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AFIA


Association
Francophone
d'Informatique en Agriculture


Du côté du web et de l'informatique agricole 08 - 2020
(parution hebdomadaire depuis janvier 1998)

Châtenay-Malabry, 20 février 2020


Cher Monsieur Guy Waksman, permettez-moi cette familiarité,

Tout est dit à travers les mots de Mr Jean-Marie Mutschler-Clor et votre magnifique réponse. Mon parcours professionnel m’a permis de beaucoup voyager et justement par rapport à cette horreur qu’a été l’holocauste, en 1980 je suis allé visiter le mémorial Yad Vashem à Jérusalem. Ce sont tous les enfants du monde qu’il faudrait emmener sur ces lieux horribles qu’à subi votre communauté.

En tant que pur autodidacte, aide familiale en 1970 et bientôt à la retraite cette année, vous m’avez beaucoup bonifié au fil des années avec votre Gazette, grand merciiiii.

Cet énorme travail de synthèse hebdomadaire, d’ouverture sur l’actu agricole mais pas que bien sûr va me manquer si personne ne prend le relais.

Contact : Bernard PASQUIER
Mél : bpasquier(a)soufflet.com


Comment voyait-on le futur autrefois ?

Paleofuture: Visions of the future from the 1950s + 60s

Source


Municipales – Cédric Villani retire sa candidature après la publication d’une vidéo intime dans laquelle il échoue à faire une règle de trois (Gorafi)
Voir legorafi.fr


Chirac, Mitterrand et Grivaux

Nous avons vécu des époques où nous étions moins faussement puritains (ou carrément "faux-cul", si je peux m'exprimer ainsi en la circonstance) que nous ne le sommes aujourd'hui, une époque aussi où les femmes auront eu à supporter des comportements parfaitement inadmissibles, par exemple dans le cas de M. Strauss-Kahn, bien plus condamnable que M. Grivaux, à mon sens du moins.

 


Détourner ou récupérer la science

Faire de la science un objet de dispute morale ou politique est une faute.

Y croire ou ne pas y croire n’a pas de sens.

Pour la plupart la science est difficile à comprendre, complexe, mystérieuse, elle fascine et fait peur, elle est révérée et honnie, surtout à cause des technologies qui en dérivent.

Peu apte à juger de sa qualité ni de ses implications, le public est exposé à des affirmations faites en son nom et qu’il faudrait gober tout rond. Pour la louer ou l’exécrer elle se trouve ainsi instrumentalisée au-delà de son objet primordial, celui d’étendre nos connaissances et notre compréhension de la nature. Elle est souvent mal faite, imprudente, impatiente, toujours incomplète, mais elle peut être merveilleuse et riche en enseignements, c’est une aventure humaine.

Par ignorance ou par intention elle est mal représentée, usée à des fins soi-disant morales ou déniée de toute signification, cela aussi est bien humain. Il n’y a pas lieu de croire ou ne pas croire en la science, il est simplement nécessaire de la comprendre sans se laisser leurrer.
Voir Michel de ROUGEMONT
Contact : Michel de ROUGEMONT
Mél : michel.de.rougemont(a)mr-int.ch


Biodiversité : le Parlement européen vote une résolution en piétinant toute diversité idéologique par Marcel Kuntz et Christian Lévêque

La Commission européenne s'apprête à présenter sa stratégie sur la biodiversité. Le Parlement européen a voté un texte partisan, idéologique et sans objectifs réalistes. Le Parlement européen avait appelé l’Union européenne en janvier à se doter d’objectifs contraignants en matière de biodiversité.
Voir atlantico.fr


Respectitude" – un « billet » intéressant de Sophia Aram (dont je ne suis pas un fan : à France Inter, on rit toujours des autres, jamais de soi-même – GW)
Voir France_Inter


Le vin en biodynamie - Le Moment Meurice (dont je ne suis pas non plus un fan, pour la même raison – GW)

Guillaume Meurice s’est rendu au grand salon Wine Paris pour interroger des vignerons spécialistes de l’agriculture biodynamique.
Voir Guillaume Meurice


Good old days: Glaneuses près des meules par Léon-Augustin Lhermitte (Français, 1844-1925)

 


Et si l’agribashing était une chance pour l’agriculture française ? Par Jean-Marie Séronie

Pourquoi nos concitoyens critiquent-ils de plus en plus une agriculture qu’ils connaissent de moins en moins. Elle est accusée, en vrac et selon les circonstances, de productivisme, d’atteintes à l’environnement, de maltraitance animale ou de mal nourrir les français ?

Pourquoi : tout simplement parce qu’ils s’intéressent de plus en plus à l’agriculture ! Certes ces critiques récurrentes sont difficiles à vivre mais en même temps ce regain d’attention constitue une formidable chance pour l’avenir des agriculteurs !
…/…
Les consommateurs sont de plus impatients, il faut les rassurer sur les changements en action. Le temps médiatique est très court, alors que le temps agricole, le temps de la nature, le temps de la recherche de nouvelles solutions sont plus longs. Il faut résoudre ce décalage. Cela passe beaucoup par la communication. Pour rendre l’agenda acceptable il faut une mise en perspective crédible parce que claire, argumentée, basée sur la science et non la croyance, appuyée par un message cohérent et constant.

C’est par là qu’on dépassera la facilité de l’agribashing et qu’on transformera en force pour l’avenir de l’agriculture l’intérêt grandissant que lui portent les français.
Voir agroeconomie.com


Les plans « Écophyto » échouent, remettons encore un peu plus de réglementations ? Par André Heitz

Les plans Écophyto échouent les uns après les autres. Mais le problème ne réside-t-il pas dans le fait que cette politique est irréaliste et donc vouée à l’échec ?

.../...
Il est temps de réviser les logiciels politiques et médiatiques. Les plans Écophyto ont autant d’effet que le « Mer ! Ne mouille point mes pieds car je suis le roi ! » du roi Knut…

Ignorant les réalités, la Cour des comptes, c’est encore Ubu qui a frappé.
Voir contrepoints.org


OGM : le marteau pilon du Conseil d’État s’abat sur l’innovation, par André Heitz

Le Conseil d’État n’est-il pas allé au-delà des conclusions de la requête de la Confédération paysanne et de huit associations, en dissertant sur le sort des variétés maintenant taxées d’OGM et en le fléchant ?
Voir contrepoints.org (1)
Voir contrepoints.org (2)

Ma remarque (GW) : André Heitz est un expert très connu et reconnu dans le domaine des obtentions végétales, ce que je ne suis certainement pas, et en plus il est un copain de promo à Montpellier. Mais à mon sens, le Conseil d’État, en prenant en compte dans son ensemble le texte et l’esprit de la loi actuelle, ne fait que montrer clairement une évidence : la loi actuelle en vigueur empêche l’innovation, et doit donc être abrogée.


Francis, l'artisan du bois par Pierrick Bourgault (à paraitre le 5 mars 2020)

« C’était un boulot dur. Tu faisais du feu toute la journée pour chauffer à blanc, et il fallait taper, taper ! » Francis Renard a vécu plusieurs vies. Né en 1923 dans une famille de charrons, il apprend à forger le fer et à scier le bois, à fabriquer charrettes, carrioles, tonneaux, outils agricoles, portes et fenêtres, tables et placards... Aujourd’hui, à 96 ans, en buvant son café et en grignotant les gâteaux secs de la collation mayennaise, il nous livre ses secrets de fabrication mais aussi le témoignage d’un monde paysan d’hier et d’aujourd’hui.


