Concert dans le cadre des Virades de l’Espoir
Dimanche 29 Septembre 2019, 15h30 - Parc de Sceaux (92)
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La Lyre du Plessis-Robinson
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
AMOUR (En) : Comme en politique, il est inutile d'avoir raison,
il suffit d'être convaincant. Grégoire Lacroix.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Le traitement de l’information scientifique dans les médias
(gazette de la semaine passée)
Au risque de passer pour non constructif, je me demande si l'information
scientifique est correctement diffusée.
Je prends une science qui fait parler d'elle chaque jour, la météorologie.
Elle pourrait énoncer des faits "il pleut" ou des prévisions
"demain, des orages sont prévus sur le relief". Bien
souvent les journalistes masquent les faits par des opinions type
"temps agréable". Des auditeurs, par exemple agriculteurs,
peuvent aussi avoir une opinion "le mauvais temps est le
temps qui dure". Laissons à la science le soin de dire ce
qu'elle sait expliquer et à l'auditeur celui d'en penser ce qu'il
veut.
Quant à la formule "hausse du mercure", la presse semble
ignorer que seuls quelques dinosaures disposant d'un thermomètre
à mercure qui n'a pas été cassé à la succession de grand-papa
peuvent se prévaloir de la terminologie. Je dis aux journalistes
vivez avec votre temps !
Autre sujet actuel : la distance de traitement par rapport aux
maisons. Je ne suis pas qualifié pour avancer un chiffre. Ce qui
m'étonne c'est que l'on met sous le vocable de pesticides des
cibles (insectes, champignons, herbes, bactéries) et des types
de molécules très variés. Qu'en est-il des insecticides à usage
domestique et autres anti - poux ?
Deux anecdotes. Il y a 25 ans, à ma grande honte, j'avais glyphosaté
quelques indésirables en pleine chaleur et mes artichauts situés
à plus de 5 m ont crevé.
En 1945 mon père, libéré par l'Armée Rouge comme ses compagnons,
marche vers l'ouest, rencontre les troupes américaines et là tous
sont désinsectisés au DDT.
Merci pour cette gazette même si je ne suis pas toujours d'accord...
mais je ne paraphraseraist pas Voltaire ! Cordialement,
Contact : Philippe
FOLLIOT
Mél : truite(a)folliot.fr
Réflexion sur les distances d'épandage
Au hasard de la toile, j'ai eu l'occasion de lire cette réflexion
de Yann Kindo sur les distances d'épandage, et bien au-delà...
Yann Kindo sur FB :
"Il me semble que cette histoire de distances de sécurité
pour les épandages de pesticides, ça fonctionne exactement comme
pour les antennes-relais et les ondes électro-magnétiques :
Á la base, il n'y a aucun problème sanitaire réellement constaté,
mais bon, au nom d'une application très stricte du principe de
précaution et pour rassurer les gens, tu vas proposer une norme
(en l'occurrence quelques mètres pour les épandages, selon l'ANSES,
à moduler en fonction des types de cultures et de produits).
Mais en fait, en faisant dans le précautionnisme, au lieu de calmer
le jeu, tu contribues paradoxalement à mettre le feu aux poudres,
parce que les "anti" vont alors se servir de l'existence
de cette norme pour dire que c'est bien la preuve qu'il y a un
problème et que jusqu'ici on nous cachait des choses, et donc
réclamer des normes beaucoup plus strictes.
Et ainsi de suite...
Pour la raison et la logique, c'est un petit jeu façon perdant-perdant."
Cordialement,
Contact : Serge LE DOARÉ
Méll : serge.le.doare(a)wanadoo.fr
Good old
days (Not for everyone!) : The Return to the Village by Julien
Dupré (1895)
« Manifeste pour une écologie turquoise: ensemble, bâtissons
une écologie de libertés! » La tribune de Valérie Petit, députée
LREM
Députée LREM du Nord et membre du collectif « Accélérons la transition
écologique et solidaire » à l’Assemblée nationale, Valérie Petit
plaide pour une écologie de libertés. Elle participera au lancement
d’un groupe informel et transpartisan pour « une écologie turquoise
».
Voir
lopinion.fr
Un livre contre les fake news sur l'alimentation
25 experts de l'Académie d'agriculture de France publient un ouvrage
référence, à une époque où les peurs alimentaires n'ont jamais
été aussi fortes. Par Géraldine Woessner.
Que sont les oméga-3 ? Quelle eau faut-il boire ? Devons-nous
avoir peur des résidus de pesticides ? Alors que les peurs alimentaires
n'ont jamais été aussi fortes, 25 experts de l'Académie d'agriculture
de France ont uni leurs efforts non pour « réconforter », mais
pour « informer et expliquer ». Ils publient chez Odile Jacob
un Grand Livre de notre alimentation, somme d'informations factuelles
pour dépasser querelles et controverses.
Voir
lepoint.fr
Où sont les gros pollueurs ???? Opération nettoyage des bords
de champs par la Coopérative de Boisseaux (présentation ppt à
voir absolument)
En 2009, la Coopérative et ses parties prenantes ont lancés une
opération "Nettoyage du bord des champs".
Double objectif :
- Environnemental : débarras du bord des champs des déchets de
toute nature.
- Sociétal: donner une image positive des agriculteurs.
Viscéralement attachés à leur terre, les agriculteurs sont aussi
sensibles que le reste de la population aux problèmes environnementaux.
50 adhérents volontaires ont ainsi pu démontrer grâce à cette
opération, l’action qu’ils conduisent tout le reste de l’année
en récupérant des tonnes de déchets.
En 2017, entourée de bénévoles, la Coopérative de Boisseaux réïtère
cette opération sur 100 km de bords de champs.
Le résultat est identique 8 ans après: 1000 kg de déchets...
Voir
.coopboisseaux.com
Avec un peu de retard, mais ce sera peut-être encore
utile l'an prochain ?
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Sur le soi-disant « scandale des SDHI » qui mettrait en péril
la biodiversité dans son ensemble (tous les êtres vivants y
compris les humains)…
…on voit bien la stratégie des populistes écologistes dénonçant
l’agence en charge de notre protection sanitaire pour au final
nous faire vivre dans une société où on ne peut faire confiance
à personne.
Une société de défiance, ou chacun d’entre nous se méfie de
tous, est-ce la société que nous souhaitons ? (GW)
Les SDHI constituent une famille de fongicides qui ont pour
mode d’action l’inhibition de la succinate déshydrogénées (SDHI),
enzyme intervenant dans le processus de respiration au niveau
mitochondrial. Ils sont largement utilisés dans de nombreuses
cultures (grandes cultures, viticulture, cultures fruitières
et légumières) pour les protéger contre divers agents de maladies
fongiques.
Ce qu’en dit l’ANSES :
"À ce jour, aucun nouvel élément n’est venu confirmer l’existence
d’une alerte sanitaire qui conduirait au retrait des autorisations
de mise sur le marché en vigueur, conformément aux règlements
nationaux et européens relatifs aux produits phytopharmaceutiques.
»
Voir
ANSES
Pesticides : l'Anses répond aux « élucubrations » de Fabrice
Nicolino
Le journaliste et militant anti-pesticides affirme dans un livre
que nous sommes à l'aube d'une « potentielle catastrophe sanitaire
». Par Géraldine Woessner
Voir
lepoint.fr
À propos
des sacs plastiques !
Signalé
par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
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Où l'on voit que Greta Thunberg, la petite Suédoise, est
en « grève scolaire » pour le climat, mais en réalité, cela
fait plusieurs années qu'elle ne va plus à l'école en raison
de sa maladie ! (Le Magazine du Monde du WE)
>>> L’absentéisme scolaire, l’autre syndrome de Stockholm
Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de jeunes Suédois
décrochent du système scolaire. Un phénomène qui met à mal le
modèle d’éducation à la scandinave.
