Une web-série grand public donne la parole aux agriculteurs 20 épisodes de 2 minutes, c'est le format de la web-série proposée par Terre Oléopro. Au programme : des agriculteurs racontant leur quotidien et présentant leur exploitation. Voir : https://youtu.be/gNFG_odQMRo Voir : http://www.terresoleopro.com/ Superbe
Il faut vraiment une bonne dose d’inconscience pour se lancer dans la politique ! (GW) Nous connaissons tous : le BENEVOLAT, c'est travailler sans être payé. Les académiciens devraient bientôt inscrire un nouveau mot : le PENELOPAT, c'est être payé sans travailler. Contacy : Paul JAMET Mél : paul.jamet(a)free.fr Xenius - Les ciseaux génétiques et la culture des plantes (Á déguster en sirotant un whisky produit à partir d'orge "OGM caché"... ben oui, elles le sont toutes maintenant, d'après un ami !) Imaginez des "ciseaux génétiques" capables de découper des séquences d’ADN de végétaux plus facilement et plus précisément que les autres méthodes connues. Cet outil, dénommé CRISPR-Cas9, peut aussi bien rendre inactifs des gènes qu’en introduire de nouveaux, et, si nécessaire, plusieurs à la fois. Ainsi, le patrimoine génétique d’une plante particulièrement résistante peut être transféré à une autre, plus fragile. Xenius découvre les possibilités offertes par cette nouvelle méthode et ses dangers. Voir : http://www.arte.tv/guide/fr/063945-025-A/xenius Tiercé Voir : http://www.piecejointe.com/videos-humour/Tierce-78526.html Signalé par Luc BECKER Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr Initiatives
Le revenu universel n’est ni simple… ni universel …/… Mais l’aide sociale, comme l’impôt, ne peuvent être dominés par un principe de simplicité. D’autres critères interviennent et évoluent dans le temps, en matière d’équité, d’incitations, de neutralité des choix économiques… De plus, il faut contrôler le revenu, comme pour tout impôt, ce qui réintroduit en creux une conditionnalité et ouvre d’ailleurs des discussions sans fin sur ce qu’on doit appeler « revenu ». La pauvreté n’est pas que pécuniaire ; elle prend des dimensions multiples : accès au logement, à l’éducation, etc. Voici alors que le diable se glisse à sa place habituelle : voudra-t-on considérer que l’accès au logement aidé doit disparaître au profit d’une aide pécuniaire comprise dans le RBU, laissant la personne « libre » d’aller sur le marché privé du logement ? Y inclura-t-on l’aide personnalisée aux cantines scolaires ? Ce ne sont que deux parmi une myriade de questions qui devront passer au travers d’un filtre politique forcément complexe. François Meunier (Economiste, professeur associé à l’ENSAE) Voir : http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/02/08/le-revenu-universel-n-est-ni-simple-ni-universel_5076446_3232.html Voir : http://www.esprit.presse.fr/article/meunier-francois/le-revenu-de-base-peut-il-etre-universel-39186?folder=1 Ma remarque (GW) : L’idée de revenu universel (droit à un revenu sans condition d’aucune sorte en remplacement des aides actuelles) méconnait à mon sens totalement le rôle et le savoir-faire des services sociaux comme des associations caritatives ou des élus en charge des centres d’aide sociale, qui ne sont ni des bourreaux, ni des justiciers, ni des inquisiteurs, et qui ont une vraie connaissance approfondie des populations qu’ils aident. Benoît Hamon comme les ultra-libéraux comme le célèbre Milton Friedmann (école de Chicago), partisans du revenu universel, font comme ci il n’y avait rien entre eux et « le peuple des pauvres ». Et bien non, il y a des gens qui ont une expérience, un savoir-faire, et qui sont de vrais médiateurs. JA martèle son opposition au Ceta Voir : http://www.lafranceagricole.fr/actualites/elevage/libre-echange-ja-martele-son-opposition-au-ceta-1,1,463406437.html Ma remarque (GW) : D’abord je ne me vois pas condamner le libre-échange comme le fait M. Trump. Vu l’immense succès qu’est la zone de libre-échange européenne, j’ai du mal à voir un danger dans l’ajout du « petit » Canada au dispositif européen. Et si la Fnsea et JA, la CR et la Conf, comme Mme Le Pen et M. Mélanchon, M. Jadot, M. Hamon, M. Fillon condamnent le CETA, pourquoi n’annoncent-ils pas que nous renonçons à exporter vins et spiritueux ? >>> Vins et spiritueux : record battu pour les exportations françaises en 2016 Voir : http://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/ 0211787806699-vins-et-spiritueux-record-battu-pour-les-exportations-francaises-en-2016-2063781.php  Pour se désabonner de cette gazette si vous la recevez par erreur… Si le lien ne fonctionne pas, merci de s'adresser à moi: guy.waksman(a)laposte.net Voir : http://www.informatique-agricole.org/desinscription-a-la-gazette-afia/ S'abonner à la gazette de l'Afia (un lien à transmettre à vos amis !) Voir : http://www.informatique-agricole.org/abonnement-gazette-afia.html S'abonner à la gazette Efita en anglais (un autre lien à transmettre à vos amis) Voir : http://www.informatique-agricole.org/efitas-newsletter-subscription/ Lire une des dernières gazettes Efita en anglais Voir : http://www.informatique-agricole.org/base-documentaire/efita-newsletter/2016_-_efita_newsletter/#wpfb-cat-88 Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman Membre correspondant de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006 Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier) Mél : guy.waksman(a)laposte.net
Suivre l’Afia sur Facebook Voir : https://www.facebook.com/informatique.agricole/ Groupe LinkedIn AFIA Voir : https://www.linkedin.com/groups/8235527 Pensées / questions sur l’immigration en France Qui sont les migrants internationaux ? Combien arrivent réellement chaque année dans les pays riches ? La France reçoit-elle vraiment « toute la misère du monde » ? Combien coûtent les migrants aux finances publiques des pays d’accueil ? Prennent-ils nos emplois ? Les propos erronés, répétés sciemment ou non, sur l’immigration et ses effets, persistent et se renforcent dans les périodes de crise, aujourd’hui comme dans les années 1930. Peut-on espérer comprendre et traiter la question de l’immigration si les allégations les plus invraisemblables ne sont pas démystifiées, si les fantasmes et non la réalité nourrissent le débat public ? Les chiffres existent ainsi que leurs analyses et leurs enseignements, fondés sur des études concordantes réalisées dans différents pays. Pourquoi les ignorer ? Loin des plaidoyers en faveur