What is the longest word in the English language? SMILES: there is a mile between the first and last letters!" Disparition de Nikolaus Harnoncourt Des séances d'enregistrement avec Lang Lang sur deux concertos de Mozart au Musikverein de Vienne… Voir : http://www.dw.com/en/documentaries-and-reports-mission-mozart/av-18183984 Dans les rues de La Grave (Hautes Alpes) Voir : https://www.facebook.com/dylan.florit/videos/1120691824609300/ Signalé par Hervé ESCRIOU sur sa page Facebook Record idiot mais incroyable Voir : https://fr.sports.yahoo.com/video/wahnsinns-weltrekord-lkw-fliegt-fast-170300612.html Signalé par Luc BECKER Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr Swincar E-Spider Voir : http://www.swincar.fr/ Voir : https://www.youtube.com/watch?v=xdM5yCBy0jY Voir : https://www.youtube.com/watch?v=2FbW_kVYcl0 Signalé par Luc BECKER Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr Carte de l'Europe de l'an 1000 à nos jours - YouTube Voir : https://www.youtube.com/watch?v=E98vxOr65yw
Pensée pour
les morts à Verdun (la bataille a commencé le 23 février 1916, il
y a 100 ans)
A thought for today What I want to happen to religion in the future is this: I want it to be like bowling. It's a hobby, something some people will enjoy, that has some virtues to it, that will have its own institutions and its traditions and its own television programming, and that families will enjoy together. It's not something I want to ban or that should affect hiring and firing decisions, or that interferes with public policy. It will be perfectly harmless as long as we don't elect our politicians on the basis of their bowling score, or go to war with people who play nine-pin instead of ten-pin, or use folklore about backspin to make decrees about how biology works. - PZ MYERS, biology professor (1957 -) A second thought for today If we had paid no more attention to our plants than we have to our children, we would now be living in a jungle of weed. - Luther BURBANK, horticulturist (7 Mar 1849-1926) A third thought for today Leaving home in a sense involves a kind of second birth in which we give birth to ourselves. - Robert Neelly BELLAH, sociologist and author (1927-2013)
AFIS : Retour sur un documentaire de Cash Investigation Le 2 février, l’émission Cash Investigation proposait un reportage au titre choc « Produits chimiques : nos enfants en dangers » qui portait sur l’épineuse question des pesticides. Diffusée sur la chaîne de télévision publique France 2, elle a suscité des réactions et beaucoup d’émotion. L’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS) [1] revient sur cette alerte médiatique. Dans un communiqué de presse [2], elle avait déjà pointé un contresens majeur sur le chiffre clé de 97% donné en début d’émission. La rubrique Désintox de Libération parlera même de « chiffres bidons » [3]. Mais au-delà de ce contresens, qu’en est-il du reste de ce reportage de Cash Investigation ? Pour le savoir, l’AFIS en a fait une analyse plus poussée et publie le texte « Pesticides et santé des enfants - Comment les téléspectateurs ont été abusés par Cash Investigation » [4]. Il donne des éléments factuels, référencés, permettant à chacun de juger sur pièces les inexactitudes relevées. Le constat est que sur certains points le reportage soulevait des questions pertinentes. Mais il comportait aussi de nombreuses affirmations fausses, des informations erronées, incomplètes ou sélectives, favorables à une mise en scène spectaculaire et anxiogène. Ces erreurs, omissions et autres mises en scène, nous avons décidé de les rendre publiques. Pourquoi ? Est-ce pour faire la promotion des pesticides ? Non. C’est en nous appuyant sur des connaissances disponibles et scientifiquement validées que nous souhaitons contribuer au débat public sur les pesticides. L’AFIS n’est ni