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Avant l'informatique et la bureautique, mais on cherchait déjà
des alternatives au pétrole !
14/08/2023
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Beaucoup de tracteurs sont sortis de cette usine de Vierzon
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La mer qu'on voit danser...
14/08/2023
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Ceci étant, le réchauffement de notre
planète est une réalité parfaitement
mesurable et mesurée !
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Opinions
et curiosités du web (1)
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Les quartiers populaires sont une “France profonde” qu’on ne
reconnaît pas comme telle ? Par Frédéric Sarkis, Délégué
Renaissance dans les Hauts-de-Seine
Plutôt que de reléguer les « jeunes des cités » dans
un statut de voyous ou de victimes, il faut stopper la machine
infernale qui concentre les flux d’immigration, et donc les difficultés,
sur certains quartiers, soutient Frédéric Sarkis, enseignant-chercheur
et délégué Renaissance dans les Hauts-de-Seine.
Les journées d’émeutes que nous avons connues, liées au meurtre
de Nahel M. par un policier le 27 juin, ne sont pas une révolte,
mais une conséquence de la désagrégation de notre société. La
montée de l’hyperindividualisme, la perte de tout sens du collectif,
la recherche du plaisir et de l’excitation, en particulier à travers
les réseaux sociaux, sont des maux généralisés. Il y a un mal-être
français, conséquence d’un choc culturel entre une culture et
des traditions héritées des Lumières et du progrès, et une évolution
de la modernité face à la mondialisation, marquée par un capitalisme
agressif flattant le plaisir jusqu’à brûler la planète sur laquelle
on vit.
Cette colonisation culturelle n’est pas due à l’immigration. Elle
est une « autocolonisation » par une évolution de notre
propre culture, transformée par la mondialisation et les nouveaux
moyens de communication. Le sentiment de perte des valeurs et
de malaise identitaire est réel, même si beaucoup se trompent
sur la cause de celui-ci. L’immigration n’explique pas le mal-être
culturel, mais les Français issus de cette histoire en subissent
doublement les effets et c’est peut-être pour cela que les émeutes
sont nées et ont été plus fortes dans les quartiers.
Ce n’est pas dans le monde arabe que ceux des jeunes qui
« zonent » ou « dealent » dans les cités ont
appris à s’habiller en streetwear ou à écouter du gangsta rap.
Ni à devenir des délinquants ou à multiplier les incivilités.
Non, c’est bien en France. Les classes populaires sont celles
qui ont le moins de protections pour résister à la sous-culture
qui sévit, amplifiée par les réseaux sociaux. Arrêtons d’essentialiser
ces dits « jeunes de cités » en les reléguant dans un
statut de voyous ou de victimes. Les quartiers populaires sont
une « France profonde » qu’on ne reconnaît pas comme
telle.
>>> Retrouver l’unité de notre nation
La quasi-totalité des parents peinent à enseigner la valeur du
travail à leurs enfants, ou à contrôler leur temps de connexion
sur les réseaux sociaux. Imaginez des parents qui ont moins de
moyens culturels et financiers, et qui habitent dans des quartiers
où cette sous-culture règne dans la rue. Malgré cela, il y a beaucoup
d’espoir et de réussite dans ces lieux, car l’envie de réussir
y est souvent plus forte. D’ailleurs, de plus en plus, les jeunes
qui en sont issus réussissent professionnellement dans tous les
domaines d’activité.
Le départ de ces quartiers des membres des classes moyennes ou
de ceux qui se sont intégrés socialement et économiquement n’a
pas réglé les problèmes. En effet, on a pu constater que ceux
qui partaient étaient continuellement remplacés par d’autres,
pour la plupart en provenance des classes populaires, souvent
originaires de pays aux mains de dictatures et beaucoup plus pauvres,
avec un niveau d’éducation bien moindre. Nous avons inventé, en
fait, des machines à produire des nouveaux « Français profonds »
qu’il s’agit d’intégrer ou de former, pour reprendre le vocable
et l’ambition des « hussards de la République ».
Nous devons stopper cette machine infernale. Et pour cela, il
faut d’abord que les flux d’immigration ne se concentrent pas
sur certains quartiers, afin de laisser les populations de ces
quartiers réussir leur ascension sociale. Car le souci aujourd’hui
n’est pas le fait que l’ascenseur soit cassé, mais qu’on envoie
trop de monde au même étage, dans la même cabine. La réponse ne
consiste plus à créer des postes de travailleurs sociaux ou, pour
ceux qui n’auraient pas la chance de le devenir, des « grands
frères ». Elle n’est pas non plus de reproduire à l’infini
des plans Borloo [nom donné à un projet présenté en 2004,
ainsi qu’à un rapport soumis en 2018 à Emmanuel Macron,
finalement écarté par ce dernier] – en accroissant de manière
inflationniste les fonds de la politique de la ville, souvent
détournés par les collectivités locales pour alléger leurs budgets
jeunesse, sport ou culture.
Il faut viser à dédensifier les quartiers pour les ouvrir aux
autres et permettre de retrouver l’unité de notre nation dans
le respect de sa diversité. Cela en favorisant les réussites individuelles,
en particulier dans le secteur de l’éducation et de l’emploi.
À l’image des « emplois francs », exonérés de charges
sociales, créons par exemple des « parcours scolaires francs »,
en faisant en sorte que tout élève en provenance des quartiers
populaires apporte une allocation supplémentaire au lycée qui
le reçoit, qu’il soit public ou privé.
Frédéric Sarkis est enseignant-chercheur et délégué Renaissance
dans la 1re circonscription des Hauts-de-Seine.
Voir
lemonde.fr
Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour
l'avenir de la vigne
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le livre
Famille de paysans dans un intérieur / Peasant family in an
interior, 1642, par Louis Le Nain (1593-1648), musée du Louvre
01
- 14/08/2023
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Repas paysan / Peasant meal, par Louis le Nain (1593-1648)
02
- 14/08/2023
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« Pesticides : la grande illusion de la protection des agriculteurs
» de Stéphane Horel, paru dans le journal Le Monde du 16 février
2023, critiquant vivement les équipement de protection
individuelle (EPI) utilisés lors de l'application de produits
phytosanitaires dans les champs
Je suis loin d'être un spécialiste mais il me semble
que cet article
présente la question de la protection des agriculteurs utilisateurs
de produits phytosanitaires sous un angle nettement complotiste,
loin d’une information équilibrée. Ainsi il conclut que :
« C’est un monde de meurtriers sans méchanceté [sous-entendu sociétés
phytosanitaires, distributeurs de produits phytosanitaires, agences
d’évaluation…] et de victimes sans haine [sous-entendu, ces grands
nigauds de paysans]. ».
L'autrice n'a pas peur de la caricature !
Je suis pour ma part persuadé que tous les acteurs s’accordent
sur la nécessité d’améliorer, sans arrêt, les connaissances
et la sécurité des utilisateurs de produits phytosanitaires, associés
dans ce papier à l’agriculture intensive, comme si toutes les
autres agricultures y compris l’agriculture biologique n’en utilisaient
pas !.
Dans cette article, il n’est jamais fait référence au progrès
continu recherché aussi bien par que les agences d’évaluation
que par les entreprises avec par exemple le développement récent
du système EasyConnect de bouchons sécurisés, des pulvérisateurs
équipés de buses capables de réduire la dérive de 65 à 90%, de
la visionique permettant d’appliquer automatiquement le traitement
sur les adventices présentes et non en généralisé sur toute la
surface du champ…
Les spécialistes des produits de protection des cultures
qui connaissent l'histoire des produits phyto, aiment à
juste titre à rappeler que nos grands-parents utilisaient
l’acide sulfurique, l’arsenic ou l’acide cyanhydrique pour protéger
leurs cultures !
Il n’est pas non plus fait mention des coefficients de sécurité
(x 100 voire x1000) appliqués lors de l’évaluation pour fixer
les niveaux d’exposition.
Le message distillé par ce document, renforcé par des intertitres
à sensation (Exemple : « Six pathologies graves »,
« Des produits faits pour tuer »), incite à penser que par négligence ou aveuglement ou soif
de profits, les protagonistes de la protection des cultures laissent
se perpétrer un empoisonnement collectif.
Il transpire le mépris vis-à-vis des agriculteurs, des personnels
des sociétés de produits phytosanitaires et des personnels des
agences d’évaluation de ces produits.
Ce message est aussi en contradiction avec les conclusions de
l’étude Agrican sur une cohorte de 180000 assurés agricoles (actifs
et retraités), la plus importante au monde et qui montre une sous
mortalité pour la population agricole par rapport à la population
générale du même département et du même âge avec moins d’Alzheimer
ou de Parkinson, d’infarctus ou d’AVC ou de maladie respiratoire.
Il est sans doute dommage que l’excellent Pierre Lebailly qui
a dirigé cette étude Agrican, ne la mentionne pas alors que la
thèse avancée aujourd’hui nous parait en contradiction avec les
résultats d’Agrican.
Par ailleurs cet article de S. Horel semble inspiré de
la 2ème partie de l’ouvrage « Pesticides :
comment ignorer ce que l’on sait », de J-N Jouzel, non seulement
par son thème, mais aussi par son narratif. Le caractère désordonné
et répétitif de cet ouvrage avait pourtant de quoi alerter S.
Horel, mais cela n’a manifestement pas été le cas.
Enfin, il faudrait nous expliquer en quoi il serait illégitime
de conseiller aux agriculteurs de se protéger, quand on sait que
c'est le cas de toutes les professions à risque, des policiers
et des pompiers (par les temps qui courent !) aux médecins en
passant par les égoutiers et les apiculteurs.
Chacun peut comme S. Horel privilégier le « cherry picking »
dans les informations disponibles afin de réaliser un dossier
uniquement à charge. Cette méthode ne laisse pas
beaucoup de place à un débat équilibré.
Voir
lemonde.fr
“Have you heard the awesome news? The end of the world is almost
here. It begins on May 21, 2011. The Bible guarantees it.”
Arthur Rimbaud
Je connais mal Rimbaud... Mais ce poème me dit que je vais y
remédier...
Il existe des poésies qui m'aident, moi athée, à approcher la
foi (Victor Hugo, Francis Jammes, Pierre Emmanuel, Marceline
Desbordes...).