Il a demandé qu’on change son prénom. Il ne souhaite pas non
plus être pris en photo. Visage poupin sous ses cheveux châtains
mi-longs, c’est un peu comme si le jeune homme de 22 ans revendiquait
le droit à l’oubli. De cette étrange parenthèse dans sa vie,
dont il a accepté de nous parler, il ne se souvient d’ailleurs
plus très bien. Jon a été ce qu’on appelle en Suède un hemmasittare
– hemma, pour maison, sitta, pour assis. Pendant plus de deux
ans et demi, au lieu d’aller au lycée, il est resté cloîtré
chez lui.
.../...
Voir
lemonde.fr
Du côté du Gorafi (souvent très drôle) : Un Français va tenter
de vivre pendant un an sans se plaindre
L’Agence Spatiale Européenne (ESA) vient de dévoiler l’identité
du Français qui sera leur prochain sujet d’étude. Ce Lyonnais
de 29 ans va vivre pendant un an coupé du reste de ses compatriotes
avec l’interdiction formelle de se plaindre.
Voir
legorafi.fr
En Andalousie, plongée dans l’enfer des serres de tomates
bio, par Stéphane Mandard (Le Monde)
Sous les serres d’Almeria, la production été comme hiver d’aliments
bio se fait au prix d’une surexploitation des ressources humaines
et naturelles.
..../...
Là encore, une petite mise en perspective serait utile (par
le non-spécialiste que je suis – GW):
- ce n’est d’hier que la plaine d’Almeria est couverte de serres.
C’est depuis bien des années un spectacle fascinant et pas vraiment
agréable que constitue la vue d’avion sur cette plaine.
- l’exploitation éhontée des travailleurs imigrés n’est pas
non plus un phénomèbe nouveau.
Mais on peut noter plusieurs points pour une vision équilibrée
des choses :
- la qualité des productions (légumes et fruits) a été améliorée
et on peut espérer que l’inspection du travail espagnole va
être reconstituée maintenant que l’Espagne est sortie de la
terrible crise débutée il y a dix ans, et que cette inspection
pourra effectuer les contrôles nécessaires.
- question disponibilité en eau, les meilleurs spécialistes
du dessalement de l’eau de mer sont des sociétés espagnoles
(avec la technologie de l’osmose inverse). La plaine d’Almeria
devrait pouvoir disposer d’eau en quantité suffisante au moins
à moyen terme pour des cultures à haute-valeur ajoutée.
- aux USA, et notamment en Californie, avec la diminution de
l’immigration, les travaux de recherche-développement-industrialisation
sur les robots de travail de la terre et de récolte sont en
plein boum. La robotisation sera-t-elle préférée à l’accueil
de main d’œuvre étrangère ?
- en Bretagne, du côté de de Saint-Pol-de-Léon ou de Paimpol,
les grandes serres qui font du bio sont absolument fascinantes
: facilitation du travail des employés, pollinisation assistée
par des bourdons, récupération de l’eau aussi bien que de la
chaleur de la serre, qualité irréprochable des productions...
au prix de beaucoup d’efforts d’investissement et d’imagination
!
Voir
lemonde.fr
Livre
: Lagriculture face à ses défis
techniques : L'apport des technologies, sous la direction
de Bernard Le Buanec
Lagriculture
française est dans une période difficile
et doit affronter des défis techniques, économiques
et sociétaux. Face à ce constat, des membres
de lAcadémie dagriculture de France
et de lAcadémie des technologies ont créé
un groupe de travail pour analyser les défis
techniques et étudier les solutions que pourraient
apporter les technologies.
Après
avoir auditionné des agriculteurs, les principaux
syndicats agricoles et de nombreux scientifiques et
industriels, les auteurs analysent les principaux défis
et les solutions techniques qui permettraient dy
faire face et font des recommandations pour que lagriculture
française puisse en bénéficier.
Voir
Presses des Mines
Contact : Catherine REGNAULT- ROGER
Mél : catherine.regnault-roger(a)univ-pau.fr
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Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
ABUS (de confiance) : On appelle ainsi tous les actes commis par
un gouvernement dont on n'est pas. Docteur Pierre Véron.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Last issue of the Efita Newsletter nb 895 dated September 16,
2019
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Efita
Audience « Du côté du web et de l'informatique agricole
- 37 du 12 septembre 2019 »
Voir
Afia
Hacktaferme : un concours pour l'innovation digitale en agriculture
a eu lieu le 6 septembre 2019...
48h pour plancher sur des solutions d'innovation digitale de l'agriculture
de demain, c'est le principe du concours Hackatferme qui s'est déroulé
le week-end dernier en Gascogne Toulousaine. Les équipes mêlant
étudiants ou informaticiens issus des start-ups à des agriculteurs
se sont affrontées dans cette épreuve originale, que nous présente
Charles Cernay, un des organisateurs de Hacktaferme, dans nos éditions
de la soirée.
Voir
hit-radio.fr
Vincent Guyot: « Je twitte pour montrer qu’on existe »
Vincent Guyot, agriculteur, twitte entre deux moissons, pour parler
de sa profession mal-aimée.
Voir
lunion.fr (pour les abonnés)
Un tiers des agriculteurs actif sur les réseaux sociaux
Selon notre baromètre Agrodistribution-ADquation, 32 % des agriculteurs
sont membres d’au moins un réseau social et 63 % de ces derniers
les utilisent au moins une fois par jour.
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
AMOUR (L') : Il promet souvent, c'est un bon député. Pierre Perret
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Comprendre la plateforme API-AGRO en moins de 4 minutes ? C’est
possible avec cette vidéo, disponible sur notre chaîne YouTube
Voir
API-AGRO
Groupe ISAGRI affirme sa présence dans la 1re région agroalimentaire
de France en intégrant IBL éditeur informatique breton des PME-PMI
de l'agroalimentaire
Groupe ISAGRI, 1er éditeur français de logiciels pour l’agriculture
et la profession comptable, annonce l’acquisition de la société
IBL, éditeur informatique spécialisé pour les PME-PMI de l’agroalimentaire.
Groupe ISAGRI associera les forces de cette filiale à AKANEA AGRO
SOFTWARE pour renforcer son implication dans la 1re région agroalimentaire
de France.
Cette acquisition a été le fruit d’un travail en collaboration avec
André Cano, Président – Fondateur IBL, qui poursuit ses fonctions
de Directeur Général et Denis Le Léannec, Directeur Fusions Acquisitions
ACTICAM.
>>> Développer la présence auprès des PME-PMI de l’agroalimentaire
Groupe ISAGRI poursuit sa stratégie de croissance forte sur ses
marchés en ayant toujours à coeur d’apporter les solutions globales
permettant de mieux servir une plus large clientèle, notamment à
travers un investissement continu dédié à l’innovation : cloud,
mobilité, intelligence artificielle…
Groupe ISAGRI, déjà leader de l’informatisation des coopératives,
des industries et des négoces agroalimentaires renforce sa position
en Bretagne et auprès des PME-PMI en intégrant IBL aux forces d’AKANEA
AGRO SOFTWARE, une de ses filiales.
>>> Accompagner les PME-PMI de l’agroalimentaire dans leur
transformation numérique
Le rapprochement d’IBL permet au Groupe ISAGRI de poursuivre son
assise comme le spécialiste de l’ERP Métier Agroalimentaire pour
les PME, ETI et Grandes Entreprises.
C
ette alliance apportera aux clients d’IBL une pérennité de leur
solution et la poursuite de l’innovation entamée (solutions mobiles,
tactiles, pilotage des balances, traçabilité…). C’est également
la garantie d’évolution vers des services complémentaires dans la
chaîne du transport et de la distribution.
Les chiffres clés Groupe ISAGRI :
- CA : 215 millions d’euros
- 150 000 clients sur les 5 continents dont 1/3 en SaaS
- 2000 salariés dont près de 10% dans 13 filiales à l’international
>>> Á propos de groupe ISAGRI : une success story a la
française
Créé à Beauvais en 1983 par Jean-Marie Savalle, son actuel PDG,
ISAGRI va très vite révolutionner le marché agricole français en
rendant l'informatique accessible au plus grand nombre ; le groupe
est leader des services numériques sur ce marché en Europe, en Chine
et au Canada. Avec la marque AGIRIS et sa suite de logiciels de
gestion, de comptabilité et paye, il facilite la gestion des entreprises.
