Du côté du web et de l’informatique agricole n° 22 du 19 mai 2022

Du côté du web et de l'informatique agricole n° 22 du 19 mai 2022

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AFIA


Association
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d'Informatique en Agriculture


Du côté du web et de l'informatique agricole 22 - 2022
(parution hebdomadaire depuis janvier 1998)

Châtenay-Malabry, 19 mai 2022



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Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture où règne une intéressante pluralité de points de vue !
Une ressource trop méconnue.
Voir academie-agriculture.fr


Académie d’agriculture de France : saviez-vous que sur notre chaîne @YouTube : + de 1200 #abonnés ont accès gratuitement à + de 200 #vidéos #fakechecking #agriculture #forêts #alimentation #environnement ?
Voir youtube.com/


Avant l’informatique : Vintage tractors

 


Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France

Enrichi de documents originaux récents...:
- 195 fiches " Question sur... "
- 106 fiches " Bois-Forêt "
- 57 fiches " Repères "
- 23 " Vidéos "
L'ensemble de ces 381 documents a été établi grâce aux contributions de 132 membres de la Compagnie et de 40 experts extérieurs.
Voir bibliotheque.academie-agriculture.fr (moteur de recherche)

Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture l’alimentation et l’environnement.
Voir academie-agriculture.fr (présentation du fond)
Contact : André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

01 - 19/05/2022  


Annual update of global data on polio

Polio is an infectious disease that is caused and transmitted by the poliovirus. Most infections do not lead to any symptoms, but—among the unvaccinated—between 1 in 50 and 1 in 500 infections result in paralysis. For some it leads to death.

At the start of the 20th century, polio was endemic worldwide, with large epidemic outbreaks every year. But with the development of two vaccines in the 1950s, countries began eliminating polio one by one.

Today, the world is very close to eradicating polio — but there is still work to be done. Several countries recently reported a rise in new polio cases.

We updated our entry on polio to include new charts, updated estimates, and more data on the recent rise of cases. You can also learn much more about polio and humanity’s history of fighting the disease.

See ourworldindata.org
 


Saint Isidore le laboureur (fêté le 15 mai à Madrid en particulier)

Voir fr.wikipedia.org  


COVID-19 update: Where are confirmed COVID deaths rising or falling across the world?

Daily data on confirmed COVID deaths does not necessarily refer to deaths that occurred on that day — but to the deaths reported on that day.

Since reporting can vary significantly from day to day irrespectively of any actual variation in deaths, it is helpful to look at changes from week to week. This provides a slightly clearer picture of where the pandemic is accelerating or slowing down.

The map here shows the percentage change in the number of confirmed deaths in the last seven days relative to the number in the seven days before that.

→ Explore our global vaccination dataset, alongside cases, deaths, hospitalizations, testing, and other metrics by country in our COVID Data Explorer.




Alfred de Vigny

J’ai beaucoup de mal à lire les romantiques ; ils m’assoupissent.

Donc, une fois n’est pas coutume, voici seulement un extrait…

Vous sentez-vous nageur ? incertain ?

Vigny dans ses ondes aurait-il pressenti Einstein ?

Peut-être bien : un monde d’ondes insondables selon nos sens, où nous nageons, malgré tout...


 

L’homme sera toujours… de Alfred de Vigny (1797 - 1863)
in Les destinées


L’homme sera toujours un nageur incertain
Dans les ondes du temps qui se mesure et passe


Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com

 



Nageurs, Joaquin Sorolla, Xàbia, 1905
Museo Sorolla

Voir connaissancedesarts.com


 


Les écologistes politiques se servent des écologistes sincères, Interview de Bernard Durand

Bernard Durand vient de publier un nouvel ouvrage intitulé Lettres à un(e) écologiste sincère. Ingénieur, chercheur et naturaliste, cet auteur familier de nos colonnes a fait carrière dans le secteur de l’énergie.

Il a notamment contribué à l’élucidation des mécanismes de la formation dans l’écorce terrestre des gisements de combustibles fossiles, pétrole, gaz et charbon. Puis, dans une seconde partie de sa carrière, il a élargi ses recherches à l’énergie en général, et à l’analyse des différentes sources d’énergie disponibles pour l’humanité́ – renouvelables et non renouvelables.

Avec ce nouvel ouvrage rédigé dans un format original et très didactique d’une vingtaine de lettres, il vise à sensibiliser un très large public aux problématiques soulevées par une écologie scientifique qu’il distingue bien de l’écologie politique et dont l’actualité nous donne des exemples au quotidien. Une interview exclusive pour Europeanscientist.
Voir europeanscientist.com


Une centaine d'aquarelles de cépages français réalisées par l'illustre Pierre-Joseph Redouté, ont été retrouvée à l'Académie d'agriculture. Elles témoignent de la naissance d'une science des vins.

Au début du XIXe siècle, le minsitre de l'Intérieur Jean-Antoine Chaptal demande à Pierre-Joseph Redouté, connu pour ses peintures des roses du château de Malmaison, de représenter l'ensemble des cépages français réunis dans une collection au jardin du Luxembourg. Quatre-vingt trois aquarelles sur vélin de variétés de vignes nous sont parvenues.

Elles sont publiées pour la première fois et accompagnée d'un texte explicatif de l'un des plus grands ampélographes français : Jean-Michel Boursiquot.

Ces planches ont une valeur patrimoniale incomparable. Elles ont été réalisées par les plus fameux illustrateurs botaniques de l'époque, au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté et marque une date hautement symbolique dans l'histoire de la viticulture française : les prémices de l'ampélographie.

À l'heure du regain d'intérêt pour les cépages autochtones et des nombreuses interrogations que posent le réchauffement climatique, les vélins témoignent de la diversité passée dans un pays où 95% de la production vinicole reposent aujourd'hui sur 40 variétés. Au-delà de la reproduction de ces planches, c'est l'histoire du vin et de la vigne qui nous est racontée, ou comment on s'est inquiété de la qualité du vin dès le XIXe siècle. L'ouvrage se conclut par un éclairage scientifique sur l'avenir de la vigne au XXIe siècle.
Voir editionspaulsen.com


Du côté des étudiants d’AgroParisTech (voir ci-après)

Mon point de vue (GW) : Je me souviens avoir entendu ce discours en mai 68 (j'avais 18 ans, et étais au lycée) par des "mao" et des libertaires... Le résultat est qu'ils se sont pourris l'existence. De fait, ce discours est un renoncement. Un renoncement à prendre le monde tel qu’il est au prétexte qu’on ne peut le changer en mieux. Ce qui est totalement faux. Tous les progrès réalisés depuis 200 ans et en particulier depuis la fin de la deuxième guerre mondiale le prouvent.

Discours de renoncement, c’est aussi un discours défaitiste, nous forçant à rendre les armes devant les terroristes du genre Poutine, Mohamed Merah, Elon Musk ou Mark Zuckerberg…

Pendant leurs études, nos jeunes n'ont pas entendu parler de Steven Pinker. Dommage. Il est de gauche, la gauche modérée seule efficace et respectueuse de la démocratie, mais la gauche française qui aurait pu en faire son héros, préfère de temps en temps les penseurs-nains aux penseurs-géants.

Ces jeunes gens s'intéressent à la recherche appliquée. Très bien. Dans les Instituts techniques agricoles, c'est ce que nous faisions et c'est ce qui se fait encore. Mais c’est aussi ce qui se fait dans le privé où on ne prend pas très longtemps les clients pour des idiots sans prendre le risque de faire faillite.

Mais les compétences requises sont totalement différentes de celles requises pour une recherche plus fondamentale. La connaissance du milieu professionnel, des contraintes socio-économiques, de l'organisation du travail comme de l'organisation des marchés sont nécessaires et c'est même l'intérêt de la recherche appliquée, mais c'est ce type de connaissance qui manque souvent à nos amis chercheurs, ou enseignants (mais ils en ont d'autres bien entendu...)..


« Alignons notre pratique scientifique sur les enjeux impérieux de ce siècle »

Face aux crises globales qui se dessinent, des étudiants des Écoles normales supérieures s’engagent, dans une tribune au « Monde », pour une recherche impliquée, davantage connectée à la société.

Nous, étudiants et étudiantes au sein des Écoles normales supérieures (ENS), prenons un engagement : revoir nos priorités dans le choix de nos sujets de recherche, en alignant notre pratique scientifique sur les enjeux impérieux de ce siècle.

Malgré de considérables avancées, l’état du monde actuel reste tragique : populations vivant dans un dénuement extrême, fléau des maladies infectieuses, fossé des inégalités, destruction des écosystèmes. Dans les années à venir, l’intégrité même de nos sociétés est menacée par l’émergence de crises globales – climatiques, géopolitiques, technologiques – qui mettent en péril le potentiel formidable que nous pourrions transmettre aux générations futures.

