Du côté du web et de l’informatique agricole n° 17 du 23 avril 2020

Du côté du web et de l'informatique agricole n° 17 du 23 avril 2020

Ce message online


AFIA


Association
Francophone
d'Informatique en Agriculture


Du côté du web et de l'informatique agricole 17 - 2020
(parution hebdomadaire depuis janvier 1998)

Châtenay-Malabry, 23 avril 2020


Le prix Nobel du complotisme (M. le Prof. Montagnier)

Un prix Nobel n’est ni la permission de dire n’importe quoi, ni un brevet immunisant son détenteur contre l’erreur pour le reste de sa vie.

Quelques mois avant sa mort, Umberto Eco déclara que les réseaux sociaux avaient donné « à des légions d’imbéciles […] le même droit de parole qu’un prix Nobel » – une citation passée depuis à la postérité. Ce que n’avait toutefois pas prévu l’auteur du Nom de la rose, c’est qu’un prix Nobel puisse prendre la tête des légionnaires...
Voir conspiracywatch.info

Du côté de Paul Le Guerni,
député du Morbihan



Quelques jeux de mots sur le virus, après un premier sur les gilets jaunes

> Que réclament les gilets jaunes ? RICARD (référendum d'initiative citoyenne, apolitique, républicain et démocratique)

> Bonne nouvelle, les déjeuners avec belle-Maman sont annulés jusqu'à nouvel ordre.

> On va tous murir.

> Chauve-souris et un anagramme de souche à virus, comme par hasard !

> Homme avec papier toilette cherche femme avec gel hydroalcoolique pour une quarantaine sérieuse.

> Je suis monté sur la balance et elle a affiché "les rassemblements sont interdits".

> Et si c'était arrivé il y a 20 ans, confiné à la maison avec un Nokia 3310, 20 sms et 2 h de communication !

> J' me fais tellement chier que je commence à applaudir vers 17h30 !




« Agriculteurs », sortie du sixième album du groupe de folk festif auvergnat Wazoo

Après un best of sorti en 2019 pour fêter ses 20 ans de scène, Wazoo sort son sixième album.

Intitulé Agriculteurs, ce nouvel opus est une véritable ode au monde paysan, où l'on retrouve les refrains aux couleurs de la campagne qui ont fait le succès du groupe de folk festif.

« Agriculteurs », la chanson qui ouvre l'album, est une ode au monde paysan, où Wazoo chante que « on ne redoute pas le labeur, pour le pire pour le meilleur, la terre est au fond de nos coeurs ».

Le clip de la chanson, réalisé avec des jeunes agriculteurs de Haute-Loire, a fait le buzz : mis en ligne en juin 2019, il affiche plus de 800 000 vues sur YouTube et plus d'un million sur Facebook.

Avec 11 nouveaux titres dans la musette, Wazoo poursuit dans sa veine festive. Le groupe confirme sa volonté de défendre une musique résolument rurale : un joli vent de fraîcheur, à l'heure où la musique urbaine est omniprésente sur les ondes.


La grand-mère juive sur la plage de Deauville
Vive la plage interdite en temps de confinement



Jeu-Test de personnalité : Statisticien, épidémiologiste, astrologue : quel scientifique êtes-vous ?
Voir labs.itk.fr

L'élevage intensif des poules

Source


La biodiversité : avec ou sans l’homme ? Réflexions d’un écologue sur la protection de la nature en France, par Christian Lévêque

Notre territoire a connu une histoire climatologique contrastée, où se sont alternées extinctions d’espèces et périodes de reconstruction. Ce que nous appelons « nature », en France, est en réalité le produit des activités humaines et de processus écologiques spontanés depuis des milliers d’années.

La déforestation, l’agriculture, les aménagements des cours d’eau et des zones humides, les introductions d’espèces ont créé des milieux artificialisés, gérés pour des usages variés. L’homme n’a pas détruit la diversité biologique en métropole, mais il l’a transformée et enrichie. À partir de cette affirmation, l’auteur pose la question du pilotage des dynamiques de cette nature, soumise à de nouvelles pratiques agricoles, à l’urbanisation, au réchauffement climatique. Quels compromis sont possibles pour contrôler les facteurs qui nuisent à nos activités et à notre cadre de vie (ravageurs de cultures, vecteurs de maladies…), tout en préservant un riche patrimoine d’espèces et de paysages auquel nous sommes attachés ?

Dans ce contexte, qu’entend-on par « érosion de la biodiversité » ? Quand on modifie un système écologique, on perd des espèces, mais on peut en favoriser d’autres. Pour construire une gestion future de la biodiversité compréhensible par tous, il faut sortir du « prêt-à-penser » catastrophiste et tenir compte aussi des succès dans nos relations avec la nature.


La destruction de la biodiversité a-t-elle engendré le Coronavirus ? De Christian Leveque

Dans un tel contexte il n’y a pas de solutions opérationnelles simples pour remédier à l’érosion de la biodiversité. On aimerait connaitre les solutions proposées par les conservationnistes pour pallier ces problèmes de fond ! Car se cantonner dans la stigmatisation sans proposer de solutions concrètes acceptables par les citoyens n’est pas une attitude responsable. C’est une posture idéologique…

L’idée de nous protéger de ces pandémies en contrôlant les populations vectrices d’oiseaux ou de chauves-souris serait une voie possible, celle qui nous a permis de contrôler la rage en Europe. Mais est-elle admissible pour les milieux conservationnistes alors que reconnaitre que la biodiversité est aussi source de méfaits passe déjà pour une insanité ?

Pour faire écran il vaut mieux reprendre l’antienne de la destruction de la biodiversité par les hommes, maintes fois répétée, et laisser croire insidieusement qu’elle est responsable de ces pandémies.

