
Le prix Nobel du complotisme (M. le Prof. Montagnier)
Un prix Nobel n’est ni la permission de dire n’importe quoi, ni
un brevet immunisant son détenteur contre l’erreur pour le reste
de sa vie.
Quelques mois avant sa mort, Umberto Eco déclara que les réseaux
sociaux avaient donné « à des légions d’imbéciles […] le même
droit de parole qu’un prix Nobel » – une citation passée depuis
à la postérité. Ce que n’avait toutefois pas prévu l’auteur du
Nom de la rose, c’est qu’un prix Nobel puisse prendre la tête
des légionnaires...
Voir
conspiracywatch.info
Du
côté de Paul Le Guerni,
député du Morbihan
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Quelques jeux de mots sur le virus, après un premier sur les
gilets jaunes
> Que réclament les gilets jaunes ? RICARD (référendum d'initiative
citoyenne, apolitique, républicain et démocratique)
> Bonne nouvelle, les déjeuners avec belle-Maman sont annulés
jusqu'à nouvel ordre.
> On va tous murir.
> Chauve-souris et un anagramme de souche à virus, comme par
hasard !
> Homme avec papier toilette cherche femme avec gel hydroalcoolique
pour une quarantaine sérieuse.
> Je suis monté sur la balance et elle a affiché "les
rassemblements sont interdits".
> Et si c'était arrivé il y a 20 ans, confiné à la maison avec
un Nokia 3310, 20 sms et 2 h de communication !
> J' me fais tellement chier que je commence à applaudir vers
17h30 !
« Agriculteurs », sortie du sixième album du groupe de folk
festif auvergnat Wazoo
Après un best of sorti en 2019 pour fêter ses 20 ans de scène,
Wazoo sort son sixième album.
Intitulé Agriculteurs, ce nouvel opus est une véritable ode
au monde paysan, où l'on retrouve les refrains aux couleurs
de la campagne qui ont fait le succès du groupe de folk festif.
« Agriculteurs », la chanson qui ouvre l'album, est une ode
au monde paysan, où Wazoo chante que « on ne redoute pas le
labeur, pour le pire pour le meilleur, la terre est au fond
de nos coeurs ».
Le clip de la chanson, réalisé avec des jeunes agriculteurs
de Haute-Loire, a fait le buzz : mis en ligne en juin 2019,
il affiche plus de 800 000 vues sur YouTube et plus d'un million
sur Facebook.
Avec 11 nouveaux titres dans la musette, Wazoo poursuit dans
sa veine festive. Le groupe confirme sa volonté de défendre
une musique résolument rurale : un joli vent de fraîcheur, à
l'heure où la musique urbaine est omniprésente sur les ondes.
La grand-mère juive sur la plage de Deauville
Vive
la plage interdite en temps de confinement
Jeu-Test de personnalité : Statisticien, épidémiologiste,
astrologue : quel scientifique êtes-vous ?
Voir
labs.itk.fr
L'élevage
intensif des poules
Source
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La biodiversité : avec ou sans l’homme ? Réflexions d’un
écologue sur la protection de la nature en France, par Christian
Lévêque
Notre territoire a connu une histoire climatologique contrastée,
où se sont alternées extinctions d’espèces et périodes de reconstruction.
Ce que nous appelons « nature », en France, est en réalité le
produit des activités humaines et de processus écologiques spontanés
depuis des milliers d’années.
La déforestation, l’agriculture, les aménagements des cours
d’eau et des zones humides, les introductions d’espèces ont
créé des milieux artificialisés, gérés pour des usages variés.
L’homme n’a pas détruit la diversité biologique en métropole,
mais il l’a transformée et enrichie. À partir de cette affirmation,
l’auteur pose la question du pilotage des dynamiques de cette
nature, soumise à de nouvelles pratiques agricoles, à l’urbanisation,
au réchauffement climatique. Quels compromis sont possibles
pour contrôler les facteurs qui nuisent à nos activités et à
notre cadre de vie (ravageurs de cultures, vecteurs de maladies…),
tout en préservant un riche patrimoine d’espèces et de paysages
auquel nous sommes attachés ?
Dans ce contexte, qu’entend-on par « érosion de la biodiversité
» ? Quand on modifie un système écologique, on perd des espèces,
mais on peut en favoriser d’autres. Pour construire une gestion
future de la biodiversité compréhensible par tous, il faut sortir
du « prêt-à-penser » catastrophiste et tenir compte aussi des
succès dans nos relations avec la nature.
La destruction de la biodiversité a-t-elle engendré le Coronavirus
? De Christian Leveque
Dans un tel contexte il n’y a pas de solutions opérationnelles
simples pour remédier à l’érosion de la biodiversité. On aimerait
connaitre les solutions proposées par les conservationnistes
pour pallier ces problèmes de fond ! Car se cantonner dans la
stigmatisation sans proposer de solutions concrètes acceptables
par les citoyens n’est pas une attitude responsable. C’est une
posture idéologique…
L’idée de nous protéger de ces pandémies en contrôlant les populations
vectrices d’oiseaux ou de chauves-souris serait une voie possible,
celle qui nous a permis de contrôler la rage en Europe. Mais
est-elle admissible pour les milieux conservationnistes alors
que reconnaitre que la biodiversité est aussi source de méfaits
passe déjà pour une insanité ?
Pour faire écran il vaut mieux reprendre l’antienne de la destruction
de la biodiversité par les hommes, maintes fois répétée, et
laisser croire insidieusement qu’elle est responsable de ces
pandémies.
Pourtant, beaucoup sont ceux qui aimeraient trouver des accommodements
entre préservation intégrale ou éradication. Notre rapport à
la nature ne peut s’envisager que dans cette recherche de compromis
entre les deux visages de la biodiversité et non pas dans une
posture idéologique qui assimile la nature au « paradis perdu
». Quant à ceux qui nous disent qu’il faut « laisser la nature
reprendre ses droits », c’est faire semblant d’ignorer qu’elle
ne manquera pas rapidement de faire valoir sa face obscure.
