Good old days (??????): Le semeur de Jean-François Millet
Il n'est pas certain que la population augmente encore beaucoup
d'ici 2100 (source : ONU)
J'ai
consulté le site de l'ONU après avoir lu ce très intéressant
article en allemand...
Ist die Welt bald zu voll?
In den Entwicklungsländern wächst die Bevölkerung rasant,
bald reicht der Platz nicht mehr. So blicken viele auf
die Welt - aber sie irren. Wissen Sie es besser?
Sehen
Der Spiegel
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Cause animale : PETA pète un plomb en Allemagne
Les défenseurs des droits des animaux de PETA veulent interdire
l'âne aux représentations de la Passion d'Oberammergau. Jésus
devrait enfourcher à la place un scooter électrique.
Vidéo ouverte à M. Laurent DUPORGE, Maire de #lievin, pour
parler de son arrêté anti #glyphosate
Voulez-vous que nous discutions de nos pratiques en #Agriculture
pour vous expliquer pourquoi les #agriculteurs utilisent ce
produit ?
Voir
Thierry
Glyphotests : comme un soupçon d’intox
Des journalistes du Mensuel du Morbihan ont mené l’enquête sur
les tests de glyphosate dans les urines, en comparant les techniques
et les résultats. Les résultats sont dévastateurs pour la campagne
des Pisseurs volontaires qui tentaient d’imposer l’idée d’un
empoisonnement généralisé de la population. Ils se sont appuyés
sur des tests réalisés par un laboratoire allemand aux méthodes
peu fiables. Les tests réalisés par les laboratoires publics
français, plus poussés, ne révèlent rien.
Voir
lopinion.fr
Le crayon
Signalé
par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
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À tous les jeunes qu'on a connus… avant
Et qui sont des vieillards... maintenant !
À toutes ces filles jadis si coquettes
Maintenant en maison de retraite.
Pour nous souvenir, prenons un instant
Tant qu'il en est vraiment encore temps !
À tous ces garçons, hier si charmants
Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants,
À toutes ces filles en mini-jupettes
Ridées désormais comme des poires blettes,
J'envoie ce message important
Pour nous moquer un peu de nos tourments.
On vieillit, on vieillit,
On est de plus en plus raplati, raplati.
On a la mémoire comme une passette
On a du mal pour enfiler nos chaussettes.
On est tout rabougri, déjà amorti,
On oublie même parfois ses anciens amis.
A tous mes virtuels correspondants
Qui sont chaque jour devant leur écran
A tous mes amis qui, par internet,
M'envoient souvent des "blagounettes",
Je souhaite qu'encore longtemps
Nos échanges soient récurrents.
Amitiés à tous !
Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler
Que c'est un privilège refusé à beaucoup !
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : glarroque1(a)orange.fr
La chronique de Sylvie Brunel : Il faut respecter nos agriculteurs
dans Sud-Ouest
Sylvie Brunel, géographe et écrivaine, revient sur le débat qui
agite la société autour des productions agricoles et de notre
alimentation.
Voir
sudouest.fr
« Beaucoup de gens, à Paris, sont moins bien logés que mes
vaches » : le désarroi du monde agricole face à l’« agribashing
»
Voir
lemonde.fr
Les trois plaies de l'industrie française...
Si les usines tricolores ont retrouvé quelques couleurs, elles
continuent de subir un certain nombre de manques qui empêchent
l'industrie française de repartir de l'avant, relève une étude
d'Accenture.
Des usines pas assez modernes, en France
Selon l'étude d'Accenture, la part de la valeur ajoutée importée
dans l'Hexagone est de 36 %, contre 29 % en Allemagne et 24 %
en Italie - deux pays qui exportent davantage leur production.
« Il n'y a aucune raison fondamentale de faire moins que les autres
à cet égard, juge Max Blanchet. Nous avons laissé filer notre
industrie… »
14-18… Aisne : le premier monument dédié aux soldats fusillés
pour l’exemple
Le premier monument en mémoire des 639 soldats condamnés à morts
et exécutés au front lors de la Première Guerre mondiale est
inauguré à Chauny ce 6 avril. De nombreuses voix s’élèvent pour
leur réhabilitation.
Voir
leparisien.fr
Cinquante ans de formation des agriculteurs. (1959-2009)
Voir
editions-harmattan.fr
Contact : Marc JEANLIN
Mél : marc.jeanlin(a)orange.fr
Good old days (??????): Femme avec des chèvres dans les dunes
par Max Liebermann
Livre
: Lagriculture face à ses défis
techniques : L'apport des technologies, sous la direction
de Bernard Le Buanec
Lagriculture
française est dans une période difficile
et doit affronter des défis techniques, économiques
et sociétaux. Face à ce constat, des membres
de lAcadémie dagriculture de France
et de lAcadémie des technologies ont créé
un groupe de travail pour analyser les défis
techniques et étudier les solutions que pourraient
apporter les technologies.
Après
avoir auditionné des agriculteurs, les principaux
syndicats agricoles et de nombreux scientifiques et
industriels, les auteurs analysent les principaux défis
et les solutions techniques qui permettraient dy
faire face et font des recommandations pour que lagriculture
française puisse en bénéficier.
Voir
Presses des Mines
Contact : Catherine REGNAULT- ROGER
Mél : catherine.regnault-roger(a)univ-pau.fr
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Du côté de Jojo
CHAMPIGNON (Le) : Il n'a pas de sexe, l'inverse n'est pas toujours
vrai...
Alphonse ALLAIS.
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Statistiques
de l’édition de la semaine dernière de cette gazette
Last issue of the Efita Newsletter nb 904 dated November 18,
2019
See
Efita
Statistics
about the previous issue dated November 4, 2019
Le fonds documentaire de l’Académie d’accessible sur Gallica
Un contrat de numérisation des principales collections de la bibliothèque
de l’Académie a été passé avec la Bibliothèque nationale de France
(BnF).
La collection complète jusque 2002 des Bulletins, Mémoires et Comptes-Rendus
de notre compagnie depuis son origine en 1761 a été livrée à la
BnF en mars 2010.
Sur les 232.000 pages confiées à la BnF (notre collection complète)
160.000 pages sont en ligne soit 69% se décomposant ainsi : 92 %
pour le 18ème siècle, 79% pour le 19ème siècle et 58% pour le 20ème
siècle.
La plupart des documents en ligne permettent une recherche par mot,
ceci grâce à l’opération de reconnaissance des caractères.
Voir
academie-agriculture.fr
Un café
Signalé
par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
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Le palmarès complet a été dévoilé à Agritechnica
Les constructeurs de machines agricoles ont découvert mardi 12 novembre
les résultats du prix « Machine de l'année 2020 » lors d'une cérémonie
organisée à Agritechnica. Le lauréat de chacune des 16 catégories
a ainsi été dévoilé. À peine le fameux sésame en poche que les gagnants
se sont empressés de l'afficher sur leur(s) machine(s). Et vous,
qui avez-vous décider d'élire dans la catégorie Prix du public ?
