Good old days (???????): Des paysans rapportent à leur habitation
un veau né dans les champs par Jean-François Millet
Pas nouveau mais toujours excellent : un rappel peut toujours
être utile quand TOUT semble être une priorité
A Valuable
Lesson For A Happier Life
Les agriculteurs ne sont pas des pollueurs, par Jean-Francis
Pécresse dans Les Échos
Si les agriculteurs manifestent leur colère, cette fois, les Français
ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes.
.../...
Mais lorsqu'une Cour d'appel condamne un éleveur du Cantal à 8.000
euros d'amende au motif que ses vaches indisposent ses néoruraux
de voisins, c'est l'État qui expulse les agriculteurs hors de
la communauté civile. Quand les pouvoirs politique et judiciaire
ne répriment pas assez fermement ces maires irresponsables qui
interdisent, sans le moindre fondement scientifique ou juridique,
tout traitement par pesticide à moins de 150 mètres d'une habitation,
c'est une agriculture raisonnée que l'on sacrifie à un obscurantisme
militant. Jamais nos agriculteurs n'ont si peu pollué l'air et
les sols, jamais ils ne nous ont donné une alimentation si saine.
Mais nous nous sommes convaincus du contraire. Alors que nos paysans
sont prêts à réduire progressivement leur dépendance aux pesticides,
qu'ils se convertissent au bio au prix parfois de gros efforts,
nous exigeons d'eux l'impossible : sortir du glyphosate dans un
an. Sauf à nourrir de nouvelles colères, il est grand temps de
se donner deux ans de plus, comme toute l'Europe.
Jean-Francis PÉCRESSE
Voir Les Echos
« Dans chaque assiette, un agriculteur ». La tribune de Sébastien
Abis
Sébastien Abis est directeur du club de réflexion agricole Demeter.
Il est aussi chercheur associé à l’Institut de relations internationales
et stratégiques (Iris)
Voir lopinion.fr
Ras le bol : Des centaines d’agriculteurs bloquent le périphérique
parisien
Des centaines d'agriculteurs ont convergé mercredi vers Paris
à l'appel des syndicats FNSEA et Jeunes Agriculteurs, où ils bloquaient
le périphérique à la mi-journée, en demandant à être reçus par
le président de la République.
Voir
agri-mutuel.com
Ras-le-bol : Des milliers d’agriculteurs bloquent Berlin pour
exprimer des craintes existentielles
Près de 10000 agriculteurs se sont rassemblés mardi avec des milliers
de tracteurs dans le centre de la capitale allemande. Ils protestent
contre la recrudescence de contraintes environnementales pas honorées
par le consommateur. Berlin compte sur des subventions pour calmer
le mouvement.
Sievens, Paris et Berlin, à la suite d’une intéressante séance
de l’Académie d’agriculture : La gestion en commun, une voie pour
dépasser nos crises environnementales territoriales
Mon point de vue (GW) : À mon sens la discussion sur les communs,
y compris face à une crise environnementale territoriale, ne peut
pas se limiter à ce que j’appellerai un peu par provocation la
bulle agricole ou même rurale (20 % de la population française)…
Il est possible que si (et seulement si ?) la notion de commun
(re)gagne du terrain (c’est le cas de le dire) dans les projets
d’aménagement dans les métropoles, elle en (re)gagnera aussi dans
les projets d’aménagement dans les zones rurales.
C’est pourquoi, je me demande si les projets berlinois et parisiens
évoqués (comme exemples) ci-dessous pourraient bénéficier des
concepts et expériences évoqués lors de la séance du 27 novembre.
>>> Berlin perd plusieurs centaines de millions d’euros
dans le rachat de HLM
La mairie socialiste de la capitale allemande a racheté, pour
plus de 900 millions d’euros, 6000 logements sociaux qu’elle avait
vendus en 2004, un peu plus de 400 millions d’euros.
Voir
lefigaro.fr
Attention : il y a une erreur dans le sous-titre de l’article.
C’est bien « qu’elle avait vendus » comme écrit dans le corps
de l’article.
>>> La ville de Paris va proposer 500 logements à 5000
euros le mètre carré
Pour faire face à l’inflation des prix de l’immobilier dans la
capitale, la ville va proposer aux classes moyennes d’acheter
des logements dont le principe est basé sur la séparation du foncier
et du bâti.
Voir
leparisien.fr
Le projet berlinois a eu un très large écho dans la presse allemande,
ce qui n’est pas (encore ?) le cas du projet parisien. Mais nous
voyons bien que « commun » ne signifie pas « gratuit ».
Voir
academie-agriculture.fr
A quoi répond Pierre Marsal (Académie d’agriculture) : Sur le
principe ces opérations ne me choquent pas (Berlin, Paris), bien
au contraire. Sur les modalités peut-être effectivement y aurait-il
beaucoup à discuter.
C’est toute la question du foncier qui est posée ici. Une des
rares questions – peut-être taboue – qu’on n’ose rarement aborder.
Même dans nos instances à atmosphère feutrée.
Sur la question de la propriété foncière. Louis Malassis, qui
n’avait pourtant rien d’un révolutionnaire, posait très clairement
la question de sa légitimité historique, du handicap qu’elle constituait
pour qui devait acheter ou racheter son droit à l’utiliser, etc..
C’est très intéressant d’observer comment ce droit s’est constitué
dans l’histoire des civilisations occidentales (du temps des Romains,
et l’évolution qui s’est produite après le Révolution : je ne
voudrais pas m’appesantir mais il y a un livre excellent sur cette
dernière question du juriste – et philosophe- belge François Ost
« La Nature hors la loi », 2003). Dans d’autres civilisations
il n’en va pas de même.