Groupe ISAGRI place l’innovation au cœur de ses développements.
>>> Á propos de AKANEA
AKANEA, éditeur de progiciels métiers, propose depuis plus de 30
ans des solutions de gestion pour les entreprises de la supply-chain
et de la filière agroalimentaire (de la PME à la grande entreprise).
La société regroupe plus de 200 salariés, répartis sur 8 sites (Agadir,
Larmor - Plage, Lyon, Marseille, Paris, Toulouse, Tunis et Varsovie)
et réalisera près de 25 M€ de CA en année pleine.
Sa filiale agroalimentaire AKANEA AGRO SOFTWARE se positionne dorénavant
comme un des principaux acteurs du marché sur les activités fruits
et légumes d’une part et fabricants et négociants agro-alimentaires
d’autre part.
Voir akanea.com
>>> A propos d’IBL
Voir IBL
Le
Grand livre de notre alimentation, le guide complet
de notre alimentation en 100 chapitres, par 25 experts
de lAcadémie dagriculture
Publié
aux éditions Odile Jacob, ce guide complet de
"notre alimentation", aborde les thématiques
suivantes:
-
Bien manger : que manger et comment ?
- Les aliments par le menu
- Nos aliments sont-ils sûrs ?
- L'équilibre nutritionnel de chacun
- L'aliment, en pratique
Nos experts donnent dans cet ouvrage "leurs avis
informés et leurs meilleurs recommandations ;
au-delà des querelles, controverses et débats
passionnés autour de la qualité de nos
aliments".
Voir
Edition Odile Jacob
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Groupe ISAGRI devient leader des solutions informatiques pour
la location de véhicules et matériel et la gestion de flotte en
acquérant VEGA Systems et Gyzmo Technology
Groupe ISAGRI, 1er éditeur français de logiciels pour l’agriculture
et la profession comptable, annonce l’acquisition de la société
VEGA Systems et sa filiale Gyzmo Technology, éditeur et intégrateur
informatique dédié aux loueurs, courte et longue durée, de véhicules
et de matériel et aux gestionnaires de flotte.
Ce sont plus de 250 moyennes et grandes entreprises qui rejoignent
la clientèle du Groupe et pourront bénéficier d’un ensemble de
solutions informatiques métier, cohérentes, globales et complémentaires
couvrant tous leurs besoins de gestion.
La nouvelle filiale de Groupe ISAGRI sera dirigée par Hotman HOZMAN,
actuel DG de VEGA Systems, qui travaillera en étroite collaboration
avec Frédéric BON, DG d’IRIUM Software pour rapprocher les 2 structures
à horizon 2021 et construire le leader de la distribution, de
la location et de la gestion de flottes de matériel et de véhicules.
>>> Accompagner plus vite les clients dans leur transition
numérique
Groupe ISAGRI poursuit sa stratégie de croissance forte et étend
les marchés sur lesquelles elle progresse en ayant toujours à
cœur d’apporter les solutions globales permettant de mieux servir
une plus large clientèle, notamment à travers un investissement
continu dédié à l’innovation : cloud, mobilité, intelligence artificielle…
Groupe ISAGRI, déjà leader de l’informatisation agricole et très
bien placé auprès des acteurs de la supply chain avec sa filiale
AKANEA, et des distributeurs et réparateurs de véhicules et de
matériel avec sa filiale IRIUM Software, complète son catalogue
auprès des grands comptes, des gestionnaires de flottes, et des
loueurs, courte et longue durée, de véhicules et de matériel,
avec une offre complète gérant leurs différentes activités.
Groupe ISAGRI renforce également son offre « Mobilité et BI »
: reporting, agence virtuelle / location H24, intervention / technicien,
inspection, notes de frais, gestion de tournées, magasinier, etc.
L’arrivée de VEGA Systems et sa filiale Gyzmo Technology aux côtés
d’IRIUM et d’AKANEA, permet à Groupe ISAGRI d’accélérer le développement
d’une offre permettant d’accompagner avec plus d’efficacité ses
clients grands comptes dans leur transition numérique.
Cette alliance est en effet l’occasion de proposer des solutions
informatiques Métier, cohérentes, globales et complémentaires
couvrant tous les besoins de gestion présents et à venir.
>>> Une ambition affichée de développement à l’international
Ce rapprochement entre les structures IRIUM et VEGA Systems permet
à Groupe ISAGRI de poursuivre ses ambitions à l’international,
de proposer son bouquet de solutions informatiques destiné aux
loueurs, distributeurs et réparateurs de véhicules sur les 5 continents
et de toujours mieux accompagner ses clients dans leur croissance.
>>> Á propos de VEGA Systems
Créée en 1990, VEGA Systems est spécialisée dans l’édition, le
développement et l’intégration de progiciels couvrant les métiers
liés à la gestion de flotte et à la location, courte et longue
durée, de véhicules et matériel.
Créée en 2016, la filiale Gyzmo Technology est une disruption
qui a conçu et diffusé en moins de 3 ans une offre complète de
BI, d’Apps de mobilité et qui est prête pour l’IoT.
L’entreprise a consacré plus de 5 M€ au développement et au renouvellement
de son offre produit, ce qui lui a permis de se hisser au premier
plan et de confirmer son rang de leader sur ses marchés historiques.
VEGA Systems rassemble 55 collaborateurs qui servent plus de 250
clients, 12.000 utilisateurs, qui gèrent plus d’un million de
véhicules et de matériel, 6 000 agences, et qui réalisent près
de 6 M€ de CA d’affaires.
Voir
automobile-entreprise.com
Le système IntelliSense de New Holland remplace le chauffeur
Primé comme machine de l’année en 2019, le système IntelliSense
de New Holland a affronté la réalité de sa première campagne de
battage dans l’Hexagone cet été. Retour d’expérience avec Pierre
Chazé, entrepreneur en Mayenne, qui a décidé d’investir dans cette
innovation pour automatiser la machine.
Voir
agri-mutuel.com
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Si ce lien
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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre correspondant de l'Académie d'Agriculture
; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture
2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European
Federation for Information and Communication Technology
in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015)
; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut
de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole
(Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Station météo connectée : Accessibilité, instantanéité, précision
: les arguments chocs
Les stations météo, qu’elles soient fixes, mobiles, ou dématérialisées
s’appuient sur trois fonctions de base pour séduire les professionnels
: un accès aux données simplifié, en temps réel, avec toujours
plus de précision.
Voir
agri-mutuel.com
Mieux connaître la maladie de l’encre du châtaignier grâce
aux sciences participatives : lancement de l’application Vigil'encre
L’encre du châtaignier est actuellement le principal frein à la
culture du châtaignier en France et en Europe. Dans le contexte
du changement climatique, l’impact de cette maladie risque d'augmenter.
Afin de mieux évaluer les risques encourus, il est nécessaire
de connaître précisément son actuelle aire de répartition. Les
scientifiques de l’Inra ont développé une application mobile,
Vigil’encre, disponible aujourd’hui sur les plateformes de téléchargement1.
Citoyens, gestionnaires de forêts ou arboriculteurs, chacun peut
contribuer à la progression des connaissances en signalant les
symptômes constatés sur les arbres et en envoyant des échantillons
au laboratoire.
Voir
presse.inra.fr
Piscicultures
du monde : Aujourd'hui et demain, par Jérôme
Lazard, membre de l'Académie d'agriculture
Aujourd'hui
un poisson sur deux destinés à la consommation
humaine provient de l'élevage, situation qui
va continuer à s'accentuer. Le développement
de la pisciculture et de l'aquaculture repose sur un
ensemble de facteurs, décrits et analysés
dans cet ouvrage.
À l'ancienneté de l'activité s'ajoutent
de multiples innovations qui ont permis une diversification
des systèmes et des espèces d'élevage
au cours des cinquante dernières années.