Voir
agri-mutuel.com
L’interface unique qui relie le parc matériel John Deere et Claas
Claas, John Deere et 365FarmNet lance DataConnect : la solution
Cloud to Cloud qui permet d'échanger des données via une interface
commune. Un seul environnement au choix de l'agriculteur capable
de récupérer ou envoyer des données, connaître la position, le niveau
de carburant, la vitesse... ceci sans avoir à se connecter au système
de chaque marque. Une sorte d'Isobus nouvelle génération.
Voir
agri-mutuel.com
La ruche connectée : l’abeille sous surveillance numérique (dans
la Revue Sciences Eaux et Territoires)
L'évolution rapide et la grande diversification des technologies
numériques, la miniaturisation des capteurs et des transpondeurs,
et l’augmentation croissante de la performance des composants électroniques
provoquent des changements importants dans notre manière d’observer
les abeilles domestiques, et d’agir sur elles. Comme dans de nombreux
autres domaines agricoles, l’avènement de nouvelles technologies
a permis de multiplier le nombre de mesures sur le comportement
des abeilles et l’état de développement de leurs colonies. Les ruches
connectées remplacent les sens de l’observateur, mais également
en partie ses capacités d’analyse en constituant des données brutes
et en les restituant en un message adéquat (par exemple, le gain
de poids d’une ruche entre deux dates). Les défis à l’heure actuelle
sont de fiabiliser la prise de ces mesures et de leur donner un
sens afin de pouvoir à terme interpréter l’état de la colonie, et
agir en conséquence.
Voir
cairn.info
L’Ifip teste un système de détection et de suivi automatique
de la toux en élevage de porcs
L’Ifip a testé sur la station expérimentale de Romillé un dispositif
d’enregistrement capable de détecter la présence de toux en élevage
puis de suivre l’évolution de cette pathologie respiratoire.
Voir
reussir.fr
Numagri veut créer un langage commun
Le projet Numagri, porté par la filière agricole, veut standardiser
les données pour créer de nouveaux usages, et ainsi revaloriser
les productions auprès des consommateurs en leur apportant une information
fiable.
Voir
agrodistribution.fr
Structuration des filières : Numagri, lauréat de l'appel à manifestation
d'intérêt lancé par le ministère de l'agriculture
Mené par un consortium regroupant les acteurs clés du secteur agricole,
le projet NUMAGRI a pour ambition de créer de la valeur sur les
pratiques et les produits agricoles français en facilitant l’échange
des données de l’exploitation agricole jusqu’au consommateur.
Voir
chambres-agriculture.fr
Pilotez votre ferme pour prospérer dans un environnement économique
volatil
Découvrez si notre logiciel PiloterSaFerme peut vous aider, accédez
gratuitement à votre démonstration personnalisée.
Voir pilotersaferme.com
France 3 Auvergne – PiloterSaFerme.com la Startup 100% Made in
Auvergne
Voir pilotersaferme.com
L’expertise Continental au service du Smart Farming ?
Continental dévoilera à Agritechnica l'étendue de ses travaux dont
l'objectif principal est de faire bénéficier l'agriculture de l'expertise
acquise dans d'autres domaines, telle l'automobile. Capteurs connectés,
robots, réalité augmentée... autant de solutions qui pourraient
faire progresser l'agriculture et améliorer le quotidien des fermiers.
Voir
agri-mutuel.com
Le projet numérique des Instituts membres de l'ACTA
Accélérer la transformation numérique du secteur agroalimentaire
européen
Voir
acta.asso.fr
Voir
acta.asso.fr
Annuaire des compétences des Instituts techniques agricoles
Voir
annuairedescompetences.acta.asso.fr
Vitibot lance deux niuveaux robots enjambeurs Bakus
Le constructeur champenois va dévoiler au Simei et au Sitevi deux
nouveaux robots enjambeurs Bakus. Il vise désormais les vignes hautes.
Voir
vitisphere.com
Belle vidéo
Vitibot
Le
Grand livre de notre alimentation, le guide complet
de notre alimentation en 100 chapitres, par 25 experts
de lAcadémie dagriculture
Publié
aux éditions Odile Jacob, ce guide complet de
"notre alimentation", aborde les thématiques
suivantes:
-
Bien manger : que manger et comment ?
- Les aliments par le menu
- Nos aliments sont-ils sûrs ?
- L'équilibre nutritionnel de chacun
- L'aliment, en pratique
Nos experts donnent dans cet ouvrage "leurs avis
informés et leurs meilleurs recommandations ;
au-delà des querelles, controverses et débats
passionnés autour de la qualité de nos
aliments".
Voir
Edition Odile Jacob
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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre correspondant de l'Académie d'Agriculture
; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture
2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European
Federation for Information and Communication Technology
in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015)
; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut
de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole
(Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Tribune proposée par Hervé Pillaud (Conseil national du numérique)
: Pour sauver notre Agriculture, engageons une transformation
numérique ambitieuse, une tribune diffusée par l’agence Actuagri
La transformation numérique de l’agriculture : un péril si elle
est privatisée, mais une opportunité si nous en faisons un bien
commun !
Le dérèglement climatique met en péril notre agriculture. Ce qui
nous attend est une aggravation des dommages sur la végétation
et la perte de la biodiversité, des incendies plus nombreux et
plus graves, une accélération de la dégradation des terres, une
exacerbation de l'érosion des sols et des pénuries d'eau. La transformation
de l'agriculture est donc, avant tout, un impératif environnemental.
Ainsi, le GIEC préconise vivement des systèmes de production alimentaire
agroécologiques, des régimes alimentaires équilibrés sur le plan
nutritionnel, l'absence de surconsommation et la réduction des
déchets.
Mais la transformation de l’agriculture est également une question
de développement économique. Désormais, le consommateur est plus
averti et veut savoir en détail ce qu’il trouve dans son assiette.
Il veut également connaître les producteurs de sa nourriture,
les voir récompensés de leurs efforts et motivés à produire mieux
pour lui et sa planète. Les nouveaux modèles économiques à construire
doivent tenir compte de ces paramètres.
Le dérèglement climatique et les nouveaux modèles économiques
ne sont pas les seules menaces qui pèsent sur notre système agricole.
Nous devons aussi faire face à la privatisation de la transformation
numérique du système agricole qui peut conduire à une perte d’autonomie
des agriculteurs induite par l’intégration de toute la chaîne
des données agricoles par les grands groupes.
Ces informations sont largement passées inaperçues : les géants
du numérique, principalement chinois et américains, s’associent
avec les grands groupes agricoles traditionnels ou soutiennent
des startups pour l'agriculture aux offres commerciales agressives.