pro ni anti-pesticides, ni pro ni anti « bio ». Certains, plutôt que de répondre à ses arguments, tentent de décrédibiliser ses messages par des accusations infondées [5]. L’AFIS œuvre à la promotion de la méthode scientifique, refuse l’instrumentalisation de la science et la déformation des données scientifiques, quelle que soit la cause que l’on souhaite faire avancer ou le commerce que l’on souhaite promouvoir. [1] http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article65 [2] Communiqué de l’Association française pour l’information scientifique (AFIS) du 9 février 2016. http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2589 [3] « Désintox -Pesticides, épisode 2 : Cash Investigation a toujours tort », par Cédric Mathiot et Pauline Moullot, 17 février 2016. http://www.liberation.fr/desintox/2016/02/17/ pesticides-episode-2-cash-investigation-a-toujours-tort_1432658 [4] « Pesticides et santé des enfants - Comment les téléspectateurs ont été abusés par Cash Investigation », le 2 mars 2016 http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2614 [5] http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2594 Voir : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2615
Sur
les turpitudes télévisuelles de l'écologie idéologique (Cash Investigation)
Bruno
Le Maire : Le Tafta est " un scandale démocratique "
Un matin d'hiver un couple belge écoute la RTBF, Radio nationale belge francophone, blottis au fond de leur lit Ils entendent : « Nous annonçons 10 cm de neige aujourd'hui ; alors veuillez mettre vos voitures du côté pair de la rue pour faciliter le déneigement ! » La femme se lève, s'habille précipitamment et va placer l'auto du côté pair. Le lendemain, ils écoutent encore la RTBF qui dit : « Nous annonçons 15 cm de neige aujourd'hui; alors veuillez mettre vos voitures du côté impair de la rue pour faciliter le déneigement ! » La femme se lève, se dépêche et va placer l'auto du côté impair. Le lendemain, ils écoutent encore la radio : « Nous annonçons 30 cm de neige aujourd'hui; alors veuillez mettre vos voitures... » Mais une panne interrompt l'émission. La femme très perplexe regarde son mari et lui dit : « Qu'est-ce que je vais faire, ils n'ont pas dit de quel côté mettre l'auto ? » L'homme la regarde et lui dit alors, avec beaucoup de compassion : « Pourquoi tu ne la laisserais pas dans le garage aujourd'hui ? » Contact : Paul JAMET Mél : paul.jamet(a)free.fr
Dans quelle mesure faut-il et peut-on rémunérer les services environnementaux en forêt ? 16 mars - PARIS A l’instar des autres actifs naturels, les écosystèmes forestiers rendent de nombreux services écosystémiques (ou écologiques) : ils produisent des biens (bois, venaison, produits de cueillette) ; ils contribuent aussi à la régulation du climat et à celle des eaux, à la conservation de la biodiversité et à celle des sols, à la protection contre les risques (avalanches, chute de blocs, glissements de terrain) ; ils participent enfin à tout un ensemble de services socio-culturels (récréation, chasse, paysage ...). Ces services écosystémiques répondent à des attentes fortes, voire de plus en plus fortes. L'offre et la demande peuvent s'ajuster lorsqu'un marché existe, comme c’est le cas pour le bois, le liège, des menus produits, ou, dans certaines conditions, des services comme l’exercice de la chasse, la pratique de l’apiculture, ou la cueillette des champignons. Mais bon nombre de ces services ne s'échangent pas sur un marché, ce qui engendre des insatisfactions à la fois des usagers, parce que l'offre de services leur apparaît insuffisante, et des forestiers, s'ils se voient imposer des efforts sans réelle contrepartie. Il apparaît donc particulièrement légitime de développer des incitations pour mieux faire se rencontrer offre et demande de services non marchands. Mais que