Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone
d’informatique agricole (Afia)
Voir : http://www.informatique-agricole.org/gazette/afia/gaz_120607_21.htm
Les archives
de cette gazette sont disponibles sur le site de l'AFIA
Voir : http://www.informatique-agricole.org
La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique
agricole" est réalisée avec le concours de vitisphere.com
Voir : http://www.vitisphere.com/
Colloque du 19 juin : changement !
Nous comptions organiser le 19 juin de 14 h à 17 h, un colloque
à Paris, au Ctifl, 22, rue Bergère, un colloque : "
Le web 2.0, aspects pratiques mais pas seulement
".
De fait, nous avons manqué de temps pour préparer ce
colloque. Ce n'est que partie remise.
>>> Mais nous vous proposons de travailler le 19 juin sur
place, ou en visioconférence, ou en réunion téléphonique
sur les questions suivantes :
- comment faire évoluer les gazettes afia et efita dans le
sens du web 2.0 collaboratif ?
- comment faire évoluer le site www.informatique-agricole.org
sous Wordpress ?
- comment améliorer la communication de l'Afia avec googlegroups
?
>>>
Vous avez utilisé les outils du web 2.0. Vos expériences
des documents partagés sous Google, des mailing listes sous
Google également, de partage de présentations ppt
sous Slideshare, de développement de blog sous Wordpress,
etc. peuvent nous aider !
>>>
Merci également de vous inscrire auprès de Mehdi Siné
ou moi-même pour participer à cette réunion
!
Contact : Guy WAKSMAN, Mehdi SINE
Mél : guy.waksman(a)laposte.net, M.Sine@arvalisinstitutduvegetal.fr
Pensée du jour sur l'intérêt (ou le peu d'intérêt)
du travail en groupe
A l'heure où le travail en groupe est valorisé, il est en effet
urgent de se poser la question. Et d'avoir l'audace de fournir la
réponse. A savoir : oui et non. Oui, les groupes de travail entre
semblables en concurrence sont contre-productifs. Non, car selon d'autres
études, les groupes diversifiés sont au contraire plus performants,
la complémentarité des compétences étant source de progrès. De
vraies bandes de cracks ! – Annie KAHN – Le Monde – 26 mars 2012
A thought for today
What is the purpose of the giant sequoia tree? The purpose of
the giant sequoia tree is to provide shade for the tiny titmouse.
- Edward ABBEY, naturalist and author (1927-1989)
A second one
The most erroneous stories are those we think we know best --
and therefore never scrutinize or question. - Stephen Jay GOULD, paleontologist,
biologist, author (1941-2002)
And a last one
To have great poets, there must be great audiences. - Walt WHITMAN,
poet (1819-1892)
Mon frère Gabriel, membre de la Royal Society (UK)
The origins of the Royal Society lie in an
'invisible college' of natural philosophers who began meeting in the
mid-1640s to discuss the new philosophy of promoting knowledge of
the natural world through observation and experiment, which we now
call science.
See: http://royalsociety.org/people/gabriel-waksman/
Sont pas tendres les cousins francophones
du Canada ! Les anglophones non plus d'ailleurs ! Voilà qui interpelle,
non ???
Voir : http://www.cyberpresse.ca/
debats/chroniques/pierre-foglia/201204/21/01-4517675-la-france-archaique.php
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
ICT-AGRI
|
All
who work with ICT in agriculture should register at: http://db-ictagri.eu
A recommendation by Nicolaï Fog HANSEN - EFITA President
E-mail: nfh(a)lr.dk
|
Cruiser : une histoire de fous (les fous, ce sont nous tous, prisonniers
– moi le premier - des logiques médiatiques, attirés par les médias,
piégés par les médias, bouleversés par les médias dont nous avons
besoin non seulement pour satisfaire notre besoin de reconnaissance
(?), mais aussi pour être informés dans un Etat démocratique !)
>>> Déclaration du ministre au sujet de l’avis de l’ANSES
/ Cruiser, le 1er juin 2012
L’utilisation de pesticides est régulièrement citée comme étant l’un
des facteurs contribuant au déclin des populations d’abeilles. Cette
cause est associée à d’autres : maladies, parasites ou autres facteurs
environnementaux.
Ce déclin constaté dans plusieurs parties du monde est une source
d’inquiétude forte.
Les abeilles, sont indispensables pour 80% des plantes cultivées,
leur impact direct sur la production agricole est donc un enjeu très
important.
Une publication récente de chercheurs français sur l’impact de la
molécule thiamétoxam utilisée en traitement de semence pour le colza
(commercialisé sous le nom de Cruiser OSR) sur le comportement des
abeilles a mis en évidence des phénomènes qui n’avaient pas été appréhendés
jusqu’alors. Les abeilles qui consomment du nectar contenant cette
molécule à faible dose seraient susceptibles de troubles de comportement
affectant leur capacité à revenir à leur ruche. Cet effet pourrait
alors contribuer au déclin des colonies concernées.
Ces éléments nouveaux et très préoccupants ont amené la France à saisir
en mars dernier l’ANSES, agence nationale de sécurité sanitaire de
l’alimentation, de l’environnement et du travail pour qu’elle nous
apporte un appui scientifique et technique sur les conséquences éventuelles
à tirer de cet article. Cette même saisine a été adressée dans le
même temps à la Commission européenne et à l‘EFSA, autorité européenne
de sécurité des aliments.
Le Directeur général de l’ANSES vient de me remettre cet avis.
L’expertise conduite a fait l’objet d’échanges entre l’ANSES et l’agence
européenne. Ces avis doivent être rendus publics ce matin même.
L’avis de l’Anses confirme l’effet néfaste observé d’une dose sub-létale
du produit concerné sur le retour à la ruche des abeilles butineuses.
L’étude examinée par l’agence montre, en outre, que les méthodologies
d’évaluation actuelles ne permettent pas d’évaluer complètement ce
type d’effet en particulier lorsque la plante traitée est une plante
nectarifère qui permet à l’abeille butineuse de s’alimenter.
Au niveau européen et compte-tenu des conclusions de l’agence, j’ai
décidé de saisir sans attendre la Commission européenne de ces questions.
Un travail dans ce sens a déjà été confié à l’EFSA mais il conviendra
de s’assurer que l'évolution des méthodes d'évaluation prendra bien
en compte ces nouveaux éléments.
Dans l’attente de ces travaux il m’apparait également nécessaire de
demander immédiatement à la Commission de réexaminer les conditions
d’approbation de la substance active pour son utilisation en traitement
des semences de colza.
Parmi les usages autorisés pour cette substance, l’usage sur colza,
ainsi que le souligne l’Anses, apparait préoccupant de par le caractère
nectarifère du colza. Il sera donc nécessaire que la Commission soit
en mesure d’apporter des réponses claires sur ce point avant la campagne
de semis de colzas à venir.
Au niveau national j’ai indiqué à son titulaire que j’envisage de
retirer l’autorisation de mise sur le marché du Cruiser OSR, nom commercial
de la substance concernée, utilisée pour l’enrobage des semences de
colza. Conformément à la procédure contradictoire réglementaire il
dispose d'un délai de quinze jours pour me faire part de ces observations.
Je pense aussi aux agriculteurs qui doivent pouvoir produire et protéger
leurs cultures. Il existe des alternatives à l’enrobage des semences
pour la protection du Colza qui sont déjà largement utilisées. Si
le retrait de l’autorisation est confirmé, les agriculteurs auront
donc des solutions.
Je vous remercie.