Il en existe qui devraient aider les chrétiens à comprendre
les mécréants : celui-ci en est.
Rimbaud haïssait la religion : est-il possible de trouver ailleurs
une telle qualité de dégoût de la bigoterie, un tel piétinement
de la servitude des malheureux face à la religiosité ?
Cette vigoureuse charge fâchera ou réjouira : de toutes façons,
elle vous fera réfléchir !
|
Les pauvres à l’église, de Arthur Rimbaud, 1871 (1854
- 1891)
Parqués entre des bancs de chêne, aux coins d'église
Qu'attiédit puamment leur souffle, tous leurs yeux
Vers le chœur ruisselant d'orrie et la maîtrise
Aux vingt gueules gueulant les cantiques pieux ;
Comme un parfum de pain humant l'odeur de cire,
Heureux, humiliés comme des chiens battus,
Les Pauvres au bon Dieu, le patron et le sire,
Tendent leurs oremus risibles et têtus.
Aux femmes, c'est bien bon de faire des bancs lisses,
Après les six jours noirs ou Dieu les fait souffrir !
Elles bercent, tordus dans d'étranges pelisses,
Des espèces d'enfants qui pleurent à mourir.
Leurs seins crasseux dehors, ces mangeuses de soupe,
Une prière aux yeux et ne priant jamais,
Regardent parader mauvaisement un groupe
De gamines avec leurs chapeaux déformés.
Dehors, le froid, la faim, l'homme en ribote :
C'est bon. Encore une heure ; après, les maux sans noms
!
- Cependant, alentour, geint, nasille, chuchote
Une collection de vieilles à fanons :
Ces effarés y sont et ces épileptiques
Dont on se détournait hier aux carrefours ;
Et, fringalant du nez dans des missels antiques,
Ces aveugles qu'un chien introduit dans les cours.
Et tous, bavant la foi mendiante et stupide,
Récitent la complainte infinie à Jésus
Qui rêve en haut, jauni par le vitrail livide,
Loin des maigres mauvais et des méchants pansus,
Loin des senteurs de viande et d'étoffes moisies,
Farce prostrée et sombre aux gestes repoussants ;
- Et l'oraison fleurit d'expressions choisies,
Et les mysticités prennent des tons pressants,
Quand, des nefs où périt le soleil, plis de soie
Banals, sourires verts, les Dames des quartiers
Distingués, - ô Jésus ! - les malades du foie
Font baiser leurs longs doigts jaunes aux bénitiers.
Signalé par Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com
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Dame faisant la charité, 1863, par Léon
Bonnat

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Le "Sylvatorium" du Capucin, à l’ombre du Capucin,
beau dyke volcanique dominant la petite ville de Mont-Dore, au
pied du Puy de Sancy
Il vous faut essayer d’agrandir au besoin ces photos que j’ai
prises au Sylvatorium du Capucin. J’ai adoré me promener autour
de Mont-Dore, et je n’ai pas eu besoin de mesurer les vibrations
émises par les arbres. Le concept de sylvothérapie m'échappe
complètement, aussi bien que celui de "sylvatorium".
La collaboration de l’Inrae à ce projet ne valide sans doute pas
ces "calembredaines" comme on disait autrefois.
L’instrument permettant de mesurer les vibrations de la forêt
(?!?)
Les couleurs de la forêt
Les vibrations de la forêt
Pour se reposer – Station 1
Pour se reposer – Station 2
Pour se reposer – Station 3
Patrimoine religieux en péril : la messe n'est pas dite…
Un sujet majeur pour beaucoup de communes rurales
Voir
senat.fr
« Il existe un certain surdimensionnement du patrimoine mis
à disposition de l’Église catholique par rapport à l’usage qu’elle
en fait
Une tribune parue dans Le Monde des sénateurs Catherine
Morin-Desailly (Union centriste, Seine-Maritime), Pierre Ouzoulias
(Parti communiste, Hauts-de-Seine) et Anne Ventalon (Les Républicains,
Ardèche)
Face à la baisse de la pratique cultuelle, se pose la question
du devenir des églises. Dans une tribune au « Monde », les sénateurs
Catherine Morin-Desailly (Union centriste, Seine-Maritime),
Pierre Ouzoulias (Parti communiste, Hauts-de-Seine) et Anne
Ventalon (Les Républicains, Ardèche) en appellent au développement
d’activités ouvertes aux non-pratiquants.
Il existe une contradiction entre l’intérêt considérable que
portent les populations à leur patrimoine religieux et les difficultés
de son entretien et de son animation, dans le contexte d’une
baisse sans précédent de la pratique religieuse. Dans les villages,
la ruine ou la disparition de l’église est souvent ressentie
avec la même angoisse que la fermeture de l’école. Mais quelle
est l’ampleur du phénomène ?
Le ministère de la culture dispose d’une bonne connaissance
des édifices protégés au titre des monuments historiques. En
revanche, depuis 2004 et le transfert des services chargés de
l’inventaire du patrimoine culturel aux collectivités régionales,
l’État s’est privé des moyens d’établir un tableau d’ensemble
de la situation des églises qui ne bénéficient pas de ce statut.
Pour disposer d’une statistique nationale, il faut se tourner
vers une association, l’Observatoire du patrimoine religieux,
qui poursuit un ambitieux programme de recensement.
L’Observatoire estime que ce patrimoine est riche d’environ
100 000 édifices – en grande majorité catholiques. Plus
de 40 000 appartiennent aux communes. Cinq cents sont totalement
fermés et entre 2 500 et 5 000 seraient dans une situation
sanitaire préoccupante ou risqueraient d’être détruits ou vendus,
soit 5 % des édifices religieux au maximum. C’est finalement
peu, et cette estimation conforterait le sentiment général d’un
patrimoine cultuel français en relativement bon état.
.../...
Pour la France, le colloque organisé au Sénat, en juin, par
l’Institut Pèlerin du patrimoine a confirmé qu’il existe une
volonté forte des collectivités, de l’Église et des associations
de défense du patrimoine de travailler à la conservation des
églises, tout en organisant leur « resocialisation » par des
« activités compatibles » avec le culte.
La Conférence des évêques de France lancera en septembre ses
États généraux du patrimoine religieux. Il lui revient de proposer
le cadre pour ces deux missions indissociables.
Voir
lemonde.fr
OGM : l’Union européenne réglemente, encore et toujours !
Par André Heitz (la réglementation est indispensable
bien sûr, encore faut-il que chacun tienne compte des
avancées des sciences et techniques - GW)
Quand l'amélioration des plantes traditionnelles « dont la sécurité
est avérée depuis longtemps » déraille". Voici un petit
recueil d'anecdotes sur les quelques déboires de la création
variétale, les pommes de terre Lenape et Magnum Bonum, le céleri
super-allergène...
Voir
contrepoints.org
Une
centaine d'aquarelles de cépages français
réalisées par l'illustre Pierre-Joseph Redouté,
ont été retrouvée à l'Académie
d'agriculture. Elles témoignent de la naissance
d'une science des vins.
Au
début du XIXe siècle, le minsitre de l'Intérieur
Jean-Antoine Chaptal demande à Pierre-Joseph Redouté,
connu pour ses peintures des roses du château de
Malmaison, de représenter l'ensemble des cépages
français réunis dans une collection au jardin
du Luxembourg. Quatre-vingt trois aquarelles sur vélin
de variétés de vignes nous sont parvenues.
Elles sont publiées pour la première fois
et accompagnée d'un texte explicatif de l'un des
plus grands ampélographes français : Jean-Michel
Boursiquot.
Ces planches ont une valeur patrimoniale incomparable.
Elles ont été réalisées par
les plus fameux illustrateurs botaniques de l'époque,
au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté
et marque une date hautement symbolique dans l'histoire
de la viticulture française : les prémices
de l'ampélographie.
À l'heure du regain d'intérêt pour
les cépages autochtones et des nombreuses interrogations
que posent le réchauffement climatique, les vélins
témoignent de la diversité passée
dans un pays où 95% de la production vinicole reposent
aujourd'hui sur 40 variétés. Au-delà
de la reproduction de ces planches, c'est l'histoire du
vin et de la vigne qui nous est racontée, ou comment
on s'est inquiété de la qualité du
vin dès le XIXe siècle. L'ouvrage se conclut
par un éclairage scientifique sur l'avenir de la
vigne au XXIe siècle.
Voir
editionspaulsen.com
|
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Belarusian connection revealed in children’s abductions from
Ukraine, by Georgi Gotev, Belarusian Investigative Center
A coalition of Belarusian investigative journalists based abroad
has identified officials cooperating with the Russian authorities
in children’s abductions from the occupied territories of Ukraine
and their indoctrination.
Shortly after Russia’s full-scale invasion of Ukraine in February
2022, the country began to forcibly remove children from occupied
territories, assimilating them into Russian life and creating
barriers to reunification with their families. According to the
Ukrainian project Children of War, almost 20,000 were deported
to Russia.
.../...
See
euractiv.com
Fin du Sida grâce aux thérapies antirétrovirales / End of AIDS
thanks to Active Antiretroviral Therapies
Mon sentiment (GW) : cette annonce de la fin du sida qui
aura été une malédiction pour une génération qui a été décimée,
et qui a poursuivi les suivantes pendant plus de 40 ans, est un
événement, de même que la victoire contre le coronavirus… Cette
annonce devrait nous convaincre que nous pourrons surmonter les
difficultés liées au changement climatique, la décarbonation
des énergies... Certes, les techniques ne suffisent pas
mais elles nous aident beaucoup !
Au bonheur des bistrots, photographies de Pierrick
Bourgault
Une bonne partie des photos ont été prises dans les
bourgs des campagnes...
Cafés et bistrots sont des bulles ouvertes sur
le monde. Les visages et les lieux racontent leur quotidien,
un territoire, des cultures.
Litinéraire
photographique de Pierrick Bourgault se glisse dans
des univers intimistes parfois insolites, souvent chaleureux,
toujours dune infinie diversité et précieux
pour la qualité de la vie.
Ces bistrots à vins, bars-concerts, cafés
urbains ou ruraux ont une âme : celle des femmes
et des hommes qui les ont fondés, qui y travaillent,
qui les fréquentent.
Lhumanité se reflète dans leurs
miroirs et sur le zinc de leurs comptoirs, à
la hauteur du coude et du cur.