ou contre les migrations ou les migrants, c’est à ces questions, quelquefois dérangeantes, toujours précises, que ce livre tente de répondre. E.M. Mouhoud identifie quinze mythes qui parasitent le débat public sur les migrations et permettent à certains responsables politiques de défendre des thèses aussi anxiogènes qu’inexactes. Ce livre fournit des propositions concrètes et de pistes de réflexions pour une véritable politique efficace et juste. Voir : http://www.fayard.fr/limmigration-en-france-9782213704357 Pensée sur l’excellent CICE J’ai entendu des raisonnements très curieux du type : le pacte de responsabilité a coûté 40 milliards d’euros, et comme 130 000 emplois ont été créés ces dix derniers mois, le coût par emploi de l’effort serait le montant global du pacte de responsabilité divisé par ce nombre d’emplois créés… Ce raisonnement n’a pas de sens ! La réalité, c’est qu’en prenant une mesure qui restaure les marges des entreprises, celles-ci se mettent à réinvestir. La hausse de l’investissement est de 3,4 % contre 1,5 % il y a deux ans. Celui-ci a quasiment été multiplié par 2,5. On doit donc comptabiliser les emplois qui seront créés demain comme le résultat de cette politique. M. CAZENEUVE, Premier ministre Voir : http://www.lemonde.fr/le-club-de-l-economie/article/2017/01/20/ bernard-cazeneuve-le-pays-a-besoin-de-retrouver-une-ethique-dans-la-confrontation-publique_5065942_4795074.html Pensée sur les inégalités en Russie Les inégalités augmentent partout dans le monde mais dans ce domaine, la Russie, ancienne patrie du socialisme, pourrait bien remporter la palme d’or. Selon un récent rapport de Credit Suisse, 1 % de la population russe concentre 74,5 % des richesses nationales – et 10 % détiennent 89 % des biens. Ces chiffres sont considérablement plus élevés que dans n’importe quelle autre puissance étudiée (38 au total), loin devant les Etats-Unis ou la Chine. « Nulle part ailleurs la richesse n’est à ce point inégalement répartie, et cela a des implications dangereuses pour l’avenir politique de la Russie », relevait, le 3 janvier, le journaliste économique Boris Grozovski dans The Moscow Times. Si le début des années 2000 a été particulièrement bénéfique pour les ménages russes, dont la richesse moyenne a augmenté de huit fois entre 2000 et 2007, la croissance s’est peu à peu enrayée. L’économie est entrée en récession il y a deux ans, sous le double effet de la chute des prix du pétrole et des sanctions internationales, entraînant dans leur sillage le cours du rouble. La classe moyenne a été particulièrement touchée. Conséquence : l’indice Gini, une mesure statistique mise au point par l’Italien Corrado Gini servant à mesurer l’inégalité des revenus par pays, est le plus élevé, avec 92,3 %. La répartition est en effet sidérante : 93,6 % de la population possède un revenu annuel inférieur à 10 000 dollars (9 400 euros), 5,7 % perçoivent entre 10 000 et 100 000 dollars, 0,6 % plus de 100 000 dollars et 0,1 % plus de 1 million. Un revenu annuel médian sous les 1 000 dollars Plus saisissant encore : le revenu médian par adulte est inférieur à 1 000 dollars par an… Voir : http://www.lemonde.fr/ economie/article/2017/01/14/la-russie-palme-d-or-des-inegalites-extremes_5062695_3234.html A thought for today If ever the time should come, when vain and aspiring men shall possess the highest seats in government, our country will stand in need of its experienced patriots to prevent its ruin. - Samuel ADAMS, revolutionary (1722-1803) A second thought for today There are two ways of spreading light: to be the candle or the mirror that reflects it. - Edith WHARTON, novelist (1861-1937) A third thought for today Story, finally, is humanity's autobiography. - Lloyd ALEXANDER, novelist (1924-2007)
Suite
à un article précédent sur la publication de Bourguet & Guillemaud
sur les conflits d’intérêt, un texte sur le traitement de l’intégrité
scientifique par le rapport Corvol :
Pour varier un peu les infos je te propose de signaler cet article sur le renouveau du sainfoin réalisé par Gilles Carcassès. Il diffuse presque tous les jours (!) une remarquable "gazette" courte sur un seul sujet sur l'environnement de très bonne qualité (j'y suis abonné depuis longtemps). Ce matin elle parle du sainfoin. Une espèce remarquable qui nous a été présentée à l'occasion de la journée de conférence et d'échanges "Fabuleuses légumineuses" organisée le 26 janvier au Lycée agricole et horticole de St Germain en Laye et à laquelle j'ai participé. La petite vidéo de Sinfonia est aussi bien faite à mon avis. >>> La renaissance du sainfoin - Nature en ville à Cergy-Pontoise - Espace d'information et d'échange pour les acteurs du territoire https://natureenvilleacergypontoise.wordpress.com/2017/02/08/la-renaissance-du-sainfoin/ http://sainfolia.com/le-sainfoin/ Signalé par Jean-Daniel ARNAUD Mél : jd.arnaud(a)wanadoo.fr
Á Lyon, il serait intéressant de savoir comment ils ont fait pour passer au zéro phyto à budget constant... (Gazette du 2 février) Personnellement je ne saurais dire comment le SEV de Lyon a fait. Il faut remarquer toutefois que le lien conduit à un article sur le Service des Espaces Verts de la ville de Lyon, et non sur toute la Communauté Urbaine de Lyon qui gère la plupart des espaces publics de l’agglomération, ce qui est différent, pour arriver à se passer de « pesticides », mais je sais comment le Service des Espaces Verts de la Ville de Grenoble a réussi la démarche à moyens constants, car je suis en charge du dossier de la protection des végétaux au sein de ce service depuis 2004. Je témoigne ici à titre personnel et non pas au titre de la Ville de Grenoble. Par moyens constants il faut entendre que le SEV de Grenoble n’a eu aucun budget supplémentaire ni aucun renfort de main d’œuvre pour atteindre cet objectif qui a été fixé officiellement en 2005 et qui a complètement abouti en 2013 avec un « Zéro phyto » au sens politique du terme, c'est-à-dire, sans aucun l’utilisation d’aucun autre produit que des produits phytopharmaceutiques répondant à la définition des produits de BIOCONTRÔLE tel qu’elle a été arrêtée fin 2016. Le SEV de Grenoble a entamé sa démarche de réduction de l’usage des « Phytos » en 1998 avec le choix de la Protection Biologique Intégrée (PBI) aussi nommée Lutte Biologique mais très différente de la « Culture Biologique » au sens de l’ITAB, pour la lutte contre les parasites animaux. En 2005 