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l’informatique : Vintage tractors
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l’alimentation et l’environnement.
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Contact : André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
01
- 19/05/2022 |
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Annual update of global data on polio
Polio is an infectious disease that is caused and transmitted
by the poliovirus. Most infections do not lead to any symptoms,
but—among the unvaccinated—between 1 in 50 and 1 in 500 infections
result in paralysis. For some it leads to death.
At the start of the 20th century, polio was endemic worldwide,
with large epidemic outbreaks every year. But with the development
of two vaccines in the 1950s, countries began eliminating polio
one by one.
Today, the world is very close to eradicating polio — but there
is still work to be done. Several countries recently reported
a rise in new polio cases.
We updated our entry on polio to include new charts, updated estimates,
and more data on the recent rise of cases. You can also learn
much more about polio and humanity’s history of fighting the disease.
Saint Isidore le laboureur (fêté le 15 mai à Madrid en particulier)
COVID-19 update: Where are confirmed COVID deaths rising
or falling across the world?
Daily data on confirmed COVID deaths does not necessarily refer
to deaths that occurred on that day — but to the deaths reported
on that day.
Since reporting can vary significantly from day to day irrespectively
of any actual variation in deaths, it is helpful to look at
changes from week to week. This provides a slightly clearer
picture of where the pandemic is accelerating or slowing down.
The map here shows the percentage change in the number of confirmed
deaths in the last seven days relative to the number in the
seven days before that.
→ Explore our global vaccination dataset, alongside cases,
deaths, hospitalizations, testing, and other metrics by country
in our COVID
Data Explorer.
Alfred de Vigny
J’ai beaucoup de mal à lire les romantiques ; ils m’assoupissent.
Donc, une fois n’est pas coutume, voici seulement un extrait…
Vous sentez-vous nageur ? incertain ?
Vigny dans ses ondes aurait-il pressenti Einstein ?
Peut-être bien : un monde d’ondes insondables selon nos sens,
où nous nageons, malgré tout...
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L’homme
sera toujours… de Alfred de Vigny (1797 - 1863)
in Les destinées
L’homme sera toujours un nageur incertain
Dans les ondes du temps qui se mesure et passe
Contact
: Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com
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Les écologistes politiques se servent des écologistes sincères,
Interview de Bernard Durand
Bernard Durand vient de publier un nouvel ouvrage intitulé Lettres
à un(e) écologiste sincère. Ingénieur, chercheur et naturaliste,
cet auteur familier de nos colonnes a fait carrière dans le secteur
de l’énergie.
Il a notamment contribué à l’élucidation des mécanismes
de la formation dans l’écorce terrestre des gisements de combustibles
fossiles, pétrole, gaz et charbon. Puis, dans une seconde partie
de sa carrière, il a élargi ses recherches à l’énergie en
général, et à l’analyse des différentes sources d’énergie
disponibles pour l’humanité́ – renouvelables et non renouvelables.
Avec ce nouvel ouvrage rédigé dans un format original et très didactique
d’une vingtaine de lettres, il vise à sensibiliser un très large
public aux problématiques soulevées par une écologie scientifique
qu’il distingue bien de l’écologie politique et dont l’actualité
nous donne des exemples au quotidien. Une interview exclusive pour
Europeanscientist.
Voir
europeanscientist.com
Une
centaine d'aquarelles de cépages français
réalisées par l'illustre Pierre-Joseph Redouté,
ont été retrouvée à l'Académie
d'agriculture. Elles témoignent de la naissance
d'une science des vins.
Au
début du XIXe siècle, le minsitre de l'Intérieur
Jean-Antoine Chaptal demande à Pierre-Joseph Redouté,
connu pour ses peintures des roses du château de
Malmaison, de représenter l'ensemble des cépages
français réunis dans une collection au jardin
du Luxembourg. Quatre-vingt trois aquarelles sur vélin
de variétés de vignes nous sont parvenues.
Elles sont publiées pour la première fois
et accompagnée d'un texte explicatif de l'un des
plus grands ampélographes français : Jean-Michel
Boursiquot.
Ces planches ont une valeur patrimoniale incomparable.
Elles ont été réalisées par
les plus fameux illustrateurs botaniques de l'époque,
au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté
et marque une date hautement symbolique dans l'histoire
de la viticulture française : les prémices
de l'ampélographie.
À l'heure du regain d'intérêt pour
les cépages autochtones et des nombreuses interrogations
que posent le réchauffement climatique, les vélins
témoignent de la diversité passée
dans un pays où 95% de la production vinicole reposent
aujourd'hui sur 40 variétés. Au-delà
de la reproduction de ces planches, c'est l'histoire du
vin et de la vigne qui nous est racontée, ou comment
on s'est inquiété de la qualité du
vin dès le XIXe siècle. L'ouvrage se conclut
par un éclairage scientifique sur l'avenir de la
vigne au XXIe siècle.
Voir
editionspaulsen.com
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Du côté des étudiants d’AgroParisTech (voir ci-après)
Mon point de vue (GW) : Je me souviens avoir entendu ce discours
en mai 68 (j'avais 18 ans, et étais au lycée) par des "mao"
et des libertaires... Le résultat est qu'ils se sont pourris l'existence.
De fait, ce discours est un renoncement. Un renoncement à prendre
le monde tel qu’il est au prétexte qu’on ne peut le changer en mieux.
Ce qui est totalement faux. Tous les progrès réalisés depuis 200
ans et en particulier depuis la fin de la deuxième guerre mondiale
le prouvent.
Discours de renoncement, c’est aussi un discours défaitiste, nous
forçant à rendre les armes devant les terroristes du genre Poutine,
Mohamed Merah, Elon Musk ou Mark Zuckerberg…
Pendant leurs études, nos jeunes n'ont pas entendu parler de Steven
Pinker. Dommage. Il est de gauche, la gauche modérée seule efficace
et respectueuse de la démocratie, mais la gauche française qui aurait
pu en faire son héros, préfère de temps en temps les penseurs-nains
aux penseurs-géants.
Ces jeunes gens s'intéressent à la recherche appliquée. Très bien.
Dans les Instituts techniques agricoles, c'est ce que nous faisions
et c'est ce qui se fait encore. Mais c’est aussi ce qui se fait
dans le privé où on ne prend pas très longtemps les clients pour
des idiots sans prendre le risque de faire faillite.
Mais les compétences requises sont totalement différentes de celles
requises pour une recherche plus fondamentale. La connaissance du
milieu professionnel, des contraintes socio-économiques, de l'organisation
du travail comme de l'organisation des marchés sont nécessaires
et c'est même l'intérêt de la recherche appliquée, mais c'est ce
type de connaissance qui manque souvent à nos amis chercheurs, ou
enseignants (mais ils en ont d'autres bien entendu...)..
« Alignons notre pratique scientifique sur les enjeux impérieux
de ce siècle »
Face aux crises globales qui se dessinent, des étudiants des Écoles
normales supérieures s’engagent, dans une tribune au « Monde »,
pour une recherche impliquée, davantage connectée à la société.
Nous, étudiants et étudiantes au sein des Écoles normales supérieures
(ENS), prenons un engagement : revoir nos priorités dans le choix
de nos sujets de recherche, en alignant notre pratique scientifique
sur les enjeux impérieux de ce siècle.
Malgré de considérables avancées, l’état du monde actuel reste tragique
: populations vivant dans un dénuement extrême, fléau des maladies
infectieuses, fossé des inégalités, destruction des écosystèmes.
Dans les années à venir, l’intégrité même de nos sociétés est menacée
par l’émergence de crises globales – climatiques, géopolitiques,
technologiques – qui mettent en péril le potentiel formidable que
nous pourrions transmettre aux générations futures.
Les causes majeures qui maintiennent ce statu quo délétère se trouvent
bien souvent dans le champ d’action politique. Les sciences ne peuvent
apporter que des réponses partielles, mais, dans un monde de plus
en plus changeant et incertain, elles gardent un rôle essentiel.
En science non plus, l’inaction n’est pas sans conséquence. L’[organisation
non gouvernementale] International Science Council note que si le
système scientifique excelle à produire des connaissances ciblées,
ces dernières sont fragmentaires et souvent déconnectées des besoins
de la société. Pire encore, « trop souvent, la science soutient
la reproduction des systèmes et des modes de fonctionnement existants,
renforçant ainsi les formes de pouvoir social, économique et politique
».
La recherche ploie sous de nombreuses contraintes : le « publier
ou périr » (publish or perish), la compétition permanente, l’énergie
incroyable dépensée pour obtenir des financements, la pression sur
les jeunes chercheurs et chercheuses, l’appel incessant aux innovations
court-termistes. Le développement d’une recherche responsable devra
s’accompagner d’investissements sérieux, nous donnant les moyens
de mener une science de qualité, systémique, ouverte et transformatrice.
