Avec une aussi excellente que brêve histoire racontée par Sérénité Claude Holl et une des meilleures histoires juives que je connaisse ! Concert de la Sainte-Cécile : sur la route de Made In Son (musiques américaines), par la Lyre du Plessis-Robinson et l'Harmonie de Châtillon
Face à une agricultrice, Nicolas Hulot botte en touche Nicolas Hulot, l’ancien ministre de l’Écologie, était l’invité de « l’émission politique » hier soir sur France 2. Céline Imart, agricultrice et ancienne vice-présidente des JA (Jeunes Agriculteurs), a pu l’interpeller sur les questions agricoles. Voir lafranceagricole.fr
Great Irish Famine (without these horrible pesticides!)
Publication de "No photo, photographions moins pour mieux vivre" chez Dunod D’où vient notre envie irrépressible de momifier le présent, cette inflation de clichés si vite oubliés? Que cache l’engouement pour ces selfies auxquels nous soumettons nos proches, les oeuvres des musées et les plus beaux paysages? Mitrailler est-il une preuve d’amour? Quel est le danger de numériser notre vie privée? Cet essai léger mais sans concession nous invite à réfléchir sur notre rapport à l’image et s’intéresse à la manie actuelle de photographier à outrance. Il s’interroge sur l’évolution actuelle de la pratique de la photographie. L’auteur donne la parole à une photothérapeute, des psychologues, artistes, philosophes et écrivains pour comprendre les enjeux et conséquences de cette tendance récente. Ce livre se destine à ceux qui souhaitent retrouver le plaisir de photographier, aux personnes sensibles aux excès du «tout connecté», aux citoyens avides de «détox digitale», dont la conscience écologique et sociale s’interroge. Profitons de l’instant sans écran, gardons l’oeil et l’esprit vifs, préservons notre jardin secret, notre budget et l’environnement… En un mot, vivons pleinement, ici et maintenant! Pierrick Bourgault est journaliste et photographe, lauréat du Grand Prix AFJA du journalisme pour ses reportages en Irak. Voir monbar.net Voir No Photo monbar.net Contact : Pierrick BOURGAULT Mél :pierrick.bourgault(a)gmail.com
API Géo : Interrogez les référentiels géographiques plus facilement L’API Géo est une boîte-à-outils facile à prendre en main pour rendre vos applications et bases de données plus intelligentes, en termes de positionnement et de connaissance des territoires. Grâce à elle vous pouvez notamment : - Rechercher des communes par nom, code postal ou coordonnées géographiques - Connaître les groupements auxquels appartient une commune, ainsi que leurs compétences (bientôt) - Savoir si une parcelle appartient à certains zonages (appellations d’origine, quartiers prioritaires…) (bientôt) Voir api.gouv.fr Wikifarmer.com – La première encyclopédie agricole collective en ligne (multilingue mais plutôt en anglais) Wikifarmer est la plus grande encyclopédie agricole collective en ligne, qui aide les agriculteurs partout dans le monde à trouver des informations pertinentes sur leurs cultures et leurs élevages existants ou potentiels. Wikifarmer s’oriente vers des solutions pratiques applicables par le jardinier amateur. Votre contribution est la bienvenue si vous êtes un jardinier amateur ou un fermier professionnel et que vous souhaitez partager de façon responsable vos connaissances et votre expérience. Vous pouvez soumettre un nouvel article, éditer un article existant, ajouter des images ou des vidéos, demander un nouvel article, poser une question sur un problème connexe ou simplement profiter de l’accès gratuit à des centaines de guides de culture contemporains. Tous les contenus que vous ajoutez sont vérifiés par nos agronomes. Une fois approuvés, ils sont publiés sur Wikifarmer.com et ils influencent de façon positive des milliers de nouveaux agriculteurs amateurs ou professionnels à travers le monde entier. L’utilisateur endosse toute responsabilité concernant l’évaluation et l’usage des informations fournies sur ce site. Voir wikifarmer.com Agriculture : quand le numérique aide à cultiver l’efficacité (réservé aux abonnés) L’outil numérique a déboulé dans les champs et au-dessus, mais aussi dans les tracteurs et les étables. Il permet une gestion plus fine des exploitations et des intrants Voir sudouest.fr Ortografe
Gommer l'hétérogénéité intra-parcellaire grâce à l'agriculture de précision Permettant de moduler les interventions culturales et les doses d’intrants en fonction des zones d’hétérogénéité diagnostiquées, l'agriculture de précision fait de plus en plus d'adeptes. Créée en 2016, la société be Api fournit les moyens techniques aux coopératives agricoles, qui accompagnent leurs adhérents sur le terrain. Quatre agriculteurs témoignent de leurs expériences. Voir terre-net.fr Partage de matériel : Ogo de Kemtag, l’odomètre connecté La jeune entreprise Kemtag propose un capteur connecté, récompensé aux Innov-Space en septembre dernier, permettant de mesurer les rotations des outils agricoles pour faciliter la comptabilisation et donc leur partage. David Vandenberghe, le fondateur de la start-up, nous explique lors d’une interview vidéo le fonctionnement de Ogo le premier produit de cette entreprise bretonne Voir terre-net.fr
Bienvenue sur notre plateforme interactive dédiée aux métiers de l’agriculture. Des témoignages vidéos, des infos, des photos des exploitants agricoles, de leurs cultures, de leurs élevages et de leurs exploitations y sont publiés jour après jour. A votre tour, n’hésitez pas à y poser vos questions, des agriculteurs vous répondront et partageront leur expérience et leurs suggestions. Voir lesmetiersdelagriculture.fr Il répond aux attaques des végans : cet agriculteur de la Sarthe fait un carton sur YouTube Cet éleveur, adepte de Twitter, utilise les réseaux sociaux pour parler en toute transparence de son métier et répondre aux critiques "anti-élevages" des végans. Voir actu.fr  Pour se désabonner de cette gazette si vous la recevez par erreur… Si ce lien ne fonctionne pas, merci de s'adresser à moi : guy.waksman(a)laposte.net S'abonner à la gazette de l'Afia (un lien à transmettre à vos amis !) S'abonner à la gazette Efita en anglais (un autre lien à transmettre à vos amis) Lire une des dernières gazettes Efita en anglais Suivre l’Afia sur Facebook Groupe LinkedIn Afia