faut-il rémunérer ? Il est généralement recommandé de ne considérer que l'effort supplémentaire fait par un décideur dans le but spécifique de développer le ou les services écosystémiques visés. Pour qualifier cet effort supplémentaire, on parle parfois d'additionnalité et, dans d'autres cas, de service environnemental. On comprend dès lors qu'il faut bien distinguer valeur des services écosystémiques rendus par la forêt à la société et paiement pour services environnementaux rendus par la société à la forêt. La séance a ainsi pour objectifs de s’interroger de manière plus détaillée sur les raisons et les situations qui militent en faveur de la mise en place de paiements pour services environnementaux, sur les bases comptables qui permettent de le faire, sur l'efficacité de tels dispositifs, sur les précautions à prendre au préalable, dont doivent être conscients aussi bien les promoteurs potentiels que les bénéficiaires éventuels. Elle s’appuie sur des exemples concrets, certains issus des zones tropicales, avec une présentation approfondie relative au service d’épuration de l’eau. Voir : http://www.academie-agriculture.fr/ seances/dans-quelle-mesure-faut-il-et-peut-remunerer-les-services-environnementaux-en-foret Colloque et séance de l'Académie d'Agriculture à Angers "Filière horticole ornementale" 5 - 6 avril – ANGERS Voir : http://www.academie-agriculture.fr/ ephemerides/agenda/colloque-et-seance-de-lacademie-dagriculture-angers-filere-horticole-ornementale Des légumineuses aux protéines végétales : des aliments d'avenir 13 avril - PARIS Voir : http://www.academie-agriculture.fr/ seances/des-legumineuses-au-proteines-vegetales-des-aliments-davenir?130416 Les classiques de Desproges (1) Dieu a donné un cerveau et un sexe à l'homme mais pas assez de sang pour irriguer les deux à la fois.
« Agriculture connectée », une expérimentation réussie À l’occasion du Salon de l’Agriculture, la FNSEA, Orange et sa filiale Nordnet, en partenariat technique avec Eutelsat, livrent les résultats concluants de l’expérimentation « Agriculture connectée », qui a permis à des exploitations réparties dans toute la France de valider la performance de l’accès à l’Internet Haut-Débit par satellite et les usages qui y sont associés. >>> Une solution adoptée par la majorité des testeurs Initiée en octobre 2014 dans le cadre d’une convention nationale de partenariat, l’expérimentation « Agriculture connectée » a permis à dix-huit exploitants, pour la majorité non éligibles à l’ADSL, de tester et bénéficier des fonctionnalités d’une connexion à Internet Haut-Débit par satellite durant un an. Le bilan de l’opération, qui s’est achevée fin 2015, démontre l’adéquation de cette solution avec les besoins quotidiens des agriculteurs. Á l’issue de l’expérimentation, la note générale attribuée au service rendu par l’accès à Internet par satellite a atteint le score de 8,22/10. Cette donnée associe des critères de rapidité, fluidité et continuité de services et volume de données alloué. Trois agriculteurs-testeurs sur quatre ont choisi de souscrire un abonnement à cette solution, témoignant de la pertinence et de la performance de ce type d’accès pour les agriculteurs. >>> Une connexion devenue indispensable pour les exploitants Isabelle Lecoq, exploitante agricole avec son mari en Seine et Marne, a décidé de s’abonner et se déclare très satisfaite du service testé : « Avoir accès à une connexion Internet Haut-Débit par satellite a transformé mon quotidien, en facilitant de nombreuses tâches qui auparavant me prenaient du temps, ou que je ne pouvais tout simplement pas faire en ligne, en raison de nombreuses coupures de service ou d’un débit trop lent. » En effet, pour 100% des testeurs, la connexion à l’Internet Haut-Débit par satellite s’est imposée comme un moyen simple et rapide d’effectuer