Pourtant, beaucoup sont ceux qui aimeraient trouver des accommodements entre préservation intégrale ou éradication. Notre rapport à la nature ne peut s’envisager que dans cette recherche de compromis entre les deux visages de la biodiversité et non pas dans une posture idéologique qui assimile la nature au « paradis perdu ». Quant à ceux qui nous disent qu’il faut « laisser la nature reprendre ses droits », c’est faire semblant d’ignorer qu’elle ne manquera pas rapidement de faire valoir sa face obscure. Autrement dit c’est totalement irresponsable !
Voir europeanscientist.com

 


La crise n°47 : virus mode d'emploi (Économie politique du désastre !)

Résumé : On s’attendait à une nouvelle crise financière, se diffusant ensuite dans l’économie réelle. On a une crise totale : le sanitaire affecte l’économie réelle qui diffuse sur la finance dont les fragilités intrinsèques menacent de faire sauter le système. La totale ! En termes économiques et sociétaux, le coronavirus est multifonctions : il fait des miracles en rendant possible ce qui était impensable hier ; il nous invite à revisiter nos concepts, véritable réinitialisation heuristique ; enfin, il va venir dévorer les patrimoines comme les termites peuvent le faire des vieilles maisons en bois… mais tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir !

- Un virus miraculeux : l’impossible est pour aujourd’hui (p. 3)
- Un virus heuristique : revisitons nos concepts (p. 6)
- Un virus termite : Et mes sous dans tout ça ! (p. 14)
- Annexe. De la double vie des obligations : entre le beurre et l’argent du beurre (p.18)
Voir La Crise


L’Europe face au Covid-19 : « La France fait ce qu’elle peut » par J. de Kervasdoué

Cet article est intéressant. Il est cependant dommage que la crise de 2008 ne soit oubliée alors que cette crise explique complètement les politiques de soutien aux banques par M. Sarkozy et de redressement des comptes de l’Etat et de la sécurité sociale par M. Hollande. Cette crise a donc nécessité de faire beaucoup d'économies...
Voir europeanscientist.com


Cloroquine et Picon
Contre le Covid-19
Signalé par Luc BECKER, un connaisseur !
Mél : luc.becker(a)wanadoo.fr



Good old days (?????): The Harvesters by Julien Dupré


What Do Countries With The Best Coronavirus Responses Have In Common? Women Leaders

Looking for examples of true leadership in a crisis? From Iceland to Taiwan and from Germany to New Zealand, women are stepping up to show the world how to manage a messy patch for our human family. Add in Finland, Iceland and Denmark, and this pandemic is revealing that women have what it takes when the heat rises in our Houses of State.
See forbes.com


Le film Food Evolution a été projeté à l’Assemblée nationale à l’invitation de M. Jean-Baptiste Moreau, député de la Creuse (commentaire déjà publié par European Scientist)

La projection a été suivi d’un débat, auquel a participé Mme RICROH, maître de conférences à AgroParisTech et Adjunct professor de la Pennsylvania State University, College of Agricultural Sciences, USA, membre de l’Académie d‘agriculture.

Mme Ricroh revient ici sur la position de la fédération nationale de l’agriculture biologique (FNAB) lors de ce débat. Bien entendu, il ne s’agit pas ici de s’opposer à l’agriculture biologique. Tant qu’il y aura des gens contents d’en consommer et des gens contents d’en produire, pas de problème. Mais il n’est pas possible d’accepter des contre-vérités flagrantes.

J’ai été consternée que le concept normatif de 'nature'-'naturel' ait été employé à chacune des interventions des deux représentants de la FNAB. Ils ignorent les transferts horizontaux et sont convaincus que la transgenèse n’est pas naturelle ignorant deux publications majeures démontrant le contraire notamment chez la patate douce et 80 autres espèces.

L’éternelle question de la privatisation du vivant posée par les deux représentants de la FNAB est inquiétante. On sait qu'en Europe aucune variété ne peut être brevetée, seule une construction génétique est brevetable, la brevetabilité des constructions génétiques est encouragée par l'INRA, le CNRS, etc.

Ce qui est inquiétant aussi est que les deux représentants de la FNAB soutiennent la publication de Séralini (rétractée) disant qu’il manquait des rats pour rendre robustes ses analyses mais que dans le fond la publication n’est pas à remettre en question.

Le président de la FNAB rapporte que ses agriculteurs ont peur des 'pollutions' du chou par le colza GM. Je lui ai dit qu'il n'y a pas de colza GM en France, les seuls essais de l'Inra de Rennes pour mesure les flux de gènes ont été vandalisés. Au sujet des flux de gènes ils n'admettent pas que cette question est déjà posée pour la pureté variétale en production de semences et que des solutions existent : décalage de floraison, distance géographique...

Quand je leur ai posé la question de pourquoi ils avaient peur de la transgenèse pour la bannir de leur agriculture alors qu’on pourrait avoir peur d’un caractère qu’il soit apporté par transgenèse ou par sélection classique, ils m’ont répondu que c’est dans leur 'directive' de ne pas autoriser la transgenèse. J’ai compris que c’est leur corps de doctrine et que c’est bien par idéologie qu'ils interdisent la transgénèse et toutes les NBTs.

J'ai dit qu'il y avait tellement d'erreurs et de contre-vérités que je ne savais pas par quoi commencer.

Emmanuelle Ducros m'a demandé de parler des tests sur les animaux à long terme et sur plusieurs générations, j'ai répondu qu'ils sont absolument inutiles et qu’ils ne sont pas exigés dans de nombreux pays.

Les deux représentants de la FNAB veulent les mêmes tests pour les OGM classiques, y compris tests sur les animaux, et les NBTs, car ils veulent un étiquetage obligatoire même si ces tests-là sont superfétatoires et très coûteux pour lesquels seuls les grands semenciers peuvent se permettre de les financer.
Moi je propose que les produits issus de l'AB soient soumis aux mêmes évaluations que les produits issus de transgénèse pour assurer un étiquetage.