Optimisez vos traitements avec Météus Météus, une belle solution de conseil à partir de capteurs météo utilisée par plus de 5 500 agriculteurs et 20 partenaires... Grâce à la connexion hertzienne SIGFOX, la station météo et le pluviomètre Météus mobile se positionnent n’importe où, au plus près de vos parcelles. Les données météo mesurées sont envoyées directement sur Internet. Vous consultez ainsi vos informations (cumul de pluie, risques maladie, ...) sur votre application mobile en temps réel, sans vous déplacer ! Voir meteus.fr Vu sur Youtube : Les fermes laitières recrutent ! Par Céline Clément Grâce au salariat, des perspectives d'emploi existent en productions animales, laitière en particulier. D'autant qu'avec les évolutions qui se profilent pour l'élevage français, la main-d'œuvre va devenir un enjeu majeur. Voir web-agri.fr Le chargeur connecté en élevage, ça sert à quoi ? Par B. Egon Cyril Thibaut, responsable marketing pièces et services de Alö France nous explique les intérêts de disposer d'un chargeur frontal connecté sur l'exploitation. Le Q-Companion de Alö permet ainsi la mesure et la sauvegarde des informations liées aux poids et aux temps de travail pour toutes les opérations de manutention. Voir Terre-net Média Ertus : logiciel Exapta de planification des travaux viticoles Quelle que soit votre structure, la saison des traitements demande une attention particulière. Préparer son programme doit en effet prendre en compte de nombreux paramètres… Voir Ertus Lamouroux : suite logicielle E2 de maitrise de l’eau et de l’énergie au chai La solution qui garantit le meilleur équilibre entre d’une part, les enjeux économique et écologique et d’autre part les enjeux qualitatif et concurrentiel car les vins de meilleure qualité exigent une consommation énergétique plus importante. Voir Lamouroux Vitibot : robot viticole Bakus 100 % électrique Voir robot Bakus
COGESER vend à Groupe ISAGRI ses activités informatiques dédiées aux coopératives et négoces agricoles, ainsi qu'aux organismes de gestion agréés Groupe ISAGRI, via sa filiale KERHIS, fait l'acquisition des filiales Agro du groupe COGESER : @GRISIS, IDA Informatique et SIGALIS. Le groupe étoffe ainsi son activité d'édition de solutions de gestion intégrée « métiers » pour les grandes entreprises agricoles. Groupe ISAGRI acquiert également C2J Info qui accompagne les Organismes de Gestion Agréés dans la production de leurs nouvelles missions et confirme son engagement auprès de la Profession Comptable. >>> Une présence affirmée auprès des Grands Comptes Ces acquisitions permettent à Groupe ISAGRI d'accélérer la croissance de son pôle Grand Comptes en renforçant ses expertises et sa présence auprès des plus grands acteurs des filières céréales, appros et distribution. Groupe ISAGRI, fort de sa profonde connaissance des métiers, accompagne ses clients dans leur transition numérique, leur diversification, leur croissance en France et à l'international. Par l'acquisition de @GRISIS, IDA Informatique et SIGALIS, KERHIS conforte sa position de leader des solutions de gestion intégrée, dédiées aux métiers de chaque filière agricole. Ce rapprochement sécurise également les investissements informatiques des clients en leur proposant une évolution pérenne de leurs solutions. >>> La nouvelle filiale C2J Info sera rapprochée de la marque AGIRIS AGIRIS – C2J se positionne comme le futur leader du marché des solutions de gestion intégrée destinées aux organismes de gestion agréés (OGA) : un tiers des organismes leur font déjà confiance. Le pôle Grands Comptes de Groupe ISAGRI est constitué de filiales spécialisées et complémentaires qui couvrent toute la chaîne du producteur au consommateur. Il rassemble près de 500 collaborateurs qui réalisent plus de 50 millions de CA. Ils servent 4 000 clients PME, ETI, grandes entreprises et coopératives de l'agroalimentaire, agrofourniture, supply-chain, distribution et négoce agricole. >>> Une ambition affichée Groupe ISAGRI poursuit sa stratégie de croissance forte sur ses marchés en ayant toujours à cœur d'apporter les solutions globales permettant de mieux servir une plus large clientèle, notamment à travers un investissement continu dédié à l'innovation : cloud, mobilité, intelligence artificielle… L'originalité proposée par Groupe ISAGRI : une approche spécialisée, multi-filières, basée sur l'expertise des métiers, des synergies entre les solutions de gestion intégrée du groupe (KERHIS, AKANEA, IRIUM et AGIRIS), les solutions d'hébergement et télécoms (HEXANET), un accompagnement dédié par des services numériques (ISAGRI Ingénierie). Elle est confortée par l'arrivée de clients grands comptes en croissance et aux besoins de plus en plus diversifiés. Voir terre-net.fr
Topo(diapo)((vidéo))ramas analyse : encore un intermède, luco-beckerrien celui-ci (avec une excellente histoire drôle) Après les cinq chroniques du 18 octobre au 15 novembre 2018 au cours desquelles, croyant m’élever du concret vers l’abstrait j’ai pédalé vers l’abscons, rejoignant ainsi dans le vaseux un grand nombre de clercs bluffeurs et d’escrocs cognitifs contemporains et de trissotins d’antan. Voilà pourquoi j’essaie de me racheter depuis jeudi 22 novembre 2018 par des intermèdes de nature à rire de bon cœur sans chercher midi à douze heures zéro zéro du matin. Notre maître et meilleur fournisseur en matière de brèves amusantes est incontestablement Luc Becker et je vais me servir d’une histoire (un dialogue d’une exemplaire sobriété) dont Luc et Guy m’ont accordé l’exclusivité dans la présente gazette. La sobriété, précisément, dans les - et surtout ici à propos des -topo(diapo)((vidéo))ramas n’étant pas mon point fort, je vois dans cette histoire une allégorie dont la morale serait un immense hommage à cette concision qui me fait tant défaut. Vous comprendrez donc sans peine pourquoi je m’abstiendrai de commenter davantage d’ici le printemps la dite histoire fournie par Luc B. que voici : Au moment de quitter la vallée pour la saison de transhumance, un berger dit à l'apprenti qui doit l’accompagner : - Je te préviens, je suis pas très causant. Tout se passe bien et, la saison terminée, ils quittent l’alpage. De retour dans la vallée, l'apprenti dit alors : - Moi non plus. À jeudi prochain, chers collègues ! Posté ce 29 novembre 2018 dans la Gazette « Du côté de l’informatique agricole » par Sa Sérénité Claude HOLL pour servir et valoir ce que de droit Mél : claudeholl(a)gamil.com
