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AFIA


Association
Francophone
d'Informatique en Agriculture

Du côté du web et de l'informatique agricole 05 - 2012
Châtenay-Malabry, le 2 février 2012

Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'AFIA
Voir : http://www.informatique-agricole.org


La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique agricole" est réalisée avec le concours de vitisphere.com
Voir : http://www.vitisphere.com/


Conseils de psy pour optimiser 2012 (Le Monde - 4 janvier 2012)… Viser les petits engagements, par Michel Lejoyeux est professeur de psychiatrie et d'addictologie et auteur de "Changer... en mieux"
Dans le domaine du travail, comment s'adapter à ce que nous imposera la crise, l'évolution technologique et bien d'autres surprises que nous réserve 2012 ? Peut-être en évitant le syndrome dit "de l'imposteur" et en commençant à se trouver légitime dans les tâches que l'on accomplit et les missions que l'on assume. Pourquoi ne pas décider, en début d'année, de "mieux" travailler, c'est-à-dire de défendre farouchement, face aux exigences de productivité ou d'efficience, son espace intime, sa vie personnelle, amoureuse, familiale et artistique.
Préparons aussi les temps partagés avec nos familles, nos amours, nos enfants avec autant de sérieux et de concentration que nous mettons au travail. Et préférons les "petits" engagements, les défis que l'on relève en une journée aux grandes déclarations d'intention, rarement suivies d'effet.


Pensée sur le monde perdu du communisme (Adieu camarades)
J'ai voulu montrer d'abord la complexité de ce monde disparu, explique le réalisateur qui milite aujourd'hui à Solidarnost, un mouvement d'opposition à Vladimir Poutine. J'ai essayé de faire revivre notre histoire avec son atmosphère, ses chansons, ses émotions. Le communisme n'était pas seulement une idéologie, c'était un univers, la matière de notre vie. Comme tout le monde, j'étais conscient des mensonges et des dérives, mais cela ne m'empêchait pas de croire aux idéaux inculqués dans l'enfance. - Andreï NEKRASSOV – Le Monde Télévision – Janvier 2012– Sur ARTE les 24 et 31 janvier, 7 février 2012
Voir : http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2012/01/23/
le-monde-perdu-du-communisme_1632792_3236.html



A thought for today
To be capable of embarrassment is the beginning of moral consciousness. Honor grows from qualms - John LEONARD, critic (1939-2008)


Another thought
Remorse is a violent dyspepsia of the mind - Ogden NASH, poet (1902-1971)


And a third one
There are two kinds of light -- the glow that illuminates, and the glare that obscures - James THURBER, writer and cartoonist (1894-1961)

Le Forum Phyto
Voir : http://www.forumphyto.fr/

ITK recrute 1 agronome-modélisateur et 3 développeurs Java EE
Voir : http://itkweb.com/?page_id=677
Voir : http://www.ysoria.com
Contact : Eric JALLAS
Mél : eric.jallas(a)itkweb.com


Autre avis de recherche…
UCATA, organisme de conseil et vulgarisation agricole (association agriculteurs du Cher) Recherche 1 ingénieur conseil H/F en grandes cultures
- Prise en charge de l’expérimentation (protocoles, réalisation des essais, synthèse et conseil).
- Animation de groupes et développement technique, économique et règlementaire.
Contact : Marc GOURDOU
Mél : pmg18(a)wanadoo.fr


Applications agricoles pour smartphones et tablettes : appel à contribution
Si les agriculteurs sont de plus en plus utilisateurs d'applications en ligne, il sont également demandeurs de plus de mobilité. Pouvoir consulter une application sur smartphone en bout de champ ou dans l'étable sera bientôt possible. Mais il faut bien reconnaître que ces applications sont encore peu nombreuses. Afin de faire un état des lieux des applications existantes, vous trouverez à l'adresse ci-dessous un tableau à remplir (Google Docs). Si vous avez vous-même développé une application ou en utilisez une, n'hésitez pas à compléter ce tableau. Merci pour votre contribution.
Voir : http://www.journalduwebagricole.fr


Le jury du "Press club, humour et politique" vient de dévoiler sa première sélection des meilleures petites phrases pour le concours 2012
Voir : http://www.linternaute.com/actualite/politique/photo/
les-plus-belles-perles-des-politiques/qui-sont-les-politiques-les-plus-droles.shtml



Dessins et histoires humoristiques
Voir : http://www.facebook.com/Fropki#!/photo.php


Un quasi hoax : L'eau dans le four micro-ondes = danger
Voir : http://www.hoaxbuster.com/hoaxliste/danger-micro-ondes
See: http://www.hoax-slayer.com/microwave-water.html



ICT-AGRI

All who work with ICT in agriculture should register at: http://db-ictagri.eu
A recommendation by Nicolaï Fog HANSEN - EFITA President
E-mail: nfh(a)lr.dk

La terre vue du sol (un grand morceau d’anthologie à ne pas manquer !)
Il y manque cependant le meilleur paru dans la version papier du Monde Magazine : Ce sont les Pierre et Marie Curie du terroir. Microbiologistes, Claude et Lydia Bourguignon alertent depuis plus de trente ans sur l’appauvrissement des terres causé par l’agriculture intensive. Des arguments qui touchent particulièrement les vignerons.

Voir : http://www.lemonde.fr/m/article/2012/01/27/la-terre-vue-du-sol_1634713_1575563.html


Ne pas rater : la séquence du repas de nuit des chauves-souris. Au menu, nectar de fleur de cactus pollinisées à l’occasion.
Voir : http://www.youtube-nocookie.com/embed/xHkq1edcbk4?rel=0


Pastiche de Fernandel chantant notre Président
Voir : http://www.youtube.com/watch?v=aSoZAk8J66w



Terre-net Web TV
Voir : http://www.terre-net.fr/Web-TV/


L’Acta ne souhaite pas poursuivre en 2012 son aide à la publication, l’édition et la distribution de « Du côté du web et de l’informatique agricole », la gazette électronique de l’Afia après l'avoir soutenu plus de 10 ans (1)
Je lis votre gazette depuis quelques (nombreuses) années. Je serai très attristé si elle devait s'arrêter. Est-il envisageable de lancer un appel à contribution : Peut-être sommes-nous assez nombreux à être prêt à donner quelques euros (5€ ? 10€ ? 30€ ?) pour contribuer à financer cette publication ?
Contact : Joseph LANGE
Mél : earl.lange(a)wanadoo.fr


(2)
Merci beaucoup pour vos bons voeux, cher Monsieur Waksman. Je vous présente à mon tour les miens pour une belle année 2012, heureuse, sereine, riche en bonnes surprises malgré la morosité ambiante.
Je regrette beaucoup que l'ACTA ait décidé jeter le gant. Il me semblait que la diffusion des connaissances et la promotion des échanges entre les professionnels de la filière agricole faisait partie de ses missions. J'avais du mal comprendre, car sinon on ne couperait pas les vivres à un e-zine qui assure remarquablement ces missions à la satisfaction de ses nombreux lecteurs, même si quelques grincheux viennent parfois perturber cette communauté vivante et passionnée.
Je vous souhaite en tout cas de réussir dans votre entreprise.
Bien cordialement,
Contact : Jean-Paul VIGNAL
Mél : jaypeevee(a)aol.com


(3)
Bonjour Guy,
Bonne année à toi.
On aurait pu la souhaiter meilleure sans cette idée saugrenue de l’ACTA de fermer ta fenêtre. Espérons que tu arriveras à faire survivre la Gazette car, comme à beaucoup, elle me manquerait. Le retraité que je suis a encore besoin des œuvres du retraité que tu es devenu depuis.
Fidèles amitiés.
Contact : Bernard FONSECA
Mél : bernard.fonseca(a)free.fr


(4)
Merci de persévérer. Par les temps qui courent, il est de plus en plus difficile de faire entendre sa voix quand elle risque de faire réfléchir.
Très cordialement,
Contact : J. PERRIER
Mél : perrier(a)agroalimentaire.net


(5)
Je la "feuillette" (dirai-je si elle était en pages physiques) plus que je ne la lis, mais je butine quelques articles et y prend beaucoup de plaisir. Je suis heureux que Michel REMONDAT (et Vitisphère) permette la continuité de la diffusion. Bonne année à vous deux et à vos parutions.
Très cordialement.
Contact : Jean BARCIET
Mél : jean.barciet(a)orange.fr


(6)
Vœux, gazette, communauté addicte...

Mon cher Guy, tout d'abord mes meilleurs vœux à vous et les vôtres en ce début d'année tout à la fois morose quant au contexte économico-politique et surprenant quant au climat.

Mais, votre dernière livraison nous montre que vous êtes confronté à un souci majeur concernant la permanence d'édition de "La Gazette" ; votre gazette, notre gazette !...

Je souhaite donc, pour vous d'abord, mais aussi -égoïstement- pour nous, que vous trouviez la solution financière qui pérennise cette publication électronique entrée dans notre environnement hebdomadaire, notre consommation d'information professionnelle, notre curiosité à l'égard de points de vue parfois opposés et échangés sous votre contrôle sans dérapage aucun...

Mon ressenti est celui d'un membre d'une sorte de communauté très ouverte, où actifs et retraités restent en contact. Mes activités de retraité (depuis onze ans maintenant) me conduisent à la ligne d'affrontement des écolos peu écologues, des citadins aux idées préconçues, mais aussi d'authentiques naturalistes, d'agriculteurs soit très "productivistes", soit se voulant "paysans" ou liés aux AMAP, d'élus territoriaux tiraillés entre ces différents types d'administrés et d'électeurs : la gazette, Guy, m'est utile, j'y lis les points de vue, j'y trouve les liens internet dont j'ai besoin. Et, de temps à autre, de plus en plus rarement, j'y mets mon "grain de sel"...

Évidemment, je regrette (cela n'engage que moi) que l'ACTA, interface, intersection même, catalyseur des Instituts techniques se désengage, me doutant qu'il y a certainement de bonnes raisons gestionnaires à cela...