L'Asie domine largement la production piscicole mondiale
qu'elle conduit sur le chemin de l'intensification avec
le recours à l'alimentation artificielle et à
l'élevage d'espèces autochtones et exotiques
performantes.
Cet ouvrage considère les contextes et composantes
biotechniques et socioéconomiques des systèmes
actuels mis en uvre à travers le monde,
et fournit des éléments destinés
à en évaluer les impacts. Il propose des
solutions alternatives pour faire face aux contraintes.
Les informations présentées dans cet ouvrage
ont pour objectif de fournir au lecteur des bases pour
évaluer la faisabilité de tel ou tel type
de pisciculture dans un contexte donné avec de
raisonnables chances de succès.
Voir
Presses des Mines
Contact
: Catherine REGNAULT- ROGER
Mél
: catherine.regnault-roger(a)univ-pau.fr
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Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
ACCORDÉON (L') : Instrument politique qui, lorsqu'on appuie à
droite ça souffle à gauche, lorsqu'on appuie à gauche ça siffle
à droite et entre les deux c'est du vent. Raymond Devos.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Avast identifie les applications d'espionnage du Google Store
Les applications du Google Play Store permettaient de traquer
des employés, des partenaires romantiques ou des enfants.
Voir
blog.avast.com
Le plan des Gafa face aux pressions de Washington
Attaqué par 50 procureurs aux États-Unis, Google renforce ses
équipes à Washington dans l'espoir d'éteindre la fronde antitrust.
Comme Amazon, Facebook et Apple, il dépense des millions de dollars
en lobbying et n'hésite pas à s'offrir les services... d'anciens
hauts fonctionnaires.
Voir
lesechos.fr
Comment Ark, la première cryptomonnaie française, veut s’imposer
dans le paysage
Mise sur orbite dès mars 2017, Ark est aujourd’hui la plus importante
cryptomonnaie française et dans le “Top 50” mondial. Dans l’ombre
du Bitcoin, Ethereum et consorts, cette petite « pépite tricolore
» dispose néanmoins de certains atouts pour tirer son épingle
du jeu.
Voir
forbes.fr
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
ACTES (légaux) : Il en est deux dans la vie pour lesquels on doit
se cacher avant de les accomplir : le vote et l'amour. José Artur
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Le Polonais Janusz Wojciechowski, nouveau commissaire à l’agriculture
Ursula van der Leyen, la nouvelle présidente de la Commission européenne,
a attribué le portefeuille de l’agriculture au polonais Janusz Wojciechowski.
Membre de la Cour des comptes européenne, il a été député européen
et vice-président de la commission de l’agriculture entre 2004 et
2016.
Voir
agri-mutuel.com
Avec France Carbon Agri, la décarbonation de l’élevage dans les
starting-blocks, par Raphaël Lecocq
Initiée par le Cniel et Interbev, la méthode de comptabilisation
des émissions et séquestration Carbon Agri sera très prochainement
certifiée Label Bas Carbone. Elle ouvre la voie à une rétribution
financière des exploitations s’engageant dans un processus d’amélioration
du bilan carbone sur un pas de temps de 5 ans. L’association France
Carbon Agri s’apprête à lancer ses premiers appels à projet.
Voir
pleinchamp.com
Deux-Sèvres : 2.000 pieds de tabac détruits chez le président
de la Coop de l’eau
Un champ de tabac exploité par Thierry Boudaud a été saccagé dans
la nuit de mercredi à jeudi. L’agriculteur se trouve être le président
des irrigants du département des Deux-Sèvres.
Voir
france3-regions.francetvinfo.fr
Pesticides : "Je n'aurais aucun souci à mettre mes enfants
près des champs" dit un éleveur
Étienne Fourmont, éleveur et youtubeur, défend une utilisation des
pesticides "ultra-contrôlée". "Je n'aurais aucun
souci à mettre mes enfants près des champs des agriculteurs français",
explique-t-il.
Voir
rtl.fr
Suicide collectif... Agriculture française: un trésor national
en danger
Un positionnement haut de gamme, une fiscalité dissuasive, des surtranspositions
absurdes et la croyance en un modèle unique haut de gamme sapent
lentement mais sûrement notre souveraineté alimentaire.
Voir
lopinion.fr
Good old days (Not for everyone!): The Milk Girl by Julien Dupré
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Les arrêtés illégaux des maires écolos
Le 8 août dernier, l’Agence américaine de protection de l’environnement
(EPA) a interdit à l’État de Californie de continuer à̀
apposer sur les étiquettes des produits contenant du glyphosate
toute allégation concernant un prétendu caractère cancérigène, estimant
que cette information était « fausse et trompeuse pour les consommateurs
». En 2017, l’État de Californie avait en effet rendu cette mention
obligatoire pour les fabricants de l’herbicide controversé.
« Il est irresponsable d’exiger des étiquettes inexactes sur les
produits », a souligné́ l’administrateur de l’agence environnementale,
Andrew Wheeler. L’EPA en a profité́ pour rappeler que, selon
elle, il n’existe aucun risque pour la santé publique et pour
l’environnement des lors que ce produit est « utilisé conformément
à son étiquette », une conclusion partagée par l’ensemble
des agences sanitaires en charge de la mise sur le marché́
des pesticides.
Quel contraste avec l’emballement qu’a provoqué́ l’annulation
de l’arrêté illégal pris le 18 mai dernier par Daniel Rueff,
le maire écolo de Langouët, dans le département d’Ille-et-Vilaine,
interdisant l’utilisation de pesticides à moins de 150 mètres
des habitations !
…/…
Voir
agriculture-environnement.fr
Les plantes vertes d’intérieur qui font le buzz sur Instagram
Le blog britannique Internet Gardener a analysé des centaines de
contenus postés sur Instagram pour mettre en évidence les plantes
qui sont les plus présentes sur ce réseau social privilégié par
les Millennials.
Voir
valhor.fr
« Consensus » pour une retenue d’eau et études sur les besoins
Un complément d'études sur les besoins en eau dans la vallée du
Tescou et le principe d'une retenue sur la rivière ont été décidés
lundi par les divers protagonistes de ce dossier marqué il y a près
de cinq ans par la mort de Rémi Fraisse et l'abandon du barrage
de Sivens (Tarn).
Voir
agri-mutuel.com
L’Union Française des Semenciers demande l’adaptation de la réglementation
européenne sur les OGM
Selon l’UFS et 29 organisations représentatives des filières agricoles
et agro-alimentaires, il est urgent de revoir la réglementation
européenne sur les OGM, qui ne prend pas en compte l’évolution des
techniques utilisées aujourd’hui. L’UFS, AFCA CIAL , AGPB , AGPM
, AIBS , ANAMSO , ANIA , ARVALIS-Institut du Végétal , Centre Français
du Riz , CGB , Coop de France , CSFL , CSIF , FEDEPOM , FNA , FNAMS
, FNPHP , FNPSMS , FN3PT , FNSEA , FOP , Gnis , Intercéréales ,
JA , SNIA , Syndicat des Riziculteurs de France et Filière , Terres
Inovia , Terres Univia , UFS , Val'hor demandent ainsi à la France
de rejoindre l’initiative de plusieurs États Membres en faveur d’une
adaptation de la directive OGM.
Voir
terre-net.fr
Lynda Brook - Loup : la fin du mythe (un peu de loups, c’est
bien, trop de loups, c’est dangereux pour tout le monde)
La naturaliste Lynda Brook vient de sortir un dossier retentissant
sur le loup dans lequel elle explique pourquoi le loup constitue
un réel danger pour l'homme. Elle démontre à travers l'expérience
des Etats-Unis, comment la France est en train de se fourvoyer,
risquant ainsi des accidents et peut-être même des vies humaines
Voir
eleveursetmontagnes.org
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
ACTEURS (Les) : Ils remplacent avantageusement les politiciens.
Non qu'ils croient davantage à ce qu'ils disent, mais ils savent
mieux faire croire qu'ils y croient. Philippe Bouvard.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
AgriFutureDays in VILLACH (Austria)
>>> 25 October 2019
Economic and ecologic solutions based on:
- emergence / integration of thoughts / common sense
- state of the art technology support and
- new business cooperation models.