Par exemple, l’entreprise Alibaba s’est associée à l’agrochimiste
Bayer afin de développer un système de traçabilité basé sur la
blockchain pour les produits agricoles. Les conséquences de la
pénétration du marché agricole par ces mastodontes numériques
pourraient s'avérer graves pour notre souveraineté alimentaire.
Entre captations des données par les grands groupes, maîtrise
de la chaîne de valeur de bout en bout et enfermement dans des
écosystèmes numériques captifs, les agriculteurs se retrouveront
en bout de chaîne, transformés en travailleurs au service des
géants numériques. Les luttes des travailleurs des plateformes
ne deviendront-elles pas, demain, le lot commun des agriculteurs
?
Des structurations alternatives, européennes ou régionales, aux
géants du numérique sont pourtant possibles et certaines existent
déjà. Il est encore temps de créer la voie d’un numérique au service
de l'agriculture et des agriculteurs. Cela fait bien longtemps
que les métiers agricoles sont transformés par le numérique. Le
numérique leur permet par exemple de surveiller leur production
et d’optimiser leur rendement : ainsi des capteurs et des applications
permettent de suivre en temps-réel ce qu’il se passe dans les
champs et les étables. Mais, outre l'agriculture connectée, le
numérique doit faire renaître une agriculture collaborative. D’ores
et déjà, il outille la résurgence des circuits courts ou de nouvelles
formes d’alimentation.
L’agriculture est un bien d’intérêt général qui doit être géré
en commun, en respectant les intérêts de chacun, agriculteurs
comme consommateurs. Le numérique peut également être considéré
comme un « commun » d’une société post-moderne. Partant, la transformation
numérique de l’agriculture devrait donc être un bien commun.
La transformation numérique de l’agriculture ne pourra se faire
qu’à trois conditions : une mobilisation collective de la filière
agricole, l’émergence d’une filière agro-numérique et un accompagnement
financier de la part de la puissance publique. Cette approche
permettra de mettre en capacité d’agir les agriculteurs et les
citoyens pour une alimentation choisie et non subie notamment
en ouvrant les données environnementales et donc les données agricoles
produites dans nos territoires.
En premier lieu, le modèle français de l’agriculture doit se réinventer
de façon collective. Aujourd'hui, les organisations professionnelles
agricoles (chambres d’agriculture, coopératives, instituts techniques...)
abordent le numérique de manière dispersée alors que seule une
approche commune pourrait leur donner véritablement les moyens
d’agir. La capacité à peser sur le changement du modèle agricole
passera par le soutien commun à l’innovation et donc au numérique.
En deuxième lieu, une filière européenne agro-numérique doit être
développée. Pour ce faire, il faut créer des hubs pour faciliter
le partage et l’exploitation des données agricoles qui sont des
données d’intérêt général. Actuellement, ces données sont extrêmement
diffuses, stockées sur une multitude de bases plus ou moins sécurisées,
le plus souvent non maîtrisées par les agriculteurs. De manière
générale, l’agrégation et le traitement des données environnementales
sont indispensables, d’une part, pour développer une agriculture
respectueuse de l’environnement et, d’autre part, pour faire émerger
des politiques publiques à la hauteur des ambitions et des enjeux
de la transition écologique. Nous devons également développer
une intelligence artificielle européenne au service d’une agriculture
durable.
En troisième lieu, l’émergence de cette filière agro-numérique
nécessite des fonds d’amorçage, notamment pour accélérer la mise
en place de hubs de données. L’Europe, l’État, les collectivités
doivent se mobiliser pour soutenir financièrement cette transition.
Pour exister et participer à la gouvernance de ces mutations,
les organisations professionnelles doivent investir ensemble,
pour le bien commun et pour les agriculteurs. Cette ambition collective
pour une transformation numérique de l'agriculture, au service
de l’intérêt général, doit trouver un nouveau souffle si nous
souhaitons que les agriculteurs puissent continuer à choisir leur
propre destin… mais aussi et surtout être les acteurs du monde
agricole de demain. C’est un enjeu politique.
La féminisation des métiers de la tech en panne, voire en recul,
selon une étude
La féminisation des métiers de la tech ne progresse pas voire
recule, selon les indicateurs rassemblés par une étude du cabinet
Global Contact remise mercredi au secrétaire d'Etat chargé du
numérique, Cédric O.
Voir
linformaticien.com
58% des moyennes et grandes entreprises déploient une digital
workplace
Associant réseau social d'entreprise, messagerie collaborative,
gestion de projet, la plateforme reine du collaboratif se démocratise
dans l'Hexagone.
Voir
journaldunet.com
Achats en ligne : comment vérifier la fiabilité d'un site ?
A l’approche du Black Friday et des fêtes de fin d’année, les
sites de e-commerce s’attendent à battre de nouveaux records de
vente.
Alors même si acheter sur Internet devient aujourd'hui un geste
de plus en plus banal, de nombreuses personnes ressentent une
certaine appréhension au moment de saisir leur numéro de carte
bancaire sur un site Web.
Dans cette vidéo, nous allons voir quelques conseils pour vérifier
la fiabilité d’un site et éviter ainsi toute mauvaise surprise.
Voir cybersecu.fr
« Les usages de l’IA » et beaucoup plus encore... Un ebook
gratuit de Olivier Ezratty
Voir
linformaticien.com
Au Royaume-Uni, l'avancée plus si discrète de la reconnaissance
faciale (AFP)
L'expérience était menée en toute discrétion. Entre 2016 et 2018,
deux caméras de surveillance installées dans le quartier londonien
de King's Cross analysaient les visages des passants sans les
prévenir par reconnaissance faciale, pouvant les identifier et
ainsi suivre leurs mouvements.
Voir
linformaticien.com
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo
CHAMPIGNON (Le) : Le plus vénéneux, on les trouve dans les voitures,
sur la pédale de droite.
COLUCHE
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Les députés retirent à Total sa victoire controversée pour la
raffinerie de La Mède
Ou
comment tuer l’usine de La Mède
Mar remarque (GW) : Je ne vois pas en quoi l'huile de palme ferait
concurrence au diester ni à l'éthanol, et donc aux productions françaises...
Si j'ai bien compris, nous ne produisons pas en quantité suffisante
du colza pour nourrir la raffinerie de la Mède. Et notre production
d'éthanol n'est pas au niveau des débouchés possibles.
Cependant, je vois très bien le peu d'intérêt que suscite la nécessité
pour l'usine de la Mède d'être rentable.
C'est devenu un phénomène global : tout ce qui concerne la productivité
de nos industries ou de notre agriculture est totalement oublié.
Et des moyens de production comme le glyphosate, ou les OGM sont
condamnés par exemple sont condamnés par des gens qui ignorent du
monde de la production, qu’elle soit industrielle ou agricole.