la décision de réduire l’usage des herbicides a été prise mais cela ne s’est pas fait en un jour. Il a fallu à peu près 5 ans pour arriver à 0 herbicide dans les espaces verts et deux années supplémentaires pour les deux cimetières de la ville. Á noter que le Service de la Propreté Urbaine qui gère la propreté des rues et donc leur désherbage a suivi la même démarche qui a abouti il y a déjà deux ans. Comment a-t-on fait ? La PBI, avec l’aide de l’évolution de la gamme des produits de biocontrôle (surtout des microorganismes) a permis de se passer de tous les produits phytopharmaceutiques autres que les produits de biocontrôle, y compris en production horticole et dans les serres de collection botanique (aucun produit de type AB.) Pour la question du désherbage la démarche a été assez originale : nous ne désherbons plus, nous gérons la flore spontanée. Cela peut paraître « snob » comme définition mais c’est un concept tout à fait différent. Là où la flore spontanée ne gêne pas, elle est tolérée. Elle est parfois décorative. Au besoin nous limitons son développement en la tondant périodiquement suivant les besoins. Nous veillons à éviter aussi la dissémination des graines. A d’autres endroits, nous avons fait des couvertures de sol, soit avec des arbustes, des plantes vivaces ou des surfaces fleuries annuelles, éventuellement des paillages. Chaque fois que cela a été possible, les cheminements en surfaces sablée sont végétalisés en veillant à conserver une circulation des piétons et des cycles confortable et sécurisée. Pour avoir une bonne réussite la PBI nous avons favorisé la diversité végétale, limité les nombre de tontes, supprimé beaucoup de haies taillées mono spécifiques, etc. Tout cela a permis de dégager du temps pour le désherbage proprement dit, avec une très nette diminution des surfaces désherbées. Nous nous sommes aussi équipés de moyens alternatifs comme le STABNET par exemple, l’aide des balayeuses de voirie et de leurs brosses pour éradiquer les plantules annuelles et limiter les stocks de matières fines dans les interstices (lit de semence). Á cela nous ajoutons l’utilisation temporaire, en début de saison, de moyens thermiques à eau chaude, ce dernier moyen n’étant pas un exemple d’innocuité environnementale, il faut bien le reconnaître. Á cela s’est ajoutée une campagne d’information du public afin qu’il comprenne et accepte cette évolution. Pour la lutte contre plantes invasives ou dangereuses (ambroisie par ex), nous avons heureusement très peu. Nous avons recensé et cartographié tous les sites contaminés au fur et à mesure que nous en avions connaissance et ces sites sont suivis avec attention plusieurs fois dans l’année aux périodes identifiées comme sensibles. Tout cela s’est fait sur plusieurs années, progressivement et accompagné de nombreuses réflexions ainsi qu’un suivi sur l’évolution de la biodiversité. Je peux donc témoigner que c’est possible, et que, à part sur des zones particulières que nous n’avons pas à Grenoble comme de la voirie autoroutière, des transformateurs ou des sites d’exploitation chimique industrielle, la plupart des collectivités peuvent faire de même. CQFD Je suis à la disposition de chacun qui voudrait avoir de précisions sur ce qui a été fait chez nous. Contact : Jacques GINET Mél : jacques.ginet0509(a)orange.fr Á quoi je répondais (GW) : De mon côté, j'ai vu pendant des années désherber les allées du parc de Sceaux au chalumeau d'où mon interrogation initiale. Je comprends cette méthode dans des cas extrêmes comme des productions de légumes pour des petits pots de bébés… mais pour le grand espace de ce magnifique parc, c’est bizarre. M. Ginet précisait : En ce qui concerne le désherbage thermique je pense que vous savez que cette mode du 0 phyto nous vient principalement de la FREDON Bretagne qui s’est inquiétée des résidus de glyphosate retrouvés dans les eaux « potables » au début des années 2000 et qui a commencé à préconiser le 0 herbicide. Comme tout cela a été fait un peu dans la précipitation, la FREDON a préconisé de remplacer le désherbant par du thermique, sans vraiment réfléchir aux impacts de ces nouvelles pratiques. Les politiques s’en sont emparés pour faire de l’anti américanisme et anticapitalisme primaire. En 2005 au colloque IUPP / UPJ d’Avignon, j’avais soulevé la question de la pollution atmosphérique de cette méthode en signalant que cela représente au moins 1.5 tonnes de CO2 à l’hectare par an. Visiblement personne n’y avait pensé ! Mais nous à Grenoble, avec notre cuvette et notre marais barométrique, relâcher 1500kg de CO2 à l’ha en pleine canicule ou en plein épisode de pollution aux particules ne me semblait pas raisonnable. C’est pour cela que j’ai émis un avis très défavorable au projet d’achat de désherbeurs thermiques par la ville. Mais il y avait des subventions de l’Agence de l’eau à la clé et le SEV n’avait pas beaucoup d’alternatives au début de notre démarche. Depuis, nous avons beaucoup évolué et le désherbage thermique est très à la marge, limité uniquement en début de saison dans les cimetières. Partout ailleurs nous avons trouvé en grande majorité de vraies solutions alternatives au désherbage, d’où mon témoignage. Pour vous en dire un peu plus sur mon positionnement, je suis natif d’une région montagneuse et j’ai une grande admiration pour le milieu le naturel où j’ai très souvent randonné. Je suis donc un ardent défenseur de l’environnement, mais je cherche avant tout à voir le problème dans sa globalité, totalement à l’opposé des mouvements environnementalistes fortement politisés. C’est dans cet objectif que depuis 12 ans au SEV de Grenoble je m’évertue à trouver des solutions alternatives à l’usage des pesticides chaque fois que cela est possible. J’ai beaucoup travaillé sur la PBI et actuellement c’est la technique que nous employons sur tout le service. Je privilégie l’adaptation des méthodes culturales dans un premier temps avec l’emploi de macroorganismes indigènes ou bien installés dans notre zone climatique, à défaut je passe aux microorganismes puis aux extraits de microorganismes comme le BT par exemple. Je privilégie aussi les substances de base quand elles sont vraiment efficaces et les produits à faible risque (AMM de 15 ans) au sens de la réglementation européenne. Dans ce cadre du BIOCONTROLE, nous arrivons à fonctionner sans problème sérieux depuis plusieurs années. Je vais donc du moyen le plus ciblé au moins sélectif en évitant systématiquement les produits vraiment non sélectifs, qu’ils soient BIO ou «traditionnels ». Je considère qu’actuellement l’Agriculture Biologique est trop sectaire et relève plus d’une croyance (presque une religion) que d’une pratique raisonnée. J’ai rencontré dans ma région des arboriculteurs qui sont entièrement passés en PBI et qui s’en sortent. Contact : Jacques GINET Mél : jacques.ginet0509(a)orange.fr Dernière édition de la gazette Efita en anglais Voir : http://www.informatique-agricole.org/gazette/efita/efita_170213_769.htm