Les deux représentants de la FNAB maintiennent que les virus des papayers sont dus au fait que les plantations sont exploitées sur de très grands surfaces. Je ne comprends pas cet argument, car des virus se propagent dans des micro-parcelles comme dans des serres maraichères par exemple.

Soient ils sont ignorants, soient ils sont aveuglés par leur idéologie, soient ils croient en leurs contre-vérités, soient c'est leur stratégie basée sur la peur et le concept normatif de nature-naturel pour faire payer les consommateurs.
Voir europeanscientist.com
Contact : Agnès RICROCH
Mél :agnes.ricroch(a)agroparistech.fr

Livre : L’agriculture face à ses défis techniques : L'apport des technologies, sous la direction de Bernard Le Buanec

L’agriculture française est dans une période difficile et doit affronter des défis techniques, économiques et sociétaux. Face à ce constat, des membres de l’Académie d’agriculture de France et de l’Académie des technologies ont créé un groupe de travail pour analyser les défis techniques et étudier les solutions que pourraient apporter les technologies.

Après avoir auditionné des agriculteurs, les principaux syndicats agricoles et de nombreux scientifiques et industriels, les auteurs analysent les principaux défis et les solutions techniques qui permettraient d’y faire face et font des recommandations pour que l’agriculture française puisse en bénéficier.

Voir Presses des Mines

Contact : Catherine REGNAULT- ROGER
Mél : catherine.regnault-roger(a)univ-pau.fr


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

ÂGE (Grand) : Son exception culturelle, c'est de pouvoir décliner sans avoir appris le latin.
Philippe BOUVARD

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


 

Informatique et numérique agricole

Statistiques de l'édition de la semaine dernière de "Du côté du web..."



Statistiques de l'édition spéciale "virus" de la semaine dernière


Last issue of the Efita Newsletter nb 926 dated April 20, 2020 (avec des histoires de virus en anglais)


Statistics about the previous issue of the efita newsletter dated April 13, 2020


AgDataHub ou l’indépendance numérique agricole de la France par Raphaël Lecocq

La profession se dote d’une plateforme destinée à garantir l’indépendance numérique de l’agriculture française, voire européenne. Un enjeu crucial, face aux Gafa et autre Alibaba, capables de vous revendre des informations que vous leur avez données...
Voir pleinchamp.com


Open data : des données à consommer sans modération (API-AGRO)

Nous vous les avions annoncées, les nouveautés concernant la fonctionnalité Open Data sont désormais disponibles et pleinement opérationnelles.

> Une inscription simplifiée
Pour accéder simplement aux offres de données Open Data sur la plateforme, il vous suffit maintenant de 3 clics, et moins d’une minute pour s’inscrire.
Vous aurez ainsi directement accès à tout le catalogue en visualisation et pourrez acquérir aux données Open Data de manière sécurisée.

> Une sélection de données publiques utiles

Dans les filtres Open Data, vous pourrez déjà trouver des données publiques portées par le Ministère de l'Agriculture comme les doses de référence IFT par année de campagne, les surfaces départementales en agriculture Bio, les enquêtes annuelles prairie, les petites régions agricoles, les surfaces, rendements et productivité des productions végétales ou encore la liste des groupements d'intérêt économique et environnemental labellisés.

> Les taureaux de monte publique par l'Institut de l'Élevage

L’offre de données Open Data proposée par l'Institut de l'Élevage pour la monte publique qui présente les données administratives des taureaux déclarés en France. Vous y trouverez les données d'identité et de déclarations des taureaux avec leur période de validité, conformément à la réglementation. Le fichier est mis à jour de façon hebdomadaire.
Inscrivez-vous gratuitement


Sénégal : un outil numérique pour renforcer la filière « mangue »

- L’outil est conçu à partir d’algorithmes d’analyse d’images et de modèles statistiques
- L’estimation du rendement rendra la filière mangue plus compétitive
- Le modèle d’estimation sera mis en œuvre sur les smartphones sous forme d’application mobile

Le modèle fonctionne à partir de l’analyse des images des arbres prises au sol et de la cartographie du verger obtenue à l’aide d’un drone.

En analysant deux images prises de deux côtés opposés de l’arbre, le modèle peut estimer le nombre de fruits présents sur l’arbre, avec une marge d’erreur de 7%.

À partir de la cartographie par drone du verger, nous avons extrait des variables comme les hauteurs des arbres, leur volume et leur surface horizontale. Avec ces variables, nous avons pu mettre au point un modèle capable d’estimer la production de tout le verger avant la récolte.
Voir scidev.net



« La feuille de chou » de Naïo Technologies


COVID-19 : Des arbres, des plantes, des fleurs de saison et en local disponibles en ligne
Voir missionvegetal.fr


Vente directe et coronavirus : l’encaissement à distance est possible, par Adèle Magnard

Livraisons à domicile, dépôts en points-relais, regroupements de producteurs, vente en ligne… de nombreuses démarches de producteurs se mettent en place pour écouler les produits en manque de débouchés. L’offre des solutions monétiques s’adapte elle aussi.
Voir pleinchamp.com


Vente directe : se faire connaître via les Chambres d'agriculture

Pages Facebook, sites internet, cartes interactives… les initiatives pour mettre en lien les producteurs et les consommateurs se multiplient. Les agriculteurs en manque de débouchés sont invités à contacter leur Chambre d’agriculture départementale afin de se faire connaître et aiguiller.
Voir pleinchamp.com


Good old days (?????): Arenlezers by Emile Claus - 1894


Circuits courts, lancement de plusieurs plateformes régionales

Alors que les déplacements sont contraints par le confinement mis en place pour lutter contre le Covid-19, aller faire ses courses peut devenir compliqué. Dans le même temps, les canaux de distribution traditionnels des exploitants sont parfois...
Voir campagnesetenvironnement.fr


