Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone
d’informatique agricole (Afia)
Voir : http://www.informatique-agricole.org/gazette/afia/gaz_120301_09.htm
Les archives
de cette gazette sont disponibles sur le site de l'AFIA
Voir : http://www.informatique-agricole.org
La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique
agricole" est réalisée avec le concours de vitisphere.com
Voir : http://www.vitisphere.com/
E-Track animal GPS tracking survey
Do you plan or are you already working with GPS tracking of animals?
Are you interested in improving the system? Then, please help us to
refine user requirements, fill in our survey and win a Garmin eTrex10
GPS receiver!
See: https://fs6.formsite.com/Noldus/form35/secure_index.html ”
Contact: Tamme VAN DER WAL
E-mail: Tamme.vanderWal(a)aerovision.nl
Question à René FRYDMAN : Vous avez dit que "refaire"
Amandine serait impossible, du fait des réglementations qui entourent
la recherche sur la reproduction. Elles vous semblent inutiles ?
R. : Entre faire n'importe quoi et ne pas faire, il y a un juste
milieu. Aujourd'hui, le poids de l'idéologie rétrograde et la peur
des politiques ont entraîné une glaciation dans notre pays. Nous sommes
obsédés par le statut de l'embryon. C'est un tabou. On a abouti à
une situation où la recherche sur l'embryon est interdite... sauf
dans les cas dérogatoires où elle est autorisée ! C'est un maquis
incompréhensible et décourageant pour les jeunes qui choisissent les
sciences du vivant. Pendant ce temps, d'autres pays avancent, comme
les Etats-Unis ou le Japon.
Voir : http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/02/19/
rene-frydman-le-statut-de-l-embryon-reste-tabou_1644509_3232.html
Une petite blague française, qui circule en Belgique, en guise
de gentille et timide "revanche"...
The Artist, le film muet, rafle 10 nominations aux Oscars, une
première pour un film français !
Comme quoi, quand les français ferment leurs gueules, tout le monde
les apprécie !
Contact : Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
Ma remarque (GW) : Cette blague a été publiée en anglais dans la gazette
du 16 février. Elle n’est donc peut-être pas que belge.
Ce n’est pas pour contrarier Luc (!), mais il faut noter que les belges
se moquent autant de nous que nous d’eux. Entre voisins, tout est
permis !
A thought for today
You must be the change you wish to see in the world - Mohandas
K. GANDHI (1869-1948)
A second thought
Never cut what you can untie - Joseph JOUBERT, essayist (1754-1824)
A third one
Few things are more satisfying than seeing your children have
teenagers of their own - Doug LARSON, columnist (b. 1926)
ICT-AGRI
|
All
who work with ICT in agriculture should register at: http://db-ictagri.eu
A recommendation by Nicolaï Fog HANSEN - EFITA President
E-mail: nfh(a)lr.dk
|
A refreshingly new Dublin concept of "Finishing School ..."
See: http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&NR=1&v=kTAtg7mvbs4
Une aurore boréale embrase le ciel finlandais
Voir : http://www.lemonde.fr/videos/?id=1634676#0
Un regard sur la Russie
Voir : http://www.lecourrierderussie.com/ads/newsletter_fevrier_1_12.html
Voir : http://www.lecourrierderussie.com
Détente !
Voir : http://www.youtube.com/watch_popup?v=qybUFnY7Y8w
Protégez-vous ! Bien que connue, cette excellente vidéo
devrait être programmée régulièrement pour beaucoup d'individus de
tous âges ...!!!!
Voir : http://www.youtube.com/watch?v=RQAMEOqkoM4
Du côté du site de la CDA de Haute-Marne (un exemple pour vous
tous)
Pour info, j’ai mis un lien vers les lettres AFIA
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/actualites/e-commerce-et-internet.html
Contact : Christian RENAUDIN
Mél : crenaudin(a)haute-marne.chambagri.fr
Ce 61ème numéro du courrier de l'environnement de l'Inra
consacre trois articles qui concernent particulièrement la Bretagne
- Les algues vertes : regard sur la polémique
- Avis sur les questions ou assertions posées par l'Institut de l'environnement
et par les syndicats agricoles (FDSEA, CDJA) au sujet des marées vertes
- La gestion des zones humides banales du Finistère : la valorisation
des savoir-faire agricoles comme enjeu
Voir : http://www.observatoire-eau-bretagne.fr/
Media/Documentation/Bibliographies/Le-Courrier-de-l-environnement-de-l-Inra-n-61
Ma remarque (GW) : Il est question de débats ci-après. Le souci que
me cause le courrier de l’environnement, une publication que j’ai
longtemps appréciée et que j’apprécie encore, est le suivant : de
plus en plus le courrier de l’environnement montre à l’évidence que
les agriculteurs ont (presque) toujours tort de vouloir produire et
de vouloir vivre décemment de leur production.
On peut toujours considérer que produire (ou simplement naître pour
cette espèce envahissante qu’est l’homme en surnombre (?) sur la planète
terre) est une atteinte à l’environnement. Mais cela ne nous avance
guère.
A propos des débats dans cette gazette… (1)
J'aime bien cette citation : "C'est un rite bien français,
quand le bateau coule l'équipage discute d'un point de sémantique".
Je ne peux pas croire que tes 26000 abonnés de cette gazette ne viennent
chercher que de l'info, ils viennent surement écouter ce qui se dit...
Donc pas de complexe sur les débats au contraire.
Contact : Jean-Dominique CAUCHOIS
Mél : jdcauchois(a)i-cone.fr
A propos des débats dans cette gazette… (2)
De mon point de vue les échanges sur les questions quasi philosophiques
tournant d'une manière ou d'une autre autour de la question du principe
de précaution occupent trop de place et ont un aspect quelque peu
rebutant. Par ailleurs ils manifestent une forme de coupure de génération
entre ceux qui regrettent le bon vieux temps (quand on pouvait croire
au progrès...) et les jeunes générations qui en règle générale ont
intériorisé les préoccupations environnementales et veulent avancer
dans la vie. Il y a d'ailleurs souvent le même décalage dans les groupes
d'agriculteurs leur des sessions de formations ou j'interviens.
Autant je partage le sentiment que la peur est mauvaise conseillère
(peur de la pollution, des jeunes, des étrangers de la mort et de
tant d'autres choses) et qu'il faut traiter les problèmes, autant
je suis persuadé que les préoccupations environnementales aussi bien
du point de vue des itinéraires techniques que du point de vue du
marché sont devenues incontournables et que les nier est une impasse.
Tout cela pour dire qu'on ne devrait pas proposer un réseau d'échange
sur les outils informatiques lié à des positions rétrogrades sur les
évolutions techniques et économiques. C'est quelque chose qui ne peut
pas être bien compris et notamment par les jeunes.
Ceci dit la newsletter de l'AFIA m'a rendu de vrais services, comme
les quelques colloques AgriMMédia auxquelles j'ai participé.
Contact : Christian RENAUDIN
Mél : chrenaudin(a)laposte.net
Comment on transforme
une étude scientifique en instrument de propagande…
Pour notre-planete.info, s’appuyant sur un communiqué de Générations
Futures (GF), pas de doute : « Les pesticides compromettent la fertilité
masculine ». GF appuie son communiqué sur la parution du Bulletin
épidémiologique hebdomadaire (BEH), lié à l’INVS (Institut National
de Veille Sanitaire), pour qui « (la baisse de fertilité des couples)
constitue un problème de santé non négligeable. » Notre-planete.info
transforme, et…
Voir : http://www.forumphyto.fr/2012/02/22/
comment-on-transforme-une-etude-scientifique-en-instrument-de-propagande%e2%80%a6/
Signalé par JP PROUST
Mél : jf.proust(a)forumphyto.fr
Publications en accès libre : la guerre est déclarée
Depuis avril 2008, le gouvernement américain a décidé de favoriser
l’accès à la recherche en rendant obligatoire la publication en accès
libre de toute recherche financée sur les fonds du NIH (National Health
Institute), principale agence de financement de la recherche américaine.
En réponse, les revues scientifiques – menées par l’éditeur Elsevier
– ont fait déposer un projet de loi le 16 décembre 2011 en obligeant
les auteurs à avoir un accord obligatoire avec l’éditeur avant tout
dépôt d’article dans un répertoire en accès libre.
Voir : http://tomroud.cafe-sciences.org/2012/01/28/publications-en-acces-libre-la-guerre-est-declaree
Ma remarque (GW) : Je me suis personnellement beaucoup intéressé au
mouvement « Open Access » qui se développe mais pour autant, je crois
que les grands éditeurs scientifiques comme Elsevier ou Springer,
tant critiqués aujourd’hui, ont un vrai rôle à jouer comme « pôles
d’excellence ». En effet nous aurons encore longtemps besoin de «
premiers de la classe » capables de nous tirer (ou pousser) en avant.