Mais restons chez nous ; Ce n’est pas idiot de séparer le droit
de propriété et le droit d’usage. C’est ce que Berlin et Paris
semblent vouloir faire, maladroitement sans doute et avec les
seuls instruments de droit qu’ils ont en leur possession.
Le sol pourrait très bien être un bien commun, géré de façon communautaire,
comme il en va pour d’autres biens : par exemple puisque c’est
d’actualité avec l’histoire de la 5G, les radiofréquences. Ce
serait aux collectivités propriétaires d’en assurer la bonne gestion
soit directement, soit en en déléguant les droits par des concessions
ou dans des partenariats. A condition que le détenteur du droit
de propriété se comporte de façon responsable. Hélas ce n’est
pas toujours le cas : voir ces calamiteux PPP, les concessions
d’autoroutes, le projet de privatisation d’ADP, etc. L’Etat brade
ses bijoux de famille pour racler des fonds de caisse !
En résumé, il me semble évident que dans le contexte actuel, le
champ des biens, matériels ou immatériels, publics (ou des biens
communs, ce n’est pas exactement la même chose) est appelé à s’étendre.
Cela commence à entrer dans les esprits (espace, air…).
Mon opinion sur des détails (GW) : Les PPP ne sont pas tous calamiteux
et je ne vois aucun inconvénient aux concessions d’autoroute quand
je compare nos autoroutes à celles de nos voisins. Je ne vois
pas plus d’inconvénient à la vente d’ADP. Chez nos voisins européens,
les aéroports sont aussi privés. Autoroutes et aéroports ne jouent
pas le même rôle dans nos vie que le prix du terrain pour construire
nos habitations.
Black Friday
vu par Luc Becker
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Voici un couper-coller provenant du script d'une interview
d'un homme politique…
« Je crois donc que nous avons besoin d’un civisme, d’une citoyenneté,
d’un réveil, et aussi d’une culture qui serait accompagnée institutionnellement
dans notre pays ; c’est à dire beaucoup plus qu’une simple éducation
à l’école primaire par exemple. Il faut travailler sur ces questions-là
la vie durant, et c’est peut-être là l’un des défis de la République
tchèque aujourd’hui : revisiter l’espace public. Y a-t-il suffisamment
de programmes et d’institutions qui s’occupent du réveil citoyen
pour que les gens ne se laissent pas acheter ou prendre dans
des rouages les menant dans une sorte de dépendance sans issue
? La liberté, c’est quelque chose qui s’acquiert, se conquiert,
encore aujourd’hui. »
Je viens de suivre l'émission en podcast et j'ai caché le nom
du pays... Mais je trouve que cela s'applique à beaucoup d'autres
pays à commencer par le nôtre !
Résultat plus bas ...
Source : Les 30 ans de la révolution de velours – émission spéciale
Voir
radio.cz
L'homme politique est Pavel Fischer... et le journaliste est
Guillaume Narguet que je connais personnellement.
Et le mot masqué est tchèque.
Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
Une belle vidéo de présentation de "Volée de Piafs"
Voir
vollée de piafs
Signalé par Hugues THORÉ
Mél : hthore(a)gmail.com
2020
Signalé
par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
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Le Baron de la Bouctière, ouvrier et paysan, une vie de travail,
d’évolutions, d’amitiés, de famille, par Jean-François Proust
Robert Baron est né en 1927 à Prailles dans les Deux-Sèvres. Son
père a été ouvrier agricole, puis agriculteur. Lui-même a été
tour à tour aide familial, ouvrier agricole, puis agriculteur.
Robert a connu les vicissitudes de la Seconde Guerre mondiale
et ses parents la Grande Guerre. Robert a pratiqué l’agriculture
à l’ancienne. Il a connu ensuite tous les bouleversements techniques,
économiques et sociaux du monde agricole et rural jusqu’à la fin
des années 1980, avec cette coloration particulière du plateau
mellois que sont l’entraide, l’importance des coopératives, la
religion protestante qui laisse une grande place à la laïcité,
les Sociétés d’Education Populaire, la terre rouge à châtaigniers
qui colle d’amitié et tout ce qui va avec.
Cette biographie, la plus factuelle possible est sans nostalgie
: Le travail était fatigant, l’école plus courte, les loisirs
rares, les maladies plus souvent incurables, les guerres plus
présentes… Mais aussi sans misérabilisme : il y avait des savoirs,
des rencontres, de l’entraide, des plaisirs, des veillées, des
bals, des mariages, des naissances. Cette biographie parlera aux
habitants du sud des Deux-Sèvres et du Poitou et, plus largement,
à tout public intéressé par les bouleversements de la société
rurale dans la seconde moitié du XXe siècle.
Jean-François Proust est né en 1953 à La Couarde. Ses parents,
d’origine urbaine et extérieurs à la région, ont effectué un «
retour à la terre » en 1952, bien avant que ce ne soit de mode.
Enfant et adolescent, il a participé aux travaux de la ferme en
y côtoyant Robert quasi-quotidiennement. Après son diplôme d’ingénieur
agronome, il a repris la ferme de ses parents pendant dix ans.
Robert avait alors sa propre ferme, pas si petite et ils se sont
entraidés.
