>> Effets sublétaux biochimiques

Un neurotoxique reste un neurotoxique. Mais avez-vous connaissance de l'action du liquide-vaisselle sur les hyménoptères et pourtant ce produit est distribué à tout va et sans limite d'utilisation ?

Je vous invite à faire l'expérience sur un nid de guêpe ou de frelons : ils n'aiment pas du tout et en moins de 30 secondes crèvent bien plus rapidement qu'avec un insecticide.

Les effets des insecticides ne sont pas anodins. Si on y ajoute tous les parasites, prédateurs ou maladies venus d'ailleurs, qui n'existaient pas autrefois « chez nous », on comprend facilement la fragilité des ruchers.

>>> Ne pas occulter non plus les fautes commises au nom de l’apiculture moderne
Le thymol, l’acide oxalique et l’acide formique, ne sont pas interdits à la pratique apicole. En pratique, leur usage se décline selon les modalités suivantes : imprégnation de supports (bois, carton, coton, toiles de jute, buvard) introduits dans les ruches par évaporation, égouttement, aérosol, etc. La mise en œuvre ponctuelle de ces traitements ne permet d’éliminer qu’une partie des parasites (les parasites phorétiques). En outre, ils peuvent générer des contaminations des produits de la ruche et se révéler potentiellement toxiques pour les abeilles. Malgré ce dernier constat, la multiplication de ces traitements est fréquente et conduit à l’augmentation du risque toxique pour les abeilles (Martin-Hernandez, 2007).

En dépit du caractère majeur que représente la lutte contre la varroase dans la pratique sanitaire apicole, celle-ci est fréquemment négligée pour des raisons économiques ou par manque de connaissance générale sur le sujet.

>>> L’aspect économique relatif à la mise en œuvre des traitements est responsable de nombreuses anomalies constatées
Si le varroa est arrivé en Europe, ce n’est pas en usant de ses ridicules petites pattes. On l’a bien aidé avec le commerce international des colonies d’abeilles. Il a voyagé avec ces colonies en avion.
Idem pour Aethina présent depuis plus de 15 ans aux USA… La présence du petit coléoptère des ruches, Aethina tumida, a été d'ors et déjà authentifiée dans le sud de l’Italie fin août et depuis, on ne cesse de découvrir de nouveaux foyers.

Malgré l’interdiction des mouvements de cheptels entre le périmètre atteint et la France, son arrivée sur le territoire français semble inéluctable, si tant est qu’il ne soit pas déjà là. Il est important d’éviter que chacun aille « à la pêche » aux solutions artisanales et risquées pour les colonies ou manque de vigilance quant à la provenance du cheptel qu’il achète.

>>> En recherchant à créer l’abeille idéale, à la fois la moins agressive et la plus productive, on a créé des souches fragiles, plus dépendantes des soins qu’on doit leur prodiguer et inadaptées aux milieux où on les fait travailler.
Pire, ces souches manipulées par l’homme ont pollué et affaibli les souches locales d’abeilles noires qui elles, étaient bien adaptées à nos milieux et à notre climat.
Avec des souches d’abeilles plus fragiles et de nouveaux parasites et prédateurs, il ne faut pas être surpris si l’équilibre se trouve rompu par l’adjonction d’un insecticide ou d’un cocktail d’insecticides…

>>> Déclarer qu’il y a trop de pesticides dans l’environnement est une façon de se positionner tout en proférant une telle évidence.
N’y aurait’ il qu’un pesticide ce serait trop pour nos abeilles. Mais on ne retient pas l’attention avec des évidences, dramatiser permet de se faire écouter, usurpe l’apparence objective, et ne signifie rien d’autre que « moi je sais » et vous devez penser comme moi car « moi je représente » ?? « Vox populi » nous devons nous soumettre… démagogie quand tu nous tiens…

« L’obstination et ardeur d’opinion sont les plus sûres preuves de bêtise. » (Montaigne)

Pourtant selon l’Institut technique et scientifique de l’abeille et de la pollinisation, seule une ruche sur deux est traitée correctement contre le varroa avec des médicaments ayant une AMM pour l’animal concerné et la LMR (limite maximum de résidus) non dangereuse pour l’abeille et la consommation humaine de ses produits (miel & +).