la plupart de leurs démarches en ligne : déclaration de la PAC et des mouvements d’animaux, suivi des cotations des matières premières, relations avec les coopératives et les fournisseurs, comptabilité, suivi météo… Pour une population qui devait auparavant se rendre chez un tiers, avoir recours à des connexions peu puissantes, ou encore s’appuyer sur des versions papier pour gérer le quotidien de l’exploitation, le gain de temps est considérable et permet à certains de se concentrer sur de nouvelles priorités. De nombreux testeurs en ont à ce titre profité pour réfléchir aux moyens de dynamiser la visibilité de leurs activités, notamment à travers la mise en ligne de sites ou l’animation de pages sur les réseaux sociaux. >>> De nouveaux usages pour toute la famille Enfin, 94% des participants ont choisi au cours de l’expérimentation d’utiliser leur accès à l’Internet Haut-Débit par satellite pour des usages personnels en sus des usages professionnels. Jusqu’à sept personnes par foyer ont ainsi pu naviguer sur Internet, parfois sur quatre appareils en simultané. Il convient de noter que les exploitations agricoles utilisent la connexion Internet par satellite plus de quatre heures par jour en moyenne pour échanger environ 25 fichiers (ex. : documents bureautiques, photos…) et consulter six vidéos par semaine. Ces résultats prouvent que les performances de la technologie satellitaire s’accordent avec une utilisation relativement soutenue d’Internet, et convient à des usages mixtes. Commentant le succès de l’expérimentation, Xavier Beulin, Président de la FNSEA, a déclaré : « Nous nous réjouissons de la réussite de cette initiative. Les retours d’expérience enthousiastes des agriculteurs qui ont participé à cette opération, unique en son genre, montrent que l’Internet par satellite répond aux besoins des exploitants agricoles en zones blanches. Ils confortent la FNSEA dans son ambition de favoriser l’inclusion numérique des exploitations, facteur clé de leur efficacité et de leur performance. Compte tenu des coûts de raccordement, la FNSEA souhaite que l’État et les collectivités locales soutiennent financièrement le déploiement de cette technologie alternative ». Pierre Louette, Directeur Général Délégué d’Orange s’est également exprimé : « Donner accès à Internet à l’ensemble de la population française, notamment aux habitants des zones rurales est une de nos priorités. Le partenariat noué entre notre filiale Nordnet, une institution telle que la FNSEA, et un acteur de la connectivité par satellite comme Eutelsat, illustre la complémentarité des ressources que nous pouvons mobiliser pour offrir une connexion Internet Haut-Débit de qualité, désormais essentielle au quotidien. Nous espérons maintenant passer de l’expérimentation à un déploiement plus large. » >>> L’expérimentation Agriculture Connectée La FNSEA, Orange et sa filiale Nordnet, ont signé, le 1er octobre 2014, une convention nationale de partenariat autour de l’expérimentation « Agriculture Connectée », en partenariat technique avec Eutelsat. Agriculture connectée est née du constat que l’accès au très haut débit est un élément important pour développer la compétitivité des exploitations agricoles. Il est aussi un facteur d’attractivité pour les territoires ruraux et leurs habitants, qui peuvent accéder à tout le potentiel offert par le monde numérique. Or, certaines exploitations agricoles ne disposent pas toujours d’une connexion ADSL à un débit suffisant pour pouvoir valoriser leur activité et leur territoire. Dans le cadre de cette expérimentation, 18 exploitations agricoles non éligibles à un accès ADSL rapide et réparties sur l’ensemble du territoire, ont utilisé de manière soutenue une connexion Internet par Satellite. Les exploitants ont testé jusqu’à la fin de l’année 2015 les fonctionnalités du matériel mis à leur disposition et les performances de la connexion, afin de mesurer si elles répondent à leurs besoins et à leurs attentes. Contact : Thomas FENÉ Mél : thomas.fene(a)fnsea.fr