Et ces éditeurs signalent l’excellence.
Mais nous avons tout autant besoin de ressources documentaires libres
d’accès telles que celles que j’avais créées avec la mise en ligne
des actes des congrès EFITA et des colloques AGRIMMEDIA par exemple.
Cependant ces ressources documentaires signalées ci-dessus, créés
à partir de 1997, ne répondent pas aux normes qui sont aujourd’hui
celles des « Open Archives ». Si vous créez de nouvelles ressources
documentaires, essayez-donc de respecter ces normes !
La position d’Elsevier dans ce débat
Voir : http://www.elsevier.com/wps/find/intro.cws_home/newmessagerwa
Les Cahiers Agricultures en Open Access pour tous
Revue scientifique internationale pluridisciplinaire soutenue
par le Cirad, Cahiers agricultures est désormais accessible gratuitement
en ligne pour tous. Le numéro en cours ainsi que 20 années d’archives
sont en libre accès sur le site de la revue.
Cahiers Agricultures est une revue scientifique internationale, principalement
francophone, à comité de lecture et facteur d'impact. Elle publie
des travaux pluridisciplinaires de recherche, des synthèses et des
réflexions sur les agricultures du monde, leurs évolutions et leur
place dans des sociétés de plus en plus urbanisées. La publication
est gratuite pour les auteurs. La version imprimée de la revue reste
envoyée exclusivement aux abonnés payants.
Les Cahiers Agricultures sont édités par John Libbey Eurotext.
Voir : http://www.cahiersagricultures.fr
Contact : Christine RAWSKI
Mél : christine.rawski(a)cirad.fr
Légumes Bio
: une réalité contrastée (un message de Prince de Bretagne)
1er groupement de producteurs sur le marché du Bio en France,
Prince de Bretagne enregistre une constante progression de sa production
tant en quantité qu'en diversité. Une offre de qualité à la hauteur
des investissements consentis par chacun des 47 exploitants Prince
de Bretagne spécialisés Bio. Et pourtant. Sur le terrain, la réalité
montre que la demande ne suit pas forcément la même logique, ni
le même enthousiasme. Explications…
12 000 tonnes en 2011. Une gamme riche de 33 références. Des produits
de qualité certifiés par de multiples organismes. Une offre respectueuse
des saisons tout au long de l'année. Que dire de plus ! Si ce n'est
que, choisir la gamme Bio Prince de Bretagne, c'est avoir la garantie
de consommer des légumes d'une qualité irréprochable. C'est aussi
une façon de s'inscrire dans une vraie logique de développement
durable. Mais dans les faits, le marché est-il vraiment prêt ?
>>> Produire bio, une question de convictions
Apparue depuis plus d'une douzaine d'années, l'offre Bio Prince
de Bretagne fut essentiellement motivée par des rasions sociétales.
Ainsi, comme en témoigne Jean-Jacques Le Bris, président de la Commission
Bio de Prince de Bretagne, il s'agissait « d'apporter des réponses
concrètes aux attentes des consommateurs, dans un contexte relativement
troublé d'un point de vue sanitaire, consécutif aux crises de la
vache folle et du poulet à la dioxine ». Aujourd'hui, les préoccupations
sociétales et environnementales sont toujours de mise, mais, comme
le précise Jean-Jacques Le Bris, « on constate désormais une
crédibilité certaine de cette agriculture tant sur les aspects techniques
qu'économiques car il s'opère des transferts de compétences essentiels
entre les différents modes culturaux, un véritable système de vases
communicants ». Et, c'est aussi tout l'intérêt pour Prince
de Bretagne, d'avoir su développer une offre Bio au sein d'un réseau
existant.
>>>> Un marché sous influence
Si Prince de Bretagne est leader sur le marché français du Bio,
le groupement bénéficie aussi d'une présence solide à l'international
: en Allemagne et en Angleterre sur la gamme chou notamment. Cependant,
malgré ce positionnement favorable, Prince de Bretagne doit faire
face à une double problématique : une concurrence étrangère, en
grande partie italienne, extrêmement offensive à l'export comme
sur le territoire français, et, une demande relativement instable
et largement guidée par des questions de prix. Dans l'ensemble,
Jean-Jacques Le Bris signale que « l'offre va plus vite que
la demande. La crise économique y est très certainement pour quelque
chose puisqu'elle impacte sur le pouvoir d'achat des consommateurs.
On constate donc une certaine stagnation de la consommation
». D'un point de vue tarifaire, il tient à souligner que « les
agriculteurs développent des techniques culturales de précision.
Ils obtiennent de manière rationnelle des produits de grande qualité
et tendent à produire à des prix acceptables par le consommateur
». Et de conclure, « l'avenir du Bio ne passera que par
l'adéquation entre l'offre et la demande. Au final, la solution
au déséquilibre actuel n'est pas forcément entre les mains des producteurs
».
>>> Soutenir le Bio, dans l'intérêt général
Il n'en reste pas moins que la production Bio est avant tout une
démarche optimiste dans la mesure où elle bénéficie aux autres pratiques
culturales. Prenons pour exemple la gestion de la faune auxiliaire
naturelle permettant la limitation, voire la suppression, des intrants
dans les cultures conventionnelles.
Alors, que faire pour soutenir une filière déjà strictement encadrée
par des règlementations drastiques ? Et si, le premier effort à
fournir était de mettre en avant les produits régionaux et de saison
! Simple, non ?
Voir : http://media.rivacom.fr/event/princebretagne/pressbook/DP_BIO_PDB.pdf
Les tromperies du gouvernement pour justifier sa demande de moratoire
sur le mais BT MON 810
Le gouvernement français vient de demander à la commission européenne
une mesure d’urgence pour une nouvelle interdiction de la culture
du maïs MON 810. Selon ses propres propos cette décision "s'appuie
sur les dernières études scientifiques", et notamment sur un
avis de l'Agence européenne de sécurité alimentaire (en anglais
EFSA), publié le 8 décembre 2011.
Après analyse détaillée de ce rapport, l’ Association Française
des Biotechnologies Végétales (AFBV) précise, qu’en fait, l’EFSA
déclare dans la conclusion du rapport de son comité OGM qui se base
sur des modèles de simulation : « il est improbable que la culture
du maïs Bt 11 pose des problèmes supplémentaires pour l’environnement
par rapport à des maïs conventionnels" .... il considère "que
ces conclusions s’appliquent de la même façon aux maïs MON 810.....et
que dans des situations où des espèces non cibles extrêmement sensibles
seraient présentes (une espèce de lépidoptères sur 500 dont la présence
est à confirmer) des mesures seraient à prendre à condition que
la surface de maïs Bt 11 (ou MON 810) soit supérieure à 7,5% de
la surface totale de maïs de la région".
Ainsi l’AFBV constate qu’il n’existe pas dans ce rapport de fait
scientifique nouveau observé sur le maïs Bt mais simplement des
règles redéfinies par l'EFSA qui rend un avis scientifique positif
pour la culture des maïs BT11 et qui étend ses conclusions à la
culture des maïs MON 810. Le gouvernement déforme donc les conclusions
de cet avis scientifique, ce qui n'est rien d'autre qu'une tromperie
vis-à-vis de nos concitoyens.
Pour l’AFBV le gouvernement français dispose de moyens pour refuser
la culture d'un maïs Bt, mais il doit le faire en assumant ses responsabilités
politiques et non en dévoyant des arguments scientifiques.
Contact : Gil KRESSMANN
Mél :gil.kressmann(a)wanadoo.fr
Abus de pouvoir
contre les OGM (ou le degré zéro de l'éthique en politique):
Dans le cadre d'un accord politicien en préalable au Grenelle
de l'environnement, le gouvernement de Nicolas Sarkozy avait accordé
aux lobbies écologistes l'interdiction de culture des OGM (entre autres)
contre leur silence sur le nucléaire civil lors de ce même Grenelle.
Après le Grenelle, le gouvernement instrumentalisa un comité scientifique
provisoire, lui faisant évoquer des « doutes sérieux » sur l'innocuité
du maïs MON810 (le seul autorisé à la culture en Europe) ; interprétation
qu'une écrasante majorité des membres de ce comité a réfuté. L'interdiction
de la culture du MON810 fut néanmoins décidée en invoquant en février
2008 une «clause de sauvegarde » (possibilité en principe prévue par
la réglementation européenne).