Les causes majeures qui maintiennent ce statu quo délétère se trouvent bien souvent dans le champ d’action politique. Les sciences ne peuvent apporter que des réponses partielles, mais, dans un monde de plus en plus changeant et incertain, elles gardent un rôle essentiel. En science non plus, l’inaction n’est pas sans conséquence. L’[organisation non gouvernementale] International Science Council note que si le système scientifique excelle à produire des connaissances ciblées, ces dernières sont fragmentaires et souvent déconnectées des besoins de la société. Pire encore, « trop souvent, la science soutient la reproduction des systèmes et des modes de fonctionnement existants, renforçant ainsi les formes de pouvoir social, économique et politique ».

La recherche ploie sous de nombreuses contraintes : le « publier ou périr » (publish or perish), la compétition permanente, l’énergie incroyable dépensée pour obtenir des financements, la pression sur les jeunes chercheurs et chercheuses, l’appel incessant aux innovations court-termistes. Le développement d’une recherche responsable devra s’accompagner d’investissements sérieux, nous donnant les moyens de mener une science de qualité, systémique, ouverte et transformatrice.

>>> Rapprocher la science de la société

Les prémices de cette refonte majeure sont déjà visibles dans la volonté de lier les disciplines entre elles, de les rapprocher de la société, de privilégier les voies de publication en accès ouvert, et de défendre l’étendard des libertés académiques. A travers ces libertés, nous défendons le pouvoir de décider des sujets que nous souhaitons explorer, et surtout de le faire à bon escient.

Cette démarche, loin de l’opposition peu pertinente entre recherche fondamentale et appliquée, ouvre la voie de la recherche impliquée : partir de problèmes prioritaires soulevés au sein de la société ; trouver les voies de recherche les plus à même de progresser sur des questions négligées ; s’engager directement dans ces voies, ou bien fournir aux spécialistes de ces domaines les connaissances et outils qui leur manquent pour progresser.

La beauté des sciences est parfois de n’avoir d’autre but que de chercher à saisir la réalité qui nous entoure. Mais que restera-t-il du vivant à étudier si nous n’avons rien fait pour l’empêcher de s’effondrer ? Pourra-t-on encore monter de grands projets scientifiques internationaux dans un monde où les conflits climatiques et technologiques proliféreront ?

>>> Que restera-t-il du vivant à étudier si nous n’avons rien fait pour l’empêcher de s’effondrer ?

Ainsi, la communauté mathématique peut mettre à profit sa connaissance des systèmes complexes pour améliorer les modèles avec lesquels les climatologues anticipent l’ampleur des sécheresses à venir, ce qui sert ensuite aux agronomes pour mettre au point des variétés résistantes. De même, des géographes et sociologues peuvent se saisir de ces travaux pour identifier à l’avance les populations vulnérables et des politiques d’adaptation efficaces. La recherche impliquée est suffisamment riche pour que toutes les disciplines puissent y participer et que la recherche fondamentale y trouve une place essentielle.

La convention citoyenne pour le climat a déjà envoyé un signal fort sur les efforts que nous sommes collectivement prêts à engager. Il serait crucial que des délibérations se tiennent sur d’autres questions, telles que la prise en considération du bien-être animal, ou la place à donner au futur lointain dans nos décisions. Autant d’orientations qui, guidées par cette boussole citoyenne, influenceront la sélection des questions de recherche les plus urgentes à résoudre, et dont tout le monde peut s’emparer. De nombreuses organisations (l’International Science Council, Effective Thesis, etc.) se positionnent déjà sur ce sujet et nous-mêmes avons lancé un collectif, EffiSciences, pour regrouper leurs travaux et promouvoir une recherche impliquée.

Rejoindre une ENS est une chance, mais face à des choix décisifs pour la suite de notre carrière, il est temps que cette reconnaissance se traduise en un engagement concret. Nous ne pouvons pas seulement avancer au gré de nos envies tout en ignorant notre impact. Nous ne pouvons pas non plus repousser à l’aveugle les frontières de la connaissance en comptant sur d’hypothétiques retombées positives. Si nous voulons démultiplier le potentiel bénéfique de nos recherches, nous devons viser des objectifs plus ambitieux puis tout mettre en œuvre pour les réaliser.

Des étudiantes et étudiants des Écoles normales supérieures. La liste complète des signataires sur EffiSciences.org.
Voir lemonde.fr



Cent ans ! Les petits bonheurs d'un paysan de l'Ouest, de Louis Lebourdais

Avec son infinie tendresse, Louis Lebourdais fait revivre les êtres de son enfance, sa famille entre Sarthe et Normandie, entre les guerres du XXe siècle : son oncle violoneux puis charpentier, les chanteurs de rue, les chevaux qu’il a appris à conduire avec son père, les jardinages, la cuisine de sa mère à la cheminée de leur petite ferme.

Né en 1923, Louis raconte la saveur des nourritures simples, les crêpes du Mardi-gras, le banquet du 14-juillet et la fête du cochon. Des étincelles de bonheur pétillent, des ritournelles fusent dans cette existence frugale et rude mais semée de mélodies, de refrains et de rimes.

Après ses confidences dans Nos racines paysannes, Louis publie un manuscrit écrit de sa main dans lequel il évoque d’émouvantes rencontres, de Vittorio le maçon italien à Youcef, soldat de la Libération – avec un magnifique appétit de vie. Et toujours, des chansons.

Voir armitiere.com


Lettre ouverte de Sébastien Windsor aux étudiants d'AgroParisTech ; 16 mai 2022

Vous avez au cours de la cérémonie de remise des diplômes appelé vos camarades à « déserter » pour ne pas contribuer à dégrader une situation écologiquement et socialement préoccupante.

La situation est en effet préoccupante.

Comme agriculteur je vois chaque année de façon de plus en plus prégnante l’effet du changement climatique. Comme élu de Chambre d’agriculture je suis inquiet en lisant les projections des études que nous pouvons mener pour comprendre l’impact du changement climatique sur nos exploitations, sur notre capacité à nourrir les hommes. Comme citoyen, comme père je m’interroge sur le monde que nous allons laisser à nos enfants.

Mais je ne peux me résoudre à fermer les yeux, à ne pas agir, à fuir mes responsabilités.

Comme vous le dites je ne laisserai pas « filer l’énergie qui est en moi », je vais me battre pour trouver les solutions. Mais déserter, c’est partir, s’isoler du reste du monde c’est quelque part laisser filer cette énergie. Vivre dans une ZAD ou une montagne isolée, c’est juste refuser d’accompagner la société dans sa transformation.

Vous entamez votre propos en indiquant ne pas voir « les ravages sociaux et écologiques du monde actuel » comme des enjeux auxquels vous devez trouver des solutions. Mais que voulez-vous faire ? Je comprends votre impatience, votre envie de solutions fortes, radicales et rapides, mais les actions les plus efficaces sont celles qui feront bouger le plus grand nombre. En désertant votre impact sera faible. Vous aurez la bonne conscience de ne pas avoir participé aux difficultés du monde que vous dénoncez. Et comment avoir bonne conscience si on n’aide pas ceux qui sont autour de nous ? J’essaye de mesurer l’efficacité de mon travail à l’impact sur la situation globale. Nous devons pouvoir faire mieux que de diminuer notre seule empreinte environnementale même radicalement.

Vous considérez que « l’agro-industrie » a avili la paysannerie française. C’est oublier que la mécanisation a surtout soulagé le travail des agriculteurs. Qui voudrait aujourd’hui travailler comme le faisaient nos grands-parents en arrachant des betteraves à la fourche, en récoltant les blés à la faux ou trayant les vaches à la main, en portant la quasi-totalité de la récolte à dos d’homme en sac de 50 voir 100kg, en travaillant 7 jours sur 7 …pour finir usé à 60 ans ? Ne niez pas le progrès encouragez le. En une génération on a quasiment divisé par 3 la quantité d’engrais utilisée pour produire une tonne de sucre et par plus de 10 la quantité d’eau nécessaire pour irriguer 1 hectare. Alors oui il reste beaucoup à faire et il faut aller plus encore plus loin, et c’est grâce notamment au progrès scientifique que nous y parviendrons.

Vous affirmez que la science n’est pas neutre. Mais qui l’est plus ? La réalité est têtue et le bon sens paysan n’est que l’amorce des observations scientifiques !

Dans vos propos vous refusez les énergies vertes parce qu’elles « polluent à l’autre bout de la planète ». Alors que fait-on ? On arrête tout : transport, santé, production, éducation pour ne plus consommer d’énergie fossile ? Mais dans quel monde vivrons-nous alors à part chaos insurrections et révoltes ! Développons méthanisation, biocarburant 100% renouvelables, avec des règles qui assurent un progrès constant. Produisons plus et mieux des énergies vertes !

Vous critiquez enfin les entreprises qui s’engagent dans des politiques de RSE (responsabilité sociétale et environnementale), ne faisant plus du profit leur seul driver au prétexte qu’elles font toutes du green washing pour « masquer des crimes scandaleux ». Moi je préfère qu’elles s’engagent dans le changement ! Analysez ce qu’elles font, si elles mentent dénoncez les, mais encouragez celles qui progressent. Expliquez à nos concitoyens que leurs produits sont meilleurs que ceux de celles qui n’ont rien fait, plutôt que de décrédibiliser leur action par un préjugé sans fondement.