Autrement dit c’est totalement irresponsable !
Voir
europeanscientist.com
La crise n°47 : virus mode d'emploi (Économie politique du
désastre !)
Résumé : On s’attendait à une nouvelle crise financière, se
diffusant ensuite dans l’économie réelle. On a une crise totale
: le sanitaire affecte l’économie réelle qui diffuse sur la
finance dont les fragilités intrinsèques menacent de faire sauter
le système. La totale ! En termes économiques et sociétaux,
le coronavirus est multifonctions : il fait des miracles en
rendant possible ce qui était impensable hier ; il nous invite
à revisiter nos concepts, véritable réinitialisation heuristique
; enfin, il va venir dévorer les patrimoines comme les termites
peuvent le faire des vieilles maisons en bois… mais tant qu’il
y a de la vie, il y a de l’espoir !
- Un virus miraculeux : l’impossible est pour aujourd’hui (p.
3)
- Un virus heuristique : revisitons nos concepts (p. 6)
- Un virus termite : Et mes sous dans tout ça ! (p. 14)
- Annexe. De la double vie des obligations : entre le beurre
et l’argent du beurre (p.18)
Voir
La Crise
L’Europe face au Covid-19 : « La France fait ce qu’elle peut
» par J. de Kervasdoué
Cet article est intéressant. Il est cependant dommage que la
crise de 2008 ne soit oubliée alors que cette crise explique
complètement les politiques de soutien aux banques par M. Sarkozy
et de redressement des comptes de l’Etat et de la sécurité sociale
par M. Hollande. Cette crise a donc nécessité de faire beaucoup
d'économies...
Voir
europeanscientist.com
Cloroquine et Picon
Contre le Covid-19
Signalé par Luc BECKER, un connaisseur !
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr
Good old days (?????): The Harvesters by Julien Dupré
What Do Countries With The Best Coronavirus Responses Have
In Common? Women Leaders
Looking for examples of true leadership in a crisis? From Iceland
to Taiwan and from Germany to New Zealand, women are stepping
up to show the world how to manage a messy patch for our human
family. Add in Finland, Iceland and Denmark, and this pandemic
is revealing that women have what it takes when the heat rises
in our Houses of State.
See
forbes.com
Le film Food Evolution a été projeté à l’Assemblée nationale
à l’invitation de M. Jean-Baptiste Moreau, député de la Creuse
(commentaire déjà publié par European Scientist)
La projection a été suivi d’un débat, auquel a participé Mme RICROH,
maître de conférences à AgroParisTech et Adjunct professor de
la Pennsylvania State University, College of Agricultural Sciences,
USA, membre de l’Académie d‘agriculture.
Mme Ricroh revient ici sur la position de la fédération nationale
de l’agriculture biologique (FNAB) lors de ce débat. Bien entendu,
il ne s’agit pas ici de s’opposer à l’agriculture biologique.
Tant qu’il y aura des gens contents d’en consommer et des gens
contents d’en produire, pas de problème. Mais il n’est pas possible
d’accepter des contre-vérités flagrantes.
J’ai été consternée que le concept normatif de 'nature'-'naturel'
ait été employé à chacune des interventions des deux représentants
de la FNAB. Ils ignorent les transferts horizontaux et sont convaincus
que la transgenèse n’est pas naturelle ignorant deux publications
majeures démontrant le contraire notamment chez la patate douce
et 80 autres espèces.
L’éternelle question de la privatisation du vivant posée par les
deux représentants de la FNAB est inquiétante. On sait qu'en Europe
aucune variété ne peut être brevetée, seule une construction génétique
est brevetable, la brevetabilité des constructions génétiques
est encouragée par l'INRA, le CNRS, etc.
Ce qui est inquiétant aussi est que les deux représentants de
la FNAB soutiennent la publication de Séralini (rétractée) disant
qu’il manquait des rats pour rendre robustes ses analyses mais
que dans le fond la publication n’est pas à remettre en question.
Le président de la FNAB rapporte que ses agriculteurs ont peur
des 'pollutions' du chou par le colza GM. Je lui ai dit qu'il
n'y a pas de colza GM en France, les seuls essais de l'Inra de
Rennes pour mesure les flux de gènes ont été vandalisés. Au sujet
des flux de gènes ils n'admettent pas que cette question est déjà
posée pour la pureté variétale en production de semences et que
des solutions existent : décalage de floraison, distance géographique...
Quand je leur ai posé la question de pourquoi ils avaient peur
de la transgenèse pour la bannir de leur agriculture alors qu’on
pourrait avoir peur d’un caractère qu’il soit apporté par transgenèse
ou par sélection classique, ils m’ont répondu que c’est dans leur
'directive' de ne pas autoriser la transgenèse. J’ai compris que
c’est leur corps de doctrine et que c’est bien par idéologie qu'ils
interdisent la transgénèse et toutes les NBTs.
J'ai dit qu'il y avait tellement d'erreurs et de contre-vérités
que je ne savais pas par quoi commencer.
Emmanuelle Ducros m'a demandé de parler des tests sur les animaux
à long terme et sur plusieurs générations, j'ai répondu qu'ils
sont absolument inutiles et qu’ils ne sont pas exigés dans de
nombreux pays.
Les deux représentants de la FNAB veulent les mêmes tests pour
les OGM classiques, y compris tests sur les animaux, et les NBTs,
car ils veulent un étiquetage obligatoire même si ces tests-là
sont superfétatoires et très coûteux pour lesquels seuls les grands
semenciers peuvent se permettre de les financer.
Moi je propose que les produits issus de l'AB soient soumis aux
mêmes évaluations que les produits issus de transgénèse pour assurer
un étiquetage.
Les deux représentants de la FNAB maintiennent que les virus des
papayers sont dus au fait que les plantations sont exploitées
sur de très grands surfaces. Je ne comprends pas cet argument,
car des virus se propagent dans des micro-parcelles comme dans
des serres maraichères par exemple.