Du côté des machos : Faut toujours être prévoyante dans la vie et... même pour après ! Et mettre de l'ordre dans ses affaires... La dame vient d'apprendre qu'elle a le cancer. Elle sort du cabinet du médecin et l'annonce à sa fille. Courageusement, elle lui dit : - Nous les femmes, nous faisons la fête lorsque les choses vont bien... eh bien, célébrons lorsque les choses ne vont pas si bien ! Je dois t'annoncer une nouvelle : J'ai le cancer. Par conséquent, nous allons au club pour prendre un martini» Après 3 ou 4 martinis, les deux se sentent un peu moins tristes. Elles rient et ont du plaisir… Certaines amies de la maman s'approchent, curieuses de savoir ce qu’elles célèbrent. La femme explique à ses amies qu'elles boivent parce que son médecin vient de rendre son verdict : - «Le docteur m'a annoncé que j’avais le SIDA». Les amies, bouche bée, ne savent quoi rétorquer et partent rapidement... Après leur départ, la fille dit à sa mère : - « Mais, maman, je pensais que tu avais le cancer, pourquoi as-tu dit à tes amies que tu allais mourir du SIDA ? » - « Parce que je ne veux pas qu'une de ces s… couche avec ton père une fois que je serai partie !!! ». Ça, mes amis, c’est ce qu’on appelle "Mettre de l’ordre dans ses affaires". Signalé par Luc BECKER Mél : luc.becker(a) wanadoo.fr L’Académie d’agriculture de France au SIA 25 février – 5 mars - PARIS Voir : http://academie-agriculture.fr/ actualites/academie/notre-programme-dinterventions-et-nos-lieux-de-presence-au-sia-2017-sont Casques EEG (électroencéphalographes) ! 2 mars - PARIS Avez-vous déjà rêvé d'interagir avec le monde numérique « par la pensée » ? Ou de savoir décrypter le fonctionnement de votre cerveau ? Imaginez une ambiance musicale qui s'adapte à votre humeur, piloter vos objets avec une interface neuronale, jouer à un jeu vidéo pour améliorer vos capacités cognitives, optimiser votre état de relaxation ou réduire votre stress. Aujourd'hui la science dépasse la fiction ! Voir : https://cultureexperiencedays.adami.fr/#_home (il faut glisser sur la droite de l’écran) Inscriptions : pole-evenements(a)adami.fr ou cultureexperiencedays(a)gmail.com Agriculture connectée, alliée du développement durable ? 9 mars 2017 - DIJON Voir : http://academie-agriculture.fr/ actualites/academie/agriculture-connectee-alliee-du-developpement-durable Journée Internet des Objets (IoT) en agriculture 28 avril 2017 – Digiferme de BOIGNEVILLE (91) – Station expérimentale d’Arvalis – de 10h à 16h >>> Les enjeux de l’internet des objets (IoT) pour l’agriculture L’AFIA invite ses adhérents à cette réunion d’information et démonstration sur les objets connectés au cours de laquelle seront précisés les concepts et présentés des exemples remarquables, avec un show-room, en collaboration avec les entreprises du secteur. Pour vous inscrire : https://www.weezevent.com/journee-afia-sur-l-iot-en-agriculture L’Assemblée générale de l’AFIA se déroulera de 16h à 17h. >>> Programme provisoire 9h-10h Accueil 10h-13h - Introduction de la journée et présentation de l’AFIA - Les Digifermes - Les principes de l’IoT pour l’agriculture – Gil de Sousa (Irstea) - Le projet européen « Internet of Food » – Mehdi Sine (ACTA/Arvalis) - L’application IoTA – Anthony Clenet (Smag) - La station Météus et de son usage dans les OAD – Alexandre Diaz (Isagri) - Objets connectés et smart data au service de la qualité – Dominique Cagnon (BioTraq) (Suite à venir) 13h Déjeuner 14h – 16h Visite de la DigiFerme + Show room >>>> Assemblée Générale de l’AFIA (16h-17h30) Voir : http://www.informatique-agricole.org/ journee-internet-des-objets-iot-en-agriculture-le-28-avril-2017-a-boigneville/ Contact : Jean-Pierre CHANET Mél : jean-pierre.chanet(a)irstea.fr
MADE in VIANDE : Professionnels, prenez part à l’action ! 17 - 21 mai 2017 - Toute la France En réponse aux attentes des consommateurs qui s’interrogent de plus en plus sur le contenu et la qualité de leurs assiettes, les Rencontres MADE in VIANDE se préparent pour cette 3e édition. A cette occasion, la filière élevage et viande donne rendez-vous au public du mercredi 17 au dimanche 21 mai 2017, dans toute la France. Chaque professionnel est appelé à ouvrir ses portes et à prendre part à l’action pour faire œuvre de pédagogie et de transparence auprès des citoyens qui expriment chaque année leur enthousiasme à découvrir les coulisses de nos métiers. Participer aux Rencontres MADE in VIANDE, c’est : - Valoriser les métiers, qui composent la filière élevage et viande. - Envoyer un message positif et de transparence à la société́ civile, aux médias, aux élus... - Partager des valeurs, le goût et la qualité́ des produits, contribuer à la sauvegarde du terroir et des territoires français. Plus la mobilisation sera importante, mieux les engagements et les valeurs de la filière seront partagés. Voir : http://www.interbev.fr/ressource/inscriptions-made-in-viande-professionnels-prenez-part-a-laction/ Trophées ITA'innov – innovation et compétitivité au cœur du secteur agricole et agro-industriel 1 juin – PARIS L’Acta – les instituts techniques agricoles a le plaisir de vous annoncer le lancement de la 2ème édition du concours ITA’innov, organisé sous le haut patronage du Ministère en charge de l’Agriculture. 42 projets vont s’affronter dans 4 catégories différentes. Un seul but : promouvoir la recherche appliquée et l’innovation agricole et agro-industrielle. Nous vous donnons rendez-vous le 1er juin prochain pour les résultats et la remise des prix au Muséum National d’Histoire Naturelle à Paris. Voir : http://www.acta.asso.fr/actualites/communiques-de-presse/articles-et-communiques/detail/a/detail/lacta-lance-la-2eme-edition-itainnov-0575/print.html Adjudant-Chef (1 - pour ceux qui pensent que Trump aurait pu satisfaire à ses obligations militaires) L’Adjudant-Chef ne ment pas, c’est la vérité qui se trompe.
