).
> Elevage
* Cotations (viandes et lait), prix à la production
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm
* Hebdo conjoncture élevage
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index427.htm#hebdo_elev
> Produits laitiers :
* Informations/Marchés & Filières/Statistiques :
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/lait/pcot-lait/indexcot-lait.htm
* Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises",
secteur bio et non bio
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-ens/statistique2.htm
* Statistiques : Retrouvez les chiffres du commerce extérieur lait
et produits laitiers
Voir : http://www.office-elevage.fr/statistiques/statistique1.htm
> Filière lait / Statistiques : Mise à jour de l’Enquête Mensuelle
Laitière pour le lait bio de août à novembre 2011
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-mens/statistique2.htm
>>> Filière grandes cultures
> Filière Grandes Cultures / Cotations : Quotidiennement les cotations
FAW et FCW dans la rubrique Marchés :
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index421.htm#Cot_FCW_FAW
Hebdomadaire :
- Tous les mardis les cotations à terme FAW et FCW pour le blé, les
FMB orges de brasserie, ainsi que les cotations rendu port pour les
principales céréales françaises (blé, orge, maïs, blé dur...) :
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index421.htm#Cot_FCW_FAW
- Tous les jeudis soir retrouvez les dernières nouvelles du Comité
de gestion des céréales à Bruxelles dans « le Céré-hebdo » :
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index81.htm
> Filière Oléo-protéagineux : Mise à jour des données de surface,
production et collecte 2010 / 2011 et 2011 /2012.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index422.htm
* Mise à jour des données de trituration pour décembre 2011.
* Statistiques de collecte et de stocks, du commerce extérieur et
des Fabricants d'aliments du bétail
>>> Filière des produits de la mer et de l'aquaculture
> Filière Pêche et Aquaculture : Tableau hebdomadaire des chiffres
clés, les notes des ventes en halle à la marée, pour : la Baudroie,
le Merlu, la Seiche, le Bar, la coquille Saint-Jacques, et la note
hebdo ports.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index429.htm
> Filière Pêche et aquaculture : Synthèse mensuelle des cotations
pour décembre 2011.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index429.htm
>>> Filière des vins, des fruits, des légumes et de l'horticulture
> Filière Vin / Cotations :
* Constatation nationale des prix moyens d’achat de vin en vrac
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426.htm
* Le communiqué de prix et l'historique de la campagne S25 du 13/01/2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426b.htm
Du côté de l’Institut de l’élevage
>>> Toutes filières
> 2 conférences
pour mieux analyser les marchés mondiaux des viandes et des produits
laitiers en 2012 - A retenir sur vos agendas : le 12 et le 13
avril prochain à Paris
> Prix de thèse
de l’AFZ 2011
> Un nouveau
site Internet pour l’IRSTEA (ex-Cemagref)
> Les flux
d’azote liés aux élevages : réduire les pertes, rétablir les équilibres
> Guide pour
la réalisation de bilans des émissions de gaz à effet de serre d’une
organisation du secteur agricole et agroalimentaire
>>> Bovins lait
> Développer
le lait bio en Basse-Normandie
> Déclaration
et enregistrement des taureaux d’insémination
> Base de données
d’appui technique ovin - Bourgogne 2010 - Résultats 2010 et évolution
sur 10 années
> Agriculture
biologique entre mythes et réalités - Compte rendu du séminaire
du 20 avril 2011 à Caen
> Conservation
génétique - 4.200 animaux conservés à la Cryobanque- Vidéo en
direct des 18èmes journées 3R avec Terre-net Web TV
> Reprendre
ou créer une exploitation… Simple comme un coup de fil
> Le premier
cas de virus de Schmallenberg détecté en France
> Le parage
des bovins. Agir maintenant avec méthode
> L’utilisation
d’antibiotiques est en hausse chez les bovins
> Filière laitière
: les coopératives s’expriment sur le web
> Stages et Offres d'emploi : Faisabilité de la mise en place
d’un observatoire de la variabilité génétique à partir de données
moléculaires
>>> Bovins viande
> Déclaration
et enregistrement des taureaux d’insémination
> Conservation
génétique - 4.200 animaux conservés à la Cryobanque - Vidéo en
direct des 18èmes journées 3R avec Terre-net Web TV
> Accédez en
ligne aux index officiels des taureaux d’Insémination Animale de monte
publique - Actualisation au 30 janvier 2012
> L’utilisation
d’antibiotiques est en hausse chez les bovins
>>> Ovins viande
> Base de données
régionale ovine Auvergne - 2010 - Résultats 2010 et évolutions
sur 21 années
> En élevage
ovin viande, investir dans des bâtiments spécialisés
>>> Caprins
> Résultats
techniques et économiques caprins - 2009/2010 - Réseaux d’élevage