Bon
de souscription (20 €)
Contact : JF PROUST
Mél : jf.proust(a)orange.fr
La modification intentionnelle du génome de certaines plantes
cultivée n’est plus du domaine des rêves ou fantasmes
> CRISPR
gene edited soybeans suited for hotter climates offer ‘enormous’
crop yield boost
> FDA-approved
edible cotton seeds show how GMO, CRISPR-edited crops can battle
global hunger
> Agricultural
firm Simplot receives first commercial license for CRISPR gene
editing, focusing on cutting waste
Signalé par Hervé ESCRIOU
Mél : herve.escriou(a)betadigitis.com
Good old days (???????): La becquée par Jean-François Millet
(vers 1860)
Livre
: Lagriculture face à ses défis
techniques : L'apport des technologies, sous la direction
de Bernard Le Buanec
Lagriculture
française est dans une période difficile
et doit affronter des défis techniques, économiques
et sociétaux. Face à ce constat, des membres
de lAcadémie dagriculture de France
et de lAcadémie des technologies ont créé
un groupe de travail pour analyser les défis
techniques et étudier les solutions que pourraient
apporter les technologies.
Après
avoir auditionné des agriculteurs, les principaux
syndicats agricoles et de nombreux scientifiques et
industriels, les auteurs analysent les principaux défis
et les solutions techniques qui permettraient dy
faire face et font des recommandations pour que lagriculture
française puisse en bénéficier.
Voir
Presses des Mines
Contact : Catherine REGNAULT- ROGER
Mél : catherine.regnault-roger(a)univ-pau.fr
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ASSEMBLÉE NATIONALE : Il faut avoir vécu dans cet isoloir pour
concevoir comment les hommes qui ignorent le plus complètement
l'état d'un pays sont presque toujours ceux qui le représentent.
Pierre Joseph PROUDHON.
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Statistiques
de l’édition de la semaine dernière de cette gazette
Last
issue of the Efita Newsletter nb 906 dated December 2, 2019
Statistics
about the previous issue of the efita newsletter dated November
25, 2019
Hiver
Signalé
par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
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"L'agriculture valorisée par le numérique", par Philippe
Gate
Voir
biotechnologies-vegetales.com
New Ag International: The World's Leading Magazine on High Tech
Agriculture
See
newaginternational.com
New Ag International… The precision ag corner: Having the Right
Connections
See
newaginternational.com
Precision Agriculture and the Future of Farming in Europe (2016)
See
europarl.europa.eu
En élevage, la science avance
Le déploiement de l’intelligence artificielle et la miniaturisation
des capteurs ouvrent des perspectives pour suivre le bien-être et
les performances des animaux. Collecter des images de caméras et
de sondes (température, hygrométrie, qualité de l’air…) placées
dans l’environnement des animaux pour les transformer en informations
utiles pour l’éleveur…
Voir
paysan-breton.fr
Smart’pharm d’Asserva : Une pharmacie connectée
La société Asserva lance Smart’farm, une application faisant le
lien entre pharmacie de l’élevage, suivi de la médication et analyse
des traitements entre lots d’animaux.
Voir
paysan-breton.fr
Comment gagner en compétitivité par la digitalisation ? (article
réservé aux abonnés)
Voir
paysan-breton.fr
Raconte-moi l'agriculture (un beau projet à financer via miimosa.com)
Offrir au public de nouvelles sources de compréhension de ce qu'est
réellement le monde agricole aujourd'hui, dans toute sa diversité.
Voir
miimosa.com
API-AGRO : nouvelle offre Open Data
>>> Les 4 piliers de la plateforme API-AGRO
1. Sécurité : API-AGRO promeut le partage de données et d’algorithmes
en toute sécurité.
2. Confiance : Le projet rassemble, sur une place de marché de référence,
de nombreux partenaires et clients au sein de relations de confiance.
3. Innovation : API-AGRO répond aux besoins d’innovation de l’ensemble
des filières végétales et animales
4. Compétitivité : Une plateforme sécurisée de partage de données
et d’APIs est stratégique pour permettre aux producteurs agricoles
de s’adapter à l’évolution des marchés et de rester compétitifs.
>>> Comprendre
la plateforme API-AGRO (Intro)
Comprendre
API-AGRO, Part 1 : la plateforme
Comprendre
API-AGRO, Part 2 : premiers pas
Comprendre
API-AGRO, Part 3 : nos abonnements
Le
Grand livre de notre alimentation, le guide complet
de notre alimentation en 100 chapitres, par 25 experts
de lAcadémie dagriculture
Publié
aux éditions Odile Jacob, ce guide complet de
"notre alimentation", aborde les thématiques
suivantes:
-
Bien manger : que manger et comment ?
- Les aliments par le menu
- Nos aliments sont-ils sûrs ?
- L'équilibre nutritionnel de chacun
- L'aliment, en pratique
Nos experts donnent dans cet ouvrage "leurs avis
informés et leurs meilleurs recommandations ;
au-delà des querelles, controverses et débats
passionnés autour de la qualité de nos
aliments".
Voir
Edition Odile Jacob
|
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Si ce lien
ne fonctionne pas, merci de s'adresser à moi : guy.waksman(a)laposte.net
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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre correspondant de l'Académie d'Agriculture
; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture
2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European
Federation for Information and Communication Technology
in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015)
; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut
de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole
(Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
Aujourd'hui, il est plus gratifiant d'être prince que ministre
: on n'a pas eu à intriguer pour le devenir et ça dure plus longtemps.
Philippe BOUVARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Immobilier : Facebook à l'assaut de Leboncoin et SeLoger
Si le réseau social, qui s'est récemment lancé dans la pierre,
réussit à augmenter sa capacité de ciblage, les portails historiques
pourraient finir par être contournés, comme avant eux les médias.
Voir
journaldunet.com
Firefox 71 : Mozilla réserve certaines nouveautés à Windows
Certaines nouveautés de Firefox 71 ne sont pour le moment disponibles
que sur Windows, comme les modes kiosque et PIP.