Pollution lumineuse : « La réglementation n’est pas suffisamment ambitieuse »

Depuis le 1er janvier, une nouvelle réglementation s'attaque plus en profondeur aux excès d'éclairages la nuit. La présidente de l'Association nationale pour la protection du ciel et de l’environnement nocturnes (ANPCEN) détaille les enjeux autour de ce texte.
Voir liberation.fr

Pourquoi les paysans vont sauver le monde, par Sylvie Brunel (parution le 12 février 2020)

Ils nous nourrissent, et pourtant nous les maltraitons.

Ils ont toutes les solutions pour répondre aux défis du développement durable, changement climatique, biodiversité, transition énergétique…

Ils reverdissent la terre. La troisième révolution agricole a commencé dans les campagnes. Partout naît une agriculture de précision, de plus en plus propre, de plus en plus écologique.

Alors pourquoi opposer les modèles au lieu de les associer ? Pourquoi vouloir revenir à un passé où l’insécurité alimentaire était la norme ?

Les paysans sauvent le monde. Nous devons tout mettre en œuvre pour les sauver.

Sylvie Brunel, géographe, écrivain, ancienne présidente d’Action contre la Faim, est professeur à Sorbonne Université. Elle a acquis une longue expérience des crises alimentaires et nous livre dans cet ouvrage engagé ses convictions pour l’avenir, dans un monde où la nourriture est de plus en plus stratégique.


Voir buchetchastel.fr


Encore des mots, toujours des mots

Simba : C'est qu'il est plus fort que moi.

Informatique et numérique agricole

Statistiques de l’édition de cette gazette de la semaine dernière


Last issue of the Efita Newsletter nb 916 dated February 10, 2020


Statistics about the previous issue of the efita newsletter dated February 3, 2020


Contre le Brexit !

Signalé par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr

L’agriculture de précision et les agroéquipements au top des filières à soutenir

Un rapport remis vendredi aux ministres de l'économie Bruno Le Maire et de la recherche Frédérique Vidal retient dix filières d'innovation à soutenir prioritairement dans le cadre du Pacte productif qui doit être présenté au printemps par Emmanuel Macron. Parmi ces filières prioritaires citées figurent l'agriculture de précision et les agroéquipements, l'alimentation durable, le biocontrôle animal et végétal.
Voir agri-mutuel.com


Tester une solution numérique pour optimiser le travail à la ferme

Des étudiants recherchent des agriculteurs utilisant ou souhaitant mener un essai de quelques semaines en testant une application facilitant l’organisation du travail en équipe. David Stévant, Roland Faucheux, Maxime Mandron et Julien Le Bellego sont étudiants en licence Gestion des organisations agricoles et agroalimentaires à l'université de Pontivy (56).
Voir paysan-breton.fr


Avec Trello, vous pouvez collaborer davantage et accomplir toujours plus de choses

Les tableaux, listes et cartes de Trello vous permettent d'organiser vos projets et de définir leur ordre de priorité de façon amusante, souple et enrichissante.
Voir trello.com


Comparateuragricole.com, le négociant digital, fait partie du club select de la french tech 120

A moins d’un mois du Salon de l’Agriculture 2020, ComparateurAgricole.com, le leader de la collecte de céréales en ligne, vient d’être sélectionné parmi les 120 startups les plus prometteuses et à très forte croissance (avec notamment BlaBlaCar, Doctolib, VentePrivée, Deezer, ...)
Voir wikiagri.fr


Choisir un taureau devient un jeu d’enfant grâce à l’appli illicow

Fini le casse-tête du choix des taureaux. Prim'holstein France lance son application illicow pour simuler les produits d'accouplement. L'outil teste près de 4 000 taureaux sur les femelles du troupeau grâce aux données du cheptel. Il évalue les qualités du produit à naître et la consanguinité pour les générations à venir.
Voir agri-mutuel.com


Imagerie et intelligence artificielle au service de la détection des maladies, où en est-on ? Par Frédéric Hénin

Passer du curatif au préventif par l’analyse des images n’est pas aisé car les infections et les maladies des plantes sont révélés par des symptômes similaires. Ils portent parfois à confusion jusqu’à générer de « faux positifs ».
Voir genie.aladin.farm

Signalé par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr

Parrot SDK : Parrot et RIIS s’associent pour développer un programme d’IA pour la plateforme ANAFI

Parrot, premier groupe européen de drone, annonce son partenariat avec RIIS, fournisseur leader d'applications mobiles, de développement web et de conseil en informatique, pour développer des applications personnalisées d’Intelligence Artificielles pour la célèbre plateforme ANAFI.

Parrot et RIIS se concentrent sur l’utilisation de l’IA et de la technologie de vision par ordinateur, combinée à de la capture de données par drone, pour résoudre d’innombrables défis de l’industrie via une approche efficace et rentable.

Pour aider à démontrer l’efficacité de cette technologie et permettre aux développeurs de pouvoir commencer à créer des applications innovantes, Parrot et RIIS ont publiés un livre blanc technique, qui fournit des instructions étapes par étape pour ajouter l’IA et la vision par ordinateur à ANAFI à l’aide du SDK de Parrot.

« Nous sommes excités à l’idée d’explorer les capacités que l’IA et les drones peuvent offrir à nos clients à travers ce partenariat avec RIIS » explique Jérôme Bouvard, Directeur de la Stratégie de Partenariat, Parrot. “Chez Parrot, nous sommes toujours à la recherche de solutions innovantes pour résoudre les problèmes quotidiens de nos entreprises partenaires”.

Parrot et RIIS étudient activement les différents cas qui pourraient inclure l’utilisation municipal de drones : évaluer les places de stationnements, parcs et éclairage publics ; surveiller les foules ; faire l’état des stocks dans des entrepôts ; inspecter automatiquement les tours de téléphonie mobiles et les panneaux solaires ; faire de la surveillance immobilière pour les professionnels et les promoteurs immobiliers et bien plus encore …

Cette technologie devrait améliorer considérablement les processus, souvent complexes, qui sont requis pour mener à bien des projets professionnels dans différentes industries et secteurs.

« Notre collaboration récente avec Parrot illustre parfaitement l’immense potentiel du développement d’applications pour la plateforme ANAFI de Parrot », explique Godfrey Nolan, CEO et Fondateur de RIIS. « Tirer parti de la puissance des applications d'IA et d'apprentissage automatique avec les drones Parrot promet de fournir des solutions jusque-là impossibles pour relever des défis coûteux et chronophages. »

Le livre blanc de Parrot et RIIS donne un exemple concret de cette technologie dans la pratique grâce à une application appelée Cattle Counter. L'application permet aux agriculteurs et aux professionnels de l'agriculture de quantifier sans effort et avec précision la taille de leurs troupeaux pour automatiser le processus de surveillance et de comptage. Cattle Counter est actuellement disponible en téléchargement sur le site Web de Google Play.

À travers son programme de partenariat SDK, Parrot travaille sur la création d’un écosystème d’applications conçu pour les besoins grandissants des utilisateurs professionnels.