Un dernier point : la Malaisie,
qui avait envisagé d'acheter des Airbus, n'en achètera plus,
pendant que l'usine de la Mède ne se sera probablement jamais rentable
et devra donc fermer.
Non, l’huile de palme n’est pas responsable de 40 % de la déforestation,
par :
- Victor Baron, Chercheur en agronomie, Cirad
- Alain Rival, Directeur régional pour l’Asie du Sud-Est insulaire,
correspondant de la filière palmier à huile, Cirad
- Raphael Marichal, Chercheur en agro-écologie, Cirad
La filière de l’huile de palme symbolise les tiraillements qui existent
entre la volonté de conserver des espaces naturels et celle de soutenir
le développement économique au Sud.
.../...
Voir
theconversation.com
Good old days (??????): La moisson du ru Chailly - 1891 par Léon
Augustin Lhermitte
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Rappel : Volet agricole du grand plan d’investissement… Les lauréats
de l’appel à manifestation d’intérêt « Structuration des filières
agricoles et agroalimentaires »
Voir
agriculture.gouv.fr
Système de grandes cultures bio : zoom sur les performances économiques
et environnementales
Les résultats du système bio grandes cultures autonome de Boigneville
mettent en évidence que cette ferme est performante économiquement
avec des cultures plus rentables que d’autres. Le système reste
cependant dépendant des prix élevés et des aides PAC.
NB: Aides PAC du dispositif : 294 €/ha ; Aide régionale Ile-de-France
au maintien 160 €/ha, elles font la différence.
Voir
arvalis-infos.fr
Supprimer le glyphosate aura un coût élevé, estime un rapport
parlementaire
Voir
challenges.fr
Un nouvel antibiotique découvert dans la forêt tropicale mexicaine
Une équipe internationale de scientifiques a découvert une nouvelle
molécule antibiotique produite par une bactérie de la famille des
Rhizobium, et qui se trouve présente dans des haricots sauvages,
poussant au sein de la forêt tropicale au Mexique. Une découverte
qui pourrait s'avérer fort utile pour l'agriculture.
Nous espérons montrer que la bactérie peut être utilisée comme "probiotique
végétal", car la phazolicine empêchera d'autres bactéries potentiellement
dangereuses de se multiplier dans le système racinaire des plantes
d'importance agricole », a déclaré Konstantin Severinov chercheur
principal à l'Institut Waksman de microbiologie et professeur en
biologie moléculaire et biochimie à la Faculté des arts et des sciences
de l'Université Rutgers (Nouveau-Brunswick, Canada). À l'avenir,
cet antibiotique pourrait être utilisé pour protéger les plantations
d'autres graines telles que les pois, pois chiches, lentilles, arachides,
soja et autres légumineuses.
Voir
futura-sciences.com
Manger bio est-il dangereux pour la planète ? Par Vincent Bordenave
L'agriculture biologique pourrait avoir des effets très néfastes
sur le climat, en contribuant à une augmentation du CO2 dans l'atmosphère.
Voir
lefigaro.fr
New scientific research offers hope for overcoming olive tree
killer
See
euractiv.com
Protection biologique des plantes et des cultures par phéromones
M2i leader européen de la protection biologique des plantes et des
cultures par phéromones a mis au point une vingtaine de solutions
innovantes de lutte contre les ravageurs en arboriculture, viticulture
et maraichage.
Fondé en 2012, M2i est un groupe industriel français, expert dans
la conception, la formulation et la production de molécules complexes.
Grâce à son laboratoire de recherche à Lacq (64), combiné à son
usine de production basée à Salin de Giraud (13) et son centre de
fabrication de Parnac (Lot). M2i emploie 160 collaborateurs, dont
plus du quart en R&D, et détient 16 familles de brevets protégeant
sa technologie et ses gammes de produits innovants.
M2i a développé une expertise propre dans les phéromones pour la
protection biologique des cultures. Les phéromones sont ces substances
naturellement sécrétées par les insectes qui leur permettent d’interagir
avec leurs congénères pour se regrouper, s’accoupler ou fuir. En
les reproduisant par bio-mimétisme en laboratoire, puis en concevant
des diffuseurs et des modes d’application innovants, M2i parvient
à élaborer des solutions qui permettent de lutter contre ces ravageurs.
Grâce aux nouvelles solutions développées par M2i, le bio contrôle
par phéromones constitue une solution efficace et économique qui
contribue à la transition écologique en étant sélective, non toxique
et sans développement de résistance.
Nous disposons d’un catalogue permettant de traiter plus de 60 espèces
d’insectes ravageurs et proposons des produits très innovants et
aux performances bien supérieures aux produits traditionnels (diffusion
plus homogène dans le temps et jusqu’à 4 mois), notamment grâce
à notre technologie déposée de micro encapsulation naturelle et
biodégradable. La formulation sous forme de gel est une émulsion
de cire et d’eau, la phéromone étant emprisonnée dans des capsules
de cires à l’intérieur de cette émulsion (de l’ordre du nanomètre).
Les capsules les plus petites permettent un relargage rapide de
la phéromone, et les capsules les plus épaisses libèrent la phéromone
au bout de plusieurs semaines. Cette technologie permet également
un stockage à température ambiante durant 2 ans et demi, tandis
que les produits traditionnels doivent être stockés au congélateur
ou au réfrigérateur.
À ce titre, M2i a reçu en 2015 le Prix Entreprises & Environnement
du Ministère de l’Écologie et du Développement Durable, dans la
catégorie Innovation et en 2017 l’European Business Award for Environment
décerné par la Commission Européenne. Ces produits ont d’ailleurs
déjà gagné la confiance de grands acteurs du marché de l’agro et
sont d’ores et déjà commercialisés dans près de 25 pays.
Voir M2i
Le blé français, le plus compétitif sur le marché mondial
Face aux poids lourds que sont la Russie ou l’Ukraine, la France
arrive pour l’instant à tirer son épingle du jeu pour exporter son
blé, confirmant sa forte compétitivité sur le marché international.
Voir
pleinchamp.com
Du côté de Jojo
CHAMPIGNONS (Les) : Comment reconnaît-on les champignons mortels
? À l'autopsie !
Doctorat en Pharmacie
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté d'un de mes amis qui a écrit un livre
sur son voisin et ami |
Le Baron de la Bouctière, ouvrier et paysan, une vie de travail,
d’évolutions, d’amitiés, de famille, par Jean-François Proust
Robert Baron est né en 1927 à Prailles dans les Deux-Sèvres. Son père
a été ouvrier agricole, puis agriculteur. Lui-même a été tour à tour
aide familial, ouvrier agricole, puis agriculteur.
Robert a connu les vicissitudes de la Seconde Guerre mondiale et ses
parents la Grande Guerre. Robert a pratiqué l’agriculture à l’ancienne.