…with the participation of a representative from IIASA– Int. Institute for Applied Sciences
>>> 28-30 October 2019
SAFER: Technology for economic + ecologic + damage-valuation for SAFER
Sustainable Agriculture Forestry Environment Risk-management
Every workshop participant will get a WinGIS license installed incl.
high-res satellite images to have a tool introducing these new possibilities
to manage the economic as well as ecologic needs for agriculture,
forestry and environment in an entire country on the one hand. On
the other hand participants can be offered to do a countrywide calculation
for a general licence of images and technology including financing
possibilities as well as an ROI calculation for a specific country.
See progis.com
Contact: Walter H. MAYER
E-mail: druml(a)progis.com
Comment apprenons-nous ?
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About future farming: Step into your future at Wageningen Campus
5 - 7 November - WAGENINGEN University and Campus
This year, Misset International and Wageningen University & Research
present About Future Farming a 3-day event that exists out of different
activities. Which one will you choose or will you join us for all
the activities?
At 5 November the third edition of the annual Global Future Farming
Summit will be held, which will focus on unlocking the full potential
of future business opportunities to thrive for the goal to feed and
fuel the world sustainably.
Step into your future at Wageningen Campus. An unique opportunity
to combine your visit to the best Agricultural University in the world
and learn from inspiring keynotes in the sector what the future of
food and ag will bring you and your business.
Combine your stay with a once in a lifetime experience tour at the
Wageningen Campus at 6 November and meet the experts of Wageningen
University & Research. New this year is the opportunity to also
join the Circular Agri Food Summit at 7 November and rethink the system
towards a circular future.
We have some amazing speakers lined up for you!
- Global Future Farming Summit - 5 November 2019
- Experience Tour - 6 November 2019
- Circular Agri Food Summit - 7 November 2019
See futurefarming.events
#esafoodtech : Quel futur pour notre alimentation ?
21 novembre 2019 - ESA - Angers
Le phénomène « FoodTech » est-il en train d’inventer la production,
la distribution et l’alimentation de demain ? Comment le numérique
et les biotechnologies au service de l’agriculture et de l’alimentation
permettent-elles de concilier productivité, qualité et durabilité
?
Nous avons décidé de bousculer le format habituel d’#esaconnect –
Les rdv de l’agriculture connectée, qui continuera pleinement à exister
un an sur deux, en intercalant ce nouvel événement, afin de donner
un aperçu de ce que le numérique permet déjà et surtout permettra
à l’avenir dans les problématiques liées à la transition agroécologique,
au développement de l’agriculture urbaine et plus largement à la transition
alimentaire.
L’ESA se veut un acteur engagé dans les réflexions sur ces grands
enjeux et l’impact de ces transitions en lien avec notre mission de
formation et d’accompagnement des acteurs des agricultures et des
industries agro-alimentaires de demain.
Nous sommes particulièrement heureux d’organiser à l’ESA le 21 novembre
2019 autour de nos quatre thématiques porteuses d’avenir (La transition
agro-écologique, la création de valeurs pour les filières et territoires
; La transition du numérique ; l’Agriculture urbaine et péri-urbaine)
cet évènement qui s’inscrit aussi dans la dynamique de notre territoire
avec son intégration à la troisième édition de la « Connected Week
», semaine dédiée au numérique du 16 au 24 novembre 2019 à Angers.
Voir groupe-esa.com
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
ACTION (en justice) : Elle s'éteint comme un incendie… en noyant la
cause. Jim Nopedy.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du
côté des gazettes et des blogs agricoles |
Du côté de vitisphere.com : L'air qu'on respire, par Marion Sepeau
Ivaldi
Ce vendredi 13 septembre, un beau soleil brille au-dessus des vignes
d’Artaban de Bernard Angelras, président de l’IFV. Celui-ci
a convié la presse locale et le maire de Nîmes à vendanger sa première
récolte de cépage résistant sur une parcelle située à quelques encablures
de la ville et de ses habitations. La vigne n’a subi aucun traitement,
cette année. Voilà une vigne qui tue dans l’œuf tout projet de ZNT riverains. Aux abords de la parcelle, les habitants peuvent
respirer sans crainte. Les journalistes sont conquis.
Reste un message difficile à faire passer : il faut du temps ! Juste
15 ans pour accoucher d’une vigne résistante et encore 5 ans minimum
pour qu’elle soit plantée et productive sur une exploitation. La cadence
de la transition écologique n’est désespérément pas celle des échéances
politiques et encore moins celles des municipales de 2020…. Clermont,
Paris, Grenoble, Lille et Nantes annoncent avoir pris un arrêté pour
interdire les pesticides sur leur territoire.
Mais en matière de pollution en ville, l’urgence est-elle vraiment
aux phytos ? Il y a comme de l’hypocrisie dans l’air.
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Carbone, par Adèle Magnard
Cette année, le thème du Salon international des productions animales
(Space), qui s’est tenu à Rennes du 10 au 13 septembre, était le changement
climatique. Effet de mode ou signe d’une époque ?
Prenons un peu de recul : il y a trente ans, le maître-mot était la
productivité à tout prix. Aujourd’hui, on parle de stockage de carbone,
d’énergies renouvelables, de bien-être animal. On ne fait d’ailleurs
pas seulement qu’en parler : grâce à plusieurs programmes de recherche,
tels que Climalait ou Life Beef Carbon, des fermes pilotes enregistrent
des baisses de près de 15% de leurs émissions de gaz à effet de serre.
Et des initiatives comme Carbon Agri visent à rémunérer les éleveurs
pour la séquestration du carbone sur leurs fermes. Une façon pour
le secteur de l’élevage de montrer que, face au réchauffement climatique,
il est aussi source de solutions.
Voir
pleinchamp.com
Du côté d’André HEITZ
> «
"Manifeste pour une écologie turquoise: ensemble, bâtissons une
écologie de libertés!" La tribune de Valérie Petit » dans l'Opinion
> Chers
journalistes, arrêtez d'être les porte-voix des menteurs
> Une
campagne axée sur la science plutôt que sur la fiction
> La
fable du blé des pharaons sur Europe 1 : l'agriculture pour bobos
> Avec
le retard pris pour les Objectifs de Développement Durable liés à
l'agriculture, des scientifiques africains défendent les biotechnologies
> La
technologie offre des choix pour la viande et les protéines... Et
je suis convaincue que l’avenir est plein de viande, de la vraie.
> Quels
sont les smartphones compatibles avec Galileo, le « GPS européen »
?
> «
"La guerre de l’alimentation n’aura pas lieu". La tribune
de Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture », dans l'Opinion
> Des
scientifiques réclament des arbres modifiés par édition de gènes dans
les forêts certifiées
> Des
idées pour un plan protéique français (ou européen)
Du côté de Cultivar
>
Pékin fait un geste vers le soja et le porc en provenance des USA
>
Pétrole: le baril s'envole après les attaques des installations saoudiennes
>
Les exportations européennes de blé en hausse de 27% (S&P Global
Platts)
> Une qualité de blé dur exceptionnelle
La production de blé dur en France pour la campagne 2019-2020 est
estimée par le ministère de l’Agriculture au 9 septembre 2019 à 1,5
million de tonnes. Malgré des rendements records, avec une...
> « En
terre ton slip », le défi culotté
C’est à la Foire de Châlons-en-Champagne, samedi 7 septembre dernier,
qu’a eu lieu la remise des prix du défi "En terre ton slip",
organisé par les Jeunes Agriculteurs de la Marne. Dix finalistes...
> Blé
hybride: maîtriser la densité pour optimiser la rentabilité
Le blé hybride possède des caractéristiques propres qui méritent
d'être valorisées par une adaptation précise de la densité de semis.
Déterminée à partir des résultats d’essais dédiés, elle permet d’optimiser
le résultat économique de la culture.