Voir : http://agriculture.gouv.fr/Declaration-du-ministre-au-sujet
>>> Et ce que dit l’Anses
Le Cruiser OSR
est un insecticide autorisé sous forme de semences enrobées pour la
culture du colza. Il comprend trois substances actives, dont un insecticide
de la famille des néonicotinoïdes, le thiamethoxam. Les résultats
d'une étude publiée récemment dans la revue "Science" mettent en évidence un effet néfaste d'une dose
sublétale de thiamethoxam sur le retour à la ruche des abeilles butineuses.
Dans ce contexte, l'Anses, en lien avec son homologue européenne l'EFSA,
souligne la nécessité de poursuivre les travaux de recherche et appelle
à une évolution de la réglementation européenne pour intégrer à l'évaluation
des produits phytopharmaceutiques des expérimentations permettant
une meilleure prise en compte des effets sublétaux d'une exposition
aux néonicotinoïdes. Elle rappelle, par ailleurs, la nécessité d'une
approche multifactorielle des risques pour lutter efficacement contre
le phénomène de mortalité des abeilles.
L'Anses a été saisie le 23 mars 2012 par le ministère
chargé de l'Agriculture d'une demande d'appui scientifique et technique
sur les conséquences éventuelles à tirer de la publication d'un article
dans la revue "Science "(Henry et al, 2012). Ce travail rapporte, sur
une base expérimentale, les effets sur les abeilles du traitement
par une substance néonicotinoïde de semences de culture nectarifère
(type Colza). Cette étude tend à démontrer que l'exposition des abeilles
à des doses sublétales de thiamethoxam cause un certain nombre de
troubles du comportement des abeilles, et, du fait d'un défaut de
retour à la ruche, pourrait intervenir dans les mécanismes de fragilisation
des colonies d'abeilles.
Pour mener à bien son expertise, l'Anses a réalisé
une audition des auteurs de l'étude. Elle a, par ailleurs, obtenu des résultats d'analyses
de teneurs en thiamethoxam, clothianidine et sucres de nectars, prélevés
à la demande des pouvoirs publics, à partir de différentes variétés
de colza traités ce printemps avec du Cruiser OSR, afin de pouvoir
comparer les niveaux d'exposition utilisés dans l'étude expérimentale,
avec des données réelles de terrain. Elle a enfin confronté
les résultats issus de cette étude avec toutes les données disponibles,
en particulier celles issues du dossier de demande d'autorisation
de mise sur le marché du Cruiser OSR.
Les conclusions de cette expertise, validées par
le comité d'experts spécialisé « produits phytosanitaires » de l'Agence,
sont les suivantes :
- L'expérience menée par les auteurs de l'étude,
basée sur un suivi individuel de retour à la ruche des abeilles grâce
à la technique de puces RFID, est une approche originale de l'étude
comportementale des abeilles butineuses exposées à une substance phytopharmaceutique.
Elle met en évidence un effet néfaste
d'une dose sublétale de thiamethoxam sur le retour à la ruche des
abeilles butineuses.
- Les données de terrain indiquent que, dans les
conditions de pratiques agricoles actuelles, l'exposition des abeilles au thiamethoxam via les résidus de nectar de colza (de 0,1 à 0,33 ng/abeille selon les
résultats d'analyse obtenus) est inférieure à la dose utilisée dans l'expérience (1,34 ng/abeille). Cependant, une exposition à cette dose ne peut être totalement
exclue dans des circonstances particulières.
- Les conséquences des effets observés sur le devenir
de la colonie d'abeilles, étudiées au moyen d'une modélisation mathématique
non validée pour cette utilisation, ne sont pas clairement établies.
Les résultats présentés dans l'étude ne sont pas considérés comme remettant en cause les conclusions de l'évaluation
des risques menée selon les critères réglementaires actuels dans le cadre du dossier de demande d'autorisation de mise sur le
marché de la préparation Cruiser OSR. Cependant, ils mettent en évidence les limites des modèles mis
en œuvre dans ce cadre pour évaluer le retour à la ruche des butineuses.
L'autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA),
saisie du même sujet par la Commission Européenne, a été associée
par l'Anses aux auditions réalisées, et aboutit à des conclusions
comparables.
Enfin, concomitamment à la publication analysée
par l'Anses, d'autres études menées avec des protocoles différents,
ont récemment mis en évidence certains effets néfastes de l'exposition
à des doses sublétales de néonicotinoïdes sur l'état de santé des
colonies de bourdons et d'abeilles.
Sur cette base, l'Anses recommande :
- De poursuivre
les expérimentations sur la base de
la technologie RFID en faisant varier les niveaux d'exposition pour
se rapprocher davantage des doses auxquelles les abeilles sont communément
exposées, et en approfondissant les conséquences des effets néfastes
observés individuellement sur la dynamique de la colonie d'abeilles.
Ce travail permettrait de valider un protocole d'étude permettant de mieux décrire les effets sublétaux d'une exposition
aux néonicotinoïdes, et pourrait
être pris en compte dans l'évolution de la réglementation européenne.
- D'engager
une réévaluation au niveau européen des substances actives néonicotinoïdes (thiamethoxam, clothianidine,…) sur la base des données scientifiques
nouvelles issues des études récentes.
L'Anses rappelle que le phénomène de mortalité des
abeilles est d'origine
multifactorielle et nécessite d'agir
sans attendre sur l'ensemble des facteurs pouvant intervenir. Dans
ce cadre, en tant que laboratoire
de référence de l'Union européenne,
l'Anses pilote un vaste
programme de surveillance épidémiologique
en Europe visant à mieux caractériser le phénomène de mortalité des
abeilles, en prenant en compte aussi bien les agents pathogènes que
les expositions aux pesticides dans les facteurs d'affaiblissement
des ruches.
Enfin, l'Anses mettra en place d'ici la fin de l'année
2012 un groupe d'experts dédié, destiné à mieux comprendre les effets
des co-expositions des abeilles à des
toxiques et des agents pathogènes,
en vue d'éventuelles recommandations, d'ici à 2014, pour leur prise
en compte dans la réglementation, en complément des travaux menés
par l'EFSA.
>>> Pour en savoir plus
> Consulter l'avis du 31 mai 2012 : Avis relatif à une demande d’appui scientifique et technique dans la perspective
de la publication de l'article "A common pesticide decreases foraging success and survival
in honey bees"
Voir : http://www.anses.fr/cgi-bin/countdocs.cgi?Documents/DPR2012sa0092.pdf
Voir : http://www.anses.fr/index.htm
>>> Ma remarque (GW)
Ainsi
l’effet Séralini est confirmé par l’Anses. L’effet Séralini, c’est
(selon moi – GW et je sais que ce n’est pas vraiment agréable pour
cet universitaire dont je ne doute pas de l’intelligence) : les
pesticides sont un poison (ce que nous savions depuis toujours)
et pour le prouver de façon encore plus définitive, il suffit d’appliquer
de très fortes doses sur des tissus (ou être) vivants quels qu’ils
soient, en oubliant que c’est la dose qui fait le poison.
L’Anses indique que les auteurs de l’étude Inra-Acta ont utilisé
des doses 4 à 10 fois supérieures à ce que l’on rencontre sur le
terrain dans les conditions habituelles.
Il est bien certain que je suis moi-même beaucoup plus désorienté
quand j’ai bu 10 verres de vin (ou seulement 4) que lorsque j’en
ai bu qu’un seul. Je ne suis donc pas surpris que les abeilles soient
également beaucoup plus désorientées lorsqu’elles ont bu 1,34 ng
de Cruiser que lorsqu’elles n’en ont bu que 0,1.
Et au final le ministre dit le contraire de ce qu’affirme l’Anses.