OùTrouverMonFromageDeChèvre.fr, une plateforme digitale pour soutenir les producteurs de fromages de chèvre
Voir reussir.fr

Le Grand livre de notre alimentation, le guide complet de notre alimentation en 100 chapitres, par 25 experts de l’Académie d’agriculture

Publié aux éditions Odile Jacob, ce guide complet de "notre alimentation", aborde les thématiques suivantes:

- Bien manger : que manger et comment ?
- Les aliments par le menu
- Nos aliments sont-ils sûrs ?
- L'équilibre nutritionnel de chacun
- L'aliment, en pratique
Nos experts donnent dans cet ouvrage "leurs avis informés et leurs meilleurs recommandations ; au-delà des querelles, controverses et débats passionnés autour de la qualité de nos aliments".
Voir Edition Odile Jacob


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Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

ÂGE (ingrat) : Celui où l'enfant commence à montrer les sentiments des grandes personnes.
Gérard DE ROHAN CHABOT

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Informatiques et réseaux

Jean-Michel Mis : « Les outils de visioconférence sûrs existent, il faut les utiliser »

Pour le député Jean-Michel Mis, la méconnaissance de l’écosystème numérique français pousse les élus et le gouvernement à prendre des risques inutiles en utilisant des applications peu fiables
Voir lopinion.fr


Michel Paulin, OVHcloud : « Cette crise démontre le caractère stratégique du numérique pour les États et les entreprises »

Michel Paulin, CEO de OVHcloud, revient pour Silicon.fr sur l’impact de la pandémie dans le fonctionnement de son entreprise et sur sa vision de « L’après ».
.../...
En résumé dans le numérique, garantir de la confiance, de la résilience et de la souveraineté sont les enseignements clé de cette période si particulière. Ce sera probablement le grand enjeu de demain.
Voir silicon.fr


Datacenters : Alibaba Cloud va investir 28 milliards $ sur trois ans

Alibaba Cloud, filiale du géant chinois de l’e-commerce, accélère sur ses investissements en consacrant 28 milliards $ sur trois ans.
Voir silicon.fr


Skype, Zoom, WhatsApp... Quelles limites pour les appels en groupe ?

La limite de 4 participants par appel pourrait bientôt être levée sur WhatsApp. Que proposent les services concurrents ?
Voir silicon.fr


Office 365 devient Microsoft 365 : quelles conditions de déploiement ?
Voir linformaticien.com


Netflix, grand gagnant prudent du "Grand confinement"

Le "Grand confinement" a renforcé la position de leader de Netflix, qui compte désormais 183 millions d'abonnés, mais le géant du streaming affiche la prudence sur son avenir à cause des incertitudes liées à la pandémie et de la concurrence croissante de ses rivaux.
Voir linformaticien.com


CovidIA : « Le déconfinement des entreprises est au cœur de notre plateforme d’IA »

Le projet collaboratif "CovidIA" vise à prédire l‘évolution de la pandémie du Covid-19, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, afin de faciliter le déconfinement en France. Lancé début avril, l’initiative prend aujourd’hui la forme d’une fondation, abritée par la Fondation de France.
Voir linformaticien.com


Publication diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

ÂGE (ingrat) : C'est la période qui s'étend de la naissance à la mort.
Georges ELGOZY

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Agricultures

Souveraineté alimentaire, j'écris ton nom (Thierry Pouch, membre de l’Académie d’agriculture)
Voir chambres-agriculture.fr


Yvelines. Confinement : les agriculteurs de la Plaine de Versailles s’organisent

La Plaine de Versailles (Yvelines) regroupe un vivier de producteurs, permettant aux habitants de se nourrir en proximité de produits frais.
Voir actu.fr


Ile-de-France : « Les grandes surfaces peuvent vendre des plantes mais pas les horticulteurs, ça n’a pas de sens »
Depuis quelques jours, les jardineries peuvent vendre tous types de végétaux. Les horticulteurs qui font de la vente directe n’ont, eux, toujours pas le droit d’ouvrir. En crise, ils dénoncent une iniquité de traitement.
Voir leparisien.fr


Les services économiques des Chambres d'agriculture réalisent des études micro, méso et macroéconomiques en lien avec l'actualité
- études nationales et focus régionaux
- études sur les agricultures européenne et mondiale
- indicateurs et analyses de conjoncture
Voir chambres-agriculture.fr


Good old days (?????): The return from school in Calvados by William John Hennessy (1839 - 1917)


Phytos et engrais: le Conseil d’État rejette la demande de réduction des épandages

Par une décision rendue le 20 avril, le Conseil d’État a rejeté le référé-suspension déposé par l’association Respire, estimant que «l’État assure strictement les obligations, y compris préventive» en matière de qualité de l’air. L’association, dans sa requête déposée mi-avril, demandait aux juges de «constater la carence de l’État à réduire les épandages agricoles et les autres activités agricoles polluantes», et d’appliquer les mesures de réduction d’émissions prévue en cas d’épisode de pollution.
Voir la-marne-agricole.com


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

ÂGE (ingrat) : C'est la période qui s'étend de la naissance à la mort.
Georges ELGOZY

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Du côté des écrivains et artistes paysans

Un mot de la Présidente

Le billet hebdomadaire de Michel Boudaud

Les écrivains-paysans membres actifs qui souhaiteraient utiliser le fichier de l’affiche AEAP pour apposer un panneau sur leurs stands de dédicaces peuvent se faire connaître auprès de la présidente: jbellino(a)neuf.fr


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

ÂGE (ingrat) : Chez les filles, c'est quand elles sont trop grandes pour compter sur leurs doigts, mais trop petites pour compter sur leurs jambes.
COLUCHE


Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Agenda

Évaluation des risques sanitaires : quel dialogue Recherche/Agences sanitaires ?
13 mai – Probablement en Webinar à partir de 14h30