Soient ils sont ignorants, soient ils sont aveuglés par leur idéologie,
soient ils croient en leurs contre-vérités, soient c'est leur
stratégie basée sur la peur et le concept normatif de nature-naturel
pour faire payer les consommateurs.
Voir
europeanscientist.com
Contact : Agnès RICROCH
Mél :agnes.ricroch(a)agroparistech.fr
Livre
: Lagriculture face à ses défis
techniques : L'apport des technologies, sous la direction
de Bernard Le Buanec
Lagriculture
française est dans une période difficile
et doit affronter des défis techniques, économiques
et sociétaux. Face à ce constat, des membres
de lAcadémie dagriculture de France
et de lAcadémie des technologies ont créé
un groupe de travail pour analyser les défis
techniques et étudier les solutions que pourraient
apporter les technologies.
Après
avoir auditionné des agriculteurs, les principaux
syndicats agricoles et de nombreux scientifiques et
industriels, les auteurs analysent les principaux défis
et les solutions techniques qui permettraient dy
faire face et font des recommandations pour que lagriculture
française puisse en bénéficier.
Voir
Presses des Mines
Contact : Catherine REGNAULT- ROGER
Mél : catherine.regnault-roger(a)univ-pau.fr
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ÂGE (Grand) : Son exception culturelle, c'est de pouvoir décliner
sans avoir appris le latin.
Philippe BOUVARD
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Statistiques de l'édition de la semaine dernière de
"Du côté du web..."
Statistiques
de l'édition spéciale "virus" de la semaine
dernière
Last
issue of the Efita Newsletter nb 926 dated April 20, 2020 (avec
des histoires de virus en anglais)
Statistics
about the previous issue of the efita newsletter dated April 13,
2020
AgDataHub
ou l’indépendance numérique agricole de la France par Raphaël Lecocq
La profession se dote d’une plateforme destinée à garantir l’indépendance
numérique de l’agriculture française, voire européenne. Un enjeu
crucial, face aux Gafa et autre Alibaba, capables de vous revendre
des informations que vous leur avez données...
Voir
pleinchamp.com
Open data : des données à consommer sans modération (API-AGRO)
Nous vous les avions annoncées, les nouveautés concernant la fonctionnalité
Open Data sont désormais disponibles et pleinement opérationnelles.
> Une inscription simplifiée
Pour accéder simplement aux offres de données Open Data sur la plateforme,
il vous suffit maintenant de 3 clics, et moins d’une minute pour
s’inscrire.
Vous aurez ainsi directement accès à tout le catalogue en visualisation
et pourrez acquérir aux données Open Data de manière sécurisée.
> Une sélection de données publiques utiles
Dans les filtres Open Data, vous pourrez déjà trouver des données
publiques portées par le Ministère de l'Agriculture comme les doses
de référence IFT par année de campagne, les surfaces départementales
en agriculture Bio, les enquêtes annuelles prairie, les petites
régions agricoles, les surfaces, rendements et productivité des
productions végétales ou encore la liste des groupements d'intérêt
économique et environnemental labellisés.
> Les taureaux de monte publique par l'Institut de l'Élevage
L’offre de données Open Data proposée par l'Institut de l'Élevage
pour la monte publique qui présente les données administratives
des taureaux déclarés en France. Vous y trouverez les données d'identité
et de déclarations des taureaux avec leur période de validité, conformément
à la réglementation. Le fichier est mis à jour de façon hebdomadaire.
Inscrivez-vous
gratuitement
Sénégal : un outil numérique pour renforcer la filière « mangue
»
- L’outil est conçu à partir d’algorithmes d’analyse d’images et
de modèles statistiques
- L’estimation du rendement rendra la filière mangue plus compétitive
- Le modèle d’estimation sera mis en œuvre sur les smartphones sous
forme d’application mobile
Le modèle fonctionne à partir de l’analyse des images des arbres
prises au sol et de la cartographie du verger obtenue à l’aide d’un
drone.
En analysant deux images prises de deux côtés opposés de l’arbre,
le modèle peut estimer le nombre de fruits présents sur l’arbre,
avec une marge d’erreur de 7%.
À partir de la cartographie par drone du verger, nous avons extrait
des variables comme les hauteurs des arbres, leur volume et leur
surface horizontale. Avec ces variables, nous avons pu mettre au
point un modèle capable d’estimer la production de tout le verger
avant la récolte.
Voir
scidev.net
« La feuille de chou » de Naïo Technologies
COVID-19 : Des arbres, des plantes, des fleurs de saison et
en local disponibles en ligne
Voir missionvegetal.fr
Vente directe et coronavirus : l’encaissement à distance est
possible, par Adèle Magnard
Livraisons à domicile, dépôts en points-relais, regroupements
de producteurs, vente en ligne… de nombreuses démarches de producteurs
se mettent en place pour écouler les produits en manque de débouchés.
L’offre des solutions monétiques s’adapte elle aussi.
Voir
pleinchamp.com
Vente directe : se faire connaître via les Chambres d'agriculture
Pages Facebook, sites internet, cartes interactives… les initiatives
pour mettre en lien les producteurs et les consommateurs se multiplient.
Les agriculteurs en manque de débouchés sont invités à contacter
leur Chambre d’agriculture départementale afin de se faire connaître
et aiguiller.
Voir
pleinchamp.com
Good old days (?????): Arenlezers by Emile Claus - 1894
Circuits courts, lancement de plusieurs plateformes régionales
Alors que les déplacements sont contraints par le confinement mis
en place pour lutter contre le Covid-19, aller faire ses courses
peut devenir compliqué. Dans le même temps, les canaux de distribution
traditionnels des exploitants sont parfois...
Voir
campagnesetenvironnement.fr
OùTrouverMonFromageDeChèvre.fr, une plateforme digitale pour
soutenir les producteurs de fromages de chèvre
Voir
reussir.fr
Le
Grand livre de notre alimentation, le guide complet
de notre alimentation en 100 chapitres, par 25 experts
de lAcadémie dagriculture
Publié
aux éditions Odile Jacob, ce guide complet de
"notre alimentation", aborde les thématiques
suivantes:
-
Bien manger : que manger et comment ?