>>> Mais ne devons-nous pas nous montrer à la hauteur du prodige de la connaissance qui nous permet depuis des décennies une espérance de supplément de vie ?
Si ces gens représentent les professionnels j’ai honte d’en faire partie… Nous, nous sommes persévérants, patients et tenaces. Nous savons nous remettre en cause, réadapter notre discours et trouver des compromis même temporaires avec nos divers partenaires pour exister ensemble dans la banalité du quotidien du monde agricole.

>>> Le bien commun, ce sont des greniers à céréales bien garnis.
Obstinés hobereaux, génération papy-boom et tes enfants devenus politiques, fonctionnaires, représentants syndicaux, etc.; ton individualisme est responsable et coupable des situations actuelles. Comme le dit le dicton « ce n’est pas les pirons qui élèvent les oies » « vox populi ».
On ne peut prétendre améliorer la vie sociale de ses concitoyens en faisant travailler les retraités, en faisant faire aux associations le travail d’intérêt général de l’État et des collectivités territoriales sans leur donner le même budget que les services régaliens avaient. On ne peut créer des microentreprises déchargées de charges et défiscalisées sans formation alors que les entreprises ayant des employés croulent sous les charges de la paperasse et ne peuvent embaucher, amortir leur investissement : démagogie quand tu nous tiens…

Et pour finir, c'est la faute aux autres, ces Dames sont bien sûr hors cause : ce n’est pas moi, c'est l'autre. Vous pensez peut être que allons pleurer Mesdames ?, NON. Un apiculteur digne de ce nom qui perd 50% de ses ruches en hiver a toujours le même nombre de colonies à la sortie de l'hiver, voire même un peu plus. Ces apiculteurs qui produisent plus de 85 % du miel français sont des apiculteurs professionnels, pas des pleurnicheurs. Ils font avec et ont la parade pour conserver le même nombre de ruches chaque hiver : c'est onéreux mais ils le font. Pour 2016, combien voulez-vous d'essaims et en prime des abeilles françaises, pas d'importation ?

Une citation de Jean Jaurès. Elle est tirée de « La houille et le blé » (La Petite République, 31 juillet 1901).
« Mais n’est-ce pas l’homme aussi qui créa le blé ? Les productions que l’on appelle naturelles ne sont pas pour la plupart […] l’œuvre spontanée de la nature. Ni le blé ni la vigne n’existaient avant que quelques hommes, les plus grands des génies inconnus, aient sélectionné et éduqué lentement quelque grain ou quelque cep sauvage. C’est l’homme qui a deviné, dans je ne sais quelle pauvre graine tremblant au vent des prairies, le trésor futur du froment. C’est l’homme qui a obligé la sève de la terre à condenser sa plus fine et savoureuse substance dans le grain de blé ou à gonfler le grain de raisin.

Les hommes oublieux opposent aujourd’hui ce qu’ils appellent le vin naturel au vin artificiel, les créations de la nature aux combinaisons de la chimie. Il n’y a pas de vin naturel ; il n’y a pas de froment naturel. Le pain et le vin sont un produit du génie de l’homme. La nature elle-même est un merveilleux artifice humain. L’union de la terre et du soleil n’eût pas suffi à engendrer le blé. Il y a l’intervention de l’homme, de sa pensée inquiète et de sa volonté patiente. […] Que la science soit près du moissonneur. »

Contact : Bernard BREUIL
Mél : bernard.earlbreuilapiculture(a)sfr.fr

Une société connectée sans les élites
Voir : http://www.lemonde.fr/
idees/article/2015/03/12/une-societe-connectee-sans-les-elites_4592328_3232.html


Mobilité : Manuel Valls veut couvrir les zones blanches
En campagne dans l’Ain pour présenter des mesures en faveurs des territoires ruraux, le Premier ministre considère la couverture ...
Voir : http://www.silicon.fr/mobilite-manuel-valls-veut-couvrir-les-zones-blanches-110859.html