Découvrez le nouveau groupe Facebook "Pâturage et prairie, discussion et échange" en Wallonie Le pâturage vous intéresse ou vous passionne. Ce groupe Facebook administré par Simon Meura est pour vous. Le but : échanger et discuter de tout ce qui tourne autour du pâturage (espèce, matériel, technique, prévision, etc.) afin de s'améliorer tous ensemble. Voir :https://www.facebook.com/groups/926165314164043/ Des règles à définir pour encadrer l’utilisation des données agricoles Propriétaires de leurs données, les agriculteurs ont un véritable pouvoir face aux entreprises qui s’organisent pour exploiter ces mines d’information. Un rapport de force qui appelle la définition de règles de déontologie. http://www.lafranceagricole.fr/actualites/ big-data-des-regles-adefinir-pour-encadrer-lutilisation-des-donnees-agricoles-1,0,791636568.html EcoSimulator de Kverneland – Calculez vos économies d’intrants avec la coupure de sections sur épandeurs, pulvérisateurs, semoirs ! Ce logiciel permet de calculer, en fonction de votre parcellaire et des machines utilisées, les économies c'intrants réalisables avec la seule fonction "coupure de sections"... les économies de temps et de main d'œuvre ainsi que par la modulation venant en sus. Voir : http://fr.kvernelandgroup.com/Marques-et-Produits/iM-FARMING/EcoSimulator L'Anses lance le nouveau site e-phy Voir : http://www.vitisphere.com/actualite-82143-LAnses-lance-le-nouveau-site-e-phy.htm Le site de vente de vins Cavacave lève 350 000 euros Cavacave a recueilli plus de 200% du montant escompté sur la plateforme de crowdfunding SparkUp auprès d'investisseurs privés du monde entier. Voir : http://www.journaldunet.com/web-tech/start-up/ 1174561-confidentiel-le-site-de-vente-de-vins-d-exception-cavacave-leve-350-000-euros/
Bercy confirme la reconduction du suramortissement pour une durée d’un an Au Salon de l’agriculture, le ministre de l’économie Emmanuel Macron a confirmé le prolongement d’un an de la mesure fiscale du suramortissement de ... Voir : http://www.agrisalon.com/ actualites/2016/03/07/bercy-confirme-la-reconduction-du-suramortissement-pour-une-duree-d-un-an Définition de 6 mesures agroécologiques pour les signes de qualité Voir : http://www.vitisphere.com/ actualite-82162-Definition-de-6-mesures-agroecologiques-pour-les-signes-de-qualite.htm Les députés européens approuvent des règles actualisées pour aider à enrayer les maladies animales transmissibles Voir : http://www.europarl.europa.eu/ news/fr/news-room/20160303IPR16926/Enrayer-les-maladies-animales-transmissibles Les mesures communes franco-allemandes en vue du prochain conseil européen A l’issue d’une rencontre avec son homologue allemand Christian Schmidt, Stéphane Le Foll assure s’être accordé sur des positions communes pour sortir ... Voir : http://www.agrisalon.com/actualites/2016/03/09/ les-mesures-communes-franco-allemandes-en-vue-du-prochain-conseil-europeen Système U favorable à une révision de la Loi de modernisation de l'économie Voir : http://www.agrisalon.com/actualites/2016/03/09/ systeme-u-favorable-a-une-revision-de-la-loi-de-modernisation-de-l-economie Lait et fruits dans les écoles: les députés européens veulent un enseignement en faveur d'habitudes alimentaires plus saines Voir : http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do? type=IM-PRESS&reference=20160111IPR09401&language=FR&format=XML Bioenergy is the weakest link in EU renewable energy policy See: http://www.euractiv.com/ section/energy/opinion/bioenergy-is-the-weakest-link-in-eu-renewable-energy-policy/ Les classiques de Desproges (2) La pression, il vaut mieux la boire que la subir.