Parrot travaille alors avec de nombreux partenaires, comme RIIS, afin de créer et de mettre sur le marché de Nouvelles applications, des logiciels ou des solutions qui s’intègrent parfaitement aux drones ANAFI et ANAFI Thermal.
Voir parrot.com

Le Grand livre de notre alimentation, le guide complet de notre alimentation en 100 chapitres, par 25 experts de l’Académie d’agriculture

Publié aux éditions Odile Jacob, ce guide complet de "notre alimentation", aborde les thématiques suivantes:

- Bien manger : que manger et comment ?
- Les aliments par le menu
- Nos aliments sont-ils sûrs ?
- L'équilibre nutritionnel de chacun
- L'aliment, en pratique
Nos experts donnent dans cet ouvrage "leurs avis informés et leurs meilleurs recommandations ; au-delà des querelles, controverses et débats passionnés autour de la qualité de nos aliments".
Voir Edition Odile Jacob


Cattle Counter (by Parrot and RIIS) on Google Play (voir paragraphe ci-dessus)

For the flight planner (automatic flight):
1. Turn on drone and controller, and open the app on the phone.
2. Plug controller into phone over USB.
3. Wait for a popup asking for which app to handle the USB device. Choose cattle counter.
4. After a short few seconds, it should show connected.
5. Select "Flight Planner" at the top. It will ask to clear the drone's SD card. Once that's done you can tap on the map to create an area.
6. Press "Start Flight" and the drone should take off and fly the route.
See play.google.com


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Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net

Encore des mots, toujours des mots

Pomme dauphine : Pomme de terre arrivée deuxième à Miss Patate.

Informatiques et réseaux

Enfants et écrans : les parents tiraillés par leurs contradictions

Une étude très intéressante : À l’heure de la révolution numérique, les adultes, qui craignent les dangers des smartphones, équipent leur progéniture de plus en plus tôt.

Les parents en ligne de mire : la dernière étude Mediametrie-OPEN et UNAF met en lumière toutes les contradictions de la parentalité numérique. Tiraillés de toutes parts, les parents sont pris au piège de nombreuses pressions sociales, mais ils peuvent mieux faire.

Publiée lundi 10 février, l’enquête “La Parentalité à l’épreuve du numérique”, commandée par l’OPEN et l’UNAF, est riche d’enseignements. Elle réserve aussi quelques surprises… En bref : la vie n’est pas facile pour les parents à l’ère du tout-numérique, mais nous pouvons faire beaucoup mieux pour accompagner et protéger nos enfants. Au travail !
Voir open-asso.org

Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr


Piratage massif aux États-Unis : la Chine dément toute implication (AFP)

Pékin a nié mardi s'être "jamais livré" au cyberespionnage, après l'inculpation aux Etats-Unis de quatre militaires chinois, accusés d'être impliqués dans l'un des plus gros piratages de données de l'histoire.
Voir linformaticien.com


Linky : charge de la Cnil contre EDF et Engie

Le gendarme des données personnelles vient d’annoncer la mise en demeure d’EDF et d’Engie, en leur qualité de fournisseurs d’électricité exploitant les compteurs connectés Linky. La Cnil leur reproche un défaut de recueil du consentement éclairé et spécifique et des durées de conservation des données trop longues.
Voir linformaticien.com


Marques et influenceurs : comment trouver chaussure à votre pied ?

Si le marketing d'influence a l'avantage de répondre à tous types d'objectifs, de la visibilité aux ventes, sa mise en place est loin d'être simple.
Voir journaldunet.com


L'iPad a 10 ans... et plus toutes ses ventes

Si les tablettes d'Apple restent largement plébiscitées par rapport à la concurrence, le chiffre d'affaires issu de leurs ventes est aujourd'hui loin de celui des années fastes.
Voir journaldunet.com


Formation community manager : bien se former au social media

Le social manager a pris une grande place en entreprise. Retour sur les meilleures formations, l'aide de Pôle Emploi, les formations à Paris, à Lyon, en ligne…
Voir journaldunet.fr


IProtego, agence d'e-réputation à propos de l’affaire Griveaux (l’e-réputation, un marché d’avenir ! - GW)

Ce vendredi 14 février 2020, Benjamin Griveaux, candidat à la mairie de Paris, a annoncé le retrait de sa candidature à la suite de la publication de vidéos à caractère sexuel. Une situation qui a créé un véritable tsunami médiatique sur les réseaux sociaux pour l'homme politique en pleine campagne.

Ludovic Broyer, fondateur d'iProtego partage son avis en tant qu'expert de la protection de la vie numérique et des données personnelles :

" Quand le revenge porn s'invite dans la vie politique 48h suffisent pour influer sur une candidature. Une nouvelle forme de chantage émerge au grand jour ....

Ce qui est moche dans cette affaire, c'est la souffrance que cela provoque à l'entourage de la victime, qui portent la honte, et voient leurs vies bouleversées. C'est terrible !

Ces images ont été nettoyées et c'est très bien ainsi. Je ne peux toutefois pas ne pas avoir une pensee pour toutes ces victimes anonymes du quotidien et leurs prochent qui vivent le même drame sans pour autant disposer de la notoriété et des appuis dont une personnalité publique peut disposer pour supprimer au plus vite ces atteintes à la vie privée, et qui doivent subir ce drame parfois très longtemps..."

Créée en 2009, iProtego est une entreprise française, leader dans les métiers de la gestion et de la protection de l'e-réputation. La start-up a développé des solutions à destination du grand public, des professionnels, et des VIP, afin de leur proposer des réponses ad hoc aux problèmes de « Privacy » rencontrés dans leur vie digitale.

Reconnue comme une des 450 meilleures start-up de l'hexagone, iProtego protège déjà 3,5 millions d'internautes, par le biais de ses partenaires.

iProtego apporte son expertise notamment sur les sujets suivants :
- La vie numérique : Quand votre image peut devenir un fardeau
- Vie privée privée et vie numérique font-elles bon ménage
- Les bonnes pratiques digitales : Quels sont les réflexes à prendre une fois connectée
Voir iprotego.com


Vidéo intime de Griveaux: une "pornodivulgation" sévèrement punie par la loi (AFP, le 14 février 2020)

Inconnu il y a encore quelques années, le "revenge porn" ou "vengeance pornographique", dont a été victime Benjamin Griveaux, consiste à diffuser des images intimes sans l'accord des personnes concernées, et est désormais sévèrement puni par la loi.
Voir linformaticien.com


L'équipe de Bloomberg paye des influenceurs pour inonder Instagram de "mèmes" (AFP)

L'équipe de campagne du candidat à l'investiture démocrate Michael Bloomberg a confirmé jeudi collaborer sur Instagram avec des spécialistes des "mèmes", des images comiques virales sur internet, nouvelle illustration de ses dépenses publicitaires record et de sa volonté de toucher un public jeune.
Voir linformaticien.com


Publication diffusée grâce au soutien de :
page facebook

Encore des mots, toujours des mots

Je suis encore enceinte : L'imparfait du préservatif.

Agricultures

Anne-Claire Vial, présidente de l’Acta-les instituts techniques agricoles
Voir acta.asso.fr


Initiative citoyenne européenne : signez la pétition pour les Biotech vertes, par Catherine Regnault-Roger
Voir europeanscientist.com


Avant le salon, Emmanuel Macron démine le terrain

ZNT, glyphosate, installation, retraite, prix rémunérateurs… À quelques jours de l’ouverture du Salon de l’agriculture, le président de la République et le ministre de l’Agriculture ont reçu les syndicats agricoles pour un temps d’échange.
Voir lafranceagricole.fr


Un avenir fragilisé pour les sites industriels français de produits phytos

Le 31 janvier dernier, le Conseil constitutionnel, saisi par l'Union des industriels des produits phytosanitaires (UIPP), a rendu son jugement : l'interdiction de la production en France pour d'autres pays et de l'export des produits bannis de l'UE est conforme à la Constitution, en vertu de la protection de l'environnement. Outre des sites industriels français fragilisés, cette décision entraîne d'autres conséquences pour l'agriculture et le monde agricole.
Voir terre-net.fr


Agricultures européennes à l'horizon 2050 : Restitution de l'étude INRAE (communiqué)

Ma remarque (GW) :
Les mots "agriculteur", "paysan", "revenu" n'apparaissent pas dans le communiqué concernant cette étude.
Le défi posé par le déclin rapide de la population des agriculteurs, aussi bien que celui des incertitudes / fortes variations d’une année sur l’autre en ce qui concerne les "revenus" ne sont pas mentionnés.