Les faux arguments scientifiques du gouvernement furent battus en
brèche par les analyses de plusieurs chercheurs et par l'organisme
européen d'évaluation des risques (l'Autorité européenne de sécurité
des aliments ; www.efsa.europa.eu). De plus, la Cour de Justice de l'Union
européenne (CJUE), dans un arrêt en date du 8 septembre 2011, a jugé
que le gouvernement français n'a pas suivi une procédure valide. Le
28 novembre 2011, le Conseil d'Etat a suivi la CJUE en annulant l'interdiction
de culture du MON810. La décision du gouvernement n'avait donc de
fondement ni juridique ni scientifique, et était manifestement un
abus de pouvoir.
Plutôt que d'en rester là, Nathalie Kosciusko-Morizet déclara immédiatement
que l'interdiction serait renouvelée. Puis, son Ministère, aidé de
quelques scientifiques militants anti-OGM notoires, chercha les nouvelles
justifications qui pourraient être invoquées. Chacun appréciera l'honnêteté
intellectuelle et la probité scientifique d'une telle démarche…
Voir : http://www.newsring.fr/planete-sciences/34-faut-il-autoriser-les-cultures-dogm-en-france#
L'agriculture, une chance pour la France ! Editorial de Christiane
Lambert, Première vice-présidente de la FNSEA
Il est temps que les candidats à la Présidentielle parlent de
la France réelle, loin des querelles et des petites phrases.
Tous les secteurs d'activité regrettent le manque de concret et de
projet, alors il faut parler plus et mieux d'agriculture et des conditions
économiques et sociales pour pérenniser les devises et les emplois
créés.
La concurrence est rude au plan européen et international, la crise
exacerbe les peurs.
Il n'y a pas place pour le fatalisme ou le déclin! C'est sur les projets
que les candidats seront jugés.
Nous voulons plus de clarté sur les conditions d'exercice de notre
métier : l'harmonisation des règles sociales, fiscales, environnementales
dans un marché unique, le maintien d'une Pac rénovée et régulatrice
face à des aléas économiques et climatiques plus fréquents. Les perspectives
des marchés alimentaires sont bonnes et nos productions sont aussi
attendues face aux enjeux énergétiques et une économie sobre en carbone.
L'agriculture est reconnue stratégique sur ces questions par la communauté
internationale. Il y a encore trop de frilosité en France sur le sujet.
Et d'ailleurs il suffit de lire les programmes des candidats pour
le vérifier... Tous n'ont pas la même vision et la même ambition pour
l'agriculture. C'est pour les inspirer davantage et les faire sortir
d'une vision nostalgique - voire compassionnelle- pour l'agriculture
que la FNSEA affiche son ambition de redevenir numéro un. Numéro un
pour les productions, numéro un pour les filières, numéro un pour
la qualité et la sécurité alimentaire, numéro un pour l'export, numéro
un dans les assiettes et numéro un dans le coeur des Français. Voilà
les objectifs !
Voir : http://www.fdsea49.fr/L-agriculture-une-chance-pour-la-France-actualite-numero-53.php
Election présidentielle : les candidats s’expriment sur l’agriculture
et l’environnement
A l’occasion de l’élection présidentielle, le groupe de presse
Terre-Ecos et l’association nationale Farre ont interrogé les candidats
sur leurs ambitions pour l’agriculture et l’environnement. Deux thématiques
jusqu’ici peu prises en compte dans la campagne présidentielle…
Quatre questions ont été posées aux candidats :
1 - Quels sont les points clés de votre programme à l’élection présidentielle
pour encourager une agriculture respectueuse de l’environnement, au
niveau européen et au niveau français ?
2 - Comment envisagez-vous de rendre compatibles les nouvelles exigences
environnementales avec la rentabilité économique des exploitations
agricoles ?
3 - Sur les dossiers spécifiques à l’agriculture portés par le Grenelle
de l’environnement : quelle évolution impulserez-vous ?
4 - Quel est selon vous le premier défi que doit relever l’agriculture
française dans les cinq prochaines années?
Pour Nicolas Dupont-Aignan, candidat de Debout la République, « il
est temps de reconnaître aux agriculteurs leur rôle d’acteurs et non
d’ennemis de l’environnement. L’agriculture française doit reprendre
son rôle de secteur stratégique de l’économie ».
Avec son candidat Nicolas Sarkozy, l’UMP « rend hommage aux agriculteurs
qui s’engagent, réalisent des efforts et font considérablement évoluer
la situation pour prendre davantage en compte la protection de l’environnement
» et considère qu’il « faut poursuivre les efforts pour atteindre
les objectifs fixés dans les différents domaines » abordés lors du
Grenelle de l’environnement.
Eva Joly, d’Europe écologie les Verts, propose « un nouveau pacte
entre agriculture et citoyens pour sortir de l’impasse agricole actuelle
afin que l’agriculture française puisse devenir un exemple mondial
de performance environnementale et sociale ».
Pour le Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon, « il faut arrêter et
inverser le processus de concentration de la production agricole afin
d’initier une transition vers une agriculture écologique créatrice
d’emplois, qui produise des aliments de qualité pour tous, et qui
contribue à rendre une campagne vivante ».
Du côté du PS et de François Hollande, afin de sauver les exploitations
agricoles françaises, il convient de « mettre l’emploi au cœur des
soutiens de même que doit être incité l’investissement pour verdir
les modes de production autant qu’il est possible de le faire en préservant
la capacité de production ».
L’intégralité des réponses reçues des candidats s’étant exprimés est
disponible sur www.campagnesetenvironnement.fr/territoire-rb16.html
Une femme a
écrit a un "Cabinet conseil en investissements" pour
demander des adresses en vue d’épouser un homme très riche (histoire
plus bête, c’est difficile !)
Ceci est déjà cocasse, mais le plus drôle, c’est la réponse bien fondée
(???) que lui a adressée l’analyste financier.
Voici déjà l’annonce qu’a déposée la jeune femme :
« Je suis une belle jeune femme (je dirais même très belle) de 25
ans, bien élevée et j’ai de la classe. Je souhaite me marier avec
un homme qui gagne au moins un demi-million de dollars par an. Avez-vous
dans vos fichiers les adresses de quelques hommes célibataires (veufs
ou divorcés) qui gagnent 500.000 dollars ou plus ? Peut-être aussi
que des épouses d’hommes riches peuvent me donner quelques conseils
?
J’ai déjà été fiancée à des hommes qui gagnent de 200 à 250 mille
dollars pas plus…mais 250 mille ce n’est pas suffisant pour que je
puisse vivre à Central Park West. Je connais une femme, dans mon cours
de yoga, qui s’est mariée à un banquier. Elle vit dans Tribeca, et
pourtant elle n’est ni aussi belle que moi, et pas même intelligente.
Mais alors, qu’a-t-elle fait que je n’ai pas fait ? Comment puis-je
atteindre son niveau de vie ? »
Raphaela S
Réponse de l’expert :
J’ai lu votre courrier avec une grande attention, et après avoir longuement
étudié votre demande c’est avec grand soin que je me suis livré à
une analyse financière de votre situation.
Premièrement, je ne vous fais pas perdre de temps puisque moi-même
je gagne plus de 500 mille dollars par an. Ceci étant dit, je considère
les faits de la façon suivante. Ce que vous offrez (pouvant être compris
ainsi par l’homme que vous cherchez) est simplement une bien mauvaise
affaire.
Voici pourquoi :
Laissons les subterfuges de côté. Ce que vous proposez est une affaire
simple à résumer. Vous mettez votre beauté physique et je mets l’argent.
L’offre est claire et sans détours. Cependant un problème existe :
il est certain que votre beauté va s’étioler et va un jour disparaître,
alors qu’en même temps, mes revenus et ma fortune continueront très
probablement de croître. Ainsi, « en termes économiques », vous êtes
un passif qui subit une dépréciation et je suis un actif qui produit
des dividendes. Vous subissez donc une dépréciation, mais comme celle-ci
est progressive, votre valeur diminue de plus en plus vite !
Soyons plus précis : Vous avez aujourd’hui 25 ans, vous êtes belle
et sans doute le resterez-vous durant les 5 ou 10 années à venir.
Mais chaque année un peu moins, et quand vous vous comparerez à une
photo prise aujourd’hui, vous constaterez combien vous avez vieilli.
Cela signifie que vous êtes aujourd’hui dans la ‘phase de croissance’,
c’est donc le bon moment pour être vendue mais non pour être achetée.
En utilisant le langage de Wall Street, celui qui vous possède aujourd’hui
à intérêt à vous avoir en « Trading position » (position de vente)
et non dans « buy and hold » (acheter et conserver)… c’est pourtant
ce que vous offrez.