Pour autant, ceci n’enlève rien à l’intérêt des travaux Inra-Acta
au plan méthodologique. Il fallait évidemment commencer par de fortes
doses pour montrer que la méthode peut marcher. Mais les conclusions
qu’en tire le Ministre me paraissent abusives et portent atteinte
à la crédibilité de travaux qui ne visent pas un pesticide en particulier
mais à mieux évaluer les risques encourus. Si le ministre croyait
vraiment en l’expérimentation, il demanderait de nouveaux essais,
à des doses tenant mieux compte de la capacité d’ingestion en nectar
des abeilles et des doses de produit effectivement mesurées sur
le terrain. L’Inra avec ses milliers de chercheurs et son budget
considérable, en a largement les moyens.
Logique technique et logique politico-médiatique sont difficilement
compatibles.
Il faut malheureusement constater que des ministres
intelligents, très bons politiques, parfaitement au courant de leurs
dossiers, tels que Bruno Le Maire (sur le MON 810) et Stéphane Le
Foll (sur le Cruiser) sont prisonniers du principe médiatique de
précaution. Ils craignent par-dessus tout de se voir reprocher par
les bobos-écolos et les médias de ne pas prendre en compte toutes
leurs lubies, quelles que soient les arguments des équipes de l’Anses
ou de l’Efsa.
Tous ceux qui s’intéressent à la productivité de notre agriculture
autant qu’à l’environnement (dont je suis – c’est même pour cela
que je me suis intéressé à l’informatique) ont du souci à se faire,
aussi bien que les plus modérés (de gauche comme de droite) d’entre
nous, submergés aujourd’hui par la technophobie de certains, ou
(par exemple) l’islamophobie de certains autres, tous réunis pour
nous faire peur.
>>> Cruiser : Stéphane Le Foll se moque de l’avis des
experts de l’Anses et de l’Efsa (Gil Rivière-Wekstein)
Lors d’une conférence de presse, tenue dans la cour du ministère
de l’Agriculture ce vendredi 1er juin, Stéphane Le Foll a annoncé
qu’il lançait le processus d’interdiction pour l’usage du Cruiser
OSR sur colza. Pour justifier cette mesure, le ministre de l’Agriculture
prétend s’appuyer sur deux avis – celui de l’Anses et celui de l’Efsa.
Or, le terme « effet néfaste » évoqué par le ministre ne figure nulle
part dans ces avis, qui confirment au contraire que les auteurs de
l’étude « A common pesticide decreases foraging success and survival
in honey bees » de Henry et al. (2012) ont bel et bien utilisé des
doses de thiamethoxam jusqu’à présent jamais rencontrées sur le nectar
de colza !
Le ministre a donc fait le choix d’ignorer l’avis des experts, dont
les conclusions sont pourtant sans ambiguïté. « Les données de terrain
indiquent que, dans les conditions de pratiques agricoles actuelles,
l’exposition des abeilles au thiamethoxam via les résidus de nectar
de colza (de 0,1 à 0,33 ng/abeille selon les résultats d’analyse obtenus)
est inférieure à la dose utilisée dans l’expérience (1,34 ng/abeille)
», note l’Anses, qui ajoute : « L’interprétation des auteurs selon
laquelle la dose de thiaméthoxam de 1,34 ng/abeille serait communément
rencontrée sur le terrain est donc considérée comme non vérifiée par
les observations disponibles ».
Même conclusion de la part de l’Efsa, qui conclut que « pour ce qui
concerne les abeilles mellifères, les concentrations de pesticides
ayant été testées dans les études publiées sont plus élevées que les
plus hauts niveaux enregistrés de résidus de néonicotinoïdes thiaméthoxame,
clothianidine et imidaclopride présents dans le nectar ». L’écart
entre la dose administrée et le pire scénario possible a même été
évalué : « Sur la base des données collectées auprès de l’ensemble
des Etats-membres, l’Efsa conclut que la concentration en thiaméthoxam
du sirop administré aux abeilles dans l’étude de Henry et al. (2012)
est environ 10 fois supérieure à la concentration maximale observée
dans un échantillon de nectar » (lire à ce sujet l’article « Étude
de l’Inra : un surdosage de 30% »).
« Le changement, c’est donc la priorité aux abeilles », a commenté
Pascal Berthelot journaliste à Europe 1, présent lors de la conférence
de presse. Ce qui n’est même pas le cas, puisque la cohabitation entre
colza traité Cruiser et abeilles s’est parfaitement bien passée cette
année. En effet, interrogé par A&E, Stéphane Le Foll a confirmé
n’avoir aucun élément chiffré concernant d’éventuels cas de mortalité
attribuables cette année à l’usage de Cruiser sur colza, alors que
les agriculteurs l’ont utilisé sur 650 000 ha, soit près d’un hectare
de colza sur deux. Stéphane le Foll va donc priver le monde agricole
d’une solution de protection de plantes efficace et compatible avec
l’apiculture, sur la simple base d’une étude réalisée en partie en
laboratoire et dont le dosage est estimé 10 fois supérieur à celui
rencontré dans la réalité ! Ce faisant, il va forcer les producteurs
de colza à revenir aux anciens pesticides foliaires. Un comble !
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr/actualites,12/
cruiser-stephane-le-foll-se-moque-de-l-avis-des-experts-de-l-anses-et-de-l-efsa,796.html
>>> La réaction de Syngenta : Triste journée pour l’agriculture
française, la filière colza et les consommateurs
Syngenta dénonce une décision qui utilise comme prétexte une seule
expérience non validée et très éloignée de la pratique agricole
pour retirer l’autorisation de Cruiser® OSR, en totale contradiction
avec les observations terrain en France et en Europe.
Une seule expérience, non validée par les groupes d’experts compétents,
prend le pas sur la réalité au champ : 650 000 hectares protégés
Cruiser® OSR sans incident lié à son utilisation comme cela est
observé ailleurs en Europe sur près de 3 millions d’hectares.
Selon l’avis de l’ANSES, la dose utilisée dans l’expérience est
très largement supérieure à celle mesurée en pratique.
Par ailleurs, l’ANSES reconnait que « Les résultats présentés dans
l'étude ne sont pas considérés comme remettant en cause les conclusions
de l'évaluation des risques menée selon les critères réglementaires
actuels dans le cadre du dossier de demande d'autorisation de mise
sur le marché de la préparation Cruiser® OSR ».
En cas de retrait de l’AMM, les producteurs français de colza ne
pourraient donc plus bénéficier de Cruiser® OSR, une solution innovante
de protection des cultures contribuant à une agriculture compétitive
et durable. Ils subiront une perte économique correspondant à plus
de 100 Millions d’Euros dont la charge sera au final supportée par
le consommateur.
Syngenta dénonce une décision qui prend pour prétexte une seule
expérience non validée et très éloignée de la pratique agricole
et s’emploiera à défendre ses Autorisations de Mise sur le Marché.
Voir : http://www3.syngenta.com/country/fr/fr/Syngenta/espace-presse/Pages/Espace-presse.aspx
>>> Déclaration de Gérard Tubery, président de la FOP
: réaction à l’annonce du ministre de l’Agriculture au sujet de l’avis
de l’Anses sur le Cruiser
Réagissant aux propos du Ministre de l’Agriculture faisant part
de son intention de suspendre l'autorisation de mise sur le marché
du Cruiser OSR, le Président de la FOP (Fédération des producteurs
des oléagineux et des protéagineux) Gérard TUBERY a notamment déclaré
:
« La FOP s’étonne de la décision du Ministre de l’Agriculture qui
lui semble disproportionnée par rapport aux conclusions contenues
dans le rapport de l’ANSES.
La FOP tient à rappeler qu’elle est évidemment sensible à la protection
de l'environnement et à la sécurité alimentaire. C’est pour cette
raison que la filière des huiles et protéines végétales fait de la
connaissance, de l’appréciation et de l’évaluation des risques des
produits de traitement sur la biodiversité, une des priorités de son
action. Il est indispensable que chacun – Pouvoirs publics, opinion
publique, producteurs - puisse disposer d’éléments techniques, agronomiques
et économiques incontestables sur ce sujet.