L’agriculture est particulièrement frappée par des controverses très médiatisées sur les impacts sanitaires et environnementaux des techniques utilisées : génie génétique, produits de protection des plantes, fertilisants…
Ces polémiques s’appuient souvent sur l’exploitation par les médias de publications scientifiques dont les résultats démentent, ou semblent démentir, le travail d’évaluation des agences sanitaires, dont le rôle est souvent méconnu du grand public. Elles génèrent une perte de crédibilité de ces agences, ou même des soupçons de connivence avec l’industrie, et discréditent tout le dispositif d’application du principe de précaution cher aux Français. Par là-même, elles compliquent le travail du législateur chargé de fixer les règles de ce dispositif, et tendent à générer une instabilité réglementaire qui déstabilise l’agriculture française. Pourtant, un examen objectif des données scientifiques disponibles montre que ces controverses reposent souvent sur une mauvaise compréhension par le grand public des méthodes d’évaluation des risques et des techniques statistiques employées.
La mission OPECST sur l’évaluation des risques sanitaires, dont le rapport a été rendu en mai 2019, propose des pistes intéressantes pour que les agences sanitaires puissent mieux répondre aux interrogations. Elle s’est toutefois peu penchée sur la question du niveau de preuve minimal nécessaire pour que ces questionnements soient légitimes. L’objectif de cette séance est de faire l’inventaire des causes scientifiques des divergences apparentes entre publications scientifiques, expertises collectives, et avis des agences sanitaires, et de chercher des solutions pour y remédier ou en expliquer mieux les causes au grand public.

- Les causes scientifiques et législatives des divergences entre expertise sanitaire et recherche, par Philippe STOOP
- Approche de Tox’Alim en recherche et évaluation du risque, par Isabelle OSWALD, directrice de Tox’Alim, Inra Toulouse
- Comment l’ANSES intègre-t-elle les travaux de la recherche publique dans ses évaluations ? Par Caroline SEMAILLE, Directrice Générale déléguée du Pôle Produits Réglementés à l’ANSES
- Conclusion par Dominique PARENT-MASSIN
Voir academie-agriculture.fr


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

ÂGE (L') : J'accepte tout ce qu'on me donne… sauf lui.
Louise DE VILMORIN

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Du côté des gazettes et des blogs agricoles

Du côté de vitisphere.com : le développement durable n’est plus un atout compétitif par Alexandre Abellan

S’il un point positif pour la filière vin pendant ce confinement, au-delà de l’avantage de travailler en plein air pour les vignerons, c’est bien le calme relatif qui s’est installé depuis un mois dans les bureaux. Plus d’appels incessants de fournisseurs ou de clients pour perturber le cours des réflexions. Avec la réduction de l’activité, les sollicitations se calment et favorisent, entre deux urgences de gestion du personnel ou des transporteurs, l’étude de dossiers reportés sans cesse. Caves coopératives, fournisseurs, négociants, prestataires et vignerons peuvent ainsi se pencher sur une boîte noire souvent victime de la procrastination : le développement durable.


Qu’il s’agisse de se lancer dans une démarche vertueuse ou de renforcer des actions existantes, cette voie n’est plus facultative. La crise sanitaire du coronavirus n’efface pas le besoin de verdissement de la filière vin. Au contraire, le covid-19 accentue la nécessité de proposer de nouveaux modèles résilients. Mais à l’heure des réflexions préalables sur de nouveaux engagements, et donc investissements, il ne faut pas se leurrer : le développement durable ne doit pas être pris comme une stratégie de valorisation, il s’agir de maintien de l’accès aux marchés. Un label vert ne permettra plus, à terme, d’avancer un argument distinctif. La multiplication des certifications HVE (Haute Valeur Environnementale) en 2019 et la popularisation des réflexions RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) en 2020 témoignent de la mise en place de cette nouvelle norme. Le travail du sol redevenant par exemple le mètre étalon viticole, ce n’est plus un atout compétitif (à moins de recourir aux chevaux et moutons).

Si le concours des pratiques les plus vert(ueus)es ne brouille pas la lecture des engagements concrets, on ne pourra que se réjouir que l’ensemble de la filière s’empare de ce chemin d’amélioration continue de ses pratiques : ce n’est qu’ainsi qu’elle deviendra inattaquable. Les mauvaises pratiques d’un opérateur rejaillissant sur l’ensemble. Sans oppositions, cette démocratisation du développement durable réduire les arguments compétitifs, mais accentuera l’exemplarité de l’ensemble des vins.
Voir vitisphere.com

Terre-net Web TV


Du côté de pleinchamp.com : Anticipation, par Adèle Magnard

Et voici qu’en pleine crise sanitaire, le spectre d’une nouvelle sécheresse vient hanter les esprits. Après un hiver plutôt arrosé, la pluie se fait maintenant désirer, les sols s’assèchent et la pousse de l’herbe ralentit. Sans escompter sur les prévisions météo des prochains mois, la tendance au réchauffement climatique est bien réelle : l’hiver dernier a été le plus chaud jamais mesuré en France et des records de chaleur ont déjà été établis début avril.

Après plusieurs campagnes fourragères déficitaires et une sole de céréales à paille diminuée cette année, une vigilance accrue va être nécessaire concernant nos ressources fourragères. D’autant qu’au sortir du confinement, le transport de paille ne sera pas la priorité face au redémarrage de l’économie.

Comme l’an dernier à la même date, la Coordination rurale a demandé au ministre de l’Agriculture des mesures d’anticipation, notamment la possib ilité de faucher les jachères, si possible avant que celles-ci ne perdent leur valeur nutritionnelle. L’an dernier, la fauche n’avait été autorisée que début juillet. « Trop tard », avaient estimé certains éleveurs. Souhaitons que les années se suivent mais ne se ressemblent pas.
Voir pleinchamp.com


Du côté d’André Heitz

> Consternant ! L'eau, la vitamine B12 et M. Hugo Clément

> Une nouvelle technique pourrait aider à protéger les oranges contre le verdissement des agrumes

> Covid-19 : « It's the glyphosate, stupid » !