Pour
commander…
|
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Lettre à Mathilde Panot, députée Nupes, spécialiste du climat
[par J.-P. Pelras]
Madame,
vous avez récemment déclaré sur France Info, concernant les retenues
d’eau, plus communément appelées “bassines”, qu’elles étaient
une idée de Pinochet. Évidemment tant qu’à faire, et même si les
cratères de volcans éteints étaient déjà utilisés 3 000 ans avant
Jésus Christ, autant attribuer à ceux qui osent braver la pensée
écologique ambiante, quelques réalisations dictatoriales servant
ou non à collecter l’eau de pluie.
Vous devriez, à ce titre, condamner les barrages, puisque Franco
en fit implanter un peu partout en Espagne, mais aussi les autoroutes
dont Hitler était un adepte fervent et, entre autres édifications
despotiques, quelques ponts dont le plus long du monde, celui
de Danyang Kunshan, se situe en Chine, pays réputé pour ses penchants
démocratiques…
Tout est bon chez les nouveaux ambassadeurs du climat pour nous
rappeler où se situe le camp du bien et celui du mal, quitte à
verser dans la comparaison grossière tant qu’elle n’effleure pas
le culte de Trotski, Castro et autre Chavez, chers au chef de
file d’une France insoumise dont la sympathie envers certains
autocrates n’est plus à démontrer. Ou comment le climat est devenu
ce fonds de commerce dont une certaine gauche, qui n’en est plus
à un paradoxe près, s’est subitement emparée.
Lors de cette émission, vous avez d’ailleurs déclaré : “Nous avons
connu les 7 jours les plus chauds sur les 100 000 dernières années”.
Affirmation rapidement contrée par ceux qui vous ont rappelé que
les relevés de températures détaillés existaient depuis seulement
1850. Ensuite, bien évidemment, il faudrait remonter à la période
précédant les cent derniers millénaires et ce qui correspondait
soi-disant (avec un delta de 90 000 ans…) à une période glaciaire.
Un saut dans le temps qui n’entre peut-être pas dans votre champ
de compétences scientifiques, sachant qu’à cette époque l’activité
humaine, que vous fustigez à l’avenant, était bien entendu plus
qu’anecdotique.
Mais revenons à ce et à ceux qui impactent le climat, responsables
selon vous (avec la police pour d’autres aléas…) des menaces qui
pèsent sur nos sociétés, sur notre modus vivendi, sur nos territoires.
Un combat que vous menez aux côtés de Sandrine Rousseau, “députée
des réseaux sociaux”, avec le courage qui caractérise ceux qui
sont appelés à entrer dans l’histoire. Madame Rousseau qui, même
si elle a été vue attablée avec Autain, Mélenchon et Coquerel
devant une tranche de jambon, déclarait tout de même : “La consommation
de viande est l’une des causes des feux et fortes chaleurs.” Après
avoir précisé que la tranche en question avait été “mangée le
12 juin 2021”, soit deux ans avant la tenue de ses propos végétariens,
elle rajoute, toujours sur Twitter : “Je pose ici que pour espérer
ralentir la catastrophe climatique il faut réduire de 70 à 80
% la quantité de viande que l’on mange. Pas la peine, forcément,
d’aller à 100 %. (ADEME). Si toutefois votre motivation est la
cause animale, alors il faut arrêter complètement.” Ou encore
“La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe
en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout. Se prendre
en photo, tout sourire, avec un morceau de viande, aujourd’hui,
c’est cracher à la figure de celles et ceux qui fuient, brûlent,
meurent de chaleur.” Le message ne précisant pas s’il existe une
quelconque dérogation concernant la charcuterie…
Sincèrement, Mesdames, pensez-vous que nous vous versons une indemnité
parlementaire mensuelle de 7 605 euros bruts (hors frais de mandats
et autres avantages liés à la fonction) pour nous donner des informations
sur le yoyo des thermomètres et nous prodiguer (ou nous imposer)
des conseils concernant le contenu de nos assiettes ?
La politique française en serait-elle réduite à savoir si nous
devons préférer le jus de navet au faux filet et la mare naturelle
aux bassines de Pinochet ? Ou bien est-elle en train de s’enfoncer
inexorablement dans les sables mouvants d’une pensée tout autant
sordide qu’hallucinée ?
Voir
lagri.fr
Contrepoints - Fin de l’impression du ticket de caisse : un
exemple de décision hors-sol
Voir
contrepoints.org/
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
Ma remarque (GW) : Il y aura toujours des amis qui seront pour
tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour… en l’occurrence,
j’ai trouvé la fin du ticket de carte de crédit, assez naturelle.
Il y avait longtemps que je ne vérifiais plus mes achats. Et je
ne pleurerai pas la disparition des tickets de caisse. Simplement,
je trouverais naturel que l’édition du ticket de caisse reste
proposée, ne serait-ce que comme justificatif d’achat…
Enjeux
biotechnologiques : des OGM à l’édition du génome, par
Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture
L’évolution des techniques de modification du génome par
génie génétique s’est caractérisée par une rupture technologique
majeure avec la découverte de CRISPR en 2012. On distingue
désormais les biotechnologies de première génération mises
au point au XXe siècle et les biotechnologies actuelles
de deuxième génération, les NGT ou New Genomic Techniques,
dont l’édition du génome. Comment considérer ces modifications
génomiques par rapport à celles qui se produisent spontanément
dans la nature ? Quelles sont les applications de ces
techniques dans les domaines du végétal, de l’animal et
de la santé humaine ? Quelles perspectives en termes de
développement et d’indépendance pour les pays ? Quelle
réglementation est en vigueur sur les différents continents
?
L’ouvrage questionne ce que sont les OGM, les produits
d’édition du génome et la place des transformations génomiques
aujourd’hui et demain dans nos sociétés. L’auteur se propose,
à partir de son expérience au Comité scientifique du Haut
Conseil des Biotechnologies (HCB) pendant toute sa durée
(2009-2021), de donner quelques repères géostratégiques
et réglementaires sur les biotechnologies afin de mieux
cerner les enjeux actuels.
Voir
pressesdesmines.com
|
 |
Yann Kindo a relevé sur sa page facebook.com cette perle.
C’est dommage de mal vieillir comme le fait Ségolène Royal dont
j'ai vraiment apprécié son action contre le bizutage dans l'enseignement
supérieur (GW).
Yann Kindo
a écrit :
"Malgré la concurrence féroce de Sandrine Rousseau, Ségolène
Royal garde une longueur d'avance et reste championne toutes catégories.Dans
ce livre publié aux très ésotériques éditions du Rocher, Ségolène
nous apprend donc, après relecture par l'éditeur, que 9 MILLIONS
de personnes meurent chaque jour de la faim ou de la guerre.
9 millions X 365 = 3 285 000 000 morts.
Autrement dit, presque la moitié de l'humanité meurt chaque année.
Sachez-le : dans trois ans il n'y a plus d'humains sur terre.
C'est Ségolène qui vous le dit."
Evidence
Based Bonne Humeur… à la recherche de l’esprit critique,
un excellent livre de Romain Meunier !!!
>> Un ouvrage ludique et qui fait chauffer les neurones.
À mettre entre toutes les mains !
Francois-Marie BRÉON, président de L'Association française
pour l'information scientifique (Afis)
>> L’esprit critique se défend de toutes les façons,
même avec des petites boules bavardes et cartoonesques.
Romain Meunier nous démontre avec son livre qu’on peut
allier pertinence et impertinence.
Gérald BRONNER, sociologue, membre de l'Académie des technologies
Voir
Livre d’or
Voir la présentation
du livre et le commander
|
 |
Un invraisemblable tour de magie, signalé par Georges LARROQUE
Voir
video
Ce tour de magie expliqué ?
Voir
video
« La crise française doit être située dans la complexité d’une
polycrise mondiale et dans le contexte d’un recul des démocraties
», par Edgar Morin, sociologue et philosophe
Du XXᵉ siècle aux tensions liées à la mort de Nahel M.,
la France, historiquement divisée, connaît aujourd’hui une dégradation
des vertus de sa civilisation, amplifiée par une pensée unilatérale
incapable d’appréhender les interactions à l’œuvre à l’échelle
planétaire, analyse le philosophe dans une tribune au « Monde
».
.../...
La désindustrialisation de notre économie et l’industrialisation
de l’agriculture sont devenues deux maux conjoints qui aggravent
la crise de l’État bureaucratisé, sclérosé et parasité à ses sommets
par les lobbies. La crise de la famille se manifeste par la dislocation
des liens entre générations, les séparations des couples, l’expédition
des vieux dans les Ehpad. La crise du sacré affecte la vénération
des parents, le sens immémorial de l’hospitalité, le respect d’autrui,
le statut accordé à l’État et à la nation. La crise de la médecine
est liée à la déchéance du médecin généraliste par rapport aux
spécialistes, alors qu’il devrait être le chef d’orchestre qui
relie les savoirs spécialisés ; elle est inséparable de l’hégémonie
des grandes firmes pharmaceutiques sur le monde médical.
.../...
Voir
lemonde.fr

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Afia
Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BÊTISE (La) : Elle est infiniment plus fascinante que l'intelligence,
infiniment plus profonde, car l'intelligence, elle, a des limites,
tandis que la bêtise n'en a pas.
Claude CHABROL
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de lédition du 27 juillet 2023 de cette gazette afia
>>> Latest
issue of the Efita Newsletter nb 1076 dated August 14, 2023
>>> Latest
available statistics for the efita newsletter
Paysans dans un paysage / Peasants in a landscape, 1640, par
Louis Le Nain (1593-1648), Washington, National Gallery of Art
03
- 14/08/2023
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Paysans dans un paysage (détail) / Peasants in a landscape
(detail), 1640, par Louis Le Nain (1593-1648), Washington, National
Gallery of Art (détail)
04
- 14/08/2023
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Les cartes des appellations viticoles disponibles en ligne
L’Inao lance un portail des plans officiels de délimitation des
AOP et IGP. Professionnels comme particuliers peuvent à tout moment
les consulter et les télécharger.
