Pensée du jour (l'original en anglais ci-après, loin de la frénésie hypochondriaque de beaucoup de nos analystes et dirigeants politiques)
Les enfants qui naissent aujourd'hui en Amérique appartiennent à la génération la plus chanceuse de l'histoire – Warren BUFFETT


Pensée du même sur le changement climatique
Il me semble très probable que le changement climatique pose un problème majeur pour la planète. Je dis « très probable » plutôt que « certain » parce que je n’ai pas les compétences scientifiques[pour trancher] et je me rappelle très bien les sombres prédictions de la plupart des « experts » au sujet du bug informatique de l’an 2000. Cependant, il serait stupide de demander des preuves à 100 % des énormes dégâts à venir si ce dénouement semblait possible et si une action rapide avait une petite chance de contrecarrer le danger.
Voir : http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2016/02/27/
dans-sa-lettre-aux-actionnaires-warren-buffett-donne-une-lecon-d-optimisme-aux-americains_4873018_3222.html


A thought for today
Not what I have, but what I do, is my kingdom. - Thomas CARLYLE, historian and essayist (1795-1881)


A second thought for today
When I was young, I admired clever people. Now that I am old, I admire kind people. - Abraham Joshua HESCHEL, rabbi and professor (1907-1972)


A third thought really essential : Warren Buffett's letter to the Berkshire Hathaway shareholders (I do believe that most of the following arguments stand for the EU too! – GW)
It’s an election year, and candidates can’t stop speaking about our country’s problems (which, of course, only they can solve). As a result of this negative drumbeat many Americans now believe that their children will not live as well as they themselves do.

That view is dead wrong: The babies being born in America today are the luckiest crop in history.

American GDP per capita is now about $56,000. As I mentioned last year that – in real terms – is a staggering six times the amount in 1930, the year I was born, a leap far beyond the wildest dreams of my parents or their contemporaries. U.S. citizens are not intrinsically more intelligent today, nor do they work harder than did Americans in 1930. Rather, they work far more efficiently and thereby produce far more. This all-powerful trend is certain to continue: America’s economic magic remains alive and well.

Some commentators bemoan our current 2% per year growth in real GDP – and, yes, we would all like to see a higher rate. But let’s do some simple math using the much-lamented 2% figure. That rate, we will see, delivers astounding gains.

America’s population is growing about .8% per year (.5% from births minus deaths and .3% from net migration). Thus 2% of overall growth produces about 1.2% of per capita growth. That may not sound impressive. But in a single generation of, say, 25 years, that rate of growth leads to a gain of 34.4% in real GDP per capita (Compounding’s effects produce the excess over the percentage that would result by simply multiplying 25 x 1.2%.). In turn, that 34.4% gain will produce a staggering $19,000 increase in real GDP per capita for the next generation. Were that to be distributed equally, the gain would be $76,000 annually for a family of four. Today’s politicians need not shed tears for tomorrow’s children.

Indeed, most of today’s children are doing well. All families in my upper middle-class neighbourhood regularly enjoy a living standard better than that achieved by John D. Rockefeller Sr. at the time of my birth. His unparalleled fortune couldn’t buy what we now take for granted, whether the field is – to name just a few – transportation, entertainment, communication or medical services. Rockefeller certainly had power and fame; he could not, however, live as well as my neighbors now do.

Though the pie to be shared by the next generation will be far larger than today’s, how it will be divided will remain fiercely contentious. Just as is now the case, there will be struggles for the increased output of goods and services between those people in their productive years and retirees, between the healthy and the infirm, between the inheritors and the Horatio Algers, between investors and workers and, in particular, between those with talents that are valued highly by the marketplace and the equally decent hard-working Americans who lack the skills the market prizes. Clashes of that sort have forever been with us – and will forever continue. Congress will be the battlefield; money and votes will be the weapons. Lobbying will remain a growth industry.

The good news, however, is that even members of the “losing” sides will almost certainly enjoy – as they should – far more goods and services in the future than they have in the past. The quality of their increased bounty will also dramatically improve. Nothing rivals the market system in producing what people want – nor, even more so, in delivering what people don’t yet know they want. My parents, when young, could not envision a television set, nor did I, in my 50s, think I needed a personal computer. Both products, once people saw what they could do, quickly revolutionized their lives. I now spend ten hours a week playing bridge online. And, as I write this letter, “search” is invaluable to me. (I’m not ready for Tinder, however.)