>>> Rapprocher la science de la société
Les prémices de cette refonte majeure sont déjà visibles dans la
volonté de lier les disciplines entre elles, de les rapprocher de
la société, de privilégier les voies de publication en accès ouvert,
et de défendre l’étendard des libertés académiques. A travers ces
libertés, nous défendons le pouvoir de décider des sujets que nous
souhaitons explorer, et surtout de le faire à bon escient.
Cette démarche, loin de l’opposition peu pertinente entre recherche
fondamentale et appliquée, ouvre la voie de la recherche impliquée
: partir de problèmes prioritaires soulevés au sein de la société
; trouver les voies de recherche les plus à même de progresser sur
des questions négligées ; s’engager directement dans ces voies,
ou bien fournir aux spécialistes de ces domaines les connaissances
et outils qui leur manquent pour progresser.
La beauté des sciences est parfois de n’avoir d’autre but que de
chercher à saisir la réalité qui nous entoure. Mais que restera-t-il
du vivant à étudier si nous n’avons rien fait pour l’empêcher de
s’effondrer ? Pourra-t-on encore monter de grands projets scientifiques
internationaux dans un monde où les conflits climatiques et technologiques
proliféreront ?
>>> Que restera-t-il du vivant à étudier si nous n’avons
rien fait pour l’empêcher de s’effondrer ?
Ainsi, la communauté mathématique peut mettre à profit sa connaissance
des systèmes complexes pour améliorer les modèles avec lesquels
les climatologues anticipent l’ampleur des sécheresses à venir,
ce qui sert ensuite aux agronomes pour mettre au point des variétés
résistantes. De même, des géographes et sociologues peuvent se saisir
de ces travaux pour identifier à l’avance les populations vulnérables
et des politiques d’adaptation efficaces. La recherche impliquée
est suffisamment riche pour que toutes les disciplines puissent
y participer et que la recherche fondamentale y trouve une place
essentielle.
La convention citoyenne pour le climat a déjà envoyé un signal fort
sur les efforts que nous sommes collectivement prêts à engager.
Il serait crucial que des délibérations se tiennent sur d’autres
questions, telles que la prise en considération du bien-être animal,
ou la place à donner au futur lointain dans nos décisions. Autant
d’orientations qui, guidées par cette boussole citoyenne, influenceront
la sélection des questions de recherche les plus urgentes à résoudre,
et dont tout le monde peut s’emparer. De nombreuses organisations
(l’International Science Council, Effective Thesis, etc.) se positionnent
déjà sur ce sujet et nous-mêmes avons lancé un collectif, EffiSciences,
pour regrouper leurs travaux et promouvoir une recherche impliquée.
Rejoindre une ENS est une chance, mais face à des choix décisifs
pour la suite de notre carrière, il est temps que cette reconnaissance
se traduise en un engagement concret. Nous ne pouvons pas seulement
avancer au gré de nos envies tout en ignorant notre impact. Nous
ne pouvons pas non plus repousser à l’aveugle les frontières de
la connaissance en comptant sur d’hypothétiques retombées positives.
Si nous voulons démultiplier le potentiel bénéfique de nos recherches,
nous devons viser des objectifs plus ambitieux puis tout mettre
en œuvre pour les réaliser.
Des étudiantes et étudiants des Écoles normales supérieures. La
liste complète des signataires sur EffiSciences.org.
Voir
lemonde.fr
Cent ans ! Les petits bonheurs d'un paysan de l'Ouest,
de Louis Lebourdais
Avec son infinie tendresse, Louis Lebourdais fait revivre
les êtres de son enfance, sa famille entre Sarthe et Normandie,
entre les guerres du XXe siècle : son oncle violoneux
puis charpentier, les chanteurs de rue, les chevaux qu’il
a appris à conduire avec son père, les jardinages, la
cuisine de sa mère à la cheminée de leur petite ferme.
Né en 1923, Louis raconte la saveur des nourritures simples,
les crêpes du Mardi-gras, le banquet du 14-juillet et
la fête du cochon. Des étincelles de bonheur pétillent,
des ritournelles fusent dans cette existence frugale et
rude mais semée de mélodies, de refrains et de rimes.
Après ses confidences dans Nos racines paysannes, Louis
publie un manuscrit écrit de sa main dans lequel il évoque
d’émouvantes rencontres, de Vittorio le maçon italien
à Youcef, soldat de la Libération – avec un magnifique
appétit de vie. Et toujours, des chansons.
Voir
armitiere.com
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Lettre ouverte de Sébastien Windsor aux étudiants d'AgroParisTech ;
16 mai 2022
Vous avez au cours de la cérémonie de remise des diplômes appelé
vos camarades à « déserter » pour ne pas contribuer à dégrader une
situation écologiquement et socialement préoccupante.
La situation est en effet préoccupante.
Comme agriculteur je vois chaque année de façon de plus en plus
prégnante l’effet du changement climatique. Comme élu de Chambre
d’agriculture je suis inquiet en lisant les projections des études
que nous pouvons mener pour comprendre l’impact du changement climatique
sur nos exploitations, sur notre capacité à nourrir les hommes.
Comme citoyen, comme père je m’interroge sur le monde que nous allons
laisser à nos enfants.
Mais je ne peux me résoudre à fermer les yeux, à ne pas agir, à
fuir mes responsabilités.
Comme vous le dites je ne laisserai pas « filer l’énergie qui est
en moi », je vais me battre pour trouver les solutions. Mais déserter,
c’est partir, s’isoler du reste du monde c’est quelque part laisser
filer cette énergie. Vivre dans une ZAD ou une montagne isolée,
c’est juste refuser d’accompagner la société dans sa transformation.
Vous entamez votre propos en indiquant ne pas voir « les ravages
sociaux et écologiques du monde actuel » comme des enjeux auxquels
vous devez trouver des solutions. Mais que voulez-vous faire ? Je
comprends votre impatience, votre envie de solutions fortes, radicales
et rapides, mais les actions les plus efficaces sont celles qui
feront bouger le plus grand nombre. En désertant votre impact sera
faible. Vous aurez la bonne conscience de ne pas avoir participé
aux difficultés du monde que vous dénoncez. Et comment avoir bonne
conscience si on n’aide pas ceux qui sont autour de nous ? J’essaye
de mesurer l’efficacité de mon travail à l’impact sur la situation
globale. Nous devons pouvoir faire mieux que de diminuer notre seule
empreinte environnementale même radicalement.
Vous considérez que « l’agro-industrie » a avili la paysannerie
française. C’est oublier que la mécanisation a surtout soulagé le
travail des agriculteurs. Qui voudrait aujourd’hui travailler comme
le faisaient nos grands-parents en arrachant des betteraves à la
fourche, en récoltant les blés à la faux ou trayant les vaches à
la main, en portant la quasi-totalité de la récolte à dos d’homme
en sac de 50 voir 100kg, en travaillant 7 jours sur 7 …pour finir
usé à 60 ans ? Ne niez pas le progrès encouragez le. En une génération
on a quasiment divisé par 3 la quantité d’engrais utilisée pour
produire une tonne de sucre et par plus de 10 la quantité d’eau
nécessaire pour irriguer 1 hectare. Alors oui il reste beaucoup
à faire et il faut aller plus encore plus loin, et c’est grâce notamment
au progrès scientifique que nous y parviendrons.
Vous affirmez que la science n’est pas neutre. Mais qui l’est plus
? La réalité est têtue et le bon sens paysan n’est que l’amorce
des observations scientifiques !
Dans vos propos vous refusez les énergies vertes parce qu’elles
« polluent à l’autre bout de la planète ». Alors que fait-on ? On
arrête tout : transport, santé, production, éducation pour ne plus
consommer d’énergie fossile ? Mais dans quel monde vivrons-nous
alors à part chaos insurrections et révoltes ! Développons méthanisation,
biocarburant 100% renouvelables, avec des règles qui assurent un
progrès constant. Produisons plus et mieux des énergies vertes !
Vous critiquez enfin les entreprises qui s’engagent dans des politiques
de RSE (responsabilité sociétale et environnementale), ne faisant
plus du profit leur seul driver au prétexte qu’elles font toutes
du green washing pour « masquer des crimes scandaleux ». Moi je
préfère qu’elles s’engagent dans le changement ! Analysez ce qu’elles
font, si elles mentent dénoncez les, mais encouragez celles qui
progressent. Expliquez à nos concitoyens que leurs produits sont
meilleurs que ceux de celles qui n’ont rien fait, plutôt que de
décrédibiliser leur action par un préjugé sans fondement.
Vous appelez ceux qui ont eu la chance d’accéder par leur formation
de haut niveau à la connaissance et au savoir à la désertion. Je
les invite plutôt à rejoindre les forces vives des structures qui
œuvrent au quotidien à faire bouger les lignes. Tout comme j’encourage
les jeunes à rejoindre nos écoles d’agronomie pour contribuer demain
à accompagner ces indispensables évolutions. Je suis fier d’être
né France et qu’une partie de mes impôts soit utilisée pour donner
les moyens à ceux qui veulent changer le monde de le faire plus
efficacement plus vite, mais aussi sans brutalité grâce à leur formation.