Il a connu ensuite tous les bouleversements techniques, économiques
et sociaux du monde agricole et rural jusqu’à la fin des années 1980,
avec cette coloration particulière du plateau mellois que sont l’entraide,
l’importance des coopératives, la religion protestante qui laisse
une grande place à la laïcité, les Sociétés d’Education Populaire,
la terre rouge à châtaigniers qui colle d’amitié et tout ce qui va
avec.
Cette biographie, la plus factuelle possible est sans nostalgie :
Le travail était fatigant, l’école plus courte, les loisirs rares,
les maladies plus souvent incurables, les guerres plus présentes…
Mais aussi sans misérabilisme : il y avait des savoirs, des rencontres,
de l’entraide, des plaisirs, des veillées, des bals, des mariages,
des naissances. Cette biographie parlera aux habitants du sud des
Deux-Sèvres et du Poitou et, plus largement, à tout public intéressé
par les bouleversements de la société rurale dans la seconde moitié
du XXe siècle.
Jean-François Proust est né en 1953 à La Couarde. Ses parents, d’origine
urbaine et extérieurs à la région, ont effectué un « retour à la terre
» en 1952, bien avant que ce ne soit de mode. Enfant et adolescent,
il a participé aux travaux de la ferme en y côtoyant Robert quasi-quotidiennement.
Après son diplôme d’ingénieur agronome, il a repris la ferme de ses
parents pendant dix ans. Robert avait alors sa propre ferme, pas si
petite et ils se sont entraidés.
Bon
de souscription (20 €)
Contact : JF PROUST
Mél : jf.proust(a)orange.fr
Du côté de Jojo
CHAMPIGNONS (Les) : De tous, celui des voitures est le plus mortel.
Jean RIGAUX.
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Nos voisins les agriculteurs, Eure-et-Loir
18 novembre et 5 décembre
Des incompréhensions entre riverains et agriculteurs sont récemment
apparues dans les territoires ruraux, opposant perceptions et réalités
des pratiques agricoles, notamment concernant l’utilisation de produits
phytosanitaires aux abords des habitations.
Afin de recréer du lien et d’engager le dialogue autour de ce sujet,
les acteurs du territoire (représentants de l’État, élus locaux, association
de protection de la nature, organismes agricoles), dans le cadre des
engagements pris dans la « Charte de bon voisinage » signée en Eure-et-Loir
le 8 juillet dernier, ont décidé de s’unir et d’organiser plusieurs
rencontres qui auront lieu dès cet automne dans le département.
Voir
centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr
European Agri-food Innovation Stakeholders United
28 November - PARIS
The EIT Food Venture Summit is the yearly Business Creation networking
event, gathering the main stakeholders and actors from across the
European agri-food innovation community for matchmaking, and celebrating
the EIT Food Business Creation activities.
This invitation-only event will be held on Wednesday 28 November at
the state-of-the-art venue Station F in Paris, a 34,000m² start-up
campus that gathers a whole entrepreneurial ecosystem under one roof.
At the event you will have the opportunity to meet our first cohort
of agri-food start-ups - current & new RisingFoodStars - and finalists
of the EIT Food Accelerator Network (EIT FAN) and RIS innovation grants.
You will also be able to learn about the entrepreneurial ideas of
the Global Food Venture Programme (GFVP).
We promise an inspiring and interactive event for the agri-food industry
from all over Europe with the major corporates, start-ups & scale-ups,
investors and experts.
See eiseverywhere.com
SITEVI 2019
26 - 28 novembre - MONTPELLIER
Salon International des équipements et savoir-faire pour les productions
vigne-vin, olive, fruits-légumes.
Voir sitevi.com
L'innovation
au Sitevi
Empêchons l'érosion des sols, protégeons notre avenir (Journée
mondiale des sols)
5 décembre 2019
La Journée mondiale des sols 2019 (#WorldSoilDay) et sa campagne "Empêchons
l'érosion des sols, protégeons notre avenir" ont pour objectif
de sensibiliser la population sur l'importance du maintien d'écosystèmes
sains pour le bien-être humain en abordant les défis croissants liés
à la gestion des sols et, accroître la visibilité du thème des sols
en encourageant les gouvernements, les organisations, les communautés
et les individus du monde entier à s'engager activement pour améliorer
la santé des sols.
Voir fao.orgv
Du côté de Jojo
CHAMPIGNONS (Les) : Ils poussent dans les endroits humides ; c'est
pourquoi ils ont la forme d'un parapluie.
Alphonse ALLAIS
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté des gazettes et des blogs agricoles |
Du côté de vitisphere.com : De sec à sobre ? Par Marion Sepeau
Ivaldi
Il faut s’en doute y voir du « en même temps ». Alors qu’Emmanuel
Macron s’est dit opposé à la mise en œuvre d’un « Janvier Sec » en 2020, projet de l’agence Santé publique, Laurence Cottet, affirme
sur notre site avoir reçu le soutien de la présidence de la République
pour son évènement « Janvier Sobre ».
Lancée en 2019, cette initiative vise à adapter l’anglo-saxon « mois
sans alcool » (ou "Janvier Sec") à la culture et l’économie
françaises en alertant sur les dangers de l’alcool quand on en abuse.
En clair, il faut boire avec parcimonie : « deux verres maximum par
jour et pas tous les jours » explique Laurence Cottet. Or, la filière
peut-elle politiquement s’élever contre une telle initiative ?
Pas vraiment. Le message prône la modération tout en mentionnant des
repères de consommation beaucoup plus stricts que ceux soutenus par
certains. Même prendre la plume pour rappeler un environnement politico-économique
incertain et défavorable apparaitra comme un argument bien maigre
devant un projet qui avance sa mesure. Reste que la sobriété sera
mise sur le devant de la scène durant un mois. Résultat d’une mécanique
de communication bien rôdée : lancer une idée inacceptable, obtenir
des réactions crispées, revenir avec la même idée atténuée… et l’imposer
!
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Marché chinois par Adèle Magnard
Porcs, bœufs, vins, fromages… Pour de nombreux produits français et
européens, le marché chinois apparaît comme un débouché de plus en
plus prometteur, d’autant que les produits tricolores y sont synonymes
de luxe et de qualité.
La filière viande bovine lorgne vers cet immense marché de consommation,
tandis que la filière porcine a bénéficié de la grave crise sanitaire
que connaît la Chine : 40% du cheptel de porcs y a été décimé par
la peste porcine, entraînant une opportunité de taille pour les pays
exportateurs et une hausse des cours sur le marché européen.
Lors de la visite d’Emmanuel Macron en Chine début novembre, un accord
de reconnaissance des appellations géographiques européennes a été
signé, permettant le développement des exportations de ces produits
de qualité. Une reconnaissance qui pourrait être salutaire notamment
pour les exportateurs de vin français, pénalisés par les récentes
sanctions américaines. La guerre commerciale faisant également rage
entre les Etats-Unis et la Chine, c’est vers le marché européen que
pourraient désormais se tourner les acheteurs chinois.