Nouvelle application mobile : “l’Index Acta by SMAG” Cette nouvelle application mobile “l’Index Acta by SMAG” est la première illustration du partenariat signé entre les deux structures visant à mettre au service des professionnels du monde agricole de nouveaux outils pour optimiser la protection des cultures. “L’Index Acta by SMAG” est un outil de terrain. Il fournit de manière simple et ergonomique les informations mises à jour en continu, détaillées sur chaque produit de santé végétale homologué et commercialisé en France. Voir : http://www.smag-group.com/fr/digitalinnovations-stand-4-h-007-au-sima L’application Paysan Breton est disponible dès maintenant et gratuitement sur le Play Store pour la version Android, et sur l’App Store pour la version Apple iOS Voir : http://www.paysan-breton.fr/application-mobile-agriculture/ Concentré d'automates au Salon de l'agriculture Le Salon international de l'agriculture, qui se déroulera du 25 février au 5 mars à Paris, fera cette année encore la part belle à la robotique. Une tendance de fond.... Voir : http://www.campagnesetenvironnement.fr/concentr-d-automates-au-salon-de-l-agriculture-8754.html #Agridemain #agridemain est le premier mouvement rassemblant les principales organisations professionnelles du secteur agricole autour d’une vision commune de l’agriculture. En donnant la parole aux agriculteurs, à tous ceux qui participent à la production agricole, notre ambition est de vous raconter l’histoire de cette agriculture sans artifice, empreinte de réalisme, avec ses atouts et ses défis. Voir : http://agridemain.fr/ Un dossier Pac 2017 à faire en ligne Depuis l’année dernière, les dossiers de demande d’aides Pac au format papier ne sont plus acceptés. Les agriculteurs devront passer par le portail Télépac pour déposer leur dossier Pac 2017. Voir : http://www.paysan-breton.fr/2017/02/un-dossier-pac-2017-a-faire-en-ligne/ Un exosquelette pour les agriculteurs Voir : http://www.campagnesetenvironnement.fr/un-exosquelette-pour-les-agriculteurs-8751.html Voir : http://www.terre-net.fr/materiel-agricole/reportage/article/ un-exosquelette-made-in-france-pour-travailler-aux-champs-213-125106.html Ce que le drone rapporte aux agriculteurs +69 € par hectare sur le blé et +107€ par hectare sur le colza* ; selon une enquête réalisée par OCEALIA, c’est ce que les agriculteurs ont gagné, en moyenne par an, grâce aux préconisations de la société AIRINOV. AIRINOV, filiale du Groupe Parrot, offre aux agriculteurs un service de mesure et de conseil agronomique par drone pour leurs apports en azote sur le blé et le colza. Si l’engrais constitue l’un des premiers postes de dépenses d’un agriculteur, les conseils fournis par AIRINOV lui permettent de ne plus gaspiller le moindre kilo d’azote grâce à des préconisations indiquant où en réduire l’apport et où en ajouter ; l’objectif étant d’améliorer le rendement de l’exploitant. OCEALIA, la 7ème plus grosse coopérative agricole française collectrice de céréales, fait appel aux services AIRINOV depuis plusieurs années et a décidé de faire le bilan « économique » des préconisations reçues sur les trois dernières années. Le résultat est là : + 69 € par hectare sur le blé, et +107 € par hectare sur le colza, en moyenne par an. Les drones permettent d'obtenir des images extrêmement précises des cultures et peuvent couvrir des centaines d'hectares en un seul vol. Si l’agriculture est l’un des premiers métiers à les avoir utilisés, ces résultats confirment que le recours à des services tels que ceux proposés par la société AIRINOV -en plus d’améliorer leur performance environnementale- permet aux agriculteurs de produire mieux, d’optimiser leur rendement, de réduire leurs frais et ainsi faire progresser leur exploitation. *moyenne réalisée sur un échantillon de 627 parcelles pour le colza et 1734 parcelles pour le blé, sur une période de 3 ans entre 2014 à 2016 Voir : http://www.airinov.fr/category/blog/ AIRINOV met l’agriculture de précision au service des agriculteurs (SIMA / SIA) Le Salon Mondial des fournisseurs de l’Agriculture et de l’Élevage (SIMA), qui se tient du 26 février au 2 mars à Paris Nord Villepinte, est le rendez-vous professionnel incontournable du monde agricole. Á cette occasion, et en plus du salon annuel de l’Agriculture qui se tient Porte de Versailles chaque année, le leader du drone agricole AIRINOV renforce sa volonté de rendre l’agriculture de précision accessible à tous. >>> eBee SQ : incarnez l’agriculture de demain AIRINOV lance son nouveau drone eBee SQ, spécialement conçu pour l’agriculture. Robuste et simple d’utilisation, son pilotage est complètement automatique. Avec une autonomie de vol de 45min, il est adapté à un usage intensif et permet de cartographier plusieurs centaines d’hectares en un seul vol. Á moins de 10 000€, il donne l’opportunité aux exploitants d’incarner l’agriculture de demain dans leur région et de bénéficier des services AIRINOV à moindre coût. >>> Faites le choix de l’indépendance avec le Pack drone AIRINOV lance sa première offre de drone pour survoler sa ferme en toute indépendance. Prêt à voler en 3 clics et avec 25 minutes d’autonomie, le Pack drone SOLO est idéal pour les agriculteurs souhaitant réaliser eux-mêmes les vols au-dessus de leurs parcelles. Pour moins de 5 000 €, les exploitants peuvent ainsi moduler leurs apports d’azote, faire un Tour de Plaine et accéder aux services d’AIRINOV pour mieux connaître leurs cultures. >>> +205€/ha de marge en 3 ans avec AIRINOV Optimiser les intrants, augmenter les rendements, aider les agriculteurs à faire plus de marge… Telle est la vocation d’AIRINOV au quotidien. Une récente étude réalisée avec OCEALIA, la 7ème plus grosse coopérative collectrice de céréales, sur 3 ans met en avant les bénéfices engendrés par les services agronomiques AIRINOV : +205 € par hectare sur blé. Pour optimiser l’apport d’engrais sur toute la croissance des céréales, AIRINOV propose désormais de piloter la fertilisation dès le stade épi 1CM. Les agriculteurs pourront d’ailleurs passer commande en direct pour leurs parcelles de blé sur le sand AIRINOV au SIMA. Romain Faroux Président d’AIRINOV commente : « En tant que fils d’agriculteur, je sais combien il est important de pouvoir faire des économies. Avec un équipement de plus en plus accessible, et un service entre 10 et 15€ de l’hectare, nous avons pour objectif de donner toutes les clés aux agriculteurs pour réussir. Alors que la saison blé a débuté, les agriculteurs doivent investir dans l’agriculture de précision. Ce n’est pas seulement un investissement durable, c’est un moyen direct de gagner plus de marge ». >>> Les rendez-vous AIRINOV à ne pas manquer sur les salons AIRINOV sera présent à plusieurs conférences pour porter la parole de l’agriculture de précision. > Au SIA, Porte de Versailles : - le 25 février, à 14h : l’utilisation de l’imagerie aérienne multispectrale pour la gestion des mauvaises herbes - le 27 février, à 17h30 : conférence de presse La Ferme Digitale - le 1er mars à 17h, stand de la Ferme digitale : la distribution agricole de demain - le 2 mars à 15h30, Village des professionnels : l’intérêt des drones en agriculture de précision - le 4 mars à 15h, stand de la Ferme digitale : les objets connectés dans l'agriculture > Au SIMA, à Paris Nord Villepinte : - le 28 février à 12h, stand de la Ferme digitale : les objets connectés dans l'agriculture - le 28 février à 15h, stand de la Ferme digitale : les objets connectés dans l'agriculture >>> A propos d’AIRINOV AIRINOV est une société née en 2010 de la rencontre entre 2 ingénieurs spécialisés en robotique et télématique, et d’un fils d’agriculteur. Leur complémentarité a permis à AIRINOV de se positionner naturellement sur le seul marché du conseil agronomique par drone, à destination du monde agricole et de la recherche. AIRINOV propose aujourd’hui des produits et des services autour de la cartographie agronomique, pour aider les agriculteurs dans leurs prises de décision, et les chercheurs dans l’accumulation de statistiques. Grâce à l’entrée du leader des drones de loisirs Parrot à son capital en 2014, AIRINOV entame un nouveau chapitre de son histoire et part à la conquête du monde. Chiffres clés : - 2,5 millions d’euros de CA en 2016 - 8 000 agriculteurs - Réseau de 60 opérateurs en France. - Plus de 80% des vols S2 déclarés en 2016 Voir : http://www.airinov.fr Le Wiki de Thierry Baillet (agriculteur dans le Pas-de-Calais), centralisant en ligne des conseils en vidéo permettant à tous les agriculteurs de partager leur métier, leurs astuces… Voir : https://youtu.be/q3tF5L8vCsE