Mobicoop; nouveau service gratuit de mobilités partagées (le monde rural aurait certainement avantage à développer ce genre de services) Face aux géants de l’économie collaborative, des initiatives sociales et solidaires émergent. C'est le cas de la coopérative française Mobicoop dont le lancement officiel a lieu ce vendredi. Voir deplacementspros.com Ouverture d'une maison du Numérique et des Nouvelles technos en pays basque À l'heure du digital, de la « web révolution », le numérique est partout. Dans leur vie professionnelle, et de plus en plus dans leur vie personnelle et administrative, les Français ont besoin de maîtriser les outils numériques. Mais comment les maîtriser si personne ne nous l'apprend ? Comment savoir où placer son entreprise, comment la faire grandir sur la toile si ce nouveau langage est mal accessible pour nous ? A seulement 3 minutes de Biarritz, un nouvel établissement ouvre ses portes, entièrement dédié à la maîtrise des technologies du web : l'Open House Digitale. C'est un lieu novateur qui se donne pour mission de renforcer les compétences numériques de tous les publics, notamment Particuliers et Professionnels, TPE/PME, startups, entrepreneurs et travailleurs nomades. Voir openhousedigitale.com Voir communiqué de presse open house digital
La progression de la blockchain en Europe entravée par le manque de collaboration au sein de l’industrie En prévision de la conférence Blockchain Paris qui se tiendra les 27 et 28 novembre prochains, Cognizant met en avant les résultats de son étude « Blockchain in Europe: Closing the Strategy Gap », réalisée auprès de 1 500 décideurs européens des secteurs bancaires et financiers, de l’industrie, du commerce, de la santé et des assurances. Bien qu'il y ait eu de grandes avancées qui ont aidé les entreprises et la société à résoudre certaines problématiques urgentes, l'enquête souligne qu’il est difficile de transformer ces idées en réalité. La généralisation de la blockchain risque d'être encore retardée du fait que la grande majorité des entreprises européennes souhaitent développer leurs propres techniques de modélisation alors que seules 2 % d’entre elles prévoient de rejoindre un consortium composé de start-ups et de concurrents. Pourtant, lorsque des organisations concurrentes travaillent en étroite collaboration sur des plateformes blockchain, elles peuvent en tirer des bénéfices importants. Dans le secteur automobile par exemple, BMW, General Motors, Ford et d'autres constructeurs ont créé le consortium MOBI (Mobility Open Blockchain Initiative), un groupe à but non lucratif dont la mission consiste à « rendre les services de mobilité plus efficaces, plus abordables, plus écologiques, plus sûrs et moins saturés. Cela passe par la promotion de normes et par l’accélération de l’adoption de la blockchain, du registre distribué et des technologies associées. » >>> Des idées à la réalité La blockchain est perçue comme un impératif stratégique et 83 % des personnes interrogées s’attendent à ce qu’elle exerce un impact important voire décisif sur leur secteur d'activité, même si elles ne savent pas encore par quel biais. Pourtant, pour la plupart des entreprises européennes, la blockchain est davantage utilisée comme un nouveau moyen de réaliser des tâches qu’elles mènent déjà, que comme un outil d’innovation. Près de la moitié des personnes interrogées ont déclaré que la blockchain viendrait s'intégrer à leurs modèles d’exploitation actuels, sans pour autant les modifier radicalement. Pour tirer pleinement parti du potentiel de la blockchain, les organisations européennes devront réfléchir à de nouvelles méthodes de travail. Plutôt que de se concentrer sur l’amélioration classique de leurs processus internes, elles devraient envisager différents scénarios montrant comment l'adoption de la blockchain permettrait de résoudre à long terme les problèmes systémiques auxquels sont confrontés les différents secteurs d'activité. Ainsi, les entreprises pourraient renforcer considérablement l’efficacité du cycle de la commande à l'encaissement (order-to-cash) tout au long des chaînes d’approvisionnement mondiales, qui se trouve souvent freiné par des processus manuels et des incohérences. Or, cette perspective n’est envisageable que dans la mesure où l’ensemble des partenaires de ces chaînes d’approvisionnement, ou les principaux, travaillent sur la même plateforme blockchain. >>> L’Europe en retard en raison de barrières internes La plupart des personnes interrogées (70 %) considèrent l’avantage compétitif qu'offre la blockchain comme l’un de ses principaux atouts, en permettant notamment la résolution des défaillances de processus (94%), voire la création de nouvelles lignes de service (62 %). Il existe toutefois plusieurs barrières internes qui empêchent la blockchain d'être pleinement efficace. Parmi elles figurent le manque de compréhension réelle de ses applications possibles et le défaut d’évaluation précis de ses coûts et de ses bénéfices (51%). De nombreuses entreprises continuent d’explorer la faisabilité de cette technologie, ou de comparer différentes blockchains, plutôt que de se concentrer réellement sur le développement de méthodes concrètes permettant sa mise en pratique pour améliorer leur activité. L’étude démontre également qu’un nombre plus élevé de personnes interrogées testent des modèles de blockchain privés ou autorisés (40 %), plutôt que des blockchains ouvertes ou publiques (39 %). Les blockchains publiques sont actuellement considérées comme présentant un risque accru en matière de sécurité des données. « Alors qu'elle se limitait jusqu’ici aux domaines des paiements et des cryptomonnaies, la blockchain est devenue en peu de temps une technologie digne d'intérêt pour de nombreux dirigeants d’entreprise, explique Lata Varghese, Blockchain Consulting Practice Lead at Cognizant. La difficulté à laquelle se heurtent les organisations européennes concerne l’incompatibilité entre la blockchain et les modèles d’exploitation actuels. De nouveaux modèles d’exploitation pour l’ensemble des secteurs devront être conçus. Cela signifie la région risque de ne pas pouvoir exploiter tout le potentiel de la blockchain assez rapidement. Cette technologie doit être considérée comme un outil ouvert, collaboratif et disruptif qui peut être utilisé à des fins d’innovation de l’entreprise, et non comme un simple outil de gestion des activités habituelles. » Voir presseagence.fr