Plus anecdotique, je m'étonne que des européens puissent imaginer que le Brésil et l'Argentine réduisent de 1 à 10 millions d’hectares leurs surfaces cultivées, si l'Europe diminue sa consommation d'oléo-protéagineux importés, alors que la Chine et sans doute bien d'autres pays vont augmenter leurs importations de ces produits en provenance du Brésil et de l’Argentine.
De même, depuis le temps où j’étais étudiant à Montpellier (1970-1973) j’entends parler de la toujours impossible relance de la production d’oléo-protéagineux, impossible parce qu’il faut bien faire des concessions aux pays exportateurs de ces produits pour qu’ils acceptent de nous acheter ceux que nous espérons leur vendre.

L’annonce de ce communiqué :
Dans quelle mesure les agricultures européennes pourraient-elles contribuer à la sécurité alimentaire mondiale à l’horizon 2050 ? Disposent-elles de marges de manœuvre pour contribuer à préserver des milieux naturels menacés par l’extension des surfaces cultivées ? Est-il possible de concilier ces différents objectifs ? Ces questions sont capitales pour la gouvernance de nos sociétés en Europe et à l’international. L’étude INRAE « Agricultures européennes en 2050 », réalisée à la demande de l’association Pluriagri, livre des enseignements qui tiennent compte des impacts des changements climatiques et techniques sur la production agricole et a pour vocation d’éclairer les politiques publiques nationales, européennes et internationales.
Voir inrae.fr


Good old days (?????): Paying the Harvesters par Léon-Augustin Lhermitte


Les vins franciliens auront bientôt leur indication géographique protégée

A l'occasion du salon VinExpo à la porte de Versailles jusqu'à mercredi soir, focus sur les vins produits en Ile-de-France. Des vins qui auront bientôt leur IGP, indication géographique protégée.
Voir francebleu.fr


Plus de 2000 tonnes de dons agricoles en 2019

Les agriculteurs ont donné davantage de leur production en 2019 qu'en 2018. En ce début d'année, l'association Solaal fait le bilan, et fait savoir qu'elle a collecté 2038 tonnes de denrées agricoles l'an passé, contre 1454 tonnes sur les douze mois précédents
Voir campagnesetenvironnement.fr


Mettons fin au dogme dans l'agriculture ! Par Sylvie Brunel

La géographe Sylvie Brunel plaide pour un autre regard sur le monde paysan. Selon elle, le modèle conventionnel doit pouvoir s'associer à celui du bio.

Cessons de donner des leçons de nature à ceux qui nous nourrissent, sans même comprendre ce qui nous menace vraiment ! Nous voulons bannir les traitements, et pourtant nous n'avons qu'une peur : que notre santé soit compromise. L'affaire du coronavirus, après celle du H1N1 ou du Sras, devrait pourtant nous rappeler que 60 % des pathogènes humains sont d'origine animale ! Le paysan le sait et la biosécurité est sa priorité. Les médicaments des plantes et des animaux, qu'on appelle à tort pesticides, servent d'abord à les protéger, donc à nous protéger. Et ils coûtent si cher qu'on ne les utilise qu'en dernier ressort. La France s'obstine à interdire un nombre croissant de molécules. Pour les remplacer, il faut en utiliser beaucoup d'autres, souvent moins efficaces.
Voir lexpress.fr (réservé aux abonnés)


Un peu de douceur dans un monde de sucre brut

Après avoir frôlé les 11 cents de dollar la livre à New York à la mi-septembre, les cours du sucre ont retrouvé un peu de vigueur et sont repassés au-dessus des 15 cents, le 10 février. Une amélioration qui s’explique par des aléas climatiques touchant les récoltes, explique Laurence Girard, journaliste économique au « Monde ».
Voir lemonde.fr


L’INRA va-t-il mener l’agriculture française à la catastrophe ? Par André Heitz

L’Institut national de Recherche Agronomique doit promouvoir le progrès, pas les obscurantismes.
Voir contrepoints.org


Ma remarque (GW) : Ma critique de l’Inra et de nos organismes de recherche est un peu différente et peut-être plus « vache » que celle de mon André Heitz, même si elle concerne aussi bien l'Inra, l'Inserm, et tous nos outils de R&D. Par exemple : en biologie et biochimie, il n’y a pas photo… les anglais font infiniment mieux que nous. Pourquoi ?


Comment McDonald's croque la France à pleines dents

Deuxième pays pour le géant américain de la restauration rapide, la France atteindra le seuil des 1.500 établissements au cours du premier semestre. L'an dernier, son réseau a franchi pour la première fois la barre des 700 millions de visites. Le volume d'affaires sous enseigne a atteint un nouveau record, à près de 5,5 milliards d'euros.
Voir lesechos.fr


Les nouveaux mayas, la lettre des amoureux du maïs - n° 21 - février 2020
Voir nouveaux mayas


Alimentation : les appétits du « Vieux » continent, par Sébastien Abis

Nourrir des seniors de plus en plus nombreux : un enjeu crucial pour une espérance de vie en bonne santé.

Nourrir les seniors est un marché stratégique en devenir. Il est même déjà là sous nos yeux. Près de 40 % des Européens ont plus de 60 ans. Ce sont 17,5 millions de consommateurs en France. Des chiffres largement supérieurs aux segments pourtant plus médiatisés que sont le bio ou le véganisme. Les seniors consomment plus que la moyenne en France, générant 50 % des ventes de produits de grande distribution et dépensant 40 % de plus que les moins de 45 ans pour leur nourriture. Avons-nous conscience de ce marché dans les milieux agricoles ? Pouvons-nous être leaders en France sur ces innovations alimentaires à apporter pour cette société du vieillissement, ici et ailleurs ?
Voir lopinion.fr


Immatriculation des tracteurs : 2019, la meilleure année depuis 2013

2019 est un bon millésime pour le machinisme agricole, comme en témoignent les données d’immatriculations de tracteurs agricoles. Toutes les catégories de tracteurs enregistrent des progressions importantes, à l’exception des tracteurs espaces verts. Les positions concurrentielles restent globalement inchangées malgré un marché dynamique.
Voir paysan-breton.fr


Du côté de Bioénergie
Voir lettre-bioenergie-international


Colloque « État de l’agriculture 2020, le métier d’agriculteur face à la transition écologique », tel que vu par Yves LE MORVAN

L’Académie d’agriculture de France organisait le mercredi 5 février dans les locaux de la Fédération Nationale du Crédit Agricole un colloque sur la transition écologique, que les participants ont souvent appelé agroécologie, constitué d’un ensemble d’éclairages et de témoignages. Il s’agit ici moins d’en faire un résumé que de capter quelques points subjectifs qui, rassemblés, peuvent dessiner un tableau pointilliste de l’intérêt de cette riche manifestation.
Voir agridees.com


Commerce des céréales à l’exportation : Les grèves n’ont pas fait flancher les exports, mais terni l’image de la France

Pour la cinquième fois consécutive, FranceAgriMer a relevé ses prévisions d'exportations sur les pays tiers pour le blé français. L'anticipation des opérateurs a certes permis de limiter l'impact de la grève en termes de volume exporté, mais les acteurs de la filière encaissent les surcoûts engendrés, et l'image de "filière d'excellence" française a pris un coup auprès de ses clients.
Voir agri-mutuel.com


Un agriculteur poursuivi pour tentative de meurtre remis en liberté

Un agriculteur marnais, mis en examen pour tentative de meurtre après avoir grièvement blessé au fusil à plomb un jeune homme soupçonné de vol de carburant dans son exploitation, a été remis en liberté jeudi, a-t-on appris de sources concordantes.
Voir agri-mutuel.com


Encore des mots, toujours des mots

Un skieur alpin : Le boulanger aussi.