D’Agri Web Télé à Big ou Tiny Clips Postés : candy vox sed dura enregistratum voice (Chronique numéro 8) Dans le supplément « L’époque » du journal « Le Monde » daté du 5 et 6 février 2017, Yves Eudes nous parle d’une application (Candy Voice pour ne pas la citer) dont la diffusion sur smartphone semble proche et qui « imite les timbres vocaux à la perfection ». Fera-t’elle concurrence aux imitateurs radio, télé et scènes de théâtre de chansonniers ? Embarrassera-t’elle les policiers chargés de valider l’auteur de tel ou tel appel vocal enregistré ? Fournira-t’elle un nouveau terrain de plaisanteries à tout un chacun, ha ha ha ? Dépannera-t’elle un collègue ou un parent ou un ami provisoirement enroué ou, plus gravement, définitivement handicapé du point de vue des cordes vocales ? Nous verrons bien ce candyra pardon qu’en dira la vox populi ! Les aspects « vidéo » de la voix comportent effectivement : 4. les modifications que les logiciels peuvent lui apporter voire même les synthèses qu’on peut en faire « ex nihilo », mais il y a bien sûr aussi plus en amont… 1. le choix éditorial entre ce que l’on dit et ce que l’on montre (débat important non seulement pour Hitchcock et Truffaut qui pensaient qu’au cinéma dire est une faiblesse par rapport à montrer mais pour tous les réalisateurs de films), 2. le travail sur qui le dit et comment, 3. le comment on enregistre au mieux les voix en un lieu et dans un dispositif donné. Sauf à s’adonner à la vidéo sans le son si chère à nos oreilles et de même qu’il convient de s’efforcer de bien faire une photo dès la prise de vue plutôt que de trop compter sur Photoshop ou autre, il convient de prendre soin de la voix dès l’enregistrement plutôt que de se fier aux dispositifs ultérieurs. Contentons-nous aujourd’hui d’un seul conseil, simple et ingénieux, (du style « œuf de Colomb » pour ceux qui connaissent l’anecdote, les autres la trouveront sur Wikipedia) : Si l’équipe dispose de deux téléphones portables l’un d’eux peut prendre l’image à bonne distance et l’autre le son de façon plus rapprochée et rien de plus facile ensuite de ne garder au montage, même avec un logiciel basique, pour l’un que l’image, pour l’autre que le son. On tire ainsi astucieusement parti des merveilleux filtres de proximité que la recherche appliquée a créés pour les téléphones portables. Comment ? Un autre conseil de ce style ? Sous-titrer ! N’ayant pas les moyens d’assurer pendant les tournages précipités de mon trop long métrage « Adieu Claude Bernard » une prise de son digne de ce nom, j’ai tout sous-titré ! Ce qui a permis de réaliser ces sortes de bandes dessinées que sont parfois les trois premiers épisodes de ce film, épisodes qu’il est suggéré d’entrapercevoir, voire de ré-entrapercevoir, voire d’entrevoir voire de ré-entrevoir voire de voir voire de revoir at : https://youtu.be/-IsDqm-IS9w https://youtu.be/ScQLe7uIYpE https://youtu.be/-2rUg0GhkuM Contact : Sa Sérénité Claude HOLL Mél sarlepte(a)gmail.com Adjudant-Chef (2) L’Adjudant-Chef n’essaie pas. Il réussit !
Le Brillat Savarin obtient son IGP Voir : http://www.fromage-brillat-savarin.fr Ferme des 1 000 veaux : Bernard Cazeneuve promet le soutien moral et financier de l'État Voir : http://www.agrisalon.com/ actualites/2017/02/10/bernard-cazeneuve-promet-le-soutien-moral-et-financier-de-l-etat Au Sival à Angers, cinq projets récompensés par « Agreen start-up » Cinq projets de start-up autour du végétal ont été primés le 19 janvier au Sival, le salon des productions végétales à Angers. Les propositions s’inscrivaient dans le domaine du végétal connecté, des solutions d’aide à la production et de l’accompagnement des particuliers. Voir : http://www.agrisalon.com/ actualites/2017/01/31/au-sival-a-angers-cinq-projets-recompenses-par-agreen-start-up Fongicides : « Préserver le potentiel avec une faible marge de manœuvre financière » Épipré déclenche un avis de traitement si et seulement si les conséquences d'une attaque ne sont plus acceptables d'un point de vue économique. (©TNC) Julie Coulerot et Pascaline Louis d’Agro-Conseil, société indépendante de conseil agronomique, rappellent les éléments de réflexion qui doivent mener, ou non, à déclencher un traitement fongicide. Favoriser l'élaboration du potentiel puis le préserver et, une fois la culture face à la pression maladies, savoir estimer la rentabilité du traitement par rapport au coût de la perte potentielle de rendement. Voir : http://www.agrisalon.com/ actualites/2017/01/26/preserver-le-potentiel-avec-une-faible-marge-de-man-uvre-financiere La Cour des comptes préconise la fusion des chambres départementales d'agriculture Voir ! http://www.pleinchamp.com/actualites-generales/actualites/ la-cour-des-comptes-preconise-la-fusion-des-chambres-departementales-d-agriculture Macron veut valoriser l'agriculture par des propositions "très concrètes" Voir : http://www.pleinchamp.com/actualites-generales/actualites/ macron-veut-valoriser-l-agriculture-par-des-propositions-tres-concrete Adjudant-Chef (3) Le pitbull de l’Adjudant-Chef a mis une pancarte devant sa maison avec écrit dessus : « ATTENTION, ADJUDANT-CHEF»
Du côté de vitisphere.com : Les syndicats viticoles face aux mutations Le syndicalisme viticole serait-il à l’aube d’une période de turbulences ? Dans le Gard, un nouveau syndicat naît avec l’intention de livrer une bataille musclée. Les Vignerons coopérateurs perdent des adhérents. La Cnaoc se voit contestée dans son action visant à défendre les zones de non-traitement au sein de la législation régulant les pratiques phytosanitaires. Les Vignerons indépendants ont, depuis longtemps, décidé de concentrer davantage leurs efforts sur la promotion des produits plutôt que la défense du métier. L’Association générale des producteurs de vin ne prend la parole que sporadiquement et n’a pas, par exemple, été chef de file sur la question de la mutuelle des salariés agricoles. Dans cet espace politique laissé béant, qui va tirer son épingle du jeu ? Les courants de pensée sont très différents et s’affrontent : ceux dont l’action vise à se positionner sur l’environnement, ceux qui se préoccupent d’importations espagnoles, ceux qui militent pour la défense du métier et ceux qui voient la réforme de l’OCM se profiler à l’horizon. Le syndicalisme à vocation générale, qui a besoin de consolider sa base après une crise du lait, des céréales et du porc qui a laissé des traces, doit y voir une belle opportunité. Mais elle n'est pas la seule, la Coordination rurale et le Modef deviennent de plus en plus actifs sur les sujets viticoles. Voir : http://www.vitisphere.com/elettre/elettre822.htm