Voir
vitisphere.com
Cartes des signes officiels de la qualité et de l'origine
Voir
inao.gouv.fr
Centre de ressources du réseau Agriculture Numérique & Agroéquipement
pour l'Enseignement Agricole
Un site du réseau d'échange et de mutualisation des équipes pédagogiques,
des exploitations et des ateliers technologiques de l'enseignement
agricole français sur l'agriculture numérique et l'agroéquipement.
Un réseau du collectif Réso'them, collectif d'animateurs pour accompagner
la transition agroécologique dans l'enseignement agricole. Ce réseau
mis en place par le ministère de l’Agriculture (DGER) est en structuration
et initié depuis février 2022.
Voir
padlet.com
Au Robillard : une vision du métier d’éleveur à travers le bien-être
animal et par le numérique
Le numérique a aujourd’hui intégré l’exploitation du lycée agricole
du Robillard et ses formations. Il vient enrichir les réflexions
de l’établissement déjà existantes sur les enjeux liés à l’évolution
de l’élevage.
Voir
adt.educagri.fr
À Barbezieux, on teste les robots pour le travail de la vigne
Les démonstrations de robots viticoles se succèdent sur l’exploitation
de Barbezieux. Objectif : acquérir le modèle le plus adapté
aux spécificités des vignes du cognac et poursuivre l’intégration
des nouvelles technologies dans les contenus des formations.
Voir
adt.educagri.fr
La Cazotte, une exploitation labellisée Digiferme®
L’exploitation de l‘établissement de la Cazotte à Saint-Affrique,
en Aveyron, a déjà une longue expérience de l’expérimentation. Depuis
2022, elle est devenue membre du réseau Digiferme® et explore les
apports du numérique en production ovine.
Voir
adt.educagri.fr
Sciences et Pseudo-Sciences n°345 (juillet 2023) : Intelligence
Artificielle, ChatGPT
- IA génératives,
ChatGPT : révolution en cours ou apocalypse annoncée
? par Ludovic Denoyer et Jean-Paul Krivine
- IA génératives : une révolution en cours
? par Jean-Paul Krivine
- De lanalyse de la langue aux modèles génératifs
par Laure Soulier et Vincent Guigue
- Les systèmes dintelligence artificielle pour la génération
dimages par Ludovic Denoyer et Benjamin Piwowarski
- IA génératives : un risque accru de désinformation
? par Jean-Paul Krivine
- Intelligence artificielle et controverse sur la fin de lhumanité
par Jean-Paul Krivine
- Les questions juridiques inhérentes aux IA génératives
par Juliette Sénéchal
Data4Food2030 : un projet Horizon Europe pour une économie des
données équitable, inclusive et innovante au service des systèmes
alimentaires durables
Lancé en septembre 2022 pour une durée de 4 ans et doté d’un financement
de 10 millions d’euros, le projet européen Data4Food2030 vise à améliorer
l’économie des données pour les systèmes alimentaires.
Son objectif est de proposer des modèles d’entreprise et de gouvernance
des données issus d’un dialogue avec les parties prenantes. Cela se
traduira par un travail sur la définition de l’économie des données
et par la cartographie de son développement, de ses performances et
de son impact.
Ce projet réunissant chercheurs et acteurs de terrain issus de 12
pays d’Europe ambitionne aussi à proposer un système de surveillance
robuste pour une économie des données juste et soutenable.
Voir
inrae.fr
Data4Food2030: Discovering the value of data economy in
European food systems
We need to address the lack of understanding of multiple aspects of
the Data Economy for Food Systems in which data are not only a new
economic asset, but a strategic good in the transition to sustainable
food systems and to a fair and inclusive society.
We need to deepen our understanding and shared perspective of its
development, performance and impact, using an interdisciplinary systems
approach to avoid possible pitfalls and to ensure that it leads to
a desirable future state.
Data4Food2030 aims to improve the data economy for food systems by
expanding its definition, mapping its development, performance and
impact to create new insights and opportunities.
> Enlarge the knowledge base and insight into the data economy
for food systems
> Develop a system that monitors and evaluates the development,
performance and impact on relevant EU policies of the data economy
for food systems
> Identify drivers and barriers and turn these into opportunities,
recommendations and solutions
> Test solutions and evaluate recommendations in case studies and
through stakeholder dialogues
> Provide future scenarios and a roadmap and sustain the monitoring
system to support policy development and accelerate the desired future
state of the Data Economy for Food Systems
See data4food2030.eu
Chat
Robotique : « On ne savait pas que les CUMA faisaient tout
ça ! », par Marie-Flore Doutreleau, 2 août 2023
La fédération régionale des CUMA d'Occitanie
était co-organisatrice cette année du Forum international
de la robotique agricole (Fira) à Toulouse. L'occasion de partager
nos premiers retours d'expérience et de prise en main de robots,
notre expertise et de mettre en avant le réseau cuma.
La Frcuma Occitanie est partenaire du Fira depuis quasiment ses débuts.
L'association Gofar porte l'évènement. Cette dernière
souhaitait le faire évoluer vers une édition 100?% au
champ. Elle s'est donc tournée vers le réseau CUMA en
raison, notamment, de ses compétences en matière d'organisation
de démonstrations. Mais également pour son expertise
en agroéquipement et son expérience en matière
de robotique.
>> Des tests sur la robotique menés en conditions réelles
La frcuma Occitanie conduit en effet depuis maintenant plus de deux
ans des actions telles que démonstrations de matériels
et journées techniques, essais de robots avec des groupes en
viticulture et grandes cultures, production de références,
etc. "?
Notre rôle est de tester la technologie en conditions réelles,
indique Marie-Flore Doutreleau, chargée de mission agroéquipement
à la frcuma Occitanie, de s'assurer que la robotique répond
aux besoins des agriculteurs et qu'elle est pertinente sur le plan
technique, organisationnel et économique pour le groupe.
.../...
Voir
entraid.com
|
Publication
diffusée grâce au soutien de :
|
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISE (La) : Elle est le meilleur des tremplins tant pour celui
qui observe que pour celui qui est bête.
Louis SCUTENAIRE
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Comment l'informatique quantique va améliorer les piles à hydrogène
Airbus, BMW et Quantinuum travaillent actuellement ensemble sur
l'amélioration des réactions chimiques des catalyseurs des piles
à combustible grâce à l'informatique quantique.
See
h2-mobile.fr
How to Get a Voice-Controlled Version of ChatGPT on Android,
With VoiceGPT, by Cheryl Vaughn, Jun 30, 2023
If you're an Android smartphone user looking for a powerful chatbot
assistant that provides advanced features and can also work hands-free,
look no further than VoiceGPT.
The app allows you to control ChatGPT via voice commands. Not only
can you record your query with voice input, but you can also use
it to perform a variety of tasks within the ChatGPT interface, even
when you're on the go. Let's take a closer look at how you can set
up and use VoiceGPT on your Android device.
.../...
See makeuseof.com
Artificial intelligence is revolutionizing farming, especially
amid labor shortage, by AGDAILY, June 12, 2023
Some say the world is at a new frontier — artificial intelligence’s
technological frontier. And while self-driving Teslas seem a bit
overkill for farms, cutting-edge technology in agriculture is revolutionizing
how farmers produce food.
.../...
One thing is for certain, ag automation is going to continue to
grow. And with continued technological advances and automation,
the agricultural workforce and how farmers grow food will continue
to change.
See
agdaily.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISE (La) : Elle est l'une des deux choses dont on s'avise le
mieux rétrospectivement. L'autre, ce sont les occasions manquées.
Stephen KING
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
« La Bretagne agricole sera toujours productive en 2070 », par
Bernard Laurent, 11 août 2023
Les températures à l’échelle du globe battent des records. Serge
Zaka, agroclimatologue, décrit les grandes tendances culturales
des prochaines années.
Voir
paysan-breton.fr
Récolte mondiale 2023 de blé
La consommation de viande de nouveau en hausse en 2022
Après une hausse de 0,7% en 2021, la consommation de viande a progressé
de 0,8% en 2022, tirée par le poulet côté espèce et la restauration
hors domicile côté circuit. Les importations assurent le tiers de
la consommation française, dépassant les 50% pour la viande ovine
et le poulet.
Selon une synthèse conjointe d’Agreste et de FranceAgriMer, la consommation
totale de viande des Français, à domicile et hors domicile, a augmenté
de 0,8% en 2022, pour s’établir à 5,8 Mt équivalent-carcasse. Les
millésimes 2021 et 2022 effacent ainsi les baisses enregistrées
en 2019 et 2020 mais la consommation demeure inférieure à la moyenne
2015-2019. La hausse de +0,8% en 2022 s’explique pour un tiers par
la croissance de la population et pour les deux autres tiers par
l’augmentation de la consommation moyenne par habitant, qui s’établit
à 85,2 kilos équivalent-carcasse par habitant contre 84,9 kilos
en 2021.
.../...
Voir
pleinchamp.com
Une garantie rurale retenue pour la loi sur le zéro artificialisation
nette
La loi visant à faciliter la mise en œuvre du zéro artificialisation
nette (ZAN) a été promulguée au Journal officiel et publiée le 21
juillet. Les parlementaires se sont accordés sur l’adoption d’une
« garantie rurale », une autorisation à construire pour les communes
rurales, figurant parmi les décrets d’application.
Voir
agri-mutuel.com
Bio / Conventionnel (il ne s'agit de critiquer ici l'agriculture
bio qui correspond à une vraie demande : la comparaison montre
seulement que l'utilisation généralisée de
l'AB serait difficile)
En 2022, les rendements des grandes cultures issus de l’agriculture
biologique sont inférieurs à ceux obtenus en agriculture conventionnelle.
L’écart atteint 57 % pour le blé tendre contre 28 % pour le tournesol.
Bien que les rendements évoluent d’une année à l’autre, les écarts
entre bio et conventionnel sont stables dans le temps. Ils sont
plus ou moins marqués selon la région.
La baguette contient 20 % de sel en moins qu’en 2015, selon le
ministère
Les teneurs en sel dans les pains courants comme la baguette ont
diminué « de plus de 20 % » depuis 2015, selon le ministère de l'agriculture,
remplissant le premier objectif du plan de réduction annoncé par
la filière boulangerie en 2022.
Voir
agri-mutuel.com
Une excellente récolte de miel en 2022
La production de miel en France a été en 2022 l'« une des plus hautes
» de ces 10 dernières années, équivalente à l'excellente récolte
de 2020, selon l'Observatoire de la production de miel et de gelée
royale.