Vous appelez ceux qui ont eu la chance d’accéder par leur formation de haut niveau à la connaissance et au savoir à la désertion. Je les invite plutôt à rejoindre les forces vives des structures qui œuvrent au quotidien à faire bouger les lignes. Tout comme j’encourage les jeunes à rejoindre nos écoles d’agronomie pour contribuer demain à accompagner ces indispensables évolutions. Je suis fier d’être né France et qu’une partie de mes impôts soit utilisée pour donner les moyens à ceux qui veulent changer le monde de le faire plus efficacement plus vite, mais aussi sans brutalité grâce à leur formation.

Mon discours n’est peut-être pas politiquement correct, mais je veux porter la voix de ceux (agriculteurs, salariés d’entreprises, enseignants) qui se mobilisent au quotidien pour faire évoluer les pratiques agricoles et qui ont pu ressentir comme une injustice le procès que vous leur intentez, sans même reconnaitre le travail qu’ils ont accomplis. Par leur engagement quotidien ils ont contribué à donner un accès à une nourriture de qualité à un prix acceptable au plus grand nombre, tout en réduisant leur empreinte environnementale. Ils ont fait de l’agriculture française la plus durable du monde 3 années de suite. ! Je leur dis BRAVO et invite tous ceux qui veulent œuvrer pour un monde meilleur à les encourager ou les rejoindre.

Sébastien Windsor, Président des Chambres d'agriculture, ancien Président de l'Acta

Voir chambres-agriculture.fr



Érosion de la biodiversité ? De Christian Levesque, membre de l’Académie d’agriculture

L’érosion de la biodiversité est actuellement très médiatisée. Les mouvements militants accusent les hommes de détruire la nature et d’être responsables d’une sixième extinction de masse. Or, cette communication est parfois basée sur des amalgames, des idées trop partisanes, ainsi que sur des relais médiatiques qui privilégient et amplifient les informations alarmistes. Si la situation de certaines populations est préoccupante, ce n’est pas un phénomène général car d’autres sont en expansion. Il s’agit donc de recontextualiser et de relativiser le débat pour mieux définir les actions nécessaires.

« Érosion de la biodiversité » analyse de nombreuses publications scientifiques ainsi que les discours anxiogènes, mettant l’accent sur les multiples biais dans le traitement de l’information. Cet ouvrage s’interroge sur la pertinence de la notion d’espèce et sur l’ambition de dresser l’inventaire du vivant. Il plaide pour une approche moins manichéenne de nos rapports à la nature.

Voir istegroup.com


Mother day

Few know the story of Ann Jarvis, the woman who inspired Mother’s Day. Her life, which began in 1832, demonstrates both the difficulty of motherhood in the past and the progress made since.

On the one hand, Ann was a champion of public health. She organized clubs that attempted to reduce infant and child mortality by promoting good sanitation and inspecting food for contamination.

On the other, Ann was a victim of her time, losing nine of her thirteen children to now-preventable illnesses.

See humanprogress.org
 


While Ann Jarvis fared worse than the statistical average, her loss was not unusual for her time.

In 1850, the year Ann wed, the average woman lost two children to premature death.

See cato.org


Enjeux biotechnologiques : des OGM à l’édition du génome, par Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture

L’évolution des techniques de modification du génome par génie génétique s’est caractérisée par une rupture technologique majeure avec la découverte de CRISPR en 2012. On distingue désormais les biotechnologies de première génération mises au point au XXe siècle et les biotechnologies actuelles de deuxième génération, les NGT ou New Genomic Techniques, dont l’édition du génome. Comment considérer ces modifications génomiques par rapport à celles qui se produisent spontanément dans la nature ? Quelles sont les applications de ces techniques dans les domaines du végétal, de l’animal et de la santé humaine ? Quelles perspectives en termes de développement et d’indépendance pour les pays ? Quelle réglementation est en vigueur sur les différents continents ?

L’ouvrage questionne ce que sont les OGM, les produits d’édition du génome et la place des transformations génomiques aujourd’hui et demain dans nos sociétés. L’auteur se propose, à partir de son expérience au Comité scientifique du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) pendant toute sa durée (2009-2021), de donner quelques repères géostratégiques et réglementaires sur les biotechnologies afin de mieux cerner les enjeux actuels.

Voir pressesdesmines.com

 
Courage, fuyons : AgroParisTech face à ses « déserteurs », par Philippe Stoop, membre de l'Académie d'agriculture
.../...
Il n’est bien sûr pas question de critiquer le point de vue de ces étudiants, un choix personnel qu'ils ont tout-à-fait le droit d'exprimer (même si on peut regretter qu'ils aient choisi de le faire en dénigrant leur école et leurs collègues qui ont fait d'autres choix).

Le sujet est simplement de savoir si la vocation d’Agro Paris Tech est de former des ingénieurs prêts à améliorer le monde où nous vivons, ou des étudiants qui préfèrent se retirer de ce monde pour ne pas participer à sa dégradation. C’est de savoir si Agro Paris Tech croit ou non au développement durable que les « déserteurs » contestent. C’est sur ces questions que nous aurions aimé avoir « la position d’AgroParisTech », et que nous l’attendons encore.
Voir linkedin.com



EBBH - Evidence Based Bonne Humeur… à la recherche de l’esprit critique, un excellent livre de Romain Meunier !!!

>> Un ouvrage ludique et qui fait chauffer les neurones. À mettre entre toutes les mains !
Francois-Marie BRÉON, président de L'Association française pour l'information scientifique (Afis)

>> L’esprit critique se défend de toutes les façons, même avec des petites boules bavardes et cartoonesques. Romain Meunier nous démontre avec son livre qu’on peut allier pertinence et impertinence.
Gérald BRONNER, sociologue, membre de l'Académie des technologies

Voir Livre d’or
Voir la présentation du livre et le commander


Étudiants pour l'environnement : êtes-vous plutôt X ou AgroParisTech? Par Philippe Stoop, membre de l'Académie d'agriculture

Après le buzz des "Déserteurs" d'AgroParisTech, certains de leurs soutiens ont ressorti un discours d'élèves de Polytechnique en 2019, pour laisser croire que d'autres grandes écoles seraient sur la même ligne :

C'est pourtant tout le contraire, et la comparaison n'est pas flatteuse pour l'Agro.
.../...
Voir linkedin.com


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

02 - 19/05/2022  


L’éco-désertion : portrait d’une jeunesse endoctrinée perdue pour la transition
…/…
>>> Thierry Curty : Le changement a besoin de compétences !

« C’est un gâchis inouï d’intelligence, ils sont perdus pour la transition. Des jeunes bien sympas, mais j’espère vraiment qu’il n’y en aura pas trop qui suivront cette voie, parce que si, la « croissance verte » (mais quel terme absurde) ça existe. Non, ce qu’on entend dans ces discours engagés n’a rien d’écologique, absolument rien, ça revient à ne rien faire contre le réchauffement. Ça revient à soutenir un monde à la Mad Max à terme.

Toute cette compétence gâchée… on peut comprendre que vous refusiez de la mettre à disposition de l’agroalimentaire, d’autant que ce que j’ai entendu est vrai sur la vie qui vous attendrait en participant au système. Mais en quittant le système pour ce que vous allez soutenir, vous ne contribuez pas à le changer, mais à le perpétuer et le changement vous perd, tout simplement.

La vérité est que le changement a besoin de compétences. En allant rejoindre les éco-communautés, qui certes offrent une certaine qualité de vie, c’est la transition écologique qui perd des talents. La transition écologique c’est de l’intelligence, de la complexité, qui nécessite de grandes compétences. Ces jeunes, en acceptant l’idée de ne faire preuve d’aucune ambition autre que de ne pas avoir d’ambition, privent la société de leur contribution à un avenir possible.

C’est en réalité profondément égocentrique : « ce système ne correspond pas à MES valeurs ». « JE VEUX autre chose ». « JE ne mets pas MES compétences au service de »… Il n’y a aucune « rébellion » dans leur action, juste de la lâcheté égoïste. Ils auront une belle qualité de vie, mais en-dehors du système, qu’ils contribueront ainsi à permettre de se perpétuer.