Du côté de vitisphere.com (1) : Œnologues : regards sur un métier L'Union des œnologues de France a décidé de s'appliquer le précepte antique bien connu et fort utile « connais-toi toi-même ». En partenariat avec Vitisphere, l'association lance une grande enquête pour faire le point sur le profil de ses adhérents, mieux connaître leur insertion professionnelle, apprécier la notoriété des actions menées par l'Union des œnologues et l'image de la profession auprès des employeurs. Réalisé par Idea, ce questionnaire est ainsi une introspection au cœur du métier. Il s'adresse aux œnologues membres ou non de l'Union, aux dirigeants d'entreprises employant un œnologue, aux personnes qui managent des œnologues, aux cabinets de recrutement. Un tel sondage n'avait pas été réalisé depuis 2005, ce qui en fait une étape clé dans l'évolution du métier. Preuve que la profession s'interroge sur ce diplôme, l'enquête a déjà réuni 400 réponses. Mais, il serait encore plus riche, plus précis si d'autres professions (toutes celles qui embauchent des œnologues) venaient l'étoffer. Il prend environ 5 minutes pour le remplir, un bref instant pour faire grandir toute une filière ! On compte sur vous. Voir : http://www.vitisphere.com/elettre/elettre731.htm Du côté de vitisphere.com (2) : L'Anses lance le nouveau site e-phy Voir : http://www.vitisphere.com/elettre/elettre732.htm Du côté de pleinchamp.com : Passion et colère Toute la semaine Pleinchamp est parti à la rencontre des hommes et des femmes qui font le Salon de l’Agriculture. Nous voulons parler, bien sûr, des agriculteurs eux-mêmes qui, malgré les difficultés, se battent pour leur métier devenu le plus souvent passion et pour qui cet événement annuel est l’occasion exceptionnelle de montrer leur savoir-faire mais aussi leur savoir-être. Des éleveurs qui nous ont fait part de leur enthousiasme, de leurs difficultés, de leurs aspirations et, bien sûr, de leur colère... C’est à eux que nous avons décidé de donner la parole cette semaine ainsi qu’à quelques politiques dont nous avons, parfois, croisé le chemin... Voir : http://www.pleinchamp.com/newsletter/preview_archive/22785 Ma remarque (GW) : Je n'ai pas pu aller au salon cette année. Je le regrette. Je regrette aussi que les parisiens qui constituent une large partie du public des visiteurs, sans doute effrayés par l'accueil réservé au Président de la République, ont été moins nombreux à visiter le salon. Du côté de Web-agri > Rénovation des prairies. Les conseils d'Arvalis pour réussir un sursemis de légumineuses sur prairie > Filière viande bovine Trois raisons pour vraiment s'inquiéter du TTIP > L'Autriche laitière L'Autriche a su maintenir de nombreuses petites exploitations > Viande bovine Les prévisions complètes de l'institut de l'élevage pour 2016 Du côté de Passion Céréales > Découvrez le voyage d'un grain de blé du champ à l'assiette ! > Bioéthanol, biocombustibles, bioplastiques… les utilisations non-alimentaires des céréales > Des agriculteurs motivés pour communiquer vers le grand public > S'inscrire à la newsletter Du côté de Cultivar > Agritel lance deux outils pour comprendre le marché du sucre > Brésil/soja: les pluies ralentissent les récoltes > Le dispositif fiscal de suramortissement va être prolongé > Des projets sous pression Réglementation complexe, milieu fragile à préserver, regard de la société... La réalisation de retenues collinaires n’est pas de mise en œuvre aisée. Pour la profession agricole, le stockage de... > Un nouveau site Ephy opérationnel Après plusieurs mois de travail, l’Anses dévoile le nouveau site Ephy. Ergonomie, modernité et fiabilité des données le caractérisent. Les données sont issues automatiquement du système > Les chartes de production deviennent des normes Les chartes Irtac/Arvalis deviennent une norme Afnor baptisée NF V30-001 « céréales à paille et maïs-bonnes pratiques de culture et de stockage à la ferme ». Cette nouvelle norme sera effective pour la campagne 2016/2017. > Mieux répartir pour mieux prospecter le sol Quelles sont les conséquences d'une architecture du peuplement des plantes différentes dans une parcelle ? Une répartition plus homogène des plantes a-t-elle des effets sur le rendement ou sur le comportement des plantes ? > Lyssenko ou la grande arnaque scientifique Nous évoquions et dénoncions, il y a quelques jours, la facilité avec laquelle certains manipulent les chiffres pour mieux défendre une cause. Certains utilisent le terme de pseudo-science, l’art de faire une démonstration scientifique qui a la couleur et l’odeur de la science mais qui en aucun... > Les charrues Kverneland passent à l'Isobus Kverneland est le premier constructeur au monde à disposer d’une charrue semi-portée Isobus certifiée AEF. Ce certificat AEF garantit la meilleure compatibilité Isobus du marché pour les clients...