Dans ce cadre, en lien étroit avec le CETIOM, elle accorde une importance
toute particulière à la protection des abeilles dont l’importance
est indiscutable par leur rôle dans la pollinisation des plantes et
comme indicateur de la richesse de la biodiversité.
La FOP estime aussi nécessaire de permettre aux producteurs de disposer
des moyens de protection des cultures efficaces qui leurs permettent
de disposer des même solutions que leurs homologues européens. Le
retrait unilatéral d’une molécule doit aussi s’apprécier dans un contexte
de concurrence intra-européenne et ceci, d’autant plus que l’agriculture
est un atout majeur pour la croissance et la reprise économique dans
notre pays.
La FOP réaffirme qu’elle veut encourager les synergies entre agriculture
et environnement tout comme elle ne veut pas opposer producteurs de
grandes cultures et apiculteurs. Elle estime donc qu’il importe de
privilégier, comme le souhaite d’ailleurs le Premier Ministre, une
approche concertée, basée sur le dialogue et l’écoute, et non pas
imposée de façon brutale. En conséquence, elle prend acte du fait
que le Ministre demande tant aux firmes qu’à la Commission européenne
que des réponses et précisions complémentaires soient apportées aux
différentes questions que pose l’utilisation de ce produit avant d’arrêter
définitivement sa position ».
>>> Cruiser OSR : les semenciers dans l’incompréhension
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire a déclaré
le 1er juin qu’il avait l’intention de retirer l’autorisation de mise
en marché du Cruiser OSR, produit de protection des semences de colza.
Les entreprises semencières, réunies dans l’UFS, ne comprendraient
pas qu’une telle mesure puisse être prise, alors que ce produit a
été homologué en 2011 et que l’ANSES, dans son dernier avis, ne remet
pas en cause les conclusions de l’évaluation des risques.
Le
Cruiser OSR a été utilisé cette année pour 60% des productions de
semences de colza. Les cultures ont fait l’objet d’un suivi très
régulier, en partenariat avec des apiculteurs. Aucune anomalie dans
l’activité des ruches n’a été constatée. « Les abeilles sont
indispensables à la pollinisation des productions de semences et
les semenciers sont particulièrement attentifs à leur santé »
rappelle René Baratin, Président de la Section Oléagineux de l’UFS.
A
court terme, l’industrie semencière est très préoccupée de l’incidence
d’une telle décision sur les stocks de semences déjà traitées. L’impossibilité
de mettre ceux-ci en marché aurait des conséquences difficiles à
supporter pour certaines des sociétés concernées.
A
plus long terme, les semenciers ont besoin de visibilité car ils
investissent régulièrement dans des outils performants pour une
mise en oeuvre professionnelle des processus d’application des produits
de protection des semences.
Si
l’interdiction était confirmée, l’industrie semencière s’interrogerait
sur les orientations politiques souhaitées en termes de recherche,
de ré-industrialisation et d’excellence technologique pour une filière
contribuant pour 600 millions d’euros d’excédents à la balance commerciale
française.
La
protection des semences est une voie de progrès indispensable à
la santé des cultures et les filières de production doivent continuer
à bénéficier de cette innovation qui est un facteur de compétitivité.
Voir : http://www.ufs-semenciers.org/
actualites/Documents/CP%20UFS%20Cruiser%20OSR%202012.06.05.pdf
Mauvaise
nouvelle pour les Décroissants
Élu septième président de la Cinquième République le 6mai 2012,
François Hollande a déclaré vouloir être jugé à l'aune de deux valeurs
: la justice et la jeunesse. Pourtant, c'est sur les chantiers économiques
qu'il est attendu...
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr/
edito,2/mauvaise-nouvelle-pour-les-decroissants,784.html
Baisse des salaires, fronde des actionnaires... les
grands patrons face à la crise
Voir
: http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/05/10/
baisse-des-salaires-fronde-des-actionnaires-les-grands-patrons-face-a-la-crise_1698328_3234.html
Rien n'est simple !
Signalé par Bernard WOLFER
Mél : bernard.wolfer(a)orange.fr
Archaïque la France ? Bien verrouillée surtout ! (Contribution
de P. JAMET dans la gazette du 26 avril)
En France, lorsque nous nous comparons à l’Allemagne, nous constatons
le manque de densité de notre réseau de PME ; et si tout simplement
nos « fleurons nationaux » étaient des « éteignoirs » qui, de par
leur position dominante (monopolistique ?), empêcheraient de nouvelles
filières d’émerger et/ou de se développer.
Regardez autour de vous, les exemples ne manquent pas…
Contact : JP KERRIEN
Mél
: jpkerrien(a)wanadoo.fr
Gérard Larcher propose une nouvelle réforme de la formation professionnelle
qui vise à réorienter les crédits vers les demandeurs d'emploi
Voir : http://www.elysee.fr/president/root/bank_objects/Rapport_Larcher.pdf
Stéphane Le Foll est le nouveau ministre de l'Agriculture.
Voici les réflexions sur la proposition du commissaire européen
à l'agriculture, Dacian Ciolos, pour la politique agricole commune
après 2013, qu'il a livrées en exclusivité à A&E dès décembre
2010
Voir : http://www.agriculture-environnement.fr/actualites,12/
stephane-le-foll-les-quatre-enjeux-de-la-proposition-de-dacian-ciolos,700.html
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
|
Voir
: http://www.tvagri.info/ |
Hauteur
Deux blondes stagiaires dans une petite société maritime, ont
pour tâche de mesurer la hauteur d'un mât. Elles sortent et se rendent
au mât avec les échelles et les rubans à mesurer.
Tour à tour, elles tombent de l'échelle ou laissent tomber le ruban
à mesurer.
Un ingénieur passe par là et voit ce qu'elles essaient de faire.
D'un geste moqueur il tire le mât hors de la terre, le met à plat,
le mesure de bout à bout et enfin donne la mesure à une des blondes,
puis il s'en va.
Après que l'ingénieur soit parti, la blonde se tourne vers l'autre
et dit en riant :
- Ça c'est bien un ingénieur. Nous cherchons la hauteur et il nous
donne la longueur ! Quel con !!!!!!!
1er
Forum agroalimentaire de la Recherche et de l'Innovation Rhône-Alpes
se tiendra
7 juin 2012 - LYON
Voir : http://www.bonne-reponse.fr/peacritt/emailing2/invitation_1er_forum_web.pdf
PURE Modelling Workshop
8 juin 2012 - Paris
Voir : http://www.pure-ipm.eu/node/209
Contact : Vincent CELLIER
Mél : vincent.cellier(a)epoisses.inra.fr
Réduire la production et la consommation de viandes :
une solution pour nourrir durablement la planète ?
13 juin 2012 - RENNES (Agro Campus)
- Affronter le défi alimentaire : comment nourrir 9 milliards
d'individus en 2050 sous contraintes (environnement, GES, énergie,
eau
) ?
- Réduire les consommations de produits animaux fait-il partie
de la solution ?
- Est-il judicieux de réduire l'élevage ? Comment
diminuer les impacts environnementaux de l'élevage ? Comment
faire évoluer les comportements de consommation alimentaire
excessifs ?
Mél : bretagne(a)uniagro.fr
Forum des labos : Agricultures et territoires
14 juin 2012 –VERSAILLES
Voir : http://www.versailles-grignon.inra.fr/toute_l_actualite/fl_agricultures_062012
Portes ouvertes à la station expérimentale laitière de Trévarez
14 - 15 juin - SAINT-GOAZEC (Finistère)
Ce rendez-vous sera l’occasion de vous présenter les résultats de
six années de travaux, mais aussi d’explorer les pistes d’avenir
pour les exploitations laitières.