Voir
pleinchamp.com
Du côté d’André Heitz
> Quel
est le plus grand ennemi des agriculteurs ?
> Paris
Match se penche sur l'agribashing avec « Agricultrices, les mal-aimées
»
> Agribashing
électoraliste dans les sphères gouvernementales et législatives
> Arrêté
« pesticides » de Fouronnes (Yonne) : une « réponse » imbécile
> «
La Chambre d’agriculture de Saône-et-Loire dit stop au lynchage médiatique
et par des extrémistes ! »
> Bisphénol
et diabète : vraiment ?
Rapport
: L'accélération de la croissance de la productivité agricole mondiale
est essentielle
> «
Arrêtez de mettre des ruches partout ! » (en fait en ville) sur France
Inter
> La
guerre contre le glyphosate menace l'agriculture australienne et les
enjeux sont gros
> «
Faut-il manger bio pour être en bonne santé ? » sur Quoi dans mon
assiette
> Programme
National Nutrition Santé (PNNS) et bio : on nous prend pour des buses
> Fongicides
SDHI : voilà l'étude, mais elle nous laisse sur notre faim
> Un
prêtre catholique exhorte les chefs religieux à plaider pour la science
Du côté de Cultivar
> Les cours
du blé européens soutenus par la dynamique à l'export
> Canada: l'hiver
précoce complique les récoltes
> L'avantage
fiscal supprimé sur l'huile de palme
> Être salarié avant de s'installer
Maxime Lebreton est installé dans le département de l’Eure, à Mesnil-en-Ouche
sur une exploitation de 107 ha en polyculture (blé, escourgeon, colza
et lin fibre). Après avoir passé un bac pro, il...
> Les nouveautés Agritechnica
Vous n'avez pas pu vous rendre à Agritechnica ? Pas de problème, nos
confrères de GTP vous proposent un concentré des dernières nouveautés
! Au rayon des semoirs, Monosem a présenté un semoir
> Sortie du glyphosate : un
rapport parlementaire avertit sur les impasses techniques
Une mission d’information de parlementaires sur le suivi de la stratégie
de sortie du glyphosate indique "qu’on ne peut pas attendre l’échéance
du 1er janvier 2021 pour que les exploitants français sachent s’ils
sont soumis à un arrêt immédiat de leur usage du glyphosate ou s’ils
peuvent bénéficier d’un délai.
> Maintenir une diversité d’adventices
pour minimiser les pertes de rendements
Voilà une étude de nature à susciter notre curiosité : une équipe
italienne de recherche associée à l’Inra a mis en évidence qu’une
forte diversité de mauvaises herbes minimise les pertes de rendements
au champ.
> Vidéo:
les travaux d'automne chez Jean-Loup Chatard
On retrouve Jean-Loup de l'earl de Lunelle pour les travaux d'automne.
Au menu de cet épisode, le curage des poulaillers et l'épandage du
fumier qui profittera aux futures cultures du printemps.
Du côté de l'Institut de l'élevage
Voir
idele.fr
Association
nationale des éditeurs de logiciels agricoles
|
|
Du côté du ministère de l’Agriculture
> Signalement
de cas de listériose : retrait et rappel de langue de porc en gelée
> Précisions
sur les propos du ministre concernant la consommation d’alcool
> Didier
Guillaume était de nouveau en Chine pour mettre en œuvre les avancées
obtenues pour nos filières
> Les
agriculteurs touchés par l’incendie commencent à être indemnisés par
l’entreprise Lubrizol
Du côté de la Fnsea
> Chiffres
2017 de l’INSEE : agissons pour un meilleur revenu des agriculteurs
!
Une récente étude démontre que les agriculteurs continuent à avoir
un revenu bien plus faible que les autres professions. Une nouvelle
démonstration de l’urgence à agir pour assurer un meilleur retour
de la valeur ajoutée aux agriculteurs !
L’étude de l’INSEE qui vient d’être rendue publique confirme le fossé
qui existe entre les agriculteurs et les autres entrepreneurs. Le
revenu d’activité moyen pour les premiers est de 1390 euros, contre
3580 euros pour les autres en 2017. Elle souligne également que 20%
des agriculteurs n’ont pas tiré de revenu de leur activité voire sont
en déficit. Le seul point commun avec les autres secteurs d’activité
est probablement la très forte disparité de revenu, très marquée parmi
les non-salariés.
L’activité de chef d’exploitation est pourtant une activité essentielle
pour l’alimentation et stratégique pour les territoires. Les agriculteurs
doivent faire preuve de compétences de plus en plus pointues et variées.
Ils doivent prendre des risques de plus en plus grands, investir,
innover, en particulier pour répondre aux nombreuses attentes sociétales.
De plus, l’année 2017 n’était pas une année particulièrement marquée
par des accidents climatiques (sauf le gel en viticulture) et confirme
la stagnation des résultats des exploitations agricoles établi par
le ministère de l’Agriculture depuis 1989[1].
A l’ouverture des négociations commerciales, ce diagnostic confirme
donc l’absolue nécessité d’appliquer la loi EGAlim pour de meilleurs
prix payés aux producteurs. Si les producteurs doivent continuer à
s’organiser pour mieux structurer les filières, cela montre qu’il
est urgent que les industriels et distributeurs jouent le jeu de la
loi.
Cela démontre enfin que les fondements de la PAC restent valables,
en particulier ses objectifs économiques et la revalorisation du revenu
des agriculteurs, nécessitant un budget à la hauteur.
L’enjeu démographique agricole, avec la moitié des paysans qui partira
à la retraite d’ici 10 ans, est tel qu’on ne peut envisager de renouveler
les générations sans assurer l’attractivité du métier.
> Mobilisation
du 27 novembre : A quand des effets concrets dans les exploitations
?
Dans la continuité des deux actions syndicales des 8 et 22 octobre,
la FNSEA et Jeunes Agriculteurs se mobilisent à nouveau le 27 novembre.
Si notre détermination a permis de faire bouger quelques lignes, nous
déplorons toujours l'absence de mesures concrètes et tangibles en
faveur des exploitations agricoles: presque 20% des agriculteurs ne
parviennent pas à vivre de leur métier.
Première prise de parole du Président de la République à Mayotte pour
apporter son soutien aux agriculteurs, durcissement du ton face aux
dénigrements et violence avec la mise en place de la cellule Déméter,
maintien du budget des Chambres d'agriculture: les signaux d'une prise
de conscience du malaise agricole se sont multipliés ces dernières
semaines.