Voir
silicon.fr
Huawei réduit sa dépendance au « made in USA »
La prise de distance qui s’opère entre Huawei et ses fournisseurs
américains s’illustre avec le smartphone Mate 30.
Voir
silicon.fr
Google/Alphabet : Sundar Pichai est (presque) seul aux commandes
Larry Page et Sergey Brin quittent la direction quotidenne d’Alphabet,
la maison mère de Google, l’entreprise fondée par leurs soins
en 1998. Sundar Pichai prend le relais.
Voir
silicon.fr
Data Transfer Project : un premier pont entre Google et Facebook
Les travaux du Data Transfer Project aboutissent à un premier
outil qui connecte Facebook et Google Photos.
Voir
silicon.fr
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
CONFÉRENCIERS (Les) : Si certains hommes parlent pendant leur
sommeil, eux, parlent pendant le sommeil des autres.
Alfred CAPUS
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Laurent Alexandre : « Il faut arrêter de dire des conneries sur
le glyphosate, sur les OGM, sur les pesticides… »
Voir
alerte-environnement.fr
Des fraudes corses pourraient coûter 1,4 milliard à la France
Les doutes de Bruxelles sur l'efficacité de la lutte contre la fraude
aux aides européennes agricoles en Corse, après des abus constatés
par la Justice et un rapport confidentiel, risquent de coûter à
la France 1,4 milliard d'aides, pénalisant des agriculteurs vertueux
dans tout le pays et les contribuables, ont mis en garde plusieurs
sources dans l'île.
Voir
agri-mutuel.com
Détournement des aides agricoles européennes : faut-il renforcer
les contrôles ?
Voir
franceculture.fr
Sortie des pesticides: l’agriculture face à sa nécessaire révolution
(avec nos amis "révolutionnaires" de l’INRA qui auront
passé toute leur vie dans le même labo... la mobilité reste
à inventer à l'INRA comme dans dans beaucoup d'autres
organisations)
Voir
journaldelenvironnement.net
INRA : Atténuer les pertes de rendements par le maintien d’une
diversité d’adventices
En tout cas, sachez que sans vulpin ni gaillet, les deux adventices
les plus nuisibles sur blé dans le nord de la France, tout va bien...
C’est tellement évident que nos bons auteurs ont oublié de le signaler.
Voir
tela-botanica.org
L’Autriche tergiverse sur l’interdiction du glyphosate
L'Autriche, premier pays européen à avoir interdit le glyphosate,
était sous pression lundi pour appliquer dès 2020 la mesure votée
cet été, mais Vienne invoque les risques de poursuite que cette
décision fait peser sur le pays.
Voir
agri-mutuel.com
Good old days (???????): Porteuses de gerbes par Julien Dupré
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Agriculture : pour une production de masse, on a besoin d’un
modèle fiable
Utilisation des produits phytosanitaires, cancer, agribashing… Les
agriculteurs conventionnels, confrontés à une remise en cause de
leurs pratiques, s’expliquent face aux anti-pesticides.
Voir
ouest-france.fr
Près de 20 % des agriculteurs n’ont dégagé aucun revenu en 2017
Voir
pleinchamp.com
RAINCATCHER®…
….est une nouvelle technologie durable pour lutter contre la sécheresse
qui sévit dans l’agriculture aujourd’hui sur la planète. Nous avons
conçu cet hydro-rétenteur nutritif/fertilisant, et souhaitons en
faire bénéficier les zones du monde les plus en difficultés face
au réchauffement climatique.
See raincatcher.org
Quelles perspective pour l'agriculture et la sécurité alimentaire
en Afrique subsaharienne en 2050 ? Par Marie de Lattre-Gasquet
Voir
perspective Sahel
Contact : Marie DE LATTRE-GASQUET
Mél : marie.de_lattre-gasquet(a)cirad.fr
Agriculture urbaine : les leçons de la faillite d’Urban Farmers
à La Haye
…/…
L’analyse de cette faillite nous enseigne nombre de choses.
Sur le plan commercial, il convient de toujours prendre en compte
l’environnement dans lequel le projet évolue et de s’assurer que
les produits et services sont en cohérences avec les besoins des
clients. En ce qui concerne la gestion interne et la communication
entre les différents actionnaires, il est essentiel d’avoir une
vision à long terme ; cela protège d’un changement fréquent de stratégie
qui peut être fatal à l’entreprise. Il est ainsi préférable d’instaurer
autant que possible la stratégie avant le lancement plutôt qu’après.
Sans pour autant continuer une stratégie tête baissée et oublier
de s’adapter à un marché évolutif.
Il est d’autre part vital que les techniques de production soient
gérées efficacement, afin d’offrir de bons rendements et de garantir
une qualité de production de poisson et de légumes. L’agriculture
urbaine constitue un superbe outil de démonstration agricole, en
familiarisant les urbains aux activités rurales. Mais il existe
un risque que les consommateurs associent « l’échec » de l’entreprise
d’Urban Farmers à l’échec plus global d’une agriculture originale
et durable.
L’agriculture urbaine sous serre et sur toiture doit ainsi tirer
les leçons des échecs et continuer à construire des projets. Les
modèles économiques doivent être remis en question, en particulier
quand il s’agit de la multifonctionnalité qui pourrait permettre
des revenus non conventionnels (monétisation de services écosystémiques
ou culturels). Ces revenus pourraient en effet représenter un moyen
de surmonter l’investissement sans recourir absolument à des économies
d’échelle.