Les vraies conséquences de l'élevage bovin sur l'environnement L'élevage bovin et ses conséquences sur l'environnement sont souvent pointés du doigt dans les médias grand public. Pour clore le débat, l'Institut de l'élevage a produit un recueil de chiffres clés couvrant l'ensemble des interactions entre les exploitations bovines et leur milieu. Et visiblement, les conséquences de la filière sur l'environnement ne semblent pas aussi catastrophiques que ce qu'on tente de nous faire croire. Voir web-agri.fr Les 27 médailles des Sima Innovation Awards 2019 Les résultats des médailles des Sima Innovation Awards 2019 ont été communiqués ce matin. 2 médailles d’or, 5 d’argent et 20 de bronze ont été décernées par un jury mandaté par Comexposium, l’organisateur du salon. Elles récompensent cette année, le numérique, la sécurité et la performance des machines. Voir terre-net.fr L'Hérault, neuvième département qui achète le plus de pesticides et la bio Le département de l'Hérault et neuvième au classement des plus gros acheteurs de pesticides en France. C'est une étude de l'association Générations Futures qui le révèle. Les agriculteurs, eux, affirment qu'ils n'ont pas le choix pour développer une agriculture biologique. Voir francebleu.fr Rabhi: tradition contre modernité Le refus de la modernité qu’incarne Pierre Rabhi était déjà conceptualisé dans les années 1930. Nostalgique de cette France riche de ses traditions ancestrales qui ont été́ éradiquées par la modernité́, Pierre Rabhi porte en lui tout l’héritage de l’idéologie agrarienne des années 1930, qu’il a acquise notamment grâce à la fréquentation de son ami le Dr Pierre Richard et du philosophe ardéchois Gustave Thibon... Voir Rahbi antimoderne
La révolution CRISPR – Cas 9 en élevage – Séance Académie d’agriculture du 10 octobre 2018 L’édition génomique par le recours aux techniques de mutagénèse dirigée doit permettre l’amélioration génétique des animaux d’élevage. Ces avancées scientifiques pourraient répondre à de nombreuses attentes : correction d’anomalies génétiques, amélioration de la qualité des produits (suppression des allergènes du lait…), développement de la résistance aux maladies (tuberculose et mammites chez les bovins…). Ces techniques ont également l’avantage de préserver la diversité des races. Toutefois, l’acceptation sociale nécessitera concertation, pédagogie et communication sur les intérêts communs entre les éleveurs et la société. Voir La révolution CRISPR-Cas 9 en élevage Quel est le rôle de l’épigénétique chez l’animal, le végétal et la bactérie ? – Séance Académie d’agriculture du 14 novembre 2018 L’épigénétique étudie la régulation de l’activité des gènes en fonction de variations dues au climat, à l’alimentation, aux pollutions… Cette séance est consacrée à l’étude des processus moléculaires participant à la régulation de l’expression des gènes, sans modification de l’information génétique. Différents exemples (les bactéries pathogènes sur l’hôte mammifère, l’amélioration variétale, l’épigénome des spermatozoïdes de taureaux) illustreront le rôle de ces processus moléculaires dans l’interprétation de l’information génétique. Quel rôle de l'épigénétique chez l'animal, le végétal et la bactérie ? Le poids de vos péchés
Fort de son expertise et de sa connaissance du secteur agricole, Cerfrance Alliance Centre a souhaité ouvrir un espace dédié à son actualité : le blog des agriculteurs entrepreneurs Voir Cerfrance Alliance Centre Une exploitation agricole sur deux est une société Voir Cerfrance Alliance Centre Les agriculteurs plutôt favorables au maintien à l’heure d’été par Arnaud Carpon - Terre-net Média Que pensent les agriculteurs du rituel saisonnier du changement d’heure ? Alors que la Commission européenne propose l’abolition dès 2019 de ce changement saisonnier en Europe, les agriculteurs sont plutôt favorables au maintien de l’heure estivale. Voir terre-net.fr Horizon 2020 : Un bon bilan à mi-parcours pour le réseau des ITA (Instituts techniques agricole) Voir ACTA Fruits et légumes : surveiller pour mieux protéger Voir M6 Vinitech-Sifel décerne ses Trophées de l’innovation Voir pleinchamp.com
Internet très haut débit par satellite 7 novembre 2018 à 10 h 30 – PARIS (Á retrouver sur la vidéothèque du Sénat) La commission des affaires économiques du Sénat organise une table ronde sur l’Internet très haut débit par satellite autour de : – M. Laurentino Lavezzi, directeur des affaires publiques d’Orange ; – M. Riadh Cammoun, vice-président en charge des relations institutionnelles de Thales Alenia Space ; – M. Jean-François Bureau, directeur des affaires institutionnelles et internationales d’Eutelsat. Cette réunion est ouverte à la presse et au public. Le public est invité à s’inscrire auprès du secrétariat de la commission des affaires économiques (secretariat-affeco-devdur@senat.fr) au plus tard la veille. Les journalistes sont invités à s’inscrire auprès de la direction de la communication (presse@senat.fr). Cette réunion fera l’objet d’une captation vidéo qui sera retransmise en direct sur le site Internet du Sénat et consultable en vidéo à la demande Machinisme et numérique : vers une révolution agricole ? 29 novembre 2018 - BEAUVAIS (annonce un peu tardive !) La région Hauts-de-France et le pôle territorial en innovation organise une journée d'échange sur les nouvelles technologies en agriculture le jeudi 29 novembre à AgriLab. Conception du matériel, robots, capteurs, données numériques, réseaux sociaux... autant de thématiques qui seront abordées pendant la journée sous forme de tables rondes. Voir agri-mutuel.com Audition « Régulation audiovisuelle et numérique » (Commission sénatoriale) 29 novembre 2018 à 10 h 30 - PARIS - M. Charles Coppolani, Président de l'Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL) ; - Mme Isabelle Falque-Pierrotin, Présidente de la Commission nationale Informatique et Libertés (CNIL) ; - M. Denis Rapone, Président de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) ; - M. Olivier Schrameck, Président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) ; - M. Sébastien Soriano, Président de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des Postes (ARCEP). Cette audition ne sera pas ouverte à la presse mais sera diffusée en direct sur le site internet du Sénat puis disponible en vidéo à la demande. Les 14èmes rencontres de la fertilisation raisonnée et de l'analyse : appel à communication 2019 20-21 novembre 2019 - DIJON L'appel à communication est ouvert à tous les sujets concernant la fertilisation, en lien avec l'analyse, la gestion de la fertilité des sols, la préservation de la qualité de l'air et de l'eau, l'économie circulaire et la productivité des agroécosystèmes. Les thèmes suivants peuvent être proposés mais ne sont en aucun cas limitatifs : - Fertilité biologique - Systèmes de production en horticulture, viticulture, arboriculture - Fertilisation des prairies, analyse foliaire - Fertilisation des cultures pérennes - Biostimulants - Systèmes d'épandage... - Gestion de la fertilisation dans les systèmes de culture diversifiés (couverts intermédiaires, cultures associées ou successives et plantes compagnes) - Pratiques de fertilisation pour différents objectifs de production, conséquences économiques - Indicateurs de fertilité des sols, les nouveautés - Contexte technique et raisonnement de la fertilisation dans des pays voisins - Produits organiques et recyclage - Effets environnementaux, GES, énergie, ressources - Règlementation : Évolution, enjeux, appui technique à la prise de décision politique... - Outils d'aide à la décision proposés aux agriculteurs : innovations, retours d'expérience - Gestion de la fertilité à différentes échelles spatiales et temporelles Les propositions de communications sont à envoyer au COMIFER avant le 17 décembre 2018 par mail à s.droisier(a)comifer.fr Voir comifer.asso.fr