- Les aliments par le menu
- Nos aliments sont-ils sûrs ?
- L'équilibre nutritionnel de chacun
- L'aliment, en pratique
Nos experts donnent dans cet ouvrage "leurs avis
informés et leurs meilleurs recommandations ;
au-delà des querelles, controverses et débats
passionnés autour de la qualité de nos
aliments".
Voir
Edition Odile Jacob
|
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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European
Federation for Information and Communication Technology
in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015)
; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut
de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole
(Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ÂGE (ingrat) : Celui où l'enfant commence à montrer les sentiments
des grandes personnes.
Gérard DE ROHAN CHABOT
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Jean-Michel Mis : « Les outils de visioconférence sûrs existent,
il faut les utiliser »
Pour le député Jean-Michel Mis, la méconnaissance de l’écosystème
numérique français pousse les élus et le gouvernement à prendre
des risques inutiles en utilisant des applications peu fiables
Voir
lopinion.fr
Michel Paulin, OVHcloud : « Cette crise démontre le caractère
stratégique du numérique pour les États et les entreprises »
Michel Paulin, CEO de OVHcloud, revient pour Silicon.fr sur l’impact
de la pandémie dans le fonctionnement de son entreprise et sur
sa vision de « L’après ».
.../...
En résumé dans le numérique, garantir de la confiance, de la résilience
et de la souveraineté sont les enseignements clé de cette période
si particulière. Ce sera probablement le grand enjeu de demain.
Voir
silicon.fr
Datacenters : Alibaba Cloud va investir 28 milliards $ sur
trois ans
Alibaba Cloud, filiale du géant chinois de l’e-commerce, accélère
sur ses investissements en consacrant 28 milliards $ sur trois
ans.
Voir
silicon.fr
Skype, Zoom, WhatsApp... Quelles limites pour les appels en
groupe ?
La limite de 4 participants par appel pourrait bientôt être levée
sur WhatsApp. Que proposent les services concurrents ?
Voir
silicon.fr
Office 365 devient Microsoft 365 : quelles conditions de déploiement
?
Voir
linformaticien.com
Netflix, grand gagnant prudent du "Grand confinement"
Le "Grand confinement" a renforcé la position de leader
de Netflix, qui compte désormais 183 millions d'abonnés, mais
le géant du streaming affiche la prudence sur son avenir à cause
des incertitudes liées à la pandémie et de la concurrence croissante
de ses rivaux.
Voir
linformaticien.com
CovidIA : « Le déconfinement des entreprises est au cœur de
notre plateforme d’IA »
Le projet collaboratif "CovidIA" vise à prédire l‘évolution
de la pandémie du Covid-19, grâce à des algorithmes d’intelligence
artificielle, afin de faciliter le déconfinement en France. Lancé
début avril, l’initiative prend aujourd’hui la forme d’une fondation,
abritée par la Fondation de France.
Voir
linformaticien.com
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ÂGE (ingrat) : C'est la période qui s'étend de la naissance à la mort.
Georges ELGOZY
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Souveraineté alimentaire, j'écris ton nom (Thierry Pouch, membre
de l’Académie d’agriculture)
Voir
chambres-agriculture.fr
Yvelines. Confinement : les agriculteurs de la Plaine de Versailles
s’organisent
La Plaine de Versailles (Yvelines) regroupe un vivier de producteurs,
permettant aux habitants de se nourrir en proximité de produits
frais.
Voir
actu.fr
Ile-de-France : « Les grandes surfaces peuvent vendre des plantes
mais pas les horticulteurs, ça n’a pas de sens »
Depuis quelques jours, les jardineries peuvent vendre tous types
de végétaux. Les horticulteurs qui font de la vente directe n’ont,
eux, toujours pas le droit d’ouvrir. En crise, ils dénoncent une
iniquité de traitement.
Voir
leparisien.fr
Les services économiques des Chambres d'agriculture réalisent
des études micro, méso et macroéconomiques en lien avec l'actualité
- études nationales et focus régionaux
- études sur les agricultures européenne et mondiale
- indicateurs et analyses de conjoncture
Voir
chambres-agriculture.fr
Good old days (?????): The return from school in Calvados by
William John Hennessy (1839 - 1917)
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Phytos et engrais: le Conseil d’État rejette la demande de réduction
des épandages
Par une décision rendue le 20 avril, le Conseil d’État a rejeté
le référé-suspension déposé par l’association Respire, estimant
que «l’État assure strictement les obligations, y compris préventive»
en matière de qualité de l’air. L’association, dans sa requête déposée
mi-avril, demandait aux juges de «constater la carence de l’État
à réduire les épandages agricoles et les autres activités agricoles
polluantes», et d’appliquer les mesures de réduction d’émissions
prévue en cas d’épisode de pollution.
Voir
la-marne-agricole.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ÂGE (ingrat) : C'est la période qui s'étend de la naissance à
la mort.
Georges ELGOZY
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du
côté des écrivains et artistes paysans |
Un
mot de la Présidente
Le
billet hebdomadaire de Michel Boudaud
Les
écrivains-paysans membres actifs qui souhaiteraient utiliser le fichier
de l’affiche AEAP pour apposer un panneau sur leurs stands de
dédicaces peuvent se faire connaître auprès de la présidente: jbellino(a)neuf.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ÂGE (ingrat) : Chez les filles, c'est quand elles sont trop grandes
pour compter sur leurs doigts, mais trop petites pour compter sur
leurs jambes.
COLUCHE
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Évaluation des risques sanitaires : quel dialogue Recherche/Agences
sanitaires ?