> Vidéo: bien choisir son
granulé d'antilimace pour une application en localisé
Frédéric Bizieux, agriculteur en Indre-et-Loire applique son antilimace
au moment du semis de colza via un microgranulateur. Ce type d'application
exige certaines performances du granulé...
Association
nationale des éditeurs de logiciels agricoles
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Du côté du ministère de l‘Agriculture
> Projet
de décret interdisant l’utilisation de deux substances aux modes d’actions
identiques aux néonicotinoïdes
> La
contamination par Xylella fastidiosa de 2 oliviers confirmée en PACA
> Produits
phytosanitaires : mise en consultation d'un nouveau dispositif de
protection des riverains
> L’UNELL
et le groupe Lactalis trouvent un accord sur la prise en compte des
coûts de production dans la formule de prix du lait
Du côté de la Fnsea
> Prix
des engrais : L’Europe se tire une balle dans le pied !
La décision prise par le Comité des instruments de défense commerciale
(IDC) de l’Union européenne, au cours de sa réunion d’hier, de ne
pas s’opposer à une taxe antidumping sur les importations de solution
azotée en provenance des États-Unis, de Russie et de Trinité-et-Tobago,
conduit à une augmentation des coûts de production pour les agriculteurs
européens de 2,8 milliards d’euros sur les cinq prochaines années.
Paris, le 12 septembre 2019 – Les autorités européennes et nationales,
dont la France qui s’est abstenue lors du vote alors qu’elle importe
93% de sa consommation de solution azotée, ont donc fait le choix
d’une augmentation délibérée du prix de cet engrais en Europe, pour
le plus grand profit de quelques fabricants est-européens incapables
de fournir le marché, et au détriment de ses agriculteurs. C’est un
nouveau coup porté aux revenus et à la compétitivité des producteurs
français de céréales, d’oléo-protéagineux et de betterave à sucre,
qui sont les principaux utilisateurs de solution azotée.
La FNSEA, l’AGPB, l’AGPM, la CGB et la FOP demandent de la cohérence
dans l’application de la politique agricole européenne et française.
Cette politique ne peut dans le même temps surenchérir les coûts de
production des producteurs en les privant d’un des derniers avantages
compétitifs qui leur reste, comme c’est ici le cas, et les confronter
sans cesse à des importations massives ne respectant pas les contraintes
qui leur sont imposées.
Cela est d’autant plus intolérable, que cela vient se rajouter à une
longue liste de nouvelles charges et contraintes. Cette surenchère
doit cesser ! Nous demandons, dans le cadre des travaux engagés par
le Président de la république sur le « pacte productif 2025 » visant
à lever les freins à la compétitivité, une remise à plat de la politique
économique concernant l’agriculture, pour mettre fin aux distorsions
et nous permettre de lutter à armes égales face à la concurrence internationale.
La FNSEA, l’AGPB, l’AGPM, la CGB et la FOP rappellent que, pour elles,
l’agriculture est un secteur économique stratégique et porteur d’avenir
: il faut cesser de la dénigrer, de la matraquer et de la sacrifier.
Elles expliquent en effet « qu’on peut avoir les plus belles intentions
du monde, quand l’activité n’est plus viable, elle s’arrête » ! Que
chacun le sache et réfléchisse aux conséquences de ces actes et décisions.
>>> Violences
contre les agriculteurs : ça suffit !
Une nouvelle attaque survenue cette nuit confirme la triste réalité
d'une violence croissante et insupportable à l'encontre des agriculteurs.
Un incendie criminel vient de ravager totalement les trois bâtiments
d'un élevage de poulets, dans l'Orne. Les bâtiments ont été ouverts
par effraction et des tags injurieux ont été trouvés sur les murs.
Il laisse une famille sous le choc et entraîne la fermeture du site
et l'interruption de son activité.
Cet acte d'une extrême violence est rendu encore plus insupportable
par des signes évidents d'une préméditation méticuleuse, ce qui accentue
la détresse de l'éleveur et le sentiment d'angoisse de l'ensemble
de la profession.
Qui pourrait trouver la force de poursuivre son activité face à ces
agressions multiformes, incessantes et stigmatisantes ?
Quelle idéologie peut pousser des militants à commettre des actes
délictueux d'une telle violence ?
Le sentiment d'impunité n'a que trop duré. Nous demandons que la justice
condamne ces actes et prononce des sanctions suffisamment dissuasives.
L'impact économique et humain menacent une profession tout entière
! Mais nous refusons de céder au climat de terreur que certains veulent
imposer.
La FNSEA et JA apportent leur soutien plein et entier aux victimes.
Nous sommes et nous serons toujours aux côtés des agriculteurs touchés
et appelons à la plus grande fermeté de la part du Gouvernement.
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
ÂGES (Les) : Nous avons vu l'âge de fer, l'âge de plomb... Nous voici
arrivés à l'âge du caoutchouc, celui où les consciences sont élastiques.
Aurélien Scholl.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web
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Chez les
fous
Un homme, se promenant à côté de l'enceinte
d'un hôpital psychiatrique entend plusieurs personnes dire
: 33, 33, 33, 33, 33, 33, 33, ...
Intrigué,
il colle l'oreille contre le mur et toujours : 33, 33, 33, 33, 33,
33, 33, ...
Il aperçoit
un petit trou dans la palissade et décide deregarder ce qu'il
se passe.
Il s'approche et alors qu'il satisafait sa curiosité, un
doigt se tend de l'autre côté et s'enfonce dans son
oeil.
Il recule précipitamment, fou de douleur et entend : 34,
34, 34, 34, 34, 34, 34, 34,...
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
|
|
Première pensée du jour
Aujourd'hui, je veux affirmer devant le Sénat que l'agriculture
sera résiliente si elle est irriguée, ou elle ne sera plus, et il
y a un grand pan de l'agriculture qui disparaîtra.
Didier GUILLAUME, ministre de l'agriculture
Seconde pensée du jour
Quand on me dit : « C’était mieux avant », je réponds : « Ça dépend
pour qui. ».
Gérard NOIRIEL
Voir
lemonde.fr
Pseudo-pensée de Claude Gruffat, futur député européen (quand le
Brexit sera consommé)
La biodynamie, méthode qui suit les cycles de la Lune, trouve aussi
grâce à ses yeux : « Ce n’est pas parce qu’on ne l’explique pas scientifiquement
que ça n’existe pas ! ».
Claude GRUFFAT, fils d’agriculteurs, l’ancien PDG de Biocoop
est désormais eurodéputé Europe Écologie-les Verts, sur liste d’attente
jusqu’au Brexit.
Voir
liberation.fr
Autre pensée sur l’écologie: « Récusons les injonctions morales
sans propositions concrètes », interview du professeur
au Collège de France Marc Fontecave par Eugénie Bastié
>>>> Vous jugez que le discours des «effondristes» est
contre-productif?
Les «effondristes» font croire qu’il existe des solutions simples
et que le futur est entre nos mains. Mais la France produit 1 % seulement
du CO2 mondial: elle disparaîtrait de la carte que ça ne changerait
pas le cours des choses s’agissant de l’environnement. Si la transition
écologique de notre propre pays doit se faire, elle ne sauvera pas
la planète. Je crois que, compte tenu de ses moyens et de sa population,
la Chine sera probablement le pays où se fera la révolution énergétique
et écologique. C’est elle qui changera véritablement la donne.
Les «collapsologues» disent que rien n’est fait, mais c’est faux.
Des efforts considérables sont menés dans l’industrie pour baisser
la production de CO2 et de déchets et faire des économies d’énergie.
La chimie, domaine sur lequel je travaille, devient de plus en plus
«verte», à travers de nouveaux procédés de synthèse plus économes
en énergie et en déchets et de plus en plus biosourcés. Des jeunes
chercheurs œuvrent jour et nuit dans des laboratoires afin de trouver
des solutions pour le stockage de l’énergie. On peut dire que cela
ne va pas assez vite, qu’on manque de moyens et d’investissements,
mais pas qu’une bande de voyous ne fait rien parce qu’elle veut à
tout prix polluer l’environnement!