Si possible longue vie encore à cet espace que vous avez créé et que vous animez. Et encore une fois : bonne année 2012 !
Contact : Bruno DE LA ROCQUE
Mél : croquedale(a)wanadoo.fr


(7)
Tous mes voeux pour cette nouvelle année, et que continue à vivre votre Gazette.
Voir : http://www.mauriceraison.fr/index.php?lang=fr
Contact : Maurice RAISON
Mél : mr(a)mauriceraison.fr / maurice.raison(a)bbox.fr


(8)
Je désapprouve l'orientation de l'ACTA en attendant de connaître son projet de substitution éventuel.
Je pense que le lien entre notre univers technico économique professionnel et l'univers socio culturel dans lequel nous évoluons est indispensable pour la prise de décision des agriculteurs, le conseil en exploitation.
Les débats de la gazette remplissent généreusement cet objectif
Merci pour ce travail et meilleurs voeux de pérennité aux porteurs d'un projet calé sur ce cadre de référence.
Contact : Lucien PAGES - Conseiller agricole
Mél : lucien.pages(a)suamme.fr


(9)
Bonjour et Bonne Année à vous. Et que votre lettre perdure !
Contact : Laurence THIEBLEMONT
Mél : laurence.thieblemont(a)apca.chambagri.fr


On nous annonce une année difficile...
Avec sérénité, un soupçon de douceur, une pincée de chaleur, pour un monde doux comme le bonheur. Avec ces quelques mots je vous accompagne avec " optimisme" et vous souhaite une bonne année 2012. Santé, Passion, Business presse web y compris !
Contact : Claude FOULON
Mél : claude.foulon(a)wanadoo.fr

Tous les articles présentés au congrès EFITA 2011 à Prague sont disponibles
See: http://www.efita.net/?d=6861

Hadopi : le loup dans la bergerie
Le nouveau président du Sénat veut nommer Didier Mathus au collège Hadopi. La double particularité de cet homme est d’être député et, surtout, d’être l’un des plus farouches opposants à cette institution.
Voir : http://www.linformaticien.com/actualites/id/22935/hadopi-le-loup-dans-la-bergerie.aspx


Ma remarque (GW) : M. Mathus pense que Hadopi est difficile à mettre en œuvre. On peut difficilement lui donner entièrement tort. Mais pourquoi ne pas essayer s’il est possible de limiter les dégâts du piratage ? Autre question : comment les utilisateurs peuvent contribuer, via les opérateurs, à la juste rémunération des créateurs, juste rémunération c’est-à-dire en proportion de la diffusion de leurs œuvres, y compris en streaming ?


Quel régime alimentaire pour les loups qui recolonisent l’Ouest et le Centre de la Pologne ? (puisqu’il a été question de loups ci-dessus)
Le régime alimentaire du loup est au cœur de toutes les craintes face à son extension. Cette étude tente de comprendre, grâce à l’analyse du régime alimentaire, si l’Ouest et le Centre de la Pologne pourraient être de bonnes zones de recolonisation pour le loup.
En étudiant les excréments du loup, il est possible de savoir quelles proies il a chassé et dans quelles proportions. Dans l’Ouest et le Centre de la Pologne, entre 2002 et 2009, le régime alimentaire du loup se compose de la façon suivante : 94,8 % d’ongulés sauvages (42,8 % de chevreuil, 22,6 % de sanglier et 22,2 % de cerf). Les autres proies sont des daims (2,7 %), des lièvres (2,5 %) et des castors (1,4 %). Les animaux domestiques, chiens et chats uniquement, représentent 1 % de la biomasse alimentaire.
Voir : http://www.foretwallonne.be/component/content/article/42-foret-mail-old/1739-quel-
regime-alimentaire-pour-les-loups-qui-recolonisent-louest-et-le-centre-de-la-pologne--1042.html



Une bonne gestion du risque implique une sylviculture proche de la nature
Ces dernières années, un intérêt grandissant pour la sylviculture proche de la nature se fait sentir dans le monde forestier scientifique. Cependant, les bases économiques de cette sylviculture n’ont pas encore été bien développées. Certains scientifiques et praticiens ne voient pas...
Voir : http://www.foretwallonne.be/component/content/article/42-foret-mail-old/
1741-une-bonne-gestion-du-risque-implique-une-sylviculture-proche-de-la-nature-1040.html



Ma remarque (GW) : Je découvre ce site très intéressant grâce à M. Jacques HAZERA (Mél : jacques.hazera(a)pijouls.com).


Vu dans le gratuit Direct Matin n°1007 du mercredi 11 janvier 2012, page 8…
« Fuite d’engrais : la gare de Mantes-la-Jolie évacuée. La gare de Mantes-la-Jolie (78) a été évacuée hier au début d’après-midi après la fuite sur les voies d’un kilo d’engrais d’un train de marchandises, a-t-on appris auprès de la préfecture des Yvelines. Un périmètre de sécurité a été mis en place autour du site, entrainant des perturbations de la circulation. »
En lisant cette brève, certains pourraient se gausser sur Mantes-la-Folie ou sur l’arrivée précoce du mois d’avril par suite d’un hiver doux.
Mais si cette information est véridique, elle ne suscite en moi qu’une grande tristesse.
Faut-il en arriver à ce degré d’ignorance et de stupidité ambiante pour espérer la dépasser un jour ?
Contact : Jean-Louis BERNARD
Mél : jlbernard.gif(a)orange.fr


Plan Algues Vertes : élus, ne condamnez pas la Bretagne à un repli économique (Fdsea du Finistère)
A l’heure où les candidats à la présidentielle s’emparent du « produire français », il ne fait pas bon « produire breton » pour les agriculteurs des bassins-versants Algues vertes.
Le vote à l’unanimité du Conseil Général pour la charte de territoire de la Baie de Fouesnant vendredi dernier n’est pas anodin et n’honore pas nos élus, de quelque bord politique que ce soit.
L’agriculture est un pilier de l’économie française et fait vivre directement 20 000 personnes dans le Finistère. C’est encore grâce à elle, et au secteur agroalimentaire qui lui est associé, que la Bretagne a mieux résisté que d’autres régions à la crise que nous connaissons.
Qu’en ont retenu ceux qui fustigent le « modèle agricole breton », responsable de tous les maux et notamment des algues vertes ? Il est bien commode de viser un « modèle » quand on s’en prend, en réalité, au travail des agricultrices et agriculteurs de notre région.
Or, qu’a-t-on à leur reprocher ?
Les accuser d’être responsables des algues vertes est hors de propos tant il y a bon nombre d’inconnues sur les origines de leur prolifération.
On ne peut assurément pas accuser les agriculteurs bretons de mal faire leur travail. Depuis 20 ans, au moins, les agriculteurs bretons ont intégré des mesures de protection de la qualité de l’eau qui n’existaient nulle part ailleurs en France.
En 1994, c’est à la demande de la profession agricole que la totalité de la Bretagne a été classée en zone vulnérable, de manière à répondre aux exigences de la directive nitrates.
Ne reste qu’un seul grief possible : on reproche aux agriculteurs de produire. Nourrir la société et, se faisant, générer de l’emploi local et entretenir les paysages, n’a rien de honteux, bien au contraire !
Nous continuerons d’améliorer nos pratiques, comme nous le faisons depuis toujours, sans que cela ne remette en cause la pérennité de nos exploitations. Aussi, nous ne pouvons accepter un plan s’appuyant sur des mesures allant à l’encontre du bon sens agronomique et dont l’application réglementaire pourrait se révéler désastreuse pour l’avenir de nos territoires.
Aussi, nous appelons les élus qui auront à se prononcer sur le projet de la Baie de la Forêt, et sur ceux des autres bassins-versants concernés, à faire preuve de bon sens et à ne pas condamner injustement les agriculteurs de ces territoires, et par la même l’économie régionale, à un repli.
Contact : Laure RICHARDEAU
Mél : annesophie.herry(a)fdsea29.fr



VOA3R : partager des ressources documentaires

See: http://voa3r.eu/


Quel drame cet accident d'avion en Belgique ce soir...un 747 s'est écrasé sur un cimetière près de Bruxelles

Aux dernières nouvelles et selon la police, 1256 corps de passagers auraient déjà été retrouvés...

Pauvres Belges...

Contact : Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr


New EU ICT-AGRI CALL: ICT and Automation for a Greener Agriculture
The ICT-AGRI 2nd call for trans-national projects aims at improving the utilization of ICT and automation for a sustainable use of natural resources, reduction of agriculture’s environmental footprints, adaptation to and mitigation of climate change, while securing food supply, quality and safety, farm economy, working conditions, and animal welfare.

>>> Scope of the call
The call takes its offset in agricul-ture’s grand challenges as ex-pressed in the 3rd SCAR Foresight Exercise*. According to the fore-sight, a radical change in food consumption and production in Europe is avoidable.
ICT-AGRI considers ICT and auto-mation to have a crucial enabling role of for accomplishing radical changes in primary agricultural production.
The call is therefore focused on innovations in the use of ICT and automation in primary agricul-ture. Projects are expected to de-velop and demonstrate feasible solutions for farming with proven positive effects towards a greener European agriculture.

>>> Funding
Funding in this call is provided by national funding agencies in a vir-tual common pot, meaning that funding is restricted to be used within the respective funding countries. Expected total funding amounts to € 4- 5 million. Funding conditions and amounts vary be-tween countries.

>>> Call Process
The call is using a two-step selec-tion process. Pre-proposals are reviewed by the funding agencies for eligibility and relevance ac-cording to call topics, added-value of cross-border collaboration and national priorities. Consortia be-hind successful pre-proposals are invited to submit a full proposal, which will go through a peer-review before the final selection and funding decision by the fund-ing agencies

>>> Important eligibility criteria
Projects must include partners from at least three funding countries.
Partners from non-funding countries can participate by funding their own involvement.
Projects must be of duration up to 36 months.
Projects are required to state quantified and measurable expectations of the sustainable use of natural resources, reduction of agriculture’s environmental footprints and adaptation to and mitigation of cli-mate changes.
Projects are required to seek compatible, transferable and scalable methods and technologies.
Projects must demonstrate a clear added-value of being carried out trans-nationally.

>>> Call Opening
The electronic submission system is expected to open in March 2012 with a deadline for submit-ting pre-proposals by the end of April 2012.