13 mai – Probablement en Webinar à partir de 14h30
L’agriculture est particulièrement frappée par des controverses très
médiatisées sur les impacts sanitaires et environnementaux des techniques
utilisées : génie génétique, produits de protection des plantes, fertilisants…
Ces polémiques s’appuient souvent sur l’exploitation par les médias
de publications scientifiques dont les résultats démentent, ou semblent
démentir, le travail d’évaluation des agences sanitaires, dont le
rôle est souvent méconnu du grand public. Elles génèrent une perte
de crédibilité de ces agences, ou même des soupçons de connivence
avec l’industrie, et discréditent tout le dispositif d’application
du principe de précaution cher aux Français. Par là-même, elles compliquent
le travail du législateur chargé de fixer les règles de ce dispositif,
et tendent à générer une instabilité réglementaire qui déstabilise
l’agriculture française. Pourtant, un examen objectif des données
scientifiques disponibles montre que ces controverses reposent souvent
sur une mauvaise compréhension par le grand public des méthodes d’évaluation
des risques et des techniques statistiques employées.
La mission OPECST sur l’évaluation des risques sanitaires, dont le
rapport a été rendu en mai 2019, propose des pistes intéressantes
pour que les agences sanitaires puissent mieux répondre aux interrogations.
Elle s’est toutefois peu penchée sur la question du niveau de preuve
minimal nécessaire pour que ces questionnements soient légitimes.
L’objectif de cette séance est de faire l’inventaire des causes scientifiques
des divergences apparentes entre publications scientifiques, expertises
collectives, et avis des agences sanitaires, et de chercher des solutions
pour y remédier ou en expliquer mieux les causes au grand public.
- Les causes scientifiques et législatives des divergences entre expertise
sanitaire et recherche, par Philippe STOOP
- Approche de Tox’Alim en recherche et évaluation du risque, par Isabelle
OSWALD, directrice de Tox’Alim, Inra Toulouse
- Comment l’ANSES intègre-t-elle les travaux de la recherche publique
dans ses évaluations ? Par Caroline SEMAILLE, Directrice Générale
déléguée du Pôle Produits Réglementés à l’ANSES
- Conclusion par Dominique PARENT-MASSIN
Voir
academie-agriculture.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ÂGE (L') : J'accepte tout ce qu'on me donne… sauf lui.
Louise DE VILMORIN
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté des gazettes et des blogs agricoles |
Du côté de vitisphere.com : le développement durable n’est plus
un atout compétitif par Alexandre Abellan
S’il un point positif pour la filière vin pendant ce confinement,
au-delà de l’avantage de travailler en plein air pour les vignerons,
c’est bien le calme relatif qui s’est installé depuis un mois dans
les bureaux. Plus d’appels incessants de fournisseurs ou de clients
pour perturber le cours des réflexions. Avec la réduction de l’activité,
les sollicitations se calment et favorisent, entre deux urgences de
gestion du personnel ou des transporteurs, l’étude de dossiers reportés
sans cesse. Caves coopératives, fournisseurs, négociants, prestataires
et vignerons peuvent ainsi se pencher sur une boîte noire souvent
victime de la procrastination : le développement durable.
Qu’il s’agisse de se lancer dans une démarche vertueuse ou de renforcer
des actions existantes, cette voie n’est plus facultative. La crise
sanitaire du coronavirus n’efface pas le besoin de verdissement de
la filière vin. Au contraire, le covid-19 accentue la nécessité de
proposer de nouveaux modèles résilients. Mais à l’heure des réflexions
préalables sur de nouveaux engagements, et donc investissements, il
ne faut pas se leurrer : le développement durable ne doit pas être
pris comme une stratégie de valorisation, il s’agir de maintien de
l’accès aux marchés. Un label vert ne permettra plus, à terme, d’avancer
un argument distinctif. La multiplication des certifications HVE (Haute
Valeur Environnementale) en 2019 et la popularisation des réflexions
RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) en 2020 témoignent
de la mise en place de cette nouvelle norme. Le travail du sol redevenant
par exemple le mètre étalon viticole, ce n’est plus un atout compétitif
(à moins de recourir aux chevaux et moutons).
Si le concours des pratiques les plus vert(ueus)es ne brouille pas
la lecture des engagements concrets, on ne pourra que se réjouir que
l’ensemble de la filière s’empare de ce chemin d’amélioration continue
de ses pratiques : ce n’est qu’ainsi qu’elle deviendra inattaquable.
Les mauvaises pratiques d’un opérateur rejaillissant sur l’ensemble.
Sans oppositions, cette démocratisation du développement durable réduire
les arguments compétitifs, mais accentuera l’exemplarité de l’ensemble
des vins.
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Anticipation, par Adèle Magnard
Et voici qu’en pleine crise sanitaire, le spectre d’une nouvelle sécheresse
vient hanter les esprits. Après un hiver plutôt arrosé, la pluie se
fait maintenant désirer, les sols s’assèchent et la pousse de l’herbe
ralentit. Sans escompter sur les prévisions météo des prochains mois,
la tendance au réchauffement climatique est bien réelle : l’hiver
dernier a été le plus chaud jamais mesuré en France et des records
de chaleur ont déjà été établis début avril.
Après plusieurs campagnes fourragères déficitaires et une sole de
céréales à paille diminuée cette année, une vigilance accrue va être
nécessaire concernant nos ressources fourragères. D’autant qu’au sortir
du confinement, le transport de paille ne sera pas la priorité face
au redémarrage de l’économie.
Comme l’an dernier à la même date, la Coordination rurale a demandé
au ministre de l’Agriculture des mesures d’anticipation, notamment
la possib ilité de faucher les jachères, si possible avant que celles-ci
ne perdent leur valeur nutritionnelle. L’an dernier, la fauche n’avait
été autorisée que début juillet. « Trop tard », avaient estimé certains
éleveurs. Souhaitons que les années se suivent mais ne se ressemblent
pas.
Voir
pleinchamp.com
Du côté d’André Heitz
> Consternant
! L'eau, la vitamine B12 et M. Hugo Clément
> Une
nouvelle technique pourrait aider à protéger les oranges contre le
verdissement des agrumes
> Covid-19
: « It's the glyphosate, stupid » !