Du côté de vitisphere.com ¨Tout le monde il est bio, tout le monde il est gentil" par Alexandre Abellan Existe-t-il un sujet plus clivant dans le vignoble que la bio ? Il suffit de l'évoquer pour voir surgir les clivages viscéraux qui animent de tout temps le tempérament français en particulier, et la nature humaine en général. Une constance illustrée il y a 120 ans lors de l’affaire Dreyfus par Caran d’Ache, et visible depuis le week-end dernier avec le mouvement des gilets jaunes. Mais revenons au vignoble et aux vifs débats sur la bio. Pour ses détracteurs, la liste des griefs enterre cette viticulture alternative : de l’impact environnemental du cuivre aux rendements en danger les années de forte pression sanitaire, en passant par l’empreinte carbone des nombreux passages en tracteurs et la méconnaissance, voire le malentendu, entre les consommateurs et le cahier des charges bio (souvent vu comme une absence de traitements). Pour les défenseurs de la bio, le discours est diamétralement inversé, se basant sur la diminution des doses de cuivre, l’absence de résidus de pesticides dans les vins, l’emploi de davantage de main d’œuvre... Sans oublier l’argument massue d’un marché tellement demandeur, que même un vin en conversion est recherché par le négoce. Alors que notre société se prélasse dans les débats clivants, jugeant les consensus moins inatteignables que mous, la complexité de la réalité nécessite de prendre du recul pour saisir les forces et faiblesses de chaque système. Il n’est plus temps de mettre dos à dos conventionnel et bio, que de les joindre main dans la main. Mais encore faut-il être capable de s’entendre au lieu de s’opposer d’emblée. A priori irréconciliables, ces deux viticultures s’équilibrent l’autre dans une nécessaire quête d’amélioration. Tout en appuyant le constat qu’il n’existe pas de solution miracle, mais seulement des compromis à optimiser. Ce besoin de faire cause commune se sédimente dans le vignoble. Comme pour la réhomologation européenne du cuivre, où le malheur des uns ne fera pas le bonheur des autres. La preuve avec cette interview, sur la nouvelle TV Vitisphere, du viticulteur bordelais Bernard Farges. S'il ne peut être confondu avec un ayatollah de la bio, il en reconnaît, sans langue de bois, les intérêts. Existe-t-il un sujet plus enrichissant dans le vignoble que la bio ? Voir vitisphere.com Du côté de pleinchamp.com par Anne Sophie LESAGE : Cornes ou pas ? Pour ou contre ? Ce week-end les Suisses seront interrogés par voie de référendum sur un symbole helvétique : les cornes de vaches. Cette demande émane d’un éleveur surnommé le « punk à vaches », qui se bat depuis 8 ans pour sauver les 10% de vaches à cornes restantes en Confédération helvétique. Après avoir demandé en vain l’inscription de cette demande dans le programme de maintien de bien-être du bétail, l’éleveur a lancé une initiative qui a récolté près de 120 000 signatures. La loi suisse prévoit que passer le pallier des 100 000 signatures en moins de 18 mois, permet l’organisation d’un référendum. Ce dimanche, si le oui l’emporte, les éleveurs laissant les animaux arborer leurs cornes se verront attribuer une prime pour « adapter les étables aux vaches ». L’écornage des animaux a pour vocation de préserver le bien-être des animaux, sans oublier la sécurité d e l’éleveur. A ce jour, les pour et contre seraient au coude-à-coude. Le Conseil fédéral suisse s’est d’ores et déjà prononcé contre cette initiative car, pour le gouvernement « détenir des animaux non écornés est une décision entrepreneuriale qui dépend uniquement des agriculteurs. » Verdict dimanche dans les urnes. Voir pleinchamp.com
Du côté d’André Heitz > Le forçage génétique élimine efficacement les moustiques vecteurs du paludisme dans des tests de laboratoire, par Mark Lynas > Le « Mois Mondial Végan » – petite revue de presse > Le manioc modifié par édition génomique pourrait aider des millions d'agriculteurs, par Devang Mehta > L'Afrique et les Philippines font de grands progrès en biotechnologie végétale par Gerald Andae > La dernière pollution du paysage médiatique par M. François Veillerette (Générations Futures) et ses amis > L’inspecteur nouveau des restaurants sera doté d’intelligence artificielle ou comment pallier le manque d’inspecteurs chargés des contrôles des restaurants ?
Du côté de l'Institut de l'élevage Voir Idele Du côté de Cultivar > Europe: le déficit hydrique pénalise les blés et les colzas > Le colza continue de subir la pression de l'huile de palme > France: 63000 tonnes de blé en cours de chargement vers la Chine > Exportations: fluidifier la logistique sur l'année La campagne de commercialisation des céréales commence le 1er juillet pour se terminer le 30 juin de l’année suivante. Pour les opérateurs portuaires comme la Sica Nord Céréales, «le dossier… > Moduler ses apports de fertilisants avec Fertilio e-RM Marchant dans ses parcelles sur la commune de Limalonges (Deux-Sèvres), Maxime Bujon, céréalier sur 150 ha, montre les grandes hétérogénéités de ses sols : « La terre est très superficielle ici,... > Deux nouveautés de blé hybride et lignée chez Saaten-Union Deux nouvelles variétés de blé de Saaten-Union ont été proposées à l’inscription par le CTPS cet automne : un hybride, Hyxperia, et une lignée, SU Astragon... > Sima Innovation Awards 2019 : les coups de cœur de la rédaction La semaine dernière, le jury des Sima Innovation Awards a révélé le palmarès de l’édition 2019. Au total 27 médailles ont été distribuées dont 2 médailles d’or, 5 médailles d’argent, et 20 médailles de bronze… > Triage et traitement de semences. JLC en plaine Limagne #67 Avant les semis, il y a l'étape de triage et de traitement des semences. Jean-Loup Chatard détaille la façon dont il procède pour faire une bonne semence de ferme. Première étape le triage, pour...