caprins - région Centre
> Commercialisation
des fromages de chèvre fermiers en région Centre
Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea)
>>> Actions et revendications
> La profession agricole rencontre François Hollande
La FNSEA et François Hollande s’entendent sur la nécessité d’une
agriculture productive et sur leur vision de la Politique Agricole
Commune. La TVA emploi a fait, quant à elle, objet de divergence puisqu’elle
est contestée par le Parti socialiste mais soutenue depuis de nombreuses
années par le syndicat. (01/02/2012)
> Réaction
de la FNSEA à l’intervention télévisée du Président de la République
Depuis 15 ans, la FNSEA milite pour une « TVA emploi » à même
de redonner de la compétitivité à l’agriculture et à l’agroalimentaire
français. Nous étions donc très attentifs aux annonces de Nicolas
Sarkozy en la matière. (31/01/2012)
> Satisfaction autour de la TVA sociale
Depuis 15 ans, le syndicat agricole majoritaire demande une «
TVA emploi » pour redonner de la compétitivité à l’agriculture et
à l’agroalimentaire français. (30/01/2012)
> Viticulture : droits de plantation et règlementation communautaire
La viticulture française demande un encadrement des droits de
plantation pour l'ensemble des pays de l'Union européenne. (24/01/2012)
> Coût
du travail en agriculture
Reçu en marge du sommet social réunissant les partenaires sociaux,
le 18 janvier dernier, Xavier Beulin, président de la FNSEA, a rappelé
au chef de l’Etat l’enjeu de la réduction du coût du travail pour
la compétitivité des secteurs agricole et agro-industriel. (20/01/2012)
>>> Informations générales
> Deux
cas de virus de Schmallenberg
Après la confirmation de deux cas du virus de Schmallenberg affectant
les ruminants, vous souhaitez avoir plus d'informations. (31/01/2012)
> Rencontre
entre syndicats agricoles français et italiens
Le 27 janvier dernier, deux syndicats agricoles - français et italiens
- se sont rencontrés à Rome pour un entretien bilatéral sur la réforme
de la PAC. (30/01/2012)
> Bien-être
animal : nouvelle stratégie de la Commission européenne
La Commission vient de rendre publique sa nouvelle stratégie sur le
bien-être animal pour la période 2012-2015. (25/01/2012)
> La Politique Agricole Commune fête ses 50 ans !
La PAC fête aujourd'hui ses 50 ans d'existence. Pour l'occasion, la
Commission européenne lui a consacré un site dédié pour partager l'évènement
avec l'ensemble des citoyens européens. (23/01/2012)
> Conditions
d’indemnisation des calamités agricoles
Le ministère de l’agriculture a publié le 18 janvier au Journal Officiel,
les conditions de reconnaissance et d’indemnisations des calamités
agricoles. (20/01/2012)
Quiz
3 : comprenez-vous les acronymes du monde du travail ?
CHSCT, Dif, PSE... Les sigles sont omniprésents dans les entreprises.
Mais en connaissez-vous le sens ?
Voir : http://www.journaldunet.com/management/questionnaire/fiche/16348/d/f/1/
Intech-open : Une bibliothèque scientifique gratuite en ligne (in
English)
>>> Version française
Voir : http://www.forumphyto.fr/
2012/01/06/intechopen-une-bibliotheque-scientifique-gratuite-en-ligne-in-english/
>>> English version
See: http://www.forumphyto.fr/
en/2012/01/06/intechopen-une-bibliotheque-scientifique-gratuite-en-ligne-in-english/
Contact : Jean-François PROUST
Mél : jf.proust(a)forumphyto.fr
LinkedIn : comment optimiser la puissance de votre réseau ?
Entreprises, professionnels, recruteurs ou demandeurs d'emploi...
Comment bien maîtriser le plus grand réseau social professionnel au
monde ?
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/le-net/bonnes-feuilles-linkedin/
Noël booste les téléchargements d'applications mobiles
Le nombre de téléchargements d'applications mobiles sur iOS et
Android a progressé de 60% au cours de la dernière semaine de 2011.
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/internet-mobile/telechargements-applis-mobiles-a-noel-0112.shtml
Wikimedia a reçu 20 millions de dollars de dons
Plus d'un million de donateurs ont répondu présent à la campagne
d'appel aux dons qui permet chaque année à l'encyclopédie en ligne
de boucler son budget.
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/le-net/dons-wikipedia-0112.shtml
Inde : six personnes arrêtées dans la "capitale" du spam
Voir : http://www.linformaticien.com/
actualites/id/22921/inde-six-personnes-arretees-dans-la-capitale-du-spam.aspx
Free Mobile : Numéricable s'aligne, Orange s'énerve
Voir : http://www.linformaticien.com/
actualites/id/23229/free-mobile-numericable-s-aligne-orange-s-enerve.aspx
Etude sur le positionnement et le taux de clics dans les résultats
des moteurs de recherche
Une nouvelle étude, datée de septembre 2011, compare les taux
de clics dans les pages de résultats des moteurs de recherche entre
2006 et aujourd'hui. Les choses ont changé en 5 ans...