For 240 years it’s been a terrible mistake to bet against America, and now is no time to start. America’s golden goose of commerce and innovation will continue to lay more and larger eggs. America’s social security promises will be honored and perhaps made more generous. And, yes, America’s kids will live far better than their parents did.
See: http://www.berkshirehathaway.com/letters/2015ltr.pdf

La crise agricole (1)
Je viens de visionner cet interview. Je pense que son contenu, très synthétique, riche en données est susceptible d'intéresser une bonne partie du lectorat de la gazette.

>>> Comprendre la crise agricole, conversation avec François PURSEIGLE (à voir absolument – GW)
Voir : http://www.lemonde.fr/economie/video/2016/02/28/
comprendre-la-crise-agricole-conversation-avec-francois-purseigle_4873102_3234.html
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr


La crise agricole (2)
La crise de l'agriculture, comme bien d'autres crises actuelles, me fait penser à cette phrase de Bossuet, sans doute apocryphe, qui dit à peu près: "Dieu se rit des hommes qui se plaignent des effets dont ils chérissent les causes".
Pousser, par idéologie, le libéralisme jusqu'au bout du bout ne peut qu'entraîner des effets tels que la disparition des exploitations agricoles de taille humaine, que ça soit en France ou au Sénégal ... et à terme égaliser le niveau de vie des Européens et des Indiens, après avoir détruit le tissu social de nombre de pays peu préparés à affronter la concurrence mondiale.
Contact : Charles THIÉBAUT
Mél : charles.thiebaut(a)laposte.net


Ma remarque (GW) : La crise agricole européenne n'a sans doute pas une cause unique. Elle est multifactorielle, un des facteurs étant certainement la fin des quotas laitiers, décision prise dans une optique libérale certes, mais aussi par réalisme, d'après ce que j'ai compris, vis-à-vis des de certains pays européens en manque de quotas pour des raisons historiques. Était-il possible de figer à jamais un système dans lequel certains ne se retrouvaient pas ?


La crise agricole (3) : ci-après le billet de Bernard PASQUIER aux Agrinautes Plaine Marais (17-85) : Foutez-nous la paix

Chers clients,

Le vase déborde en ce moment dans les médias… Il faut serrer les coudes, plier l’échine, je ne m’étendrai pas sur les pratiques pas très catholiques de tous ces marchands de peurs qui sont aux manettes.

Aujourd’hui, il faut mettre de l’émotion pour communiquer, et je vous soumets quelques pistes, prendre les accidents de la route par exemple, puisque toute la société est concernée.

Conduire est un véritable danger puisque nous risquons de mourir en cas d’accident de la route. Rappel, dans les années 70, il y avait un peu plus de 17 000 morts par an sur la route. Aujourd’hui nous sommes à moins de 3 500 morts. Á l’époque, il y avait moins de voitures et aujourd’hui la voiture c’est comme une prothèse : on ne plus s’en passer.

>>>> Primo : danger et risque c’est différent. Ce n’est vraiment pas la même chose.

Voiture = danger. C’est l’équivalent des produits (pesticides) qui sont des dangers potentiels.

Conduire = risques puisque vous vous exposez aux dangers de la route…c’est l’équivalent de l’exposition aux produits phyto.

En résumé : voiture = produit et/ou danger et conduire = risques et/ou exposition : cette prise de conscience au niveau vocabulaire relativise les choses.

>> De 17 000 tués à 3 500 pourquoi ?

Les moyens humains : permis de conduire – contrôles vitesse/alcool/radars, surtout la répression qui a impactée sur la baisse etc.

Les moyens techniques : réseau routier/autoroute – voiture plus sûre – air bag – ceinture, c’est surtout le progrès technologique grâce à la Formule 1 – l’aéronautique etc.

>>>> Secundo : la conclusion et le parallèle par rapport à nos produits de protection des plantes…

>> Les moyens

Humains : permis de conduire – contrôles – vitesse – alcool – radars… c’est l’équivalent de l’étiquetage des produits…formation/information vigilance BSV - OAD, bonnes pratiques, hygiène etc.