A noter que la ZAD NDDL a réussi à sauver les 2000 hectares de landes, mais pour ça, on va doubler la voie SNCF jusqu’à Paris et sacrifier 8000 hectares de nature. Sans compter l’agrandissement de Nantes-Atlantique et la voie d’accès qu’on va créer à travers la nature pour relier les territoires environnants, bien évidemment. »

Voir courantconstructif.com


Special Head Levitates and Shocks the Crowd - America's Got Talent

Voir vidéo à ne pas manquer


Shocking magic! I Lost my head! - America's Got Talent / Britain's Got Talent Parody
Voir vidéo à ne pas manquer


Les 12 travaux de l'Hercule Gaulois, par Henri Beaumont, dans Causeur, magazine genre "A droite, toute" ou "Droite extrême" - 13 mai 2022

(1) Étouffer le lion de Némée(lenchon) à la peau impénétrable
(2) Tuer l’hydre populiste
(3) Capturer la biche d’Hénin Beaumont
(4) Ramener vivant le sanglier des Horizons havrais
(5) Nettoyer les écuries d’Augias et les comptes publics
(6) Tuer les oiseaux de malheur aux plumes venimeuses
(7) Dompter le taureau de la Reconquête
(8) Capturer les juments mangeuses d’hommes
(9) Rapporter à Birgitta – femme de César et reine des Amazones – la ceinture d’Hippolyte
(10) Vaincre le géant Géryon tergeminus
(11) Faire pousser des pommes d’or dans les jardins de l’Elysée
(12) Descendre aux Enfers et enchaîner Poutine le Cerbère
Voir artofuss.blog


Ma perception (GW) : Texte bien écrit. Mais l'œuvre d'un de ces neurasthéniques et masochistes qui ne voient que ce qui ne va pas, sans tenir compte que nous restons un des pays les plus riches, avec l'espérance de vie en bonne santé parmi les plus longues, avec des inégalités les moins fortes, etc.

Broyer du noir peut passer le temps, mais à force, cela ne donne pas confiance à nos jeunes., alors même que nous avons tous les atouts pour réussir ensemble.
Ce n’est pas pour autant que tout va bien… Ce dont nous avons besoin, ce sont des pistes pour nous améliorer. Râler ne sert à rien qu’à se faire plaisir.


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Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

BOURSE (La) : C'est un jeu dangereux : on gagne un jour, on perd le lendemain. - Eh bien ! Je ne jouerai qu’un jour sur deux.
Henri BERGSON

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr




Informatique et numérique agricole


Du côté des gazettes afia et efita

>>> Statistiques de l’édition du 12 mai 2022 de cette gazette afia

>>> Last issue of the Efita Newsletter nb 1039 dated May 16, 2022

>>> Last available statistics for the efita newsletter


Bogdalle / Google Drive et Google Earth Pro

Avec sa nouvelle mise à jour, Bogballe (DK) automatise l’enregistrement des données collectées dans les parcelles via le service de cloud Google Drive. Un outil simple, gratuit qui facilite non seulement la traçabilité imposée au Danemark comme dans d’autres pays, offre bien d’autres avantages.
Voir farm-connexion.com


Bakus, l'enjambeur électrique et autonome

Démonstration Bakus, robot enjambeur autonome pour vignes, au Château de Santenay en Bourgogne (mars 2021)

>> Sécurité
- 2 GPS RTK confirment la précision du positionnement et nous alertent de tout déplacement suspect
- 2 centrales inertielles détectent des changements inhabituels de la topographie qui provoquent le ralentissement et/ou l’arrêt de Bakus
- 12 détecteurs mécaniques répartis autour de Bakus provoquent l’arrêt instantané en cas d’actionnement
- Équipé d’un arrêt d’urgence à distance, votre opérateur doit s’assurer de la bonne conduite du robot, durant son mode autonome, dans les rangs et lors des demi-tours
- Bakus permet d’éloigner l’opérateur des risques dus aux TMS (Troubles Musculo Squelettiques), des risques de retournement et de l’exposition aux traitements phytosanitaires.

>> Énergie
- La réserve énergétique de 75 kWh est stockée dans 4 batteries au Lithium Ion
- L’efficience de l’énergie électrique permet une autonomie de +- 10h de travail et limite l’entretien
- Le temps de recharge des batteries est de 2h00 pour passer de 0 à 80% de charge
- L’énergie électrique permet un coût horaire de fonctionnement inférieur à 2€
- Bakus améliore la RSE de l’exploitation

>> Écologie
- Bakus améliore le bilan carbone de l’exploitation
- L’enjambeur autonome permet de répondre aux exigences d’un travail des sols sans herbicides
- Le poids, la répartition de la masse, la surface au sol et la pression des pneumatiques permettent de limiter le tassement du sol
- Sa propulsion 100% électrique lui permet de travailler de jour et de nuit avec une faible nuisance sonore

>> Les plus de Bakus
- Autonome en travail
- 100% électrique
- Précision RTK
- 1er intercep électrique connecté
- Puissance, maniabilité, simplicité
- Interrang à partir de 1 m
- Mises à jour régulières
- Outils modulaires
- Design

Voir vitibot.fr


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

03 - 19/05/2022  


CEOL by Agreenculture, robot agricole autonome

> Gain de temps
Le robot travaille en tout autonomie, sans pause et sans nécessiter de supervision humaine.
Ainsi, une journée de huit heures de conduite d’un tracteur devient une heure de gestion de CEOL.
L’objectif est de dégager du temps à l'agriculteur "le sortir de sa cabine" pour qu'il puisse se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.

> Écologie et respect des sols
Son système de motorisation hybride permet de diviser par 4 la consommation de gasoil par rapport à un tracteur effectuant les mêmes tâches.
Léger et équipé de chenilles, CEOL passe plus fréquemment. Il entretient le sol sans créer d’ornières.

> Précision centimétrique
La solution de guidage avec positionnement GNSS RTK développée par Agreenculture offre un pilotage automatique d’une précision centimétrique pour garantir un travail de qualité au plus près de la culture.

> Facilité de prise en main
CEOL a été conçu en collaboration avec des agriculteurs pour répondre à leurs attentes.
En plus de sa mécanique et de sa maintenance simples, il est doté d’options adaptées aux besoins de chacun.
Les interfaces de gestion de la machine faciles à prendre en main, permettent d'automatiser la surface robotisée sur votre exploitation.

> Polyvalence et adaptabilité
CEOL est équipé d’un relevage trois points catégorie 1 lui permettant de s’adapter à différents outils.
Il peut porter ou tracter une gamme d’équipements de différentes tailles et ainsi robotiser une grande partie des travaux réalisés aujourd’hui avec un tracteur.
Voir agreenculture.net/ceol


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

04 - 19/05/2022  


Désherbage localisé des chardons grâce aux images par drone

En 2021, l'ITB a testé avec la société Alteia une solution d'imagerie drone pour cibler et traiter les ronds de chardons. Cette adventice vivace est répartie en taches, et se prête bien à cette solution qui permet de réduire l'IFT.
Voir itbfr.org


Sciences et Pseudo-Sciences n°340 (avril 2022)



Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)


CAPITALISTE (Le) : Individu qui se rend en voiture climatisé de son bureau à son club pour y prendre un bain de vapeur
Pierre DESPROGES

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr




Informatiques et réseaux


Un ransomware déclenche un état d'urgence national

Le Costa Rica a décrété un état d'urgence cyber national après une série d'attaques contre le secteur public avec le ransomware Conti.
Voir silicon.fr


Les « clés de passe », remède universel aux mots de passe ?

Apple, Google et Microsoft se sont engagés à implémenter les « clés de passe ».

En quoi consiste ce système d'authentification forte que pousse l'alliance FIDO ?
Voir silicon.fr


Assurtech : Alan dorénavant valorisée 2,7 milliards €

Alan, la licorne française de l'assurance santé en ligne, a levé 183 millions d'euros en série E, portant sa valorisation à 2,7 milliards d'euros.
Voir silicon.fr


Comment la RFID façonne la stratégie omnicanale de Decathlon

En équipant chacune de ses 100 000 références d'un tag RFID, l'enseigne lilloise a développé des outils digitaux pour proposer une expérience online et offline fluide à ses clients.
Voir journaldunet.com


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

05 - 19/05/2022  


5 bonnes pratiques pour des services IT à distance, résilients et fiables

De nombreux signes peuvent indiquer que votre équipe de services IT peine à répondre aux besoins de votre entreprise et de vos collaborateurs. Les backlogs des tâches, les faibles niveaux de satisfaction des employés (et les nombreuses plaintes), la baisse de la productivité, le nombre important d’escalades incluant des tâches urgentes et les mauvaises performances par rapport aux niveaux de services convenus en sont autant d’indicateurs.

Beaucoup d’entreprises utilisent un système rudimentaire de création de tickets ou d’assistance IT, qui n’offre généralement pas la plupart des fonctionnalités disponibles dans les solutions
ITSM (IT Service Management) modernes. Cela nuit à l’efficacité du service IT et ne permet pas de fournir une expérience satisfaisante aux employés. En outre, si un changement soudain affecte le travail du personnel de l’entreprise, il n’y a aucun moyen de réagir.

Malheureusement, face aux attentes croissantes de ce monde en constante évolution, sans un moyen efficace de gérer les demandes des employés, les données et l’équipe IT, votre capacité d’assistance IT actuelle aura du mal à suivre les objectifs de l’entreprise. Les services IT doivent gagner en efficacité, et les entreprises ne peuvent pas se permettre d’ignorer les services qui ne fournissent pas l’expérience attendue.