Du côté des écrivains et artistes paysans

Alain Charbonneau sur Radio Angers
Invité de l’émission Entre les pages l’écrivain paysan Alain Charbonneau ne se contente pas d’évoquer son livre Alexandra dite Alex, il évoque aussi avec passion les sujets qui lui tiennent à cœur : la vie à la terre, aussi bien que le réchauffement climatique ou l’injustice…


Encore des mots, toujours des mots

Considéré : Tellement il est con, il n'en revient pas lui-même.


Agenda

De API-AGRO à AGDATAHUB... et la data dans tout ça ?

27 février 2020 - 11h - 12h - Paris - Salon international de l'agriculture - Stand La ferme digitale (Hall 4 - Stand B133)

La donnée est une composante essentielle pour l’utilisation de vos outils. Sur la base de retours utilisateurs, venez découvrir l’ensemble du chemin parcouru depuis le lancement de notre nouvelle plateforme d'échange de données en 2019 et les nouveautés à venir afin de vous accompagner sur le cycle de la donnée. Plusieurs illustrations seront présentées afin de bien comprendre la position stratégique d’une plateforme d’échanges de données dans les différents projets AgTech.

- Présentation d'Agdatahub et de ses partenaires
- Autour de la plateforme d'échanges de données API-AGRO
- Les évolutions apportées pour plus de fonctionnalités
- L'open data et les données publiques
- Le parcours utilisateur
- Témoignages et cas d'usage
- Un coup d'oeil sur les nouveautés qui arrivent en 2020
Voir Api-Agro


Webinar: Monitoring Agriculture & Forestry from Satellite and UAV – How to Derive Accurate Vegetation Insights to Boost Profitability (Webinar by L3Harris Geospatial Solutions

Thu, Feb 27, 2020 11:00 AM - 12:00 PM CET (Heure de Paris - Berlin)

Many agricultural and forestry problems such as determining crop health, insect infestation, and drainage patterns have traditionally been approached by performing extensive field work. Today, increased processing power, improvements in algorithms, and the exponential availability of earth observation data means that many of these challenges can be solved faster and at reduced costs.

Remote sensing is a precise and efficient technology to estimate vegetation characteristics and to monitor agricultural and forestry practices over large geographic areas, particularly when expensive and time-consuming field studies are not feasible.

ENVI® is a scientifically proven suite of image analysis software designed for the use of earth observation data including optical, SAR and LiDAR data from satellite, airborne and UAV platforms. It is widely known for its reliable and accurate analytical capabilities - including the use of Deep Learning technologies -, for its customization possibilities using IDL and its interoperability with ESRI`s ArcGIS platform.

Join this live webinar to learn how the ENVI can derive and process vegetation-related information from remotely sensed data in order to create highly flexible solutions for various types of agriculture and forestry applications.

Who Should Attend?
- Agronomists
- Foresters
- Environmental Scientists
- GIS Analysts and Agricultural Analysts
- Agricultural & Environmental Consultants
- Forestry and Forest Research Organizations
- Conservation Trusts
- National Park Organizations
- International Research Organizations
- NGO’s
 - National Mapping Agencies
- Agricultural Organizations & Agencies
- Government agencies
- Insurance & Reinsurance

Presenter: Nicolai Holzer, Sales Engineer EMEA, L3Harris Geospatial Solutions
Moderator: Jodi Lee, James Slater, Senior Channel Management Specialist, L3Harris Geospatial Solutions
Register


L’innovation biotech en mode start-up pour réussir les transitions agricole, alimentaire et industrielle

20 mars 2020 - PARIS
Agridées organise en partenariat avec le pôle IAR, le pôle de la bioéconomie un agridébat qui mettra en avant les réflexions du groupe de travail « l’innovation biotech en mode startup » et sera l’occasion de la publication d’une note de think tank sur ce sujet.
Voir pleinchamp.com


Rencontrons-nous autour de la Science des données et du Big Data pour l’agriculture, l'environnement et l'écologie

5 mai 2020 - PARIS
Dans le cadre du GDR CNRS MADICS nous organisons une journée qui vise à réunir et à faire rencontrer les acteurs de la recherche et l’enseignement en science des données et big data pour l’agriculture, l'environnement et l'écologie, avec le soutien de (en cours de finalisation) : Agreenium, #DigitAg - Institut de l'Agriculture Numérique, RMT Sciences des Données et Modélisation pour l’Agriculture et l’Agroalimentaire, INRAE, ACTA, MNHN, Université de Strasbourg - ENGEES, Univ. Rennes 1- IRISA

Le but de cette journée est de recenser, faire rencontrer et faire échanger les acteurs à l'échelle nationale.

Contribution : deadline 1 avril 2020

>>> Contexte

Aujourd’hui, de plus en plus de données dans les domaines de l’agriculture, de l’écologie et de l’environnement sont disponibles. Ces données sont issues de différents capteurs, physiques ou humains. De plus, les modèles de simulation produisent de gros volumes de données utiles mais difficiles à explorer et à utiliser. Les outils et les méthodes développées dans le champ du Big Data ou de la science des données permettent aujourd’hui de stocker, gérer et analyser des données complexes et/ou volumineuses. Ces outils et méthodes ont déjà montré leurs atouts pour des applications agricoles, écologiques et environnementales, en exploitant des données capteurs (humains et physiques) et des données issues de modèles de simulations. Par exemple, les technologies de la science des données peuvent être utilisées pour la gestion distribuée et à grande échelle de données de capteurs issues des équipements pour l’élevage, ainsi que de données participatives (données citoyennes) pour la gestion du territoire et des exploitations agricoles. La science des données est donc une opportunité et un défi important pour l’agriculture, l’écologie et l’environnement. Dans le contexte actuel de recherche de plus en plus systémique, une recherche qui lie l’agriculture, l’écologie et l’environnement apparaît nécessaire et utile pour répondre aux défis de la société d’aujourd’hui et de demain. Cela induit le besoin de gérer et de fédérer de plus en plus de données issues de sources hétérogènes, et avec des utilisateurs finaux aux profils très variés.

Aujourd'hui le panorama de la recherche en systèmes d’information, Big Data et science des données est en plein expansion en France. Plusieurs initiatives structurantes se créent comme l’institut de convergence #DigiTag - agriculture numérique, la Chaire AgroTIC, l'unité de service mutualisée MOSAIC, les systèmes d'information fédérateurs de l'OFB (SI Biodiversité, SI Eau, SI Mieux Marins), l'e-infrastructure Pôle national de données de Biodiversité (PNDB), des initiatives au sein des GDRs MADICS, MAGIS, PARCS, ECOSTAT, etc. des conférences comme SAGEO, EDA, etc.

Nous proposons de structurer la communauté des chercheurs et ingénieurs en informatique et science des données dans les domaines de l’agriculture, l'écologie et l'environnement afin de se rencontrer, échanger, et prospecter sur des futures initiatives de recherche (montage de projet, co-encadrement de thèse, co-organisation de conférences, proposition de formations, etc.).

>>> Objectif et thématiques
L’objectif de cette journée est de fédérer les chercheurs et ingénieurs en informatique et science des données, travaillant dans les domaines de l’agriculture, l'environnement et l'écologie pour créer un réseau national structurant autour de l'informatique et ses défis de passage à l'échelle. Cette journée est donc dédiée aux présentations de :

- Travaux de recherche
- Jeux de données
- Réseaux, projets, laboratoires, équipes, instituts, etc.
- formations
 etc.