>>> Further Information
The full Guide for Applicants including national funding and national regulations is available at the time of call opening. The ICT-AGRI partners representing the funding agencies are available for more information. For information and contact, visit our home-page http://ict-agri.eu

>>> Online search for partners
A dedicated tool for suggesting proposals and searching for part-ners is available from January 2012 in ICT-AGRI Meta Knowledge Base http://db-ictagri.eu

Contact: Iver THYSEN, Danish Agency for Science, Technology and Innovation
E-mail: ivth(a)fi.dk

 

Les NTIC en Agriculture
Voir : http://www.blog-agri.com/ticagri/


Les institutions des marchés : régulation publique et régulation contractuelle (le cas des marchés agroalimentaires)
4 février – LYON
Avec Gilles ALLAIRE, Directeur de recherches, INRA-SAE2, US-ODR (Observatoire du Développement Rural) Toulouse

>>> Discutants : Patrick Mundler (enseignant-chercheur Isara Lyon-LER) et Jean-Luc Mayaud (professeur, Lyon 2-LER)

Économiste, directeur de recherches de l’INRA, Gilles Allaire a publié de nombreux articles développant une analyse hétérodoxe des marchés agroalimentaires. « Quality in economics: a cognitive perspective », dans Harvey M., McMeekin A., Warde A. [dir.], Qualities of Food, Manchester University Press, 2004, pp. 61-93 ; « Cognitive Representations and Institutional Hybridity », dans Agrofood Systems of Innovation. Science, Technology and Human Values, vol. 29, n° 4, 2004, pp. 431-458 (avec S. Wolf) ; « Des secteurs aux normes. Les "peurs alimentaires" et la régulation du "modèle anthropogénétique" », dans Économie et société, série AG (Systèmes agroalimentaires), n°27, 2005, pp. 939-954 ; « Conventions professionnelles et régimes de responsabilité », dans F. Eymard-Duvernay [dir.], L’économie des conventions, méthodes et résultats, tome 1, collection Recherches, La Découverte, 2006, pp. 279-293 ; « Les figures patrimoniales du marché », dans Économie appliquée, Tome LX, n°3, 2007, pp.121-156 ; « Applying Economic Sociology to understand the meaning of "quality" in food markets », dans Agricultural Economics, vol. 41, supp., 2010, pp. 167-180 ; « La rhétorique du terroir », dans C. Delfosse [dir.], Le terroir dans tous ses états, La boutique de l'histoire, éditeur, coll. Mondes ruraux contemporains, 2011, pp. 75-100. Voir également, sur internet, les participations au site de la Mission Agrobioscience (http://www.agrobiosciences.org).
Voir : http://www.ler-serec.org/
Contact : Jean-Luc MAYAUD
Mél : jean-luc.mayaud(a)ish-lyon.cnrs.fr ou jean-luc.mayaud(a)univ-lyon2.fr


BioTrace 2012 : vers une alimentation sécurisée ?
1 – 3 février - MONTPELLIER
L’association étudiante BioTrace organise, en partenariat avec le Cirad, l’Inra, le pôle Qualiméditerranée, l’université Montpellier2 et avec le soutien de la région Languedoc-Rousillon, le 7e congrès BioTrace intitulé « Nos aliments : des risques avérés aux bienfaits sécurisés ». Il se déroulera du 1er au 3 février 2012 au Cirad de Montpellier.

L’évènement réunira professionnels du secteur de l’agroalimentaire, représentants de consommateurs et scientifiques autour de la problématique de la sûreté et de la qualité des aliments dans un climat général de défiance face aux diverses crises alimentaires qui se succèdent. Les aliments sont sujets à des risques microbiologiques, chimiques et physiques malgré les normes de plus en plus rigoureuses appliquées par les différents acteurs de l'agroalimentaire.

Depuis quelques années, les exigences des consommateurs ont aussi conduit à des changements des modes de production et de consommation. Ces modifications s’accompagnent d’une évolution de la réglementation et d’une véritable avancée technologique en matière d’évaluation et de détection des risques.

>>> Le congrès sur trois axes
> Une approche sociologique de la sûreté alimentaire perçue par les consommateurs et acteurs de l’agroalimentaire.
> Un état des lieux des normes, des législations et des labels mis en œuvre afin d’assurer la traçabilité, l’origine, la qualité et la sûreté des aliments (limites et problématiques de demain).
> Un bilan des moyens mis en œuvre pour prévenir, détecter et tracer les polluants alimentaires (microbiologiques, biocides, nanomatériaux).

Il est à noter que deux chercheurs du Cirad, Didier Montet et Jean-Christophe Meile (UMR Démarche intégrée pour l'obtention d'aliments de qualité) interviendront pendant le congrès. Sur la thématique : Normes, labels et législations, Didier Montet présentera une communication intitulée « Relativisation de la sécurité des aliments – comparaison pays développés / pays en développement ». Accompagné de Jean-Christophe Meile, il animera la troisième session sur la détection et traçabilité des contaminants alimentaires.

A ce sujet, les scientifiques insistent sur l’importance des aspects sociologiques des normes et outils qui doivent s’adapter aux nouveaux modes de consommation et usages alimentaires depuis l’agriculture intensive des années 60 et 70. Mais Jean-Christophe Meile précise « on ne pourra jamais tout contrôler même si maintenant on peut détecter un grand nombre de molécules comme les pesticides, dans tous les aliments ».
Voir : http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/communiques-de-presse/2011/alimentation


La peur, les peurs et la sécurité
5 et 12 février –CHATENAY-MALABRY
La peur, sueur froide, étreinte de l’angoisse, pensées paniques, fuite aux abris : les bons esprits la condamnent comme irrationnelle, les croyants y voient un outrage au courage, aux ressources de la confiance et de la liberté. Comment comprendre et interpréter la montée actuelle des peurs collectives et toutes les demandes sécuritaires qu’elles génèrent ? Les nommer lucidement, est-ce contribuer à leur emprise sur l’imaginaire sociétal ? Ou bien est-ce assumer le courage d’être et dépasser les angoisses immédiates?

Il est aisé de se ranger parmi les optimistes ou, à l’inverse, de nourrir le catastrophisme ambiant. En revanche, la réflexion de fond que ces questions soulèvent exige une capacité à vivre avec ces interrogations, l’audace de les laisser ouvertes, de les recueillir en une démarche sans cesse renouvelée.

Nous demandons à un sociologue, informé des mutations actuelles, de mettre en regard ce que le passé nous apprend et ce que nous vivons aujourd’hui. Une philosophe nous aidera à discerner le sens de ces peurs et des attentes que l’on observe. Enfin une théologienne pourra vérifier comment le courage d’être rencontre ces peurs et les transforme sans les contourner.
Voir : http://www.erf-robinson.org/
index.php?mact=News,cntnt01,detail,0&cntnt01articleid=10&cntnt01origid=53&cntnt01returnid=53




Représentations et stratégies alimentaires des personnes en situation de précarité
14 février 2012 - PARIS
Voir : http://info.alimentation-sante.org/t/51933/4031/91643550/2992/0


Formations ACTA au logiciel Diaphyt, logiciel d’appréciation des pratiques phytosanitaires vis-à-vis des organismes non cibles
Trois formations se dérouleront le mois de mars prochain [le 21 à Paris, le 27 à Marcy l’Etoile à proximité de Lyon, le 29 à Baziège à proximité de Toulouse].
Celles-ci se dérouleront en deux temps, avec le matin une définition des objectifs de l’application du logiciel et l’après-midi un travail sur des cas concrets après installation sur un poste (ordinateur portable du participant). Vous pouvez avoir une idée de ce logiciel en allant sur le site de l’ACTA avec accès à une version démo.
Voir : http://www.acta.asso.fr?d=6216
De plus, vous pouvez consulter les articles parus dans les Phytoma n°618 - Septembre 2008 & n°634 - mai 2010.
Contact : Philippe DELVAL
Mél : philippe.delval(a)acta.asso.fr


Salon de l'agriculture durable : L'eau au coeur de l'agriculture durable - Innovations techniques, échanges, valorisation
28 - 29 mars 2012 - AGEN
- Eau et prospectives : "Mieux comprendre les enjeux de l'eau et du climat"
- Eau et innovation : "Des solutions pour préserver la ressource et la compétitivité"
- Eau et qualité : "Qualité de l'eau : Quand l'agriculteur se met à protéger l'eau"
- Eau et agronomie : "Quelles économies grâce aux outils de pilotage !"
Voir : http://www.salon-agriculture-durable.org/


AMBROSIA 2012 - Colloque européen des acteurs et décideurs de la lutte contre l'ambroisie
29 - 30 mars 2012 – LYON
Voir : http://www.ambrosia2012.eu


Quiz 1 : Les records de la nature
Mers, déserts, montagnes, météo : parfois, la nature se surpasse ! Devinez quels sont ses plus impressionnants records.
Voir : http://www.linternaute.com/nature-animaux/questionnaire/fiche/16335/d/f/1/

 

Pioneer - Les hybrides Aquamax valorisent la moindre goutte
Voir : http://www.agrisalon.com/
fr/permalien/article/6252721/Les-hybrides-Aquamax-valorisent-la-moindre-goutte.html



Filière bovine - Les indemnités du Fngra couvriront entre 20 % et 30 % du coût réel de la sécheresse
Les éleveurs victimes de la sécheresse ne sont pas prêts de revenir dans leurs frais. Dans le Gers, avec un taux de perte de production fourragère sur les prairies de 62 %, les producteurs de bovins viande, victimes de la sécheresse et indemnisables, toucheront du fonds de national de garantie des risques agricoles (Fngra) entre 80 EUR et 100 EUR par hectare d'herbe seulement...
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/6252825/
Les-indemnites-du-Fngra-couvriront-entre-20-et-30-du-cout-reel-de-la-secheresse.html



Poules Pondeuses - Plus de 90% des bâtiments aux normes 2012
En effet, il ne reste que 93 élevages à mettre en conformité avec les nouvelles normes européennes sur les premiers mois de l'année 2012. Ce qui représente environ 8% du nombre total des 46 millions de poules pondeuses que compte la France. En Espagne, ce chiffre est de 43% soit 20 millions sur 46 millions de poules au total, en Italie 18,5 millions sur 45 millions (soit 41%), et en Pologne 4...
Voir : http://www.agrisalon.com/
fr/permalien/article/6248921/Plus-de-90-des-batiments-aux-normes-2012.html