> Covid-19, hydroxychloroquine et IHU Méditerranée Infection, médias, etc. : le grand n'importe quoi continuev

> Covid-19 : le naufrage de M. Luc Montagnier et de certains médias... une chance

> Covid-19, épandages agricoles, association Respire, Conseil d'État, les Coquelicots... et le Monde

> La technologie favorise la durabilité dans une ferme familiale brésilienne

> M. Matthieu Orphelin nous prend-il pour des poires ?

> « La parole scientifique au temps du coronavirus » de M. Marcel Kuntz

> L214 : pour qui et quoi roulent-ils ?

> « Agriculture Biologique vs OGM : six a priori récurrents d’un débat idéologique » de Mme Agnès Ricroch sur European Scientist

> M. Sylvestre Huet répond à une tribune : « La science contre la planète ? L’erreur majeure »

> Incroyable : l'obscurantisme s'infiltre dans les temples des Lumières de Lausanne !


Du côté du ministère de l’Agriculture

> La Commission européenne prend des mesures d’urgence pour soutenir les filières agricoles et agroalimentaires

> G20 : Didier Guillaume souligne la nécessité de politiques ambitieuses pour assurer la sécurité alimentaire mondiale

> COVID-19 : un accompagnement financier spécifique et urgent des centres équestres recevant du public et des poneys clubs

> Concours 2020 d’entrée dans les écoles nationales agronomiques, vétérinaires et de paysage


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Du côté de la Fnsea

> Le Fil Agricole [Covid-19] du 13 avril

> Face aux aléas climatiques, une souplesse règlementaire est nécessaire !

Le COVID-19 requiert l’engagement de tous pour lutter contre la propagation du virus. Les agriculteurs, endeuxième ligne dans cette mobilisation générale, assurent la mission essentielle de nourrir les populations. Cependant, ils font face à des épisodes climatiques extrêmes qui mettent en péril leur travail et nécessitent des mesures urgentes.

Des intempéries s’enchaînent depuis plusieurs mois dans les différentes régions de France :

- Des pluies de l’automne et de l’hiver qui ont empêché les semis ;
- Une sécheresse qui sévit depuis le début de l’année dans les Hauts-de-France, le Grand- Est, la Bourgogne-Franche-Comté, le Massif central, en AuRA, en Pays-de-la-Loire, le Centre, la Normandie, l’Île-de-France et qui s’ajoute aux sécheresses des années précédentes. Les stocks de fourrage sont déjà faibles, et la situation risque d’empirer, faisant peser une menace sérieuse sur les disponibilités pour l’alimentation des animaux ;
- Des épisodes de gel et de grêle en mars et avril qui ont touché la viticulture, l’arboriculture et les grandes cultures ;
- Des pluies diluviennes qui s’abattent depuis quelques
Ce constat alarmant nécessite la mise en œuvre de mesures d’urgence pour permettre à l’ensemble des agriculteurs d’assurer la continuité de la production. Au premier rang de ces mesures figurent les flexibilités qui s’imposent sur la réglementation PAC à savoir :

- La possibilité d’utiliser les jachères et bandes enherbées déclarées en SIE pour l’alimentation des animaux ;
- La possibilité de déroger à la mesure de diversification des assolements lorsque les semis des cultures de printemps, n’ont pu être réalisés, le maïs restant le seul recours pour ne pas laisser les terres sans production ;
- Permettre aux agriculteurs d’obtenir la totalité de leur DPB et de leur paiement vert, lorsqu‘ils ont étéconfrontés à des aléas qui ne leur ont pas permis de respecter certaines règles.
Aujourd’hui confronté à des cas de force majeur, le secteur agricole attend des réponses immédiates.

De façon plus structurelle, la succession des aléas climatiques et leur survenance toujours plus rapprochée impose que nous mettions en œuvre les décisions pour améliorer la résilience de la production agricole française. Unepolitique de prévention, de sensibilisation et d’articulation des outils de gestion des risques, une ambition réelle enmatière de stockage d’eau et d’irrigation, ou encore l’innovation qui accroit la performance économique et environnementale, sont autant de chantiers qui doivent aboutir et rapidement. C’est impératif pour conserver un potentiel de production permettant de conserver une indépendance agricole dans notre pays.


Du côté de la Fnsea (suite)

> Mesures de gestion des marchés : La Commission européenne franchit un premier pas important… Mais les moyens financiers devront suivre !

Face aux déséquilibres de marché qui se forment dans les différentes productions agricoles, la FNSEA et JA ont demandé, depuis le début de la crise, à la Commission européenne d’intervenir. Nous avons enfin été entendus !

La Commission met ainsi sur la table plusieurs mesures que nous appelions de nos vœux : aide austockage privé, dérogation au droit de la concurrence pour la gestion des volumes au travers l’article 222 de l’OCM et flexibilité dans les programmes sectoriels.

Pour autant, certains secteurs non ciblés par la Commission européenne méritent encore une attention particulière de l’UE : aucune filière ne peut être mise de côté, il en va de leur pérennité. De même, la FNSEA et JA espèrent aussi des réponses sur la demande de mesures liées aux importations qui risquentd’aggraver les déséquilibres de marchés.

Enfin, nous attendons des précisions capitales sur les montants engagés par la Commission : déclencher les outils est une étape majeure, mais il faut un budget additionnel à la hauteur dans le temps. Nous demandons également de vrais outils d’anticipation et de gestion de crise qui permettront d’avoir une meilleure réactivité dans l’accompagnement des exploitations. L’efficacité des mesures dépendra des montants réellement nouveaux qui seront alloués.