Du côté du ministère de l'Agriculture > Stéphane LE FOLL agit en Europe pour sortir de la crise agricole > Préparation du Conseil agriculture du 14 mars 2016 : la France et l'Allemagne s'entendent sur des positions communes > Stéphane Le Foll présente le Programme National de la Forêt et du Bois > Produits phytosanitaires : résultats pour l’année 2014 et lancement du plan Ecophyto 2 > Signature du Contrat d’Objectifs et de Performance de l’ONF pour la période 2016 - 2020 > Plafonnement des frais de notaire : la levée d’un frein à la restructuration du foncier forestier > Les principes de l’agro-écologie intégrés dans les signes de l’origine et de la qualité > Trophées de l'agro-écologie 2015 : Stéphane Le Foll décerne les prix aux lauréats Du côté de la Fnsea > Négociations commerciales : Et si on nous disait la vérité ? > Pénibilité : agriculteurs et PME réclament une "année blanche" > Nous devons créer encore plus de lien avec les urbains > 70é Congrès de la FNSEA Les classiques de Desproges (3) Jésus changeait l'eau en vin et tu t'étonnes que 12 mecs le suivaient partout !
Industrie 4.0 : quelles stratégies numériques ? Voir : http://www.bpifrance-lelab.fr/content/download/4433/35526/version/2/file/ Bpifrance%20-%20Kohler%20C&C%20-%20Industrie%204.0%20-% 20Quelles%20strat%C3%A9gies%20num%C3%A9riques%20-%20Octobre%202015.pdf ELA Innovation équipe les containers de DPD, deuxième réseau de livraisons de colis en Europe et antenne du groupe La Poste (une technologie qui sera certainement utilisée dans notre secteur agricole et agro-alimentaire - GW) Le monde de la logistique fait face à de nouveaux enjeux ! Comment assurer la traçabilité la plus fiable possible des containers ? Comment réaliser des opérations de maintenance sur des produits en mouvement ? Pour assurer le meilleur service à une clientèle toujours plus exigeante, Patrick Cavoue, DSI de DPD, deuxième réseau de livraisons de colis en Europe et antenne du Groupe La Poste, assure avoir testé plusieurs technologies : « Pour géolocaliser nos containers, nous avions évalué les technologies comme la RFID passive ou des trackers GPS. Néanmoins, la première solution n’apportait pas un taux de fiabilité suffisante et la seconde causait des coûts trop élevés de communication et une contrainte de maintenance qui obligeait de recharger chaque tracker tous les 6 mois ». Lorsque Patrick Cavoue a découvert la technologie de la société ELA Innovation, à l’origine de capteurs de RFID Active ultra performants, il a tout de suite su que cela serait la bonne réponse technologique pour les containers de DPD. Le groupe DPD, à l’instar des autres prestataires de services logistiques, doit pouvoir connaître en temps réel l’heure de départ et d’arrivée de chaque containeur sur chaque site. Comme l’explique Patrick Cavoue : « Les métiers de flux tels que le nôtre intègrent des processus où les contraintes de temps réel sont parfois exacerbées. Á ce titre, nos activités nocturnes qui voient l'ensemble de nos colis (plus de 300 000/jour) converger depuis les centres de collecte vers les centres de tris pour ensuite repartir vers les dépôts de livraison en constituent un excellent exemple. » La solution RFID Active déployée par la société ELA Innovation était la réponse que le groupe DPD attendait pour optimiser la gestion de ses activités les plus tendues. Le fonctionnement est simple et efficace : un tag RFID est posé sur chaque container et chaque site est équipé de « poteau RFID ». Á ce jour, plus de 1000 containeurs disposent du tag et 63 sites d’un « poteau RFID ». Le tag est étanche, résistant et a une durée de vie entre 5 à 10 ans. Par ailleurs, il est simplement collé sur le container ce qui facilite le remplacement de celui-ci en cas de besoin. Les tags émettent à une portée de 150 mètres permettant ainsi aux « poteaux RFID » d’identifier en temps réel les déplacements et les localisations de l’ensemble du parc de containers de DPD. Le système communique grâce à l’intranet de DPD mais dispose d’une solution de communication de secours M2M