Les attentes en matière de services IT de qualité sont de plus en plus élevées, peu importe où travaillent les employés
Voir livreblanc.silicon.fr




Publication diffusée grâce au soutien de :
page facebook


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

BOURSE (La) : Comme Robinson Crusoé, celle de Wall Street a connu un Vendredi noir.
Vincent HAUDIQUET

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Agricultures


Coup de chaud sur les marchés des céréales après la publication du rapport de l’USDA

La messe est dite", l’USDA a communiqué ses premiers éléments concernant ses prévisions pour la campagne 2022-2023. En blé, l’USDA baisse ses stocks mondiaux de fin de campagne au regard des baisses de production anticipées dans beaucoup de régions du monde. À date, les stocks fin de campagne sont donc estimés à 267 millions de tonnes (Mt), contre 279 Mt l’an passé et 291 Mt pour la campagne 2020-2021. Ces baisses de production (en comparaison à la campagne 2021-2022) valent pour le continent nord-américain et l’Union européenne (à cause de la sécheresse).
…/…
Voir cultivar.fr


Michelin : L’Evobib conçu pour le télégonflage,  par Simon Billaud, 13/05/2022

Après avoir reçu une médaille d'or Sima de l'innovation en 2017 pour son pneu 2-en-1, Michelin lance une nouvelle version de son pneu Evobib. Le Michelin Evobib est le premier pneu agricole du marché spécifiquement conçu pour être utilisé avec les systèmes de télégonflage, ce qui permet d'obtenir d’excellentes performances sur route et dans les champs grâce à sa conception adaptative.
.../...
Voir grostracteurspassion.com


Le miscanthus, une litière pour animaux performante et durable
Voir france-miscanthus.org


La charge de mécanisation des exploitations agricoles - Rapport n° 20064 : La transition agroécologique face à l'augmentation continue des charges de mécanisation, par Hervé Durand et Dominique Tremblay, 13/09/2021
Voir agriculture.gouv.fr


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

06 - 19/05/2022  


Les surfaces d’oléagineux en hausse au détriment du maïs pour la campagne 2022-2023

Les services statistiques du ministère de l’Agriculture ont mis à jour leurs prévisions de semis pour la campagne 2022-2023. Cela nous donne une idée des premières estimations des emblavements des cultures de printemps, notamment ceux des cultures oléagineuses.

Concernant le colza, sans retrouver le niveau des cinq dernières années, les surfaces progressent de 18,4 % par rapport à l’an passé pour s’établir à 1,16 million d’hectares. Pour le tournesol, comme attendu, les surfaces progressent de 8,5 % par rapport à 2021 et de 17,8 % par rapport à la moyenne 2017-2021. La sole totale est estimée à 758 000 hectares. Les surfaces de soja sont aussi en hausse, mais pas dans les mêmes proportions. Elles sont estimées à 160 000 hectares.
.../...
Voir cultivar.fr


Les oléagineux, grands gagnants des assolements 2021-2022

Selon Agreste, les surfaces de colza, tournesol et soja progressent respectivement de 18,4%, 8,5% et 3,9%, au détriment des céréales et protéagineux. Betteraves et pommes de terre sont stables.
…/…
Voir pleinchamp.com/


Face à la sécheresse, le gouvernement déploie son 1er plan d’actions post-Varenne

Selon le ministère de l’Agriculture, les déficits de recharge des nappes et de pluviométrie en avril auront un impact sur les rendements des cultures d’hiver, ainsi que sur la production d’herbe. Le Varenne étant passé par là, le gouvernement déploie un arsenal de mesures à court et moyen terme visant à limiter les dégâts.
Voir pleinchamp.com


Trop de nourriture de médiocre qualité / Too much wrong food

01 - 19/05/2022  


Mortalité infantile / Maternal Mortality

02 - 19/05/2022  


Un guide consacré à l’autonomie en protéines

Pour accroître l'autonomie en protéines d'une exploitation ou d'un territoire, il existe une grande diversité de leviers pouvant être actionnés avec plus ou moins d'efficacité selon les contextes (techniques, pédoclimatiques, géographiques, économiques, etc.). Dans ce guide, Pleinchamp vous propose d'aborder les grandes familles de solutions pour tendre vers l'objectif de l'autonomie en protéines.

1 - Autonomie en protéines : enjeux et intérêts

2 - Appréhender les besoins protéiques des ruminants

3 - Valoriser les prairies pour accroître l'autonomie protéique

4 - Produire des cultures fourragères riches en protéines

5 - Produire et consommer localement des concentrés protéiques

6 - Transformer et stocker les ressources alimentaires protéiques
Voir pleinchamp.com


Du côté d'Auguste Derrière

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Dollar contre livre sterling, un histoire compliquée / Dollar vs Pound complicated relationship

03 - 19/05/2022  


Les fournisseurs de logiciels "as a service" ont de beaux jours devant eux / SAS solutions have a bright future

04 - 19/05/2022  


Trois faucheurs d’OGM condamnés à payer plus de 400 000 euros, AFP, 12/05/2022

Trois « faucheurs » d’OGM ont été condamnés mercredi à Toulouse à verser plus de 400 000 € d’indemnisations, après avoir « neutralisé » en 2017 des parcelles de tournesol près de Gardouch (Haute-Garonne), a indiqué à l’AFP un de ces militants.

« Nous allons faire appel » de la décision du tribunal correctionnel, a ajouté Jean-Claude Julien, précisant qu’ils avaient également été condamnés à trois mois de prison avec sursis.

Selon le Collectif de faucheuses et faucheurs volontaires d’OGM, cette décision fait suite à « un simulacre de procès », à savoir l’audience du 30 mars, au cours de laquelle, affirment-ils, ils ont été « interdits de parole ».

Le 17 août 2017, des membres de ce collectif avaient annoncé avoir « neutralisé » la nuit précédente des parcelles cultivées dans le cadre du projet « Syppre », mené dans différentes régions françaises par des instituts techniques agricoles.

Ils avaient justifié cette action par « la certitude qu’une ou plusieurs variétés rendues tolérantes aux herbicides (VRTH) y sont cultivées », lesquelles « sont des organismes génétiquement modifiés ». Ils avaient ajouté avoir « la certitude que rien dans ces essais n’est fait pour arriver à proscrire l’usage des pesticides », et dénoncé « le manque total de transparence de ces recherches et des variétés étudiées ».

L’Institut du végétal (Arvalis), l’Institut technique de la betterave (ITB) et l’Institut technique des oléagineux (Terres Inovia) avaient porté plainte peu après.

Les essais « visent à mettre au point des systèmes de production agroécologiques en tenant compte des spécificités locales », assuraient-ils.
Voir ouest-france.fr



 


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

BOURSE (La) : Il y a deux cas dans lesquels un homme ne devrait pas spéculer : quand il n'en a pas les moyens et quand il en a.
Mark TWAIN

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Du côté des écrivains et artistes paysans


> Le fonds de livres de l’AEAP : Jacqueline Bellino et Marie-Mad Chauvin devant la mémoire de nos terroirs mise en rayons

   


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

BOURSE (La) : Le seul endroit où l'on ne peut se faire comprendre qu'en parlant le langage des cours.
Gérard de ROHAN CHABOT.

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Agenda


Connaître la biodiversité pour développer des solutions de lutte biologique concourant à la santé globale

17 mai 2022 - Web Télé de l'AAF ou via l'école où vous emmenez les petits au cinéma....

La lutte biologique vise à la protection des plantes par le recours aux mécanismes et interactions qui régissent les relations entre espèces dans le milieu naturel. Ainsi, le principe de cette lutte est fondé sur la gestion des équilibres des populations d’agresseurs plutôt que sur leur éradication.

Les luttes biologiques par acclimatation, augmentation ou conservation sont des voies importantes pour réduire le recours à la chimie de synthèse mais elle induit d’importants besoins de caractérisation et de gestion de la biodiversité pour construire des stratégies efficaces et limiter les éventuels effets non-intentionnels sur les écosystèmes.

Ce webinaire présentera dans un premier temps le contenu et l’organisation du MOOC Nectar, construit par une équipe de 15 enseignants chercheurs ou chercheurs, pour répondre aux besoins de formation à l’identification des arthropodes et des nématodes, ravageurs et auxiliaires.