Cet
article a été publié dans l'édition du Figaro du 06/09/2019
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
ALLIANCE (L') : En politique internationale, union de deux voleurs
qui ont leurs mains si profondément enfoncées dans les poches l'un
de l'autre qu'il leur est difficile de s'en prendre séparément à un
troisième. Ambrose Bierce*.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought
for today
I have no respect for people who deliberately try to be weird to
attract attention, but if that's who you honestly are, you shouldn't
try to "normalize" yourself.
Alicia WITT, actress, singer-songwriter, and pianist (1975 -)
A second thought for today
Usually, terrible things that are done with the excuse that progress
requires them are not really progress at all, but just terrible
things.
Russell BAKER, columnist and author (1925-2019)
A third thought for today
Too many parents make life hard for their children by trying, too
zealously, to make it easy for them.
Johann Wolfgang von Goethe, poet, dramatist, novelist, and philosopher
(28 Aug 1749-1832)
A fourth thought for today
Progressive societies outgrow institutions as children outgrow
clothes.
Henry GEORGE, economist, journalist, and philosopher (2 Sep 1839-1897)
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
AMBITION (L') : Elle fait souvent accepter les fonctions les plus
basses ; ainsi, on grimpe dans la même posture que l'on rampe. Jonathan
Swift.
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Ageekculture
: un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information
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Salomé Berlioux, une « pilote » pour défendre la cause de la jeunesse
rurale
La présidente de l’association Chemins d’avenirs a été missionnée
mercredi pour réfléchir aux obstacles rencontrés par les jeunes qui
habitent loin des villes.
Voir
lemonde.fr
L’Anses défend son évaluation des risques
L'agence sanitaire Anses a défendu vendredi sa méthode d'évaluation
des risques liés à l'épandage des pesticides chimiques, en pleine
polémique sur la distance minimale entre habitations et zones de pulvérisation.
Voir
agri-mutuel.com
Ma remarque (GW) : Dans un système où celle ou celui qui ne compte
pas sur sa production agricole pour en tirer un revenu décent, qui
n'a jamais eu à lutter contre le moindre puceron, la moindre mauvaise
herbe, ou la moindre moisissure, qui ne connait rien de rien aux produits
phytosanitaires, peut avoir un avis définitif sur la question… tout
et n’importe quoi devient possible.
Obsolète le modèle allemand ? Vous plaisantez ?
Le fléchissement récent de l'activité en Allemagne mérite-t-il l'avalanche
de commentaires autour de la supposée « obsolescence de son modèle
économique » ? A l'évidence non, estime Alain Fabre, qui rappelle
que, avec un pouvoir d'achat élevé, un chômage bas, un excédent public
significatif et un endettement sous la barre des 60 % de PIB, la première
économie de la zone euro reste robuste.
Voir
lesechos.fr
Du côté de Jojo (mais ce n'est qu'un jeu avec les mots)
AMNISTIE (L') : C'est l'acte par lequel les souverains pardonnent
le plus souvent les injustices qu'ils ont commises
Extrait du "Dico de Jojo", torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Glyphosate : des tests en question
.../...
>>> Faux positifs
La différence flagrante entre les données obtenues (même si d’autres
comparatifs seraient nécessaires pour envisager des conclusions plus
solides) conduit à rappeler les spécificités des tests utilisés et
les limites de la méthode ELISA pour ce type de recherche. « Le test
BioCheck repose sur l’utilisation d’anticorps produits pour se fixer
sur le glyphosate. Le test, dans son ensemble, est donc capable de
détecter et doser cette molécule. En revanche, (…) tous les spécialistes
savent qu’il existe un risque non-négligeable qu’un anticorps se fixe
également sur d’autres molécules. (…) Un premier suspect susceptible
d’entrainer des faux positifs était l’AMPA, un métabolite du glyphosate
et aussi de détergents courants. Le fait que cela ne semble pas le
cas a amené certains à conclure, un peu hâtivement, que le test détecte
bien le glyphosate dans les urines. C’est ignorer qu’il peut y avoir
d’autres sources de faux positifs sans lien avec le glyphosate. Notamment
dans un liquide complexe comme l’urine. Il faut savoir que le test
en question a été mis au point pour détecter le glyphosate dans l’eau,
notamment pour les captages d’eau potable, ce qu’il fait bien, à faible
coût. Mais il n’a pas été validé pour l’urine ! Le test utilisé suite
à la démarche de ces agricultures du Morbihan, qui repose sur une
séparation des molécules par chromatographie, est plus fiable et …
plus cher ! » détaille ainsi le biologiste Marcel Kuntz (directeur
de recherche au CNRS) interrogé par Atlantico.
Les limites du test de Biocheck avaient déjà été épinglées par l’Institut
fédéral allemand d’évaluation des risques (BfR)
en 2015. Ce dernier avait notamment mis en doute la fiabilité du dispositif
dans le cadre de la détection du glyphosate dans le lait maternel.
.../...
Voir
Journal International de Médecine (jim.fr)
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Du côté de EBBH
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Non, la rigueur scientifique ne nuit pas à la santé ! Communiqué du
16 septembre 2019 du collectif Science-Technologies
Le journal « Le Monde » justifie ses attaques récurrentes contre les
agences sanitaires, en affirmant qu’un excès de rigueur scientifique
serait dangereux pour la santé publique, car il retarderait l’interdiction
des produits présentant des risques sanitaires.
Le récent rapport parlementaire sur l’expertise sanitaire démontre
pourtant le contraire : l’EFSA, souvent accusée de rigorisme excessif,
voire de complaisance envers les intérêts industriels, émet en moyenne
des classements toxicologiques plus stricts que le CIRC, moins exigeant
sur le plan scientifique, mais qui s’est taillé une réputation de
lanceur d’alerte inattendue en classant le glyphosate comme cancérogène
probable.
L’annonce de nouveaux risques sanitaires, liés à l’alimentation ou
l’environnement, est l’un des thèmes scientifiques favoris des médias.
En général, les articles sur ces sujets font simplement état d’une
publication scientifique isolée, qui montrerait l’existence de nouveaux
dangers, non pris en compte actuellement par les agences sanitaires.
Pourtant, le plus souvent, les auteurs de ces publications reconnaissent
eux-mêmes que leurs résultats doivent être confirmés par des études
complémentaires…qui arrivent rarement !
Le journal Le Monde est particulièrement actif dans ce domaine, et
depuis quelques mois, affiche des positions assez radicales. En octobre
2018, Stéphane Foucart y avait publié un article au titre programmatique
: « En matière de santé publique, le rigorisme scientifique est une
posture dangereuse » [1]. Il y développe la thèse selon laquelle trop
de rigueur scientifique retarderait la prise de décision politique
pour l’interdiction de produits dangereux. Plus récemment, il a précisé
son propos, en désignant clairement, dans une chronique du 6 juillet
2019[2], les responsables de ce « rigorisme » dangereux : les Académies
scientifiques, qui seraient, si on l’en croit, des nids de climatosceptiques
et autres négationnistes, travaillant souvent en collaboration avec
la recherche privée, et donc forcément suspects.
De telles théories sont logiques sous la plume de journalistes stakhanovistes
de l’alerte sanitaire, et seraient anecdotiques si elles restées confinées
à la presse. Malheureusement, quelques formulations maladroites du
récent rapport parlementaire de l’OPECST sur l’expertise sanitaire
[3] semblent aller dans le même sens, dans ses conclusions sur les
divergences entre agences sanitaires à propos du glyphosate. En effet,
les auteurs du rapport reconnaissent que l’avis du CIRC (la seule
agence qui ait classé le glyphosate comme cancérogène probable) s’appuie
sur des expérimentations non conformes aux lignes directrices de l’OCDE,
et donc rejetées pour cette raison par toutes les autres agences sanitaires.