Techniques : voiture plus sécurisante, air bag, ceinture – réseau routier/autoroute etc…c’est l’équivalent de la protection collective avec l’amélioration des machines, la technologie embarquée, les EPI etc.

Á chacun d'entre vous d'utiliser et/ou de bonifier les arguments sur les Bonnes Pratiques d'utilisation des produits démontrant que nous sommes tous de bons professionnels.

Vous avez dû recevoir notre Guide de Protection des Plantes en Février, notre Souffl'Info 2016, eh bien sachez qu'avec mes collègues Nicolas et Pascal, la réglementation nous mobilise beaucoup de temps et que nous attachons beaucoup d'importance à bien vous préciser toutes les précautions à prendre.

Les notions d'IFT - DRE - DAR - ZNT - stades d'utilisation etc. que nous mentionnons, vous pouvez les transformer en points positifs, en BSP (bons sens paysans) pour protéger la nature et la nourriture de nos concitoyens !

Les produits sont moins dangereux, plus réglementés. Les quantités ont diminué depuis 20 ans. On ne traite pas pour faire plaisir aux vendeurs de produits, et nous faire passer pour des empoisonneurs est purement scandaleux !

Je vous ouvre la porte de ma famille, mon père qui est mort à 89 ans a perdu 3 frères de cancer (famille de 11 enfants). Trois oncles qui n’ont jamais atteint l’âge de la retraite, (1962-1978-1986). Mon 3ème oncle n’était pas paysan : il est décédé à 54 ans, donc il y a 30 ans.

Je peux vous assurer qu'à l'époque ils cultivaient et mangeaient quasiment Bio sans le savoir, il n’y avait de bio attaché-case à l’époque. Je n'ai pas connu mon grand-père non plus, lui qui a défendu la patrie en 14 – 18. Cancer, comme ma grand-mère. Tout cela pour vous dire que la science à l’époque ne permettait pas de prolonger la vie de ces braves gens.

Quoi penser de ceux qui ont peur de la science et qui se confient à des gourous ou charlatans de tous poils ? (Marianne de la semaine : les escrocs du Bien-être. Dieu est mort, vive les Oméga 3).

Il y a 45 ans sur la ferme familiale, je faisais partie de la main d’ouvre low-cost de cette génération et j’en suis fier, eh bien quand je droguais avec notre Soméca 911 et notre Blanchard 400 l en 9 m, eh bien le RTK de l’époque, le jalon amovible, c’était mon père ! On n'éplucherait pas les étiquettes comme maintenant et c’était une barrique et un bidon à l’hectare et à croire les médias d’aujourd’hui, notre télé poubelle, avec leurs reportages à sensation, on devrait tous être morts.

Pascal PERRI a une sensibilité naturelle à ces questions de communication, il participe et côtoie les médias (il est au G.G. sur RMC).

Je cite Pascal PERRI (*) (à propos du vocabulaire développement durable), c’est la traduction écolo d’une formule que j’utilise moi, qui est la gestion du bon père de famille. J’ai un patrimoine en main, je veux le transmettre évidemment dans les meilleures conditions qui soient. C’est ça l’idée du développement durable, c’est le développement qui traverse les générations.

Le choix des mots, n’est jamais innocent, le rapport de force commence toujours par le vocabulaire, imposer ses mots à l’autre partie, c’est déjà lui imposer un cadre de réflexion, c’est lui imposer de livrer bataille où l’on veut, quand on veut. C’est une première leçon de l’art de la guerre et quand je lis ce que pensent les adversaires, nos adversaires dans la société, imposer ses mots dans le débat, c’est déjà prendre position.

D’ailleurs le monde agricole de façon générale est fragmenté : il est puissant mais fragmenté. Il faudrait reprendre la parole, cette parole est fragmentée. J’interviens parfois dans les coopératives, les entreprises en contact avec le monde agricole, l’agroalimentaire, les assemblées comme aujourd’hui à ce colloque blé dur. Les moyens de communication sont dispersés. Entre les syndicats, le monde coopératif, les organisations professionnelles, il faudrait aujourd’hui coordonnées les efforts qui sont isolés pour un message qui soit plus universel, plus unifié. Si on expliquait simplement que la crise syrienne aurait pu être évitée par une meilleure affectation des ressources aux besoins alimentaires, l’opinion aurait sans doute une vision différente de ce conflit et du rôle que vous remplissez.