>>> La journée permettra de :

- Identifier les acteurs du monde académique de l’informatique pour l’agriculture, l'environnement et écologie
- Créer un événement physique qui puisse servir d’interface pour la discussion et les échanges entre les acteurs monde académique de l’informatique pour l’agriculture, l'environnement et écologie pour le montage d’éventuels projets collectifs pour la suite (par exemple la mise en place de projets, formations doctorales, etc.)
- Créer un lieu virtuel d'échange comme par exemple une mailing liste, un site web

Les thématiques en informatiques couvertes par la journée sont :

- Aide à la décision spatiale et SIG, analyse multicritère
- Algorithmes distribués et parallèles
- Stockage, mise à disposition et analyse de médias (image, sons, vidéos)
- Visualisation de données complexes (séries temporelles, …)
- Stockage, mise à disposition et analyse de données de sciences participative (dont VGI)
- Stockage, mise à disposition et analyse de données spatiales, géostatistiques
- Apprentissage et fouille de données
- Modélisation conceptuelle
- Systèmes dynamiques, multi-agents, automates cellulaires
- Mesures de qualité sur les données (données incertaines, incomplètes, qualification des sources de données, …)
- Fusion et intégration de données
- Gouvernance des données

Format de soumission et présentation : un texte d’une page présentant l’intervention (auteurs, affiliation, mots-clés et résumé) doit être soumis avant le 1 Avril 2020 par courriel à : sandro.bimonte(a)inrae.fr, florence.leber(a)engees.unistra.fr, tassadit.bouadi(a)irisa.fr, yvan.le-bras(a)mnhn.fr, francois.brun(a)acta.asso.fr

Et sur AGEE-5mai2020

Chaque intervenant aura à disposition une plage de 15 minutes pour sa présentation

Organisateurs
- Sandro Bimonte, INRAE, TSCF
- Tassadit Bouadi, Univ. Rennes 1/IRISA, UMR CNRS 6074
- Florence Le Ber, ICube, Université de Strasbourg, ENGEES
- Francois Brun, ACTA
- Yvan Le Bras, MNHN

Lieux et date : 5 mai, 2020, INRAE, 147 Rue de l'Université, 75007 Paris

Inscriptions


Encore des mots, toujours des mots

Terre des hommes : Parce qu'il est impossible de faire taire des femmes.

Du côté des gazettes et des blogs agricoles

Du côté de vitisphere.com : Trois jours à deux par Marion Sepeau Ivaldi

Aux premiers jours de leur rencontre, d’aucuns auraient pu dire : c’est un mariage entre une carpe et un lapin.

Jeune premier, Wine Paris est un salon tout neuf et encore confidentiel union des régions françaises exception faite Bordeaux.

Prétendant expérimenté, Vinexpo, institution internationale, s’affiche comme le palais des grandes marques, de la qualité et de l’art de vivre à la bordelaise. Il y avait de quoi s’interroger sur l’alchimie entre eux deux. Surtout, que, lorsque Vinexpo s’annonce à Paris, d’aucuns pensent à une attaque en règle du petit nouveau parisien.

Les deux protagonistes de cette histoire semblaient avoir quelques intentions opposées. Mais les contraires s’attirent en amour. Le dialogue, l’intelligence collective y sont aussi pour quelque chose. Résultat : l’événement parisien alliant Wine Paris et Vinexpo Paris se termine sur un bilan positif et satisfaisant. Un centrage business, une clarté dans l’organisation de l’offre : chacun aura trouvé sa place en fonction de son positionnement stratégique pour vendre et se développer.

Reste évidemment à mieux attirer les visiteurs, qui, s’ils ont été nombreux, auraient pu sans doute l’être un poil davantage aux dires de certains déçus. Mais, cette nuance déceptive doit aussi s’analyser au regard du contexte international défavorable. Entre la Chine clouée sur son territoire pour conjurer l’épidémie de coronavirus, les Etats-Unis dans l’expectative de nouvelles taxes douanières encore plus sévères, une consommation mondiale de vin qui stagne et qui recule en France, le contexte est tout simplement difficile. Et, même les plus performants des salons ne pourraient annihiler ces contraintes. La flèche de Cupidon ne sait pas encore percer le cœur des marchés malmenés.
Voir vitisphere.com

Terre-net Web TV


Du côté de pleinchamp.com : Export par Adèle Magnard

Les taxes imposées par les Etats-Unis sur un certain nombre de produits agricoles européens, et notamment sur le vin français, ont entraîné un coup de frein brutal à la bonne dynamique des exportations. Et pour cause : les USA sont le premier marché d’exportation pour les vins français, en particulier pour le rosé. Pourtant, malgré ces taxes, survenues en octobre dernier, les exportations françaises de vin et spiritueux pour 2019 sont en nette hausse par rapport à 2018.

Avec un solde de 12,7 milliards d’euros, ce secteur est d’ailleurs le deuxième excédent commercial de la France derrière l’aéronautique ! Cette mise en perspective est importante, car elle rappelle à quel point l’agroalimentaire reste l’un des fleurons de l’économie française. Car outre les boissons alcoolisées, ce sont aussi les céréales, les produits laitiers ou encore la viande porcine qui ont permis à la balance commerciale agroalimentaire française d’augmenter pour atteindre 7,9 milliards d’euros, soit 1,1 milliard d’euros de plus qu’en 2018. A l’étranger, l’agriculture française rime avec excellence, qualité, traçabilité. Il est bon de s’en rappeler chez nous aussi !
Voir pleinchamp.com


Du côté d’André Heitz

> Et hop ! De l'homéopathie pour les plantes...

> En ce jour anniversaire de la naissance de Charles Darwin...

> Pesticides : Mme Delphine Batho se fait moucher

> Fongicides SDHI : vous êtes sérieux, là, M. l'eurodéputé Éric Andrieu ?

> L'« agriculteur de l'année » du Burkina Faso appelle au retour du cotonnier Bt

> Un peu de pub pour M. Gil Rivière-Wekstein et son « Glyphosate, l'impossible débat »

> Sur France Inter : « Le Moment Meurice » sur le vin en biodynamie

> « Pacte vert européen : des pistes à trouver au Royaume d’Orange ? » de M. Sébastien Abis dans l'Opinion

> Conversion au 100 % bio en Angleterre et au pays de Galles : plus de détails inconvenants

> FranceTVInfo fait l'article pour la biodynamie...

> Conseil d'État et ZNT (zones non traitées aux abords des habitations) : pas de suspension en urgence et des réactions scandaleuses

> « Ferme des Mille Vaches » : Bravo Étienne, bravo Le Parisien ; bouh MSN

> Des semences améliorées sont la clé d'une sécurité alimentaire durable selon des sélectionneurs africains

> Manifestations contre les ZNT : non, pas comme ça, JA et FDSEA 31

> Fongicides SDHI : pour une recherche et une communication éthiques et responsables

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Le Mensuel de l'Académie


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Du côté de Cultivar

> Économie: l'euro poursuit sa baisse, les places américaines sont fermées

> CéréObs: des conditions de culture à la peine

> Vers une année record pour l'export de blé français

> Les carburants E-85 et E-10 plébiscités par les consommateurs
La filière française de bioéthanol a le vent en poupe, le bilan des volumes écoulés pour l’année 2019-2020 est très positif. Ainsi, le superéthanol (E-85) affiche une croissance de +85% en un an,...

> Changement climatique et transport maritime, quels enjeux ?
Le transport de céréales à travers le monde se fait essentiellement grâce à des panamax, expliquait Cyrille Coutansais, directeur de recherches du centre d’études stratégiques de la marine à...

