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Association
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d'Informatique en Agriculture


Du côté du web et de l'informatique agricole 20 - 2021
(parution hebdomadaire depuis janvier 1998)

Châtenay-Malabry, 6 mai 2021



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Do not miss the Virus Jokes in English and French

Blagues de janvier – février 2021
Coronavirus 1 
Coronavirus 3
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Et encore... 
Et celles de mars-avril 2021 Vraie nouveauté !
Coronavirus 2
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Virus et autres sujets
Virus 2
Virus 4
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Histoires drôles de Georges Larroque
Les dernières histoires de Jean Pinon
Et encore
Tout sur le vaccin


Conseil de lecture

Le livre de l'Académie d'agriculture sur "Covid-19 et agriculture : Une opportunité pour la transition agricole et alimentaire ?" est intéressant avec des regards très différents des uns des autres sur la crise dont nous ne sommes pas encore sortis. A noter (d'où le leger parti pris...) que j'ai contribué à deux chapitres :
- Agrofournitures / Productions végétales dans la crise de la Covid-19
- Agriculture et numérique, grand basculement entre inelligence et résilience
Contact : Guy Waksman
Mél : guy.waksman(a)laposte.net


C'était avant l'informatique...

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Paludisme : un candidat vaccin d’Oxford fait renaître l’espoir, par Jean-Yves Dana

Publiée en amont de la journée mondiale contre le paludisme, dimanche 25 avril, une étude du magazine scientifique « The Lancet » fait état de résultats prometteurs pour un vaccin mis au point par l’université d’Oxford, avec l’américain Novavax.
Voir la-croix.com


Time laps de Google Earth évolue : 40 ans d’évolution du monde (Bruno Tisseyre)

Des vidéos ont déjà été postées sur youtube pour avoir un aperçu du rendu. Certaines vidéos sont d’ailleurs impressionnantes en particulier l’évolution de certaines régions du Brésil en bordure de la forêt amazonienne ou l’évolution de la mer d’Aral.
Voir agrotic.org


Sur l'avenir du COMPA, conservatoire du machinisme agricole à Chartres

Concernant l'avenir du COMPA, tu n'as publié la semaine dernière qu'un son de cloche, celui du département, pas celui des professionnels qui défendent l'esprit et le contenu du Compa.
De l'Académie, Bertrand Hervieu, René Autellet et moi, nous nous bagarrons pour maintenir le Compa et son bel espace de visite dans Chartres ( pas nécessairement les réserves, qui sont oui à regrouper ).
Ci joint la récente lettre ouverte aux ministres, que tu peux diffuser.
Contact : Pierre DEL PORTO
Mél : pierre.delporto(a)gmail.com


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La croissance du business de la décroissance

La croissance des budgets des organisations franchisées de l'écologie politique, entre 2007 et 2019, suivant leur volume financier, dans l'ordre : budget inférieur à 1 million d'euros, entre 1 et 5 millions, et supérieur à 5 millions (source écolopedia.fr).

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Voir marcel-kuntz-ogm.fr


« Si les écologistes veulent aider les paysans, qu’ils leur fichent la paix ! » Par Jean-Paul Pelras

« Les agriculteurs, dans leur grande majorité, ne supportent plus les leçons qui leur sont assénées par les mouvements environnementalistes », souligne l’auteur, spécialiste du monde agricole.
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« Nourrir 67 millions de Français ? Un challenge que l’écologie politicienne, moins rompue au maniement des outils qu’à celui des idées, aura du mal à remporter »

La question, puisqu’elle est politique, n’est pas de savoir pourquoi les écologistes veulent imposer leurs dogmes aux agriculteurs, mais plutôt pourquoi les agriculteurs, dans leur grande majorité, ne supportent plus les leçons qui leur sont assénées par les mouvements environnementalistes.

Plutôt que de rédiger des tribunes matinées de compassion en prenant à témoin le contribuable-électeur et en réclamant plus de contraintes, que les écologistes laissent travailler les paysans. Ou bien, d’ici quelques années, le criquet importé, le nugget de fourmi lyophilisé et la tartine de tofu congelé auront remplacé ces productions agricoles locales traditionnelles qui, jour après jour, garantissent sur le plan quantitatif et qualitatif une autonomie alimentaire à 67 millions de Français.

Un challenge que l’écologie politicienne, beaucoup moins rompue au maniement des outils qu’à celui des idées, aura certainement beaucoup de mal à remporter.
Voir lopinion.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Le bucheron de Vincent Van Gogh, d'après JF Millet, Saint-Rémy: February 1890 (Amsterdam: Van Gogh Museum)

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La fourmi de Robert Desnos (1900-1945) in Chantefables

Une fourmi de dix-huit mètres
avec un chapeau sur la tête
Ça n'existe pas, ça n'existe pas

Une fourmi traînant un char
plein de pingouins et de canards
Ça n'existe pas, ça n'existe pas

Une fourmi parlant français
parlant latin et javanais
Ça n'existe pas, ça n'existe pas

Eh ! pourquoi pas ?


Robert Desnos, écrivain et poète, est aussi un des pionniers de la « réclame » dans les années trente. Durant la guerre, il s’engage dans la Résistance : grâce à son métier, il collecte et transmet des renseignements. Il est capturé en 1943, déporté au camp de concentration de Theresienstadt (en Tchéquie), libéré par les Soviétiques en janvier 1945.
Très malade, il meurt quelques jours après sa libération.

Certains de ses poèmes, publiés pendant la guerre, sont de nos jours encore récités par les enfants (le recueil « Chantefleurs et chantefables »). Pour autant, il y cachait parfois des messages cryptés.

La fourmi de 18 mètres en est un exemple. Il s’agit d’une allégorie des convois de déportés. Les locomotives, noires comme des fourmis mesuraient 18 mètres et étaient surmontées d’un gros chapeau-fumée ; les pingouins et les canards sont les déportés, épuisés, malhabiles à se déplacer. La fourmi parlant latin (la langue de la domination), français (les pétainistes), et javanais (aussi incompréhensible que l’allemand) sont les occupants. Et le dialogue « ça n’existe pas, eh pourquoi pas ? » reflète les questions des Français qui se demandaient où allaient tous ces trains, incrédules aux réponses qui circulaient déjà…

Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg(a)laposte.net
 

Détail du tableau de Salvador Dali "La Persistance de la mémoire" (1931), huile sur toile connue sous le titre "Les Montres molles"



Dictionnaire amoureux des fourmis,
par Alain Lenoir Professeur émérite à l'IRBI, Institut de Recherche sur la Biologie de l'Insecte, CNRS et Université de Tours
Voir dictionnaire-amoureux-des-fourmis.fr

Thérésine, 1943, par Leo Haas (Thérésin, nom tchèque de Theresienstadt)

 


Ricet Barrier : La servante du château
Chanson pas vraiment récente mais avec le fantastique accent qui va bien


Libres expressions (jouons encore avec les mots !)

Relevant de blessure, le jockey dut cravacher dur pour se remettre en selle.
Création de Étienne VICARIOT
Mél : etienne.vicariot(a)orange.fr


En 1899, 1900, 1901 et 1910, un groupe d'artistes, dont notamment Jean-Marc Côté, a réalisé une série de cartes et de dessins d'anticipation sur le thème de l'an 2000 (Bibliothèque Nationale de France).


Un orchestre sans musicien / A Well-Trained Orchestra
In 1899, 1900, 1901 and 1910, a group of artists, including notably Jean-Marc Côté, produced a series of anticipatory drawings on the theme of the year 2000 (BNF).


Gazette du 22 avril et ses statistiques vaseuses (mais amusante ?) sur le danger très relatif du vaccin Astra-Zeneca

Je lis régulièrement et avec beaucoup de plaisir votre gazette, aussi bien pour sa qualité d'informations que pour son humour.

Sans être toujours d'accord avec vos prises de position, je vous rejoins complètement concernant le militantisme et la science, pour le dire simplement, "Greta a tué Einstein".

Cependant, je souhaite vous faire un commentaire concernant le texte sur le vaccin Astra Zeneca, publié dans la dernière Gazette. En effet, il me semble que vous vous êtes plus inspiré de Greta que d'Albert. J'explique :

Tout d'abord, pour que les choses soient claires, je suis entièrement d'accord que les bénéfices du vaccin l'emportent largement sur les risques. Je ne conteste pas le fond du texte, mais la méthode employée.

Déjà, parler d'incidents quand il s'agit des décès ne me semble pas le terme le plus approprié, c'est une façon de minimiser le problème, plus digne de Greta que d'Albert.

Les sources des données ne sont pas citées, ce qui ne s'inscrit pas non plus dans une démarche scientifique. Si les données concernant la mortalité suite à la prise du vaccin Astra Zeneca étaient largement publiées dans la presse récemment (même si ce n'était pas toujours d'une manière très claire), les données sur les causes de la mort m'interrogent davantage, et je trouve certaines assez farfelues (je vais y revenir).