.../...
La production de miel bio a augmenté de seulement 20,9 % l’an dernier,
à 4 978 tonnes, selon l’Observatoire. Sur 62 744 apiculteurs recensés
par l’Observatoire, seuls 9 % ont plus de 50 ruches. Plus jeunes
– 46 ans en moyenne, contre 57 ans pour ceux qui en ont moins -,
ceux-ci ont produit l’an dernier plus des trois quarts de la récolte
nationale.
Voir
agri-mutuel.com
L'agriculture de conservation : agriculture conventionnelle de
demain en France ? Quelles implications pour les industriels de
l'agroéquipement et des espaces verts ? (Le pb vu par les constructeurs
de machines agricoles eux-mêmes)
L’agriculture de conservation des sols (ACS) conjugue la recherche
d’une moindre perturbation du sol, la maximisation de la couverture
des champs par des végétaux et leurs résidus, et la diversification
des espèces cultivées. Si son but initial de limiter l’érosion est
toujours d’actualité, l’ACS porte aussi d’autres promesses : préserver
ou améliorer la fertilité, stocker du carbone dans les sols agricoles,
ménager les ressources en eau ou encore réduire les besoins en intrants.
À l’heure de la transition agroécologique, les pouvoirs publics
ainsi que des sociétés de l’agro-alimentaire et de la restauration
entendent faire de l’ACS une source d’inspiration voire un modèle
pour l’agriculture française et européenne. Cette ambition soulève
des défis techniques, de formation et de conseil aux agriculteurs.
L’ACS devra aussi convaincre la société : méconnue du grand public,
sa mise en œuvre suscite néanmoins des polémiques sur l’utilisation
du glyphosate ou la multiplication des méthaniseurs. L’état de la
science reste par ailleurs à consolider sur ce qu’on peut attendre
de l’ACS en matière environnementale. Des tensions et des questions
qui surviennent dans un contexte d’incertitude globale où l’enjeu
de la souveraineté alimentaire prend une place croissante.
Voir
axema.fr
Des champs de lavande ravagés par une chenille dans le sud-est
Des parcelles de lavande ont été ravagées par une chenille dans
le sud-est de la France, en particulier dans la Drôme et les zones
en altitude, alors que la récolte se termine en Provence.
.../...
Le responsable de ce verger situé sur la commune de Lavaur est en
conflit avec des organisations écologistes locales depuis environ
deux ans : en avril 2021, il avait allumé des feux de braseros pour
protéger ses arbres du gel et les fumées avaient intoxiqué une vingtaine
de riverains, entraînant une mobilisation et une plainte du maire
Les Républicains, Bernard Carayon.
.../...
Voir
agri-mutuel.com
Le loup menace l’élevage pastoral dans les Alpes
Les présidents LR de six conseils départementaux alpins ont alerté
mardi le gouvernement sur la prolifération des loups qui selon eux
menace l'avenir de l'élevage pastoral dans la région.
Voir
agri-mutuel.com
Ours ou pas d'ours
L’ours, comme tellement d’autres animaux prédateurs, est un animal
opportuniste. Il préfère manger des brebis incapables de se défendre
plutôt que de courir après des isards ou grignoter des myrtilles.
La cohabitation en montagne est une vue de l’esprit. Si nous voulons
absolument que l’ours y revienne, alors il faut bannir toute activité
en montagne. Les randonneurs devront alors se munir de fusils car
la lutte sera rude (il n’y aura plus de brebis juteuse à se mettre
sous la dent pour l’ours).
Francis Bohy sur LinkedIn en réponse à un texte
de Reporterre.net paru le 5 août 2023.
Le verger de pommiers français : quelle évolution variétale ?
Par Yves Lespinasse, membre de l'Académie d'agriculture
Avant l'époque historique, les populations européennes collectaient
de nombreux fruits, dont la pomme existant en Europe sous l'espèce
sauvage Malus sylvestris. Les différents types de pommes que l'on
connaît aujourd'hui proviennent tous d'une domestication en Asie
centrale, entre 10 000 et 2 000 ans avant J-C. ; la route de la
soie a contribué à sa migration vers le Proche-Orient, avant de
gagner l'Europe il y a environ 1 500 ans. Au cours de cette migration,
il y a eu des apports par hybridation avec divers pommiers sauvages.
Voici donc, issu de cette longue histoire, le pommier domestique
(Malus domestica) et ses nombreuses variétés.
Voir
agri-mutuel.com
Valorex ambitionne de baisser les émissions de méthane avec son
aliment Tradilin
L’entreprise de nutrition animale Valorex, spécialisée dans les
graines oléagineuses et protéagineuses met en avant les atouts de
son produit Tradilin dans la réduction des émissions de méthane.
Voir
agri-mutuel.com
Canicule et agriculture : « L’Espagne ne pourra plus être le
verger de l’Europe », par Serge Zaka
Les températures caniculaires dans le sud du Vieux Continent font
craindre des pertes de rendements agricoles. Au-delà de 43°C, les
cultures méditerranéennes subissent un stress thermique et peuvent
perdre leurs fleurs, feuilles et fruits, prévient l’agroclimatologue
Serge Zaka.
Voir
liberation.fr
La charrette / The cart, par Louis Le Nain (1593-1648), musée
du Louvre
05
- 14/08/2023
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La visite à la grand-mère / The visit to the grandmother (~1645-1650),
par Louis Le Nain (1593-1648), Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
06
- 14/08/2023
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Alerte rouge sur la production de céréales européenne en raison
des vagues de chaleur de l’été 2023 ? Une interview de André Heitz
par Atlantico.fr
Avec les vagues de chaleur du début de l’été 2023, notamment pour
le sud de l’Europe, la production de céréales européenne suscite
l’inquiétude. Mais est-ce bien si alarmant que ça ?
…/…
L'Europe est aussi suffisamment armée sur le plan, disons, intellectuel
et économique. Un leitmotiv de M. Julien Denormandie, un des meilleurs
ministres de l'agriculture des temps récents : « ...Et donc, en
fait, cette révolution agricole, cette 3ème révolution agricole,
elle est très simple à comprendre, elle est fondée sur 3 choses,
le numérique, la robotique et la génétique. »
Mais... Mais sommes-nous armés sur le plan de notre approche, de
notre attitude vis-à-vis de l'agriculture, de l'environnement, du
système économique ?
…/…
Voir
atlantico.fr
Les chlorophylles, par Hervé This, membre de l’Académie d’agriculture
Voir vidéo
Le soja (Glycine max), par Xavier Pinochet, membre de l’Académie
d’agriculture (Réf. AAF : n° 01.02.Q07)
Le soja est une culture importante pour la souveraineté en protéine
dans l'alimentation animale et humaine, et pour la diversification
des systèmes de culture.
Les surfaces en France et en Europe progressent régulièrement depuis
quelques années. Le soja est facile à cultiver, ne nécessite qu'un
minimum d'intrants, et fixe l'azote atmosphérique par le biais d'une
symbiose avec une bactérie spécifique.
Cette espèce nécessite une bonne alimentation hydrique. C'est aussi
l'une des principales espèces cultivées en Bio (près de 30 % de
la surface cultivée). Ceci en fait un atout indéniable pour la promotion
d'une agriculture durable à faible impact environnemental.
La valorisation principale est l'alimentation animale non OGM. Les
débouchés en alimentation humaine se développent progressivement.
Voir
academie-agriculture.fr
Beaucoup de questions demeurent sur les biochars, par Agnès Cussonneau,
04 Août 2023
Ressemblant à du charbon, noir, solide et poreux, le biochar s’annonce
comme une solution intéressante pour retirer du CO2 de l’atmosphère.
Ce matériau est d’ailleurs plébiscité par Jean Jouzel, climatologue
et ancien vice-président du Giec.
Pour leur rôle de séquestration stable du carbone, les biochars
peuvent intéresser différents secteurs d’activité comme les travaux
publics et le bâtiment. En épandage agricole sous nos latitudes,
des précautions sont à prendre.
Voir
paysan-breton.fr
Améliorer en même temps l’efficience de son exploitation et diminuer
son empreinte carbone, par Carole David, 04 Août 2023, article réservé
aux abonnés au "Paysan Breton"
Si le marché carbone permet de rémunérer les acteurs pour le projet
bas-carbone entrepris, « il permet de progresser sur le plan technique
et économique ; les deux vont de pair », insistent effectivement
Jean-Philippe Guines et Sylvain Delatouche, deux éleveurs bretilliens
de bovin lait, venus témoigner sur leur démarche et leur engagement
depuis 2020 dans ce label.
Voir
paysan-breton.fr
Rapports du CGAAER - juillet 2023
> Évaluation des actions financières du programme Ecophyto
> Évaluation de la mise en œuvre de la politique de la prévention
des risques naturels et technologiques en Martinique
> Les conséquences de la réforme de l'assurance chômage de 2021
sur la satisfaction des besoins en main d’œuvre des secteurs agricole
et agroalimentaire
> Perspectives d’avenir des relations élevage et société
> La valorisation de la laine et des peaux lainées
> Rôle de l'État dans le suivi des acteurs gestionnaires de collections
reconnus officiellement dans la conservation des ressources phytogénétiques
et dans la conservation de la collection nationale
Voir
agriculture.gouv.fr
Taxes sur l'alcool : Cazenave conscient du « désarroi » des viticulteurs
Le ministre des comptes publics, Thomas Cazenave, a déclaré jeudi
avoir « conscience » du « désarroi » et des « difficultés économiques
» des viticulteurs, assurant que le projet de hausse des taxes sur
l'alcool faisait toujours l'objet de « discussions » avec le ministère
de la santé.
Voir
agri-mutuel.com
Le think tank agroalimentaire veut « changer de braquet » face
à l’urgence climatique
.../...