PS : Ce week-end, j'ai vu beaucoup de jeunes éleveurs manifestant leur détresse à l'inauguration du Salon. J'ai beaucoup d'empathie pour les éleveurs (mes racines de fils de migrant du bocage vendéen), j’espère que durant cette semaine du Salon, ils vont créer autour d’eux de l’émotion, faire bouger les lignes en terme de communication, ce que leurs aînés ne savaient pas faire.

Si je peux me permettre, pour le coté émotionnel, il faudrait que les jeunes agricultrices prennent plus la parole dans les médias. Le côté maternel, le charme, l'émotionnel, vous donnent des pouvoirs sous-estimés en terme de Com mesdames...Pour prendre un exemple concret, une Christiane LAMBERT, une Céline IMARE, c’est plus "pêchu", plus convainquant qu’un Xavier BEULIN pour prendre un exemple concret.

Bonne semaine,
---------
(*) Pascal PERRI (Économiste et Géographe) au colloque blé dur à Aix en Provence a dit que le monde agricole avait des progrès à faire, que nous n’étions pas très bons en Com. Nous devrions communiquer plus avec émotion, citant même Luc Guyau pour taquiner notre déficit. Il a pris l’exemple du terme développement durable cité par l’ancien secrétaire de la FNSEA.

Thème de son intervention à ce colloque : La ressource agricole, première garantie de paix et de stabilité autour de la Méditerranée.

Phrases chocs que j’ai retenue : ‘’ Malheur à un pays qui consomme ce qu’il n’a pas cultivé et s’habille avec ce qu’il n’a pas tissé ‘’.
‘’Notre alimentation, c’est notre premier médicament’’, ce que nous consommons, c’est ce que nous sommes d’une certaine façon.

Contact : Bernard PASQUIER
Mél : bpasquier(a)soufflet.com

Un petit bijou de révision : Très instructif !

Tu le sais, bien sûr depuis longtemps, le coq chante, cocorico, la poule caquette, le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache, l'hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage.

Les moineaux piaillent, le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse.

La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse.

Et le chat comme le tigre miaule, l'éléphant barrit, l'âne braie, mais le cerf rait.

Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille.

La biche brame quand le loup hurle.

Tu sais, bien sûr, tous ces cris-là mais sais-tu ?

Que si le canard nasille, les canards nasillardent !

Que le bouc ou la chèvre chevrote.

Que le hibou hulule mais que la chouette, elle, chuinte.

Que le paon braille, que l'aigle trompète.

Sais-tu ?

Que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule, que la perdrix cacabe, que la cigogne craquette et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit.

Tu sais tout cela ? Bien.

Mais sais-tu, sais-tu ?

Que l'alouette grisolle.

Tu ne le savais pas. Et peut-être ne sais-tu pas davantage que le pivert picasse. C'est excusable !

Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère. Et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère !

Tu ne sais pas non plus peut-être que la huppe pupule. Et je ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue.

Qu'importe ! Mais c'est joli: la huppe pupule !

Et encore sais-tu ? Sais-tu que la souris, la petite souris grise : devine ?!

La petite souris grise chicote ! Oui !

Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote et plus dommage encore de ne pas savoir, que le geai cajole !

Signalé par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr

Les spécificités de l’expertise pénale
16 mars - PONTOISE (95).
Séminaire de la Compagnie nationale des Experts judiciaires en Productions Agricoles, agro- alimentaires, Activités environnementales et horticoles (CEPAA) organisé conjointement avec l’Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale (IRGGN).
Contact : Alain PATUREL
Mél : alainpaturel(a)yahoo.fr