> Covid-19,
hydroxychloroquine et IHU Méditerranée Infection, médias, etc. : le
grand n'importe quoi continuev
> Covid-19
: le naufrage de M. Luc Montagnier et de certains médias... une chance
> Covid-19,
épandages agricoles, association Respire, Conseil d'État, les Coquelicots...
et le Monde
> La
technologie favorise la durabilité dans une ferme familiale brésilienne
> M.
Matthieu Orphelin nous prend-il pour des poires ?
> «
La parole scientifique au temps du coronavirus » de M. Marcel Kuntz
> L214
: pour qui et quoi roulent-ils ?
> «
Agriculture Biologique vs OGM : six a priori récurrents d’un débat
idéologique » de Mme Agnès Ricroch sur European Scientist
> M.
Sylvestre Huet répond à une tribune : « La science contre la planète
? L’erreur majeure »
> Incroyable
: l'obscurantisme s'infiltre dans les temples des Lumières de Lausanne
!
Du côté du ministère de l’Agriculture
> La
Commission européenne prend des mesures d’urgence pour soutenir les
filières agricoles et agroalimentaires
> G20
: Didier Guillaume souligne la nécessité de politiques ambitieuses
pour assurer la sécurité alimentaire mondiale
> COVID-19
: un accompagnement financier spécifique et urgent des centres équestres
recevant du public et des poneys clubs
> Concours
2020 d’entrée dans les écoles nationales agronomiques, vétérinaires
et de paysage
Du côté de l'Institut de l’élevage
Voir
idele.fr
Association
nationale des éditeurs de logiciels agricoles
|
|
Du côté de la Fnsea
> Le
Fil Agricole [Covid-19] du 13 avril
> Face
aux aléas climatiques, une souplesse règlementaire est nécessaire
!
Le COVID-19 requiert l’engagement de tous pour lutter contre la propagation
du virus. Les agriculteurs, endeuxième ligne dans cette mobilisation
générale, assurent la mission essentielle de nourrir les populations.
Cependant, ils font face à des épisodes climatiques extrêmes qui mettent
en péril leur travail et nécessitent des mesures urgentes.
Des intempéries s’enchaînent depuis plusieurs mois dans les différentes
régions de France :
- Des pluies de l’automne et de l’hiver qui ont empêché les semis
;
- Une sécheresse qui sévit depuis le début de l’année dans les Hauts-de-France,
le Grand- Est, la Bourgogne-Franche-Comté, le Massif central, en AuRA,
en Pays-de-la-Loire, le Centre, la Normandie, l’Île-de-France et qui
s’ajoute aux sécheresses des années précédentes. Les stocks de fourrage
sont déjà faibles, et la situation risque d’empirer, faisant peser
une menace sérieuse sur les disponibilités pour l’alimentation des
animaux ;
- Des épisodes de gel et de grêle en mars et avril qui ont touché
la viticulture, l’arboriculture et les grandes cultures ;
- Des pluies diluviennes qui s’abattent depuis quelques
Ce constat alarmant nécessite la mise en œuvre de mesures d’urgence
pour permettre à l’ensemble des agriculteurs d’assurer la continuité
de la production. Au premier rang de ces mesures figurent les flexibilités
qui s’imposent sur la réglementation PAC à savoir :
- La possibilité d’utiliser les jachères et bandes enherbées déclarées
en SIE pour l’alimentation des animaux ;
- La possibilité de déroger à la mesure de diversification des assolements
lorsque les semis des cultures de printemps, n’ont pu être réalisés,
le maïs restant le seul recours pour ne pas laisser les terres sans
production ;
- Permettre aux agriculteurs d’obtenir la totalité de leur DPB et
de leur paiement vert, lorsqu‘ils ont étéconfrontés à des aléas qui
ne leur ont pas permis de respecter certaines règles.
Aujourd’hui confronté à des cas de force majeur, le secteur agricole
attend des réponses immédiates.
De façon plus structurelle, la succession des aléas climatiques et
leur survenance toujours plus rapprochée impose que nous mettions
en œuvre les décisions pour améliorer la résilience de la production
agricole française. Unepolitique de prévention, de sensibilisation
et d’articulation des outils de gestion des risques, une ambition
réelle enmatière de stockage d’eau et d’irrigation, ou encore l’innovation
qui accroit la performance économique et environnementale, sont autant
de chantiers qui doivent aboutir et rapidement. C’est impératif pour
conserver un potentiel de production permettant de conserver une indépendance
agricole dans notre pays.
Du côté de la
Fnsea (suite)
> Mesures
de gestion des marchés : La Commission européenne franchit un premier
pas important… Mais les moyens financiers devront suivre !
Face aux déséquilibres de marché qui se forment dans les différentes
productions agricoles, la FNSEA et JA ont demandé, depuis le début
de la crise, à la Commission européenne d’intervenir. Nous avons enfin
été entendus !
La Commission met ainsi sur la table plusieurs mesures que nous appelions
de nos vœux : aide austockage privé, dérogation au droit de la concurrence
pour la gestion des volumes au travers l’article 222 de l’OCM et flexibilité
dans les programmes sectoriels.
Pour autant, certains secteurs non ciblés par la Commission européenne
méritent encore une attention particulière de l’UE : aucune filière
ne peut être mise de côté, il en va de leur pérennité. De même, la
FNSEA et JA espèrent aussi des réponses sur la demande de mesures
liées aux importations qui risquentd’aggraver les déséquilibres de
marchés.
Enfin, nous attendons des précisions capitales sur les montants engagés
par la Commission : déclencher les outils est une étape majeure, mais
il faut un budget additionnel à la hauteur dans le temps. Nous demandons
également de vrais outils d’anticipation et de gestion de crise qui
permettront d’avoir une meilleure réactivité dans l’accompagnement
des exploitations. L’efficacité des mesures dépendra des montants
réellement nouveaux qui seront alloués.