Mais avant tout, comparer les causes de la mortalité avec les décès suite à l'injection d'un vaccin n'a aucun sens. Les causes de la mortalité doivent d'abord être contextualisées d'un point de vue spatio-temporel (les décès en France en 2019, par exemple), car il est sûr que dans l'absolu la probabilité de mourir est de 100% ! Les causes de mortalité sont relatives aux personnes décédées, et non aux personnes vivantes. Le risque de mourir suite (et à cause de) une vaccination est relative aux personnes vivantes, et plus particulièrement celles qui se font vacciner.

Il serait plus judicieux de comparer le risque de mourir de thrombose provoquée par le vaccin Astra Zeneca aux risques de mourir du Covid-19. Il y a eu environ 100 000 morts du Covid-19 en France depuis le début de l'épidémie, donc approximativement un an (données largement diffusées dans la presse, mais pour bon ordre, je fournis une référence officielle.

La France compte 67 millions d'habitants. Donc, le risque de mourir du Covid-19 était 1/670 pour un Français au cours des douze derniers mois. En retenant votre chiffre, le risque de mourir du vaccin Astra Zeneca est pratiquement mille fois inférieur ! Bien sûr, dans un cas il s'agit d'un risque (passée) sur une année, dans l'autre d'un risque (futur) sur quelques jours/semaines, etc., etc., mais la comparaison me semble beaucoup plus pertinente que de regarder les causes de mortalité.

À ce propos, un article intéressant était publié dans "Le Monde" tout récemment.

Pour revenir sur les chiffres des causes de mortalité, je vais m'attarder un peu sur les accidents d'avion.

Avec l'aide de notre Google bien aimé, j'ai trouvé qu'au cours de vingt dernières années le nombre de morts dans les accidents d'avion ne dépassait pas en moyenne mille par an (en fait, il est bien plus bas au cours de quelques dernières années). Si l'accident d'avion cause une mort sur 5862, cela voudrait dire que sur une année il y a au total 5 862 000 morts dans le monde. Or, il y en a mille fois plus !

D'autre part, pour comparer avec le vaccin Astra Zeneca, il faudrait considérer le nombre de morts, donc disons mille, par rapport au nombre de passagers transportés, c'est-à-dire 4,5 milliards. Donc le risque de mourir quand on prend l'avion est de 1 pour 4,5 millions, largement inférieur au risque de mourir de conséquences de la vaccination par Astra Zeneca.

Un lecteur qui souhaite rester anonyme


Share of global plastic waste emitted to the ocean, 2019 (per continent)
See ourworldindata.org

   


Les Masterclass d’Hervé This au Cordon bleu sur les chemins de la cuisine moléculaire, en 6 parties
Voir Science et art culinaire 1/6 ; 2/6 ; 3/6 ; 4/6 , 5/6 , 6/6

Quel avenir pour l’agriculture et l’alimentation bio ? Par Gil Kressmann

L’agriculture dite « biologique » est née au début du siècle dernier. Plus qu’un modèle de production, elle prônait le retour à la nature.

Pendant longtemps, elle n’a intéressé qu’un nombre très restreint d’agriculteurs et de consommateurs. Il faut attendre 1980 pour que l’État inscrive officiellement l’agriculture biologique dans la loi d’orientation agricole. Puis la succession de crises sanitaires dans les années 1990 (vache folle, scandale des lasagnes au cheval, œufs contaminés…) opère un changement profond au sein de l’opinion publique vis-à-vis de l’alimentation. Les consommateurs n’ont plus peur de manquer, mais s’inquiètent dorénavant de ce qu’ils mangent. Les critiques d’une agriculture « productiviste » prennent de l’ampleur. Sont-elles pour autant justifiées ? En toute hypothèse, ces critiques ont sans doute su convertir un nombre croissant de consommateurs aux bienfaits avancés par les promoteurs de l’agriculture et de l’alimentation biologiques.

À présent, le bio est devenu un véritable marché de masse. Cette dynamique est en train de transformer en profondeur l’écosystème de ce secteur d’activité. L’environnement concurrentiel des filières bio est en grande mutation, avec l’émergence de nouveaux acteurs. Le monde agricole ne reste pas sans réagir et s’engage dans la transition écologique en prenant de multiples initiatives. Encouragée à s’industrialiser et à s’internationaliser au risque de mettre en péril ses fondamentaux, la filière  bio est néanmoins contrainte de se remettre en question.

Voir fondapol.org


L’histoire rocambolesque d’une carte de géographie gravée à l’âge du bronze dans le Finistère, Par Pierre Barthélémy

Une lourde dalle, découverte en 1900 dans un tumulus finistérien, perdue puis retrouvée, comporte des gravures vieilles de 4 000 ans que des chercheurs interprètent comme des éléments de la géographie environnante.
Voir lemonde.fr


AFIS

La transition agroécologique – Tome I - Tome II - Quelles perspectives en France et ailleurs dans le monde ?

Le déploiement en France de l’agroécologie est l’une de priorités de la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt de 2014. Les membres de l’Académie d’Agriculture de France et de nombreux collègues s’appuyant sur les premières réflexions d’un groupe de travail se sont interrogés sur les conditions et les solutions pour réussir ce déploiement.

Cet ouvrage est articulé en deux tomes. Le premier dresse un état des lieux du concept de l’agroécologie et de sa situation actuelle dans différentes parties du monde tandis que le second volume s’attachera à définir les perspectives et les changements à promouvoir pour réaliser une transition agroécologique. Après un rapide tour d’horizon sur le développement de l’agroécologie dans d’autres continents, les réflexions et les propositions rassemblées dans cet ouvrage sont fondées sur la contribution des sciences agronomiques, écologiques, économiques et sociales ainsi que sur des analyses et témoignages issus du terrain.

Elles s’adressent aux enseignants, aux étudiants, aux agents de développement, aux professionnels comme aux décideurs politiques, soucieux de la mise en œuvre d’une transition agroécologique mieux à même de faire face au changement climatique, à l’érosion de la biodiversité, ainsi qu’aux attentes des consommateurs pour une alimentation saine et diversifiée.

Voir pressesdesmines.com




J’ai découvert la musique d’orchestre avec Richard Fournier, chef d’orchestre et excellent altiste (une chance pour moi et un vrai bonheur !) qui me recommande d’écouter la Philharmonie de Berlin dirigée par l’exceptionnel Kirill Petrenko qui donnent des extraits de 3 mn environ sur YouTube

> Scriabine poème de l’extase

> Strauss. Mort et transfiguration (concert en extérieur sur l’île aux musées à Berlin tout près du conservatoire)

> Rachmaninov danses

> Mozart symphonie 35

L'agriculture bio et l’environnement, par Bernard Le Buanec

L’un des arguments le plus souvent mobilisé par les adeptes de l’agriculture biologique pour justifier leur recours aux aliments issus de ce mode de production est son impact sur l’environnement, censé être meilleur que celui de l’agriculture dite conventionnelle. Alors que le marché du bio est en forte expansion et en sachant qu’aucun des critères de la certification bio n’a trait directement à des caractéristiques environnementales, il convient de s’interroger sur le bien-fondé de cet argument, et ce afin que les citoyens puissent choisir en connaissance de cause.

Cette étude s’appuie sur la recherche scientifique afin d’analyser l’impact différencié des agricultures biologique et conventionnelle sur divers compartiments de l’environnement, à savoir : l’eau, l’air, la fertilité des sols, la biodiversité sauvage et l’utilisation de l’espace terrestre. Les principaux indicateurs utilisés seront les teneurs en différents éléments « polluants » de l’eau et de l’air, l’impact sur la production de gaz à effet de serre, la teneur des sols en matière organique et en éléments fertilisant minéraux, l’abondance de différentes espèces formant la biodiversité et, enfin,  les surfaces nécessaires pour une production agricole suffisante.

Voir fondapol.org


Coup de projecteur sur l’hydrogène !

Christelle Rouillé, directrice générale d’Hynamics, intervient dans un reportage de « L’info du vrai » sur Canal+, consacré à la production d’hydrogène décarboné. Elle y explique le fonctionnement d'une station de production d'hydrogène au sein d'une plateforme de la R&D d'EDF qui permet de simuler les différents types de production d'électricité nécessaire à l'électrolyseur.
Voir promotion de l’hydrogène par EDF

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Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

SOIXANTE CINQ (ans) : L'âge à partir duquel on se répète toujours, excepté en amour Gaston Galliffet.

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Informatique et numérique agricole

Du côté des gazettes afia et efita

>>> Statistiques de l’édition du 29 avril 2021 de cette gazette afia

>>> Last issue of the Efita Newsletter nb 983 dated April 26, 2021

>>> Last available statistics for the efita newsletter


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Peasant Watering Her Cow, ca. 1863, by Jean-François Millet (French, 1814–1875), Museum of Fine Arts, Boston

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Définition, utilisation et impact des outils d’aide à la décision en agriculture

Avec le développement, ces dernières décennies, des systèmes informatiques, d’Internet et plus récemment des objets connectés, l’aide à la décision a pris le virage du numérique. Les systèmes d’information décisionnels agricoles se développent de plus en plus rapidement et intègrent de nouvelles dimensions : collaboratif, contextualisation et géolocalisation, interactivité, visualisation multimédia, big data, intelligence artificielle... Comment sont-ils conçus ? Comment sont-ils déployés auprès des agriculteurs et portés par les entreprises numériques ou les instituts techniques ? En quoi leur utilisation transforme le travail des conseillers qui les utilisent et change la nature de la relation qu’ils entretiennent aux agriculteurs ?