Optimiser les services fourragers des prairies permanentes. Des outils pour caractériser et gérer la diversité floristique par Michel Duru, Jean-Pierre Theau, Claire Jouany, Pablo Cruz (UMR Agir, Toulouse)
La prairie permanente est constituée d'un mélange important d'espèces végétales dont les intérêts agricoles et environnementaux sont de plus en plus avérés.
Cet article synthétise les principaux acquis de 10 années de recherche conduites en partenariat avec des techniciens fourragers et des éleveurs.
S'appuyant sur les concepts issus de l'écologie, il présente deux outils : Herb'type, qui permet de définir, par des indices, la valeur agronomique d'une prairie à partir d'un relevé de végétation simplifié et Herb'opti, destiné à guider chaque éleveur dans ses pratiques de récolte pour maintenir le potentiel fourrager des prairies tout en valorisant au mieux mieux cette diversité. Ces outils ont déjà prouvé leur efficacité dans la construction des typologies de prairies pour le conseil en élevage et fournissent une série d'indicateurs aux acteurs concernés par les services environnementaux. .
Voir : http://www.inra.fr/sciences_action_developpement/publications/facsade/
optimiser_les_services_fourragers_des_prairies_permanentes



Les routes du vin en France au cours des siècles ; Un carnet de voyage sur les routes du vin en France
Roger-Paul Dubrion, professeur agrégé en histoire et géographie, s'est penché sur les nombreux aspects que revêtent le transport et le produit délicat et taxé qu'est le vin.
Les routes parcourues par les vins reconstituent l’histoire des grandes provinces viticoles et de leur patrimoine (le canal du Midi, le quai des Chartrons à Bordeaux ou celui de Bercy à Paris, la vallée de la Loire, Beaune et le négoce bourguignon, la Champagne, les monastères et les abbayes, la batellerie …).
Destiné à tous ceux qui s’intéressent au vin et à son histoire ce beau livre est un véritable carnet de voyage de l’époque gréco-romaine à nos jours illustré par les créations de Gaétan Nocq à partir d’illustrations anciennes.

Roger-Paul Dubrion est professeur agrégé en histoire et géographie, docteur en biogéographie, passionné par le vin et son histoire.

Gaétan Nocq est peintre, dessinateur, carnettiste, infatigable voyageur du proche et du lointain. Il est membre du collectif "Les carnettistes tribulants".
Voir : http://www.lagalerieverte.com/magpress/site/gfa/gfa.4464.15.29/fr/kiosk/detail.html

Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

Voir : http://www.vitisphere.com/


Michelin : un nouveau site pour les pneus agricoles
Michelin a lancé en France en décembre dernier un nouveau site Internet dédié à ses activités agricoles . Il sera bientôt suivi par une ouverture aux Etats-Unis et un déploiement en Europe au cours de cette année 2012. Michelin y présente bien sûr sa gamme et propose un outil d'aide pour choisir le bon pneu : par métier ( grandes cultures, polyculture-élevage,...
Voir : http://www.journalduwebagricole.fr/
archive/2012/01/05/michelin%20-un-nouveau-site-pour-les-pneus-agricoles.html



Protection du maïs : lutte contre les mauvaises herbes, les ravageurs et les maladies - campagne 2012 ''dépliant''
Résultats des essais variétés de maïs grain et maïs fourrage – 2011
Voir : http://www.editions-arvalis.fr/nouveautes.php


Domestication du bananier : quand linguistes et archéologues s’en mêlent…
C’est une approche pluridisciplinaire qui a permis de retracer l’histoire du bananier, au travers des âges et des continents. Biologistes généticiens, linguistes et archéologues ont en effet croisé leurs recherches pour comprendre l’évolution du bananier depuis les formes sexuées jusqu’aux formes comestibles d’aujourd’hui produisant des fruits dépourvus de graines.

De nombreux types de bananiers sauvages poussent spontanément dans diverses régions du sud-est asiatique. L’homme s’y est intéressé très tôt, pas uniquement pour le fruit qui comportait au mieux un peu de pulpe autour de graines très dures, mais aussi pour ses fibres, ses vertus médicinales et comme matériau d’emballage ou de construction…
Lorsqu’ils partaient explorer les îles voisines, les hommes embarquaient plantes et animaux nécessaires à leur survie et bien sûr des bananiers. Et c’est de la mise en contact sur place de formes génétiques jusqu’alors isolées que vont apparaître des formes stériles (diploïdes puis triploïdes) que l’homme va sélectionner. Certaines de ces formes ont été ensuite largement dispersées et sont aujourd’hui cultivées dans le monde entier pour le marché international de la banane dessert mais surtout comme aliment de base de million de personnes.

Ces variétés de bananes restent toutefois très fragiles et reposent sur une base génétique étroite. Les maladies, le manque d’eau, la salinité des sols poseront à court terme de gros problèmes dans la plupart des pays producteurs Aussi des scientifiques australiens, belges et français ont-ils additionné leurs compétences pour recouvrer au mieux ces processus de domestication et de diversification des diverses variétés de bananiers dans le monde en vue d’assurer leur durabilité.

>>> L’histoire ancienne du bananier
« L’hypothèse de bananiers primitifs déplacés entre les îles du sud-est asiatique, et jusqu’en Inde, pour donner la diversité des génomes des formes cultivées actuelles a été corroborée par l’étude des mots relatifs aux bananiers », explique Xavier Perrier, chercheur au Cirad.

Des linguistes ont ainsi décrypté, dans les centaines de langues parlées en Asie du Sud-Est, des familles de mots qui nomment les variétés de bananiers. Leur connaissance des règles d’évolution de ces langues leur a permis de distinguer, dans une même famille, les formes primitives et dérivées et donc de retracer la dispersion géographique de ces mots, et par là, des peuples qui utilisaient ces mots et cultivaient ces bananiers.

Des études archéologiques ont permis de dater les évènements majeurs de cette histoire. C’est ainsi qu’il y a 7 000 ans, des peuples de Papouasie Nouvelle Guinée cultivaient déjà des bananiers tandis qu’il y a 2500 ans, des bananiers étaient déjà présents sur la côte ouest de l’Afrique !

Cette approche pluridisciplinaire a été initiée à l’occasion du congrès international d’archéologie de Dublin en 2008 suivi d’un numéro spécial de la revue Ethnobotany Research and Application, en 2009. Les résultats de cette étude viennent de recevoir une reconnaissance par leur publication dans la revue PNAS. Tout récemment, le groupe s’est retrouvé à Bruxelles pour définir et programmer la poursuite de ces travaux à l’interface des sciences biologiques et humaines.

Contact : Xavier PERRIER
Mél : xavier.perrier(a)cirad.fr

Ageekculture : un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information

Voir : http://www.ageekculture.com/

Les Risques : une nouvelle fiche sur la Sylviculture Naturelle et Continue
Les risques, c'est à la mode d'en parler à propos de forêt...
Voir : http://www.pijouls.com/blog/jacques-hazera/sylviculture/pin-maritime/2012/01/07/les-risques/


L'agence américaine agricole (USDA) autorise deux nouveaux traits OGM novateurs…
du maïs tolérant à la sécheresse qui vont être mis en démonstration dans les plaines de l'ouest américain dès 2012 et un soja au profil en acide gras modifié lui conférant les mêmes propriétés que l'huile de colza ou d'olive.
Voir : http://www.actu-ogm.fr/deregulation-traits-ogm-novateurs


La modification du chou d'Abyssinie pour la production de lubrifiant : quel intérêt ?
Voir : http://www.actu-ogm.fr/biolubrifiant-industriel


Ruralité en campagne… Pour une démarche paysagère territoriale
Qu'est-ce que la ruralité, si ce n'est tout d'abord des paysages ? L'affirmation pourrait paraître incongrue en ces temps constatés comme difficiles si elle ne concernait une société en manque de repères et de projet, schizophrène et qui fonctionne encore sur le mode de la dualité conflictuelle développement économique / défense de l'environnement, s'appuyant sur des considérations sectorielles et de multiples spécialistes (voire d'experts) s'ignorant trop souvent les uns les autres.

Si un consensus général se dégage au niveau des intentions pour maintenir la riche diversité paysagère de la première destination touristique mondiale, les institutions peinent à l'appréhender comme évolutive, comme une expression de la singularité des territoires et une nécessité d'inscrire le développement local dans les sites et les lieux dans lesquels élus et habitants se reconnaissent et s'identifient. En effet, l'innovation est tout autant comportementale que technologique et c'est le regard sur la ruralité qui doit évoluer pour répondre aux enjeux de la relation ville/campagne et en particulier celui de la multifonctionnalité des espaces. Le paysage est une synthèse et la démarche paysagère territoriale une médiation à l'exemple de la pluralité du Collectif paysage qui conjugue le faire ensemble culturel, patrimonial, aménageur, agricole, naturaliste entre connaissance, préservation et développement.

Peut-on prôner un vivre ensemble sans une vision et un projet généraliste et partagé qui permette d'inscrire les interventions des multiples acteurs dans les caractéristiques de chaque territoire? Pour la compréhension du cadre de vie, la dichotomie institutionnelle actuelle et le désengagement de l'Etat laissent croire qu'il y aurait d'un côté la vie, réduite à ses urgences économico-environnementales et de l'autre son cadre compris comme superficiel et déconnecté des enjeux sociétaux.