Du côté de FranceAgriMer Newsletter n° 313 - Les nouveautés sur le site de FranceAgriMer du 23 novembre 2018 Du côté du ministère de l’Agriculture > Volet agricole du GPI : lancement d’un appel à projets « Agriculture et alimentation de demain » > Produits bio : le Gouvernement mobilisé aux côtés des élus locaux et des acteurs de la restauration collective > Brexit : Didier Guillaume salue l’adoption par le conseil européen de l’accord sur le retrait du Royaume-Uni > Risque de contamination par une salmonelle : par précaution, rappel de reblochons de la Société Fromagerie de la Tournette > Volet agricole du GPI : lancement d’un appel à projets « Agriculture et alimentation de demain » > Le Gouvernement lance la consultation sur le plan Écophyto II+ visant à réduire notre dépendance aux pesticides Ma remarque (GW) : j’ai répondu à cette consultation en disant quelque chose qui n’a rien d’original… C’est du côté de la sélection et l’amélioration végétale qu’il faut chercher, avec notamment les technologies CRISPR / Cas 9…
Du côté de la Fnsea > Glyphosate : Pas comme ça ! Une « start up d'Etat » a été lancée hier pour pousser les agriculteurs à sortir du glyphosate d'ici 2020. C'est par la mise en ligne d'un site déclaratif que le Président de la République, devenu donc patron de start up, compte tenir son engagement. Mais cette nouvelle « appli » n'apporte aucune des réponses concrètes attendues ! FNSEA et JA regrettent qu'elle ait été construite sans aucune concertation avec les premiers acteurs de terrain que sont les agriculteurs. Comptabiliser des engagements ressemble plus à une opération de communication dont un des effets les plus pervers serait une nouvelle escalade dans l'agribashing. À quel moment le compteur sera-t-il jugé suffisant pour ne plus désigner les agriculteurs à la vindicte de l'opinion publique ? Quid de ceux qui ne se déclareraient pas ? La FNSEA et JA ne peuvent cautionner cette méthode. Non, pas comme ça ! Nous, nous avons fait le choix d'une autre méthode. Depuis un an, nous sommes au travail avec 40 partenaires pour trouver les solutions qui permettent de réduire les intrants, dont le glyphosate, et qui ne laissent aucun agriculteur dans des impasses techniques. Et pour avancer, ce n'est pas de la « com » que les agriculteurs attendent de l'État mais des moyens accrus pour les accompagner et pour la recherche fondamentale et appliquée. La transition de l'agriculture vers des modèles plus vertueux, plus économes en intrants, plus respectueux des ressources naturelles, porteurs de solutions pour le climat, est intégrée par les agriculteurs. Mais elle ne se fera pas sans eux ; ni contre eux, ni contre leurs revenus. Elle ne se fera pas non plus à coup de décisions unilatérales et dogmatiques au service d'une fiscalité écologique punitive : augmentation de la redevance pollution diffuse (RPD), charges supplémentaires induites par la séparation du Conseil et de la vente des produits phytosanitaires, interdictions de produits de traitements sans solutions ni alternatives, absence d'ambition pour les énergies renouvelables agricoles… À l'heure où de nombreuses charges supplémentaires les menacent, les agriculteurs attendent aussi de l'État l'application des États Généraux de l'Alimentation et une plus juste répartition de la valeur ajoutée. Il est plus que temps de reconnecter les décisions politiques avec la réalité du terrain et des territoires ruraux ! > Plateforme « fermes-usines » de Greenpeace – Stop à la délation ! Greenpeace, qui agit, de son point de vue, « selon les principes de la non-violence », vient de publier le nom de plus de 4000 agricultrices et agriculteurs travaillant sur des exploitations que l’association dénonce comme des « fermes-usines ». Comment qualifier la dénonciation publique d’agriculteurs qui exercent leur métier dans les règles de l’art – Greenpeace se vante même d’avoir reçu du Ministère de la transition écologique et solidaire, une liste des exploitations ayant déclaré et obtenu leur autorisation administrative d’exploiter – au seul motif que la taille de l’exploitation ne correspond pas à la vision qu’a Greenpeace du « modèle agricole » ? Dénoncer et jeter à la vindicte populaire des noms d’agriculteurs, des noms de ferme, des adresses, des lieux de vie, est violent. Extrêmement violent ! Une violence insupportable. Derrière les slogans ou les cartes publiées, nous osons rappeler que ce ne sont pas des conglomérats ou des holdings impersonnels, mais des femmes, des hommes et leurs enfants qui sont pointés du doigt et stigmatisés. La FNSEA et JA entendent apporter leur soutien entier et sincère à toutes les agricultrices, tous les agriculteurs, leurs familles et leurs proches face à ces mises en cause calomnieuses et visant une fois de plus à créer une fracture entre le monde agricole et la société. Les agriculteurs ne supportent plus ces pratiques. Ils ne supportent plus le climat nauséabond d’intrusions sur les exploitations d’élevage, d’actions violentes contre les abattoirs ou contre les boucheries. L’esprit de responsabilité de chacun, surtout des associations qui se prétendent pacifistes, aurait pourtant dû empêcher ce mode d’action que nous pensions relever d’une période révolue de notre histoire. Nous appelons d’urgence le Gouvernement à condamner avec fermeté cette forme de délation et à apporter une réponse juridique face à ces méthodes. Ces méthodes ne sont pas les nôtres. Et nous en sommes fiers. > Exonération des travailleurs saisonniers : JA+FNSEA et ses AS saluent l'avancée parlementaire ! Dans la nuit de mardi à mercredi, une série d'amendements au PLFSS 2019 a été adoptée à une très courte majorité pour remonter le seuil de déclenchement de la dégressivité de l'exonération de charges pour les travailleurs agricoles occasionnels à 1,20 SMIC à partir de 2019. C'est une avancée parlementaire majeure, que FNSEA, JA et les associations spécialisées saluent unanimement et qui permettra de limiter la casse économique sur les exploitations agricoles dès 2019 tout en les rapprochant d'une compensation intégrale du dispositif TODE qu'elles défendent depuis plus de 6 mois. Les députés ont enfin entendu la voix des employeurs agricoles portée depuis des mois par les JA, les FDSEA et les associations spécialisées sur le terrain. Ce nouvel aménagement permet de compenser 117 millions des 144 millions d'euros de perte occasionnée par la réforme du TODE et la suppression du CICE sur les secteurs agricoles les plus pourvoyeurs de main d'œuvre (arboriculture, maraichage, viticulture, horticulture, semences…). Toutefois, malgré les engagements de compensation intégrale, il laisse à la charge des employeurs de saisonniers 27 millions de charges supplémentaires. FNSEA et JA et les associations spécialisées appellent solennellement le Gouvernement à consolider le dispositif de dégressivité voté à 1,20 SMIC à partir de 2019 dans la suite de la discussion du PLFSS dans l'attente de nouvelles évolutions positives permettant de compenser intégralement la perte du CICE.