Intervenants :
Émmanuelle GOURDAIN, Arvalis-institut du végétal, Philippe STOOP, société ITK, membre de l’Académie d’agriculture, Soazig Di BIANCO, École Supérieure d’Agricultures d’Angers (ESA).
Voir captation du webinaire du 13 avril 2021 Acta-Agreenium - durée : 1 heure


Share of global plastic waste emitted to the ocean, 2019
See ourworldindata.org

 

Un OAD pour prévenir le risque piétin échaudage dans les parcelles de céréales à paille

La société Certis annonce l’arrivée d’un nouvel outil d’aide à la décision pour prévenir le risque de piétin échaudage. Baptisé "BonAtitude", il se télécharge gratuitement sur le site certieurope.fr sous forme de web app.

L’institut Arvalis rappelle que, dans les situations les plus graves, les pertes de rendement peuvent aller jusqu’à 50 %. Un retour trop fréquent des espèces sensibles, notamment blé sur blé, est une situation à risque. Par ailleurs, Arvalis précise que les hivers doux et humides suivis de printemps pluvieux et de périodes de sécheresse pendant le remplissage du grain accentuent les symptômes et les dégâts, tout comme les semis précoces.
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Voir cultivar.fr


API-Agro : Rendez vos offres de données visibles même en dehors de la plateforme

Vous avez publié des offres de données sur la plateforme API-Agro et vous souhaitez le faire savoir à l’audience la plus large possible ? C’est désormais possible via un lien de partage. Copiez-le et diffusez-le sur vos réseaux sociaux, dans vos newsletters ou encore sur votre site Web. L’objectif ? Améliorer la visibilité de vos offres de données.
Voir api-agro.eu


Share of mismanaged plastic waste, 2019
See ourworldindata.org

 

La Blockchain : vers un rétablissement de la confiance des agriculteurs ?

Actuellement, un agriculteur passe par des intermédiaires (société A et société B) pour gérer ses données et les exploiter. Un consentement est requis pour que ces différents acteurs puissent accéder aux données. Ceci est réalisé pour les données personnelles, en lien avec le RGPD, mais Multipass vise à généraliser ce schéma pour l’ensemble des données agricoles et assurer une transparence. En tant qu’outil de gestion, il permet donc d’enregistrer les consentements et de les consulter de manière sécurisée. Mais il permet également d’auditer le système de gestion pour vérifier que les consentements renseignés sont bien pertinents.

A travers cet outil se forme donc un écosystème d’acteurs, comme représenté sur le schéma précédent. Des règles d’engagement régissent leur appartenance à l’écosystème, et un service d’identification sécurisé permet de garantir l’identité des acteurs pour assurer la validité des consentements.

Pour développer cet outil de gestion, la Blockchain se révèle être une technologie en tant qu’écosystème. Elle sera évaluée sur sa capacité de décentralisation de la confiance, en lien avec les éléments décrits précédemment sur la Blockchain. A terme, améliorer la confiance des producteurs pourra permettre de faire émerger de nouvelles connaissances et de nouveaux services. Étant donné que toutes les données pourront être exploitées et analysées dans une chaîne de confiance, cela évitera le risque de concentration de l’innovation, et permettra alors une innovation ouverte.
Voir agrotic.org


Meat@ppli – Une appli smartphone pour déterminer le gras de la viande bovine par analyse d’image

Le projet Meat@ppli a pour objet le développement d’une application smartphone permettant d’estimer en temps réel, la quantité de gras d’une pièce de viande bovine, à partir d’une photo réalisée avec un smartphone. Cet outil sera utilisable par tous les maillons de la filière : pour faire du phénotypage massif et sélectionner les animaux de demain, pour trier les carcasses en fonction des circuits commerciaux, pour guider le consommateur dans ses achats de viande…
Voir idele.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: La moisson de Charles-François Daubigny - Musée d'Orsay - Paris - France

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Dewulf : Une planteuse de pommes de terre autonome à l’étude, par Willy Deschamps

Dewulf et Agrointelli ont annoncé leur collaboration pour explorer ensemble les avantages des machines autonomes dans la culture de la pomme de terre. Un premier projet verra la combinaison de la plateforme autonome Robotti à la planteuse à godets à 4 rangs Miedema CP 42.
Les deux entreprises ont pour ambition de permettre aux producteurs de pommes de terre de bénéficier d'opérations automatisées pour la préparation du sol, la plantation et le soin des cultures pendant la saison grâce à une configuration automatisée légère.
Voir grostracteurspassion.com


Le 100 % pâturage est compatible avec le robot de traite

« La première clé de réussite pour faire pâturer un troupeau laitier avec un robot de traite, c'est la motivation de l'éleveur », affirme Thomas Huneau de la ferme expérimentale de Derval (44), où les 70 vaches laitières pâturent une vingtaine d'hectares tout en saturant une stalle de robot.
Voir agri-mutuel.com


Claas : Le premier site First Claas Used et First Claas Rental mis en place en France

Le groupe Savas a inauguré le premier site « First Claas Used » dédié à l’occasion premium et à la location courte durée.
Voir grostracteurspassion.com


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Peasants digging for potatoes, a donkey seen beyond by Jean-François Millet

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Les Sima Innovation Awards 2021, par Willie Deschamps

Malgré l'absence de Sima cette année, le jury des Sima Innovation Awards a dévoilé les lauréats de l’édition 2021.
Voir grostracteurspassion.com


Solutions numériques pour le machinisme agricole primées au SIMA 2021

AGDATAHUB : Agri-consent – Solution de gestion d’identité numérique pour les exploitations agricoles
Voir agdatahub.eu


AGROINTELLIGENT SL : Agroxcontrol – Solution digitale destinée à améliorer le suivi et la déclaration des épandages de lisier
Voir agrointelligent.com


AMAZONE : Cenius – TX Zone Finder – Dispositif qui permet d’établir des cartographies de sol en temps réel lors du travail du sol
Voir amazone.fr


AMAZONE : FERTISPOT – Séquenceur de précision pour la distribution de fertilisant
Voir amazone.fr


Devrions-nous manger bio ? par Léon Guéguen

S’appuyant sur les travaux de recherche et les faits ayant permis d’aboutir à un consensus scientifique international, cette étude déconstruit certains arguments sous-tendant la promotion de l’agriculture biologique.

En termes nutritionnels, il est admis que la valeur des aliments bio est relativement similaire à celle des aliments conventionnels et que les quelques différences relevées demeurent négligeables au sein du régime alimentaire global. Au niveau sanitaire, si des traces quantifiables de résidus de pesticides sont beaucoup plus souvent détectées dans les fruits, légumes et céréales conventionnels, mais sans conséquences sur la santé, les produits bio végétaux – non protégés – ou animaux – élevés en plein air – présentent plus de risques de présence de constituants naturels toxiques ou de contaminations chimiques ou microbiennes.

La traduction médiatique de récentes études épidémiologiques liant une plus faible incidence de cancers à une alimentation bio confond souvent association et relation causale. Ces résultats ne traduisent pas un effet bénéfique des seuls aliments bio mais de la meilleure hygiène de vie et du comportement alimentaire des « mangeurs bio ». L’argument « nutrition santé », le plus souvent avancé, ne devrait donc plus être revendiqué.

Enfin, il convient de souligner qu’une expansion de l’agriculture bio au-delà de 15% des surfaces cultivées n’est pas possible, notamment pour les grandes cultures, sans élevage de proximité pour fournir les engrais organiques indispensables. Une trop grande expansion, a fortiori le tout-bio, n’est pas non plus souhaitable pour pouvoir nourrir une population mondiale croissante : les rendements plus faibles nécessiteraient de plus grandes surfaces cultivées, non disponibles, et la hausse des prix associée rendrait les aliments plus difficilement accessibles au plus grand nombre.