Par conséquent, toujours en termes économiques, le mariage (qui est
un ‘ buy and hold ‘) avec vous n’est pas une bonne affaire à moyen
ou à long terme. En revanche, la location pourrait être – en langage
commercial – une affaire raisonnable que nous pouvons méditer et en
discuter vous et moi. Je pense que si vous fournissez la garantie
« bien élevée, avec de la classe et merveilleusement belle », je pourrais
très probablement être le locataire de cette « machine ». Cependant,
je souhaite faire – ce qui est une pratique habituelle en affaire
– un essai, c’est à dire un « test drive » avant de concrétiser l’opération.
Somme toute : comme le fait de vous acheter est une mauvaise affaire
pour cause de dévaluation croissante, je vous propose une location
d’une durée pendant laquelle le matériel est dans un bon usage.
En attendant de vos nouvelles, je prends congé.
Cordialement,
Un millionnaire
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
|
Voir
: http://www.tvagri.info/ |
Sylviculture et Biodiversité
3 mars 2012 – PARIS
Voir : http://www.academie-agriculture.fr/prochaine-seance.html
À partir du 11 mars 2012, cycle "le monde paysan, d’hier
à demain", au Jardin des plantes de PARIS
Voir : http://agriculture.gouv.fr/A-partir-du-11-mars-2012-cycle-le
Formation Initiation au droit importation, exportation, détention
d'organismes vivants... (confinement)
20 et 21 mars 2012 - MONTPELLIER
Elle concernera la collection, la détention, l'exportation, l'importation
et l'étude d'organismes vivants à des fins scientifiques. Cette
formation portera sur les aspects pratiques, techniques et documentaires
relatifs à l'importation, la détention, l'exportation et les outils
à mettre en place pour le confinement et/ou la quarantaine végétale
de ces organismes. Elle comportera une initiation au droit et une
présentation des principaux textes : internationaux, européens,
français.
Contacts : Dominique ALHINC, Yolande OLIVIER
Mél : alhinc(a)supagro.inra.fr, Olivier(a)supagro.inra.fr
Voir : http://www.supagro.fr/web/pages/?idl=19&page=352&id_page=2667
Élevage et gaz à effets de serre
21 mars 2012 - PARIS
L'Académie d'Agriculture consacrera sa séance du 21/03/2012 à la
production des GES par les animaux d'élevage. Cette séance se déroulera
l'après-midi, elle sera articulée autour de 3 communications principales.
> Introduction : Pierre Thivend
> La production des GES, de l'échelle du globe à celle de l'exploitation
agricole (S.de Cara, INRA-économie-Grignon)
> La production de GES à par les animaux terrestres et les moyens
d’atténuation (D.Sauvant, AgroParistech-INRA, C.Martin, INRA-Theix
; M.Eugène, INRA-Theix)
> Le point sur les bactéries méthanogènes des écosystèmes digestifs,
perspectives de contrôle (D.Morgavi, INRA-Theix)
> Conclusions : Daniel Sauvant
Voir : http://www.academie-agriculture.fr/detail-seance_291.html
Symposium Protection phytosanitaire de la Pomme de terre au Maroc
21 mars - SETTAT (Maroc)
Voir : http://www.amppmaroc.org/fr/activites5.html
La sélection génomique, modalités et perspectives
28 mars 2012 - PARIS
Au cours de la dernière décennie, les recherches consacrées à la
génétique des animaux d’élevage ont franchi de nouvelles barrières
de la connaissance en se rapprochant toujours plus du génome et
de son fonctionnement. Les résultats obtenus bouleversent d’ores
et déjà les méthodes et l’organisation de la sélection animale.
Ces évolutions impactent et impacteront de plus en plus les autres
disciplines de base de la Zootechnie (reproduction, nutrition…),
elles ouvrent de nouvelles perspectives à travers des projets qui
se développent, en particulier autour du phénotypage des animaux,
ce à quoi tous les zootechniciens doivent être très attentifs. C’est
pour cela que l’AFZ propose une journée qui permettra, grâce aux
interventions de spécialistes impliqués, de réfléchir de façon prospective
à toutes ces conséquences.
> Accueil des participants
> Introduction : La génomique animale et la sélection génomique
: innovations génériques et conditions d'implémentation - E. Verrier,
D. Boichard et T. Heams, AgroParisTech / INRA
>> Génomique et sélection des ruminants
> Les avancées dans les méthodes en bovins laitiers - V.Ducrocq,
INRA
> Les avancées dans les méthodes en ovins laitiers - F. Barillet,
INRA
> Les conséquences sur l’organisation de la reproduction - C.
Ponsart et L. Journaux, UNCEIA
> Perspectives offertes par la génomique pour les filières lait
et viande de ruminants - L. Griffon et P.L. Gastinel, Institut de
l’Elevage
>> Génomique et sélection porcine
> Les avancées dans les méthodes et le programme « UTOPIGE »
- J.P. Bidanel, INRA
> Intérêt des nouveaux critères de sélection en élevage porcin
- J. Bidanel, IFIP
>> Génomique et filières avicoles et aquacoles
> Les recherches en volailles de chair - E. Lebihan-Duval et
P. Le Roy, INRA
> Implications envisageables pour les programmes de sélection
des espèces avicoles et aquacoles - D. Guéméné, SYSAAF
>> Le phénotypage, complément indispensable de la génomique
- N. Friggens, INRA
>>Discussion générale et conclusions
Voir : http://www.zootechnie.fr/fr/journees-detude/printemps-2012.html
2ème édition de B.I.O. N' Days
25 - 26 avril 2012 – VALENCE
Conférences sur le thème de l'emballage
- Rendez-vous technologiques internationaux
- Tasting and testing tour
- Espaces découvertes...
Découvrez un évènement d'envergure international exclusivement dédié
aux produits biologiques et naturels.
Voir : http://www.biondays.com
IPA - The Global Food Factory
21 - 25 octobre 2012 - PARIS NORD VILLEPINTE
A côté du SIAL, the Global Food Marketplace, IPA devient the Global
Food Factory où se rencontrent les fournisseurs et leurs clients.
Voir : http://www.ipa-web.com/
ABIM Lucerne 2012: The Place To Be To Do Business In The Growing
Biocontrol Market
22 - 24 October – LUCERN (CH)
As done in 2011, New Ag International, the official partner magazine
of IBMA and ABIM, will offer special advertising rates to IBMA members
sponsoring the event or booking an exhibition stand at ABIM.
New Ag International magazines from Sept-October will have a bonus
circulation and a complete report on ABIM.
See: http://www.abim.ch
E-mail: newag(a)newaginternational.com
Colloque international sur les ravageurs des palmiers Rhynchophorus
ferrugineus et Paysandisia archon
9 - 11 janvier 2013 - NICE
Détection piégeage, tous moyens de lutte, plans collectifs, mesures
de gestion…
Mél : afpp(a)afpp.net
What Confucius didn't say but he could have said it!!!
Man who drives like hell is bound to get there.
Logiciel agricole / viticole pour seulement 149 € HT (licence illimitée,
maintenance non obligatoire)
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(parcellaire, cartographie, coûts/marges, suivi de cuves/vinification)
entièrement disponible sur PC, MAC et mobile (3G, Edge, GPRS ou Wifi).
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Viagri, un outil :
- développé avec des agriculteurs qui désiraient un système de gestion
parcellaire informatique simple d'utilisation,
- conforme à la réglementation en vigueur, il facilite les contrôles
par des états synthétiques et calculs automatiques.
Voir : http://www.viagri.fr/?page=presentation
Nouveau site de l’Institut de l’Élevage
Voir : http://www.idele.fr
La FNSEA lance son application mobile pour smartphones (Iphone
et Androïd)
Après la refonte de son site fnsea.fr et la retransmission en
direct sur Internet du « G120 : les agriculteurs du monde prennent
la parole », la FNSEA innove sur les téléphones portables de 3e génération.
A l'occasion de la 49e édition du Salon International de l'Agriculture
à Paris, la FNSEA lance son application mobile pour smartphones.
Disponible sur l'AppStore d'Apple et l'Androïd Market de Google, l'application
FNSEA est gratuite, conviviale et intuitive.
Qui sommes-nous ? Quelles sont nos propositions et actions ? Quels
sont nos évènements ? Où se trouvent nos représentations syndicales
en France ? - l'application répond à toutes ces questions et diffuse
une information de proximité aux mobinautes (12 millions en France
- source Google Juin 2011). Conçue comme un outil d'information utilisable
par tous publics, elle donne accès en permanence et en temps réel
aux actualités et contenus multimédias du syndicat agricole : articles,
agenda, albums photos, vidéos, tweets, géolocalisation, alertes infos...