via réseau opéré (carte SIM). L’exploitation des données est réalisée par DPD. Grâce à ces installations, DPD assure avec une très grande fiabilité la traçabilité de ses colis et bénéficie de réductions de coûts de maintenance car la fréquence des interventions est désormais divisée par 10. Comme conclut le Président de la société ELA Innovation « Les retours d’utilisation de nos capteurs sont excellents ! Nous sommes ravis de pouvoir accompagner un groupe tel que DPD dans la gestion de ses activités et avons pour objectif d’équiper de nouveaux sites courant 2016. » Voir : http://ela.fr/ OuiHop’ connecte les utilisateurs de son application à Waze pour développer l’auto-stop connecté partout en France Les automobilistes qui utilisent au quotidien l’application OuiHop’ peuvent recevoir des notifications push lorsqu’ils utilisent Waze et ainsi prendre en stop des piétons qui se trouvent sur leurs trajets… et recevoir des récompenses. Voir : http://ouihop.com/ Nordnet propose un blog d’actualité sur le monde de l’Internet Voir : http://blog.nordnet.com Les vendeurs chinois déferlent dans les cartons d'Amazon Le géant américain a décidé de doper les marchands chinois pour contrer Wish, Aliexpress et autres LightInTheBox. Au détriment des vendeurs occidentaux. Voir : http://www.journaldunet.com/ ebusiness/commerce/1174594-les-vendeurs-chinois-deferlent-dans-les-cartons-d-amazon/
To marry or not to marry Fred is 32 years old and he is still single. One day a friend asked, "Why aren't you married? Can't you find a woman who will be a good wife?" Fred replied, "Actually, I've found many women I wanted to marry, but when I bring them home to meet my parents, my mother doesn't like them." His friend thinks for a moment and says, "I've got the perfect solution, just find a girl who's just like your mother." A few months later they meet again and his friend says, "Did you find the perfect girl? Did your mother like her?" With a frown on his face, Fred answers, "Yes, I found the perfect girl. She was just like my mother. You were right, my mother liked her very much." The friend said, "Then what's the problem?" Fred replied, "My father doesn't like her."
Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone d’informatique agricole (Afia) Voir : http://www.informatique-agricole.org/gazette/afia/gaz_160310_09.htm Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'AFIA Voir : http://www.informatique-agricole.org La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique agricole" est réalisée avec le concours de vitisphere.com Voir : http://www.vitisphere.com/ Répertoire du web agricole Nous venons de mettre en place un tout nouveau répertoire de liens sur le site Wordpress de l’AFIA. Il est maintenu et modéré par les membres de l’association et a vocation à rassembler le plus grand nombre de liens, classés et organisés en catégorie, du web agricole francophone. Le répertoire se veut "contributif", chaque internaute pouvant proposer un lien qui est soumis à modération. Vous pouvez dès maintenant participer à son enrichissement en soumettant directement vos liens sur la page. Voir : http://www.informatique-agricole.org/repertoire-du-web-agricole/ Contact : Mehdi SINE Mél : m.sine(a)arvalisinstitutduvegetal.fr Ma « nouvelle » adresse : guy.waksman(a)laposte.net Merci de faire les changements nécessaires dans vos carnets d’adresses et listes de diffusion ! Adhérez (enfin facilement !) à l’AFIA (adhésion individuelle ou adhésion d’organisme) Voir : http://www.informatique-agricole.org/adherer-maintenant-a-lafia/ Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970 Vous êtes plus de 15 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage personnel et les besoins de votre entreprise. Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue, merci de faire directement l'inscription en allant sur le formulaire suivant Et si vous souhaitez contribuer à la rédaction de cette gazette hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande à Guy Waksman. Adresse mél : guy.waksman(a)laposte.net |