Voir fondapol.org

FarmLEAP : Le CETA numérique – Ensemble de solutions d’animation, de mise en réseau et de comparaison des données et de pratiques pour faire progresser les exploitations agricoles
Voir farmleap.com


KRAMP : Kramp App – Application mobile permettant de trouver la bonne pièce agricole en quelques clics
Voir kramp.com


MSA Auvergne : J’M utiliser les automoteurs de levage et de manutention à mât télescopique en sécurité – Pack de formation
Voir auvergne.msa.fr


MyEasyFarm : MyEasyFarm DRIVER – 1ère application mobile de traçabilité sans saisie et automatique des interventions dans les parcelles agricoles
Voir myeasyfarm.com


SAS Go4ioT : KHIKO – L’antivol connecté
Voir go4iot.fr


SICK : WGS (Windrow Guidance System) – Système d’aide à la conduite WGS pour la détection et la mesure de l’andain
Voir sick.com


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Glaneuses, 1857, de JF Millet

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SMAG : SMAG TRACE – Diagnostic de l’empreinte écologique des exploitations agricoles : GES, carbone et biodiversité
Voir smag.tech


Smart-Apply ® : Intelligent Spray Control System ™ - Système de pulvérisation précise basé sur le LiDAR qui dentifie avec précision la densité du couvert et du feuillage, puis contrôle chaque buse individuellement.
Voir smartapply.com


TrackenGo : RECKEO – Assistant numérique pour l’organisation logistique du ramassage des bottes de foin et paille
Voir trackengo.fr


VITIBOT SAS : VitiDrive – Le contrôleur universel innovant rendant les machines et outils viticoles électriques intelligents
Voir vitibot.fr


Xarvio tm Digital Farming Solutions : Healthy Fields – Expérimentation innovante d’un modèle économique disruptif dans le secteur de la protection des cultures.
Voir xarvio.com


« Arrêtez de vous priver ! », par David Hhayat, ancien chef du service d’oncologie médicale de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, ancien Président de l’Institut national du cancer

« Manger, boire, bien vivre, tout est enfin possible ! »

Dans son dernier livre « Arrêtez de vous priver ! », le professeur Khayat répond à son tour par une injonction aux nombreux interdits qui pourrissent le quotidien des Français. Des interdits (pas de viande, pas d’alcool…) présents partout et qui amplifient le sentiment de culpabilité.

Cet ouvrage se veut un véritable pied-de-nez aux gourous de l’aseptisation. À la sinistrose ambiante le professeur Khayat préfère une ode à la vie et livre quelques astuces pour ne plus vivre dans l’angoisse permanente.
Arrêtez de vous priver !

Éditions Albin Michel - 224 pages

Voir par exemple Fnac

Et concernant les nitrites ?

Il faut savoir que la proportion de nitrites que vous ingérez qui provient de la charcuterie est seulement de 12 à 15 %. Tout le reste vient de l'eau et des légumes. Lorsque les fabricants de charcuterie communiquent sur du jambon " sans sel nitrité ajouté ", c'est qu'ils ont simplement cuit le jambon dans un bouillon de légumes qui a apporté les nitrites. Pour revenir sur le rapport de 2015 qui a dit que la charcuterie est cancérigène, il prenait en compte la consommation de cinq charcuteries seulement : le corned-beef, les lanières de bœuf séchées, le bacon frit le matin - qu'on ne mange pour ainsi dire pas en France - et deux charcuteries que nous avons en commun avec les Américains, la saucisse et le jambon.

Quand vous comparez la composition du jambon cuit acheté dans un supermarché américain et celle d'un jambon français, même industriel, ça n'a rien à voir. En France on a de la saumure et de la viande de porc alors que là-bas il y a plein de produits chimiques, c'est une véritable armoire à pharmacie, pas du jambon ! Là encore, dans l'ensemble des études prises en compte, il n'y en a aucune qui parle de la charcuterie française. En fait, cette idée que la charcuterie pourrait être cancérigène part d'une étude d'un très grand chercheur qui s'appelle Denis Corpet, qui a donné à des rats l'équivalent, pour un être humain de 75 kg, de six kilos par jour d'une charcuterie expérimentale nitritée pendant cent jours. À l'issue de quoi, il a trouvé qu'il y avait une augmentation des polypes dans le colon des rats. Or, Denis Corpet a préfacé un livre il y a quelques temps (2017) dans lequel il affirme que la consommation de charcuterie dans une alimentation équilibrée n'est absolument pas dangereuse. Ajoutons que les expériences récentes, depuis le rapport de 2015, montrent que prendre du calcium, des polyphénols, de la vitamine E avec de la charcuterie élimine complètement l'effet potentiellement cancérigène. Comme le dit le professeur Corpet, si vous mangez un yaourt après votre charcuterie, vous éliminez l'effet potentiellement cancérigène. Idem si vous prenez un peu de vitamine D le matin.

Source : La boucherie Française - Mars 2021
Voir L'info du vrai


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

Soixante-deux (ans) : Un "trente et un", sur son "trente et un." (NDJ)*.

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Informatiques et réseaux

Cloud JEDI : l'avenir du programme remis en cause ?

La justice refuse de disqualifier les allégations d'ingérence formulées par Amazon concernant l'attribution du méga-contrat JEDI à Microsoft par le Pentagone.
Voir silicon.fr


Sécurité applicative : l'industrie manufacturière à l’épreuve

Les entreprises industrielles affichent le taux le plus faible de correction de vulnérabilités applicatives, relève Veracode.
Voir silicon.fr


"Malgré́ la loi mobilités, les procès en requalification de chauffeurs VTC et livreurs ne disparaitront pas" (avec François Livernet-d’Angelis (Chassany Watrelot & A.)

L'avocat décrypte le statut juridique des travailleurs des plateformes, dont l'imprécision provoque des décisions judiciaires contradictoires en France.
Voir journaldunet.com


Les start-ups françaises ont levé́ 800 millions d'euros en avril

Ce chiffre énorme est porté par les grosses opérations d'Alan, Ornikar et BlaBlaCar, qui permettent aux secteurs fintech et mobilités de récolter près des deux tiers des fonds levés en avril.
Voir journaldunet.com


Début de procès à couteaux tirés entre Epic games et Apple, par Théophile Larcher

L’ouverture du procès entre Epic et Apple a vu les deux parties exposer leurs arguments et défenses. Epic dénonce l’imposition de règles trop strictes pour les développeurs par l’App Store d’Apple, une situation qu’il qualifie d’abus de position dominante. Apple avance un système ayant bénéficié à des milliers de développeurs.

Cela faisait un an que son démarrage était attendu. Un an d’attente d’un procès dont les décisions pourraient remettre en cause le fonctionnement de l’App Store.
Voir linformaticien.com


Géographie des phishings, par Bertrand Garé

Barracuda s’est récemment associé à des chercheurs de l’université de Columbia pour analyser la géographie des e-mails de phishing et la façon dont ils sont acheminés. Ils ont examiné la géolocalisation et l’infrastructure réseau de plus de 2 milliards d’e-mails, dont 218 000 e-mails de phishing, envoyés au cours du mois de janvier 2020.

Quasiment sans surprise, ils proviennent principalement de quatre zones géographiques : d’Europe de l’Est, d’Amérique centrale, du Moyen-Orient et d’Afrique. La plupart des emails de ce type utilisent des méthodes d’ingénierie sociale pour extorquer des informations personnelles telles que des noms d’utilisateur, des mots de passe, des numéros de carte de crédit ou des informations bancaires.
Voir linformaticien.com



Publication diffusée grâce au soutien de :
page facebook

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

SOIXANTE-DIX (ans) : On a plus d'appétit, on dort d'un sommeil plus profond, on se sent plus en forme, il est visiblement meilleur pour la santé d'avoir des femmes dans la mémoire que sur les genoux.
Maurice CHEVALIER

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Agricultures

La seule solution pour sauver la biodiversité animale et végétale est-elle d’intensifier l’agriculture dans la mesure du possible là où c’est possible pour libérer des surfaces ?

>>> Wild mammals have declined by 85% since the rise of humans, but there is a possible future where they flourish, by Hannah Ritchie

A diverse range of mammals once roamed the planet. This changed quickly and dramatically with the arrival of humans. Since the rise of humans, wild land mammal biomass has declined by 85%. Our history with them has been a zero-sum game: we either hunted them or destroyed their habitats with the expansion of agricultural lands. Without these wild habitats to expand into and produce food on, the rise of humans would have been impossible.

But, for the first time in human history, we have the opportunity to turn this into a net-sum game: we can produce enough food from a smaller land area, making it possible for them to flourish again.


Ouverture d’un deuxième guichet d’aides à l’acquisition d’agroéquipements

Le 28 avril 2021, le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, a annoncé l’ouverture d’un second dispositif d’aides à l’acquisition d’agroéquipements dans le cadre du plan protéines.
Voir cultivar.fr


Livre blanc : stocker le carbone dans le sol

Terre-net et OleoZE ont publié un livre blanc sur un thème bien d’actualité : Stocker le carbone dans les sols…

- Piéger le carbone : de l’atmosphère à la terre
- Stocker le carbone dans les sols cultivés : quels enjeux, quels intérêts ?
- Quelles techniques pour stocker du carbone ?
- La valeur carbone : quelle rentabilité pour le producteur ?
- Des initiatives encore récentes : limites et perspectives
Voir agrotic.org


Un rapport de la Commission européenne propose d’ouvrir la voie aux #NBT (avec GRW, toujours excellent)

La publication du rapport de la Commission européenne sur les #NBT est l’occasion de rappeler que cela fait des dizaines d’années que nous consommons des #OGM en bio comme en conventionnel sans aucun impact pour notre santé !
Pour les "nouveaux OGM"


"Les NBT, ce ne sont pas des OGM” déclare Julien Denormandie

En réalité, tout autant que le lobby des OGM, celui du bio a intérêt à faire évoluer ladite directive. Cela éviterait notamment aux acteurs de la filière bio de continuer à tromper les consommateurs, qui restent persuadés que les denrées alimentaires en vente dans les rayons bio ne sont jamais des OGM, une croyance totalement erronée.
Voir agriculture-environnement.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory (?????): The Diggers, 1889, by Vincent Van Gogh