Voir
theconversation.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BANC (Le) : De celui des ministres au ban de la société, il n'y
a que l'espace d'un faux pas.
Henri JEANSON.
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté des écrivains et artistes paysans |
Une annonce de Pierre Yborra
Je vous annonce la venue de mon dernier Bébé : « Le Canadien ». Je
suis heureux de vous en faire part.
Voir
blog.ecrivains-paysans.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
CONFÉRENCIER (Le) : Plus il est plein de son sujet, plus il
est lent à se vider.
Paul VERON
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Noël à la ferme : les festivités s’invitent à la ferme dans les
Hauts-de-France avec Bienvenue à la ferme
1er décembre 2019 - 5 janvier 2020
Pour préparer les fêtes de fin d’année, les agriculteurs du réseau
Bienvenue à la ferme vous ouvrent leurs portes et vous proposent des
offres, de nombreuses animations et festivités dans leurs fermes du
1er décembre 2019 au 5 janvier 2020.
Voir
bienvenue-a-la-ferme.com
Des fleurs et des polinisateurs
17 décembre - PARIS
Il existe des fleurs dont le pollen est transporté par le vent pour
se poser sur la fleur d’une autre plante, d’autres se fécondent avec
leur propre pollen mais nombre d’entre elles ont recours à un auxiliaire
qui peut être un insecte, souvent un hyménoptère, famille des abeilles,
ou encore un papillon voire un oiseau ou une chauve-souris. Les plantes
à fleurs présentent avec les insectes des relations riches et diverses.
La pollinisation est celle qui a permis le développement d’un grand
nombre d’adaptations entre la plante et ses pollinisateurs.
Voir
snhf.org
Nouvelles techniques de collaboration en agriculture. L’émergence
du #cofarming
15 janvier 2020 - 14h30 - PARIS - Académie d'agriculture
Au cours de cette séance, nous souhaitons voir comment l’agriculture
collaborative basée sur le numérique peut aider à relever les défis
techniques, économiques, environnementaux, sociétaux que rencontre
le monde agricole et envisager comment le numérique peut même accélérer
les évolutions en cours.
Avec le développement du numérique (réseaux de télécommunication,
plus smartphones, plus applications et services associés), de nouvelles
formes de coopération et de collaboration apparaissent et rencontrent
un écho certain auprès des agriculteurs. De jeunes sociétés offrent
en effet des services très performants de partage de ressources.
Ce qui nous intéresse aujourd’hui, ce ne sont donc pas tant les technologies
numériques que la façon dont les agriculteurs les adoptent et plus
encore les adaptent à leurs besoins. Ils n’ont certes pas attendu
le numérique pour coopérer et collaborer. Depuis les premiers développements
de la coopération agricole au XIXème siècle, souvent sous la houlette
de l’instituteur du village ou du curé, puis celui des Chambres d’Agriculture
et du syndicalisme agricole après la Grande Guerre, la collaboration
et la coopération entre agriculteurs se sont organisées et ont pris
les formes les plus diverses à partir des années 50 du siècle dernier
: Cuma, GEDA, GVA, Ceta, GDS, groupements fonciers, centres de gestion
associatifs, etc.
Disruptif ou pas, le numérique impacte fortement nos sociétés et toutes
nos organisations par la possibilité qu’il offre de partager facilement
des ressources qu’il s’agisse d’informations, ou d’outils de production,
de commercialisation ou de transport. De par son caractère « transversal
», le numérique bouscule beaucoup d’organisations actuelles, qu’elles
soient « sectorielles » ou « verticales », en offrant aux acteurs
des marges de manœuvre insoupçonnées auparavant.
Voir
academie-agriculture.fr
État de l’agriculture 2020 – Le métier d’agriculteur face à la
transition écologique
5 février 2020 - PARIS
« Cet état des lieux est vraiment un moment indispensable ». Tel était
le sentiment partagé par la plupart des participants au colloque «
Etat de l’agriculture » de février 2019.
C’est pourquoi l’Académie renouvelle ce grand moment de rencontres
début 2020.
La matinée de ce nouveau colloque sera consacrée à l’émergence du
concept d’agroécologie, à l’opinion des agriculteurs vis-à-vis de
la transition écologique, aux orientations de la future PAC et les
interactions avec l’économie.
L’après-midi, une première table ronde réunira des témoins autour
de la transition écologique, et une autre rassemblera des personnalités
sur le thème « Quelles formations pour quels métiers ? ».
En fin de matinée sera également remis le prix de l’information scientifique.
Porté par l’Académie d’agriculture de France, il distingue les travaux
journalistiques qui apportent rigueur et rationalité aux débats publics.
État
de l’agriculture 2020 – Le métier d’agriculteur face à la transition
écologique
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
CONFÉRENCIER (Le) : Homme qui met sa main dans sa poche, sa
langue dans votre oreille et sa foi dans votre patience.
Ambrose BIERCE
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté des gazettes et des blogs agricoles |
Du côté de vitisphere.com : Comment accélérer l'innovation ? Par
Marion Sepeau Ivaldi
Le Sitevi 2019 se ferme sur un beau succès placé sous le signe
de la croissance. Les exposants étaient plus nombreux. Les visiteurs
aussi. Quel dynamisme et quel plaisir de voir ainsi la viticulture
s’intéresser, découvrir, voire investir pour moderniser ses outils
de production. Une belle énergie qui se démultiplie dans les projets
d’innovation présentés mais qui se languissent de trouver des investisseurs.
Car, s’il est bien une question sur laquelle de nombreux visiteurs
ont pu échanger, c’est celle de l’industrialisation de l’innovation
qui reste parfois timide dans le secteur vitivinicole, laissant les
projets se morfondre dans les tiroirs par manque de financements.