Voir : http://actu.abondance.com/2012/01/etude-sur-le-positionnement-et-le-taux.html
Du côté de Linux et des Logiciels Libres
Bonjour et bonne année pleine de logiciels libres.
En fin d'année, je mets à jour mon ordinateur.
Je commence par Mandriva 2011.
Il est beau, il s'installe de plus en plus à la Ubuntu ou à la Micromachin.
Sans rien dire.
J'aime bien Mandriva à cause de son MCC, son centre de contrôle que
toutes les distributions devraient copier.
J'avais déjà abandonné la version KDE parce qu'elle était trop gourmande
en ressources machine, et opté pour Gnome. En plus, Gnome est complètement
libre...
Et le nouveau est basé uniquement sur KDE. Bref, j'ai abandonné, car
je ne pouvais même pas jouer au casse-brique sans que l'affichage
se fasse en pointillé.
Je précise que cette version s'installe avec des téléchargements.
Si vous n'avez que du bas débit, l'installation risque de durer.
J'ai essayé le dernier Ubuntu. L'interface est unity. J'ai le même
problème. Les programmeurs doivent avoir des bêtes de compétition
comme ordinateur.
Je me suis alors tourné vers Xubuntu, un bureau léger Xfce. Et cette
fois, je suis satisfait. Plus de tremblements, fluidité. Ce n'est
plus la peine de penser à me payer une machine plus puissante avec
une carte graphique qui défrise.
La dernière version du noyau 3.0 est installée. Et ça me fait une
belle jambe. Qu'a-t-il de plus que ces prédécesseurs ?
Et il y a la grande logithèque Ubuntu derrière. Bénie soit-elle !
Ces nouveaux bureaux sont assez déroutants dans un premier temps,
et il faut aller dans les coins pour y retrouver son chemin. Par exemple,
la barre d'outils du l'application lancée se retrouve dans la barre
des tâches. Je l'ai cherchée un moment... Un double clic dessus, et
la fenêtre se détache de la barre des tâches. Il faut le savoir.
Les catégories d'applications se montrent dans une fenêtre transparente,
sur le bureau. Il n'y en a que quelques-unes, et un lien pour en afficher
plus (genre : afficher 85 autres !). Il y a celles qui sont installées
et celles suggérées à l'installation. Parfois, il y a une grille des
catégories, et on peut naviguer. Bref, il faut un an pour s'y habituer,
et au bout de deux ans, ce sera une nouvelle interface. Je médis,
comme d'habitude, mais c'est pour la rime.
Contact : Alain LE DILOSQUER
Mél : ledilo(a)cetiom.fr
HYPP,
Hypermédia pour la protection des plantes
|
HYPP
est un compagnon très intéressant qui m apporte
un grande satisfaction et m enrichit énormément
car ma formation agricole limitée ne m a pas permis durant
ma jeunesse d accéder a une connaissance élargie
de la biologie…
Un témoignage de M. Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr
Voir :
http://www.acta-informatique.fr?d=5183
|
The sensitive man
A woman meets a man in a bar. They talk; they connect; they end
up leaving together. They get back to his place, and as he shows her
around his apartment.
She notices that one wall of his bedroom is completely filled with
soft, sweet, cuddly teddy bears. There are three shelves in the bedroom,
with hundreds and hundreds of cute, cuddly teddy bears carefully placed
in rows, covering the entire wall ! It was obvious that he had taken
quite some time to lovingly arrange them and she was immediately touched
by the amount of thought he had put into organizing the display. There
were small bears all along the bottom shelf, medium-sized bears covering
the length of the middle shelf, and huge, enormous bears running all
the way along the top shelf.
She found it strange for an obviously masculine guy to have such a
large collection of Teddy Bears. She is quite impressed by his sensitive
side but doesn't mention this to him.
They share a bottle of wine and continue talking and, after a while,
she finds herself thinking: 'Oh my God! Maybe, this guy could be the
one! Maybe he could be the future father of my children?'
She turns to him and kisses him lightly on the lips. He responds warmly.
They continue to kiss, the passionbuilds, and he romantically lifts
her in his arms and carries her into his bedroom where they rip off
each other's clothes and make hot, steamy love. She is so overwhelmed
that she responds with more passion, more creativity, more heat than
she has ever known.
After an intense, explosive night of raw passion with this sensitive
guy, they are lying there together in the afterglow. The woman rolls
over, gently strokes his chest and asks coyly, 'Well, how was it?'
The guy gently smiles at her, strokes her cheek, looks deeply into
her eyes, and says:
'Help yourself to any prize from the middle shelf'.
Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970
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