Mon discours n’est peut-être pas politiquement correct, mais je
veux porter la voix de ceux (agriculteurs, salariés d’entreprises,
enseignants) qui se mobilisent au quotidien pour faire évoluer les
pratiques agricoles et qui ont pu ressentir comme une injustice
le procès que vous leur intentez, sans même reconnaitre le travail
qu’ils ont accomplis. Par leur engagement quotidien ils ont contribué
à donner un accès à une nourriture de qualité à un prix acceptable
au plus grand nombre, tout en réduisant leur empreinte environnementale.
Ils ont fait de l’agriculture française la plus durable du monde
3 années de suite. ! Je leur dis BRAVO et invite tous ceux qui veulent
œuvrer pour un monde meilleur à les encourager ou les rejoindre.
Sébastien Windsor, Président des Chambres d'agriculture, ancien
Président de l'Acta
Voir
chambres-agriculture.fr
Érosion
de la biodiversité ? De Christian Levesque, membre de
l’Académie d’agriculture
L’érosion de la biodiversité est actuellement très médiatisée.
Les mouvements militants accusent les hommes de détruire
la nature et d’être responsables d’une sixième extinction
de masse. Or, cette communication est parfois basée sur
des amalgames, des idées trop partisanes, ainsi que sur
des relais médiatiques qui privilégient et amplifient
les informations alarmistes. Si la situation de certaines
populations est préoccupante, ce n’est pas un phénomène
général car d’autres sont en expansion. Il s’agit donc
de recontextualiser et de relativiser le débat pour mieux
définir les actions nécessaires.
« Érosion de la biodiversité » analyse de nombreuses publications
scientifiques ainsi que les discours anxiogènes, mettant
l’accent sur les multiples biais dans le traitement de
l’information. Cet ouvrage s’interroge sur la pertinence
de la notion d’espèce et sur l’ambition de dresser l’inventaire
du vivant. Il plaide pour une approche moins manichéenne
de nos rapports à la nature.
Voir istegroup.com
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Mother day
Few know the story of Ann Jarvis, the woman who inspired Mother’s
Day. Her life, which began in 1832, demonstrates both the difficulty
of motherhood in the past and the progress made since.
On the one hand, Ann was a champion of public health. She organized
clubs that attempted to reduce infant and child mortality by promoting
good sanitation and inspecting food for contamination.
On the other, Ann was a victim of her time, losing nine of her thirteen
children to now-preventable illnesses.
While Ann Jarvis fared worse than the statistical average, her
loss was not unusual for her time.
In 1850, the year Ann wed, the average woman lost two children
to premature death.
See
cato.org
Enjeux
biotechnologiques : des OGM à l’édition du génome, par
Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture
L’évolution des techniques de modification du génome par
génie génétique s’est caractérisée par une rupture technologique
majeure avec la découverte de CRISPR en 2012. On distingue
désormais les biotechnologies de première génération mises
au point au XXe siècle et les biotechnologies actuelles
de deuxième génération, les NGT ou New Genomic Techniques,
dont l’édition du génome. Comment considérer ces modifications
génomiques par rapport à celles qui se produisent spontanément
dans la nature ? Quelles sont les applications de ces
techniques dans les domaines du végétal, de l’animal et
de la santé humaine ? Quelles perspectives en termes de
développement et d’indépendance pour les pays ? Quelle
réglementation est en vigueur sur les différents continents
?
L’ouvrage questionne ce que sont les OGM, les produits
d’édition du génome et la place des transformations génomiques
aujourd’hui et demain dans nos sociétés. L’auteur se propose,
à partir de son expérience au Comité scientifique du Haut
Conseil des Biotechnologies (HCB) pendant toute sa durée
(2009-2021), de donner quelques repères géostratégiques
et réglementaires sur les biotechnologies afin de mieux
cerner les enjeux actuels.
Voir
pressesdesmines.com
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Courage, fuyons : AgroParisTech face à ses « déserteurs », par
Philippe Stoop, membre de l'Académie d'agriculture
.../...
Il n’est bien sûr pas question de critiquer le point de vue de ces
étudiants, un choix personnel qu'ils ont tout-à-fait le droit d'exprimer
(même si on peut regretter qu'ils aient choisi de le faire en dénigrant
leur école et leurs collègues qui ont fait d'autres choix).
Le sujet est simplement de savoir si la vocation d’Agro Paris Tech
est de former des ingénieurs prêts à améliorer le monde où nous
vivons, ou des étudiants qui préfèrent se retirer de ce monde pour
ne pas participer à sa dégradation. C’est de savoir si Agro Paris
Tech croit ou non au développement durable que les « déserteurs
» contestent. C’est sur ces questions que nous aurions aimé avoir
« la position d’AgroParisTech », et que nous l’attendons encore.
Voir
linkedin.com
EBBH
- Evidence Based Bonne Humeur… à la recherche de l’esprit
critique, un excellent livre de Romain Meunier !!!
>> Un ouvrage ludique et qui fait chauffer les neurones.
À mettre entre toutes les mains !
Francois-Marie BRÉON, président de L'Association française
pour l'information scientifique (Afis)
>> L’esprit critique se défend de toutes les façons,
même avec des petites boules bavardes et cartoonesques.
Romain Meunier nous démontre avec son livre qu’on peut
allier pertinence et impertinence.
Gérald BRONNER, sociologue, membre de l'Académie des technologies
Voir
Livre d’or
Voir la présentation
du livre et le commander
|
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Étudiants pour l'environnement : êtes-vous plutôt X ou AgroParisTech?
Par Philippe Stoop, membre de l'Académie d'agriculture
Après le buzz des "Déserteurs" d'AgroParisTech, certains
de leurs soutiens ont ressorti un discours d'élèves de Polytechnique
en 2019, pour laisser croire que d'autres grandes écoles seraient
sur la même ligne :
C'est pourtant tout le contraire, et la comparaison n'est pas flatteuse
pour l'Agro.
.../...
Voir
linkedin.com
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
02
- 19/05/2022 |
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L’éco-désertion : portrait d’une jeunesse endoctrinée perdue
pour la transition
…/…
>>> Thierry Curty : Le changement a besoin de compétences
!
« C’est un gâchis inouï d’intelligence, ils sont perdus pour
la transition. Des jeunes bien sympas, mais j’espère vraiment
qu’il n’y en aura pas trop qui suivront cette voie, parce
que si, la « croissance verte » (mais quel terme absurde)
ça existe. Non, ce qu’on entend dans ces discours engagés
n’a rien d’écologique, absolument rien, ça revient à ne rien
faire contre le réchauffement. Ça revient à soutenir un monde
à la Mad Max à terme.
Toute cette compétence gâchée… on peut comprendre que vous
refusiez de la mettre à disposition de l’agroalimentaire,
d’autant que ce que j’ai entendu est vrai sur la vie qui vous
attendrait en participant au système. Mais en quittant le
système pour ce que vous allez soutenir, vous ne contribuez
pas à le changer, mais à le perpétuer et le changement vous
perd, tout simplement.
La vérité est que le changement a besoin de compétences. En
allant rejoindre les éco-communautés, qui certes offrent une
certaine qualité de vie, c’est la transition écologique qui
perd des talents. La transition écologique c’est de l’intelligence,
de la complexité, qui nécessite de grandes compétences. Ces
jeunes, en acceptant l’idée de ne faire preuve d’aucune ambition
autre que de ne pas avoir d’ambition, privent la société de
leur contribution à un avenir possible.
C’est en réalité profondément égocentrique : « ce système
ne correspond pas à MES valeurs ». « JE VEUX autre chose ».
« JE ne mets pas MES compétences au service de »… Il n’y a
aucune « rébellion » dans leur action, juste de la lâcheté
égoïste. Ils auront une belle qualité de vie, mais en-dehors
du système, qu’ils contribueront ainsi à permettre de se perpétuer.
A noter que la ZAD NDDL a réussi à sauver les 2000 hectares
de landes, mais pour ça, on va doubler la voie SNCF jusqu’à
Paris et sacrifier 8000 hectares de nature. Sans compter l’agrandissement
de Nantes-Atlantique et la voie d’accès qu’on va créer à travers
la nature pour relier les territoires environnants, bien évidemment.