Les 21 recommandations du think tank agroalimentaire :
- Généraliser le diagnostic à la parcelle
- Attacher un diagnostic qualité de sol à toute transaction
- Relier pratiques culturales et financement de l’agriculture
- Relier état du sol et affichage environnemental
- Rendre publiques les démarches de compensation / contribution
carbone
- Intégrer le lieu de compensation comme un élément discriminant
dans les appels d’offres
- Rapprocher le lieu d’émission du lieu de compensation
- Faire de la compensation carbone un élément d’information sur
les produits
- Redresser l’Ebitda publié d’une valeur carbone
- Financiariser les performances extra-financières
- Mise en place d’une comptabilité multi-capitaux
- Désigner un référent environnement
- Faire du responsable RSE un mandataire social (ou d’un mandataire
social le référent RSE)
- Mise en place d’un Pass RSE (ayant valeur de « permis de gérer
» )
- Calcul d’un index RSE des entreprises
- Appel aux organisations professionnelles pour encourager l’adoption
du scoring environnemental (par leurs membres)
- Utiliser le scoring pour qualifier l’offre de la restauration
(et fixer des objectifs)
- Mise en place d’un message d’alerte pour les produits « mal notés
»
- Affichage du scoring environnemental en situation d’achat
- Instaurer un bonus-malus sur quelques catégories de produits pour
sensibiliser les consommateurs
Voir agri-mutuel.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISE (La) : Elle est souvent l'ornement ou la conservation de
la beauté ; c'est elle qui donne aux yeux cette limpidité morne
des étangs noirâtres et ce calme huileux des mers tropicales ; elle
éloigne les rides.
Charles BAUDELAIRE
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
La France moins bien notée que les USA (A-) / France (A-)
rated lower than the USA
01
- 14/08/2023
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Villes vivables / City Liveability Index
02
- 14/08/2023
|
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Retour sur la fabrication des batteries / Battery laggard
03
- 14/08/2023
|
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Notre dépendance à l'uranium / Radioactive dependency
04
- 14/08/2023
|
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Début d'immigration au Japon ? Resident Foreigners in Japan
05
- 14/08/2023
|
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Du
côté des écrivains et artistes paysans |
> Une
nouvelle parution pour Geneviève Lecocq-Lictevout: "Au temps
des Mariages Arrangés"
> Publication
de René Billaz : “Les paysans sahéliens face à leur avenir”
> Notre
doyenne Geneviève Callerot sur Instagram
> Marcel
Mavré nous a quittés
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISE (La) : Elle insiste toujours.
Albert CAMUS
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Join over 450+ agri-food players in the transition
6-7 September 2023 - AMSTERDAM
Join 450+ key players across the food value chain at this year's
Regenerative Agriculture & Food Systems Summit and identify
new opportunities and challenges for incentivising and onboarding
hesitant farmers, whilst implementing nature positive strategies
to accelerate the transition to regenerative agriculture.
See
regenerativeagriculturesummit.com
#WorldAgriTech in London on September 26-27
Bringing together 900+ growers, agribusiness leaders, startups and
investors under one roof at the InterContinental, London, The O2
to discuss innovation and financing for nature positive, resilient
agriculture and food systems. Expect start-up discovery in an all-new
start-up arena, partnerships & investment opportunities and
plenty of C-Suite networking.
See worldagritechinnovation.com
L'hydrogène pour décarboner l'industrie et la mobilité de demain
17 octobre 2024 - AUBERVILLIERS
Depuis 2019, l’Union européenne montre le cap vers la neutralité
carbone en 2050 à travers son Pacte Vert pour l’Europe.
Dans ce prolongement, la France répond concrètement à ces objectifs
de transition écologique via la stratégie d’accélération sur l’hydrogène
décarboné dévoilée en 2020.
Cette transition écologique met en lumière 4 défis majeurs : les
défis climatiques, énergétiques et de souveraineté, technologiques
et économiques.
Lors de cette Tech Day, Bioeconomy For Change et ses intervenants
dresseront un panorama des enjeux, perspectives et le contexte
réglementaire autour de l’hydrogène décarboné, ainsi que les différentes
technologies de production et des exemples concrets d'utilisations
dans différents types d’applications (industrielles, mobilités
routières et aériennes, réseaux de transport, e-fuels…)
1. Introduction :
> Les différents types d’hydrogène- Intervenante : Alexiane
DESBIENS, Innovation Manager, Bioenergies, BIOECONOMY FOR CHANGE
> Les ambitions de développement de la filière et le contexte
réglementaire européen
2. Electrolyse : les projets R&D en cours de massification
> Usine factory sur les électrolyseurs
> R&D production d’hydrogène par Electrolyse et devenir
de l’oxygène - Intervenante : Denise Mery, R&D Program Director
– H2 Energy, Global Markets & Technologies and Healthcare,
Air Liquide
> Projets de recherche académique
3. Les procédés de productions par voies biologiques
> Fermentation sombre
- Intervenante : Marine Juge, Cheffe de Lab adjointe, ENGIE
- Intervenante : Barbara Ernst, Chercheur, Université de Strasbourg
(Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien, UMR 7178)
> Photofermentation
4. Procédés de productions thermochimiques
> Pyrogazéification
> Thermolyse - Intervenant : Vincent QUÉAU, Directeur Affaires
Publiques, Haffner-Energy
5. Procédé de production par Vapo-Réformage du BioCH4 - Intervenant
: Philippe MAILLARD, Directeur de Projets Spéciaux Energie, Veolia
6. Des exemples d’utilisation d’hydrogène vert
> Mobilités maritimes - Intervenant : HAROPA PORT
> Mobilités routières
> Mobilité aérienne (SAF) ou décarbonation des aéroports
> Mobilité ferroviaire
> Hub décarbonation de l’industrie : projet MosaHyc - Intervenant
: Thierry Daniel, Relations Institutionnelles et Affaires Publiques,
GRTgaz
> Production de e-méthanol - Intervenant : Elyse Energy
7. Conclusions
Voir
bioeconomyforchange.eu
Journée scientifique - Numérique agricole : comment s'emparer
de l'enjeu des données ?
17 novembre 2023 en visioconférence
Dans cette réalité conjointe de transition agroécologique et de
développement du numérique, l'utilisation de ces nouveaux outils
s'amplifie, y compris dans le domaine de l'agriculture. Pour l'enseignement
agricole, cela implique de développer de nouvelles compétences
en s'appuyant sur les travaux de recherche. Cette journée permettra
à la fois de faire le point sur les avancées scientifiques, de
participer à des échanges autour d'expérimentations en établissements,
de découvrir des ressources mobilisables, mais aussi de démystifier
ce concept.
Cette journée, entièrement gratuite, aura lieu à distance sur
le logiciel zoom, mais nécessite une inscription avant le 17 novembre
pour recevoir le lien de connexion.
Voir
supagro-alumni.hivebrite.com
Lignofuels 2024 conference
7-8 February 2024 - HELSINKI, Finland
The legislative framework in Europe has been instrumental in driving
the adoption of advanced biofuels and reducing their costs. By
setting targets, providing incentives, and creating a stable regulatory
environment, these legislations are supporting the development
of a sustainable and competitive biofuels industry in Europe.
See
wplgroup.com
Du côté de ebbh.fr... En résumé #138 : Ken le Survivant de
gauche
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISE (La) : Elle ne dépasse jamais les bornes, où qu'elle pose
le pied, là est son territoire.
Stanislaw Jerzy LEC
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du côté des gazettes et des blogs agricoles
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Du côté de vitisphere.com : 100 000 vinformations, par Alexandre
Abellan, 11 août 2023
Et voilà, vous êtes sur le cent-millième article du site Vitisphere
! Lancé fin 2000 à Montpellier, votre site d’information et de services
des professionnels de la vigne et du vin passe un cap aussi numérique
que symbolique. Grâce à votre intérêt toujours croissant pour les
actualités de la filière, la rédaction et les services du site Vitisphere
se sont développés : avec l’intégration du fil d’information de la
revue La Vigne, une sélection d’actualités en anglais, des lettres
pour ne pas manquer une info, toujours plus de présence sur les réseaux
sociaux (LinkedIn, Facebook, Twitter/X, Instagram…) et depuis peu
le retour des commentaires sur la page d’accueil du site.
N’ayant cessé d’évoluer, le site reste marqué par ses équipes passées
et présentes, suivant la même boussole éditoriale : être le site de
référence pour accompagner et informer l’ensemble de la filière vin
en ces temps de grand chambardement. De la transition agroécologique
aux chocs climatiques, en passant le bouleversement sociologique des
modes de consommation, disons-le clairement, les sujets d’inquiétude
ne manquent pas. Mais les sources d’inspiration non plus.
Pour faire écho aux solutions et innovations, techniques comme commerciales,
l’ambition de Vitisphere reste de fournir l’essentiel des informations
utiles et nécessaires à la compréhension des tendances de vignobles
et de marché, dans tous les bassins viticoles et pour tous ses opérateurs.
Et ce, toujours avec un regard différent, pour ne pas dire malicieux
: une vigne plus qu’une ligne éditoriale. Une malice qui se retrouve
dans les premiers articles publiés il y a 23 ans, sur un coup de gueule
de Jacques Blanc, président de la Région Languedoc-Roussillon sur
la distillation, ou sur "la finesse des Australiens" organisant
concours de crachat et massage des bras dans un salon…
.../...
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Le retour du débat sur les jachères,
par Adèle Magnard
[Edito] La mise en culture des jachères au nom de la souveraineté
alimentaire européenne, voire de la sécurité alimentaire mondiale
: comme l’an dernier, le débat revient à l’agenda politique et syndical
dans le contexte de la guerre en Ukraine. La bataille en vaut-elle
le coup ?
Faut-il reconduire la dérogation sur la mise en culture des jachères
pour 2024 ? Rappel des faits : en août dernier, face aux conséquences
de la guerre en Ukraine et dans le but d’assurer la sécurité alimentaire
mondiale, la Commission européenne avait octroyé aux Etats membres
de l’Union européenne la possibilité de cultiver les terres en jachère,
dérogeant ainsi aux règles de la nouvelle Pac 2023-2027 à peine adoptée.
Dans le détail, ces dérogations portent sur deux BCAE (Bonnes conditions
agricoles et environnementales) normalement requises pour percevoir
les aides Pac : les BCAE 7 et 8, qui imposent des règles relatives
à la rotation des cultures et à la mise en place de terres arables
dédiées à la jachère et aux infrastructures agroécologiques (haies,
murets, bosquets, bordures enherbées). Pour la campagne 2022-2023,
les agriculteurs n’étaient donc pas concernés par ces obligations.