De quoi s’interroger sur la nécessité de créer et bâtir pour la filière
vitivinicole des outils de financement de l’innovation. Il y a bien
sûr les aides publiques nationales ou européennes. Il y a aussi le
crowdfunding. Les structures de négoce ou les grandes caves coopératives
s’impliquent également dans l’expérimentation et l’industrialisation
de l’innovation.
Mais est-ce suffisant ? Faut-il créer un outil collectif de financement
de l’innovation comme une fondation ? L’idée pourrait accélérer la
modernisation globale de la filière vitivinicole et permettre de rattraper
son retard par rapport à d’autres filières agricoles.
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Ecologie d’opinion, par Anne Sophie
LESAGE
Les klaxons pendant la manifestation du 27 novembre prouvent encore
une fois que les citoyens soutiennent leurs agriculteurs. Pourtant,
ce n’est pas le sentiment qui règne majoritairement dans les cours
de ferme. Etre agriculteur en 2019 est bien lourd à porter lorsqu’on
est accusé d’être empoisonneur ou tortionnaire d’animaux. Dans ce
dénigrement permanent, les médias y sont pour beaucoup et cela s’explique
simplement : ce qui fait peur fait vendre, et fait aussi du mal. C’est
bien connu, la communication négative se diffuse plus vite que l’information
positive.
En période électorale (comme c’est le cas en ce moment), les politiques
eux aussi, usent et abusent de leur aura. Au nom du principe de précaution
ou de convictions personnelles, les postures politiques peuvent aboutir
à des incohérences locales, comme des arrêtés ZNT ou encore des menus
végétariens. Car oui, l’écologie d’opinion existe et elle est nuisible,
à l’inverse de l’écologie basée sur des données scientifiques.
Pour lutter contre ce phénomène déplorable, il faut remettre de la
science dans l’équation. Les techniques agricoles ont évolué, les
normes également. Est-il encore besoin de rappeler que l’agriculture
française est un modèle pour de nombreux autres pays ? Les agriculteurs
ne sont pas des empoisonneurs, il faut le prouver scientifiquement
et le faire savoir.
Voir
pleinchamp.com
Du côté d’André Heitz
> Pauvre
député Loïc Prud'homme : son bureau est envahi par Monsanto et M.
Gil Rivière-Wekstein
> Riz
Doré : lutter contre la « faim cachée »
> Initiative
citoyenne européenne anti-pesticides : Ouest France, RTL, le Télégramme,
20 Minutes, où est votre déontologie ?
> L'USDA
déclare les États-Unis exempts de virus de la sharka
> «
La cause animale, nouvel enjeu électoral » dans l'Opinion : vraiment
?
> Le
maïs TELA peut-il résoudre les graves pénuries alimentaires en Afrique
subsaharienne ?
> Parquons
les députés pour les empêcher de rencontrer les « lobbies »
> «
Malformations néonatales : de fausses alertes ? » sur France Culture
> Quo
vadis, res publica ? L'arrêté illégal du maire de Langouët récompensé
par une Marianne d'Or !
> Fongicides
SDHI : l'information selon le Monde
> Miviludes,
lutte contre les dérives sectaires, anthroposophie et biodynamie
> Protection
des obtentions végétales : l'énorme impact de l'adhésion à l'UPOV
au Viet Nam
> Pour
les « coquelicots », agriculteurs = tueurs, et le Ministre Guillaume
déblatère
> «
Food Evolution » : la capricieuse et totalitaire intolérance d'une
actrice activiste
> Sciences
Po, l'écologisme et le féminisme avec Vandana Shiva... l'obscurantisme...
la honte
Du côté de Cultivar
> Australie
: nouvelle révision à la baisse de la production australienne par
les services de l’État
> Brésil: des bonnes perspectives pour les producteurs brésiliens
en 2020 selon Rabobank
> CéréObs: les conditions de cultures continuent de se dégrader
> Des
livraisons d'engrais en baisse sur la dernière campagne
L’Unifa, Union des industries de la fertilisation a communiqué sur
les statistiques de livraison pour la campagne 2018-2019. 18 millions
de tonnes de matières fertilisantes minérales et organiques.
> Pas d'accord
pour le partage des ressources génétiques
Le saviez-vous ? En 2004, la FAO a mis en place le traité international
sur les ressources phytogénétiques pour l’agriculture et l’alimentation
(Tirpaa). Ce traité garantit aux pays signataires un...
> "Pas
de récolte de maïs et de soja d'ici le printemps", selon un producteur
du Nord Dakota
Dans le Nord des États-Unis, de fortes chutes de neige précoces vont
empêcher les producteurs de terminer leurs récoltes. Sachant que les
semis de printemps avaient été fortement retardés à cause des inondations.
> Les rouilles
de céréales à paille surveillées au niveau européen
Le programme européen H2020 Rustwatch a débuté au 1er mai 2018 pour
une durée de quatre ans. Il a pour objectif le développement d’un
système d’épidémiosurveillance précoce des rouilles des céréales à
paille pour disposer d’un meilleur contrôle des races de rouille présentes
en Europe.
> Retard
de paiement des MAEC et bio : « En cas de problème, prendre
contact avec sa DDT »
"Ces aides sont un dossier d’une extrême complexité : 350 mesures
types à l’échelle nationale, combinables entre elles, soit plus 10
000 mesures à mettre en œuvre dans le système d’information."