Avec une navigation rapide et intuitive, les mobinautes disposent,
à portée de clic, de toutes les fonctionnalités pour mieux connaître
et partager les activités de la FNSEA.
Restons connectés !
Voir : http://www.fnsea.fr/mobile
Directive nitrates : nouvelles modalités et lassitude des agriculteurs
Les Jeunes Agriculteurs et la Fédération départementale des syndicats
d'exploitants agricoles (FDSEA) d'Ile-de-France se sont retrouvés
le 3 février dernier, devant le ministère de l'Ecologie, pour dénoncer
« la surenchère environnementale française ». En cause,...
Voir : http://www.campagnesetenvironnement.fr/
directive-nitrates-nouvelles-modalites-et-4872.html
L'Alpe, Au bon lait des alpages
L'Alpe se fait lactée, dans la voie ouverte par le salon de l'agriculture
!
Aussi blanc et pur que les sommets enneigés, le lait de montagne évoque
la santé. Belle image que l'industrie laitière n'a pas manqué de s'accaparer…
Pour le meilleur ou pour le pire ? Un dossier qui mène l'enquête.
Évocateur de paradis alpestre et de saveurs fleuries, le lait de montagne
est désormais pourvu d'un label. S’agit-il pour autant d’un produit
au-dessus de tout soupçon ? Rien n'est moins sûr ! Sa véritable provenance
fait l'objet d'un certain flou, dans une course aux parts de marché
entre éleveurs et grande distribution. Indissociables de la culture
alpine traditionnelle, comme le rappelle aussi ce dossier, les productions
laitières alpines continuent à faire rêver… les consommateurs comme
les hommes de marketing. Une menace plane aujourd'hui sur le lait
d'alpage. Notamment sur le lait cru, garant pourtant d'une incomparable
et goûteuse palette de spécialités fromagères.
Voir : http://livre.fnac.com/a3792560/Collectif-L-Alpe
Les biotechnologies végétales, une chance pour le développement
durable de l’agriculture : 7 questions aux candidats aux élections
présidentielles
Le monde est confronté au défi de devoir nourrir plus de 9 milliards
d’humains en 2050, ce qui exigera d’augmenter la production agricole
de 50 %. Cette augmentation devra se faire à 80 % par la croissance
des rendements des cultures et essentiellement dans les pays en développement.
Pour éviter que cet effort considérable ne pèse sur les ressources
naturelles et ne génère de nouvelles pollutions, le recours aux biotechnologies
sera incontournable, y compris dans les pays émergents et les pays
pauvres.
>>> Des constats inquiétants pour l’avenir de l’agriculture
Dans les pays développés eux-mêmes, l’agriculture est confrontée à
plusieurs handicaps qui affectent sa compétitivité et qui ne pourront
pas être levés non plus sans innovation technologique :
- une tendance à la stagnation des rendements des grandes productions
végétales et des coûts de production élevés ;
- la nécessité de trouver des alternatives à la protection chimique
des cultures en accord avec les préoccupations environnementales et
sanitaires exprimées tant en France, lors du Grenelle de l’Environnement,
que dans l’Union Européenne et dans les organisations internationales
;
- un problème préoccupant d’alimentation en eau des cultures qui risque
de s’aggraver avec les changements climatiques annoncés ;
- une dégradation régulière de la fertilité et du potentiel agronomique
des sols.
- une perte régulière de terres arables en France et dans le monde.
De plus, nous ne devons pas sous-estimer le durcissement de la concurrence
entre les grands pays agricoles, européens d’une part et américains
du Nord comme du Sud d’autre part. Sans compter que l’Europe orientale
et l’Asie pourraient manifester leurs potentiels plus rapidement qu’on
ne le croit. Les producteurs européens et français en particulier
doivent déjà assumer des coûts sociaux très lourds et les normes environnementales
les plus contraignantes du monde. Ils ne peuvent être aussi privés
de l’innovation sous peine de perdre rapidement leur place dans la
compétition internationale. .
>>> L’essor des biotechnologies végétales bloqué par les
réglementations
Alors que ces constats nécessiteraient la mise en œuvre rapide et
conséquente de tous les moyens scientifiques et technologiques disponibles,
les biotechnologies végétales sont empêchées de contribuer à l’effort
global de recherche de solutions.
En effet, dans le domaine du génie génétique, les règlementations
européennes et françaises sont devenues si restrictives et si lourdes
qu'elles bloquent toute capacité de la recherche d’y prendre part,
alors qu’au contraire les progrès de la connaissance scientifique
depuis plus de 15 ans d’une part, et la très large expérience internationale
acquise d’autre part, devraient en toute logique s’accompagner d’un
allègement de cette réglementation.
Il en résulte un isolement croissant de notre recherche et de nos
industries qui menace notre indépendance technologique, pénalise notre
compétitivité, compromet notre influence et nous interdit de participer
au développement agricole des pays les plus démunis qui pourraient
profiter des fruits de notre recherche publique.
Par ailleurs, force est de constater que ces règlementations contraignantes
ont favorisé le développement des grands groupes semenciers. Seuls
ceux-ci peuvent encore supporter les coûts de plus en plus élevés
des contrôles imposés, De plus ils peuvent aussi aisément délocaliser
leurs activités de recherche et de production dans les régions du
monde où les règlementations ne sont pas un obstacle à l’innovation.
Or cette situation entraîne un déplacement des finalités de recherche
au profit de pays potentiellement concurrents. Elle compromet les
partenariats entre la recherche publique, les universités et les entreprises
qui sont souvent à l’origine d’avancées décisives, comme c’est le
cas aux Etats-Unis.
L’impossibilité de fait de toute expérimentation au champ des plantes
génétiquement modifiées, au motif de risques potentiels pour l’environnement
et la santé animale et humaine, agit comme une interdiction des travaux
de recherche. En effet il ne peut y avoir de recherche agronomique
sans expérimentation au champ. Or les perspectives de ces recherches
concernent des enjeux d’intérêt général tels que les réponses aux
défis d’un déficit en eau, la diminution des engrais azotés, l’adaptation
à l’augmentation des températures, la lutte contre les insectes parasites,
les maladies et les virus responsables de pertes de récolte très importantes
ou la production de biomolécules pour l’énergie, la chimie et la pharmacie.
>>> Ne pas rester à l’écart des innovations issues du génie
génétique.
Depuis plus de 15 ans les surfaces cultivées avec des plantes transgéniques
progressent fortement dans des pays très différents de la planète.
Elles ont couvert 160 millions d’hectares (10 % des surfaces cultivées
dans le monde) en 2011, et ont amélioré les conditions de travail
et la compétitivité des 16,7 millions d’agriculteurs (dont 90 % situés
dans les pays en développement) qui les ont adoptées. Aucune des accusations
prophétisées contre ces cultures transgéniques ne se sont réalisées,
ce qui rend d’ailleurs incompréhensible le moratoire français sur
le maïs Bt qui ne repose sur aucune justification scientifique. Par
ailleurs des centaines de plantes issues des biotechnologies vertes
vont être mises en marché dans les années à venir qui sont autant
de marchés nouveaux, souvent à forte valeur ajoutée, qui vont s’ouvrir
pour les filières agricoles et agro-industrielles aptes à saisir ces
opportunités.
L’Europe, et la France avec elle, ne peuvent rester plus longtemps
à l‘écart du dynamisme de l’innovation dans la création variétale
issue du génie génétique et que l’on peut constater dans de nombreux
pays, aux Etats-Unis comme dans les pays émergents, lesquels sont
déjà, ou le deviendront, nos concurrents sur les marchés mondiaux
des produits agricoles et agroalimentaires. Ne pas agir dans ce domaine
créera à échéance rapide une perte d’expertise, une dépendance technologique
et économique, une perte de compétitivité coûteuse pour notre agriculture
et négative pour notre balance commerciale, pour l’emploi et notre
sécurité d’approvisionnement en matières agricoles. Relancer notre
recherche dans le domaine des biotechnologies vertes s’inscrit parfaitement
dans la volonté affichée de relancer la croissance en remettant au
centre de la politique économique une dynamique de l’offre de production
de nos filières agricoles et agro-industrielles sur le territoire
français.
>>> Des décisions incontournables dans trois directions :
Dans une période où, en France, se définissent les grandes orientations
pour les années à venir, il importe qu’un signal fort soit envoyé
en faveur des biotechnologies végétales, en direction des filières
agricoles et de la communauté de la recherche, sous peine de laisser
s’échapper ces innovations majeures dont notre agriculture et notre
économie ont besoin.