La recherche ne recule devant aucun sujet : "Quinze mille cinq cents pénis mesurés pour la Science"
Voir : http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/03/03/le-penis-de-long-en-large_4586215_1650684.html

Allons droit à l'essentiel et retenons que " .../... la longueur d'un pénis au repos est en moyenne de 9,16 cm, et de 13,24 cm si on l'étire au repos. En érection, sa longueur moyenne est 13,12 cm. La circonférence du pénis, toujours en moyenne, passe de 9,31 cm au repos à 11,66 cm en érection ".

Mais en vérité, les statistiques, c'est comme les bikinis ! Elles donnent des idées mais elles cachent l'essentiel !

P. Perret peut maintenant compléter les paroles du refrain de sa chanson :

Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Les courts, les longs
Les gros, les petits

NB : pour éviter de vous blesser, sachez qu'il existe des mètres de couturière en matière souple !

>>> Et cela me rappelle une blague
Á l'époque des trains à compartiments, un homme monte à bord d'un train et se retrouve en présence d'une très belle femme qui lit un gros ouvrage concernant " Les statistiques sexuelles ".

Voyant son air interrogateur, la femme devance ses questions et lui dit :

- Vous savez, en fait c'est un livre particulièrement intéressant. En le lisant, j'ai ainsi découvert que les Indiens d'Amérique sont ceux qui ont le plus long pénis et que les bretons sont ceux qui savent le mieux s'en servir !". Et d'ajouter, j'aurais dû me présenter, je m'appelle Fabienne Dupuis ; et vous ?

- Enchanté de faire votre connaissance ; moi, je m'appelle Géronimo Kerfellec.

Lorsque vous la raconterez, vous pourrez éventuellement remplacer " bretons " par le mot qui vous conviendra le mieux, parisiens, auvergnats, gascons, etc.

Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr

Ou quand toutes les pommes voient rouge…
Voir : http://www.daniel-sauvaitre.com/
2015/03/c-est-dur-d-etre-filme-par-des-cons-nes-ou-quand-la-pomme-voit-rouge-1.html

…puis
Voir : http://www.daniel-sauvaitre.com/
2015/03/ou-quand-toutes-les-pommes-voient-rouge-2.html


Agricultrices de Bretagne
Voir : https://www.facebook.com/agricultrices?ref=profile


Bill, Melinda Gates advocate GMOs to a Brussels audience
See: http://www.euractiv.com/video/bill-melinda-gates-advocate-gmos-brussels-audience-311502


Mon père agriculteur est mort à l'âge de 89 ans, mon beau-père agriculteur à l'âge de 88 ans, et je les ai vu utiliser des produits beaucoup plus dangereux que ceux que nous utilisons aujourd'hui, le tout sans habits de cosmonautes...
Vous et moi, et je vous le souhaite, espérons vivre encore plus longtemps et en bonne santé. C'est un défi, c'est le match de la vie.
Témoignage d'un agriculteur auprès de Bernard PASQUIER
Mél : bpasquier(a)soufflet-group.com


Cruel !!!

Une femme et son mari malade vont chez le médecin.

Après l’examen, le docteur demande à l’épouse de s’entretenir seul avec elle dans son bureau et il lui dit : « Madame, votre homme est très malade. Vous devriez vous montrer très aimable et bienveillante, et bien vous occuper de lui. Sinon, il n’a aucune chance de survivre.

Préparez-lui des repas délicieux, ne lui demandez en aucun cas d’effectuer des tâches domestiques, ne l’énervez pas, ne partagez pas vos soucis avec lui…

Et le plus important, faites l’amour avec lui plusieurs fois par semaine en vous assurant de satisfaire tous ses désirs ».

Sur le chemin du retour vers la maison, l’époux demande à sa femme ce que le docteur lui a dit : « Tu vas mourir… ».
Contact : Georges LARROQUE
Mél : glarroque(a)outlook.fr