> Les
sénateurs dénoncent le manque d'ambition du budget agriculture
La Commission des affaires économiques du Sénat propose de rejeter
les crédits de la mission agriculture, alimentation, forêt et affaires
rurales. Les sénateurs dénoncent le défaut de cohérence et...
Du côté de l'Institut de l'élevage
Voir
idele.fr (632)
Voir
idele.fr (633)
Association
nationale des éditeurs de logiciels agricoles
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Du côté du Ministère de l‘agriculture
> Origine
des miels : le Gouvernement confirme sa volonté de renforcer la transparence
> Précisions
sur les propos du ministre concernant la consommation d’alcool
> Signature
d’une convention pour déployer l’Initiative Nationale pour l’Agriculture
Française
> Signalement
de cas de listériose : retrait et rappel de langue de porc en gelée
Du côté de la Fnsea
> Inondations
dans le sud-est : répondre à l’urgence !
> Le
loup doit être régulé sans plafond !
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BARRE (Raymond) : "C'est mon compagnon de chambre, il dort à
côté de moi à l'Assemblée."
André SANTINI
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web
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Hiver rude
Jacques Cartier a exploré les rives du Saint-Laurent en 1534.
Les premiers français qui se sont installés au Canada s'inquiétaient
de la rigueur des hivers.
Depuis, on raconte l'histoire suivante :
Un bûcheron récemment débarqué de France coupe du bois pour l'hiver
alors qu'un Amérindien (Un Algonquin ? ou alors un Micmac ?) passe
par là. Le bûcheron lui demande :
- L'hiver sera-t-il froid, grand chef indien ?
- Hugh ! Oh oui ! L'hiver sera très froid.
Alors le bûcheron se remet à couper du bois de plus belle. Le lendemain,
le chef indien repasse par là et le bûcheron lui demande encore si
l'hiver sera vraiment aussi froid que tout le monde le prédit.
Le Grand Chef indien lui répond :
- Hugh ! Oh oui, grand chef blanc, hiver très rigoureux cette année
...
Le bûcheron reprend sa scie et coupe encore plus de bois. Et dans
les jours qui suivent, le Grand Chef indien repasse en disant :
- Hugh, oui, oui, je confirme, hiver très très rigoureux cette année.
Finalement, le bûcheron très intrigué par cette certitude, lui demande
:
- Mais enfin, Grand Chef indien, dis-moi comment tu sais avec autant
de certitude que l'hiver sera très rigoureux ?
Le Chef indien lui propose de monter sur la colline toute proche.
Arrivés au sommet, le Grand Chef indien dit au bûcheron :
- Regardes tout autour, partout dans la forêt homme blanc couper du
bois !
Nous Amérindiens, nous avons un dicton : " Quand Homme blanc
coupe beaucoup de bois, c'est que l'hiver va être très très froid
" !
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
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Pensée du jour d’un peintre qui a magnifiquement peint paysannes
et paysans de son temps (de sa jeunesse près de Cherbourg à
sa mort près de Barbizon)
C’est le côté humain, franchement humain, qui me touche le plus
en art.
Jean-François MILLET
Pensée sur la retraite par points
On peut s’amuser de la position de certains de la CGT à FO en passant
par le PS et le PCF qui ne savent plus rien de ce pour quoi ils ont
travaillé durement… (GW)
>>> Retraites : « La surprise est grande d’entendre des syndicats
combattre une formule qu’ils ont pilotée avec succès » par François
Charpentier, Essayiste
Le spécialiste des retraites François Charpentier explique, dans une
tribune au « Monde », que la France est à l’origine d’un système qui
a fait école dans d’autres pays européens.
Le débat sur la réforme des retraites a pris un tour surprenant. Personne
en effet n’ose dire la vérité. Du côté des partisans de la réforme,
deux sujets sont sur la table. D’abord, l’âge de départ en retraite.
Sur ce point il est clair qu’on ne pourra reculer cet âge que si les
employeurs acceptent de sortir d’une logique de préretraites qui conduit
à se séparer systématiquement des travailleurs les plus âgés pour
les remplacer par des plus jeunes moins payés. Toute la difficulté
vient du fait que si la France est entrée à reculons dans cette «
culture de la préretraite » à la fin des années 1970, les cessations
anticipées d’activité sont devenues le Graal auquel aspirent les salariés
confrontés à des fins de carrière compliquées. Il faudra donc du temps
pour sortir de cette culture.
Ensuite se pose la question de la durée de la période de transition
pour passer du système actuel à un régime universel. 21 000 centenaires
en 2016 et 270 000 en 2070, selon l’Insee (Insee Première, n° 1620,
3 novembre 2016). Le vieillissement de la population est tel qu’il
ne permet pas d’imaginer qu’une réforme ne s’applique qu’aux « entrants
» dans les régimes. Sauf à mettre en péril un système qui reste, quoi
qu’on en dise, l’un des plus généreux du monde.
Du côté des opposants à la réforme, la surprise n’est pas moindre.
En 1945, dans un pays ruiné, les créateurs de la Sécurité sociale
mettent en place un régime d’assurance vieillesse « bas de gamme »
pour les salariés du privé. Fonctionnaires, salariés des entreprises
publiques, agriculteurs et indépendants préfèrent leurs régimes d’avant-guerre
plus avantageux. Le mérite revient alors à la CGT d’obliger les cadres
à cotiser dans l’assurance vieillesse de 1945 et de négocier avec
la CGC et le patronat la mise en place d’un régime complémentaire
en points : l’Agirc.