»
Voir
courantconstructif.com
Special Head Levitates and Shocks the Crowd - America's Got
Talent
Voir
vidéo à ne pas manquer
Shocking magic! I Lost my head! - America's Got Talent
/ Britain's Got Talent Parody
Voir
vidéo à ne pas manquer
Les 12 travaux de l'Hercule Gaulois, par Henri Beaumont,
dans Causeur, magazine genre "A droite, toute" ou
"Droite extrême" - 13 mai 2022
(1) Étouffer le lion de Némée(lenchon) à la peau impénétrable
(2) Tuer l’hydre populiste
(3) Capturer la biche d’Hénin Beaumont
(4) Ramener vivant le sanglier des Horizons havrais
(5) Nettoyer les écuries d’Augias et les comptes publics
(6) Tuer les oiseaux de malheur aux plumes venimeuses
(7) Dompter le taureau de la Reconquête
(8) Capturer les juments mangeuses d’hommes
(9) Rapporter à Birgitta – femme de César et reine des Amazones
– la ceinture d’Hippolyte
(10) Vaincre le géant Géryon tergeminus
(11) Faire pousser des pommes d’or dans les jardins de l’Elysée
(12) Descendre aux Enfers et enchaîner Poutine le Cerbère
Voir
artofuss.blog
Ma perception (GW) : Texte bien écrit. Mais l'œuvre d'un
de ces neurasthéniques et masochistes qui ne voient que ce
qui ne va pas, sans tenir compte que nous restons un des pays
les plus riches, avec l'espérance de vie en bonne santé parmi
les plus longues, avec des inégalités les moins fortes, etc.
Broyer du noir peut passer le temps, mais à force, cela ne
donne pas confiance à nos jeunes., alors même que nous avons
tous les atouts pour réussir ensemble.
Ce n’est pas pour autant que tout va bien… Ce dont nous avons
besoin, ce sont des pistes pour nous améliorer. Râler ne sert
à rien qu’à se faire plaisir.

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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BOURSE (La) : C'est un jeu dangereux : on gagne un jour, on perd
le lendemain. - Eh bien ! Je ne jouerai qu’un jour sur deux.
Henri BERGSON
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de lédition du 12 mai 2022 de cette gazette afia
>>> Last
issue of the Efita Newsletter nb 1039 dated May 16, 2022
>>> Last
available statistics for the efita newsletter
Bogdalle / Google Drive et Google Earth Pro
Avec sa nouvelle mise à jour, Bogballe (DK) automatise l’enregistrement
des données collectées dans les parcelles via le service de cloud
Google Drive. Un outil simple, gratuit qui facilite non seulement
la traçabilité imposée au Danemark comme dans d’autres pays, offre
bien d’autres avantages.
Voir
farm-connexion.com
Bakus, l'enjambeur électrique et autonome
Démonstration
Bakus, robot enjambeur autonome pour vignes, au Château de Santenay
en Bourgogne (mars 2021)
>> Sécurité
- 2 GPS RTK confirment la précision du positionnement et nous alertent
de tout déplacement suspect
- 2 centrales inertielles détectent des changements inhabituels de
la topographie qui provoquent le ralentissement et/ou l’arrêt de Bakus
- 12 détecteurs mécaniques répartis autour de Bakus provoquent l’arrêt
instantané en cas d’actionnement
- Équipé d’un arrêt d’urgence à distance, votre opérateur doit s’assurer
de la bonne conduite du robot, durant son mode autonome, dans les
rangs et lors des demi-tours
- Bakus permet d’éloigner l’opérateur des risques dus aux TMS (Troubles
Musculo Squelettiques), des risques de retournement et de l’exposition
aux traitements phytosanitaires.
>> Énergie
- La réserve énergétique de 75 kWh est stockée dans 4 batteries au
Lithium Ion
- L’efficience de l’énergie électrique permet une autonomie de +-
10h de travail et limite l’entretien
- Le temps de recharge des batteries est de 2h00 pour passer de 0
à 80% de charge
- L’énergie électrique permet un coût horaire de fonctionnement inférieur
à 2€
- Bakus améliore la RSE de l’exploitation
>> Écologie
- Bakus améliore le bilan carbone de l’exploitation
- L’enjambeur autonome permet de répondre aux exigences d’un travail
des sols sans herbicides
- Le poids, la répartition de la masse, la surface au sol et la pression
des pneumatiques permettent de limiter le tassement du sol
- Sa propulsion 100% électrique lui permet de travailler de jour et
de nuit avec une faible nuisance sonore
>> Les plus de Bakus
- Autonome en travail
- 100% électrique
- Précision RTK
- 1er intercep électrique connecté
- Puissance, maniabilité, simplicité
- Interrang à partir de 1 m
- Mises à jour régulières
- Outils modulaires
- Design
Voir vitibot.fr
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
03
- 19/05/2022 |
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CEOL by Agreenculture, robot agricole autonome
> Gain de temps
Le robot travaille en tout autonomie, sans pause et sans nécessiter
de supervision humaine.
Ainsi, une journée de huit heures de conduite d’un tracteur devient
une heure de gestion de CEOL.
L’objectif est de dégager du temps à l'agriculteur "le sortir
de sa cabine" pour qu'il puisse se concentrer sur des tâches
à plus forte valeur ajoutée.
> Écologie et respect des sols
Son système de motorisation hybride permet de diviser par 4 la consommation
de gasoil par rapport à un tracteur effectuant les mêmes tâches.
Léger et équipé de chenilles, CEOL passe plus fréquemment. Il entretient
le sol sans créer d’ornières.
> Précision centimétrique
La solution de guidage avec positionnement GNSS RTK développée par
Agreenculture offre un pilotage automatique d’une précision centimétrique
pour garantir un travail de qualité au plus près de la culture.
> Facilité de prise en main
CEOL a été conçu en collaboration avec des agriculteurs pour répondre
à leurs attentes.
En plus de sa mécanique et de sa maintenance simples, il est doté
d’options adaptées aux besoins de chacun.
Les interfaces de gestion de la machine faciles à prendre en main,
permettent d'automatiser la surface robotisée sur votre exploitation.
> Polyvalence et adaptabilité
CEOL est équipé d’un relevage trois points catégorie 1 lui permettant
de s’adapter à différents outils.
Il peut porter ou tracter une gamme d’équipements de différentes tailles
et ainsi robotiser une grande partie des travaux réalisés aujourd’hui
avec un tracteur.
Voir agreenculture.net/ceol
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
04
- 19/05/2022 |
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Désherbage localisé des chardons grâce aux images par drone
En 2021, l'ITB a testé avec la société Alteia une solution d'imagerie
drone pour cibler et traiter les ronds de chardons. Cette adventice
vivace est répartie en taches, et se prête bien à cette solution qui
permet de réduire l'IFT.
Voir
itbfr.org
Sciences et Pseudo-Sciences n°340 (avril 2022)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une
opinion !)
CAPITALISTE (Le) : Individu qui se rend en voiture climatisé
de son bureau à son club pour y prendre un bain de vapeur
Pierre DESPROGES
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Un ransomware déclenche un état d'urgence national
Le Costa Rica a décrété un état d'urgence cyber national après une
série d'attaques contre le secteur public avec le ransomware Conti.
Voir
silicon.fr
Les « clés de passe », remède universel aux mots de passe ?
Apple, Google et Microsoft se sont engagés à implémenter les « clés
de passe ».
En quoi consiste ce système d'authentification forte que pousse
l'alliance FIDO ?
Voir
silicon.fr
Assurtech : Alan dorénavant valorisée 2,7 milliards €
Alan, la licorne française de l'assurance santé en ligne, a levé
183 millions d'euros en série E, portant sa valorisation à 2,7 milliards
d'euros.
Voir
silicon.fr
Comment la RFID façonne la stratégie omnicanale de Decathlon
En équipant chacune de ses 100 000 références d'un tag RFID, l'enseigne
lilloise a développé des outils digitaux pour proposer
une expérience online et offline fluide à ses clients.
Voir
journaldunet.com
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
05
- 19/05/2022 |
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5 bonnes pratiques pour des services IT à distance, résilients
et fiables
De nombreux signes peuvent indiquer que votre équipe de services
IT peine à répondre aux besoins de votre entreprise et de vos collaborateurs.
Les backlogs des tâches, les faibles niveaux de satisfaction des
employés (et les nombreuses plaintes), la baisse de la productivité,
le nombre important d’escalades incluant des tâches urgentes et
les mauvaises performances par rapport aux niveaux de services convenus
en sont autant d’indicateurs.
Beaucoup d’entreprises utilisent un système rudimentaire de création
de tickets ou d’assistance IT, qui n’offre généralement pas la plupart
des fonctionnalités disponibles dans les solutions
ITSM (IT Service Management) modernes. Cela nuit à l’efficacité
du service IT et ne permet pas de fournir une expérience satisfaisante
aux employés. En outre, si un changement soudain affecte le travail
du personnel de l’entreprise, il n’y a aucun moyen de réagir.
Malheureusement, face aux attentes croissantes de ce monde en constante
évolution, sans un moyen efficace de gérer les demandes des employés,
les données et l’équipe IT, votre capacité d’assistance IT actuelle
aura du mal à suivre les objectifs de l’entreprise. Les services
IT doivent gagner en efficacité, et les entreprises ne peuvent pas
se permettre d’ignorer les services qui ne fournissent pas l’expérience
attendue.