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Dessins de systèmes racinaires. Impressionnant...
See images.wur.nl
Signalé par Hugues THORÉ
Mél : hthore(a)gmail.com


Du côté d'Auguste Derrière

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« La 6ème extinction c'est un slogan qui participe au climat anxiogène », interview de Christian Lévêque

Q. par The European Scientist : Vous avez publié la biodiversité avec ou sans l’homme. Pourquoi ce titre ?

R. de Christian Lévêque :  Cela permet de discuter la thèse du dualisme. Soit l’homme est extérieur à la nature et alors on suppose qu’il l’agresse. Soit l’homme est un élément de la nature et alors son action n’est plus jugée de la même manière. Selon le point de vue qu’on adopte, on aura un regard différent en matière de protection ou de conservation de la biodiversité.
Voir europeanscientist.com


La biodiversité entre faits et extrapolations

Dire que tout va bien serait peu sérieux, mais faire croire que tout va mal l’est tout autant. - Christian Lévêque, membre de l'Académie d'agriculture
Voir lespiedsdansleplat.me
Signalé par André FOUGEROUX, membre de l’Académie d’agriculture
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com




 

Pour préserver la biodiversité des espèces cultivées : naissance d’un Fonds de dotation

Huit acteurs du monde des ressources génétiques végétales d’horizons divers ont lancé le 19 avril 2021 le Fonds de dotation pour la préservation de la biodiversité des espèces cultivées et de leurs apparentées sauvages (hors arbres forestiers) et ont confié sa présidence à Marion GUILLOU.

À un moment où nos sociétés prennent conscience de l’érosion importante de la biodiversité, ce Fonds a pour objectif de financer des activités d’intérêt général contribuant à l’inventaire - y compris des savoir-faire - à la caractérisation, à l’évaluation, à la conservation, à la gestion pérenne et à la valorisation de cette biodiversité, que ce soit dans son milieu naturel ou dans des centres de conservation.

Composée de l’ensemble des plantes cultivées et de leurs apparentées sauvages (hormis les arbres forestiers), la biodiversité cultivée concernée est constituée d’une grande diversité génétique, sélectionnée ou, parfois apparue, dans des environnements variés. Elle est une réserve pouvant contribuer à des réponses potentielles, aux enjeux présents ou à venir de l’agriculture, de l’alimentation, des attentes sociétales et des évolutions climatiques. Elle est également porteuse d’une valeur patrimoniale, expression d’une culture locale, régionale ou nationale.

La préservation de cette biodiversité est assurée en France par de très nombreux acteurs professionnels ou amateurs selon des modalités variées de conservation de gestion, de représentation et d’usage.

L’objectif de ce Fonds est de préserver sur le long terme, par un soutien et un financement appropriés, cette biodiversité afin d’éviter toute perte irréversible de ce patrimoine végétal vivant, source d’innovation pour l’avenir.

Il sera fait appel très largement au mécénat pour l’alimenter.

Contact : Audrey DIDIER
Mél : audrey.didier(a)geves.fr


 

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)


SOUHAIT (Mon) : Ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est de mourir jeune à un âge avancé. Gilbert CESBRON

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Du côté des écrivains et artistes paysans

> Pour sourire
Avant d’être réduit en Fruits ou en Légumes, comme je ne suis pas bête comme Chou avec un Pois Chiche dans la tête, j’ai décidé de vous raconter des Salades et de ramener ma Fraise.
Alors pour se fendre la Pêche et vous donner la Patate, je vais appuyer sur le Champignon avant de manger les Pissenlits par la Racine.
Aujourd’hui un Virus nous oblige à faire le Poireau chez nous, afin de nous éviter de prendre une Châtaigne avec ses effets qui pourraient nous transformer en Asperge.
Comme je suis une bonne Poire, je fais comme tout le monde et pour éviter de prendre une Prune, je reste en confinement…


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

TEMPS (Du) : Même quand on en a pour en perdre, il faut encore trouver les jeunes femmes avec lesquelles le perdre.
Jacques STERNBERG

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Agenda

Les webinaires Agreenium / Acta

> 11 mai 2021 : Évaluation du numérique dans les fermes connectées
> 18 mai 2021 : Agroforesterie
> 25 mai 2021 : Apport des images drones et Sentinel-2 pour le suivi de l’état sanitaire de la vigne
> 1er juin 2021 : La transition agroécologique des systèmes d’élevage : une transformation des façons de faire et de penser et un renouvellement du rapport à la nature
> 8 juin 2021 : L’horticulture connectée
> 15 juin 2021 : La microbiologie des sols au service de la production agricole
> 22 juin 2021 : L’apport des Fablabs dans le développement de l’agriculture numérique
> 29 juin 2021 : Les services des pollinisateurs en agriculture
Voir séminaires Acta-Agreenium


Semences et Plants : les raisons du succès d’une filière

12 mai – 14h30 - Webinaire
En 2020, en France, les semences et plants ne connaissent pas la crise !
Bien sûr, l’activité a été perturbée au début du confinement pour les transports et échanges internationaux. Mais au final, la campagne 2019/2020 affiche des résultats record puisque l’excédent de la balance commerciale des semences et plants dépasse pour la première fois le milliard d’euros.

La France est le leader mondial des exportations de semences de grandes cultures devant les USA et les Pays Bas.
Les semences et plants, point de départ de toute culture, représentent un domaine stratégique pour notre autonomie alimentaire et notre place internationale dans les productions agricoles.

Qu’est ce qui explique cette situation exceptionnelle ? Les raisons en sont nombreuses :
- les investissements importants dans la recherche (13% du chiffre d’affaires) et le dynamisme de la création variétale. 74 entreprises de sélection créent chaque année de nouvelles variétés pour répondre aux multiples besoins,
- des conditions pédoclimatiques variées adaptées à la production et à la multiplication de nombreuses espèces potagères et de grandes cultures,
- Un important réseau d’agriculteurs-multiplicateurs compétents et spécialisés. Environ 18 000 agriculteurs multiplient chaque année plus de 6 000 variétés, en relations contractuelles avec les établissements producteurs pour répondre aux besoins quantitatifs et qualitatifs des utilisateurs.
Ainsi, c’est surtout l’organisation collective de la profession semencière autour de la qualité des semences qui est la principale raison du succès de cette filière, depuis de très nombreuses années.

Cette séance est dédiée à la mémoire de Philippe Gracien, membre de l’Académie et directeur général du Gnis pendant 22 années, qui a consacré sa vie professionnelle à l’équilibre et au dynamisme de l’Interprofession. Plusieurs grands témoins professionnels expliqueront comment la France répond aux besoins des agriculteurs français et européens, accueille de nombreuses entreprises étrangères de production de semences et plants, et exporte dans 153 pays, en développant de nombreux partenariats techniques, économiques et réglementaires.
Voir academie-agriculture.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory:
La Fileuse, 1889, par Vincent Van Gogh d'après JF Millet

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Irrigation et gestion de l’eau. Enjeux dans le cadre du changement climatique

19 mai – 14h30 - Webinaire
Le changement climatique est aujourd’hui une réalité. La hausse des températures entraîne une augmentation de l’évapotranspiration et le bilan hydrique des sols se dégrade.
L’efficience de l’eau dans les systèmes agricoles et le devenir de l’irrigation sont des conditions de durabilité en agriculture.
Cette séance propose plusieurs exemples en France et en Espagne, et aborde les politiques publiques et projets de territoire sur l’agriculture et la gestion de l’eau.
Voir academie-agriculture.fr


Participez à la présentation du guide GESTIM +… Gaz à effet de serres et agriculture

4 juin – Webinaire (inscription préalable indispensable
Émissions de Gaz à Effet de Serre (GES), séquestration du carbone, qualité de l’air… l’agriculture est au cœur des enjeux environnementaux et de plus en plus placée au centre des stratégies nationales de réduction de nos impacts sur l’environnement.

Mais comment mesurer ces impacts à l’échelle d’une exploitation ou d’un territoire agricole ? Quels sont les méthodes et outils disponibles, et comment les choisir ?

Plusieurs instituts techniques agricoles se sont associés pour répondre à ces différentes questions et synthétiser leur expertise au sein d’un guide méthodologique publié en juin 2020 : le guide GESTIM +.

En suivant cette présentation, vous pourrez échanger en direct avec les experts du réseau Acta–les  instituts techniques agricoles : Emilie ADOIR, (IFV), Cécile LE GALL, Sylvie DAUGUET (Terres Inovia), Maxime FOSSEY (Idele – Institut de l’Elevage), Coraline DESSIENNE (ARVALIS-du végétal), Elodie PÉCHENART (ITAVI).
Voir acta.asso.fr


Scientifiques, journalistes, militant.e.s : Comment communiquer sur les OGM et pesticides ?

2 juillet - Webinaire
La Maison des sciences de l'Homme Sud propose un cycle de conférences "Recherche en Société". Dans ce cadre, un nouveau webinaire est organisé sur le thème "Scientifiques, journalistes, militant.e.s : Comment communiquer sur les OGM et pesticides ?"