Deux exemples de construction de stratégies de lutte biologique seront ensuite présentés : l’un sur l’utilisation Nesidiocoris volucer en tomate sous abri, dans un contexte insulaire à l’ile de Réunion puis l’autre sur l’évaluation d’un parasitoïde exotique, Ganaspis cf. brasiliensis, contre Drosophila suzukii, en lutte biologique par acclimatation.
Voir agreenium.fr


Ikebana – art floral japonais -The power of flowers

17 - 21 mai - PARIS
Cette manifestation prestigieuse s’intègre dans le programme du 25ème anniversaire d’Ikebana International Paris et se tiendra du 17 au 21 mai à la Maison de la Culture du Japon. Le grand maître de l’école Koryu Rion-Kai, le Iemoto Riou Udagawa, offrira au public un beau panel d’activités très varié.
Voir mcjp.fr


Comment intéresser à la biodiversité, par Bernard Chevassus-au-Louis

19 mai - SNHF - 14h30-16h30 - PARIS
Voir snhf.org


Du côté de ebbh.fr… Fuzzy Concept : Le fils de l’homme (Ep #103)



Biodiversité - L’érosion du vivant, le rôle de l’agriculture, par André Fougeroux, membre de l'Académie d'agriculture

19 mai 2022 - BIARRITZ

Débat organisé par l’Université du Temps Libre et l’Afis Pays de l’Adour Entrée libre

André Fougeroux est ingénieur agricole, membre correspondant de l’Académie d’agriculture et apiculteur amateur.

Depuis la conférence de Rio en 1992, la question de la biodiversité et de son érosion a pris une ampleur planétaire. De nombreuses études montrent une érosion inquiétante dans beaucoup de régions du globe. Le rapport 2019 de l’IPBES – la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques – estime qu’environ 1 million d’espèces animales et végétales sont aujourd’hui menacées d’extinction, notamment au cours des prochaines décennies... En France métropolitaine par exemple, 14 % des mammifères, 24 % des reptiles, 23 % des amphibiens, 32 % des oiseaux nicheurs mais aussi 22 % des poissons d’eau douce et 28 % des crustacés d’eau douce seraient en danger ? De son côté, la liste rouge de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) alerte sur la disparition de 15 % des espèces d’orchidées...

Dans de multiples lieux et pays comme la France la biodiversité résulte d’une co-construction avec les activités humaines et on estime que l’Homme a modifié les trois quarts de l’environnement terrestre. Aujourd’hui la question de la préservation de la biodiversité semble urgente... Protéger d’accord, mais pour restaurer quoi ?

>>> L’agriculture : problème ou solution ?

Les causes de cette érosion sont multiples et l’agriculture n’est pas la seule activité concernée. La forêt, l’urbanisation, l’artificialisation des sols, la gestion des zones marines, les transports ont leur part de responsabilité. Les effets du changement climatique ont également une influence sur son évolution. En métropole française, les surfaces agricoles qui représentent plus de la moitié du territoire jouent un rôle prépondérant... Dépendante directement de mécanismes liés à la biodiversité, notre agriculture demeure un facteur de création de richesse et de diversité du vivant. Mais elle peut aussi être l’inverse : un facteur de régression.

Par cette conférence, André Fougeroux présente un panorama de la biodiversité en zone agricole... Heureusement, il nous expliquera aussi qu’il existe de nombreuses pistes pour améliorer la situation !

Voir afis.org


La science entre délibération sociale et décision politique : quels débats pour l’expertise ?

25 mai 2022 - 14H30 – Paris ou sur youtube.com

Les débats actuels (climat, transitions, pesticides, perturbateurs endocriniens...) montrent les difficultés qu'il y a à corréler expertise scientifique et débat public. Les objectifs, les méthodes, les acteurs de l'espace public et des enceintes scientifiques ne coïncident pas. Le débat est d'autant plus difficile lorsque son enjeu réside dans la prise d'une décision politique. La traduction politique de la Convention citoyenne sur le climat a permis de s'en rendre compte concrètement.

En réalité, les scientifiques, les acteurs de la société civile et les représentants politiques pensent et agissent dans des espaces sociaux aux horizons et à la temporalité différents. Il peut en résulter frustration et méfiance. S'y ajoutent des tensions entre les scientifiques eux-mêmes, notamment liées à leurs rapports différents à la connaissance, et les médias galvaudent parfois les débats en invitant des "experts" autoproclamés. La période de la pandémie du corona virus l'a suffisamment montré. De fait, l'expertise n'est pas réservée aux scientifiques et les scientifiques sont aussi citoyens. On assiste régulièrement à des échanges entre des scientifiques qui intègrent des valeurs citoyennes et des citoyens (entrepreneurs, syndicalistes, associatifs, fonctionnaires …) qui expriment des faits scientifiques ou, souvent, travaillent avec. Dans ce cadre, quels modèles de débats l’expertise multi acteurs peut-elle engendrer ?

L'académie d'agriculture de France, qui réunit en son sein et avec ses partenaires tous les acteurs nécessaires à un débat social, scientifique et politique documenté, peut apporter des réponses à cette question que la séance du 25 mai invite à poser.

Le philosophe J. Habermas l'avait éclairée dans une conférence en 1965, reprise ensuite dans un livre "Connaissance et intérêt" (Gallimard, 1979).  Il y montrait l’importance pour le débat du dévoilement des intérêts en présence, distinguant l’intérêt de la connaissance, pour l’objet, et l’intérêt pour la connaissance, pour la méthode. Si l’intérêt pour la connaissance est au centre de la démarche du scientifique et des débats disciplinaires, l’intérêt pour l’objet ouvre la porte à d’autres intérêts, associés à des valeurs liées à l’action, aux sources de financement de la recherche ou à la valorisation économique.

Au regard de la connaissance, il y a l'enjeu de réussir à mettre en commun des faits, à organiser leur diversité et à s’accorder sur la question qu'ils appellent à poser. Si la science repose sur des faits, ceux-ci ne sont pas la propriété ni l'apanage des scientifiques. Ils émanent aussi d'initiatives sociales d'origine diverse. Des biais, des intérêts, des a priori peuvent alors fragiliser l’expertise et brouiller le débat. Ils sont différents selon que le débat est ou non d'emblée scientifique. L'exemple du statut juridique des animaux montre un débat qui est sociétal (par ex., faut-il traiter les animaux comme des personnes ?) et ne fait qu'intégrer des éléments scientifiques (typologie des animaux, degré de sensibilité…). D'autres débats sont scientifiques (la dangerosité de certains intrants chimiques) tout en comportant une dimension sociale (l'acceptabilité).  C'est pourquoi, au regard de la place de l’expertise, la question des modèles, des formats de débats est ainsi posée au pluriel.
Voir academie-agriculture.fr


Du côté de ebbh.fr… Fuzzy Concept : Le flou à ses limites (Ep #104)



Biotechnologies végétales et changement climatique - 11ème colloque de l’AFBV

11 octobre 2022 - Goethe Institut Paris

Le changement climatique, avec les dérèglements associés et leurs conséquences sur les cultures et la forêt constitueront le cadre de ce colloque.

Viendront ensuite des exemples d’apports potentiels des biotechnologies à l’adaptation des plantes à ces changements sous forme de synthèse des résultats acquis pour les principaux caractères d’adaptation : tolérance à la sécheresse, à des températures élevées, stratégies d’évitement, résistance aux bioagresseurs, efficience de l’absorption des nitrates, augmentation de la fixation du dioxyde de carbone.

Pour terminer seront illustrés les travaux en cours chez le blé et les forêts par la sélection conventionnelle et les biotechnologies.

https://www.biotechnologies-vegetales.com/wp-content/uploads/2022/02/Colloque22-768x461.png
Voir biotechnologies-vegetales.com


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

BOURSE (La) : Lourde, elle rend le cœur léger.
Ernest RENAN

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr




Du côté des gazettes et des blogs agricoles


Du côté de vitisphere.com… Tocsin de glace, Par Alexandre Abellan Le 13 mai 2022

Soupir de soulagement dans le vignoble ce vendredi 13 mai : avec la saint Servais passée, les risques de gel semblent désormais réduits à néant. Si les météorologues soupirent d’incompréhension devant ce qu’ils considèrent être l’incompréhensible survivance d’une croyance populaire, le trio des Saints de glace (avec saint Mamert le 11 mai et saint Pancrace le 12) permet aux vignerons de se dire que pour les gelées, c’est passé ! Après un début avril marqué par des alertes rappelant l’épreuve du millésime 2021, il y aura globalement eu plus de peur que de mal (même si les vignobles qui ne sont pas passés entre les mailles du filet sont bien amochés).

Un risque en chassant un autre, c’est désormais la peur du manque d’eau qui pèse sur nombre d’esprits vignerons. Si certains vignobles sont épargnés par ce déficit hydrique (notamment dans le Languedoc), la sécheresse inquiète depuis longtemps déjà les vignerons (notamment de Provence, mais pas que). Les faibles précipitations de cette saison ne font pas regretter les trop fortes pluies de l’an passé (marqué par une pression mildiou historique). Si les nuages de pluie sont attendus avec impatience, ceux orageux sont toujours craints.

Avec « cette bourrasque, ces roulements dans le ciel, ces lourdes gouttes glacées. Elles claquaient sur les tuiles au point que j’ai eu peur de la grêle ; j’ai cru que mon cœur s’arrêtait » écrit François Mauriac dans le Nœud de vipères (publié en 1932). Lui-même propriétaire d’un domaine viticole à Bordeaux (le domaine Malagar), l’écrivain pose avec virtuosité les risques inhérents à un vignoble soumis aux aléas climatiques.
…/…
Voir vitisphere.com


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

07 - 19/05/2022  


Du côté de pleinchamp.com... Prix du blé : vers l’infini et au-delà ? Par Adèle Magnard

>>> Il y a quelques jours, ce seuil psychologique semblait si difficile à franchir en raison du frein qu’il pourrait constituer pour les acheteurs. Et voilà qu’il a été dépassé le 12 mai, établissant un nouveau record.