Les attentes en matière de services IT de qualité sont de plus en
plus élevées, peu importe où travaillent les employés
Voir
livreblanc.silicon.fr
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BOURSE (La) : Comme Robinson Crusoé, celle de Wall Street a connu
un Vendredi noir.
Vincent HAUDIQUET
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Coup de chaud sur les marchés des céréales après la publication
du rapport de l’USDA
La messe est dite", l’USDA a communiqué ses premiers éléments
concernant ses prévisions pour la campagne 2022-2023. En blé, l’USDA
baisse ses stocks mondiaux de fin de campagne au regard des baisses
de production anticipées dans beaucoup de régions du monde. À date,
les stocks fin de campagne sont donc estimés à 267 millions de tonnes
(Mt), contre 279 Mt l’an passé et 291 Mt pour la campagne 2020-2021.
Ces baisses de production (en comparaison à la campagne 2021-2022)
valent pour le continent nord-américain et l’Union européenne (à
cause de la sécheresse).
…/…
Voir
cultivar.fr
Michelin : L’Evobib conçu pour le télégonflage, par Simon Billaud,
13/05/2022
Après avoir reçu une médaille d'or Sima de l'innovation en 2017
pour son pneu 2-en-1, Michelin lance une nouvelle version de son
pneu Evobib. Le Michelin Evobib est le premier pneu agricole du
marché spécifiquement conçu pour être utilisé avec les systèmes
de télégonflage, ce qui permet d'obtenir d’excellentes performances
sur route et dans les champs grâce à sa conception adaptative.
.../...
Voir
grostracteurspassion.com
Le miscanthus, une litière pour animaux performante et durable
Voir
france-miscanthus.org
La charge de mécanisation des exploitations agricoles - Rapport
n° 20064 : La transition agroécologique face à l'augmentation continue
des charges de mécanisation, par Hervé Durand et Dominique Tremblay,
13/09/2021
Voir
agriculture.gouv.fr
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris),
1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)
06
- 19/05/2022 |
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Les surfaces d’oléagineux en hausse au détriment du maïs
pour la campagne 2022-2023
Les services statistiques du ministère de l’Agriculture ont
mis à jour leurs prévisions de semis pour la campagne 2022-2023.
Cela nous donne une idée des premières estimations des emblavements
des cultures de printemps, notamment ceux des cultures oléagineuses.
Concernant le colza, sans retrouver le niveau des cinq dernières
années, les surfaces progressent de 18,4 % par rapport à l’an
passé pour s’établir à 1,16 million d’hectares. Pour le tournesol,
comme attendu, les surfaces progressent de 8,5 % par rapport
à 2021 et de 17,8 % par rapport à la moyenne 2017-2021. La
sole totale est estimée à 758 000 hectares. Les surfaces de
soja sont aussi en hausse, mais pas dans les mêmes proportions.
Elles sont estimées à 160 000 hectares.
.../...
Voir
cultivar.fr
Les oléagineux, grands gagnants des assolements 2021-2022
Selon Agreste, les surfaces de colza, tournesol et soja progressent
respectivement de 18,4%, 8,5% et 3,9%, au détriment des céréales
et protéagineux. Betteraves et pommes de terre sont stables.
…/…
Voir
pleinchamp.com/
Face à la sécheresse, le gouvernement déploie son 1er plan
d’actions post-Varenne
Selon le ministère de l’Agriculture, les déficits de recharge
des nappes et de pluviométrie en avril auront un impact sur
les rendements des cultures d’hiver, ainsi que sur la production
d’herbe. Le Varenne étant passé par là, le gouvernement déploie
un arsenal de mesures à court et moyen terme visant à limiter
les dégâts.
Voir
pleinchamp.com
Trop de nourriture de médiocre qualité /
Too much wrong food
01
- 19/05/2022 |
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Mortalité infantile / Maternal Mortality
02
- 19/05/2022 |
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Un guide consacré à l’autonomie en protéines
Pour accroître l'autonomie en protéines d'une exploitation
ou d'un territoire, il existe une grande diversité de leviers
pouvant être actionnés avec plus ou moins d'efficacité selon
les contextes (techniques, pédoclimatiques, géographiques,
économiques, etc.). Dans ce guide, Pleinchamp vous propose
d'aborder les grandes familles de solutions pour tendre vers
l'objectif de l'autonomie en protéines.
1 - Autonomie en protéines : enjeux et intérêts
2 - Appréhender les besoins protéiques des ruminants
3 - Valoriser les prairies pour accroître l'autonomie protéique
4 - Produire des cultures fourragères riches en protéines
5 - Produire et consommer localement des concentrés protéiques
6 - Transformer et stocker les ressources alimentaires protéiques
Voir
pleinchamp.com
Du côté
d'Auguste Derrière
1
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Dollar contre livre sterling, un histoire compliquée /
Dollar vs Pound complicated relationship
03
- 19/05/2022 |
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Les fournisseurs de logiciels "as a service" ont de
beaux jours devant eux / SAS solutions have a bright future
04
- 19/05/2022 |
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Trois faucheurs d’OGM condamnés à payer plus de 400 000 euros,
AFP, 12/05/2022
Trois « faucheurs » d’OGM ont été condamnés mercredi à Toulouse
à verser plus de 400 000 € d’indemnisations, après avoir « neutralisé
» en 2017 des parcelles de tournesol près de Gardouch (Haute-Garonne),
a indiqué à l’AFP un de ces militants.
« Nous allons faire appel » de la décision du tribunal correctionnel,
a ajouté Jean-Claude Julien, précisant qu’ils avaient également
été condamnés à trois mois de prison avec sursis.
Selon le Collectif de faucheuses et faucheurs volontaires d’OGM,
cette décision fait suite à « un simulacre de procès », à savoir
l’audience du 30 mars, au cours de laquelle, affirment-ils, ils
ont été « interdits de parole ».
Le 17 août 2017, des membres de ce collectif avaient annoncé avoir
« neutralisé » la nuit précédente des parcelles cultivées dans le
cadre du projet « Syppre », mené dans différentes régions françaises
par des instituts techniques agricoles.
Ils avaient justifié cette action par « la certitude qu’une ou plusieurs
variétés rendues tolérantes aux herbicides (VRTH) y sont cultivées
», lesquelles « sont des organismes génétiquement modifiés ». Ils
avaient ajouté avoir « la certitude que rien dans ces essais n’est
fait pour arriver à proscrire l’usage des pesticides », et dénoncé
« le manque total de transparence de ces recherches et des variétés
étudiées ».
L’Institut du végétal (Arvalis), l’Institut technique de la betterave
(ITB) et l’Institut technique des oléagineux (Terres Inovia) avaient
porté plainte peu après.
Les essais « visent à mettre au point des systèmes de production
agroécologiques en tenant compte des spécificités locales », assuraient-ils.
Voir
ouest-france.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BOURSE (La) : Il y a deux cas dans lesquels un homme ne devrait
pas spéculer : quand il n'en a pas les moyens et quand il en a.
Mark TWAIN
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du
côté des écrivains et artistes paysans |
> Le
fonds de livres de l’AEAP : Jacqueline Bellino et Marie-Mad Chauvin
devant la mémoire de nos terroirs mise en rayons
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BOURSE (La) : Le seul endroit où l'on ne peut se faire comprendre
qu'en parlant le langage des cours.
Gérard de ROHAN CHABOT.
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Connaître la biodiversité pour développer des solutions de
lutte biologique concourant à la santé globale
17 mai 2022 - Web Télé de l'AAF ou via l'école où vous emmenez
les petits au cinéma....
La lutte biologique vise à la protection des plantes par le recours
aux mécanismes et interactions qui régissent les relations entre
espèces dans le milieu naturel. Ainsi, le principe de cette lutte
est fondé sur la gestion des équilibres des populations d’agresseurs
plutôt que sur leur éradication.
Les luttes biologiques par acclimatation, augmentation ou conservation
sont des voies importantes pour réduire le recours à la chimie
de synthèse mais elle induit d’importants besoins de caractérisation
et de gestion de la biodiversité pour construire des stratégies
efficaces et limiter les éventuels effets non-intentionnels sur
les écosystèmes.
Ce webinaire présentera dans un premier temps le contenu et l’organisation
du MOOC Nectar, construit par une équipe de 15 enseignants chercheurs
ou chercheurs, pour répondre aux besoins de formation à l’identification
des arthropodes et des nématodes, ravageurs et auxiliaires.
Deux exemples de construction de stratégies de lutte biologique
seront ensuite présentés : l’un sur l’utilisation Nesidiocoris
volucer en tomate sous abri, dans un contexte insulaire à l’ile
de Réunion puis l’autre sur l’évaluation d’un parasitoïde exotique,
Ganaspis cf. brasiliensis, contre Drosophila suzukii, en lutte
biologique par acclimatation.