Cela passe par des décisions incontournables dans trois directions
:
1 - Réviser les directives européennes et les lois françaises devenues
trop lourdes : les autorisations de mise sur le marché ou d’essais
aux champs doivent être examinées d’une manière pragmatique, au cas
par cas, sur des critères scientifiques. Quelle que soit la technologie
utilisée, il est important que ces procédures de contrôles puissent
rester accessibles, notamment aux PME de la filière semences. Ce qui
ne signifie pas la suppression des contrôles des nouvelles variétés
végétales cultivées et mises sur le marché mais leur adaptation au
vu des connaissances acquises.
Cette adaptation passe par la réforme des instances d’expertise qui
sont aujourd’hui complètement bloquées par des oppositions idéologiques
internes. Ainsi en est-il du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB)
qui a été décomposé en deux comités. Le Comité Ethique, Economique
et Social (CEES) qui est supposé faire des recommandations de nature
sociétale, mais qui remet systématiquement en cause, en raison de
sa composition, les avis rendus par le Comité scientifique.
2 - Autoriser les essais aux champs en les sécurisant pendant la durée
des recherches. Les programmes de recherche autorisés doivent pouvoir
se réaliser sans que pèsent sur eux des risques de destruction. Ceci
exige une réforme des procédures, du contrôle et de la communication
sur les essais aux champs.
3 - Accompagner cette évolution d’investissements conséquents à plusieurs
niveaux :
- Des projets associant chercheurs, industriels et agriculteurs sont
aujourd’hui d’une nécessité vitale et urgente pour éviter de perdre
notre savoir-faire et revivifier tant la recherche que les industries
agricoles ;
- Les enseignements de la biologie et des biotechnologies végétales
doivent, d’une manière générale, être revisités et renforcés tant
dans l’enseignement secondaire que dans l’enseignement supérieur ;
- Les formations en amélioration génétique des plantes dans les établissements
d’enseignement agricole ou agronomique doivent être davantage soutenues.
Les biotechnologies végétales pourront ainsi contribuer à la croissance
verte de l’Europe et de la France et notamment à une agriculture durable
« économiquement viable, socialement responsable et écologiquement
saine ».
>>> Sept questions sur l’avenir des biotechnologies végétales
En complément de notre constat qui est un véritable cri d’alarme pour
sauver les biotechnologies végétales dans notre pays, nous vous serions
reconnaissants de nous apporter votre point de vue sur les 7 questions
que les experts et membres de notre organisation ont souhaité vous
poser pour éclairer les français qui s’intéressent aux perspectives
de la science pour assurer le développement d’une agriculture durable
:
- La règlementation européenne.
- L’expérimentation au champ
- L’expertise scientifique
- Le fonctionnement du Haut Conseil des Biotechnologies
- L’avenir de la recherche publique
- La revalorisation des sciences du vivant
- Une nouvelle mission du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA)
dans le domaine scientifique
Voir : http://www.biotechnologies-vegetales.com
Contact : Marc FELLOUS, Président de l’AFBV
Mél : afbv(a)orange.fr
Parlement européen - Feu vert à un accord controversé libéralisant
le commerce agricole UE-Maroc
Avec cet accord, qui porte sur les produits agricoles et de la
pêche, 55 % des denrées exportées du Maroc vers l'Europe vont être
rapidement exemptées de droits de douanes, contre 33 % actuellement.
Dans le sens inverse, 70 % des exportations européennes vers le Maroc
seront exemptées de droits de douane d'ici dix ans, contre 1 % seulement
actuellement...
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/6444167/
Feu-vert-a-un-accord-controverse-liberalisant-le-commerce-agricole-UE-Maroc.html
Salariés agricoles - Les pensions de retraite versées s'élèvent
à 2.236 EUR par an pour 9 ans d'activité en moyenne
Voir : http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/6444060/
Les-pensions-de-retraite-versees-s-elevent-a-2.236-par-an-pour-9-ans-d-activite-en-moyenne.html
Création de l’Institut national de l’information géographique
et forestière
Le 1er janvier 2012, l’Institut géographique national et l’Inventaire
forestier national ont fusionné dans un établissement public national
à caractère administratif, l’Institut national de l’information géographique
et forestière (IGN).
L’objectif de la fusion des deux établissements est de tirer profit
du regroupement des compétences de l’IGN et de l’IFN pour accroître
la capacité de description du territoire national et de l’occupation
de son sol ainsi que celle d’inventaire des ressources forestières,
au bénéfice des politiques publiques
et des activités d’aménagement du territoire
ou de développement durable.
Voir : http://www.ign.fr/institut/11/presentation/statut-et-missions.htm
De la diversité pour les abeilles
"La science ne va pas à elle seule résoudre le problème posé
par la crise de l'apiculture mondiale », a en substance déclaré Diana
Cox-Foster, chercheuse à l'Université de Pennstate (Etats-Unis), lors
du colloque «La biodiversité, une...
Voir : http://www.campagnesetenvironnement.fr/de-la-diversite-pour-les-abeilles-4836.html
La France peut combler son déficit en protéines végétales
Le potentiel des plantes riches en protéines n'est pas suffisamment
exploité en France. Or, l'ensemble du territoire est concerné par
les enjeux économiques et agro-environnementaux de ces plantes, ont
soutenu la Fédération française des producteurs... L.A.
Voir : http://www.campagnesetenvironnement.fr/
la-france-peut-combler-son-deficit-en-proteines-4835.html
Filière laitière : les coopératives s'expriment sur le web (Journal
du web agricole)
Contractualisation, fin des quotas, négociations sur les prix....dans
cette période agitée, la fédération nationale des coopératives laitières
(Fncl) a décidé d'ouvrir un site web pour s'exprimer. « L’objectif
est de mieux faire entendre la voix, les atouts, les positions et
propositions des coopératives laitières dans cette période-clé qui
mène à la fin des quotas laitiers en 2015 »,...
Voir : http://www.journalduwebagricole.fr/
archive/2012/01/25/filiere-laitiere%20-les-cooperatives-s-expriment-sur-le-web.html
Sols et substrats
: supports d'innovation"
Les vidéos des conférences qui se sont tenues dans le cadre des
Journées techniques de l'Astredhor le mercredi 18 janvier 2012 à Orléans
sont désormais en ligne.
Voir : http://webcast.in2p3.fr/events-astredhor2012
Le Tourisme vert en Wallonie
Voir : http://www.wallonie.be/fr/citoyens/home/sport_et_voyage/tourisme.shtml#Tourisme_vert
Les plus beaux villages de Wallonie (BE)
Voir : http://www.pbvw.be/
Accueil champêtre en Wallonie (BE)
Voir : http://www.accueilchampetre.be/
L’association des Gîtes de Wallonie (BE)
Voir : http://www.gitesdewallonie.net/
New ISO standard makes food irradiation safer
See: http://www.iso.org/iso/pressrelease.htm?refid=Ref1503
PIVIT (pig improvement via information technology)
The group of suppliers and producers in the UK pig sector involved
have been able to secure funding to undertake two concurrent projects
which are closely related but have no formal interdependency.
The first, called "PIVIT Yorkshire" involves 5 scale producers
in the pig dense region of the UK each providing 1 - 3 productions
sites, there are 12 in total. The focus is on the growing herd and
crucially, the people involved in managing the process. All sites
are being kitted out to monitor in real-time the environment, energy,
water and feed use and this will be supported by a combination of
training, knowledge transfer and technical support. The project duration
is 2 years and is supported by the UK Department of Environment, Farming
and Rural Affairs.
The second project is undertaken under the UK Technology Strategy
Board's Sustainable Protein Production programme. It is over 3 years
and seeks to develop the tools necessary to help farmers get value
from real-time production performance monitoring more easily. This
will involve innovative analysis techniques to be developed in collaboration
with Newcastle University and cloud computing technologies which will
allow farmers to get what they want when they want it and how they
want it. Mobile applications will come to pig farming in the UK!
We believe we are at last witnessing some genuine "market pull"
for precision livestock farming technologies (in pigs) after almost
15 years of bleating about it in what has, at times, felt like a commercial
wilderness. A major new institution launch related to precision farming
is about to take place in the UK which we will be fully supporting.
Not wishing to steal any of their thunder I expect many will know
about it but I will report more formally in due course if Guy is not
otherwise advised to carry a piece in this august news organ.
See: http://www.farmex.co.uk
Contact: Hugh CRABTREE
E-mail: hugh(a)farmex.co.uk
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Un reçu vous sera adressé.