Produire autant, voire plus et mieux, avec moins d’intrants non
renouvelables (aliments, médicaments, engrais, phytos, énergies
fossiles…) en utilisant mieux le fonctionnement des écosystèmes
est la réponse la plus réaliste pour pérenniser une agriculture
forte en Bretagne, en phase avec les enjeux alimentaires, environnementaux
et d’économie des ressources non renouvelables.
L’Agriculture Ecologique Intensive (AEI) sera donc au coeur des
présentations, car les élus des Chambres d’agriculture veulent promouvoir
ce concept et le co-construire, avec tous les partenaires qui le
souhaitent, afin de le rendre concret pour tous les agriculteurs.
La visite du site vous permettra de vous faire votre propre idée
des travaux en cours et les conférences en après-midi vous permettront
de débattre avec des spécialistes.
Contact : Alain DEQUIN
Mél : alain.dequin(a)finistere.chambagri.fr
Journée filière semences en région Centre
19 juin 2012 - LUTZ-EN-DUNOIS (28)
La filière semences et plants occupe une place d’excellence dans
la région Centre.
Pour conforter cette position, elle doit s’adapter en permanence
à son environnement technique et réglementaire.
Pour cela, des actions sont menées avec le soutien du Conseil Régional
et des Pouvoirs Publics. La filière semences et plants a également
besoin de développer son réseau de compétence d’agriculteurs-multiplicateurs.
Venez découvrir les réalisations actuelles et les perspectives offertes
dans ce domaine par notre région.
Contact : Florence DUHEM
Mél : florence.duhem(a)gnis.fr
Interculture : couverture automnale des sols
28 juin 2012 - PARIS
Colloque organisé par la délégation à l'expertise, à la prospective
et aux études de l'Inra autour d'une étude qu'elle a conduite à
la demande des ministères chargés de l'Agriculture et de l'Environnement
au sujet de la généralisation, prévue pour 2012, de la couverture
automnale des sols agricoles dans l'ensemble des "zones vulnérables"
à la pollution des eaux par les nitrates.
Voir : https://colloque4.inra.fr/interculture
La logique des enfants est imparable!!! (1)
Professeur: Que dois-je faire pour répartir 11 pommes de terre
entre 7 personnes ?
Élève: Purée de pommes de terre, maître !
NEOTIC rejoint MAFERME, S2B VISIO entend rejoindre le nouveau groupe.
Châlons-en-Champagne, le 4 juin 2012 – La société Neotic, située
à Montpellier (Hérault), et spécialisée dans la conception et le développement
de systèmes d’information agronomiques, rejoint Maferme, société d’édition
de progiciels sur internet à destination du monde agricole, basée
à Châlons-en-Champagne (Marne). La société S2B Visio pourrait
par ailleurs rejoindre le nouveau groupe créé par ce rapprochement.
Les actionnaires de Neotic ont décidé d’adosser leur société à Maferme,
témoignant ainsi de la confiance qu’ils accordent à la société châlonnaise.
La grande complémentarité de ces deux entreprises en forte croissance,
leurs ambitions partagées, leurs synergies naturelles de moyens et
de savoir-faire, sont autant d’atouts qui motivent ce rapprochement
stratégique.
Depuis plus de 10 ans, Neotic cultive son leadership dans l'édition
de systèmes d’information dédiés aux filières agricoles et agro-industrielles.
Sa gamme de solutions informatiques innovantes Agreo, véritable plateforme
d’outils de travail collaboratif, alliant mobilité et technicité,
se positionne de façon transversale sur tous les métiers de l’amont
agricole. Le succès de Neotic s’est traduit par une croissance soutenue
au fil des années : son chiffre d'affaires a été multiplié par 13
depuis son premier exercice et sa croissance moyenne annuelle est
de 40%.
Née il y a plus de 10 ans, Maferme est une entreprise issue du monde
agricole, qui en partage les valeurs, qui en connaît les enjeux actuels
et futurs. Pionnier du web agricole, Maferme a créé Atland, une solution
innovante de pilotage des exploitations agricoles qui conjugue savoir-faire
agricole et informatique. Atland place l’agriculteur au coeur de sa
filière et apporte aux opérateurs une solution complète d’aide à la
décision sur l’ensemble de leurs métiers agricoles. En forte croissance
depuis sa création, Atland assure aujourd’hui le pilotage technique
de plus de 50.000 exploitations couvrant plus de 2 500 000 hectares.
Ce rapprochement permettra aux deux sociétés, tout en conservant leur
autonomie, d’accélérer leur politique de forte croissance par l’atteinte
d’une taille critique sur leur marché.
Les deux entités annoncent clairement une volonté de conforter leur
leadership naturel, de renforcer leur programme de R&D et d’innovation
et de toujours mieux satisfaire et fidéliser leurs clients en leur
apportant écoute, et compétitivité via leurs produits et services.
…/…
Ce rapprochement stratégique est une première étape dans la constitution
d’un acteur majeur du monde des systèmes d’informations pour le secteur
agricole et agro-industriel en France et en Europe. En effet, le groupe
Maferme et la société S2B Visio, éditeur de solutions informatiques
et d’outils d’aide à la décision destinés au monde agricole, concepteur
et exploitant notamment de la plateforme VISIOPLAINE ainsi que des
logiciels TERRAPPRO de la société Prestilem, finalisent actuellement
des discussions visant à rapprocher les deux entreprises.
Le nouveau groupe ainsi créé, né du rapprochement de Ma ferme-Neotic
et S2B Visio sera leader en France dans son domaine d’expertise.
Ces rapprochements s’accompagnent d’un élargissement de l’actionnariat
de Maferme. Le groupe coopératif INVIVO vient en effet rejoindre au
capital les actionnaires historiques : VIVESCIA, SOUFFLET, ARVALIS,
DIJON CEREALES, ACOLYANCE, CDER de la Marne. L’actionnariat de Maferme
serait par ailleurs élargi à la Confédération Générale des Planteurs
de Betteraves. Cet actionnariat, représentatif du monde agricole et
agro-industriel, est composé d’entités solides, gage supplémentaire
de pérennité et de développement pour le nouveau groupe.
>>> A propos de Neotic - http://www.neotic.fr/
Fondée en 2001, la société emploie aujourd’hui 45 ingénieurs
agronomes et informaticiens, et s’est imposée comme leader sur le
marché français des solutions web pour le secteur agricole et agroindustriel.
Certifiée ISO 9001 depuis 2005, Neotic compte plus de 200 clients,
et près de 33.000 utilisateurs. Son produit Agreo, décliné en 7 solutions
métier, est utilisé dans plus de 10 pays.
Sa vocation : faciliter la maîtrise de l’information de l’ensemble
des acteurs agri et agro, dans une logique de traçabilité, de qualité,
de communication et de gestion de production.
Neotic a bâti sa réputation sur son avance technologique. Dès son
origine, l’entreprise mise sur l’innovation 100 % utile dédiée à la
création et à l’amélioration de nouveaux produits pour concilier qualité,
traçabilité totale et pilotage technique avec développement durable
et normes environnementales.
L’originalité de Neotic est d’associer une expertise pointue en NTIC
(Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication) à
une vraie compétence agro en mixant les savoir-faire d’ingénieurs
agronomes et informaticiens. Ceci permet d’assurer un bon diagnostic
des besoins et enjeux du monde agricole et de les traduire en solutions
techniques adaptées et reconnues par tous les professionnels des différentes
filières.
>>> A propos de Maferme - http://www.maferme.com/
Maferme est une société d’édition de progiciels sur
internet à destination du monde agricole.