La crise sanitaire du Covid19 est dramatique : ne la laissons pas déboucher sur une crise agricole ! Déjà, lesdéséquilibres ne sont pas négligeables pour certaines productions. La mobilisation doit être pleine et entière. La Commission et les 27 Etats membres en semblent maintenant pleinement conscients, l’ampleur desréponses apportées doit donc être à la hauteur !

 


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

ÂGE (L') : Je n'ai plus l'âge de mourir jeune.
Jules RENARD

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Opinions et curiosités du web


Me voici... votre cher virus (blague pas très correcte vis-à-vis de nos responsables politiques mais amusante… de toute façon, nos gouvernants ont toujours tort, comme le sélectionneur de l’équipe de France de foot ! - GW)

Je me présente, mon surnom est Corona virus, mais mon vrai nom est Covid 19, je vous expliquerai à la fin, pourquoi je porte ce nom-là.

Je suis né en Chine, je ne sais pas trop comment, je le saurai plus tard.

J’ai commencé à imposer mon autorité dans mon pays d’origine.

Pour tout vous dire, je suis destiné à prouver à l’humain, qui se croyait l’être vivant le plus intelligent de la planète, qu’il s’était trompé de route pour tracer sa vie.

Á moi seul, j’ai prouvé que l’Europe n’existait pas, Bruxelles n’a pas réagi à mes attaques, seuls les états se sont affolés. J’ai prouvé aussi que le Royaume-Uni n’avait pas de frontières, je suis arrivé là-bas sans encombre.

Je suis en France pour mettre les pendules à l’heure.

Á moi seul j’ai fait arrêter les ventilateurs à paroles que sont Marlène Schiappa et Aurore Bergé, je ferai autant de dégâts chez les femmes que chez les hommes, chez les riches, que chez les pauvres.

À moi seul, je fais fermer les lieux de cultes, de toutes les religions, je fais mettre du gel hydro alcoolique sur les mains aussi des musulmans.

À moi seul, je fais mettre les professions de santé à l’honneur, alors que récemment, les flics les tabassaient, les gazaient, les éborgnaient. Attention...

À moi seul, j’aide à soutenir les agriculteurs, les routiers, pris auparavant pour des moins que rien.

À moi seul, je règle le problème des retraites, en soumettant les insoumis, mettant fin aux débats interminables, je m’attaque aux plus anciens.

À moi seul, je mets fin au réchauffement climatique, les avions ne volent plus, les voitures ne sortent plus, je suis plus fort que le Forum de Davos qui réunit 1500 jets privés, sans résultat.

À moi seul, je fais fermer les écoles, pour que les familles profitent de leurs jeunes enfants.

À moi seul, je veux prouver qu’une poignée de députés suffit pour tenter de régler les problèmes.

À moi seul, j’ai fait baisser, d’un coup de baguette magique le cour du pétrole, quand je reviendrai, je m’occuperai des taxes sur les carburants.

Á moi seul, j’ai fait perdre plusieurs milliards aux plus riches, la bourse s’étant écroulée, l’argent n’étant pas fictif.

Á moi seul, j’ai prouvé que les médicaments n’étaient plus fabriqués en France, mais dans mon pays de naissance.

Á moi seul, pourtant invisible, j’ai fait débloquer par l’état 45 milliards en quelques instants, alors que les gilets jaunes ont lutté plus d’un an pour obtenir, soi-disant 17 milliards.

Á moi seul, j’ai réussi à retisser des liens entre les individus, qui s’appellent juste comme pour les vœux.

J’allais oublier, j’ai un complice, le Président Hollande, je l’ai autorisé à faire le prélèvement à la source, pour que les politiques continuent à jouer avec le pognon en échange il a fermé plus de 15 000 lits d’hôpitaux pour que mon action soit plus efficace.

Je vais vous expliquer pourquoi je m’appelle Covid 19 : les lettres C, O, V, I se retrouvent dans le mot civilisation, le D indiquant départ et 19 mon année de naissance.

En résumé, j’ai ouvert, en 2019, l’ère d’une nouvelle civilisation, vous comprenez maintenant pourquoi les gens s’appellent comme pour les vœux.

J’espère que cette fois l’être humain a bien compris, sinon, j’ai bien un petit copain, qui viendra vous confiner définitivement.

Bon courage à tous !
Signalé par Fernand SÉVERIN
Mél : fernandseverin(a)yahoo.fr


Ma remarque (GW) : le virus a oublié qu’il aura causé un surnatalité extraordinaire en hiver 2021 ! Les maternités vont être surchargées.


TV Agri : actualités agricoles. Toute les actualités de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles


Pensée du jour sur l’épidémie

Or, l’ampleur et l’impact des épidémies ont, en réalité, considérablement diminué. Malgré des virus abominables comme le VIH ou Ebola, jamais depuis l’Age de pierre les épidémies n’ont causé aussi peu de morts, en proportion, qu’au XXe siècle. C’est parce que la meilleure défense dont les hommes disposent contre les pathogènes, ce n’est pas l’isolement, c’est l’information. L’humanité a remporté la guerre contre les pathogènes parce que, dans la course aux armements à laquelle se livrent les pathogènes et les médecins, les pathogènes comptent sur des mutations aveugles et les médecins sur des analyses de données scientifiques.
Yuval Noah HARARI (Historien)
Voir lemonde.fr


Autre pensée du jour sur l’épidémie

Dans ce moment de crise, le combat décisif se joue au sein même de l’humanité. Si cette épidémie conduit à une désunion et à une méfiance accrues entre les hommes, ce sera la plus grande victoire du virus. A l’inverse, si l’épidémie entraîne une coopération mondiale plus étroite, alors nous n’aurons pas seulement vaincu le coronavirus, mais tous les pathogènes à venir.
Yuval Noah HARARI (Historien)
Voir lemonde.fr

Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

 


A thought for today

Life is short, short, brother!
Ain't it the truth?
And there is no other
Ain't it the truth?
You gotta rock that rainbow while you still got your youth!
Yip HARBURG, lyricist (1896-1981)


A second thought for today

Everybody's talking about people breaking into houses but there are more people in the world who want to break out of houses.
Thornton WILDER, writer (1897-1975)


A third thought for today

When we try to pick out anything by itself, we find it hitched to everything else in the universe.
John MUIR, naturalist, explorer, and writer (1838-1914)

Ageekculture : un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information


Pour son discours méthodologique, le cas de Raoult est bien plus grave que celui de Séralini…

Je n’aurais pas cru écrire ça un jour, mais Séralini a au moins le mérite de ne pas nier les règles les plus basiques de la méthodologie scientifique : il essaie de faire croire qu’il s’y conforme.