Hommage à Pierre GALET, ampélographe
6 avril 2016 – MONTPELLIER
Avec Gustave FOËX, premier Professeur de Viticulture, et depuis maintenant plus de 130 ans les enseignants – chercheurs de la Chaire de Viticulture de Montpellier SupAgro contribuent à la description et à la caractérisation des cépages.
Notre collègue Pierre GALET avec son complice Henri AGNEL ont donné dès 1946 les premières lettres de noblesse à l’Ampélographie moderne. Pierre GALET a été enseignant-chercheur à la Chaire de Viticulture de 1946 à 1987, et depuis maintenant plus de 70 ans, ce pape de l’Ampélographie âgé de 95 ans marque toujours et encore une fois de son empreinte cette discipline avec la sortie en 2015 de son magistral « Dictionnaire encyclopédique des cépages et de leurs synonymes » publié aux Editions Libre & Solidaire.
La Direction de Montpellier SupAgro et la communauté d’enseignants-chercheurs, de chercheurs et d’élèves-ingénieurs agronomes souhaitent rendre Hommage à Pierre GALET pour cette contribution remarquable reconnue internationalement.
Nous vous convions à nous retrouver nombreux autour de Pierre GALET sur le campus de Montpellier SupAgro, mercredi 6 avril 2016 à partir de 13h30 dans l’Amphithéâtre Philippe Lamour. Á cette occasion des témoignages de personnalités nationales et internationales ayant côtoyé Pierre GALET auront lieu.
La collection ampélographique de Montpellier SupAgro portera le nom de Pierre GALET, et à cette occasion un monument sera inauguré.
Voir : http://www.supagro-alumni.fr/wp-content/uploads/2016/02/Programme_Journee_Galet.pdf


46ème congrès du Groupe Français des Pesticides
17 - 19 mai 2016 – BORDEAUX
Voir : http://www.gfpesticides.org/


6 ème Conférence sur les méthodes alternatives de protection des plantes
21 - 23 mars 2017 – LILLE
Les personnes intéressées par la présentation d’une communication doivent compléter la fiche “Appel à communications” à télécharger sur le site AFPP.
Voir : http://www.afpp.net?d=7804


Les classiques de Desproges (1)
Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien.

Du côté des Insectes
> À la rubrique ‘Insectes d'avant’, sous « Le docteur Ébrard et les fourmis » (1862), il est montré que « De tous les êtres créés, la fourmi se rapproche le plus de l'homme par l'intelligence. ».
Voir : http://www7.inra.fr/opie-insectes/mi-le-docteur-et-les-fourmis.htm

> La première des dernières ‘Épingles’ « Pinces à sucre » nous apprend que la mouche ne sait pas sucer le sucre en marchant.
Dans la seconde, on découvre des « Chevaux de Troie » (Rhodococcus rhodnii et BFo2) qui causent la perte d’une punaise et d’un thrips respectivement.
Et la dernière titrée « Elle expire, le moustique aussi » montre les nouvelles bornes de la démoustication en Camargue.
Voir : http://www7.inra.fr/opie-insectes/epingle16.htm

Contact : Alain FRAVAL
Mél : afraval(a)orange.fr


Du côté de Cultivar
> Russie/blé: vers des exportations records

> France/maïs: des intentions de semis en baisse

> La baisse de l'euro soutient le marché

> Safrina : les surfaces de maïs en hausse
Alors que les producteurs brésiliens récoltent le soja, ils réalisent en même temps les semis de maïs de la Safrina, qui littéralement désigne la petite récolte. Mais pas si « petite » que ça la...

> Limiter les transferts dans les eaux
La reconquête et la préservation de la ressource en eau nécessitent un travail de tous. En Lorraine, la profession agricole est mobilisée pour minimiser l'impact des produits phytosanitaires sur les eaux.

> Un maïs plus productif et plus écolo en rotation    
Un meilleur rendement avec moins de produits phytosanitaires consommés : voilà ce que permet un maïs fourrage cultivé dans une rotation avec céréales et prairie, comparé à un maïs en monoculture.

> Les 3 gagnants récompensés au SIA
Le jeu J’aime ma ferme s'est terminé fin janvier. Pendant 8 semaines, 40 photos ont été plébiscitées par le public et les auteurs ont gagné des abonnements à nos magazines

> Le Big data au service de quelle agriculture ?
Chaque jour, 2,5 milliards de données sont produites. Un chiffre en constante augmentation avec le développement exponentiel de la technologie, de la robotique et des capteurs capables de mesurer tout ou presque. Et l’agriculture y contribue largement.

> Le distributeur d'engrais Sulky Econov testé par Irstea
Le distributeur d’engrais Sulky Econov permet 9% d’économies d’engrais. Ces résultats ont été scientifiquement prouvés lors d’une évaluation au champ réalisée en partenariat avec l’Irstea et le...

Voir : http://www.cultivar.fr/track/click/1728/4319

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