Aujourd'hui tout autant qu'hier la véritable urgence est celle du projet ; qu'il soit de territoire ou de société, pour agir local il doit être situé. A contrario, quel est l'avenir d'un développement économique essentiellement marchand, fonctionnaliste, individualiste et cependant banalisé, indifférent aux formes du monde alentour et à celles qu'il produit ? Un paysage lorsqu'il est observé et interprété cesse d'être ordinaire. L'un des apports majeurs de cette démarche de qualité humaniste est de donner un cadre de vie à une écologie trop souvent ressentie comme stigmatisante afin de l'inscrire dans l'espace du vécu local et social. Car le regard n'est pas naturel et l'application de normes n'a jamais fait la qualité d'un projet. Encore faut-il qu'il soit de territoire et collectif, que ses objectifs soient qualitatifs et non pas seulement quantitatifs. A cet égard, la disparité d'ingénierie de projet est particulièrement discriminante entre les villes et les agglos qui ont les moyens de la réflexion sur leur territoire et les bassins de vie ruraux particulièrement démunis en zone de revitalisation rurale. Une proposition de définition d'Agence rurale d'urbanisme avait été discutée en ce sens au sein du collectif paysage comme susceptible de relayer une réforme de l'urbanisme comprise comme véritablement territoriale avant que d'être réglementaire (Plan Local de Territoire en lieu et place du Plan Local d'Urbanisme).
A cultiver dans le terreau du développement local.
Voir : http://www.collectifpaysages.org/
Contact : Jean Jacques VERDIER
Mél : jj.verdier(a)laposte.net


Réforme de la Pac - Les agriculteurs allemands contre les jachères écologiques
"Nous lançons une initiative contre la " boulimie de surfaces " en jachère, a annoncé lors d'une conférence de presse le président de la puissante fédération du secteur Dbv, Gerd Sonnleitner. Il espère récolter 50.000 signatures, seuil à partir duquel " le Bundestag (chambre basse du Parlement) devra se pencher sur notre requête ", a-t-il dit...
Voir : http://www.agrisalon.com/
fr/permalien/article/6160503/Les-agriculteurs-allemands-contre-les-jacheres-ecologiques.html


Le journal du web agricole
Voir : http://journalduwebagricole.blogspirit.com/


Guide pratique des maladies des bovins en poche
Après le succès de la 4ème édition de "Maladies des bovins" présentant plus de 200 pathologies parmi les plus courantes (1 700 photos et illustrations), l’éditeur publie en format 10X18 "le guide pratique des maladies des bovins".
L’ouvrage référence plus de 100 pathologies les plus courantes chez les bovins, illustré avec près de 600 photos et illustrations originales, rares et en couleurs.
Les auteurs, praticiens et enseignants vétérinaires ont uni leur savoir et leur savoir-faire pour regrouper dans un seul ouvrage l’essentiel des connaissances utiles pour le suivi des bovins vétérinaires. Ils détaillent pour chaque maladie les causes et les facteurs de risques, les symptômes, le dispositif général de lutte et le traitement.
Pratique en format poche, c’est un ouvrage indispensable pour les éleveurs et les acteurs de la santé animale.
>>>Les auteurs Jean-Marie Gourreau est vétérinaire, directeur de recherche à l’ANSES. Sylvie Chastant, Renaud Maillard et François Schelcher sont vétérinaires, professeurs à l’ENV - Toulouse. Jean-Marie Nicol est vétérinaire praticien rural.
Voir : http://www.lagalerieverte.com


Une année avec les pépiniéristes : l'arrachage de la pépinière
Comment fabrique-t-on un plant de vigne ? Quelle est la durée nécessaire ? Est-ce une production artisanale ou industrielle ? Pourquoi acheter local ? Le métier de pépiniériste est souvent méconnu de la filière viticole. Face à ce constat, le Syndicat des Pépiniéristes Viticoles de la Gironde et du Sud-Ouest* a décidé de faire partager aux viticulteurs ce métier.

Nous vous donnons ainsi rendez-vous tous les mois pour suivre les différentes étapes de la production d'un plant, faire connaissance avec la pépinière de la Gironde et du Sud-Ouest au travers de quelques chiffres et faire le lien avec les activités au vignoble.

Au programme ce mois-ci, l'arrachage de la pépinière.

Les plants traditionnels greffés au printemps dernier ont été plantés en pépinière en mai. Cette étape, qui dure 6 mois, permet la consolidation de la soudure, la formation des racines et la pousse d’une tige. Pendant l’été, la totalité des pépinières a été contrôlée par les techniciens de France AgriMer. Ils vérifient la pureté variétale (absence de mélange de cépages) et la traçabilité administrative. A la suite de ce contrôle, l’autorisation de commercialiser les plants en matériel certifié est délivrée.

>>> Une opération physique
Les bois sont maintenant aoûtés. Les premières gelées facilitent la chute des feuilles. Les plants peuvent être arrachés pour être triés, conditionnés, étiquetés et conservés en chambre froide. L’arrachage de la pépinière est une opération physique qui dépend des conditions météorologiques et demande l’intervention d’une main œuvre importante. C’est une opération délicate; chaque lot doit être étiqueté pour éviter les mélanges, au fur et à mesure de l’arrachage.

>>> Pendant ce temps à la vigne…
Les plantations de la saison 2012 peuvent déjà être préparées. Première étape, l’étude des sols pour évaluer leurs potentialités viticoles, leurs sensibilités à la dégradation et les contraintes culturales. Cette analyse préalable permettra d’adapter le matériel végétal en fonction du terroir et des objectifs de production. Elle guidera le viticulteur dans le choix des actions à mener pour préparer la parcelle. Enfin, elle déterminera la fertilisation à apporter avant plantation. Pour en savoir plus, demandez à votre pépiniériste la plaquette "Préparer ses plantations", rédigée en collaboration entre la Chambre d'Agriculture de la Gironde et le Syndicat des Pépinièristes Viticulteurs de la Gironde et du Sud-Ouest.

>>> La pépinière de la Gironde et du Sud-Ouest ce sont :
- 22 millions de plants greffés en 2011
- 43 adhérents du Syndicat des Pépiniéristes Viticulteurs de la Gironde et du Sud Ouest qui représentent 80 % des mises en œuvre.
- En 18 ans, évolution vers une diminution du nombre de pépinières viticoles (-41%) et une augmentation du nombre de plants produits (+ 15%).

* Depuis sa création en 1931, Le Syndicat des Pépiniéristes de la Gironde et du Sud-Ouest reste fidèle à sa vocation première : "mettre en commun des moyens, défendre les intérêts de chacun". De cet engagement sont nés une culture et un esprit qui guident ses actions au quotidien. Le Syndicat représente ses adhérents auprès des différents services et administrations. Il défend la profession sur le plan fiscal et juridique. Il informe l'ensemble de la filière par de nombreux documents et par sa commission technique. Il fédère et rassemble la profession. Son Président est David Amblevert.
Contact : Magali TEMPLIER
Mél : m.templier(a)gironde.chambagri.fr

AgriXchange
Vous êtes intéressé par les échanges de données informatisées en Agriculture, enregistrez-vous sur le site :
http://www.agriXchange.eu

Trois rendez-vous pour télédéclarer les demandes d'aide Pac sur Internet
…Puis à partir du 1er mars et jusqu’au 15 mai 2012 inclus, ce sera le tour de la prime au maintien du troupeau de vaches allaitantes (PMTVA). Enfin, du 1 er avril au 15 mai 2012 inclus, tous les agriculteurs pourront...
Voir : http://www.journalduwebagricole.fr/archive/2012/01/11/trois-rendez-vous-pour-teledeclarer-les-demandes-d-aide-pac.html


Sélectionner très tôt des tilapias mâles
L’élevage des tilapias n’est rentable que s’il porte uniquement sur des populations mâles. Mais les méthodes d’inversion hormonale utilisées pour produire de telles populations présentent de nombreux inconvénients. Le Cirad explore depuis plusieurs années une approche génétique. Il vient de découvrir le moyen de sélectionner très tôt des géniteurs à descendances mâles grâce à un gène présent dans la tête des alevins.
Chez le tilapia, le contrôle du sexe est une préoccupation majeure pour les producteurs. Les mâles grossissent plus vite que les femelles, et ces dernières font des petits tous les mois dès l’âge de 4 mois. L’utilisation de populations monosexes mâles permet donc d’optimiser la croissance des animaux en élevage et la transformation de l’aliment. Cependant, ces populations sont principalement produites par des techniques d’inversion hormonale, qui soulèvent bien des questions pour l’environnement et le consommateur. Afin de trouver une alternative à ces pratiques, une équipe du Cirad propose deux approches, l’une environnementale, qui repose sur l’effet masculinisant des fortes températures, l’autre génétique, qui passe par l’utilisation de géniteurs à descendances monosexes mâles, les mâles YY.

>>> Produire des populations monosexes
Pour sélectionner les mâles YY, à descendances monosexes mâles, il faut faire appel à des approches indirectes comme le testage sur descendances, car il n’existe pas de chromosomes sexuels différenciés chez la plupart des poissons. En analysant le sex-ratio d’une descendance, on peut identifier le génotype sexuel (XX, XY, YY) de ses parents. Seul problème : pour sexer les descendants, et donc identifier les parents intéressants, il faut attendre 4 à 5 mois. Tous les laboratoires travaillant sur le tilapia recherchaient donc dans les gonades des marqueurs moléculaires qui permettraient un sexage précoce, efficace et simple.

>>> Un gène dimorphique lié au sexe dans la tête des alevins
L’équipe du Cirad a eu l’idée de regarder dans la tête des alevins. Elle y a trouvé un gène considéré jusque-là comme typiquement gonadique chez tous les vertébrés, qui présentait un énorme dimorphisme d’expression lié au sexe, beaucoup plus précoce dans le système nerveux central que dans les gonades. En utilisant des mélanges de populations monosexes mâles et monosexes femelles, elle a constitué des lots de différents sex-ratios connus (100 % de femelles, 75 %, 50 %, 25 % et 0 %) et a réalisé, en aveugle, un sexage moléculaire sur chacun des lots d’alevins âgés de 14 jours. Le reste de chaque lot était conservé et sexé à 4 mois par la technique classique. Les sex-ratios identifiés à 14 jours correspondent à 100 % à ceux trouvés à 4 mois.
C’est une nouvelle étape franchie pour un contrôle du sexe chez le tilapia par des approches respectueuses du consommateur et de l’environnement.
Voir : http://www.cirad.fr/nos-recherches/resultats-de-recherche/2010/node_5706

 

La gazette Agrisalon du Crédit Mutuel
Voir : http://www.agrisalon.com


Des pertes supérieures à 100 M € : l’industrie d’abattage-découpe de porc au bord du gouffre
Pour l’industrie d’abattage et découpe de viande porcine, la maison brûle. Prises en étau, les entreprises manquent d’air et c’est maintenant l’agonie qui les guette : les pertes de l’année 2011 dépassent 100 millions d’euros… Du jamais vu.