Une militante, un journaliste et un chercheur témoigneront de leurs expériences.

Avec le soutien de l’Inrae, du Cnrs, de l’Ird… contre les technologies et le capitalisme coupables de tous les maux de la terre

Ma remarque (GW) : Une conférence où on mélange allègrement et de façon rigolote science / journalisme / militantisme et avec le soutien des principaux organismes français de recherche et où la communication sur les OGM et celle sur les pesticides sont confondues.


Du côté d'Auguste Derrière

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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

TEMPS (heureux) : À celui des cadrans solaires, il n'y avait pas l'ombre d'une exactitude.
Albert WILLEMETZ.

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Du côté des gazettes et des blogs agricoles

Du côté de vitisphere.com : Avec des si, par Alexandre Abellan

Dans le long tunnel des confinements, reconfinements et autres couvre-feux, les annonces présidentielles d’un calendrier prévisionnel de réouverture de la restauration (19 mai en terrasse et 9 juin en salle) et des salons (9 juin avec une jauge de 5 000 personnes ayant le pass sanitaire) font renaître la lumière au bout du souterrain. De quoi redonner un peu de visibilité, et d’espoir, à la filière des vin français. Certes, ces perspectives sont conditionnées aux évolutions locales de la pandémie de covid-19, qui reste imprévisible dans ses évolutions.

Mais même avec des si, il est permis de projeter sur ces lueurs l’espoir, sur une sortie de ce long tunnel, en mettant de côté la crainte de nouveaux feux stop, voire de recul. Si les feux de détresse restent allumés pour le vignoble, ses fournisseurs et ses metteurs en marché, le souvenir de la bonne activité du déconfinement millésime 2020 permet de se projeter sur une reprise d’activité domestique. Après la levée, certes temporaire, des surtaxes américaines, la perspective d’une décontraction du marché intérieur est l’autre bonne nouvelle de ce début 2021 pour attendre le retour des beaux jours. Sans tunnel mais sous les tonnelles, bien plus propices à la dégustation.
Voir vitisphere.com


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Enclosed Field with Ploughman, 1889, by Vincent Van Gogh
Commentaire en anglais (activer l’apparition des sous-titres !)

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Du côté de pleinchamp.com... Protéines : relever le défi du pois… chiche ?

Les légumes secs, de surcroît s’ils sont bio, symbolisent à eux seuls la triple ambition du gouvernement de développer la production de plantes riches en protéines, d’augmenter les surfaces en agriculture biologique et d’approvisionner les cantines en produits « de qualité et durables ». Mais malgré les plans protéines successifs, ils peinent encore à faire leur place dans les rotations et dans les assiettes.

Lentilles vertes du Puy, coco de Paimpol, mogette de Vendée, haricot tarbais… malgré des produits bien ancrés dans les terroirs, les légumes secs n’ont pas la cote en France. Leur consommation a été divisée par quatre en vingt ans et les Français consomment en moyenne trois fois moins de légumes secs que les autres habitants de la planète.

Leurs bénéfices ne sont pourtant plus à démontrer, tant sur le plan nutritionnel qu’agronomique. Ils s’insèrent dans les rotations comme cultures de diversifications, dans les couverts d’intercultures comme fixateurs d’azote, ou encore comme plantes compagnes dans les cultures principales. Ils sont également des atouts maîtres en agriculture biologique et font d’ailleurs partie des cultures les plus cultivées en bio, avec une part de 35% des surfaces (contre 8% toutes cultures confondues).
.../...
Voir pleinchamp.com



Terre-net Web TV


Du côté d’André Heitz

> « La Russie, nouvel eldorado du bio ? », une chronique de M. Sébastien Abis dans l'Opinion

> OGM naturels : comment les plantes et les animaux « volent » les gènes d'autres espèces pour accélérer l'évolution

> Un « Varenne de l'agriculture »... et « du climat »

> Un agriculteur à terre : le sacrifice qui accompagne votre nourriture

> « Il ne faut pas désagriculturaliser la France comme elle a été désindustrialisée! », une tribune de Mme Sylvie Brunel dans le Figaro

> La plateforme « Pour une autre PAC » fait l'article dans Libération... M. Jean-Paul Pelras répond dans l'Opinion

> L'agro-écologie, un choix, pas une contrainte

> L'édition génétique pourrait aider la précieuse culture du thé au Kenya à conserver son avantage concurrentiel

> Les agriculteurs mexicains résistent à la tentative du gouvernement d'interdire le cotonnier GM

> Néonicotinoïdes au Canada : « Appliquons le principe de précaution au principe de précaution », de M. Colin Hélie-Harvey, aka Agricolincrédule

> Ghana : l'agriculteur Davies M. Korboe défend l'implication des jeunes dans l'agriculture

> « La confédération, paysanne mais pas seulement », un petit article de Mme Emmanuelle Ducros dans l'Opinion

> Les agriculteurs kenyans font une première récolte abondante de coton GM




Du côté de l’excellente lettre d'informations sur les plantes génétiquement modifiées, N° 272, 25 avril 2021
Voir marcel-kuntz-ogm.fr


Du côté de l'Institut de l'élevage : Idele Première n° 698
Voir idele.fr


Du côté des Insectes, revue trimestrielle
Voir Office pour les insectes et leur environnement


Du côté des insectes, quatre épingles

> « Au poteau, les lanternes » - et, par milliers à la fois, elles y vont toutes seules. Les fulgores Lycorma delicatula.

> « Les ouvrières souffrent du distanciel » et même une fois revenues dans le groupe, vont probablement tomber malades. Les fourmis Temnothorax nylanderi.

> « Isolement social et prosopagnosie » en 2 mois, une région du cerveau se développe mal et s'en est fini de la reconnaissance faciale. Les guêpes Polistes fuscatus.

> « Au-delà des dix kilomètres », la faim les pousse à voler, tout droit, sans faire de pause, jusque dans le contraventionnel. Les Mouches du vinaigre Drosophila melanogaster.

Voir OPIE

Contact : Alain FRAVAL
Mél : alain.fraval(a)orange.fr


Du côté du ministère de l’Agriculture

> Le « Bon Diagnostic Carbone » du plan France Relance est désormais opérationnel

> Plan protéines végétales : ouverture d’un second dispositif d’aides à l’acquisition d’agroéquipements

> Michel Papaud, nommé coordinateur du plan de soutien aux exploitations et entreprises touchées par le gel

> Plus de 8,2 milliards d'euros déjà versés aux agriculteurs au titre de la PAC 2020

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Le Mensuel de l'Académie


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Du côté de la Fnsea

> « Varenne de l’eau et du climat » : les agriculteurs saluent l’initiative…mais demandent des résultats concrets !

A la demande du Président de la République, le ministre de l’Agriculture a annoncé l’organisation d’un Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement climatique. La FNSEA et Irrigants de France saluent cette volonté de sortir des postures et de faire confiance à la science pour trouver les meilleures solutions d’adaptation au changement climatique.

Tous les travaux du GIEC et des météorologues convergent vers la certitude de pluviométries annuelles maintenues en volume mais très déséquilibrées entre période hivernale et estivale. Il faut donc gérer l’eau « en bon père de famille » : la stocker l’hiver quand elle est abondante pour pouvoir l’utiliser l’été en période de pénurie. Seule cette irrigation de résilience apportera des garanties de productions alimentaires.

>> Sortir de l’immobilisme

L’engagement pris lors des Assises de l’Eau en vue d’élaborer au moins 50 projets de territoire pour la gestion de l’eau (PTGE) d’ici 2022 ne sera pas tenu. A ce jour seulement deux projets ont vu le jour. En outre, l’écriture des articles relatifs à l’eau dans projet de loi Climat et résilience en discussion au Parlement ne vont pas dans le sens d’une gestion conciliant tous les usages et préservant notre agriculture. Et il en est de même des projets de Schémas Directeurs d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) en cours de finalisation dans les bassins.             
Sans eau, pas de vie, pas de nourriture, pas d’agriculture, l’accès à l’eau est bien un facteur clé pour s’adapter au changement climatique. C’est pourquoi les agriculteurs saluent cette initiative mais les attentes sont fortes.

>> Aboutir sur de la création de ressources

Le Varenne de l’eau et du climat doit être ambitieux et faire du Changement Climatique une opportunité pour l’agriculture. La première urgence est de sécuriser juridiquement la gestion collective de l’eau et de garder toutes les possibilités pour développer les infrastructures de stockage ou de transferts d’eau pour l’alimentation en eau potable, la préservation des milieux et une production alimentaire diversifiée dans tous les territoires.

La souveraineté de notre agriculture française implique des actes devant se traduire en lois, en priorités budgétaires et dans l’action quotidienne des administrations de l’Etat.

Alors oui au Varenne de l’eau et du climat, dans lequel nous nous engagerons pleinement au regard de l’enjeu, mais sans perdre de vue que les agriculteurs attendent du concret.