Toutefois, ils tournent cet argument en faveur du CIRC, en affirmant
que l’EFSA [4], comme les autres agences sanitaires, « semble exiger
des éléments de preuve plus lourds que le CIRC », mais que « le CIRC
accorde plus d’importance aux signes faibles statistiques », signes
faibles dont le rapport rappelle plusieurs fois l’importance. L’EFSA
serait-elle donc dans le camp des « rigoristes » au sens foucartien,
qui retarderaient les décisions nécessaires pour protéger la santé
des citoyens ? C’est clairement l’impression qui ressort des conclusions
du rapport, telles qu’elles sont rédigées. Toutefois, cette prétendue
supériorité du CIRC pour la perception des « signaux faibles » n’est
justifiée par aucun argument méthodologique ou scientifique. Et surtout,
les chiffres cités quelques pages plus loin par l’OPECST démontrent
clairement le contraire : dans les cas (fréquents) où les classements
toxicologiques émis par le CIRC différent de ceux de l’EFSA, c’est
le plus souvent (dans 14 cas sur 25) l’EFSA qui a émis le classement
le plus strict, et donc le plus protecteur pour les travailleurs ou
consommateurs [5].
Contrairement aux théories fumeuses du Monde, « exiger des éléments
de preuve plus lourds que le CIRC », comme le font l’EFSA et les autres
agences sanitaires, n’implique donc nullement de jouer avec la santé
des citoyens. Au contraire : les lignes directrices de l’OCDE, que
le CIRC n’a pas respectées dans le cas du glyphosate, ont pour objectif,
entre autres, de garantir la puissance statistique des expérimentations…c’est-à-dire
précisément leur capacité à détecter les fameux signaux faibles que
l’OPECST appelle à identifier précocement ! Les avis des agences sanitaires,
et les rappels à la rigueur scientifique des Académies des Sciences,
de Médecine ou d’Agriculture, restent donc bien à ce jour les meilleurs
garants d’une évaluation stricte des risques sanitaires et environnementaux.
La médiatisation prématurée de publications scientifiques non confirmées
ne peut, au mieux, que brouiller des messages plus importants. Au
pire, elle peut entrainer vers de fausses pistes : dans un article
récent [6], l’AFIS (Association Française pour l’Information Scientifique)
rappelait que, dans les scandales sanitaires invoqués par le Monde
à l’appui de ses thèses, c’est au contraire la prise en compte d’expérimentations
insuffisamment rigoureuses, semblant nier les risques avérés scientifiquement,
qui a retardé la prise de décision politique.
La lecture du rapport OPECST éclaire d’un jour nouveau l’étrange décision
du gouvernement, qui a enjoint l’ANSES de commander, à propos du glyphosate,
une étude complémentaire et « indépendante » (façon de sous-entendre
que l’ANSES ne le serait pas ?). Cette démarche traduit une certaine
suite dans les idées. Il faut en effet rappeler que la saisine initiale,
adressée à l’OPECST par deux députés LREM, avait déjà pour objet d’enquêter
« sur l’objectivité et l’indépendance des agences sanitaires européennes
», un intitulé qui curieusement épargnait le CIRC, agence dépendant
de l’Organisation Mondiale pour la Santé. Malgré le biais évident
de cette saisine originelle, l’OPECST a veillé à analyser objectivement
les raisons de la divergence entre le CIRC et l’ensemble des autres
agences sanitaires nationales, et pas seulement européennes. Bien
que rédigée de façon très bienveillante pour le CIRC, l’analyse fait
par l’OPECST sur le cas du glyphosate montre bien que la question
n’est pas à proprement parler scientifique, mais purement réglementaire
: l’expertise sanitaire française doit-elle ne retenir que les études
scientifiques conformes aux lignes directrices de l’OCDE (comme toutes
les agences en charge des autorisations des pesticides), ou peut-elle
s’en dispenser comme l’a fait le CIRC pour le glyphosate, au nom de
la détection des fameux « signaux faibles » ? Et, dans ce cas, quelles
normes minimales de qualité faudrait-il fixer à la place des lignes
directrices de l’OCDE, pour éviter que cette expertise purement nationale
se ridiculise en prenant en compte des études qui seraient démenties
par la suite (voir l’exemple de la célèbre publication de G-E Séralini,
sur des effets cancérogènes des OGM et du glyphosate chez le rat,
démentie à grand frais plusieurs années après, par tous les chercheurs
qui ont cherché à reproduire ses résultats[7]) ? Bien entendu, poser
la question en ces termes, c’est déjà y répondre… En tout cas, commander
une nouvelle étude sur le glyphosate, sans avoir au préalable réglé
cette question méthodologique soulevée par le rapport OPECST, n’a
aucun sens.
Cette invocation par l’OPECST des « signaux faibles », pour remettre
en doute le travail des agences sanitaires sans aucune justification
scientifique, montre bien que le personnel politique n’est pas totalement
imperméable aux théories de la presse militante. Mais la charge du
Monde contre les Académies, un des lieux importants de construction
du consensus scientifique, a au moins un mérite involontaire : elle
reconnait implicitement que l’alarmisme sanitaire et environnemental,
dont ce journal est un des principaux hérauts, n’est pas la position
dominante d’un monde scientifique qui serait unanime, face à des pressions
de l’industrie relayées par les agences sanitaires. Il s’agit d’une
attitude promue par une minorité de chercheurs soutenus par la presse,
le plus souvent respectables, mais dont les avis montrent souvent
une ignorance certaine des règles élémentaires de l’expertise sanitaire…
et semblent négliger les dérives sensationnalistes d’une partie de
la presse scientifique, pourtant dénoncées par de nombreux chercheurs
[8]. Bien entendu, l’auteur de ces lignes coche toutes les cases pour
que son avis soit considéré comme nul et non avenu par Le Monde :
agronome de formation, il travaille dans une société privée (qui collabore
entre autres avec Bayer), et est membre de l’Académie d’Agriculture
de France. Mais pour sauvegarder sa réputation de sérieux et d’objectivité,
ce prestigieux journal pourrait au moins expliquer pourquoi les faits
rassemblés par l’OPECST contredisent à ce point ses théories.
Philippe STOOP
Docteur-ingénieur en agronomie, Directeur Recherche et Innovation
de la société ITK, Membre correspondant de l’Académie d’Agriculture
de France.
Membre du Collectif Science-Technologies-Actions
[1]
[2]
[3]
OPECST : Office Parlementaire pour l’Evaluation des Choix Scientifiques
et Technologiques.
[4] EFSA : European Food Safety Authority (Autorité Européenne de
Sécurité des Aliments)
[5]
[6]
[7]
[8]
>>> Le Collectif STA composé de chercheurs, ingénieurs, médecins,
enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de
la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes,
a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique
et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias.
Blog STA
Contact & adhesion : sciencetechaction(a)gmail.com
Tech, medical and farm groups ask appeals court to overturn verdict
against Monsanto
Groups representing farm, medical and biotechnology interests have
filed briefs with the California Court of Appeal, aligning with
Monsanto in asking the court to overturn last summer’s jury verdict
that found Monsanto’s glyphosate-herbicides cause cancer and determined
that the company spent years covering up the risks.
The groups are urging the appeals court to either throw out the
win a San Francisco jury gave to school groundskeeper Dewayne “Lee”
Johnson in August of 2018 or to invalidate an order for Monsanto
to pay punitive damages to Johnson. The Johnson trial was the first
against Monsanto over claims that its glyphosate-based herbicides
such as Roundup can cause non-Hodgkin lymphoma.
Johnson is one of more than 18,000 plaintiffs making similar claims.
The lawsuits allege that Monsanto was aware of scientific research
showing an association between its herbicides and cancer but rather
than warn consumers the company worked to suppress the research
and manipulate scientific literature.
See
usrtk.org
Revue
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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What, me behave? Seriously?
As a child I saw Batman drive 200 mph,
Cinderella arrived after midnight,
Pinocchio told lies,
Aladdin was a thief,
Tarzan & Jane were almost naked,
Snow White lived in a house with 7 men,
Popeye smoked and had tattoos,
Pac Man ran around to digital music while eating pills that enhanced
his performance,
Shaggy and Scooby were mystery solving hippies and always had the
munchies, so we know what they were smoking.
And you expect me to behave.
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