Le manque de blé ukrainien sur le marché mondial en raison de la guerre reste un élément de soutien des cours. Selon les experts, la production ukrainienne de blé serait amputée d’un tiers par rapport à l’an dernier, avec une baisse de 11,5 millions de tonnes, et les exportations du pays divisés de moitié.

Dans un rapport qui était très attendu des analystes, le ministère américain de l’agriculture (USDA) a dressé ce 12 mai un premier aperçu de la production et des échanges mondiaux pour la campagne 2022-2023. Selon l’USDA, la production mondiale de blé est estimée à 774,8 millions de tonnes (Mt), en baisse de 4,5 Mt par rapport à 2021-2022. C’est la première fois depuis quatre ans que la production mondiale de blé serait en diminution. Le rapport affiche par ailleurs une hausse du commerce mondial de blé à un niveau record. Conséquence : les stocks de fin de campagne se retrouveraient au plus bas niveau depuis six ans. L’Union européenne, en particulier, affiche un stock de fin de campagne historiquement faible, à 10,61 Mt.

Ce rapport très haussier est venu accentuer la lancée des cours du blé vers un horizon qu’il est difficile d’imaginer, tant les incertitudes (géopolitiques, climatiques…) sont désormais exacerbées. Rappelons-nous qu’il y a un an, le blé se négociait aux alentours des 200 €/t…
.../...
À contrario, il est un pays où les perspectives de rendements, de production et d’exportation sont bonnes, voire très bonnes : la Russie, qui conserve sa place de grenier du monde malgré la guerre sans merci livrée par Poutine sur le continent européen. Selon l’USDA, le pays resterait cette année le premier exportateur mondial de blé. Les sanctions internationales et les contraintes logistiques lui mettront-ils des bâtons dans les roues ? Rien n’est moins sûr, tant le pays a réussi à se rendre indispensable, aussi bien sur le front de l’énergie et des engrais, que sur celui des grains.

Voir pleinchamp.com



Du côté d'Auguste Derrière

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Du côté d’André Heitz

> 20 % de bio à l'horizon 2012, 30 % de bio d'ici 2030 (en Allemagne)

> Dans l'Opinion : « Thierry Blandinières (In Vivo): "Il est temps de réagir et de réenvisager l’agriculture européenne, avec son plein potentiel"

> Quatre façons dont les OGM peuvent sauver des vies

> Les agriculteurs sont les fantassins de la guerre contre la faim

> Bjørn Lomborg dans le Wall Street Journal : « La crise en Ukraine révèle la folie de l'agriculture biologique »

> Une expertise collective sur les pesticides et leurs effets invitée dans la campagne des législatives

> Des chercheurs africains : les vaccins contre les tiques permettent d'éviter l'utilisation de pesticides dangereux

> La technologie des serres peut aider à nourrir l'Afrique

> La faim et le Green Deal ne peuvent être gérés sans l'amélioration des plantes moderne

> Célébrations mondiales de la Saint-Isidore le Laboureur, le saint patron de l'agriculture (republié)

> Petite glissade à AgroParisTech... gros dérapages politiques et médiatiques

> M. Dominique Chargé dans Figarovox : « Il est urgent d'ériger l'alimentation en grande cause du quinquennat »

> AgroParisTech: le happening «thunbergien» atterre le monde agricole et ulcère les donateurs
Emmanuelle Ducros Par Emmanuelle Ducros


> Courage, fuyons : AgroParisTech face à ses « déserteurs »


   


Du côté du ministère de l’Agriculture

> ÉcophytoPIC : un portail web pour tout savoir sur la protection intégrée des culturesv

> Ces innovations qui transforment l'action publique...

> Services Publics +, le programme pour des services publics plus proches, plus simples, plus efficaces lancé il y a un an

> « Alim’confiance » : les résultats des contrôles sanitaires accessibles à tous

> Novembre, le mois de l’innovation publique (en 2021)


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

08 - 19/05/2022  


Du côté du CGAAER (ministère de l’Agriculture et de l'Alimentation)

> Évaluation de la convention d’objectifs et de gestion de la Mutualité sociale agricole dans la perspective de son renouvellement

> La forêt usagère de la Teste de Buch en Gironde

> Avenir de la station nucicole expérimentale de Creysse et perspectives de la filière noix du Sud-Ouest

> Évaluation du fonctionnement des structures chargées de la préparation à l’installation en agriculture

> Évaluation de la coopération technique et institutionnelle du ministère

> Place de la France dans les politiques agricoles en Afrique

Voir agriculture.gouv.fr




Terre-net Web TV



Du côté de la Fnsea

> Elisabeth Borne, nommée Première Ministre

La FNSEA félicite Madame Elisabeth Borne pour sa nomination au poste de Première Ministre. Cette prise de fonction est la reconnaissance du parcours d’une femme engagée au service de l’intérêt général. Sa nomination est un signe de volonté d’écoute et de dialogue, notamment avec les corps intermédiaires.

Selon les souhaits du Président de la République, Mme Elisabeth Borne assumera une mission inédite de planification écologique.

Pour l’agriculture, c’est un changement de cap majeur. Il s’agit de sortir des décisions de court terme subies par les agriculteurs au jour le jour et de construire, dans le dialogue et avec des objectifs clairs, la ligne directrice qui doit guider l’action du pays en matière environnementale.

Pour y parvenir, et enfin donner de la lisibilité aux agriculteurs qui investissent sur le temps long, la FNSEA rappelle que cette planification doit se concilier avec l’objectif de souveraineté alimentaire et s’appuyer sur tous les travaux menés par le monde agricole et son environnement en matière de recherche, de développement et d’innovations, notamment en termes de pratiques, qui ont permis à l’agriculture française de prendre le virage de la transition écologique.

Dans cette optique, la FNSEA réaffirme deux priorités. D’une part, la nécessité d’œuvrer rapidement pour la souveraineté alimentaire française et européenne, qui repose sur une production dynamique sur le territoire, et un accès de tous à une alimentation sûre, saine et durable. En première ligne, la mise en œuvre du Chèque Alimentaire, proposé par la FNSEA et repris dans le programme du Président de la République, ne peut souffrir aucun retard dans le contexte inflationniste actuel.

D’autre part, il s’agit de donner à l’agriculture toute sa place dans les arbitrages de la planification écologique, dans un dialogue équilibré entre économie, écologie et production agricole durable, alors même que la question du revenu des agriculteurs reste en suspens depuis trop d’années. La réussite de cette mission passe nécessairement par la prise en compte du potentiel de solutions de l’agriculture pour la préservation de la biodiversité, pour le stockage du carbone mais aussi pour la transition énergétique liée à la production d’énergies renouvelables d’origine agricole.

Ces défis stratégiques doivent ainsi être placés sous l’égide d’un « Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire » de plein exercice.

C’est ainsi que nous parviendrons à réussir le défi de concilier production alimentaire pour tous et mise en place d’objectifs ambitieux mais réalistes permettant à l’agriculture d’être le premier contributeur à la lutte contre le réchauffement climatique et à la préservation de l’environnement.



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Du côté de la Fnsea (suite)

> Renégociations commerciales : il y a maintenant urgence à conclure de nouveaux tarifs

A la veille d’un nouveau comité de suivi des relations commerciales, la FNSEA et Jeunes Agriculteurs alertent sur l’urgence de conclure rapidement les négociations commerciales, réouvertes depuis maintenant près de deux mois. Il n’est pas admissible – alors que les distributeurs se sont engagés à travers une charte initiée par les pouvoirs publics – que les enseignes continuent de gagner du temps pour ne pas boucler les négociations.

La FNSEA et Jeunes Agriculteurs le rappellent systématiquement en comité de suivi :

- La flambée de tous les intrants (énergie, engrais, aliments…) est accrue par la guerre en Ukraine, et le coût de l’alimentation animale ne risque pas de se détendre avec la sécheresse qui sévit en France ;

- La décapitalisation dans le secteur bovin (-110 000 têtes en un an sur le secteur allaitant) ou encore la réduction de la production laitière (-0,8 % à fin février sur un an) justifient la pleine application d’EGalim2 pour une meilleure rémunération des producteurs.

Plutôt que d’invoquer un quelconque « chantage à la livraison » qui serait mis en place par les fournisseurs de la grande distribution selon les dires de certaines enseignes, il faut regarder la situation avec lucidité : elle est grave et elle nécessite d’être responsable dans les paroles comme dans les actes. L’heure n’est plus temps aux discussions, il faut acter les renégociations tout en gardant comme principe phare EGalim2, qui sécurise le prix de la matière première agricole, construit à l’amont en fonction des indicateurs de coût de production et de marché. Ces indicateurs sont mis à jour régulièrement par les interprofessions et relayés par FranceAgriMer, ils doivent être intégrés et respectés dans les négociations contractuelles de l’amont jusqu’à l’aval !