Août 2023 : force est de constater que la situation géopolitique ne
s’est pas apaisée, loin de là. La guerre entre la Russie et l’Ukraine
perdure, les flux logistiques demeurent fortement perturbés, la situation
s’étant même aggravée ces derniers jours suite au retrait de la Russie
de l’accord sur le corridor sécurisé en mer Noire ainsi qu’aux attaques
sur les ports ukrainiens.
Dans ce contexte, plusieurs pays de l’UE, dont la France, ont demandé
la prolongation pour 2024 de la dérogation pour la mise en culture
des jachères. « Les conditions géopolitiques, de fluidité des marchés
et les conséquences du dérèglement climatique sont aujourd’hui plus
inquiétantes que celles qui avaient justifié des mesures de dérogations
à la PAC pour 2022 et 2023 », a justifié le ministre de l’agriculture
Marc Fesneau lors du conseil des ministres de l’Agriculture de l’Union
européenne le 25 juillet. La demande avait également été formulée
par la FNSEA et la Coordination rurale quelques jours auparavant.
Sauf que. La Commission européenne n’est pas de cet avis, au nom de
la « crédibilité de la Pac », mais aussi en raison de la complexité
législative que nécessiterait une telle reconduction de la dérogation.
Se pose aussi la question de l’impact réel d’une telle mesure, au
regard des surfaces concernées par les jachères et de la productivité
de ces terres, sur la « sécurité alimentaire mondiale » et la « souveraineté
européenne ».
Voir
pleinchamp.com
La forge / The forge (~1642-1643), par Louis Le Nain (1593-1648),
Paris, musée du Louvre
07
- 14/08/2023
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Le puits / The well, 1641, par Louis Le Nain (1593-1648), Collection
particulière
08
- 14/08/2023
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Du côté de pleinchamp.com : Climat et parasites, un cocktail
lourd de menaces
[Edito] Le changement climatique exacerbe la pression de multiples
agents pathogènes, compromettant la viabilité de certaines productions
animales et végétales, toujours plus désarmées. Dans le vignoble
bordelais, c’est un parasite plus que centenaire qui s'en trouve
revigoré comme jamais.
« Subtropical » : c’est l’adjectif employé par le président
du syndicat des AOC Bordeaux pour décrire l’épisode météorologique
qui a affecté la Gironde au cours de la seconde quinzaine de
juin. Les pluies persistantes alliées à des températures élevées,
mais non caniculaires, ont déclenché une flambée de mildiou
que de nombreux viticulteurs ne sont pas parvenus à circonscrire.
Le mildiou et Bordeaux, c’est une vieille histoire, remontant
à 1879, année où le champignon est signalé pour la première
fois en France. Mais pour les observateurs, le changement climatique
à l’œuvre est sans conteste un facteur aggravant, qui se manifeste
par des attaques plus fréquentes et/ou plus intenses.
> Acclimatation et sédentarisation des pathogènes
Le couple vigne-mildiou n’est pas une exception. En arboriculture,
les exemples sont légion : émergence précoce de ravageurs tels
que tordeuses et arpenteuses, augmentation du nombre de générations
du carpocapse des pommes et de la mouche asiatique des cerises,
sédentarisation de noctuelles jusqu’alors migratrices, acclimatation
d’organismes nuisibles d’origines tropicales ou subtropicales
telles que la mouche méditerranéenne des fruits, émergence d’insectes
xylophages tels que scolytes et capricornes tirant profit du
stress physiologique induit par la chaleur et la sécheresse.
Car aux facteurs biotiques se surajoutent des facteurs abiotiques
tels que brulures, nécroses, asphyxie...
> L’élevage pas épargné
Les animaux d’élevage ne sont pas épargnés. En mai dernier,
l’Anses signalait l’irruption en Espagne et en Italie de la
maladie hémorragique épizootique, maladie virale notamment présente
en Afrique et potentiellement mortelle pour les bovins, en établissant
un lien avec le changement climatique. Sur un autre couple animal-pathogène
qu’est l’Influenza aviaire, l’Anses impute au réchauffement
climatique la modification des trajectoires migratoires de la
faune sauvage, avec les conséquences suivantes. La contraction
des espaces au sein desquels les migrateurs peuvent se reposer
et la raréfaction des zones humides, favorisent une moindre
migration vers le sud et une plus grande densité aux mêmes
points de repos, augmentant le risque de contamination. Selon
l’Anses, ce phénomène pourrait participer à
l’érosion du caractère saisonnier de la bi-transmission
à partir du réservoir de la faune sauvage.
> Menaces existentielles
La virulence de l’Influenza aviaire fait courir une menace existentielle
aux filières avicoles, au point que la France a initié un processus
de vaccination, aussi lourd qu’inédit.
.../...
Voir
pleinchamp.com
Du côté de pleinchamp.com : Consommer « moins et mieux de
viande », une affaire de l’État
[Edito] Portée par la restauration hors domicile, pourvoyeuse
de viande importée, la consommation de viande s’affiche de nouveau
en hausse en 2022, outrepassant allègrement les recommandations
sanitaires. Sans attenter à la liberté individuelle, l’Etat
a la capacité d’influer sur nos choix alimentaires, qui seraient
davantage subis que choisis.
85,2 kilos équivalent-carcasse par habitant : c’est la quantité
de viande ingérée en moyenne par chaque Français en 2022, selon
une analyse conjointe d’Agreste et de FranceAgriMer. Pour la
deuxième année consécutive, l’indicateur s’affiche à la hausse,
outrepassant très largement les recommandations sanitaires (500g/semaine
hors volaille, 150g/semaine de charcuterie). Cet appétit féroce
ne fait pas forcément les affaires de l’élevage français. En
effet, la croissance de la consommation de viande est portée
par la restauration hors domicile, laquelle est le cheval de
Troie des importations. Sur ce point, l’année 2022 a marqué
une nouvelle dégradation des comptes, avec une hausse de 11,7%
des tonnages importés. Les importations représentent désormais
33% de la consommation nationale de viande, avec des pointes
à plus de 50% pour la viande de poulet et la viande ovine.
>>> « Moins et mieux de viande »
Le déficit commercial est tel qu’il n’est pas compensé par les
exportations d’animaux vifs, qui constituent en prime une fuite
de valeur ajoutée potentielle. Ce double constat, aux plans
sanitaire et commercial, conduit la Fondation pour la nature
et l’homme (FNH), dans un rapport publié à la mi-juillet, à
prôner une rupture radicale. Celle-ci consiste à sortir de la
logique « agrandissement-concentration-spécialisation-intensification-paupérisation
» qui prévaut selon la FNH depuis 50 ans en France, au profit
d’un élevage dit agroécologique, cochant toutes les cases de
la durabilité : biodiversité, qualité des sols et de l’eau,
bien-être animal, vivabilité, transmissibilité, sans oublier
la réduction des émissions des gaz à effet de serre, préjudiciables
au climat. Une telle réorientation permettrait d’en finir avec
la « vulnérabilité » liée à notre dépendance à la viande d’importation
(et au soja) sans plomber le budget de nos compatriotes, y compris
les plus modestes. « Une alimentation composée de produits AB
et/ou agroécologique n’augmente pas forcément le budget
des ménages mais impose une évolution des régimes alimentaires
vers "moins et mieux" de produits animaux », plaide
la FNH.
>>> Agir sur l’environnement alimentaire
Encore faut-il que les consommateurs opèrent eux-mêmes leur
transition alimentaire, ce que les chiffres de consommation
ne semblent pas augurer. Pour la FNH, il revient à la puissance
publique d’agir sur l’offre de la distribution, de restauration
hors domicile et des industries agroalimentaires, via différents
leviers contraignants.
.../...
Voir
pleinchamp.com
Du côté d’André Heitz
> Les
voitures électriques ne sont pas l'avenir – Il existe des modes de
propulsion alternatifs
> Apprendre
l'allemand – avec des mensonges éhontés sur l'agriculture
> 0,2
pour cent de l'eau pour l'irrigation agricole en Allemagne, par Willi
l'agriculteur
> Comment
les restrictions imposées par l'Union Européenne ont alimenté les
voix anti-OGM et la faim dans les pays du Sud, et principalement en
Afrique ?
> Décortiquer
l'étude sur le sucralose
> Matière
organique du sol, gaz à effet de serre et agriculture biologique :
pas terrible !
> Lettre
à Mathilde Panot, députée Nupes, spécialiste du climat
> Les
régulateurs devraient tenir compte de l'approbation du génie génétique
par le Vatican
> Le
tsar du climat John Kerry épinglé sur les réseaux sociaux pour son
« attaque contre les agriculteurs américains »
> Sécheresse
éclair (en Allemagne) : nouveau phénomène ou battage médiatique ?
> Rendements
de l'agriculture biologique : Agreste lève (un peu) le voile
> Récolte
de céréales 2023 : des millions de pertes à prévoir en Allemagne
> L'intelligence
artificielle révolutionne l'agriculture, notamment dans un contexte
de pénurie de main-d'œuvre
Mot de passe
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots,
pas une opinion !)
BÊTISE
(La) : Elle se met au premier rang pour être vue ; l'intelligence
se met en arrière pour voir.
Carmen SYLVA
Contact :
Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Avec une heure de travail, vous pouvez acheter... / An hour
of work will buy you...
06
- 14/08/2023
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Combien d'heures de travail vous permettent d'acheter...
How many hours of works it take to earn...
07
- 14/08/2023
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Moins de vin et de bière, plus de cocktails / Switching from
beer and wine to spirits
08
- 14/08/2023
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Combien de millionaires avez-vous en plus ou en moins ? /
Have you more or less millionaires ?
09
- 14/08/2023
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Envie de vendre son logement / Thinking about Selling
10
- 14/08/2023
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Opinions
et curiosités du web (2)
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Connaissez-vous les noms des départements français ?!?
Alors, une petite révision s’impose !
Remplacez les pointillés par le nom d'un département français.
Vous pourrez alors lire phonétiquement une mignonne petite histoire
...
Si vous ne trouvez pas, descendez plus bas, vous aurez la solution.
Mais faites quand même un effort avant !
C’est parti :
J'étais assis au bar en train de boire un ...........
Tandis que je regardais un clochard faire la ................
Une dame vint s'asseoir à côté de moi ; elle portait un manteau
de ............ et j'en fus impressionné car je sais que le........................
Nous engageâmes la conversation, et ce qui me charma chez elle furent
................. et ses yeux ..................