Forte de sa connaissance des nouvelles technologies de l’information
et du monde agricole, Maferme a créé Atland, une offre unique sur
le marché, plusieurs fois récompensée par ses pairs agricoles et informatiques
(trophée du SAAS et du Cloud Computing, Lauréat du concours Géoportail
pour les applications professionnelles, trophée de bronze Agriculture
et Nouvelles Technologies).
Une équipe regroupant des compétences agricoles, agronomiques et informatiques
soutient en permanence la forte croissance du déploiement d’Atland
qui répond aux exigences agro-environnementales pour des clients opérateurs
de filières répartis dans toute la France.
La satisfaction de nos clients est une priorité, la qualité de nos
prestations également. Simples dans notre quotidien mais ambitieux
pour l’agriculture, nous sommes convaincus que les technologies de
demain aideront le milieu agricole à se positionner face à ses enjeux
futurs : environnementaux, sociétaux... Nous nous définissons comme
partenaire de nos clients, capable d’accompagner et de relayer leur
stratégie dans la durée, au-delà de la simple implantation d’une solution
informatique.
Contact: Fabrice BOURGEOIS-ARMURIER
Mél : ndelaunay(a)champagne-cereales.com
Construire et conduire des systèmes de culture économes
Ainsi s'intitule le nouveau "cahier technique de l'agriculture
durable" publié par le Réseau agriculture durable des Civam.
C'est le neuvième titre de cette collection, démarrée en 2001, qui
a été diffusée à plus de 20 000 exemplaires (voir agriculture-durable.org
onglet publications/ la collection cahier techniques)
Comme les précédents, ce cahier de 72 pages est illustré de témoignages
d'agriculteurs, d'éclairages de scientifiques et d'apports théoriques.
Préfacé par Jean-Marc Meynard, agronome, ancien directeur du département
INRA-Sciences pour l'action et le développement (SAD), il s'inscrit
dans le projet Casdar "Grandes Culture Économes" qui a expertisé
un cahier des charges pour une Mesure agrienvironnementale "cultures
économes" dans 56 fermes en cultures et polyculture-élevage.
Il s'adresse aux agriculteurs en grandes cultures et aux éleveurs
qui ont des cultures mais aussi aux formateurs et à leurs étudiants,
aux agents de développement agricole.
Il comporte trois parties...
I- ÉVOLUER (quelques bonnes raisons de se mettre en marche vers des
systèmes de culture économes)
II- CONSTRUIRE (les clés essentielles pour bâtir des systèmes robustes
et moins demandeurs d'intrants)
III- CONDUIRE (mettre en place, réagir, ajuster en cours de route,
sans oublier d'évaluer pour progresser...)
Il est disponible au prix de 10 € port compris.
Voir : http://www.agriculture-durable.org
Mél : contact(a)agriculture-durable.org
Les bioplastiques : des plastiques végétaux biodégradables
Une brochure pour tout savoir sur les bioplastiques : d'origine
végétale, 100 % biodégradables et compostables.
Les bioplastiques se développent depuis une quinzaine d'années. Précurseurs
de la grande famille des plastiques végétaux, ils se distinguent par
leur biodégradabilité et leur compostabilité et représentent une solution
sérieuse aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux de notre
époque.
Voir : http://public.adequatesystems.com/
pub/link/171751/0983949842534701335939385860-de-bouche-a-oreilles.com.html
Vente directe en Suisse
Voir : http://www.mugnier.ch/
Sénégal côté nature
Voir : http://www.agroservices.fr/index.html
Contact : Jacques MUGNIER
Mél : jacques.mugnier0656(a)orange.fr
Impact des pollinisateurs sur la productivité du colza
Agriculteurs et apiculteurs lancent une expérimentation pour mesurer
l’impact de la pollinisation assurée par les abeilles et les autres
pollinisateurs sauvages sur le rendement du colza. Enjeu : valoriser
le service de la pollinisation ainsi que l’intérêt mellifère de certaines
productions agricoles. Conséquence : une véritable démarche gagnant
– gagnant entre le monde apicole et le monde agricole.
Le Groupe coopératif Vivescia (né de la fusion entre Nouricia et Champagne
Céréales) et le Réseau Biodiversité pour les Abeilles, en partenariat
avec BASF Agro et le Syndicat Apicole de l’Aube, ont lancé une expérimentation
attendue par l’ensemble du milieu agricole et apicole : évaluer le
gain de productivité lié à la pollinisation des abeilles. Depuis le
23 mars, un dispositif expérimental est mis en place sur une parcelle
de colza située à Bucey-en-Othe dans l’Aube. Il s’accompagne de suivis
et de relevés sur le terrain qui ont commencé début avril avec les
premières floraisons et qui se termineront fin mai. Objectif : caractériser
les trois modalités de pollinisation du colza :
* pollinisation entomophile, c’est à dire qui est réalisée grâce aux
insectes pollinisateurs dont les abeilles domestiques
* pollinisation anémophile, c’est à dire la pollinisation assurée
par le vent
* auto-pollinisation
La parcelle de colza a été choisie dans un environnement favorable
aux abeilles, en raison de la présence d’une forte biodiversité qui
permet une bonne ressource alimentaire pour celles-ci. Des jachères
apicoles, véritables garde-manger pour les abeilles, sont situées
sur leur zone de butinage. Toutes les conditions sont donc réunies
pour la réussite de cette expérimentation dont les résultats permettront
de mesurer les gains de rendement liés à la présence des pollinisateurs
et optimiser la rentabilité du colza.
Contact: Pierre TESTU
Mél : testu(a)jacheres-apicoles.fr
La logique des enfants est imparable !!! (2)
Professeur: - Joachim, dites-moi le présent de l’indicatif du
verbe marcher
Elève: - Je marche… tu marches… il marche…
Professeur: - Plus vite !
Elève: - Nous courons, vous courez, ils courent !
Du côté du ForumPhyto LesInfos1211 25
mai 2012
- L’EFSA sur le grill…
- Agriculture
Bio : Rapport de la Commission Européenne
- Mission
sénatoriale pesticides, environnement, santé en Aquitaine
- Journée bio-agresseurs telluriques (CTIFL)
- Les fruits
sauvés de la Drosophila Suzukii ?
- « Une meilleure banane pour l’Afrique » (Farming
& Agriculture)
- OGM MON810
: La France désavouée par l’EFSA
- « « Naturel » ne signifie pas toujours « sûr » »
(EWFC)
- « Louise Fresco parle de nourrir le monde entier
» (conférence TED)
- Lavons-nous
les mains ! (A Amgar)
- « Assurer l’avenir du chocolat » (Pour la science)
- « Vive l’agriculture intensive et productiviste »
(L Berthod)
Du côté des Insectes
> Les signalements des ouvrages
d'entomologie publiés dans le n° 164 (1er tr. 2012) d’‘Insectes’
Voir : http://www.inra.fr/opie-insectes/ouvrages2.htm#164
> Pas mal de ‘à lire sur Internet’ et une brève ‘Épingle’ « Fracture
du tibia ? » sur la dureté des êtres. Tout frais !
Voir : http://www.inra.fr/opie-insectes/epingle12.htm
> Resservies et désormais gravées dans l’Internet,
les ‘Épingles’ du 164, livrées en premier aux heureux abonnés et destinataires
: « Se décider sur un coup de tête » (Se délocaliser, oui. Où ? Les
ouvrières tranchent), « Art en insectes » (lépidoptérographisme aggravé),
« Pilulier tourneur » (ne pas perdre la boule).
Voir : http://www.inra.fr/opie-insectes/epingle12.htm#tet
Contact : Alain FRAVAL
Mél : afraval(a)orange.fr
Adhérez
à l'AFIA
Chèque de 30 Euros à
nous envoyer.