> Réforme de la PAC : pour un accord, « dans les temps »

La veille du trilogue, les Présidents de la FNSEA, de la CONFAGRICOLTURA et du DBV, représentant non seulement les agriculteurs français, italiens et allemands, mais aussi en tant que Présidente du COPA (Comité des Organisations Professionnelles Agricoles), Vice-Président du COPA et ancien président du COPA, ont souligné leurs préoccupations concernant les discussions en cours sur la PAC (Politique Agricole Commune).

Les trois Présidents sont fermement convaincus que la PAC doit rester une politique économique, pour, comme prévu par les Traités européens, stabiliser et soutenir les revenus des agriculteurs, tout en s’adaptant aux défis environnementaux actuels.

Une mise en œuvre pragmatique de l’architecture verte et l’absence de charge administrative supplémentaire pour les agriculteurs sont les priorités des trois représentants des agriculteurs.

Les trois organisations soutiennent une PAC plus verte, gérable et attractive pour les agriculteurs, et également plus efficace. Dans le dispositif de l’architecture verte, les agriculteurs ont besoin d’une « ligne de base » (la conditionnalité) se concentrant sur les éléments essentiels des bonnes pratiques agricoles et environnementales, pour permettre des politiques plus ciblées dans le cadre des éco-régimes et du 2ème pilier de la PAC. FNSEA, CONFAGRICOLTURA et DBV soutiennent l’approche du Conseil basée sur une diversification pragmatique des cultures (« BCAE 8 »). De plus, les surfaces et éléments productifs favorables à la biodiversité ne devraient pas être exclus du champ de l’application des engagements de la conditionnalité (« BCAE 9 »). Concernant les nouveaux éco-régimes, ils doivent être accessibles à tous les agriculteurs pour une véritable contribution aux transitions écologique et environnementale.

Concernant la conditionnalité sociale, les trois présidents soulignent que les agriculteurs doivent déjà respecter de nombreuses règles nationales. Il y a un risque considérable de charge administrative supplémentaire pour les agriculteurs, sans que cela conduise à une amélioration significative de la situation des travailleurs puisqu’en France, Italie et Allemagne, il existe des règles et des contrôles stricts, dans les domaines des droits sociaux et du travail.

« Alors que notre secteur est attaqué, nous soulignons l’importance de la contribution de l’agriculture et des agriculteurs, à la protection de l’environnement. Sans exploitations compétitives et sans agriculture, nous pourrions juste consommer une nourriture « artificielle » ou importée de pays tiers ne respectant pas nos standards de production, non seulement en termes de qualité mais aussi du point de vue des normes sociales et environnementales » a déclaré M. Giansanti, Président de la CONFAGRICOLTURA

« Dans la future PAC, il nous faut réconcilier économie, protection de l’environnement et lutte contre le changement climatique. Les agriculteurs sont engagés pour relever ces défis. Les outils de la PAC peuvent les soutenir, pour une agriculture encore plus durable » a souligné Mme Lambert, Présidente de la FNSEA

« Il est essentiel que la nouvelle PAC permette aux agriculteurs de continuer à produire une nourriture saine et nutritive, tout en protégeant la biodiversité et le climat. Pour cela, la fonction de soutien aux revenus de la PAC reste essentielle pour tous les agriculteurs européens. De plus, nous avons besoin de nouveaux instruments orientés vers les marchés, pour « l’agriculture carbonée » et la conservation de la nature » a insisté M. Rukwied, Président du DBV.


Du côté d'Auguste Derrière

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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

TEMPS (Le) : "C'est de l'argent."
Benjamin FRANKLIN

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Opinions et curiosités du web (2)

C’est un certain Monsieur Goldenbaum qui tient un restaurant à Jérusalem…

Il a écrit des centaines de lettres aux Papes.

Une centaine au Pape Jean-Paul II, autant à Benoît XVI et à François, pour demander un entretien privé ; et lorsqu’il apprend que le Pape vient à Jérusalem il se rend illico à la nonciature.

« Je suis Monsieur Goldenbaum, restaurateur à Jérusalem... Je dois absolument rencontrer le Pape.

– Ah, content de vous connaître, cher Monsieur, depuis le temps que nous recevons vos courriers.

Malheureusement l’emploi du temps du Saint Père...

– S’il vous plaît, s’il vous plaît, juste une minute, c’est très important !

– Bon ! Demain le Saint Père doit quitter la résidence à 11h. Venez un peu avant, à 10h55. »

Le lendemain dès 8h Monsieur Goldenbaum est dans la salle d’attente et à 10h55 précises, le Saint Père sort de l’ascenseur.

« Ah, très Saint Père je suis Monsieur Goldenbaum.

– Ah oui, on m’a parlé de vous, cher Monsieur, Que puis-je faire pour vous ?

– Et bien voilà : je suis restaurateur à Jérusalem. Mon père était restaurateur à Jérusalem, mon grand-père était restaurateur. Mon arrière grand-père était aussi restaurateur. Mon arrière arrière....

– Bon, ça va ! Au fait ! S'il vous plaît ; on ne va pas remonter à Jésus-Christ...

– Et bien si, justement ! Figurez-vous qu'il y a 13 couverts qui ne nous ont toujours pas été réglés... »

Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr

TV Agri : actualités agricoles. Toute les actualités de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles

 

Première pensée du jour, celle de notre Présidente de la Commission Européenne

Je suis la première femme présidente de la Commission européenne et je souhaite être traitée comme présidente de la Commission. À Ankara, cela n’a pas été le cas et c’est arrivé parce que je suis une femme… Je me suis sentie blessée et je me suis sentie seule en tant que femme et en tant qu’européenne
Mme Ursula VON DER LEYEN
Voir lemonde.fr


Seconde pensée du jour

Où que j’aille dans le monde, j’ai toujours trouvé de la bonté chez les gens que je rencontre. Cela vaut pour tous ceux qui ont la foi et le courage de préserver la bonté qui est en eux ainsi que la bonté qui est chez l’autre, aussi difficile que cela soit.
Le Classique des trois caractères, un texte de la Chine ancienne, cité par Chloé ZHAO, primée aux Oscars, au grand déplaisir des dirigeants de la Chine


Troisième pensée du jour

La lutte contre le réchauffement climatique est au centre de tout, sauf pour les économistes.

…/…
L’éditorialiste de Bloomberg, Noah Smith, dans un récent post de blog, affirme que les économistes préfèrent se concentrer sur ce qu’ils peuvent mesurer au détriment de phénomènes où l’incertitude domine. Autre écueil : leur manque d’appétence pour l’interdisciplinarité, qui est pourtant indispensable à la compréhension des effets du changement climatique.

Pour Noah Smith, la défaillance de la recherche économique n’est pas uniquement quantitative – le nombre d’articles parus –, elle est aussi qualitative. C’est le cas d’inspirateurs du climatoscepticisme comme Richard Tol, de l’université du Sussex, qui, dans un célèbre article de 2009, affirmait que le réchauffement climatique se traduirait par des gains économiques dans les zones tempérées en négligeant quantité d’effets négatifs.

Plus gênant encore, les travaux de William Nordhaus, de l’université Yale, pourtant couronnés en 2018 par un prix de la Banque de Suède en sciences économiques (l’équivalent du prix Nobel). Il prône une poursuite d’un modèle de croissance qui conduirait à un réchauffement de 3,5 °C en 2100, quand l’accord de Paris vise un objectif de 2 °C. Nordhaus a été très critiqué pour sa mauvaise évaluation des « taux d’actualisation », c’est-à-dire le rapport entre les coûts immédiats de la lutte contre le réchauffement climatique, auxquels il donne une importance excessive, et ses bénéfices pour les générations futures, qu’il a amplement minorés.

« Ces modèles où le changement climatique nécessite une action modeste, qui arrange des décideurs politiques, sont en perte de vitesse », estime néanmoins Céline Guivarch, qui met en avant les progrès d’une recherche davantage pluridisciplinaire, capable de prendre en compte toutes les dimensions du phénomène. « Reste qu’entre savoir et agir il y a un pas qui a du mal à être franchi », déplore-t-elle.

Il est de la responsabilité de la science économique d’aider à franchir ce pas, à condition de se mobiliser davantage. Cet apport peut être précieux dans un débat qui a tendance à se laisser enfermer entre les tenants d’un déni de réalité et une idéologie de l’apocalypse davantage obsédée par la disparition du capitalisme que par la transition vers un nouveau mode de croissance. Le réveil est d’autant plus indispensable que c’est maintenant que la réflexion est utile, pas dans dix ans, quand l’irréversibilité du phénomène aura fait son œuvre.

Stéphane LAUER, éditorialiste
Voir lemonde.fr


Ma remarque (GW) : Voilà un article dont la conclusion, pour une fois sur ce sujet, me convient… Nous avons effectivement affaire aux tenants d’une « idéologie de l’apocalypse davantage obsédée par la disparition du capitalisme que par la transition vers un nouveau mode de croissance… ».