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L'AFIA
est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net
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Du côté des Insectes
Une haute pile de 'À lire sur Internet' surmonte 2 'Épingles'
:
- " Entomo des tréfonds " : le collembole recordman du monde
du saut en profondeur
- " Mémoire ouvrière collective " : une les sent, toutes
les ont dans le nez
Voir : http://www.inra.fr/opie-insectes/epingle12.htm
Contact : Alain FRAVAL
Mél : afraval(a)orange.fr
Du côté de la Chambre d'Agriculture de Haute Marne
- Transferts de quotas laitiers : suppression des prélèvements
lors des réunions, démembrement ou agrandissement d'exploitations.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/elevage/gestion-des-exploitations-delevage/quotas-laitiers.html
- Virus de Schmallenberg : de nombreuses incertitudes persistent sur
ce nouveau virus entraînant principalement des malformations sur les
agneaux nouveaux nés. La maladie pourrait s'étendre au printemps mais
son incidence devrait être limitée par l'acquisition d'une immunité
dans les élevages touchés.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/elevage/sante-animale/virus-de-schmallenberg.html
- L'élevage ovin au XIXe : quand la laine représentait un produit
appréciable et les brebis valorisaient des terres incultes plutôt
que des prairies.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/espace-grand-public/
agriculture-departementale/histoire-agricole-haute-marne/lelevage-ovin-au-19e.html
- Plan de performance énergétique : il est reconduit dans la région.
Les investissements éligibles et le système de réponse par appel à
candidature sont inchangés.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/politique-agricole/aides-aux-investissements/ppe-plan-de-performance-energetique.html
- Nouveau carburant, nouveaux tracteurs, nouvelles pratiques : Chaumont,
lundi 12 mars 2012 de 09h à 17h, Maison de l'Agriculture.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/dc/calendrier/index.php?post/2012/02/24/
Nouveau-carburant%2C-nouveaux-tracteurs%2C-nouvelles-pratiques
Du côté du Forum Phyto : Phyto-Victimes fait son show au Salon
de l'Agriculture
Phyto-Victimes, organisation lancée et portée par Générations
Futures (GF), veut faire le buzz en utilisant la réputation du Salon
de l’Agriculture. Ils ont donc organisé un show bien préparé en mobilisant
une quinzaine de militants le 27 février 2012 au matin sur le stand
de l’UIPP.
Voir le site
de Phyto-Victimes et celui de Générations
Futures sur cette action.
Phyto-Victimes avait bien organisé le buzz médiatique. La presse rend
compte de l’action.
Par exemple : La France Agricole, Le Monde.fr, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, etc.
La plupart des titres reprennent les propos de JC Bocquet, directeur
général de l’UIPP (Union des industries de la protection des plantes.)
qui souligne :
« Par nature tout produit peut être dangereux [...]. Il faut réagir
au cas par cas »
et « 75 % des produits qui étaient disponibles dans les années 1990
ne sont plus aujourd’hui sur le marché ».
« Nous sommes venus à visage découvert » déclare Paul François. Sentant
probablement que leur discours ne porte pas autant qu’ils le souhaiteraient,
ces organisations veulent nous faire croire que « Du courage il en
faut en effet pour oser témoigner alors que l’ensemble du système
agro-industriel fait régner l’omerta sur ce sujet depuis un demi-siècle
! »
Pour accréditer leur discours, ces organisations accusent :
- les firmes qui « nient la dangerosité des leurs produits en minimisant
les risques et en faisant porter la responsabilité d’éventuels accidents
aux utilisateurs eux-mêmes »
- l’Etat qui « n’a pas su mettre en place un système d’évaluation
des pesticides qui ne repose pas que sur des données fournies par
les firmes elles-mêmes. »
- le syndicat FNSEA, « aveuglé par le miroir aux alouettes de la course
au rendement et à l’intensification »
Elles oublient tout simplement que personne ne nie les risques des
produits phytosanitaires qui peuvent être dangereux s’ils sont mal
utilisés, que c’est une agence indépendante d’évaluation, l’ANSES,
qui évalue les risques et enfin que toute la filière est mobilisée
pour l’application concrète des bonnes pratiques phytosanitaires,
en particulier des points concernant la sécurité de l’applicateur.
Dans « Protection phytosanitaires et voisinage », nous citions OGMs.be,
lié à l’AFIS (Association Française d’Information Scientifique) qui
écrivait : « depuis des années, Générations Futures fait mine de soutenir
les victimes des pesticides, avérées ou non, en leur fournissant avocats
et aide juridique en échange de l’exploitation médiatique de leur
souffrance. » Dans cette perspective, Phyto-Victimes n’est aujourd’hui
qu’un maillon de l’action de Générations Futures.
Après le sondage de CSA pour FNE (France Nature Environnement), cette
action de Phyto-Victimes constitue une nouvelle fois une utilisation
du Salon de l’Agriculture par des organisations plus soucieuses en
fait de leur autopromotion que de tout autre but.
On ne peut bien sûr que compatir avec des personnes qui ont eu à subir
un accident, ou victimes de mauvaises pratiques phytosanitaires. Mais
il ne faut pas se tromper d’objectif. Assurer la sécurité des applicateurs
doit être une priorité. Pour cela, il faut poursuivre les efforts
importants d’amélioration des produits et des matériels entrepris
depuis plus de 40 ans. Il faut aussi développer encore et toujours
la formation à l’utilisation et la prévention. Loin des effets de
manche et de l’agitation médiatique, c’est la tâche que se donnent
les producteurs et leurs responsables.
Voir : http://www.forumphyto.fr/
2012/02/28/flashinfos-phyto-victimes-fait-son-show-au-salon-de-lagriculture/
Du côté de l’Institut de l’Elevage
>>>Toutes filières
> Idele-Chine n°1 : La lettre
de veille et d'analyse sur les marchés des produits animaux en Chine
>>> Bovins lait
> Les évaluations génomiques des femelles : un nouvel outil pour
les éleveurs : Conférence
au Salon International de l'Agriculture
>>> Bovins viande
> Que mangent les bovins en France ? Beaucoup de fourrages "faits
maison" ! L’Institut
de l’Elevage, à la demande du CIV, vient d’analyser les consommations
de fourrages et concentrés des troupeaux de 660 exploitations spécialisées
en bovins lait et bovins viande, représentatives de la diversité des
systèmes d’élevage français.
Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea)
>>> Actions et revendications
> Interpro:
vers une ouverture aux syndicats minoritaires?
La FNSEA, réunie en Conseil d'administration hier, a voté la possibilité
d'ouvrir des interprofessions aux syndicats minoritaires. (24/02/2012)
> Mini
paquet lait: la profession vigilante
Le règlement communautaire appelé « mini paquet lait » vient d'être
voté au Parlement européen. Ce « mini paquet lait » pose notamment
les bases de la gouvernance de la filière laitière. A la question
du « qui peut faire quoi » dans cette filière, le texte répond en
donnant la capacité aux éleveurs de s'organiser au sein d'OP (organisations
de producteurs) ou AOP (association d'OP) pouvant, sous certaines
conditions, déroger aux sacro-saints principes du droit de la concurrence.
(22/02/2012)
> Lancement
du Salon de l'agriculture
Xavier Beulin, Christiane Lambert ont présenté aujourd'hui à la presse
le partenariat de la FNSEA avec la Fédération française des banques
alimentaires ainsi qu’avec ASO, organisateurs du Tour de France. (22/02/2012)
>>> Informations générales
> Virus
de Schmallenberg
Vous êtes éleveur et cherchez des informations relatives
au virus de Schmallenberg, sur sa propagation, sur la situation épidémiologique
en France, sur les mesures prises par les pouvoirs publics etc. (24/02/2012)
> Aliments
médicamenteux
Les inspections ont montré de nombreuses infractions à la
règlementation concernant la délivrance des aliments médicamenteux.
(22/02/2012)
> Bassin
Adour-Garonne: un rapport concernant les retenues de stockage d'eau
Le MEDDTL et le MAAP viennent de rendre un rapport conjoint concernant
les retenues de stockage d'eau du bassin Adour-Garonne. (21/02/2012)
What Confucius didn't say but he could have said it!!!
It takes many nails to build a crib, but one screw to fill it.
Les nouveautés du moteur d'Orange
Les équipes de développement du moteur d'Orange ont mis en place
un certain nombre de nouvelles fonctionnalités ces derniers mois.
En voici une petite revue d'effectif...
Voir : http://actu.abondance.com/2012/02/les-nouveautes-du-moteur-dorange.html
Wikipedia apparaîtrait en première page de Google dans 99% des
cas !