La plus belle histoire juive que je connaisse Au paradis, Simone et Marceline n'arrêtent pas de rire et de se raconter des blagues. Intrigué Dieu leur demande ce qui les amuse tant. - Nous nous racontons des histoires de camps... - Mais enfin ! Ce n'est pas drôle, dit Dieu stupéfait. - Qu'est-ce que tu en sais ? Tu y étais toi, dans les camps ?
Pensée du jour L’Europe et en son sein le couple franco-allemand a la responsabilité de ne pas laisser le monde glisser dans le chaos et de l’accompagner sur le chemin de la paix. M. MACRON, le 18 novembre devant le Bundestag à Berlin Pensée du jour sur le commerce avec les États-Unis Derrière la question du commerce, il y a celle du réchauffement climatique. Les États-Unis ont décidé de sortir de l’accord de Paris sur le climat, donc cela exclut la possibilité d’un accord global. Et l’agriculture doit rester hors des discussions pour une raison simple : il s’agit de modèles agricoles différents, avec des normes de bien-être animal, des normes de sécurité sanitaire qui ne sont pas les mêmes. M. Bruno LE MAIRE Voir Le Monde Pensée définitive de Francis Chouat qui, soutenu par LRM, succède à Manuel Valls, comme député de l'Essonne Mélenchon, le fossoyeur de la gauche. Voir Le Monde A thought for today Spend the afternoon. You can't take it with you. Annie DILLARD, author (1945-) A second thought for today A teacher affects eternity; he can never tell where his influence stops. Henry ADAMS, historian and teacher (1838-1918) A third thought for today What is the use of a fine house if you haven't got a tolerable planet to put it on. Henry David THOREAU, naturalist and author (1817-1862)
La Suisse s'intéresse de près aux banques, donc aux monnaies ; rien de nouveau... Cet article de la TdG - Tribune de Genève a retenu mon attention… Voir tdg.ch Signalé par Paul JAMET Mél : pul.jamet(a)free.fr L’agriculture biologique doit remonter le temps de… 70 ans ! Par André Heitz Un arrêt de la Cour de Justice de l’Union Européenne a mis un coup d’arrêt aux techniques modernes d’amélioration des plantes. En toute logique, il impose à l’agriculture biologique de revenir aux variétés d’avant 1950 dans de nombreux cas. .../... Ainsi, tous les blés modernes comportent des séquences génétiques importées d’espèces dites « voisines » – certaines plutôt éloignées – souvent au prix de véritables acrobaties ou cascades de laboratoire. Voyez l’histoire de Renan, la variété de blé la plus prisée de l’agriculture biologique… Dans les tomates, 10 % du génome est issu d’espèces voisines par croisements interspécifiques… qui ne s’effectuent pas naturellement. La liste est longue… Pour se conformer à ses idéologues, au législateur et au juge – et faire honneur à ses discours et engagements vis-à-vis des consommateurs –, l’agriculture biologique ferait bien de revenir aux variétés anciennes, disons d’avant 1950, et de renoncer à des espèces comme le triticale (un croisement intergénérique entre le blé et le seigle). Voir contrepoints.org
Après les exploits des casseurs dans Paris le 24 novembre, le point de vue Marc-Henri Cassagne Et voilà, comme je le prévoyais hier, la colère, légitime il faut le dire, de milliers de braves gens est récupéré par quelques centaines de nervis et de black blocs qui, eux, rêvent de révolution. Quelle responsabilité ont pris tous ces portes paroles auto-proclamés, malgré ou à cause de leur volonté de ne pas être responsable des manifestations qu'ils suscitent. Quelle responsabilité est celle de nos dirigeants incapables de prendre la mesure de la vie quotidienne de nos concitoyens et de faire les gestes qui s'imposent. Quelle responsabilité que celle des chaînes d'info qui, depuis une semaine, ne cesse de gonfler le mouvement, alors même qu'il décroît. Mais quelle responsabilité ont aussi tous ceux - dont plusieurs de mes "amis F.B." - qui depuis des semaines attisent la haine sur les réseaux sociaux, bourgeois braves et calmes en général qui se déchaînent derrière leur écran, vieux journaliste au rancart qui recycle tous les thèmes de la droite extrême tout en se prétendant "humaniste", voyant probablement dans les gilets jaunes ces petits hommes verts qui font son fond de commerce. Mais un immense salut et un immense respect pour nos forces de l'ordre qui, depuis ce matin, assument avec professionnalisme la maîtrise de la situation en sachant faire la part entre les quelques milliers de manifestants qui maintenant devraient rentrer chez eux - otages malgré eux des factieux - et les tenants de l'insurrection. Voir sur Facebook Derrière la révolte des gilets jaunes : la convergence qui tue, par Jean-François Kahn, journaliste et essayiste (Le Soir le 20 novembre 2018, signalé par Marc-Henri Cassagne) Pour la première fois depuis la Libération, une large fraction de l’extrême gauche, puis de la gauche, s’est ralliée à une mobilisation initiée et en partie portée par les différentes tendances de l’extrême droite et de la droite extrême. Ce ne fut certes pas le soulèvement populaire attendu – pour l’instant –, la révolution des nouveaux sans-culottes. Au-delà, cependant, de ce semi-échec ou de ce semi-succès, reste ce premier constat : dans le climat d’exaspération et d’écœurement ambiant, la moindre étincelle peut provoquer un incendie. Il a suffi, en effet, qu’à la base, quelques citoyennes ou citoyens en colère diffusent sur les réseaux sociaux les coups de gueule que leur inspirait la flambée du prix de l’essence dopée par l’augmentation des taxations dites « écologiques », pour que le ras-le-bol, relayé par des milliers d’internautes, récupéré par divers mouvements politiques, se transforme en insurrection antifiscale, puis en une rébellion des damnés du pouvoir d’achat, en manifestations de rejet du pouvoir macroniste en place enfin. Mais le second constat témoigne d’une mutation encore plus considérable et lourde de conséquences. Pour la première fois depuis la Libération, une large fraction de l’extrême gauche, puis de la gauche, s’est ralliée à une mobilisation créée et en partie portée par les différentes tendances de l’extrême droite et de la droite extrême, au point qu’on a vu, ici et là, mélenchonistes et lepénistes, internationalistes et identitaires, anarchistes et monarchistes manifester côte à côte. Ce qui, pour le coup, n’était pas sans rappeler ces années 30 où, à Berlin, par exemple, extrême droite et extrême gauche organisèrent en commun et encadrèrent des mouvements sociaux très durs ou, à Paris, en février 1934, les communistes participèrent à des émeutes promues par les ligues antirépublicaines de droite. Voir la suite sur Facebook Voir la suite sur Le Soir Pas sympa du tout… Très môche même... Mulhouse. De la soupe contenant des laxatifs servie à des gilets jaunes Voir letelegramme.fr Signalé par Paul JAMET Mel ; paul.jamet(a)free.fr