La crise sanitaire du Covid19 est dramatique : ne la laissons pas
déboucher sur une crise agricole ! Déjà, lesdéséquilibres ne sont
pas négligeables pour certaines productions. La mobilisation doit
être pleine et entière. La Commission et les 27 Etats membres en semblent
maintenant pleinement conscients, l’ampleur desréponses apportées
doit donc être à la hauteur !
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ÂGE (L') : Je n'ai plus l'âge de mourir jeune.
Jules RENARD
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Opinions
et curiosités du web
|
Me voici... votre cher virus (blague pas très correcte vis-à-vis
de nos responsables politiques mais amusante… de toute façon, nos
gouvernants ont toujours tort, comme le sélectionneur de l’équipe
de France de foot ! - GW)
Je me présente, mon surnom est Corona virus, mais mon vrai nom est
Covid 19, je vous expliquerai à la fin, pourquoi je porte ce nom-là.
Je suis né en Chine, je ne sais pas trop comment, je le saurai plus
tard.
J’ai commencé à imposer mon autorité dans mon pays d’origine.
Pour tout vous dire, je suis destiné à prouver à l’humain, qui se
croyait l’être vivant le plus intelligent de la planète, qu’il s’était
trompé de route pour tracer sa vie.
Á moi seul, j’ai prouvé que l’Europe n’existait pas, Bruxelles n’a
pas réagi à mes attaques, seuls les états se sont affolés. J’ai prouvé
aussi que le Royaume-Uni n’avait pas de frontières, je suis arrivé
là-bas sans encombre.
Je suis en France pour mettre les pendules à l’heure.
Á moi seul j’ai fait arrêter les ventilateurs à paroles que sont Marlène
Schiappa et Aurore Bergé, je ferai autant de dégâts chez les femmes
que chez les hommes, chez les riches, que chez les pauvres.
À moi seul, je fais fermer les lieux de cultes, de toutes les religions,
je fais mettre du gel hydro alcoolique sur les mains aussi des musulmans.
À moi seul, je fais mettre les professions de santé à l’honneur, alors
que récemment, les flics les tabassaient, les gazaient, les éborgnaient.
Attention...
À moi seul, j’aide à soutenir les agriculteurs, les routiers, pris
auparavant pour des moins que rien.
À moi seul, je règle le problème des retraites, en soumettant les
insoumis, mettant fin aux débats interminables, je m’attaque aux plus
anciens.
À moi seul, je mets fin au réchauffement climatique, les avions ne
volent plus, les voitures ne sortent plus, je suis plus fort que le
Forum de Davos qui réunit 1500 jets privés, sans résultat.
À moi seul, je fais fermer les écoles, pour que les familles profitent
de leurs jeunes enfants.
À moi seul, je veux prouver qu’une poignée de députés suffit pour
tenter de régler les problèmes.
À moi seul, j’ai fait baisser, d’un coup de baguette magique le cour
du pétrole, quand je reviendrai, je m’occuperai des taxes sur les
carburants.
Á moi seul, j’ai fait perdre plusieurs milliards aux plus riches,
la bourse s’étant écroulée, l’argent n’étant pas fictif.
Á moi seul, j’ai prouvé que les médicaments n’étaient plus fabriqués
en France, mais dans mon pays de naissance.
Á moi seul, pourtant invisible, j’ai fait débloquer par l’état 45
milliards en quelques instants, alors que les gilets jaunes ont lutté
plus d’un an pour obtenir, soi-disant 17 milliards.
Á moi seul, j’ai réussi à retisser des liens entre les individus,
qui s’appellent juste comme pour les vœux.
J’allais oublier, j’ai un complice, le Président Hollande, je l’ai
autorisé à faire le prélèvement à la source, pour que les politiques
continuent à jouer avec le pognon en échange il a fermé plus de 15
000 lits d’hôpitaux pour que mon action soit plus efficace.
Je vais vous expliquer pourquoi je m’appelle Covid 19 : les lettres
C, O, V, I se retrouvent dans le mot civilisation, le D indiquant
départ et 19 mon année de naissance.
En résumé, j’ai ouvert, en 2019, l’ère d’une nouvelle civilisation,
vous comprenez maintenant pourquoi les gens s’appellent comme pour
les vœux.
J’espère que cette fois l’être humain a bien compris, sinon, j’ai
bien un petit copain, qui viendra vous confiner définitivement.
Bon courage à tous !
Signalé par Fernand SÉVERIN
Mél : fernandseverin(a)yahoo.fr
Ma remarque (GW) : le virus a oublié qu’il aura causé un surnatalité
extraordinaire en hiver 2021 ! Les maternités vont être surchargées.
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
|
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Pensée du jour sur l’épidémie
Or, l’ampleur et l’impact des épidémies ont, en réalité, considérablement
diminué. Malgré des virus abominables comme le VIH ou Ebola, jamais
depuis l’Age de pierre les épidémies n’ont causé aussi peu de morts,
en proportion, qu’au XXe siècle. C’est parce que la meilleure défense
dont les hommes disposent contre les pathogènes, ce n’est pas l’isolement,
c’est l’information. L’humanité a remporté la guerre contre les pathogènes
parce que, dans la course aux armements à laquelle se livrent les
pathogènes et les médecins, les pathogènes comptent sur des mutations
aveugles et les médecins sur des analyses de données scientifiques.
Yuval Noah HARARI (Historien)
Voir
lemonde.fr
Autre pensée du jour sur l’épidémie
Dans ce moment de crise, le combat décisif se joue au sein même de
l’humanité. Si cette épidémie conduit à une désunion et à une méfiance
accrues entre les hommes, ce sera la plus grande victoire du virus.
A l’inverse, si l’épidémie entraîne une coopération mondiale plus
étroite, alors nous n’aurons pas seulement vaincu le coronavirus,
mais tous les pathogènes à venir.
Yuval Noah HARARI (Historien)
Voir
lemonde.fr
A thought for today
Life is short, short, brother!
Ain't it the truth?
And there is no other
Ain't it the truth?
You gotta rock that rainbow while you still got your youth!