Selon une étude qui vient d'être publiée, basée sur l'analyse
de 1 000 requêtes sur Google UK, Wikipedia apparaitrait dans 99% des
cas en première page et entre les positions 1 et 5 pour 96% des requêtes...
Voir : http://actu.abondance.com/2012/02/wikipedia-apparaitrait-en-premiere-page.html
Les smartphones gagnent du terrain au 4e trimestre
Avec plus de 470 millions de smartphones distribués en 2011, les terminaux
mobiles Internet représentent désormais 31% des téléphones dans le
monde. Une croissance dont ne profite pas tous les constructeurs.
Voir : http://www.silicon.fr/les-smartphones-gagnent-du-terrain-au-4e-trimestre-71825.html
Sécurité : les tablettes catalysent les craintes du consommateur
Six Français sur dix estiment que leur tablette tactile n'est pas
suffisamment sécurisée. Les craintes sous-jacentes ont trait aux dangers
du BYOD ainsi qu'à la généralisation des menaces virales sur les plates-formes
mobiles.
Voir : http://www.silicon.fr/
securite-les-tablettes-catalysent-les-craintes-du-consommateur-71797.html
L’usage local des tablettes, c'est au chaud et chez moi !
par Raphael Chenol (PagesJaunes)
Les tablettes ont encore été les reines au pied du sapin de Noël avec
plus de 70 millions d’unités écoulées en 2011. Lors du Mobile Monday
du 13 février 2012, le constat est unanime: leur usage explose notamment
pour la recherche locale, mais loin des points de vente...
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/expert/50961/l-usage-local-des-tablettes--c-est-au-chaud-et-chez-moi.shtml
Emploi 2012 : le secteur IT préservé dans un contexte de croissance
« tétanisée »
Pas d'espoir de reprise tangible avant 2014 pour l'emploi des
cadres selon l'Apec. Qui prévoit au mieux une quasi-stagnation des
recrutements en 2012. Grâce notamment à l'embauche du secteur IT et
de la fonction informatique qui devrait maintenir le rythme de près
de 30 000 postes à pourvoir
Voir : http://www.lemagit.fr/article/emploi-recrutement-informaticiens-embauche-
cadres-conjoncture/10472/1/emploi-2012-secteur-preserve-dans-contexte-croissance-tetanisee/
La Suède, 1er pays d'Europe à commercialiser des smartphones 4G
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/
actualites/lire-la-suede-1er-pays-d-europe-a-commercialiser-des-smartphones-4g-47813.html
Le FBI va fermer des serveurs DNS corrompus
Voir : http://www.lemondeinformatique.fr/
actualites/lmi/lire-le-fbi-va-fermer-des-serveurs-dns-corrompus-47800.html
Comment pouvons-nous veiller à ce que l’internet joue un rôle sain
dans la démocratie ? 5lu dans InternetActu)
A l’occasion d’une conférence au Centre
pour les Media Civic du MIT organisée en partenariat avec le Berkman Center pour l’internet et la société
(rapporté
par l’un de ses étudiants, Nathan Matias), Rebecca MacKinnon (@rmack) est venu présenter son nouveau
livre Consent
of the Networked : the worldwide struggle for internet freedom
(Le consentement des connectés : la lutte mondiale pour la liberté
d’internet – voir également le
site dédié). Après avoir été le visage de CNN à Pékin et à Tokyo,
Rebecca a fondé avec Ethan Zuckermann Global Voices, un réseau international
de blogueurs et journalistes tentant de faire un pont entre les langues
et les cultures pour faire entendre des informations de régions peu
représentées dans les médias internationaux.
Bien sûr, il y a eut beaucoup de débat sur le rôle de l’internet dans
le printemps arabe, souvent pour se demander quel rôle a joué l’internet
dans la chute de Ben Ali ou de Moubarak, explique la journaliste en
introduction de sa conférence. Pourtant, l’essentiel n’est pas là.
Il n’est pas de mesurer qui a fait quoi, mais de nous projeter afin
de savoir “Comment pouvons-nous veiller à ce qu’internet joue un
rôle sain dans la démocratie ? Comment internet peut-il aider les
gens de la Tunisie et l’Egypte à construire à longue terme une démocratie
stable ?”
Voir : http://www.internetactu.net/2012/02/14/
comment-pouvons-nous-veiller-a-ce-que-linternet-joue-un-role-sain-dans-la-democratie/
Du côté de LINUX
et des logiciels libres : Encore un changement de distribution
S'il n'y avait pas les ordinateurs, il faudrait les inventer. Comme
ça, je peux écrire encore et encore des tests, pour notre plus grand
plaisir.
J'ai installé sur le netbook une distribution pour remplacer eeebuntu
qui n'a plus de dépôts. Je radote ? Je l'ai déjà dit dans une gazette
précédente ? Si vous avez remarqué, c'est donc que vous lisez cette
rubrique. Merci, lecteur adoré.
J'avais choisi après de multiples installations, et une clef usb qui
a lâché à la deuxième écriture, une distribution easy peasy. Au bout
de quelques jours, le login se faisait bien, un écran noir s'affichait
et j'avais un retour à la bannière de login. Qu'à cela ne tienne,
je réinstalle la distribution. Deux jours plus tard, le même phénomène
se produit. Grrrr.
Je retourne sur le réseau pour chercher une autre distribution. Je
tombe (sans me faire de mal) sur ubuntu, version l. Lubuntu comporte
le bureau LXDE encore plus léger que Xfce (dixit le site http://doc.ubuntu-fr.org/lubuntu),
distribution que j'ai adoptée pour mon ordinateur personnel. Plus
léger ? Trop léger ?
J'installe. Et tout (à la manière Ubuntu) fonctionne bien du premier
coup. Cependant, ma fille, propriétaire du netbook, me fait remarquer
qu'elle a été habituée au luxe de eeebuntu. LXDE est vraiment léger,
et offre peu de possibilités de personnalisation. C'est plus que fenêtre
XP, mais pas autant que les distributions récentes. Leur inconvénient
(mais je l'ai déjà écrit dans ces colonnes) est qu'ils sont consommateurs
de ressources pour les machines qui n'ont pas au moins une carte graphique
puissante.
Soit, mais l'ordinateur fonctionne et lui donne satisfaction. Je propose
d'en essayer d'autres, avec gestionnaire de bureau évolué. Elle me
dit que ce n'est pas raisonnable et qu'elle va s'adapter.
Je me dois de signaler que si vous avez déjà des utilisateurs (changement
de distribution), lubuntu s'en aperçoit et vous propose des choix
pour conserver ou copier les documents. Les messages et les boutons
de choix manquent pour le moins de clarté. Ce qui me conduit à écraser
les dossiers et faire disparaître les documents présents. Comme nous
sommes tous prévoyants, les documents ont été sauvegardés. N'est-ce
pas ? Donc, ça ne pose pas de problème. Monsieur Ubuntu, revoyez cette
fenêtre pour en améliorer la lisibilité et la compréhension. Je remarque
aussi, que je peux donner une destination par défaut à mes utilisateurs
autres que le répertoire/partition « home ». Je lui donne « /USERS
», tout joyeux que cette possibilité existe avec Ubuntu. C'est du
vent. Il maintient le répertoire « /home ». Vous me connaissez ? Je
modifie immédiatement le fichier « /etc/passwd » en remplaçant « /home
» par « /USERS » et tout rentre dans l'ordre. On ne me la fait pas
!
Encore un bon produit à mettre entre toutes les mains. Encore perfectible,
pour sûr. A ce prix, puis-je être exigeant ?
Contact : Alain LE DILOSQUER
Mél : ledilo(a)cetiom.fr
Be very careful
A wife comes home late one night and quietly opens the door to
her bedroom.
From under the blanket she sees four legs instead of two.
She reaches for a baseball bat and in a rage starts hitting the blanket
as hard as she can.
Once she's done, she goes to the kitchen to have a drink.
As she enters, she sees her husband sitting there, reading a magazine.
"Hi Darling", he says, "Your parents have come to visit
us, so l let them stay in our bedroom.
Did you say 'hello'?"
Contact: Mick HARKIN
E-mail: harkin(a)iol.ie
HYPP,
Hypermédia pour la protection des plantes
|
HYPP
est un compagnon très intéressant qui m apporte
un grande satisfaction et m enrichit énormément
car ma formation agricole limitée ne m a pas permis durant
ma jeunesse d accéder a une connaissance élargie
de la biologie…
Un témoignage de M. Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr
Voir :
http://www.acta-informatique.fr?d=5183
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