Le Times de Londres indiquait en 1894 : Dans 50 ans, toutes les rues de Londres seront ensevelies sous 3 mètres de crottin de cheval… >>> La gran crisis de las boñigas de caballo de 1894 y el futuro de la humanidad Los expertos piden imaginar nuevas utopías y orientar la innovación tecnológica hacia ellas. La fascinante historia de la llamada gran crisis de las boñigas de caballo de 1894 se repite una y otra vez en las charlas de los gurús de la innovación. El relato siempre arranca con un vaticinio del diario londinense The Times en 1894: “Dentro de 50 años, todas las calles de Londres estarán enterradas bajo tres metros de boñigas”. El periodista Brian Groom escribía en 2013 en el Financial Times que en el siglo XIX “la cantidad de excrementos de caballo generada en unas ciudades en rápido crecimiento se percibía como una amenaza para la propia civilización”. Pero entonces, según la narración de los gurús, llegó el inventor estadounidense Henry Ford, con sus vehículos a motor que sustituían a los caballos, y las predicciones catastróficas sobre el tsunami de boñigas nunca se cumplieron. “Es un ejemplo sorprendente de la incapacidad de la humanidad para prever cómo los incentivos económicos pueden producir soluciones tecnológicas a un problema”, afirmó Groom. Ver elpais.com Steven Pinker: “Los populistas están en el lado oscuro de la historia” Es una de las grandes figuras de la psicología cognitiva y un especialista en el binomio mente-lenguaje. Dialéctico incansable e innegociable, su nuevo libro, ‘En defensa de la Ilustración’, vuelve a cargar contra los profesionales del apocalipsis. Contra los irredentos de “el mundo va cada día peor y solo nosotros podemos salvarlo”. Hombre de ciencia y de pensamiento, el catedrático de Harvard ajusta cuentas con los populistas y con los enemigos del progreso. Ver El Pais
L'agriculture biodynamique est une alternative sérieuse / baliverne #20 C'est l’occultiste Rudolph Steiner, fondateur de l’anthroposophie qui a établie en 1824 les principes de l'agriculture biodynamique. Or ces principes sont totalement ésotériques et n'ont aucune vérité scientifique. Steiner est ainsi convaincu des forces cosmiques sur les plantes, expliquant que « la force de Jupiter colore les fleurs en blanc et en jaune » et que « dans une pomme c'est Jupiter que l'on mange, dans une prune c'est Saturne ». Voir baliverne
Les sept facteurs qui protègent le cerveau de la maladie d'Alzheimer Sept critères rassemblés en 2010 par la puissante organisation américaine de prévention cardio-vasculaire, l’American Heart Association, pour définir la santé cardio-vasculaire optimale : ne pas fumer, avoir un poids normal, une alimentation saine et une activité physique minimale. Sur le plan biologique, avoir des taux de sucre et de cholestérol dans les normes ainsi qu’une pression artérielle normale. Les chercheurs français constatent une baisse du risque de démence de 10 % pour chacun des paramètres à un niveau optimal, soit 70 % de réduction lorsque tous les voyants sont à ce niveau optimal. Voir rtflash.fr Générations futures: le marketing de la peur aux frais du contribuable, par Emmanuel Ducros (accès aux abonnés) .../... La mayonnaise terrifiante prend toujours. Générations futures publie une étude sur « les céréales du petit-déjeuner gorgées de pesticides » (un nombre réduit de 25 échantillons en contenaient des traces infimes, très en deçà des seuils légaux pourtant sévères). Générations futures dévoile une « enquête inédite sur l’exposition aux pesticides des salariés viticoles et riverains des vignes » (elle portant sur une cohorte minuscule de 25 personnes). A chaque fois, buzz assuré ! Voir lopinion.fr Les agriculteurs, grands perdants des politiques écologistes d'Emmanuel Macron, Par Gil Rivière Wekstein Voir lefigaro.fr Statement by the Group of Chief Scientific Advisors: A Scientific Perspective on the Regulatory Status of Products Derived from Gene Editing and the Implications for the GMO Directive See europa.eu EFSA statement addressing stakeholder concerns related to the EU assessment of glyphosate and the “Monsanto papers” (EFSA - 2017) See EFSA Dumb! (like me…) Hyme Goldman was showing off his new acquisition to his friend. "I bought a hearing aid yesterday. It cost me £2,000, but it is state of the art." "What kind is it?" his friend asked. "Half past two," Hyme replied. Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone d’informatique agricole (Afia) Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique agricole" est réalisée avec le concours de Vitisphere Ma « nouvelle » adresse : guy.waksman(a)laposte.net Adhérez (enfin facilement !) à l’Afia (adhésion individuelle ou adhésion d’organisme) Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970 Vous êtes plus de 15 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage personnel et les besoins de votre entreprise. Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue, merci de faire directement l'inscription en allant sur le formulaire suivant Et si vous souhaitez contribuer à la rédaction de cette gazette hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande à Guy Waksman. Adresse mél : guy.waksman(a)laposte.net |