Ageekculture : un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information

 

A first thought for today

If life's lessons could be reduced to single sentences, there would be no need for fiction.
Scott TUROW, author and lawyer (1949 -)


A second thought for today

There is a beauty in discovery. There is mathematics in music, a kinship of science and poetry in the description of nature, and exquisite form in a molecule. Attempts to place different disciplines in different camps are revealed as artificial in the face of the unity of knowledge. All literate men are sustained by the philosopher, the historian, the political analyst, the economist, the scientist, the poet, the artisan, and the musician.
Glenn T. SEABORG, scientist, Nobel laureate (1912-1999)


A third thought for today

Man is so made that he can only find relaxation from one kind of labor by taking up another.
Anatole FRANCE, novelist, essayist, Nobel laureate (1844-1924)


A fourth thought for today

The supreme accomplishment is to blur the line between work and play.
Arnold J. TOYNBEE, historian (1889-1975)


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Lieuse de gerbes par JF Millet

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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

TEMPS (Le) : "J'ai tellement besoin de temps pour ne rien faire, qu'il ne m'en reste plus assez pour travailler." Pierre REVERDY.

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

 


Confiance, innovation, progrès, par Claude Debru

En cette période de pandémie, le succès des vaccinations est déterminant. Cependant, en France, nous vivons une période « d’hésitation vaccinale ». Quelques raisons qui conduisent à cette attitude sont identifiées : les questions des conflits d’intérêt, le développement du complotisme sur les réseaux sociaux, le scandale sanitaire lié aux effets secondaires du Médiator, l’attitude « antisystème » de l’opposition aux vaccins, mais aussi la perte de mémoire de nos sociétés sur les précédentes maladies infectieuses et le succès des vaccinations.

Claude Debru, professeur émérite de philosophie des sciences et membre de l’Académie d’agriculture, nous invite à une réflexion philosophique : « Qu’est-ce que la confiance ? »

Dans sa conclusion, il souligne que la responsabilité des scientifiques est régulièrement pointée du doigt, mais beaucoup moins la responsabilité médiatique. « Le poison du doute, l’imprécision, l’esprit de parti pris sont trop fréquemment observés dans les grands médias » précise-t-il.

Comment y remédier ? Le principe de responsabilité est une question très actuelle souvent débattue au sein de nos académies.
Voir academie-agriculture.fr


« Je fais ma prière et je regarde du porno » : « Eib », le podcast qui bouscule les tabous arabes

L’émission traite des tabous sociaux, notamment en matière de sexe et de relations hommes-femmes, deux terrains minés dans les sociétés du Proche-Orient, en proie à un conservatisme religieux encore très fort.

Par Benjamin BARTHE(Beyrouth, correspondant du Monde
Voir lemonde.fr

Réseau Numérique et Agriculture ACTA

 

Les écologistes et le nucléaire : qu’il est difficile de rompre avec son ennemi ! Par François de Closets

Dans la mouvance verte, la lutte contre l’atome a pris une place aussi centrale que la lutte des classes dans la gauche radicale.
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Dans la mouvance écologiste, la lutte contre l’atome avait pris une place aussi centrale que la lutte des classes dans la gauche radicale. Il était plus important de dénoncer la malfaisance de l’atome que de préparer le monde durable de demain.

La prise de conscience écologiste s’est construite sur l’abus des pesticides, l’explosion démographique et l’invasion industrielle. L’épuisement de la nature et surtout le dérèglement climatique s’y sont ajoutés dans les années 1980. Puis le réchauffement, suivi année après année par les savants, est devenu le pire danger. L’humanité joue son avenir sur sa capacité à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Les défenseurs de l’environnement se sont découvert un nouvel ennemi : le carbone.

Les inconvénients de l’énergie nucléaire sont bien connus : risque d’accident, production de déchets. Le bon fonctionnement du parc français aurait pu réduire les préventions. D’autant que, face au réchauffement, le nucléaire présentait un avantage capital : celui d’offrir une énergie décarbonée. Ce moindre danger et ce nouvel avantage ne changèrent en rien l’idéologie nucléophobe des mouvements écologistes.
.../...
Et l’on continuera à repousser l’horizon d’une France dénucléarisée et décarbonée. Tout cela parce que nous avons l’obligation idéologique de sortir du nucléaire.

Des leaders écologistes, toujours plus nombreux, s’interrogent sur le bien-fondé de ce postulat. À l’étranger, mais aussi en France. Comme les communistes qui pratiquaient le réformisme en se référant à la révolution, ils préparent le Bad Godesberg des écolos – l’heure de vérité où ils reconnaîtront que l’on devra vivre avec le nucléaire tout en développant au maximum des énergies renouvelables. Cela ne se fera pas sans des protestations et des déchirements, car il est bien souvent plus difficile de rompre avec un ennemi qu’avec un ami.
Voir lopinion.fr


Du côté d'EBBH : riche comme crédule

   

Le prix du glyphosate monte…

« E pur si muove ! » comme disait Galilée : nos amis soi-disant écologistes pourront toujours raconter des sornettes sur le glyphosate, cela n'empêchera pas la terre de de tourner, et le glyphosate d’être très utile, parfaitement inoffensif, et de se vendre assez cher.

>>> Will glyphosate price continue to rise? - Dialogue with suppliers and buyers, By Christina Xie and Erwin Xue

Recently, the price of glyphosate has continued to soar and it remains in short supply, having aroused lively discussions within the industry. The price of glyphosate technical rose from Yuan22,000 per ton in August 2020 to Yuan36,500 per ton currently, an increase of 66% over 10 months.

AgroPages was asked by many customers to offer news on glyphosate and whether its price will continue to rise going forward. Concerning glyphosate's price rise and short supply, we communicated with suppliers and buyers. Based on this, we would like to provide industry players with some references to support their judgement on glyphosate’s price trend, as well as its supply and demand situation.
See news.agropages.com


Cancer rates in medieval Britain around ten times higher than previously thought, study suggests, by University of Cambridge

"We now have to add cancer as one of the major classes of disease that afflicted medieval people," Dittmar said.
See medicalxpress.com


Explore how much the world has changed since you were born

Is life getting better or worse? Watching the news, it’s easy to become pessimistic. But don’t forget that reporting is often selective. Bad news leads to higher ratings, while good news is seldom covered. So, what is the real state of humanity? Consider the changes that have occurred in the world over the last half-century.

> In 1966, average life expectancy was only 56 years. In 2016, it was 72. That’s an increase of 29 percent.

> Out of every 1,000 infants born, 113 died before their first birthday. In 2016, only 32 died. That’s a reduction of 72 percent.

> Average income per person rose from $3,698 to over $17,469, or by 372 percent – and that’s adjusted for inflation.

> The food supply rose from about 2,300 calories per person per day to over 2,800 calories, an increase of 22 percent, thus reducing hunger.

> The length of schooling that a person could typically expect to receive was 4.15 years. In 2016, it was 8.71 years – a 110 percent increase.

> On a scale from 0, which denotes autocracy, to 10, which denotes democracy, political freedom rose from 4.55 in 1966 to 7.05 in 2016. That’s an improvement of 55 percent.

> Those are global improvements. What about life in your country?

See humanprogress.org


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Paysage estival avec paysan au travail par Simon van Gelderen

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Biden releases more details of American Families Plan for family farms

During his first joint address to Congress last night, President Joe Biden highlighted the progress the United States has made on pandemic recovery and laid out his strategy to create additional jobs and lift more families out of poverty. The key to that strategy is his American Families Plan, a comprehensive package that would invest $1.8 trillion in education, childcare, nutrition assistance, and paid leave.

The American Families Plan includes critical tax reform to ensure that the wealthy pay what he calls their “fair share” of taxes in order to finance essential investments in workers and families, including childcare, nutrition, higher education, and more. One of those overhauls is a change in the way capital gains are treated in our tax system so that, for people making over $1 million, the tax system no longer favors income from wealth over income from work. The plan won’t raise taxes on anyone making less than $400,000 a year.

Part of Biden’s plan to make sure the wealthy pay more in taxes is a proposal to close the “stepped-up basis” loophole for wealthy estates so that enormous fortunes do not completely escape taxation. Under the proposal, unrealized capital gains (those that have never been previously taxed) are taxed at death above $2 million in gains per couple.

However, the U.S. Department of Agriculture points out how this largely won’t affect family farms that stay in the family.
…/…
See agdaily.com


What the data says (and doesn’t say) about crime in the United States, by John Gramlich

In 20 of 24 Gallup surveys conducted since 1993, at least 60% of U.S. adults have said there is more crime nationally than there was the year before, despite the generally downward trend in national violent and property crime rates during most of that period.

While perceptions of rising crime at the national level are common, fewer Americans believe crime is up in their own communities.

https://www.pewresearch.org/wp-content/uploads/2020/11/FT_20.11.12_CrimeInTheUS_2.png
See pewresearch.org

Vidéo de l'Académie
d'Agriculture de
France



The (loving) Jewish mothers’ joke

Three Jewish mothers are sitting on a bench, arguing over which one’s son loves her the most.

The first one says, “You know, my son sends me flowers every Shabbos.”

“You call that love?” says the second mother. “My son calls me every day!”

“That’s nothing,” says the third woman.

“My son is in therapy five days a week. And the whole time, he talks about me!”

   

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