Pour la FNSEA et Jeunes Agriculteurs, les renégociations doivent aboutir avant la fin du mois de mai, une date butoir non négociable, avec le risque – si elle n’est pas respectée – de mettre en danger toutes nos filières et par conséquent l’approvisionnement des Français ! Personne ne souhaite en arriver là, il est donc urgent de conclure les renégociations commerciales.



Du côté d'Auguste Derrière

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Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

09 - 19/05/2022  


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

BIEN (Le) : Il est dans le bon usage que l'on fait de n'importe quoi.
Marcel JOUHANDEAU

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr




Opinions et curiosités du web (2)


Saveur douce-amère d’une histoire sur le temps qui passe

Avez-vous cette pancarte qu’une maman excédée affiche devant sa maison à l’adresse de son fils adolescent :

- Quitte la maison maintenant, pendant que tu sais encore tout !


Deux Belges regardent le catalogue de la Redoute et voient les mannequins

L'un dit à l'autre :

- As-tu vu les belles filles qu'il y a dans le catalogue ?

- Oui, putain qu'elles sont belles !

- As-tu vu le prix ?

- En effet, elles sont vraiment pas chères. À ce prix, moi je m'en achète une.

- Bonne idée, commande-la et si elle est aussi belle que dans le catalogue, moi aussi je m'en achète une.

Trois semaines plus tard, le Belge demande à son ami :

- Au fait, la fille que tu as commandée dans le catalogue La Redoute, est-elle arrivée ?

- Non ! Mais ça devrait pas tarder car j'ai reçu ses vêtements hier.





Contrepoints - Législatives 2022 : les macronistes pas encore élus et déjà anticonstitutionnels (??? – GW)

L’investiture des candidats du groupe « Ensemble » pour les législatives de juin prochain est conditionnée à la signature d’une charte comprenant 12 engagements. Un moyen pour la majorité de garder ses élus au plus près, mais complètement illégal car contraire à la Constitution …
Voir contrepoints.org
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr


Ma remarque (GW) : Je ne pense pas que ce soit illégal de demander à un candidat de s’engager à voter les budgets correspondant au projet sur lequel il demande aux électeurs de le choisir. Le minimum pour l’élu est de respecter ses engagements, ou alors je n’y comprends plus rien.

Je considère même que lorsqu'on se présente à une élection dans le camp majoritaire, on s'engage à soutenir la majorité à laquelle on appartient, et que en cas de désaccord, on devrait démissionner.

Être élu n'est pas une aventure personnelle.


Le yuan, encore un nain ? / The yuan, still limited

05 - 19/05/2022  


L'inflation au Royaume-Uni, toujours forte dans les mois à venir ? / Inflation in UK relainig high for a while ?

06 - 19/05/2022  


La France en panne de "top sectors", par Claude Sicard -  17 mai 2022
.../...
Il reste donc à la France un très long chemin à parcourir pour recréer un tissu industriel suffisamment important qui permette de s’acheminer sur la voie d’un moindre déficit de sa balance commerciale. Par une approche économétrique très simple on constate qu’il faut en moyenne qu’un pays ait un secteur industriel représentant environ 13,5 % du PIB pour que sa balance commerciale soit en équilibre. Pour l’instant, nous en sommes seulement à 10 % du PIB.
Voir contrepoints.org


AgroParisTech: le happening «thunbergien» atterre le monde agricole et ulcère les donateurs, par Emmanuelle Ducros
Voir lopinion.fr


TV Agri : actualités agricoles. Toute les actualités de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles

 


Gabriel Gersztenkorn, mieux connu sous son nom de « plume » ou plutôt de théâtre, Gabriel Garran, est décédé le 6 mai 2021 à l’âge de 93 ans

Il aura été acteur, réalisateur et metteur en scène de théâtre, fondateur du Théâtre de la Commune d’Aubervilliers, directeur du Théâtre International de la langue française...
Voir L'ange divulgué de Gabriel Garran


Heures de Jacques de Langeac - France du nord (Paris), 1465-1468, par Maître François (Lyon, BM)

10 - 19/05/2022  


A first thought for today

Neither genius, fame, nor love show the greatness of the soul. Only kindness can do that.
Jean Baptiste Henri LACORDAIRE, preacher, journalist, and activist (1802-1861)


A second thought for today

Man can be the most affectionate and altruistic of creatures, yet he's potentially more vicious than any other. He is the only one who can be persuaded to hate millions of his own kind whom he has never seen and to kill as many as he can lay his hands on in the name of his tribe or his God.
Benjamin SPOCK, pediatrician and author (1903-1998)


A third thought for today

Peace has a mind of its own and doesn't follow victory around.
Norman CORWIN, writer, producer, and teacher (1910-2011)


La livre sterling n'a pas encore récupéré sa valeur d'avant le référendum qui a conduit au Brexit / The pound before - after Brexit

07 - 19/05/2022  


Augmentation des prix de produits de base au Royaume-Uni / Inflation of basic products prices

08 - 19/05/2022  


Since 1980, the time price of gasoline has fallen 4 percent…

However, the most popular car in the U.S. today gets 55 percent more miles per gallon than the top-selling car in 1980.

That means you can drive 62 percent farther for your time today than in 1980.
See humanprogress.org


John Snow, a 19th-century English physician.

Snow was the first person to use maps and data records to track the spread of a disease back to its source, providing the foundation for modern epidemiology.
See video
See paper


Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

 



To Hobble Putin, Accelerate the Brain Drain

A proposal that would help Russian scientists and tech professionals to emigrate serves to undermine the Kremlin while benefiting the U.S. and its allies.
See bloomberg.com


I look at my government differently’: losses in Ukraine test Russians’ faith, by Andrew Roth and Pjotr Sauer, 17 May 2022 (cela va faire de la peine aux amis de Poutine, de Mélenchon à Le Pen !)

Information about the war’s damage is leaking out, angering soldiers’ families and even discouraging the invasion’s backers.

A photograph provided by Ukrainian armed forces showing destroyed or damaged Russian armoured vehicles on the banks of the Donets River. Photograph: AP
See theguardian.com/



L'immobilier à Londres et au Royaume-Uni / London and UK Real Estate Market

09 - 19/05/2022  


Les cryptos dans le même bateau / Cryptos all in the same boat

10 - 19/05/2022  


Vidéo de l'Académie
d'Agriculture de
France




Marché US des actions encore haut / US Stock markets still high

11 - 19/05/2022  


La nourriture plus chère que jamais / Expensive food

12 - 19/05/2022  


Average wages

Average wages are obtained by dividing the national-accounts-based total wage bill by the average number of employees in the total economy, which is then multiplied by the ratio of the average usual weekly hours per full-time employee to the average usually weekly hours for all employees.

This indicator is measured in USD constant prices using 2016 base year and Purchasing Power Parities (PPPs) for private consumption of the same year.

See data.oecd.org  


A mettre en rapport avec le nombre d’heures de travail par an

See data.oecd.org  


Old Rabbi Cohen retires to a nursing home

And a new young rabbi is employed by the community.

On his first Shabbat in his new post, they are about to start reading from the Torah when a huge, heated argument breaks out over whether you should stand or sit during the reading of the Ten Commandments.

The following day, the traumatized young rabbi goes to visit his predecessor and asks him, “Rabbi Cohen, I need your advice. What is the custom of our community when we read the Ten Commandments?”

Rabbi Cohen replies, “Why do you ask?”

“Well, because yesterday we read the Torah portion containing that important section, and half of the community sat, while half of the community stood, and the ones who were sitting were yelling and screaming at the ones who were standing and the ones who were standing were yelling and screaming at the ones sitting!”

“Ah,” replied Rabbi Cohen, “Now that’s our custom.”


   


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Do not miss the Virus Jokes in English and French

Blagues de janvier – février 2021
Coronavirus 1 
Coronavirus 3
Ant joke
Virus 1
Virus 3
Virus 5 
Histoires drôles de l'oncle Paul (Jamet)
Dernières histoires de Michel Gil-Antoli
Et encore... 
Et celles de mars-avril 2021
Special "Biblical studies"
Celles de juillet 2021 en français et en anglais, dont 17 sur le virus en bas de page)
Blague d'octobre 2021
Suite des blagues d'octobre 2021
Blagues de décembre 2021
(22 in English, 10 de P. Jamet)
Seconde vague 2022 de blagues
(avec quelques nouvelles tout en bas...)
Coronavirus 2
Coronavirus 4
Virus et autres sujets
Virus 2
Virus 4
Virus 6
Histoires drôles de Georges Larroque

Les dernières histoires de Jean Pinon
Et encore

Tout sur le vaccin
Celles de mail 2021
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Le dico de Paul J.
Blagues de novembre 2021

Premières blagues de 2022 (quelques nouvelles)


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