Raoult, lui, tente ouvertement de la discréditer. Il s’inscrit dans la lignée des délires de Stéphane Foucart, pour qui « En matière de santé publique, la rigueur scientifique est une posture dangereuse », en lui donnant la crédibilité scientifique apparente que Foucart n’a pas. Ses appuis politiques, de Macron a la droite locale, montre qu’il a séduit des tendances politiques qui jusqu’à présent étaient moins sensibles à la désinformation pseudoscientifique que la gauche et l’écologisme. C’est très inquiétant pour la défense d’une politique basée sur les preuves scientifiques.

Un bon article à son sujet : Le populisme sanitaire contre la science, par Olivier Galland, Sociologue, directeur de recherche au CNRS

Contact : Philippe STOOP
Mél : philippe.stoop(a)wanadoo.fr

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Un reçu vous sera adressé
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L'AFIA est membre fondateur de l'European Federation for Information Technology in Agriculture


Une exception à réinventer, un édito d'Henri Gibier

À Paris, le premier réflexe a été d'en rire, de se gausser de la maladresse de communication du ministre de l'Agriculture, Didier Guillaume, quand il lança son appel aux Français confinés à venir travailler dans les champs, pour se substituer à une main-d’œuvre saisonnière dispersée par la crise sanitaire. Trois semaines plus tard, 200 000 personnes ont posé leur candidature auprès de la FNSEA, un peu débordée par le succès...
Voir lesechos.fr


Du côté de EBBH

 


Covid-19 : Entretien avec Jean-Luc Angot, expert international de questions vétérinaires

Nous inaugurons durant cette période de confinement une série d’interviews diffusées en podcasts de grands témoins pour nous éclairer sur la crise...
Voir idele.fr

Réseau Numérique et Agriculture ACTA


Covid-19, un effet nicotine positif ?

il faut s’interroger sur le rôle de facteurs de confusion multiples qui compliquent l’étude des données, d’autant qu’aucune analyse multivariée n’a été utilisée pour le faire. Il s’agit notamment de l’âge, du statut socio-économique, de la définition et de l’importance du tabagisme etc. En outre, la prise en compte des habitudes tabagiques dans le contexte des formes sévères de la maladie ne saurait prétendre être exacte.

Dans ces conditions, il convient d’attendre d’autres études plus précises et plus complètes avant de se perdre en conjectures. Le tabagisme chronique protégeant des infections pulmonaires virales ? Ce serait une première, car c’est habituellement le contraire qui est observé, mais il y a un début à tout. En attendant d’autres preuves en faveur de cette position théorique, le wait and see est de rigueur…
Voir jim.fr


Good old days (?????): Catherine La Rose by Charles Sprague Pearce (1851-1914)


 

 


EPA OKs continued use of tuberculosis drugs to fight citrus disease in California, Florida

The EPA says that widespread application of the drug streptomycin, as well as a similar antibiotic it has approved called oxytetracycline, is necessary to fight citrus greening disease, which has decimated much of Florida's orange and grapefruit yield and appeared in Southern California in 2008.
See desertsun.com


God, Science and COVID-19 by Gabriel Waksman

The Covid-19 pandemic is a tragedy of epic proportions. As the situation appears to go from bad to worse, many, including myself, have started receiving video links, poems, and other pieces of writing, all religious in nature, from friends, neighbours or prayer groups. All these were very well intended. They saw distress and thought that…
See europeanscientist.com

Revue de l'Académie
d'Agriculture de
France


Pour m'énerver vraiment ça m'énerve !
(Contact : Georges LARROQUE ; Mél : larroque.georges(a)orange.fr)

Alors regarde de gauche à droite :
la barre du milieu existe-t-elle ?


 

Combien de barres ici : 7 en bas ou 10 en haut ?

 

La porte est ouverte vers l'intérieur ou l'extérieur ?
 


Rondes ou carrées les colonnes ?
Regardez le haut de la colonne puis le bas




Combien de barres,
en comptant à gauche puis à droite ?




Est-ce une moulure ?



Drôle de montage




Encore une barre du
milieu qui disparait…




Deux ou trois barres ?
Voir d’en haut ou voir d’en bas ?




Et pour finir, un peu de psy

Vous êtes-vous déjà demandé
comment fonctionne un cerveau féminin ?

C'est pas compliqué, ça fonctionne comme cela :



Chacune des petites boules bleues représente une pensée concernant une chose à faire,
une décision à prendre ou un problème à résoudre.

Et l'homme me direz-vous ?


L'homme, lui, n'a que 2 boules à gérer,
mais elles occupent toutes ses pensées…
Nous n'en ferons pas un schéma ...

 

The Island (old joke)

An Englishman, Irishman and Scotsman are stranded on an island when a magic lamp washes up on the beach.

The Englishman picks it up and rubs it.

Whoosh a genie appears.

“I will each grant you a wish,” the genie says.

The Englishman says, “I wish I was back home in the pub with a pint of beer and watching football.”

And, whoosh, the Englishman vanishes.

The Scotsman says, “I wish I was back home in the pub with a dram of whisky, watching the Highland games.”

And, whoosh, the Scotsman vanishes.

The Irishman looks at the genie and says, “Christ, it's lonely here now. I wish the lads were back”.


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