> Comment gérer le manque de plus en plus important de produits phyto en pois et féverole ?
Avec les nombreux retraits de produits phytosanitaires comme cette année avec le chlorothalonil, la recherche d’alternatives devient indispensable. Tour d’horizon des solutions existantes ou à venir effectué par Terres Inovia.

> Comment définir ses besoins en guidage ?
Si le guidage devient de plus en plus courant dans les fermes françaises, il est parfois dur pour ceux qui n’ont pas encore franchi le pas de s’y retrouver parmi la pléthore de solutions disponibles sur le marché. Inscrivez-vous à notre webinar le 20 février à 10h...

> Pour un objectif Zéro artificialisation nette des sols bénéfique
Le 23 janvier 2020, l’Ordre des géomètres-experts a publié un manifeste comportant dix propositions pour relever le défi de l’objectif de Zéro artificialisation nette des sols (ZAN), objectif porté par le gouvernement depuis plus d’un an.

> Le carbone vient du sol et l'azote de l'air dans un sol fertile
Un sol fertile est plein de promesses. Faut-il encore comprendre comment il fonctionne pour lui apporter ainsi qu'aux plantes qu’il supporte les éléments dont ils ont besoin sous la forme...

Association nationale des éditeurs de logiciels agricoles


Du côté du ministère de l‘agriculture

> Très forte suspicion de présence du virus ToBRFV sur des tomates en serre dans une exploitation du Finistère

> Cas de rage détecté en France chez un chiot ramené du Maroc

> Un foyer d’influenza aviaire hautement pathogène H5N8 en Allemagne : renforcement de la vigilance en France

> #EGalim : Didier Guillaume et Agnès Pannier-Runacher ont réuni le comité de suivi des relations commerciales

> Le Gouvernement prend acte de la décision du Conseil d’Etat sur le champ d’application de la directive OGM et sur les variétés rendues tolérantes aux herbicides (VTH)

 


Du côté de la Fnsea

> Retraites agricoles : jusqu'où ira le mépris des pouvoirs publics !v

Les amendements demandant la revalorisation des petites retraites agricoles à un minimum de 85 % du Smic ont été rejeté avant même le débat à l'Assemblée nationale. Motif : ils impliquent « une dépense » ! Ils avaient pourtant réuni les faveurs de dizaines de députés issus d'horizons divers.
Rappelons que le 2 février 2017, cette revalorisation des retraites agricoles avait été adoptée dans les mêmes termes et à l'unanimité dans cette même Assemblée nationale en première lecture d'une proposition de loi !

La FNSEA et sa section des anciens sont écœurées de voir le débat parlementaire ainsi confisqué pour des questions fallacieuses d'irrecevabilité.
Nous demandons au Gouvernement de prendre en compte la demande forte de la représentation nationale. Promesse avait d'ailleurs été faite par la ministre de la Santé d'apporter une revalorisation aux plus faibles retraites agricoles en marge de la discussion de la réforme des retraites au Parlement.

Certes, la revalorisation par la loi des pensions des futurs retraités agricoles à un minimum de 1 000 euros par mois à partir de 2022 est une avancée à saluer. Mais comment justifier le fait que nos retraités actuels ne puissent bénéficier du même traitement ? Y'a-t-il une raison qui puisse légitimer le maintien de 300 000 retraités agricoles à carrière complète bien en dessous du seuil de pauvreté ? La retraite d'un chef d'exploitation ne dépasse pas 740 € par mois lorsque la retraite moyenne des français atteint 1 390 € par mois.

La FNSEA et sa section des Anciens exploitants ne cesseront de demander aux Pouvoirs publics d'apporter une réponse aux anciens agriculteurs.

> Salon de l’agriculture 2020 La FNSEA appelle le Président de la République à redonner de la visibilité aux agriculteurs

Le Président de la République, accompagné du Ministre de l’Agriculture, a reçu, ce jour, la FNSEA au Palais de l’Élysée. L’objet du rendez-vous était de préparer le Salon International de l’agriculture qui ouvrira ses portes le 22 février prochain.

Christiane Lambert a pu faire part au Chef de l’Etat des tensions fortes qui s’expriment aujourd’hui chez les agriculteurs notamment quant à la mise en oeuvre des Zones de Non-Traitement ou encore quant aux intrusions subies par les éleveurs. Ces tensions, qui ne cessent de croitre, sont sources d’incompréhensions profondes entre le monde agricole et la société française.

La FNSEA a plaidé pour que le salon de l’agriculture soit l’occasion pour le Président de la République de tenir un discours clair et cohérent de réconciliation entre les français et leur agriculture. Ce discours doit passer par la reconnaissance du mouvement entrepris par les agriculteurs pour répondre aux attentes sociétales, par des mesures d’accompagnement ambitieuses pour que les agriculteurs soient en capacité de prendre le virage de la transition écologique et par une politique de compétitivité réaffirmée permettant de mettre fin aux contraintes franco-françaises. C’est ainsi que nous cesserons d’importer en France l’alimentation que nous ne voulons pas.

A la veille du sommet du Conseil européen devant traiter du cadre financier pluriannuel, La FNSEA a également rappelé son attente d’un budget agricole européen permettant de mener une politique ambitieuse et son attachement à ce que le Green Deal proposé par la commission n’ampute pas le budget de la future PAC. Le Président s’est montré attentif à ces arguments.

Enfin, la FNSEA a souhaité rappeler au Chef de l’Etat la situation des actuels retraités agricoles et la demande de revalorisation de plus faibles pensions. Le projet de loi actuellement en cours de discussion ne doit pas laisser les anciens agriculteurs une nouvelle fois sur la touche.

> Comité de suivi des relations commerciales : nous attendons encore les résultats concrets !

Si les négociations commerciales peuvent sembler plus apaisées cette année, le retour de la valeur dans les cours de ferme n'est pas encore observé concrètement. JA+FNSEA demandent une application des EGA !

Le comité de suivi des relations commerciales a été réuni le 12 février par le Ministre de l'agriculture, Didier Guillaume et la Secrétaire d'État auprès du Ministre de l'économie, Agnès Pannier-Runacher. FNSEA et JA salue la détermination du Gouvernement de voir les outils des EGA appliqués mais restent très vigilants face aux discours rassurants en façade des opérateurs économiques.

La révision des lignes directrices de la DGCCRF sur l'application de l'encadrement des promotions (interdiction des pratiques « 1 produit acheté = 1 produit offert »), le renforcement des contrôles sur le terrain pour surveiller les contrats, y compris à l'amont, et pour sanctionner les pratiques abusives de l'aval sont autant de signaux positifs nécessaires à la réussite des EGA. A cela s'ajoute le projet de loi permettant de prolonger l'expérimentation « SRP/Promos » de 30 mois, que nous accueillons favorablement.

FNSEA et JA restent tout de même particulièrement méfiants face à des relations commerciales qui se déroulent apparemment dans un climat plus apaisé mais dont les résultats semblent loin d'être acquis tout comme le retour de la valeur dans les cours de ferme ! C'est la dernière ligne droite, les négociations se terminent le 1er mars. Il est temps pour les agriculteurs de bénéficier de revalorisations de prix, dans tous les secteurs pour tous les volumes.

Certains industriels et distributeurs ont joué le jeu des engagements transparents pour l'amont et certains accords signés récemment montrent la volonté des signataires d'atteindre l'indicateur de coût de production dans le prix payé aux producteurs. Nous abordons néanmoins ces accords avec discernement, car au-delà des annonces c'est bien la réalité du prix final payé aux producteurs qui importe.