Ils ne sauraient cependant nous satisfaire. S'il y a un frémissement,
ces avancées ne trouvent pas de matérialisation concrète dans les
exploitations. Or, il s'agit-là d'un enjeu décisif pour les agriculteurs.
Nous sommes toujours pris en étau entre une réglementation qui ne
permet pas la compétitivité et une répartition de valeur qui ne garantit
pas une juste rémunération. Cette situation n'est plus tenable. A
défaut d'avoir plus de prix, du fait que les acteurs économiques ne
jouent pas suffisamment le jeu des Etats Généraux de l'alimentation,
des charges nouvelles s'abattent sur les exploitations.
Au lieu d'investir son énergie à créer de nouvelles distorsions (accords
commerciaux internationaux, zone de non-traitement, taxes nouvelles),
l'Etat devrait s'employer à faire respecter la loi EGalim pour sécuriser
véritablement le revenu des agriculteurs
C'est pourquoi, le 27 novembre, nos réseaux se mobiliseront pour demander
aux distributeurs et industriels de permettre le retour à un revenu
décent pour les agriculteurs, et à l'Etat de transformer ses promesses
en actes concrets: pas de distorsions supplémentaires.
Tous doivent être à la hauteur de leurs engagements. Les formes d'actions
varieront en fonction des territoires et des productions. Toutes les
informations seront communiquées prochainement.
Du côté de Jojo
CHAMPIGNONS (Les) : Tous sont comestibles, mais certains une fois
seulement.
Jean-François Derec*.
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Opinions
et curiosités du web
|
Le pêcheur (déjà racontée il y a longtemps)
Un jour, un pêcheur se reposait tranquillement sur une plage magnifique
avec sa canne à pêche plantée dans le sable et sa ligne solitaire
tendue dans une eau bleue magnifique. Il se prélassait dans la chaleur
de l’après-midi et attendait d’attraper un poisson.
À ce moment-là, un homme d’affaires vint sur la plage, essayant de
décompresser de sa journée de travail stressante. Il remarqua alors
le pêcheur assis sur la plage et décida de trouver pourquoi ce dernier
pêchait au lieu d’aller travailler pour lui et sa famille.
« Vous n’allez pas attraper beaucoup de poissons de cette manière
» dit l’homme d’affaires au pêcheur « vous devriez travailler au lieu
de vous reposer sur la plage ».
Le pêcheur regarda l’homme d’affaires, sourit et lui répondit : «
Et qu’est-ce que j’y gagnerai ? »
« Et bien, vous pouvez utiliser de plus grands filets et attrapez
plus de poissons! » répliqua l’homme d’affaires.
« Et qu’est-ce que j’y gagnerai ? » répondit le pêcheur, toujours
souriant.
L’homme d’affaires répondit: « Vous feriez beaucoup d’argent et vous
seriez en mesure d’acheter un bateau qui résulterait par de plus grosses
prises de poissons ».
« Et qu’est-ce que j’y gagnerai ? » répondit le pêcheur à nouveau.
L’homme d’affaires commença à être de plus en plus irrité par la question
du pêcheur.
« Vous pouvez acheter un bateau encore plus gros, embaucher des gens
qui travaillent pour vous » dit-il.
« Et qu’est-ce que j’y gagnerai ? » répéta le pêcheur.
L’homme d’affaires se mit en colère « Ne comprenez-vous pas? Vous
pouvez agrandir votre flotte de bateaux de pêche, parcourir le monde
entier et laisser vos employés attraper du poisson pour vous! ».
Encore une fois, le pêcheur demanda, « Et qu’est-ce que j’y gagnerai
? »
L’homme d’affaires devint fou de rage et cria sur le pêcheur: « Ne
comprenez-vous pas que vous seriez si riche que vous n’auriez plus
à travailler de votre vie! Vous pourriez alors passer le reste de
votre vie assis sur la plage à regarder le coucher du soleil. Vous
n’aurez plus à vous préoccuper du monde ! ».
Le pêcheur, toujours souriant, le fixa, acquiesça et dit « Et à votre
avis que suis-je en train de faire maintenant ? »
Il regarda alors le coucher du soleil, avec sa ligne dans l’eau, sans
se préoccuper du monde.
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
|
|
Pensée du jour
Le droit des générations futures ne peut se bâtir sur le mépris
des celles qui ont fait de si grands sacrifices.
Pascal PICQ, anthropologue
Voir
sudouest.fr
Pensée du Président Macron remettant les insignes de chevalier
dans l'ordre de la Légion d'honneur à Robert Hue, ancien maire de
Montigny-lès-Cormeilles (Val-d’Oise), ancien secrétaire général du
PCF
A une époque où la haine s’abat et qu’au nom d’idéaux la destruction
se joue dans la rue, trop de voix se taisent et deviennent alors complices,
trop de voix laissent confondre des idéaux avec le nihilisme de la
violence.
Voir
lemonde.fr
A thought for today
Your voice dries up if you don't use it.
Patti PAGE, singer (1927-2013)
A second thought for today
A king can stand people's fighting, but he can't last long if people
start thinking.
Will ROGERS, humorist (1879-1935)
A third thought for today
Brothers don't necessarily have to say anything to each other --
they can sit in a room and be together and just be completely comfortable
with each other.
Leonardo DICAPRIO, actor and director (1974 -)
Du côté de Jojo
CHAMPIGNONS (Les) : Ils ressemblent aux péchés, pour les déguster,
il faut prendre des risques.
Hervé BAZIN
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Ageekculture
: un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information
|
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Pensée du jour sur le travail des paysans d’il n’y a pas si longtemps
(1)
Que voit-on dans ce champ de pierres ? Un paysan souffle, épuisé ;
le hâle a brûlé ses paupières ; Il se dresse, le dos brisé ; Il a
le regard de la bête qui, dételée enfin, s’arrête et flaire, en allongeant
la tête, son vieux bât qu’elle a tant usé.
Sully PRUDHOMME, « Paysan » (1865)
Pensée du jour sur le travail des paysans d’il n’y a pas si longtemps
(2)
Tout cela sentait l’étable, le lait et le fumier, le foin et la sueur,
dégageait cette saveur aigre, affreuse, humaine et bestiale, particulière
aux gens des champs.
MAUPASSANT, « La Ficelle » (1883)
Pensée du jour sur le travail des paysans d’il n’y a pas si longtemps
(3)
Je me refuse à montrer ce travail gai et folâtre auquel certaines
gens voudraient nous faire croire.
Jean-François MILLET
Adhérez
à l'AFIA
Chèque de 30 Euros à
nous envoyer.
Un reçu vous sera adressé.
|
L'AFIA
est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
|
Climat, nucléaire, homéopathie… Pourquoi nous maltraitons la science
, par Sylvestre Huet, lauréat 2019 du Prix de l'information
scientifique à destination du public décerné
par l'Académie
d'agriculture de France.