Du côté de pleinchamp.com : Transparence Les agriculteurs ont trop souvent tendance à oublier combien, dans la société actuelle, l’image compte. La ferme de Saint Martial, dans la Creuse, se serait bien passée d’être surnommée « usine des 1000 veaux » par ses détracteurs. Située sur le plateau de Millevaches, le nom était facile à trouver. Les médias ont eu tôt fait de l’assimiler à la ferme des 1000 vaches, qui a fait tant de bruit dans la Somme. Hormis la grandeur des bâtiments, les deux structures n’ont pourtant pas grand-chose en commun : un centre d’engraissement collectif d’un côté, un élevage laitier de l’autre. Face aux attaques des associations de bien-être animal et aux raccourcis des journalistes, certains éleveurs sont tentés par le repli sur soi. Mais ériger de hautes haies autour des exploitations ne mènera nulle part. Seule solution payante : jouer la carte de la transparence. Il faut continuer à accueillir des écoles, à rassurer les voisins inquiets, à écouter les attentes du consommateur… Que deviendraient les agriculteurs sans le soutien des citoyens ? Voir : http://www.pleinchamp.com/newsletter/preview_archive/27393 Du côté de Cultivar > Les exportations russes pénalisées par le rouble > Les marchés poursuivent sur leur lancée > Australie : les chiffres confirment la moisson record > Un nouveau départ pour Razol L’entreprise familiale Razol, fondée en 1855, basée à Fauillet dans le Lot-et-Garonne, prend un nouveau départ avec son rachat.La société affiche un nouveau nom et s’appelle désormais Société... > Un nouveau leader à l'export Les disponibilités européennes sur la campagne 2016-2017 sont évidemment bien moindres que lors de la campagne précédente. Pour rappel, le disponible exportable de blé tendre vers les... > Vers des blés durs résistants à la mosaïque Grâce aux travaux de l’Inra et des sélectionneurs, de réelles avancées viennent d’être obtenues dans la sélection de variétés de blés durs résistantes au virus de la mosaïque des stries en fuseau… > « Le Royaume-Uni deviendra un pays tiers » Le Royaume-Uni n’est pas encore sorti de l’UE. S’il devait confirmer sa sortie, il y aurait des implications budgétaires. Les plus grosses difficultés se poseront avec la politique commerciale de l’UE. > "Les robots: mes alliés au quotidien" Cultivar vous propose aujourd’hui un saut dans le temps. Rendez-vous en 2025, chez Jean Pignon, exploitant agricole dans le Tarn. Seul à la tête de 600 hectares… > La nouvelle herse étrille Rakaerator de McConnel La société Payen lance sur le marché français le Rakaerator de McConnel. Cette herse étrille, d’une largeur de travail de 7,40 mètres, qui possède un système de repliage hydraulique pour un...
Du côté du Forum Phyto - LesInfos1705 - 15 février 2017 – Les défis de la production européenne de fruits et légumes (Freshfel) – Agri-bashing à la sauce allemande (Schillipaeppa/Seppi) – Marché européen des fruits et légumes : des résidus en diminution – Les Chambres d’Agriculture sous l’œil de la Cour des Comptes – Guide des produits de protection des cultures utilisables en agriculture biologique en France – « Cultiver sans herbicides : un enjeu environnemental majeur » ( ?) – « Protéger les cultures avec des micro-doses de sucre » (Agro-perspectives) – « Comparateur : Mieux comprendre les labels bios » (Le Monde) –« Faits alternatifs » : pas seulement contre l’agriculture, aussi contre la médecine Voir : http://www.forumphyto.fr/2017/02/15/lesinfos1705-15-fevrier-2017/
Du côté de Wackès Seppi > Hendricks : « Nous ne diffamons personne » Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/hendricks-nous-ne-diffamons-personne.html > Rivasi : la retraite de Paris, et lumière sur les dérapages Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/rivasi-la-retraite-de-paris-et-lumiere-sur-les-derapages.html > Vaccins : la débâcle Rivasi Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/vaccins-la-debacle-rivasi.html > « Les ciseaux génétiques et la culture des plantes » dans Xenius, sur Arte Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/les-ciseaux-genetiques-et-la-culture-des-plantes-dans-xenius-sur-arte.html > Marre du « climatoscepticisme » alibi Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/marre-du-climatoscepticisme.html > Bref retour sur l'ignoble « Perturbateurs endocriniens : halte à la manipulation de la science » (le Monde du 29 novembre 2016) Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/01/bref-retour-sur-l-ignoble-perturbateurs-endocriniens-halte-a-la-manipulation-de-la-science-le-monde-du-29-novembre-2016.html > « Le jardinage bio est-il meilleur pour la santé ? » sur le Figaro Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/01/le-jardinage-bio-est-il-meilleur-pour-la-sante-sur-le-figaro.html > Le top 5 des manchettes anti-OGM « post-vérité » : une biologiste analyse les affirmations les plus scandaleuses de 2016 Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/01/le-top-5-des-manchettes-anti-ogm-post-verite-une-biologiste-analyse-les-affirmations-les-plus-scandaleuses-de-2016.html > Un calendrier de l'Avent postfactuel : (24) Joyeux Noël (avec un peu de retard !) Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/01/un-calendrier-de-l-avent-postfactuel-24-joyeux-noel.html > Règles pour les agriculteurs : lettre ouverte à la ministre Barbara Hendricks Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/regles-pour-les-agriculteurs-lettre-ouverte-a-la-ministre-barbara-hendricks-heike-muller-derniere-nouvelle-la-campagne-publicitaire > Mme Hendricks, crachons donc dans nos mains ! Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/mme-hendricks-crachons-donc-dans-nos-mains.html > Rivasi : bon anniversaire ! Voir http://seppi.over-blog.com/2017/02/rivasi-bon-anniversaire.html > Le temps est venu de décider sur les néonicotinoïdes : lettre au Commissaire Européen Andriukaitis Voir : http://seppi.over-blog.com/2017/02/le-temps-est-venu-de-decider-sur-les-neonicotinoides-lettre-au-commissaire-europeen-andriukaitis.html
Du côté de FranceAgriMer Newsletter n° 247 - Les nouveautés sur le site de FranceAgriMer du 10 février 2017 Du côté du ministère de l’Agriculture > Signature du Contrat d'objectifs et de performance du Centre national de la propriété forestière pour 2017-2021 > Appel à candidature pour les fonctions de Président de l’Observatoire de la Formation des Prix et des Marges des produits alimentaires > Stéphane Le Foll approuve par décret le programme national de la forêt et du bois > Point sur les négociations commerciales avec les représentants des filières > Stéphane Le Foll affirme la place de la recherche pour le développement durable de la filière apicole > Le médiateur des relations commerciales agricoles recommande que les producteurs de lait bénéficient d'une clause de résiliation amiable de leur contrat > Réouverture effective des exportations de viande bovine vers les États-Unis Du côté de Fnsea > Bien-être animal : la profession agricole a son mot à dire Alors que la parole sur le bien-être animal semble monopolisée dans les médias par les associations anti-viande, la profession agricole entend faire entendre sa voix et expliquer au grand public les ... > CETA : pas de traité en trompe l'œil ! > Du mot « réunir » au mot « agir » ! Adjudant-Chef (4) Quand l’Adjudant-Chef scrute l’horizon, il voit son dos.