En ce début 2012, c’est donc un cri d’alarme et un appel à la responsabilité qu’il convient de pousser pour la filière porcine française. Après plusieurs années de grandes difficultés, les éleveurs ont retrouvé des perspectives. Tant mieux ! Cette évolution était nécessaire pour eux et il convient sans doute de la consolider. Mais combien de temps pense-t-on pouvoir vivre en vase clos alors que nous sommes en réalité dans un marché européen de plus en plus ouvert ? Peut-on s’inscrire dans l’objectif d’être les plus chers en Europe et avoir en même temps des ambitions exportatrices sur des marchés où nos concurrents ont un double avantage : celui d’une matière première moins chère et de coûts de transformation plus compétitifs ? L’embellie risque donc d’être de courte durée si le système s’effondre par l’aval.

>>> Réformer notre modèle pour sortir de la sclérose du marché
A la lecture euphorisante du bilan 2011 du Marché du Porc Breton, c’est certes un tout autre diagnostic que portent les « experts » sur l’état de santé du secteur. « Record de prix depuis 10 ans, forte demande à l’export, situation qui tourne à l’avantage des éleveurs, Objectif 2012 : le cadran à 1,40… » : les raisons de se réjouir seraient nombreuses en ce début d’année. En réalité, elles sont autant d’illusions et de dénis de réalité. Quand sonne le glas pour les entreprises d’abattage-découpe, l’air joué par la fanfare[1] du Marché du Porc Breton ressemble fort à celui de l’orchestre du Titanic… Dans le futur, à quoi serviront les records au marché au cadran si les éleveurs ne sont plus payés par des abattoirs en faillite ?

Osons pour une fois regarder les choses en face. La charge à la fois la plus importante et la plus volatile de la filière porcine est celle de l’alimentation animale et les éleveurs de porcs sont soumis depuis des années aux aléas du marché des céréales et des oléoprotéagineux. Alors, posons cette question : pourquoi l’aval de la filière porcine doit-il toujours être la variable d’ajustement du marché céréalier ? Pourquoi les entreprises d’abattage sont-elles prises à partie, vilipendées, accusées, rendues responsables des difficultés des éleveurs alors qu’aucun compte n’est jamais demandé à l’industrie de l’alimentation animale et au secteur des grandes cultures ? Eux, ne sont jamais critiqués sur leurs marges. Or ce sont les industriels des viandes que l’on retrouve à la barre du tribunal de l’observatoire des prix.

Ainsi, pendant que leurs fournisseurs spéculent, les éleveurs préfèrent s’en remettre au cérémonial quasi-liturgique du marché au cadran. Cette organisation, qui impose à chaque abattoir un règlement intérieur dans lequel les devoirs (par exemple un quota obligatoire d’achat de porcs) sont bien plus nombreux que les droits, défie en permanence les principes les plus élémentaires de la concurrence. Rappelons encore que le MPB côte un produit virtuel : seulement 3,9 % des carcasses produites en France répondent à la définition du prix de base [2].
Cette référence basse a sans doute des vertus concernant l’action syndicale : afficher un cours le plus bas possible aide à légitimer la revendication. Mais, elle gène assurément les entreprises d’abattage-découpe pour établir une chaîne de valeur suffisante face à des clients qui peuvent prendre en référence un « prix cadran » sciemment sous-évalué et les met en situation de faiblesse.
Sur ces seuls constats, on peut se demander si la France n’aurait pas la filière porcine la plus bête du monde !

>>> Reprendre la main sur le marché européen
Aujourd’hui, nous voulons dire la vérité : ce modèle, si puissant pour porter le développement durant les « 30 glorieuses » de la filière porcine, est à bout de souffle. Il ne crée plus de développement ; il ne crée plus de valeur. Cette réalité s’exprime dans les chiffres : la production porcine française a commencé son déclin. En 15 ans, de 1986 à 2000, les abattages français de porcs ont progressé de 1,7 à 2,1 millions de tonnes (+ 25%). Dans la décennie qui a suivi, ils ont stagné puis amorcé une baisse à 2 millions de tonnes (-5%).

Dans le même temps, entre 2000 et 2009, la production allemande bondissait de 23%, l’Espagne augmentait de 17%, le Danemark de 15% et même l’Italie de 14%.

Pire, ce modèle sclérosé fait de l’économie porcine française le marchepied sur lequel les pays concurrents prennent appui pour s’arbitrer. En 2003, une pièce de porc sur six commercialisées en France n’était pas d’origine française ; en 2010, cela représente une pièce sur cinq : sur la seule année 2010, les importations de pièces de porcs, principalement en provenance d’Espagne et d’Allemagne, ont augmenté de 3,9%. L’Espagne déverse aujourd’hui 280.000 tonnes de pièces de porc, principalement des jambons, sur le marché français et les importations allemandes ne cessent de croître avec 75.000 tonnes. Au-delà de la matière première à très bas prix, ces pays apportent aujourd’hui sur le marché français de la valeur ajoutée et du service grâce à leur faible coût de main-d’œuvre.

Le résultat n’est pas glorieux pour la balance commerciale de la France déficitaire de 115 millions d’euros en 2010 pour l’ensemble du secteur porcin (animaux, viandes et charcuterie), alors qu’elle était régulièrement excédentaire jusqu’en 2006. Concernant les viandes fraîches et congelées, le solde commercial français s’est considérablement détérioré passant de 41,1 M€ en 2009 à 21,1 millions en 2010 et il est presque 7 fois moins important que ce qu’il était il n’y a que 5 ans (141,3 millions d’€ en 2006). Nous avons perdu la main en Europe. Pendant combien de temps encore les thuriféraires du modèle porcin français vont-ils aveuglément nier cette évidence pour esquiver toute remise en question ?

>>> Les entreprises d’abattage-découpe face à leur responsabilité
Le bilan de l’année 2011 tient en quelques chiffres et il est calamiteux pour l’industrie.
A l’achat, les cours à la production ont affiché en 2011 leur plus haut niveau depuis 10 ans : le prix de base du marché du porc breton (MPB) s’établit à 1,309 €/kg pour un prix moyen réellement payé aux éleveurs supérieur à 1,50 €. De l’autre côté, à la vente, les conditions du marché et de la concurrence sont de plus en plus rudes, de plus en plus impitoyables.

Pour autant elles ne sont pas acceptables lorsque l’abaissement sans limite des coûts de transformation conduit à restaurer l’esclavagisme dans les abattoirs allemands pour accéder à des coûts de main-d’œuvre inférieurs à 7 €/h. Par quels dérèglements de l’Europe cela est-il possible ?

Elles ne sont pas acceptables lorsque l’on trouve ces derniers jours dans les linéaires des grands distributeurs français de la longe avec os à 2,19 €/kg et des côtes de porc à 2,29 (donc seulement 10 centimes pour découper et conditionner !) ou de l’épaule de porc à 1,69 soit un prix inférieur à celui de la matière première additionné des coûts d’abattage et découpe ! Par quelle interprétation de la LME cela est-il possible ?

Elles ne sont pas acceptables lorsque le prix du jambon frais VPF payé par les salaisonniers est arbitré de façon collective sur celui de l’offre espagnole. Par quel reniement de l’accord interprofessionnel sur l’étiquetage de l’origine cela est-il possible ?

Dans tous les cas, les grands clients imposent, d’une façon ou d’une autre, aux abattoirs français de s’aligner sur le prix européen et verrouillent des conditions d’achat drastiques par des cahiers de charges définis unilatéralement aux termes desquels on voit s’empiler les pénalités, retailles de prix et autres retours de marchandises sans la moindre possibilité de recours vers l’amont. Là encore les entreprises d’abattage-découpe jouent le rôle de variables d’ajustement de la filière. La perte de contrôle du système est telle que, dans certains cas, des obligations légales comme le délai de paiement ne sont même plus respectées…

Côté consommation, rien ne va plus : le modèle français pense soutenir la consommation en alimentant un flux de porcs poussés de l’amont vers l’aval, alors que tous les modèles performants d’aujourd’hui sont tirés par la demande. Le résultat se lit dans l’actuelle baisse historique de la consommation de viande de porc (-3,3% en 2011 selon KantarWorld Panel), alors que la volaille consolide sa position dans les linéaires. Un exemple à venir de cette impasse stratégique concerne la qualité des viandes et leur acceptation par les consommateurs : il reste peu de temps avant de voir dans nos abattoirs des porcs non castrés (parce qu’il en va de l’intérêt économique des éleveurs) tandis que les cahiers des charges des salaisonniers en refuseront la viande…

On le voit, ce modèle ne peut qu’entraîner de nouvelles baisses de consommation dans le futur.

>>> Résoudre la crise structurelle du modèle industriel
Le résultat de cette situation est sans appel : les entreprises d’abattage-découpe suffoquent au point d’être aujourd’hui en danger de mort. Certes, la finalité économique de ces entreprises n’est pas la même selon qu’elles sont indépendantes, coopératives ou filiales de groupes de distribution. De nombreux déséquilibres proviennent de ces différences structurelles qui n’interpellent personne, mais conduisent à des divergences stratégiques expliquant une partie du désordre actuel.

Or les règles et les conditions du marché s’imposent à toutes les entreprises : avoir un comportement loyal sur le marché, connaître les coûts, optimiser sa compétitivité, définir le vrai prix de revient et ceci sur tous les produits : pièces de découpe, produits demi sel, viandes piécées, saucisserie… Plus on va vers le produit élaboré, vers ce que certains pensent être l’eldorado de la valeur ajoutée, plus en réalité on n’a que des coûts ajoutés. Soumises au carcan du modèle économique actuel, les entreprises en perdent leur capacité à respecter les principes économiques de base. Cette crise structurelle de la politique industrielle du secteur a atteint son paroxysme en 2011, entraînant l’ensemble des opérateurs dans une paupérisation extrême.