Nous estimons à au moins un milliard d'euros la valeur supplémentaire dégagée dans la filière alimentaire, sur la base des prix constatés en 2019. Il est temps que la valeur créée redescende jusqu'aux agriculteurs. C'est pourquoi nous ne lâcherons rien et nous ferons les comptes à l'issue de cette première saison de la loi EGAlim. L'espoir ne doit pas laisser place à la déception !


Encore des mots, toujours des mots

Le crayon à papier : Donc il coule

Opinions et curiosités du web


Du côté de chez Coluche

Alors c'est une histoire qui se passe en Belgique sur un terrain de football.

Et y'a l'entraîneur dans les vestiaires qui parle à l'équipe.

Et il dit à un joueur :

"Toi, aujourd'hui tu vas jouer avant.".

Alors l'autre répond :

"Oh bah ça non, je veux jouer avec tous les autres !".

TV Agri : actualités agricoles. Toute les actualités de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles


Pensée sur une guerre économique (Gil Rivière-Wekstein)

Invité à intervenir à l'occasion de l'assemblée générale de la FDSEA 35 qui se déroule le 20 février prochain, Gil Rivière-Wekstein a accepté de nous apporter son décryptage et son regard sur le "divorce" entre le monde rural et le reste de la société civile.

.../...
Tout d'abord, les agriculteurs doivent se rappeler que la population a une forte confiance en eux. C’est une des professions les mieux aimées des Français. Il faut donc qu’ils n’hésitent pas à prendre la parole, dans les médias et sur les réseaux sociaux, en apportant leur connaissance, en expliquant leur métier. Les agriculteurs ont de nombreux atouts, à commencer par un langage de vérité. Notre agriculture, telle qu'elle est réalisée aujourd'hui, est considérée comme une des meilleures au monde, par plusieurs organismes, notamment la revue The Economist. Et notre alimentation est de très loin l’une des meilleures du monde. Tous les acteurs, y compris les hommes politiques, doivent avoir conscience des enjeux et prendre la parole en s'appuyant sur les faits et en combattant les fake-news. Car, je le répète il s’agit d’une vraie guerre économique
Gil RIVIERE-WEKSTEIN
Voir terra.bzh


Pensée sur notre corporatisme : Pour en finir avec le corporatisme du système social français, par Pierre Cahuc

Si les pays de l'Europe du Nord se distinguent par un fort niveau de dépenses sociales, comme en France, l'une des différences majeures est l'universalisme sur lequel est fondé leur protection sociale. A l'inverse, écrit Pierre Cahuc, la France a historiquement bâti son État providence dans une logique corporatiste qui nuit à la transparence et au sentiment de juste répartition de la redistribution sociale.

Voir lesechos.fr


Pensée sur un saccage à Paris, la dérive par Dominique Seux

Des militants anarchistes et écologistes ont dévasté hier le bureau parisien de BlackRock. Par glissements successifs, la violence s'installe dans les revendications. A quand les atteintes à l'intégrité physique ?

.../...
Et Notre-Dame des Landes, direz-vous ? Le pouvoir politique a cédé face aux activistes sur le site. C’est vrai. Eh bien quoi qu’on pense de l’abandon du projet d’aéroport, la façon dont cela s’est passé, en s’essuyant les pieds sur les résultats d’un référendum, n’a pas grandi le fonctionnement démocratique et a ouvert la voie à des dérives qu’on n’a pas fini de regretter dans un pays où les rendez-vous électoraux qui permettent d'exprimer ses opinions sont quasi-permanents.
Voir franceinter.fr


Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

 


A thought for today

The government ought not to be invested with power to control the affections, any more than the consciences of citizens.
Lydia Maria CHILD, activist, novelist, and journalist (1802-1880)


A second thought for today

There are two ways of spreading light: to be the candle or the mirror that reflects it.
Edith WHARTON, novelist (1861-1937)


A third thought for today

Patriotism is often an arbitrary veneration of real estate above principles.
George Jean NATHAN, author and editor (1882-1958)


Ageekculture : un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information


Sur la clinique des bleuets : cette clinique parisienne pionnière en matière d’accouchement sans douleur…

…a été à la fois victime de son succès, les techniques de l’accouchement sans douleur étant mieux connues et utilisées (avec des résultats pas toujours au rendez-vous) d’une part, et d’autre part l’épidurale ayant rendu ensuite ces techniques un peu obsolètes.

Depuis longtemps, cette clinique des bleuets n’a plus vraiment de raison d’être et en plus elle a été mal gérée. D’où l’article au vitriol de contrepoints.org qui se trompe sur un point (à mon sens) : si la Clinique des bleuets a été un totem de la gauche, c’est parce qu’on s’y est intéressé à la douleur des femmes lors de l’accouchement. Une façon de contester le fameux « Tu engendreras dans la douleur » (Genèse 3.16).

Par la suite, et il a fallu du temps, nous nous sommes intéressés à toutes les douleurs. Mais, parce que l’article ci-après fait comme si la douleur de l’accouchement n’avait jamais été un vrai sujet, je le trouve très partiel et partial. D’autant que la citation de Benoît Frachon sur le rôle du syndicalisme, est tout sauf bienvenue dans le contexte de l’article.

>>> Profits : quand la CGT donne des leçons de capitalisme

La maternité des Bluets : une preuve de plus que ce syndicat « solidaire et fraternel » a définitivement abdiqué toute notion d’honorabilité et de crédibilité pour se vautrer dans la farce hypocrite.
Voir contrepoints.org

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L'AFIA est membre fondateur de l'European Federation for Information Technology in Agriculture


For millennia, people lived on the edge of starvation. Today, starvation has disappeared outside of war zones. The Battle to Feed Humanity Has Been Won... by Marian L. Tupy

.../...
Even in sub-Saharan Africa, the world’s poorest region, food supply per person per day rose from 1,852 in 1961 to 2,449 in 2017 – a 32 percent increase. According to one report, “There is a silent epidemic sweeping through Africa and it’s worse than HIV. Out of the 20 fastest rising countries with obesity, nearly half of them are in Africa. The health burden on the continent is rising.”

I suspect that with increased wealth and access to information, Africans, like most people, will eventually find a happy medium between food consumption and healthy living. In the meantime, we cannot but conclude that the battle to feed all of humanity is indeed over and humanity has won.
See humanprogress.org

 

 


Cuba / Hong-Kong

After World War II, Cuba and Hong Kong had very similar average incomes per person. Hong Kong's experiment with free market economics led to great prosperity. Cuba's experiment with socialism led to stagnation. This week, HumanProgress compares the post-war economic history of the two countries in a 3-part series by the British writer Neil Monnery.

Explore the series below:
Part 1: Hong Kong
Part 2: Cuba
Part 3: Comparison and Summary

Ma remarque (GW) : Un avantage de Hong-Kong est que ses habitants ont, me semble-t-il, souvent à la fois les langues et cultures chinoise et anglo-saxonne. Ce n’est pas rien.


Du côté de EBBH

 


Réseau Numérique et Agriculture ACTA


Palestinian President Mahmoud Abbas addresses the UN Security Council

He also stated that Palestinians do not oppose Judaism or Jews. President Mahmoud Abbas said:

“Our conflict is not with the followers of the Jewish religion. We are not against Jews”

“The Muslim that says, ‘I am against the Jew,’ he has reneged on his faith. If you say, ‘I am against the Jew or the Torah,’ you are an infidel and not a Muslim.”

See timesofisrael.com

 


Revue de l'Académie
d'Agriculture de
France



The Top Hat (Jewish joke)

Schwartz is sitting in his room, wearing only a top hat, when Steinberg strolls in.

“Why are you sitting here naked?”

“It’s all right,” says Schwartz. “Nobody comes to visit.”

“But why the hat?”

“Maybe somebody will come.”

 

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