Yip HARBURG, lyricist (1896-1981)
A second thought for today
Everybody's talking about people breaking into houses but there
are more people in the world who want to break out of houses.
Thornton WILDER, writer (1897-1975)
A third thought for today
When we try to pick out anything by itself, we find it hitched to
everything else in the universe.
John MUIR, naturalist, explorer, and writer (1838-1914)
Ageekculture
: un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information
|
|
Pour son discours méthodologique, le cas de Raoult est bien plus
grave que celui de Séralini…
Je n’aurais pas cru écrire ça un jour, mais Séralini a au moins le
mérite de ne pas nier les règles les plus basiques de la méthodologie
scientifique : il essaie de faire croire qu’il s’y conforme.
Raoult, lui, tente ouvertement de la discréditer. Il s’inscrit dans
la lignée des délires de Stéphane Foucart, pour qui « En matière de
santé publique, la rigueur scientifique est une posture dangereuse
», en lui donnant la crédibilité scientifique apparente que Foucart
n’a pas. Ses appuis politiques, de Macron a la droite locale, montre
qu’il a séduit des tendances politiques qui jusqu’à présent étaient
moins sensibles à la désinformation pseudoscientifique que la gauche
et l’écologisme. C’est très inquiétant pour la défense d’une politique
basée sur les preuves scientifiques.
Un bon article à son sujet : Le
populisme sanitaire contre la science, par Olivier Galland, Sociologue,
directeur de recherche au CNRS
Contact : Philippe STOOP
Mél : philippe.stoop(a)wanadoo.fr
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est membre fondateur de l'European Federation for Information
Technology in Agriculture
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Une exception à réinventer, un édito d'Henri Gibier
À Paris, le premier réflexe a été d'en rire, de se gausser de la maladresse
de communication du ministre de l'Agriculture, Didier Guillaume, quand
il lança son appel aux Français confinés à venir travailler dans les
champs, pour se substituer à une main-d’œuvre saisonnière dispersée
par la crise sanitaire. Trois semaines plus tard, 200 000 personnes
ont posé leur candidature auprès de la FNSEA, un peu débordée par
le succès...
Voir
lesechos.fr
Du côté de EBBH
Covid-19 : Entretien avec Jean-Luc Angot, expert international
de questions vétérinaires
Nous inaugurons durant cette période de confinement une série d’interviews
diffusées en podcasts de grands témoins pour nous éclairer sur la
crise...
Voir
idele.fr
Covid-19, un effet nicotine positif ?
il faut s’interroger sur le rôle de facteurs de confusion multiples
qui compliquent l’étude des données, d’autant qu’aucune analyse
multivariée n’a été utilisée pour le faire. Il s’agit notamment
de l’âge, du statut socio-économique, de la définition et de l’importance
du tabagisme etc. En outre, la prise en compte des habitudes tabagiques
dans le contexte des formes sévères de la maladie ne saurait prétendre
être exacte.
Dans ces conditions, il convient d’attendre d’autres études plus
précises et plus complètes avant de se perdre en conjectures. Le
tabagisme chronique protégeant des infections pulmonaires virales
? Ce serait une première, car c’est habituellement le contraire
qui est observé, mais il y a un début à tout. En attendant d’autres
preuves en faveur de cette position théorique, le wait and see est
de rigueur…
Voir
jim.fr
Good old days (?????): Catherine La Rose by Charles Sprague Pearce
(1851-1914)
EPA OKs continued use of tuberculosis drugs to fight citrus disease
in California, Florida
The EPA says that widespread application of the drug streptomycin,
as well as a similar antibiotic it has approved called oxytetracycline,
is necessary to fight citrus greening disease, which has decimated
much of Florida's orange and grapefruit yield and appeared in Southern
California in 2008.
See
desertsun.com
God, Science and COVID-19 by Gabriel Waksman
The Covid-19 pandemic is a tragedy of epic proportions. As the situation
appears to go from bad to worse, many, including myself, have started
receiving video links, poems, and other pieces of writing, all religious
in nature, from friends, neighbours or prayer groups. All these
were very well intended. They saw distress and thought that…
See
europeanscientist.com
Revue
de l'Académie
d'Agriculture de
France
|
|
Pour
m'énerver vraiment ça m'énerve !
(Contact
: Georges LARROQUE ; Mél : larroque.georges(a)orange.fr)
Alors regarde de gauche à droite :
la barre du milieu existe-t-elle ?
Combien de
barres ici : 7 en bas ou 10 en haut ?
La porte est
ouverte vers l'intérieur ou l'extérieur ?
Rondes ou
carrées les colonnes ?
Regardez le haut de la colonne puis le bas

Combien de
barres,
en comptant à gauche puis à droite ?
Est-ce une
moulure ?
Drôle de montage
Encore une
barre du
milieu qui disparait…
Deux ou trois
barres ?
Voir d’en haut ou voir d’en bas ?
Et pour finir,
un peu de psy
Vous êtes-vous déjà demandé
comment fonctionne un cerveau féminin ?
C'est
pas compliqué, ça fonctionne comme cela :
Chacune des
petites boules bleues représente une pensée concernant une chose
à faire,
une décision à prendre ou un problème à résoudre.
Et l'homme me direz-vous ?
L'homme, lui, n'a que 2 boules à gérer,
mais elles occupent toutes ses pensées…
Nous n'en ferons pas un schéma ...
The Island (old joke)
An Englishman, Irishman and Scotsman are stranded on an island when
a magic lamp washes up on the beach.
The Englishman picks it up and rubs it.
Whoosh a genie appears.
“I will each grant you a wish,” the genie says.
The Englishman says, “I wish I was back home in the pub with a pint
of beer and watching football.”
And, whoosh, the Englishman vanishes.
The Scotsman says, “I wish I was back home in the pub with a dram
of whisky, watching the Highland games.”
And, whoosh, the Scotsman vanishes.
The Irishman looks at the genie and says, “Christ, it's lonely here
now. I wish the lads were back”.
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d’informatique agricole (Afia)
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