Un reçu vous sera adressé.
|
L'AFIA
est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
Voir : http://www.efita.net
|
Du côté de l’Institut de l’Élevage
>>> Optimiser ses résultats économiques en élevage laitier -Rechercher
sur le terrain des solutions pour améliorer les résultats économiques
des élevages laitiers
> L’élevage français est-il (encore) compétitif ?
> Tendances lait et viande n° 224 - mai 2012
>>> Produire et transformer du lait ou de la viande
> Complémenter la fibrosité des rations à base de maïs fourrage
> Les sorghos sucriers BMR sont de bons fourrages avec un itinéraire
cultural adapté
> Bâtiments équipements d'élevage
> Mécanisation des cultures de l'élevage
>>> Des références pour vos élevages
> Au Fil des Réseaux Sud-ouest n° 8
> Elevage ovin : différentes voies pour l’autonomie alimentaire
en Pays de la Loire
> Systèmes bovins viande en Pays de la Loire et Deux-Sèvres
> Repères techniques et économiques en viande bovine - conjoncture
2011
>>> Améliorer le troupeau
> Dispositif Génétique. Chiffres-clés Ruminants 2011
> Statistic outline of French genetic organisation - Ruminants 2011
> Résultats de Contrôle Laitier - France 2011
> Nouveauté : les index des taureaux en espagnol !
>>> Evénements - Formations
> Les nouveautés en sélection bovine laitière
> L’Institut de l’Elevage à Tech & Bio
> International Symposium on Emissions of Gas and Dust from Livestock
> Séminaire d'Epidémiologie Animale
Du côté de TV Agri
>>> Cultures News - Marchés agricoles :
Pourquoi les cours sont orientés à la baisse
La météo n'est pas seule en cause, loin s'en faut. Lorsqu'on se penche
sur les cours et marchés agricoles, un constat s'impose : l'heure
est à la baisse. Cours du pétrole, de l'euro, tensions économiques
en Espagne, ralentissement de la croissance chinoise : les facteurs
expliquant le repli des marchés sont nombreux. Le point dans cette
édition de Cultures News où nous reviendrons également, bien sûr,
sur la probable interdiction du Cruiser de Syngenta par le ministère
de l'agriculture.
>>> Le géant de la volaille en crise
Suspense autour du sort du groupe Doux. Le géant breton de la volaille
est au bord du dépôt de bilan, en pleine négociation avec les organismes
bancaires. Le sort de 4000 salariés et éleveurs est dans la balance.
Le ministre de l'agriculture, Stéphane Le Foll, a réagi ce vendredi
matin.
>>> Powerboost : Une autre façon de concevoir la pulvérisation
!
Cette semaine, Jean-Paul Hébrard vous dévoile de nombreuses nouveautés,
tout particulièrement dans le domaine des pulvérisateurs. L'émission
a été tournée dans l'Eure-et-Loir, dans le cadre d'une journée de
démonstrations organisée par la Chambre d'agriculture et les CUMA.
L'occasion de faire le point sur l'offre, les équipements et les solutions
innovantes.
Voir : http://www.tvagri.info
Du côté de FranceAgriMer
> Conseil
spécialisé fruits et légumes du 24 mai 2012
> Achats
des ménages - Produits laitiers - P5 2012
> Achats
des ménages de produits aquatiques frais et réfrigérés - Avril 2012
> Céré-hebdo
- 653 du 24 mai 2012
> Communiqué
de presse : FranceAgriMer lance un nouvel appel à candidatures dans
le secteur de l’horticulture ornementale
> Communiqué
de presse relatif à l'installation officielle du nouveau Conseil spécialisé
de FranceAgriMer pour les filières viticole et cidricole
> Vins sans IG et IGP Communiqué
de prix de la semaine 43 du 31 mai 2012
> Vins sans IG et IGP Historique
de la campagne 2011-2012
> Memento
du dispositif sanitaire à l’exportation vers les pays tiers (secteurs
animal et végétal)
> Prix
des produits laitiers communiqués à la Commission européenne - Semaine
21/2012
> Sondage
mensuel collecte lait de vache - Avril 2012
> Situation
des stocks de céréales au 1er mai 2012.
> Situation
Mensuelle des Marchés des Céréales - au 1er mai 2012
> Tableau
de bord des chiffres clés des ventes en halle à la marée du 31 mai
2012.
Du côté de la Chambre d’Agriculture de Haute-Marne
- Gel 2012 : par Christian Renaudin, le mardi 5 juin 2012 (16:43)
Afin d'éviter que des accidents de culture dus au gel soient interprétés
lors d'un contrôle comme un défaut d'entretien de la parcelle, les
agriculteurs ont la possibilité de notifier à la DDT que leurs parcelles
font bien partie de la zone reconnue comme ayant subi une situation
de force majeure. Un formulaire est à remplir et à retourner avant
le 25 juin. Il s'ajoute à une déclaration qui concernait elle les
agriculteurs ayant contractualisé une MAE rotationnelle et s'étant
trouvés dans l'incapacité de respecter leurs engagements.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/
kit/politique-agricole/declarations-de-surface/gel-2012.html
- Les phytos dans le bassin de la Seine : etude publiée par l'Agence
de l'Eau Seine Normandie et reprenant les principales problématiques
; présence de molécules dans l'eau et dans l'air, évaluation du risque,
mesures pouvant être prises...
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/environnement-energie/intrants/phytosanitaires/
phytos-dans-les-eaux-de-surface/phytos-dans-le-bassin-de-la-seine.html
- Cascade de l'azote dans le bassin de la Seine : la cascade de l'azote
est une nouvelle notion qui regroupe l'ensemble des conséquences produites
par l'introduction d'azote dit réactif (engrais azotés, émissions
des moteurs...) dans le milieu naturel. Celles-ci ne se limitent pas
en effet à la question des nitrates dans les eaux. Une synthèse a
été publiée à ce sujet par l'Agence de l'Eau Seine Normandie. Elle
tente de chiffres les principaux flux en cause et les solutions possibles
en agriculture et hors agriculture. Globalement le bassin de la Seine
se singularise par l'importance de l'agglomération parisienne et la
faiblesse des activités d'élevage. Les cultures, si elles nécessitent
beaucoup d'engrais, exportent également beaucoup d'azote, mais à l'inverse,
l'approvisionnement urbain amène des flux importants d'azote provenant
d'autres régions.
Voir : http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/
environnement-energie/directive-nitrates/cascade-de-lazote-dans-le-bassin-de-la-seine.html
Contact : Christian RENAUDIN
Mél : crenaudin(a)haute-marne.chambagri.fr
Du côté de paysansinfo.fr (Fnsea)
>>>
Actions et revendications
> Filière
volaille : le groupe Doux assure le paiement de ses fournisseurs
Les professionnels agricoles inquiets sur le sort des éleveurs face
à la faillite du groupe Doux. (05/06/2012)
> Le
point sur la maladie de Schmallenberg
Le ministère de l’Agriculture fait le point sur la situation de l’Hexagone
face à l’épidémie de Schmallenberg. (30/05/2012)
> FAO
: la bonne décision
Lors du G120 de juin dernier qui a rassemblé des responsables paysans
de plus de 74 pays, le communiqué final avait repris 5 points essentiels
: -Rappeler que la mission première de l’agriculture est de nourrir
les populations et que le défi alimentaire du 21ème siècle exige un
accroissement quantitatif et qualitatif de la production. -Souligner
la nécessité de transparence et de connaissance des marchés et des
stocks partout à travers le monde. -Encourager les organisations internationales
concernées à fixer des règles de marchés et de prises de prosition
sur les matières premières agricoles en vue de restreindre la spéculation
excessive. -Inciter à la mise en place et au développement de politiques
agricoles régionales, nationales, locales en concertation avec les
organisations agricoles et paysannes représentatives. -Limiter la
disparition du foncier utilisé par l’agriculture, l’appropriation
transnationale des terres productives et veiller au maintien de l’accès
au foncier par les agriculteurs et à la mise en valeur des terres
agricoles partout où cela est possible, dans le respect des équilibres
environnementaux. (25/05/2012)
>>>
Informations générales
>
Réforme
de la PAC
La Commission européenne redoute les retards pris dans les négociations
sur les aides agricoles. (06/06/2012)
>
Lancement
d’un site Internet pour les indicateurs sur la biodiversité
A l’occasion de la Journée Mondiale de la Biodiversité, le 22 mai
2012, les indicateurs sur la biodiversité, élaborés dans le cadre
de l’Observatoire national de la biodiversité, ont été publiés sur
un site Internet, nouvellement créé. (30/05/2012)
>
Commerce
: vers un accord bilatéral entre l’UE et les USA
Le Commissaire européen au commerce, Karel De Gucht, a annoncé son
intention de lancer des négociations commerciales avec les Etats-Unis.