Voir
agreenium.fr
Ikebana – art floral japonais -The power of flowers
17 - 21 mai - PARIS
Cette manifestation prestigieuse s’intègre dans le programme du
25ème anniversaire d’Ikebana International Paris et se tiendra
du 17 au 21 mai à la Maison de la Culture du Japon. Le grand maître
de l’école Koryu Rion-Kai, le Iemoto Riou Udagawa, offrira au
public un beau panel d’activités très varié.
Voir
mcjp.fr
Comment intéresser à la biodiversité, par Bernard Chevassus-au-Louis
19 mai - SNHF - 14h30-16h30 - PARIS
Voir
snhf.org
Du côté de ebbh.fr… Fuzzy Concept : Le fils de l’homme (Ep
#103)
Biodiversité - L’érosion du vivant, le rôle de l’agriculture,
par André Fougeroux, membre de l'Académie d'agriculture
19 mai 2022 - BIARRITZ
Débat organisé par l’Université du Temps Libre et l’Afis Pays
de l’Adour Entrée libre
André Fougeroux est ingénieur agricole, membre correspondant de
l’Académie d’agriculture et apiculteur amateur.
Depuis la conférence de Rio en 1992, la question de la biodiversité
et de son érosion a pris une ampleur planétaire. De nombreuses
études montrent une érosion inquiétante dans beaucoup de régions
du globe. Le rapport 2019 de l’IPBES – la plateforme intergouvernementale
scientifique et politique sur la biodiversité et les services
écosystémiques – estime qu’environ 1 million d’espèces animales
et végétales sont aujourd’hui menacées d’extinction, notamment
au cours des prochaines décennies... En France métropolitaine
par exemple, 14 % des mammifères, 24 % des reptiles, 23 % des
amphibiens, 32 % des oiseaux nicheurs mais aussi 22 % des poissons
d’eau douce et 28 % des crustacés d’eau douce seraient en danger
? De son côté, la liste rouge de l’UICN (Union internationale
pour la conservation de la nature) alerte sur la disparition de
15 % des espèces d’orchidées...
Dans de multiples lieux et pays comme la France la biodiversité
résulte d’une co-construction avec les activités humaines et on
estime que l’Homme a modifié les trois quarts de l’environnement
terrestre. Aujourd’hui la question de la préservation de la biodiversité
semble urgente... Protéger d’accord, mais pour restaurer quoi
?
>>> L’agriculture : problème ou solution ?
Les causes de cette érosion sont multiples et l’agriculture n’est
pas la seule activité concernée. La forêt, l’urbanisation, l’artificialisation
des sols, la gestion des zones marines, les transports ont leur
part de responsabilité. Les effets du changement climatique ont
également une influence sur son évolution. En métropole française,
les surfaces agricoles qui représentent plus de la moitié du territoire
jouent un rôle prépondérant... Dépendante directement de mécanismes
liés à la biodiversité, notre agriculture demeure un facteur de
création de richesse et de diversité du vivant. Mais elle peut
aussi être l’inverse : un facteur de régression.
Par cette conférence, André Fougeroux présente un panorama de
la biodiversité en zone agricole... Heureusement, il nous expliquera
aussi qu’il existe de nombreuses pistes pour améliorer la situation
!
Voir
afis.org
La science entre délibération sociale et décision politique
: quels débats pour l’expertise ?
25 mai 2022 - 14H30 – Paris ou sur youtube.com
Les débats actuels (climat, transitions, pesticides, perturbateurs
endocriniens...) montrent les difficultés qu'il y a à corréler
expertise scientifique et débat public. Les objectifs, les méthodes,
les acteurs de l'espace public et des enceintes scientifiques
ne coïncident pas. Le débat est d'autant plus difficile lorsque
son enjeu réside dans la prise d'une décision politique. La traduction
politique de la Convention citoyenne sur le climat a permis de
s'en rendre compte concrètement.
En réalité, les scientifiques, les acteurs de la société civile
et les représentants politiques pensent et agissent dans des espaces
sociaux aux horizons et à la temporalité différents. Il peut en
résulter frustration et méfiance. S'y ajoutent des tensions entre
les scientifiques eux-mêmes, notamment liées à leurs rapports
différents à la connaissance, et les médias galvaudent parfois
les débats en invitant des "experts" autoproclamés.
La période de la pandémie du corona virus l'a suffisamment montré.
De fait, l'expertise n'est pas réservée aux scientifiques et les
scientifiques sont aussi citoyens. On assiste régulièrement à
des échanges entre des scientifiques qui intègrent des valeurs
citoyennes et des citoyens (entrepreneurs, syndicalistes, associatifs,
fonctionnaires …) qui expriment des faits scientifiques ou, souvent,
travaillent avec. Dans ce cadre, quels modèles de débats l’expertise
multi acteurs peut-elle engendrer ?
L'académie d'agriculture de France, qui réunit en son sein et
avec ses partenaires tous les acteurs nécessaires à un débat social,
scientifique et politique documenté, peut apporter des réponses
à cette question que la séance du 25 mai invite à poser.
Le philosophe J. Habermas l'avait éclairée dans une conférence
en 1965, reprise ensuite dans un livre "Connaissance et intérêt"
(Gallimard, 1979). Il y montrait l’importance pour le débat du
dévoilement des intérêts en présence, distinguant l’intérêt de
la connaissance, pour l’objet, et l’intérêt pour la connaissance,
pour la méthode. Si l’intérêt pour la connaissance est au centre
de la démarche du scientifique et des débats disciplinaires, l’intérêt
pour l’objet ouvre la porte à d’autres intérêts, associés à des
valeurs liées à l’action, aux sources de financement de la recherche
ou à la valorisation économique.
Au regard de la connaissance, il y a l'enjeu de réussir à mettre
en commun des faits, à organiser leur diversité et à s’accorder
sur la question qu'ils appellent à poser. Si la science repose
sur des faits, ceux-ci ne sont pas la propriété ni l'apanage des
scientifiques. Ils émanent aussi d'initiatives sociales d'origine
diverse. Des biais, des intérêts, des a priori peuvent alors fragiliser
l’expertise et brouiller le débat. Ils sont différents selon que
le débat est ou non d'emblée scientifique. L'exemple du statut
juridique des animaux montre un débat qui est sociétal (par ex.,
faut-il traiter les animaux comme des personnes ?) et ne fait
qu'intégrer des éléments scientifiques (typologie des animaux,
degré de sensibilité…). D'autres débats sont scientifiques (la
dangerosité de certains intrants chimiques) tout en comportant
une dimension sociale (l'acceptabilité). C'est pourquoi, au regard
de la place de l’expertise, la question des modèles, des formats
de débats est ainsi posée au pluriel.
Voir
academie-agriculture.fr
Du côté de ebbh.fr… Fuzzy Concept : Le flou à ses limites (Ep
#104)
Biotechnologies végétales et changement climatique - 11ème
colloque de l’AFBV
11 octobre 2022 - Goethe Institut Paris
Le changement climatique, avec les dérèglements associés et leurs
conséquences sur les cultures et la forêt constitueront le cadre
de ce colloque.
Viendront ensuite des exemples d’apports potentiels des biotechnologies
à l’adaptation des plantes à ces changements sous forme de synthèse
des résultats acquis pour les principaux caractères d’adaptation
: tolérance à la sécheresse, à des températures élevées, stratégies
d’évitement, résistance aux bioagresseurs, efficience de l’absorption
des nitrates, augmentation de la fixation du dioxyde de carbone.
Pour terminer seront illustrés les travaux en cours chez le blé
et les forêts par la sélection conventionnelle et les biotechnologies.
https://www.biotechnologies-vegetales.com/wp-content/uploads/2022/02/Colloque22-768x461.png
Voir
biotechnologies-vegetales.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BOURSE (La) : Lourde, elle rend le cœur léger.
Ernest RENAN
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du côté des gazettes et des blogs agricoles
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Du côté de vitisphere.com… Tocsin de glace, Par Alexandre Abellan
Le 13 mai 2022
Soupir de soulagement dans le vignoble ce vendredi 13 mai : avec
la saint Servais passée, les risques de gel semblent désormais
réduits à néant. Si les météorologues soupirent d’incompréhension
devant ce qu’ils considèrent être l’incompréhensible survivance
d’une croyance populaire, le trio des Saints de glace (avec saint
Mamert le 11 mai et saint Pancrace le 12) permet aux vignerons
de se dire que pour les gelées, c’est passé ! Après un début avril
marqué par des alertes rappelant l’épreuve du millésime 2021,
il y aura globalement eu plus de peur que de mal (même si les
vignobles qui ne sont pas passés entre les mailles du filet sont
bien amochés).
Un risque en chassant un autre, c’est désormais la peur du manque
d’eau qui pèse sur nombre d’esprits vignerons. Si certains vignobles
sont épargnés par ce déficit hydrique (notamment dans le Languedoc),
la sécheresse inquiète depuis longtemps déjà les vignerons (notamment
de Provence, mais pas que). Les faibles précipitations de cette
saison ne font pas regretter les trop fortes pluies de l’an passé
(marqué par une pression mildiou historique). Si les nuages de
pluie sont attendus avec impatience, ceux orageux sont toujours
craints.