Au passage, notons que c’est Andréjean [de son vrai nom Adolphe Bourrand
], secrétaire confédéral de la CGT, signataire des accords Agirc de
1947, qui « invente » le premier régime à points de l’histoire. Ce
régime, qui reconnaît les droits du passé jusqu’à l’année 1927 – y
compris pour les périodes non cotisées par les prisonniers de guerre
et les déportés –, ce que n’a pas fait l’assurance-vieillesse, sera
l’objet d’un engouement extraordinaire. Au point d’être « dupliqué
» pour les salariés non-cadres, sous la houlette d’Antoine Faesch
(Force ouvrière) qui crée l’Arrco en 1961.
Ces deux régimes, étendus progressivement aux rapatriés d’Algérie,
mineurs, chômeurs, personnels de la Sécurité sociale, des banques
et des assurances, permettront de sortir les retraités de la misère
dès la fin des années 1970. Résultat, l’Agirc, c’est aujourd’hui 57
% de la retraite d’un cadre, et l’Arrco, 31 % de celle d’un salarié
non-cadre.
Voir
lemonde.fr
Autre pensée sur les retraites
Concrètement le gouvernement a enfin arrêté son dispositif de la manière
sans doute la plus sage. Il admet que des parcours différents de transition
existent pour les différentes corporations, qu’une partie – à définir
– des actifs actuels doit être épargnée par la réforme. Il a accepté
le principe de compensations par exemple pour les enseignants. Il
applique en quelque sorte une méthode paradoxale, une diversité de
traitement pour arriver à un système unique.
Raymond SOUBIE (Expert en gestion des ressources humaines et des politiques
sociales, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, de 2007 à 2010.)
Voir
lemonde.fr
A thought for today
I don't think that combat has ever been written about truthfully;
it has always been described in terms of bravery and cowardice.
I won't even accept these words as terms of human reference any
more. And anyway, hell, they don't even apply to what, in actual
fact, modern warfare has become.
James JONES, novelist (1921-1977)
A second thought for today
We haven't yet learned how to stay human when assembled in masses.
Lewis THOMAS, physician and author (1913-1993)
A third thought for today
Ideologies separate us. Dreams and anguish bring us together.
Eugene IONESCO, playwright (1909-1994)
A fourth thought for today
We want our sound to go into the soul of the audience, and see if
it can awaken some little thing in their minds... Cause there are
so many sleeping people.
Jimi HENDRIX, musician, singer, and songwriter (1942-1970)
Good old days
(???????): Les foins par Julien Dupré
Ageekculture
: un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information
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Comment la France est tombée dans l’agribashing, par Emmanuelle
Ducros
Les consommateurs ne font plus le lien entre les produits alimentaires
sains et abondants qu’ils achètent à prix raisonnables et le travail
des agriculteurs. En revanche, ils accablent ces derniers de tous
les maux, des pesticides aux conditions d’élevage.
Voir
lopinion.fr
La science est-elle en crise ? Par Mathias Girel
Voir
cnrs.fr
L’hybride rechargeable préféré au tout électrique
Voir
automobile-propre.com
Borne de recharge voiture électrique : prix, consommation, temps
de charge
Voir
selectra.info
Adhérez
à l'AFIA
Chèque de 30 Euros à
nous envoyer.
Un reçu vous sera adressé.
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L'AFIA
est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
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Du côté d’EBBH
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L’obsession anticoloniale retarde le développement africain,
par Yves Montenay
L’époque coloniale, c’est l’histoire. C’est important, mais il faut
la confier à de vrais historiens. Gouvernants et intellectuels africains
doivent conduire leur pays en regardant devant eux et pas seulement
dans un rétroviseur déformant.
Voir
contrepoints.org
Ma remarque (GW) : Il est certain que le colonialisme n’a pas été
partout et toujours aussi horrible qu’au Congo belge (voir ci-dessous
l’article du Guardian) d’une part et que d’autre part se poser en
victime éternelle ne fait avancer personne... C’est pourquoi le
point de vue de M. Montenay est digne d’intérêt.
Belgium begins to face brutal colonial legacy of Leopold II
See
theguardian.com
Volets
Signalé
par Luc BECKER
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
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Grève du 5 décembre à la SNCF : on s’arrache (déjà) les réservations
de car (qui va informer les personnels de la Sncf que l'aller Paris-Lyon
en bus coûte 15 € au lieu de 100 € en TGV...)
Dix jours avant le début de la grève, FlixBus a enregistré une hausse
de 70% de la demande par rapport à la même période d’il y a un an.
Voir
leparisien.fr
Revue
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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CGIAR: To accelerate progress to end hunger and undernutrition
around the world
See
CGIAR
Cold Winter (la même qu’en français !)
The Inuit asked their family leader in Autumn if the Winter was
going to be cold or not.
Not really knowing an answer, the leader replies that the Winter
was going to be cold and that the members of the village were to
collect wood to be prepared.
Being a good leader, he then went to the next phone booth and called
the National Weather Service and asked, "Is this winter to
be cold?"
The man on the phone responded, "This Winter is going to be
quite cold indeed."
So the leader went back to speed up his people to collect even more
wood to be prepared.
A week later he called the National Weather Service again, "Is
it going to be a very cold winter?" "Yes", the man
replied, "it's going to be a very cold Winter."
So the leader goes back to his people and orders them to go and
find every scrap of wood they can find. Two weeks later he calls
the National Weather Service again:
"Are you absolutely sure that the Winter is going to be very
cold?"
"Absolutely," the man replies, "the Eskimos are collecting
wood like crazy!"
Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone
d’informatique agricole (Afia)
Les
archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia
La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique
agricole" est réalisée avec le concours de Vitisphere
Ma « nouvelle
» adresse : guy.waksman(a)laposte.net
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d’organisme)
Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970
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