De la radio ondes courtes à la web radio (la radio n’est pas prête pour mourir, vu le succès des podcasts et ce renouveau de l’audio est un miracle - GW) J'accuse réception de la dernière livraison de La Gazette 06-2017 dans laquelle je picore toujours des infos intéressantes, etc. Mais j'ai bien ri lorsque je suis arrivé à cet article : Radio Prague en français. En effet, lors de l'envoi, je me suis trompé de Guy ! Je pensais avoir écrit à un autre Guy, celui chargé d'un autre bulletin, celui du Radio Club d'écouteurs dont je fais partie ! Mea culpa ... mais merci beaucoup pour cette publication dans La Gazette de ma contribution qui en aura peut-être dérouté plus d'un(e) mais peut être aussi intéressé certain(e)s. Radio Prague qui est devenue une web radio avec l'abandon de la diffusion en ondes courtes est intéressante sur le plan culturel mais aussi sur le plan touristique. Plus rien à voir avec la propagande communiste qui a duré jusqu'en 1989 - 1990. Ma courte contribution était destinée aux écouteurs, pas à ceux qui s'intéressent à l'agriculture ou à l'agro-alimentaire. Néanmoins, j'ai effectué une recherche sur le site de Radio Prague avec le mot " agriculture " et j'ai trouvé, entre autres, les articles suivants : Vers une même composition des produits alimentaires en Europe Voir : http://www.radio.cz/fr/rubrique/economie/vers-une-meme-composition-des-produits-alimentaires-en-europe 2016, une mauvaise année pour la récolte de fruits http://www.radio.cz/fr/rubrique/economie/2016-une-mauvaise-annee-pour-la-recolte-de-fruits Les voisins slovaques diffusent aussi en français via le web. Radio Slovaquie internationale (http://frrsi.rtvs.sk/) propose elle aussi 30 minutes de programmes audio par jour en plusieurs langues dont le français. Les slovaques ont beaucoup fait pour la PAC durant leur récente présidence du Conseil de l'UE (01-01 - 31-12-2016). Le 6 février dernier, le " Gros Plan " s'intitulait : " Les protecteurs de la nature demandent les changements de la politique de l‘UE " http://frrsi.rtvs.sk/clanky/gros-plan/126092/les-protecteurs-de-la-nature-demandent-les-changements-de-la-politique-de-lue Enfin, autre pays de l'Est qui émet en français : la Roumanie. Quatre émissions par jour de 30 ou 60 mn. Évidemment, on y parle d'agriculture ; ce matin, j'ai écouté l'interview d'une commerciale d'une société française qui fabrique des équipements pour les éleveurs porcins, équipements présentés au Salon Indagra en novembre 2016 (ce n'est pas encore en ligne sur le site). J'ai retrouvé quelques émissions sur l'agriculture : Argent européen pour l’agriculture roumaine http://www.rri.ro/fr_fr/argent_europeen_pour_lagriculture_roumaine-2555096 Agriculture roumaine - point situation http://www.rri.ro/fr_fr/agriculture_roumaine_point_situation-2557085 Mais il y a d'autres émissions intéressantes, telle celle consacrée au populisme : Qu'est-ce que le populisme ? http://www.rri.ro/fr_fr/quest_ce_que_le_populisme-2559153 Malheureusement, je ne sais pas trop pourquoi, les sites de ces stations sont très mal indexés par Google. Pourtant, et c'était mon objectif, il est possible d'y trouver des informations très intéressantes. J'arrête de t'ennuyer avec tout cela ... Chacun ses passions. Avec mes amitiés. Paul JAMET Mél : paul.jamet(a)free.fr Internet des Objets – Levée de fonds de 3,3 M€ pour la startup Adveez Adveez, start-up toulousaine spécialisée dans l'Internet des Objets annonce aujourd'hui une levée de fonds de 3,3 M€. Implantée en France et aux Etats-Unis, Adveez propose une solution complète permettant le monitoring et le contrôle des déplacements sur des sites sensibles (aéroports, ports, usines, entrepôts logistiques, sites de santé, …). Voir : http://www.scoop.it/t/pepiniere-d-entreprises-du-grand-toulouse/p/4075022143/2017/02/08/iot-les-toulousains-d-adveez-levent-3-3-millions-d-euros 5euros, quand l’économie collaborative se base sur vos talents Sur 5euros, chacun peut acheter ou vendre des microservices en fonction de ses besoins et de ses compétences ou expertises. Pour faire une comparaison simple : sur Airbnb, vous louez votre appartement, tandis que sur 5euros, les vendeurs proposent des microservices digitaux et leurs compétences au travers des tâches précises et clairement définies. Quelques exemples de microservice : du graphisme avec la création d’un logo, la rédaction d’un article pour son blog pour améliorer le référencement, un audit sur une stratégie marketing d’entreprise ou la voix off pour une publicité. Bref, tout ce qui est digital. Notre plateforme s’inscrit dans l'économie collaborative. L'idée est de permettre à tous d'arrondir ses fins de mois. Vous n'avez pas besoin de posséder de biens matériels. Notre objectif est de faciliter la mise en relation et l’achat de microservices. 5euros.com encadre le microservice, sa réalisation et le paiement. Comme tout est en ligne, c’est rapide et sécurisé. Pas de mauvaise surprise. Le nom de 5euros vient du fait que le prix de chaque microservice débute à 5 €. Cependant, il peut monter en gamme grâce à des options souhaitées par le client. Vous pouvez dès maintenant créer votre microservice sur 5euros.com ou vous rendre sur la plateforme pour trouver votre bonheur. >>> Les chiffres 2016 - 5euros a reversé plus de 200 000 € aux vendeurs - Plus de 5 500 microservices sont en ligne - 20 000 clients ont acheté des microservices sur 5euros - 300% d'augmentation du nombre de commande par rapport à 2015 - Le nombre de nouveaux utilisateurs double tous les mois. >>> Vidéo de présentation : https://www.youtube.com/watch?v=aOexYZOdaSc Voir : https://5euros.com
A little Taliban humor (Jewish joke) A fleeing Taliban terrorist, desperate for water, was plodding through the Afghan desert when he saw something far off in the distance. Hoping to find water, he hurried toward the mirage, only to find a very frail little old Jewish man standing at a small makeshift display rack - selling ties. The Taliban terrorist asked, "Do you have water? The Jewish man replied, "I have no water. Would you like to buy a tie? They are only $5." The Taliban shouted hysterically, "Idiot Infidel! I do not need such an over-priced western adornment - I spit on your ties. I need water!” "Sorry, I have none - just ties - pure silk - and only $5." "Pahh! A curse on your ties, I should wrap one around your scrawny little neck and choke the life out of you, but I must conserve my energy and find water!" "Okay," said the little old Jewish man, “It does not matter that you do not want to buy a tie from me or that you hate me, threaten my life and call me infidel. I will show you that I am bigger than any of that. If you continue over that hill to the east for about two miles, you will find a restaurant. It has the finest food and all the ice-cold water you need... Go in Peace! Cursing him again, the desperate Taliban staggered away over the hill. Several hours later, he crawled back, almost dead and gasped, "They won't let me in without a tie!” (You must admit...you never saw that coming!)
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