Avec « cette bourrasque, ces roulements dans le ciel, ces lourdes
gouttes glacées. Elles claquaient sur les tuiles au point que
j’ai eu peur de la grêle ; j’ai cru que mon cœur s’arrêtait »
écrit François Mauriac dans le Nœud de vipères (publié en 1932).
Lui-même propriétaire d’un domaine viticole à Bordeaux (le domaine
Malagar), l’écrivain pose avec virtuosité les risques inhérents
à un vignoble soumis aux aléas climatiques.
…/…
Voir
vitisphere.com
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
07
- 19/05/2022 |
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Du côté de pleinchamp.com... Prix du blé : vers l’infini et
au-delà ? Par Adèle Magnard
>>> Il y a quelques jours, ce seuil psychologique semblait
si difficile à franchir en raison du frein qu’il pourrait constituer
pour les acheteurs. Et voilà qu’il a été dépassé le 12 mai, établissant
un nouveau record.
Le manque de blé ukrainien sur le marché mondial en raison de
la guerre reste un élément de soutien des cours. Selon les experts,
la production ukrainienne de blé serait amputée d’un tiers par
rapport à l’an dernier, avec une baisse de 11,5 millions de tonnes,
et les exportations du pays divisés de moitié.
Dans un rapport qui était très attendu des analystes, le ministère
américain de l’agriculture (USDA) a dressé ce 12 mai un premier
aperçu de la production et des échanges mondiaux pour la campagne
2022-2023. Selon l’USDA, la production mondiale de blé est estimée
à 774,8 millions de tonnes (Mt), en baisse de 4,5 Mt par rapport
à 2021-2022. C’est la première fois depuis quatre ans que la production
mondiale de blé serait en diminution. Le rapport affiche par ailleurs
une hausse du commerce mondial de blé à un niveau record. Conséquence
: les stocks de fin de campagne se retrouveraient au plus bas
niveau depuis six ans. L’Union européenne, en particulier, affiche
un stock de fin de campagne historiquement faible, à 10,61 Mt.
Ce rapport très haussier est venu accentuer la lancée des cours
du blé vers un horizon qu’il est difficile d’imaginer, tant les
incertitudes (géopolitiques, climatiques…) sont désormais exacerbées.
Rappelons-nous qu’il y a un an, le blé se négociait aux alentours
des 200 €/t…
.../...
À contrario, il est un pays où les perspectives de rendements,
de production et d’exportation sont bonnes, voire très bonnes
: la Russie, qui conserve sa place de grenier du monde malgré
la guerre sans merci livrée par Poutine sur le continent européen.
Selon l’USDA, le pays resterait cette année le premier exportateur
mondial de blé. Les sanctions internationales et les contraintes
logistiques lui mettront-ils des bâtons dans les roues ? Rien
n’est moins sûr, tant le pays a réussi à se rendre indispensable,
aussi bien sur le front de l’énergie et des engrais, que sur celui
des grains.
Voir
pleinchamp.com
Du côté
d'Auguste Derrière
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Du côté d’André Heitz
> 20
% de bio à l'horizon 2012, 30 % de bio d'ici 2030 (en Allemagne)
> Dans
l'Opinion : « Thierry Blandinières (In Vivo): "Il est temps de
réagir et de réenvisager l’agriculture européenne, avec son plein
potentiel"
> Quatre
façons dont les OGM peuvent sauver des vies
> Les
agriculteurs sont les fantassins de la guerre contre la faim
> Bjørn
Lomborg dans le Wall Street Journal : « La crise en Ukraine révèle
la folie de l'agriculture biologique »
> Une
expertise collective sur les pesticides et leurs effets invitée dans
la campagne des législatives
> Des
chercheurs africains : les vaccins contre les tiques permettent d'éviter
l'utilisation de pesticides dangereux
> La
technologie des serres peut aider à nourrir l'Afrique
> La
faim et le Green Deal ne peuvent être gérés sans l'amélioration des
plantes moderne
> Célébrations
mondiales de la Saint-Isidore le Laboureur, le saint patron de l'agriculture
(republié)
> Petite
glissade à AgroParisTech... gros dérapages politiques et médiatiques
> M.
Dominique Chargé dans Figarovox : « Il est urgent d'ériger l'alimentation
en grande cause du quinquennat »
> AgroParisTech:
le happening «thunbergien» atterre le monde agricole et ulcère les
donateurs
Emmanuelle Ducros Par Emmanuelle Ducros
> Courage,
fuyons : AgroParisTech face à ses « déserteurs »
Du côté du ministère de l’Agriculture
> ÉcophytoPIC
: un portail web pour tout savoir sur la protection intégrée des culturesv
> Ces
innovations qui transforment l'action publique...
> Services
Publics +, le programme pour des services publics plus proches, plus
simples, plus efficaces lancé il y a un an
> «
Alim’confiance » : les résultats des contrôles sanitaires accessibles
à tous
> Novembre,
le mois de l’innovation publique (en 2021)
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
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- 19/05/2022 |
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Du côté du CGAAER (ministère de l’Agriculture et de l'Alimentation)
> Évaluation de la convention d’objectifs et de gestion de la Mutualité
sociale agricole dans la perspective de son renouvellement
> La forêt usagère de la Teste de Buch en Gironde
> Avenir de la station nucicole expérimentale de Creysse et perspectives
de la filière noix du Sud-Ouest
> Évaluation du fonctionnement des structures chargées de la préparation
à l’installation en agriculture
> Évaluation de la coopération technique et institutionnelle du
ministère
> Place de la France dans les politiques agricoles en Afrique
Voir agriculture.gouv.fr
Du côté de la Fnsea
> Elisabeth
Borne, nommée Première Ministre
La FNSEA félicite Madame Elisabeth Borne pour sa nomination au poste
de Première Ministre. Cette prise de fonction est la reconnaissance
du parcours d’une femme engagée au service de l’intérêt général. Sa
nomination est un signe de volonté d’écoute et de dialogue, notamment
avec les corps intermédiaires.
Selon les souhaits du Président de la République, Mme Elisabeth Borne
assumera une mission inédite de planification écologique.
Pour l’agriculture, c’est un changement de cap majeur. Il s’agit de
sortir des décisions de court terme subies par les agriculteurs au
jour le jour et de construire, dans le dialogue et avec des objectifs
clairs, la ligne directrice qui doit guider l’action du pays en matière
environnementale.
Pour y parvenir, et enfin donner de la lisibilité aux agriculteurs
qui investissent sur le temps long, la FNSEA rappelle que cette planification
doit se concilier avec l’objectif de souveraineté alimentaire et s’appuyer
sur tous les travaux menés par le monde agricole et son environnement
en matière de recherche, de développement et d’innovations, notamment
en termes de pratiques, qui ont permis à l’agriculture française de
prendre le virage de la transition écologique.
Dans cette optique, la FNSEA réaffirme deux priorités. D’une part,
la nécessité d’œuvrer rapidement pour la souveraineté alimentaire
française et européenne, qui repose sur une production dynamique sur
le territoire, et un accès de tous à une alimentation sûre, saine
et durable. En première ligne, la mise en œuvre du Chèque Alimentaire,
proposé par la FNSEA et repris dans le programme du Président de la
République, ne peut souffrir aucun retard dans le contexte inflationniste
actuel.
D’autre part, il s’agit de donner à l’agriculture toute sa place dans
les arbitrages de la planification écologique, dans un dialogue équilibré
entre économie, écologie et production agricole durable, alors même
que la question du revenu des agriculteurs reste en suspens depuis
trop d’années. La réussite de cette mission passe nécessairement par
la prise en compte du potentiel de solutions de l’agriculture pour
la préservation de la biodiversité, pour le stockage du carbone mais
aussi pour la transition énergétique liée à la production d’énergies
renouvelables d’origine agricole.
Ces défis stratégiques doivent ainsi être placés sous l’égide d’un
« Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire » de
plein exercice.
C’est ainsi que nous parviendrons à réussir le défi de concilier production
alimentaire pour tous et mise en place d’objectifs ambitieux mais
réalistes permettant à l’agriculture d’être le premier contributeur
à la lutte contre le réchauffement climatique et à la préservation
de l’environnement.
Du côté
de la Fnsea (suite)
> Renégociations
commerciales : il y a maintenant urgence à conclure de nouveaux tarifs
A la veille d’un nouveau comité de suivi des relations commerciales,
la FNSEA et Jeunes Agriculteurs alertent sur l’urgence de conclure
rapidement les négociations commerciales, réouvertes depuis maintenant
près de deux mois. Il n’est pas admissible – alors que les distributeurs
se sont engagés à travers une charte initiée par les pouvoirs publics
– que les enseignes continuent de gagner du temps pour ne pas boucler
les négociations.