Des climatosceptiques aux écologistes, Sylvestre Huet déplore le manque
de culture scientifique des politiques, journalistes et citoyens
Voir
lepoint.fr
Jean-Marc Jancovici, polytechnicien, spécialiste de l'énergie et
du changement climatique, co-fondateur du cabinet Carbone 4 avec un
autre X, Grandjean
J'ai croisé cet homme plusieurs fois dans des réunions Développement
Durable. Il a donné en mai 2019 un cours à l'école des Mines, Energie
et Changement climatique. Ce cours est disponible intégralement sur
Youtube, en 8 séances d'à peu près 2h1/2. Ça se mérite mais c'est
passionnant.
Les slides qu'on voit dans ces cours sont téléchargeables gratuitement.
Cette mine,
sans jeu de mots, est facile à trouver.
Les
slides
Signalé par Hugues THORÉ
Mél : hthore(a)gmail.com
Jean-Marc Jancovici : Anticiper l’effondrement énergétique ?
Voir un
grand spécialiste de l’énergie
Du côté de EBBH
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|
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Contre l’écologisme. Pour une croissance au service de l’environnement,
par Bruno Durieux
Si l’écologie est une science rigoureuse, l’écologisme est son contraire.
C’est une idéologie de combat dressée contre l’économie de marché.
Elle émerge au cours des années 1970, dans la mouvance de la gauche
américaine. Les « nouvelles droites » s’y retrouvent également. Les
milieux populaires la rejettent.
Son hégémonie médiatique est écrasante. Pourtant, aucune de ses prophéties
catastrophistes ne s’est concrétisée. Au lieu des désastres annoncés
et ressassés – famines, épuisement des ressources naturelles, disparition
de la biodiversité, pénurie d’eau, etc. – l’humanité enregistre des
progrès spectaculaires (même s’il reste encore beaucoup à faire).
Malgré les cinglants démentis que les faits leur opposent, les écologistes
poursuivent inlassablement leur pastorale de la peur et multiplient
les victoires politiques. Ces trophées sont, en dépit des apparences,
autant de périls pour la planète.
Hyper-malthusianisme contemporain, l’écologisme ne voit d’autre solution
pour «sauver» la planète que d’imposer la «décroissance productive»
et «la frugalité heureuse». Il récuse la croissance économique quand
tout démontre qu’elle est la seule voie de salut. Les immenses réserves
d’intelligence qui permettraient l’épanouissement de dix milliards
d’individus risquent d’être pétrifiées. Est-ce vraiment le retour
à l’Âge d’or qui nous est promis?
Voir
editionsdefallois.com
Si vous allez voir le film "Adults in the Room" du
grand Costas Gravas, garder à l'esprit (par exemple) les pertes
du Crédit Agricole et des souscripteurs de Prefon, qui ont résulté
notamment de la crise elle-même bien sûr et du fait que la dette
privée de la Grèce a été effacée…
Je peux me tromper. Je suis là bien loin de mon domaine de compétence.
Ci-après deux témoignages de ces pertes…
>>> Crédit agricole gagne un milliard après une décision
du Conseil d’État (novembre 2019)
À l'époque, la banque, prise au piège de la crise en Grèce, avait
cédé sa filiale locale Emporiki pour un euro symbolique au groupe
athénien Alpha Bank. À la suite de cette opération, qui marquait
avec d'autres décisions la fin des ambitions internationales de
Crédit Agricole en dehors de sa présence en Italie, la banque avait
inscrit une charge de plus de deux milliards d'euros. Le groupe,
qui avait alors accusé une perte de plus de six milliards en 2012,
souhaitait déduire cette charge du montant de ses résultats déclarés
aux impôts. Mais le fisc avait refusé une telle opération.
Voir
capital.fr
>>> Prefon (septembre 2012), fond des retraités de la Fonction
publique
La Grèce, désormais notée CC, ne représente plus que 0,5% de l’actif
net. (Au 31 décembre 2011) Le montant des moins-values et provisions
absorbées par le régime est de 132 millions d’€. (Source Info n°36
de septembre 2012)
Voir
prefon-retraite.fr
Mais, nous ne sommes pas au bout de nos pertes, puisque la dette
publique de la Grèce sera remboursée, on ne sait pas quand, ou sans
doute jamais ! Ce n’est pas tout à fait normal mais c'est
dans l'ordre des chose : l’UE s’en sortira tout de même sans drame.
Alors raconter que nous (citoyens de l’UE) avons été méchants avec
la Grèce, c’est une rigolade, d’autant plus que l’irresponsabilité
de M. Varoufakis (toujours très content de lui) a eu pour effet
d’augmenter les taux d’intérêt et la dette grecque.
Pour M. Varoufakis, ce qui nous arrive, est toujours la faute des
autres. Aussi la question de savoir si on est adulte ou non, peut
être légitimement posée dans certains cas. Mais on tout cas je me
souviens avoir eu, en Grèce, du mal à payer un repas au resto avec
la carte de crédit ou à obtenir une facture pour un repas ou un
achat, la TVA n’ayant pas que des amis, semble-t-il.
Cannes
Signalé
par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
|
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The End of Neoliberalism and the Rebirth of History, by Joseph
E. STIGLITZ (je ne partage pas vraiment ce point de vue de JE Stiglitz
mais c'est toujours intéressant GW)
For 40 years, elites in rich and poor countries alike promised that
neoliberal policies would lead to faster economic growth, and that
the benefits would trickle down so that everyone, including the
poorest, would be better off. Now that the evidence is in, is it
any wonder that trust in elites and confidence in democracy have
plummeted?
.../...
If the 2008 financial crisis failed to make us realize that unfettered
markets don’t work, the climate crisis certainly should: neoliberalism
will literally bring an end to our civilization. But it is also
clear that demagogues who would have us turn our back on science
and tolerance will only make matters worse.
The only way forward, the only way to save our planet and our civilization,
is a rebirth of history. We must revitalize the Enlightenment and
recommit to honoring its values of freedom, respect for knowledge,
and democracy.
See
project-syndicate.org
Good old days (??????): Prato de Faccioli Raffaele (1845 - 1916)
Catalonia, Spain, and Europe are Better Together, by Pedro SÁNCHEZ
No state would ever allow the unilateral secession of a territory
that forms part of its constitutional order. And no democrat should
support the path taken by Catalonia's separatist leaders, who won
less than 48% of the votes cast in regional elections.
See
project-syndicate.org
Revue
de l'Académie
d'Agriculture de
France
|
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The rain (old jewish joke)
Two men of Chelm went out for a walk, when suddenly it began to rain.
“Quick,” said one. “Open your umbrella.”
“It won’t help,” said his friend. “My umbrella is full of holes.”
“Then why did you bring it?”
“I didn’t think it would rain!”
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d’informatique agricole (Afia)
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