Celles-ci pourraient démarrer début 2013 et devraient durer dix huit
mois. (25/05/2012)
>
Le
rôle des droits de plantation pour l'avenir du secteur européen du
vin
Les droits de plantation sont un outil quantitatif et qualitatif de
gestion du vignoble qui ne constitue un frein ni au développement,
ni à l'installation.
(22/05/2012)
>
Entente
et organisation économique des producteurs
Les endiviers et les meuniers viennent d'être condamnés pour entente
illégale. Vous êtes directement ou indirectement concernés et vous
souhaitez bénéficier d'informations relatives à ces affaires en cours,
aux pratiques relevées, à l'objet de la condamnation etc. (21/05/2012)
La logique des enfants est imparable!!! (3)
Professeur: « Il pleuvait » c’est quel temps ?
Élève: C’est du mauvais temps, maitre.
Pourquoi la domotique va s'imposer
Selon ABI Research, ce marché représentera plus de 11,8 milliards
d'euros en 2015. Il a déjà connu une profonde mutation ces cinq dernières
années
Voir : http://www.journaldunet.com/economie/expert/51605/
l-enjeu-energetique-et-le-vieillissement-de-la-population-plaident-pour-la-i-domotique.shtml
Réseaux sociaux
internes : les entreprises passent à l'action
Présents dans 48% des entreprises,
les réseaux sociaux internes vont encore se développer, tout comme
les annuaires et les profils enrichis. L'élaboration de chartes dédiées
aux RSE se fait cependant encore attendre.
Voir : http://www.journaldunet.com/
solutions/reseau-social-d-entreprise/reseau-social-d-entreprise-rse-adoption-et-projets/
Comment diffuser
son contenu sur les réseaux sociaux
Passer par des API ou des
outils tiers pour publier son contenu présente certains avantages,
mais aussi des limites que la diffusion manuelle ne connaît pas. Comparatif
des différentes solutions et leurs mérites respectifs.
Voir : http://www.journaldunet.com/
solutions/dsi/cms-api-multidiffuser-son-contenu-sur-facebook-et-twitter.shtml
Android capte 60% des utilisateurs mais à peine 20% du trafic Web
Si l'OS de Google a réussi à séduire de plus en plus d'utilisateurs,
ces derniers ne semblent pas être de gros consommateurs de services
Web.
Voir : http://www.journaldunet.com/
ebusiness/internet-mobile/android-smartphones-usages-0612.shtml
L'audience des sites en Europe en avril 2012
Pour le Journal du Net, comScore a dressé la liste des 30 domaines
les plus visités en Europe. Voici le classement d'avril 2012.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/audience-europe.shtml
Office sur iPad finalement lancé le 10 novembre ?
Une version de la suite bureautique de Microsoft serait bel et
bien prévue pour la tablette tactile d'Apple. Mais également pour
les tablettes Android.
Voir : http://www.journaldunet.com/solutions/mobilite/office-pour-ipad-et-android-0612.shtml
L'e-commerce européen a dépassé l'e-commerce nord-américain
Sur le Vieux Continent, les dépenses en ligne ont atteint 246
milliards d'euros en 2011, contre 237 milliards en Amérique du Nord,
selon le lobby bruxellois Emota
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/e-commerce-europe-usa-0612.shtml
Seuls 3,1% des foyers français sont connectés à Internet en très
haut débit
Le nombre d'abonnés à la fibre (FttH) a cependant grimpé de 59%
sur un an, à la fin du premier trimestre.
Voir : http://www.journaldunet.com/ebusiness/telecoms-fai/observatoire-arcep-t1-2012-0612.shtml
Chrome sur le point de dépasser Firefox
Au coude à coude avec Firefox, le navigateur de Google pourrait
bientôt lui ravir sa place de dauphin. IE reste le navigateur le plus
utilisé en France
Voir : http://www.journaldunet.com/solutions/dsi/classement-des-navigateurs-mai-2012/
How The Internet
Was Started?
In ancient Israel, it came to pass that a trader
by the name of Abraham Com did take unto himself a young wife by the
name of Dot. And Dot Com was a comely woman, broad of shoulder and
long of leg. Indeed, she was often called Amazon Dot Com.
And she said unto Abraham, her husband, "Why dost thou travel
so far from town to town with thy goods when thou canst trade without
ever leaving thy tent?
And Abraham did look at her as though she were several saddle bags
short of a camel load, but simply said, "How, dear?"
And Dot replied, "I will place drums in all the towns and drums
in between to send messages saying what you have for sale, and they
will reply telling you who hath the best price. And the sale can be
made on the drums and delivery made by Uriah's Pony Stable (UPS)."
Abraham thought long and decided he would let Dot have her way with
the drums. And the drums rang out and were an immediate success. Abraham
sold all the goods he had at the top price, without ever having to
move from his tent. To prevent neighboring countries from overhearing
what the drums were saying, Dot devised a system that only she and
the drummers knew. It was known as Must Send Drum Over Sound (MSDOS),
and she also developed a language to transmit ideas and pictures -
Hebrew To The People (HTTP).
And the young men did take to Dot Com's trading as doth the greedy
horsefly take to camel dung. They were called Nomadic Ecclesiastical
Rich Dominican Sybarites, or NERDS.
And lo, the land was so feverish with joy at the new riches and the
deafening sound of drums that no one noticed that the real riches
were going to that enterprising drum dealer, Brother William of Gates,
who bought off every drum maker in the land. And indeed did insist
on drums to be made that would work only with Brother Gates' drum
heads and drumsticks.
And Dot did say, "Oh, Abraham, what we have started is being
taken over by others." And Abraham looked out over the Bay of
Ezekiel, or eBay as it came to be known. He said, "We need a
name that reflects what we are."
And Dot replied, "Young Ambitious Hebrew Owner Operators."
"YAHOO," said Abraham. And because it was Dot's idea, they
named it YAHOO Dot Com.
Abraham's cousin, Joshua, being the young Gregarious Energetic Educated
Kid (GEEK) that he was, soon started using Dot's drums to locate things
around the countryside. It soon became known as God's Own Official
Guide to Locating Everything (GOOGLE).
That is how it all began. And that's the truth!
HYPP,
Hypermédia pour la protection des plantes
|
HYPP
est un compagnon très intéressant qui m apporte
un grande satisfaction et m enrichit énormément
car ma formation agricole limitée ne m a pas permis durant
ma jeunesse d accéder a une connaissance élargie
de la biologie…
Un témoignage de M. Bertrand DEGHILAGE
Mél : bdeghilage(a)wanadoo.fr
Voir :
http://www.acta-informatique.fr?d=5183
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