100 millions de pertes au bas mot : ce chiffre vertigineux suffira-t-il à une prise de conscience collective pour changer les choses ? A un moment où la situation devient critique en France pour l’emploi industriel, nos gouvernants doivent savoir que le déclin de la filière porcine française est aussi le résultat d’une passivité coupable des pouvoirs publics à son égard.

La dégénérescence économique s’installe dans cette filière et la spirale de la destruction de valeur tourne à plein régime faisant plonger tous les maillons économiques. Il n’y a pourtant pas de fatalité à ce que la viande porcine, par la banalisation qui en est faite à tous les niveaux, conserve le triste record de protéine animale la moins chère du marché en France, et en Europe, alors qu’on la retrouve bien mieux valorisée dans les linéaires des magasins russes ou chinois ! Une exception qui ne pourra pas durer…

L’hémorragie est déjà abondante, mais le pire peut encore être évité. Il faut pour cela accepter beaucoup de remises en cause et s’engager dans une réforme profonde du modèle économique. En ferons-nous un consensus ? En aurons-nous le courage ? En trouverons-nous la volonté ? Il nous reste peu de temps pour agir dans ce qui devrait être un véritable « Grenelle de la filière porcine française ». Il est plus que temps de redresser la tête et de se retrousser les manches. Des milliers d’emplois sont en jeu.

[1] cf le journal Les Marchés du 2 janvier 2012

[2] Le MPB côte un porc à 56 points de TMP alors que la moyenne des carcasses est aujourd’hui à 61 points (soit un différentiel de 21 ctes/kg).

Contact : François CASSIGNOL
Mél : francois.cassignol(a)snivsncp.fr


Quiz 2 : Imbattable sur les constructeurs allemands ?
Quatre quiz pour tester vos connaissances sur les marques d'outre-Rhin.
Voir : http://www.linternaute.com/auto/questionnaire/fiche/13487/d/f/1/


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Un reçu vous sera adressé
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L'AFIA est membre fondateur de l'European Federation for Information Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net


Du côté du ForumPhyto LesInfos 1202 23 janvier 2012
> « Enfin la vérité sur les pesticides » (ANDEF, Brésil)

> « Sauver la pomme originelle pour avoir des fruits sans phytosanitaires » ( ?) (AFP)

> Lutte biologique contre la mouche de l’oignon (Canada)

> Guide des bonnes pratiques phytosanitaires pour la banane (Coleacp/PIP)

> Formation au logiciel Diaphyt de réduction des risques phytosanitaires (ACTA)

> Pesticides contrefaits = possibles explosifs (Europol)

> Coccinelle Asiatique (Dossier de liens, B Peiffer)

> « Mes champignons sont plus intelligents que votre étudiant d’honneur »

> Pour sourire : « Thanks, Jesus, for this food. De nada »

> Principe de précaution expliqué aux enfants (2)

> Pour sourire : L’abus d’alcool peut être dangereux…


Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne
- Remboursement partiel de la taxe sur les produits pétroliers : la mesure est reconduite pour les consommations 2011. Les dossiers sont à déposer avant le 15 avril 2012.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/fileadmin/documents/pac/p1065001.htm

- Conjoncture pétrolière : malgré le ralentissement économique et ses conséquences sur le prix des matières premières, le marché du pétrole reste tendu pour des raisons tenant largement à la politique internationale.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/espace-grand-public/economie-agricole/perspectives-petrolieres.html


- Transferts de référence herbe : l'intégration du maintien des prairies dans la conditionnalité a amené la création de "références herbe". Celles-ci peuvent être modifiées suite à divers évènements. Les formulaires et notices 2012 sont disponibles.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/politique-agricole/conditionnalite/references-herbe.html


- Activation des DPU en 2012 : pour l'essentiel des situations à partir des surfaces déclarées, y compris le cas échéant l'emprise des particularités topographiques.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/politique-agricole/dpu/activation-des-dpu.html


  La gazette Pleinchamp du Crédit Agricole
Voir :
http://www.pleinchamp.com

Du côté du n° 151 de la lettre d'information des filières de l'élevage, des produits de la mer et de l'aquaculture, des plantes aromatiques, des vins, des fruits, des légumes, de l'horticulture et des grandes cultures
Voir : http://www.office-elevage.fr/actu/actu-FAM-151.htm

>>> FranceAgriMer
> FranceAgriMer participe à l’European Seafood Exposition à Bruxelles, du 24 au 26 avril 2012 : L’European Seafood Exposition, salon professionnel international pour la filière des produits de la pêche et de l’aquaculture se tiendra du 24 au 26 avril 2012 à Bruxelles. Les entreprises françaises souhaitant rejoindre FranceAgriMer au sein du pavillon France peuvent télécharger le dossier d’inscription et le retourner dûment rempli et signé, accompagné du règlement correspondant par voie postale.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/even/even.htm

> FranceAgriMer sera à la Foire de Vérone en Italie les 2 & 3 février 2012.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/even/even.htm#2012

>>> Filière de l'élevage et de ses productions
Le nouveau dispositif d'établissement des cotations des viandes bovines a démarré cette semaine avec les cotations GBEA de la semaine 3 de l’année 2012. Cette importante évolution du dispositif vise à améliorer la représentativité, et la qualité des cotations GBEA ainsi que leur adéquation aux besoins des marchés et des opérateurs, cela dans le strict respect des obligations communautaires.

Cependant, des difficultés techniques et informatiques nous conduisent à publier avec retard les grilles de cotations au nouveau format. Nous mettons tout en œuvre pour, dès la semaine prochaine, publier celles-ci dans les meilleurs délais.
Par ailleurs, nous attirons votre attention sur le fait qu’il convient d’interpréter avec prudence les premières données de cotations GBEA en nouveau système. En effet, celui-ci est appelé à s’améliorer encore pour devoir rapidement atteindre un niveau de représentativité supérieur à celui du précédent système. D’autre part, l’architecture même du nouveau référentiel de prix peut conduire le lecteur à apprécier différemment l’interprétation des chiffres, notamment en raison du degré de finesse supérieur des nouvelles cotations GBEA (tiers de classe, le cas échéant avec des critères de type, âge, poids, race des animaux).

> Elevage
* Cotations (viandes et lait), prix à la production
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/indexcot.htm
* Hebdo conjoncture élevage
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index427.htm#hebdo_elev

> Produits laitiers :
* Informations/Marchés & Filières/Statistiques :
Voir : http://www.office-elevage.fr/cotations/lait/pcot-lait/indexcot-lait.htm
* Enquête laitière "fabrications mensuelles françaises", secteur bio et non bio
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-ens/statistique2.htm
* Statistiques : Retrouvez les chiffres du commerce extérieur lait et produits laitiers
Voir : http://www.office-elevage.fr/statistiques/statistique1.htm

> Filière lait / Statistiques : Mise à jour de l’Enquête Mensuelle Laitière pour le lait bio de août à novembre 2011
Voir : http://www.office-elevage.fr/stats-lait-mens/statistique2.htm

>>> Filière grandes cultures
> Filière Grandes Cultures / Cotations : Quotidiennement les cotations FAW et FCW dans la rubrique Marchés :
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index421.htm#Cot_FCW_FAW
Hebdomadaire :
- Tous les mardis les cotations à terme FAW et FCW pour le blé, les FMB orges de brasserie, ainsi que les cotations rendu port pour les principales céréales françaises (blé, orge, maïs, blé dur...) :
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index421.htm#Cot_FCW_FAW
- Tous les jeudis soir retrouvez les dernières nouvelles du Comité de gestion des céréales à Bruxelles dans « le Céré-hebdo » :
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/08publications/index81.htm

> Filière Oléo-protéagineux : Mise à jour des données de surface, production et collecte 2010 / 2011 et 2011 /2012.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index422.htm
* Mise à jour des données de trituration pour décembre 2011.
* Statistiques de collecte et de stocks, du commerce extérieur et des Fabricants d'aliments du bétail

>>> Filière des produits de la mer et de l'aquaculture
> Filière Pêche et Aquaculture : Tableau hebdomadaire des chiffres clés, les notes des ventes en halle à la marée, pour : la Baudroie, le Merlu, la Seiche, le Bar, la coquille Saint-Jacques, et la note hebdo ports.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index429.htm

> Filière Pêche et aquaculture : Synthèse mensuelle des cotations pour décembre 2011.
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index429.htm


>>> Filière des vins, des fruits, des légumes et de l'horticulture
> Filière Vin / Cotations :
* Constatation nationale des prix moyens d’achat de vin en vrac
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426.htm
* Le communiqué de prix et l'historique de la campagne S25 du 13/01/2011
Voir : http://www.franceagrimer.fr/Projet-02/04infos_eco/index426b.htm


Du côté de l’Institut de l’élevage
>>> Toutes filières
> 2 conférences pour mieux analyser les marchés mondiaux des viandes et des produits laitiers en 2012 - A retenir sur vos agendas : le 12 et le 13 avril prochain à Paris

> Prix de thèse de l’AFZ 2011

> Un nouveau site Internet pour l’IRSTEA (ex-Cemagref)

> Les flux d’azote liés aux élevages : réduire les pertes, rétablir les équilibres

> Guide pour la réalisation de bilans des émissions de gaz à effet de serre d’une organisation du secteur agricole et agroalimentaire

>>> Bovins lait
> Développer le lait bio en Basse-Normandie

> Déclaration et enregistrement des taureaux d’insémination

> Base de données d’appui technique ovin - Bourgogne 2010 - Résultats 2010 et évolution sur 10 années

> Agriculture biologique entre mythes et réalités - Compte rendu du séminaire du 20 avril 2011 à Caen

> Conservation génétique - 4.200 animaux conservés à la Cryobanque- Vidéo en direct des 18èmes journées 3R avec Terre-net Web TV

> Reprendre ou créer une exploitation… Simple comme un coup de fil

> Le premier cas de virus de Schmallenberg détecté en France

> Le parage des bovins. Agir maintenant avec méthode

> L’utilisation d’antibiotiques est en hausse chez les bovins

> Filière laitière : les coopératives s’expriment sur le web

> Stages et Offres d'emploi : Faisabilité de la mise en place d’un observatoire de la variabilité génétique à partir de données moléculaires