La FNSEA et Jeunes Agriculteurs le rappellent systématiquement en
comité de suivi :
- La flambée de tous les intrants (énergie, engrais, aliments…) est
accrue par la guerre en Ukraine, et le coût de l’alimentation animale
ne risque pas de se détendre avec la sécheresse qui sévit en France
;
- La décapitalisation dans le secteur bovin (-110 000 têtes en un
an sur le secteur allaitant) ou encore la réduction de la production
laitière (-0,8 % à fin février sur un an) justifient la pleine application
d’EGalim2 pour une meilleure rémunération des producteurs.
Plutôt que d’invoquer un quelconque « chantage à la livraison » qui
serait mis en place par les fournisseurs de la grande distribution
selon les dires de certaines enseignes, il faut regarder la situation
avec lucidité : elle est grave et elle nécessite d’être responsable
dans les paroles comme dans les actes. L’heure n’est plus temps aux
discussions, il faut acter les renégociations tout en gardant comme
principe phare EGalim2, qui sécurise le prix de la matière première
agricole, construit à l’amont en fonction des indicateurs de coût
de production et de marché. Ces indicateurs sont mis à jour régulièrement
par les interprofessions et relayés par FranceAgriMer, ils doivent
être intégrés et respectés dans les négociations contractuelles de
l’amont jusqu’à l’aval !
Pour la FNSEA et Jeunes Agriculteurs, les renégociations doivent aboutir
avant la fin du mois de mai, une date butoir non négociable, avec
le risque – si elle n’est pas respectée – de mettre en danger toutes
nos filières et par conséquent l’approvisionnement des Français !
Personne ne souhaite en arriver là, il est donc urgent de conclure
les renégociations commerciales.
Du côté d'Auguste Derrière
3
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Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
09
- 19/05/2022 |
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BIEN (Le) : Il est dans le bon usage que l'on fait de n'importe quoi.
Marcel JOUHANDEAU
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (2)
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Saveur douce-amère d’une histoire sur le temps qui passe
Avez-vous cette pancarte qu’une maman excédée affiche devant sa maison
à l’adresse de son fils adolescent :
- Quitte la maison maintenant, pendant que tu sais encore tout !
Deux Belges regardent le catalogue de la Redoute et voient les
mannequins
L'un dit à l'autre :
- As-tu vu les belles filles qu'il y a dans le catalogue ?
- Oui, putain qu'elles sont belles !
- As-tu vu le prix ?
- En effet, elles sont vraiment pas chères. À ce prix, moi je m'en
achète une.
- Bonne idée, commande-la et si elle est aussi belle que dans le catalogue,
moi aussi je m'en achète une.
Trois semaines plus tard, le Belge demande à son ami :
- Au fait, la fille que tu as commandée dans le catalogue La Redoute,
est-elle arrivée ?
- Non ! Mais ça devrait pas tarder car j'ai reçu ses vêtements hier.
Contrepoints - Législatives 2022 : les macronistes pas encore élus
et déjà anticonstitutionnels (??? – GW)
L’investiture des candidats du groupe « Ensemble » pour les législatives
de juin prochain est conditionnée à la signature d’une charte comprenant
12 engagements. Un moyen pour la majorité de garder ses élus au plus
près, mais complètement illégal car contraire à la Constitution …
Voir
contrepoints.org
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
Ma remarque (GW) : Je ne pense pas que ce soit illégal de demander
à un candidat de s’engager à voter les budgets correspondant
au projet sur lequel il demande aux électeurs de le choisir. Le minimum
pour l’élu est de respecter ses engagements, ou alors je n’y comprends
plus rien.
Je considère même que lorsqu'on se présente à une élection dans le
camp majoritaire, on s'engage à soutenir la majorité à laquelle on
appartient, et que en cas de désaccord, on devrait démissionner.
Être élu n'est pas une aventure personnelle.
Le yuan, encore un nain ? / The yuan, still limited
05
- 19/05/2022 |
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L'inflation au Royaume-Uni, toujours forte dans les mois à venir
? / Inflation in UK relainig high for a while ?
06
- 19/05/2022 |
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La France en panne de "top sectors", par Claude Sicard
- 17 mai 2022
.../...
Il reste donc à la France un très long chemin à parcourir pour recréer
un tissu industriel suffisamment important qui permette de s’acheminer
sur la voie d’un moindre déficit de sa balance commerciale. Par une
approche économétrique très simple on constate qu’il faut en moyenne
qu’un pays ait un secteur industriel représentant environ 13,5 % du
PIB pour que sa balance commerciale soit en équilibre. Pour l’instant,
nous en sommes seulement à 10 % du PIB.
Voir
contrepoints.org
AgroParisTech: le happening «thunbergien» atterre le monde agricole
et ulcère les donateurs, par Emmanuelle Ducros
Voir
lopinion.fr
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
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Gabriel Gersztenkorn, mieux connu sous son nom de « plume »
ou plutôt de théâtre, Gabriel Garran, est décédé le 6 mai 2021 à l’âge
de 93 ans
Il aura été acteur, réalisateur et metteur en scène de théâtre, fondateur
du Théâtre de la Commune d’Aubervilliers, directeur du Théâtre International
de la langue française...
Voir
L'ange divulgué de Gabriel Garran
Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468,
par Maître François (Lyon, BM)
10
- 19/05/2022 |
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A first thought for today
Neither genius, fame, nor love show the greatness of the soul. Only
kindness can do that.
Jean Baptiste Henri LACORDAIRE, preacher, journalist, and activist
(1802-1861)
A second thought for today
Man can be the most affectionate and altruistic of creatures, yet
he's potentially more vicious than any other. He is the only one who
can be persuaded to hate millions of his own kind whom he has never
seen and to kill as many as he can lay his hands on in the name of
his tribe or his God.
Benjamin SPOCK, pediatrician and author (1903-1998)
A third thought for today
Peace has a mind of its own and doesn't follow victory around.
Norman CORWIN, writer, producer, and teacher (1910-2011)
La livre sterling n'a pas encore récupéré sa valeur d'avant le
référendum qui a conduit au Brexit / The pound before - after Brexit
07
- 19/05/2022 |
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Augmentation des prix de produits de base au Royaume-Uni / Inflation
of basic products prices
08
- 19/05/2022 |
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Since 1980, the time price of gasoline has fallen 4 percent…
However, the most popular car in the U.S. today gets 55 percent more
miles per gallon than the top-selling car in 1980.
That means you can drive 62 percent farther for your time today than
in 1980.
See
humanprogress.org
John Snow, a 19th-century English physician.
Snow was the first person to use maps and data records to track the
spread of a disease back to its source, providing the foundation for
modern epidemiology.
See video
See
paper
To Hobble Putin, Accelerate the Brain Drain
A proposal that would help Russian scientists and tech professionals
to emigrate serves to undermine the Kremlin while benefiting the
U.S. and its allies.
See
bloomberg.com
I look at my government differently’: losses in Ukraine test
Russians’ faith, by Andrew Roth and Pjotr Sauer, 17 May 2022 (cela
va faire de la peine aux amis de Poutine, de Mélenchon à Le Pen
!)
Information about the war’s damage is leaking out, angering soldiers’
families and even discouraging the invasion’s backers.
A photograph provided by Ukrainian armed forces showing destroyed
or damaged Russian armoured vehicles on the banks of the Donets
River. Photograph: AP
See
theguardian.com/
L'immobilier à Londres et au Royaume-Uni / London and UK Real
Estate Market
09
- 19/05/2022 |
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Les cryptos dans le même bateau / Cryptos all in the same boat
10
- 19/05/2022 |
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Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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Marché US des actions encore haut / US Stock markets still
high
11
- 19/05/2022 |
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La nourriture plus chère que jamais / Expensive food
12
- 19/05/2022 |
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Average wages
Average wages are obtained by dividing the national-accounts-based
total wage bill by the average number of employees in the total economy,
which is then multiplied by the ratio of the average usual weekly
hours per full-time employee to the average usually weekly hours for
all employees.
This indicator is measured in USD constant prices using 2016 base
year and Purchasing Power Parities (PPPs) for private consumption
of the same year.
A mettre en rapport avec le nombre d’heures de travail par an
Old Rabbi Cohen retires to a nursing home
And a new young rabbi is employed by the community.
On his first Shabbat in his new post, they are about to start reading
from the Torah when a huge, heated argument breaks out over whether
you should stand or sit during the reading of the Ten Commandments.
The following day, the traumatized young rabbi goes to visit his predecessor
and asks him, “Rabbi Cohen, I need your advice. What is the custom
of our community when we read the Ten Commandments?”
Rabbi Cohen replies, “Why do you ask?”
“Well, because yesterday we read the Torah portion containing that
important section, and half of the community sat, while half of the
community stood, and the ones who were sitting were yelling and screaming
at the ones who were standing and the ones who were standing were
yelling and screaming at the ones sitting!”
“Ah,” replied Rabbi Cohen, “Now that’s our custom.”
Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone
d’informatique agricole (Afia)
Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia
Do not miss the Virus Jokes in English and French
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