>>> Bovins viande
> Déclaration et enregistrement des taureaux d’insémination

> Conservation génétique - 4.200 animaux conservés à la Cryobanque - Vidéo en direct des 18èmes journées 3R avec Terre-net Web TV

> Accédez en ligne aux index officiels des taureaux d’Insémination Animale de monte publique - Actualisation au 30 janvier 2012

> L’utilisation d’antibiotiques est en hausse chez les bovins

>>> Ovins viande
> Base de données régionale ovine Auvergne - 2010 - Résultats 2010 et évolutions sur 21 années

> En élevage ovin viande, investir dans des bâtiments spécialisés

>>> Caprins
> Résultats techniques et économiques caprins - 2009/2010 - Réseaux d’élevage caprins - région Centre

> Commercialisation des fromages de chèvre fermiers en région Centre

 


Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea)
>>> Actions et revendications
> La profession agricole rencontre François Hollande
La FNSEA et François Hollande s’entendent sur la nécessité d’une agriculture productive et sur leur vision de la Politique Agricole Commune. La TVA emploi a fait, quant à elle, objet de divergence puisqu’elle est contestée par le Parti socialiste mais soutenue depuis de nombreuses années par le syndicat. (01/02/2012)

> Réaction de la FNSEA à l’intervention télévisée du Président de la République
Depuis 15 ans, la FNSEA milite pour une « TVA emploi » à même de redonner de la compétitivité à l’agriculture et à l’agroalimentaire français. Nous étions donc très attentifs aux annonces de Nicolas Sarkozy en la matière. (31/01/2012)

> Satisfaction autour de la TVA sociale
Depuis 15 ans, le syndicat agricole majoritaire demande une « TVA emploi » pour redonner de la compétitivité à l’agriculture et à l’agroalimentaire français. (30/01/2012)

> Viticulture : droits de plantation et règlementation communautaire
La viticulture française demande un encadrement des droits de plantation pour l'ensemble des pays de l'Union européenne. (24/01/2012)

> Coût du travail en agriculture
Reçu en marge du sommet social réunissant les partenaires sociaux, le 18 janvier dernier, Xavier Beulin, président de la FNSEA, a rappelé au chef de l’Etat l’enjeu de la réduction du coût du travail pour la compétitivité des secteurs agricole et agro-industriel. (20/01/2012)

>>> Informations générales
> Deux cas de virus de Schmallenberg
Après la confirmation de deux cas du virus de Schmallenberg affectant les ruminants, vous souhaitez avoir plus d'informations. (31/01/2012)

> Rencontre entre syndicats agricoles français et italiens
Le 27 janvier dernier, deux syndicats agricoles - français et italiens - se sont rencontrés à Rome pour un entretien bilatéral sur la réforme de la PAC. (30/01/2012)

> Bien-être animal : nouvelle stratégie de la Commission européenne
La Commission vient de rendre publique sa nouvelle stratégie sur le bien-être animal pour la période 2012-2015. (25/01/2012)

> La Politique Agricole Commune fête ses 50 ans !
La PAC fête aujourd'hui ses 50 ans d'existence. Pour l'occasion, la Commission européenne lui a consacré un site dédié pour partager l'évènement avec l'ensemble des citoyens européens. (23/01/2012)

> Conditions d’indemnisation des calamités agricoles
Le ministère de l’agriculture a publié le 18 janvier au Journal Officiel, les conditions de reconnaissance et d’indemnisations des calamités agricoles. (20/01/2012)


Quiz 3 : comprenez-vous les acronymes du monde du travail ?
CHSCT, Dif, PSE... Les sigles sont omniprésents dans les entreprises. Mais en connaissez-vous le sens ?
Voir : http://www.journaldunet.com/management/questionnaire/fiche/16348/d/f/1/

 

 

Intech-open : Une bibliothèque scientifique gratuite en ligne (in English)
>>> Version française
Voir : http://www.forumphyto.fr/
2012/01/06/intechopen-une-bibliotheque-scientifique-gratuite-en-ligne-in-english/


>>> English version
See: http://www.forumphyto.fr/
en/2012/01/06/intechopen-une-bibliotheque-scientifique-gratuite-en-ligne-in-english/

Contact : Jean-François PROUST
Mél : jf.proust(a)forumphyto.fr


LinkedIn : comment optimiser la puissance de votre réseau ?
Entreprises, professionnels, recruteurs ou demandeurs d'emploi... Comment bien maîtriser le plus grand réseau social professionnel au monde ?
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/le-net/bonnes-feuilles-linkedin/



Noël booste les téléchargements d'applications mobiles
Le nombre de téléchargements d'applications mobiles sur iOS et Android a progressé de 60% au cours de la dernière semaine de 2011.
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/internet-mobile/telechargements-applis-mobiles-a-noel-0112.shtml



Wikimedia a reçu 20 millions de dollars de dons
Plus d'un million de donateurs ont répondu présent à la campagne d'appel aux dons qui permet chaque année à l'encyclopédie en ligne de boucler son budget.
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/le-net/dons-wikipedia-0112.shtml



Inde : six personnes arrêtées dans la "capitale" du spam
Voir : http://www.linformaticien.com/
actualites/id/22921/inde-six-personnes-arretees-dans-la-capitale-du-spam.aspx



Free Mobile : Numéricable s'aligne, Orange s'énerve
Voir : http://www.linformaticien.com/
actualites/id/23229/free-mobile-numericable-s-aligne-orange-s-enerve.aspx



Etude sur le positionnement et le taux de clics dans les résultats des moteurs de recherche
Une nouvelle étude, datée de septembre 2011, compare les taux de clics dans les pages de résultats des moteurs de recherche entre 2006 et aujourd'hui. Les choses ont changé en 5 ans...
Voir : http://actu.abondance.com/2012/01/etude-sur-le-positionnement-et-le-taux.html



 

Du côté de Linux et des Logiciels Libres
Bonjour et bonne année pleine de logiciels libres.

En fin d'année, je mets à jour mon ordinateur.
Je commence par Mandriva 2011.
Il est beau, il s'installe de plus en plus à la Ubuntu ou à la Micromachin. Sans rien dire.
J'aime bien Mandriva à cause de son MCC, son centre de contrôle que toutes les distributions devraient copier.
J'avais déjà abandonné la version KDE parce qu'elle était trop gourmande en ressources machine, et opté pour Gnome. En plus, Gnome est complètement libre...

Et le nouveau est basé uniquement sur KDE. Bref, j'ai abandonné, car je ne pouvais même pas jouer au casse-brique sans que l'affichage se fasse en pointillé.

Je précise que cette version s'installe avec des téléchargements. Si vous n'avez que du bas débit, l'installation risque de durer.

J'ai essayé le dernier Ubuntu. L'interface est unity. J'ai le même problème. Les programmeurs doivent avoir des bêtes de compétition comme ordinateur.

Je me suis alors tourné vers Xubuntu, un bureau léger Xfce. Et cette fois, je suis satisfait. Plus de tremblements, fluidité. Ce n'est plus la peine de penser à me payer une machine plus puissante avec une carte graphique qui défrise.

La dernière version du noyau 3.0 est installée. Et ça me fait une belle jambe. Qu'a-t-il de plus que ces prédécesseurs ?

Et il y a la grande logithèque Ubuntu derrière. Bénie soit-elle !

Ces nouveaux bureaux sont assez déroutants dans un premier temps, et il faut aller dans les coins pour y retrouver son chemin. Par exemple, la barre d'outils du l'application lancée se retrouve dans la barre des tâches. Je l'ai cherchée un moment... Un double clic dessus, et la fenêtre se détache de la barre des tâches. Il faut le savoir.

Les catégories d'applications se montrent dans une fenêtre transparente, sur le bureau. Il n'y en a que quelques-unes, et un lien pour en afficher plus (genre : afficher 85 autres !). Il y a celles qui sont installées et celles suggérées à l'installation. Parfois, il y a une grille des catégories, et on peut naviguer. Bref, il faut un an pour s'y habituer, et au bout de deux ans, ce sera une nouvelle interface. Je médis, comme d'habitude, mais c'est pour la rime.

Contact : Alain LE DILOSQUER
Mél : ledilo(a)cetiom.fr

HYPP, Hypermédia pour la protection des plantes


HYPP est un compagnon très intéressant qui m apporte un grande satisfaction et m enrichit énormément car ma formation agricole limitée ne m a pas permis durant ma jeunesse d accéder a une connaissance élargie de la biologie…
Un témoignage de M. Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr

Voir :
http://www.acta-informatique.fr?d=5183



The sensitive man
A woman meets a man in a bar. They talk; they connect; they end up leaving together. They get back to his place, and as he shows her around his apartment.

She notices that one wall of his bedroom is completely filled with soft, sweet, cuddly teddy bears. There are three shelves in the bedroom, with hundreds and hundreds of cute, cuddly teddy bears carefully placed in rows, covering the entire wall ! It was obvious that he had taken quite some time to lovingly arrange them and she was immediately touched by the amount of thought he had put into organizing the display. There were small bears all along the bottom shelf, medium-sized bears covering the length of the middle shelf, and huge, enormous bears running all the way along the top shelf.

She found it strange for an obviously masculine guy to have such a large collection of Teddy Bears. She is quite impressed by his sensitive side but doesn't mention this to him.

They share a bottle of wine and continue talking and, after a while, she finds herself thinking: 'Oh my God! Maybe, this guy could be the one! Maybe he could be the future father of my children?'
She turns to him and kisses him lightly on the lips. He responds warmly. They continue to kiss, the passionbuilds, and he romantically lifts her in his arms and carries her into his bedroom where they rip off each other's clothes and make hot, steamy love. She is so overwhelmed that she responds with more passion, more creativity, more heat than she has ever known.

After an intense, explosive night of raw passion with this sensitive guy, they are lying there together in the afterglow. The woman rolls over, gently strokes his chest and asks coyly, 'Well, how was it?'

The guy gently smiles at her, strokes her cheek, looks deeply into her eyes, and says:

'Help yourself to any prize from the middle shelf'.


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