Au bout de quelques minutes, elle me demanda de monter chez elle.
Il fallut donc que je ................., et j'acceptai sans crier.................!
Elle ne perdit pas le ..............., nous entrâmes dans sa chambre,
et à peine arrivés, elle se déshabilla. ses seins étaient magnifiques,
elle les .....................
En fait cette fille était vraiment ................... et l'on s'amusa
jusqu'à .........................
L'exercice ça ................, aussi, au petit matin, je lui proposai
du jambon, du saucisson et du .................
Elle fut si contente de ce petit déjeuner, qu'elle m'appela son
.................. et me demanda une................ que je refusai
de payer, trouvant que c'était trop ................
Elle me fit alors une terrible.................. et je vis dans
ses yeux une terrible .....................
A cet instant, j'aurais bien eu besoin d'un ............... car
elle me lança son sac au visage et me donna un coup de pied dans
le................
Tout finit par s'arranger, mais avec des histoires pareilles, elle
.................. qu'on ne l'y prendrait plus.
Pas tout trouvé ?? ce n’est pas évident.
Voici la solution…
J'étais assis au bar en train de boire un CALVADOS tandis que je
regardais un clochard faire la MANCHE, Une dame vint s'asseoir à
côté de moi ; elle portait un manteau de LOIR et j'en fus impressionné
car je sais que le LOIR ET CHER.
Nous engageâmes la conversation, et ce qui me charma chez elle furent
SAVOIE et ses yeux DOUBS.
Au bout de quelques minutes, elle me demanda de monter chez elle.
Il fallut donc que je VIENNE et j'acceptai sans crier GARD
Elle ne perdit pas le NORD.
Nous entrâmes dans sa chambre, et à peine arrivés, elle se déshabilla
... ses seins étaient magnifiques, elle les AVEYRON !!! En fait
cette fille était vraiment GIRONDE et l'on s'amusa jusqu'à l'AUBE.
L'exercice ça CREUSE, aussi, au petit matin, je lui proposai du
jambon, du saucisson et du CANTAL.
Elle fut si contente de ce petit déjeuner, qu'elle m'appela son
HERAULT et me demanda une SOMME que je refusais de payer, trouvant
que c'était trop CHER.
Elle me fit alors une terrible SEINE et je vis dans ses yeux une
terrible AISNE
A cet instant, j'aurais eu bien besoin d'un ALLIER car elle me lança
son sac au visage et me donna un coup de pied dans le BAS RHIN.
Tout finit par s'arranger, mais avec des histoires pareilles, elle
JURA qu’on ne l'y prendrait plus.
La famille de la laitière / Milkmaids's Family, circa 1641, par
Louis Le Nain (1593-1648), Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
09
- 14/08/2023
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La famille heureuse / The happy family (1642), par Louis Le Nain
(1593-1648), Paris, musée du Louvre
10
- 14/08/2023
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Pensée du jour
La diversité des langues est la beauté du monde.
Roger BACON, philosophe anglais
Éviter les extrémismes ? (GW)
Dans cet article de The Guardian, journal britannique de centre-gauche,
il est question du Brexit, lequel n’est pas remis en cause malgré
des résultats économiques déplorables.
Là n’est pas l’essentiel : le Brexit est d’abord un projet
clivant et polarisant, donnant une réponse simpliste à toute
une série de questions compliquées. En ce sens c’est un projet
toxique parce que binaire.
Le pb est que nous ne pouvons pas nous passer de clivages, autrefois
"laïcs" contre "cléricaux", "conservateurs"
contre "progressistes"… En agriculture aujourd’hui,
nombreux sont les clivages : nécessité de produire plus
et mieux pour nourrir le monde, bien-être animal, pesticides,
OGM, production de viande, réserves en eau, possibilité de fixer
le carbone dans les champs… donnent lieu à des discussions sans
fin.
Il me semble que sur toutes les questions agricoles et agro-alimentaires
ou environnementales (et pas que), nous devrions essayer de
sortir de la polarisation des opinions qui est encouragée par
les extrémistes et qui nous mènera à rien de bon.
>>> Pouvez-vous changer un état d'esprit Brexit
? Par Tim Adams, The Guardian, 13 août 2023 (traduit de l’anglais
avec Google Translate)
Si le départ de l'UE n'a pas été à la hauteur, pourquoi le Royaume-Uni
est-il toujours aussi divisé ? Sept ans plus tard, nous demandons
aux psychologues du comportement si la dissonance cognitive
peut être surmontée.
.../...
Le livre de Hughes est sorti en 2019 au plus fort de la folie
"pas d'accord vaut mieux qu'un mauvais accord". S'il
devait y ajouter maintenant, suggère-t-il, ce serait comme un
cas d'école de la « théorie de la polarisation" et de la
manière dont le slogan en trois mots "Brexit signifie Brexit"
et "Faites le Brexit" a été réorienté pour donner
l'illusion de la simplicité à d'autres questions très complexes
- "arrêter les bateaux", etc. La division primaire
du Brexit s'est étendue en "groupes de points de vue entrelacés"
sur la crise climatique, la vaccination et l'immigration, alimentant
le tout dans le même binaire émoussé.
L'un des résultats, suggère-t-il, est que le Brexit est devenu
un exemple classique de toxicité. "S'il y a quelque chose
de particulièrement scandaleux dans nos propres vies ou de traumatisant,
nous essaierons de ne pas le mentionner. Cela soulève trop de
choses. Les gens parlent de la "stratégie du vase Ming"
pour les travaillistes et du Brexit [l'idée qu'ils ne doivent
pas briser leur précieuse majorité]. La logique politique est
que cet événement était encore si douloureux pour les gens que
vous pourriez perdre la moitié de l'électorat à la suite d'une
seule petite phrase.
S'il y a un moyen de traverser cela, suggère-t-il, c'est de
briser les mythes de nous et d'eux. "Le Brexit n'a évidemment
jamais été la volonté unique du peuple, mais aussi la volonté
des sortants et la volonté des restants sont très loin d'être
homogènes. Les politiciens doivent trouver des moyens de mettre
en avant la diversité des points de vue que les gens avaient
et ont, même si certains d'entre eux peuvent être très laids.
Ils doivent montrer l'illusion d'une simple polarisation.
Empêcher cela, dit-il, est le fait que le Brexit a introduit
dans le courant politique dominant "toutes les erreurs
de raisonnement que les gens commettent". La polarité agit
contre la nuance et sape le juste milieu. "Les deux parties
commencent à se considérer comme irrémédiablement dérangées.
Et quand vous pathologisez l'autre côté, cela ne sert à rien
de tendre la main vers eux. En conséquence, suggère-t-il, "les
personnes qui ont la possibilité de relever des défis politiques
ne cherchent plus à contrôler les divisions de la société, elles
essaient de les maximiser à leurs propres fins".
Voit-il la fin de cette polarité ?
"Cela obligerait les politiciens et les commentateurs à
atténuer une partie de la chaleur des arguments", dit-il.
"Cela pourrait prendre une génération, ou ce pourrait être
l'une de ces tendances cycliques." Pour le moment, nos
cerveaux "Brexit" sont, semble-t-il, là pour rester.
See
theguardian.com
Du côté d’Auguste Derrière
01
- 14/08/2023
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En Allemagne, une politique sans ouverture à la technologie
: les agriculteurs doivent résoudre les problèmes seuls
Selon la Fédération allemande des coopératives agricoles (DRV
– Deutscher Raiffeisenverband), les agriculteurs pourraient
mieux atteindre les objectifs politiques s'ils pouvaient utiliser
davantage d'innovations.
Voir
seppi.over-blog.com
« Nous avons très clairement un problème d’intégration
» en France, estime Macron
Immigration, émeutes… le chef de l’État a accordé une interview
au Figaro Magazine, en marge de son déplacement en Nouvelle-Calédonie
fin juillet.
.../...
Le chef de l’État a livré quelques indices sur sa politique
en matière d’immigration à la rentrée, sans livrer d’exclusivité
fracassante. « Nous avons toujours été un pays d’immigration
et nous continuerons de l’être », assure-t-il.
Il a démonté les idées de l’extrême droite dans ce domaine.
« Toute réforme qui nous fait sortir de l’Europe est inefficace,
parce que le problème est européen et parce que nous ne sommes
pas une île », estime-t-il.
Emmanuel Macron a en revanche vanté la mise en œuvre d’une
« politique de peuplement » car il craint l’émergence en France
de sociétés vivant « dos à dos ». « Beaucoup de gens disent
Non, nous, on ne veut pas voir de nouveaux arrivants chez
nous. Moi, je pense qu’on intègre d’autant mieux qu’on le
fait de manière diffuse. Si vous mettez toutes les familles
ukrainiennes qui arrivent dans les mêmes endroits, vous ne
les intégrez pas », explique-t-il.
Voir
leparisien.fr
Vers une électricité durable, propre, sans CO2, disponible,
abondante en permanence
Voir uarga.org
Vérifier que l'éolien utilise 10 fois plus de béton que
le nucléaire !
Voir
uarga.org
"Green deal, F2F : je pense le plus grand mal des
plans européens"
Une interview de Catherine Procaccia, sénatrice du Val-de-Marne,
vice-présidente de la commission des affaires sociales, secrétaire
du Sénat, vice-présidente de l’Office parlementaire d’évaluation
des choix scientifiques et technologiques
Voir
europeanscientist.com
Du côté d’Auguste Derrère
02
- 14/08/2023
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Éducation positive vs retour de l’autorité : les dessous
d’un débat qui oublie la génétique ! Par Aurélie Haroche,
22 juillet 2023
Pour beaucoup, vous êtes ou vous serez probablement dans quelques
jours en vacances entourés de vos enfants ou vos petits-enfants
(voire neveux et autres cousins). Cette pause estivale, faite
de soleil et d’ennui, est sans doute une bonne occasion pour
repenser quelques instants, loin du tourbillon quotidien,
aux aléas de l’éducation que l’on tente de « donner » aux
plus jeunes et dont on perçoit des bribes dans les cabinets
de consultation.
Bien sûr, pour couper court à cette réflexion et replonger
dans la piscine, on peut choisir de se référer au scientifique
Robert Plomin, qui constatant le rôle joué par les facteurs
génétiques rassure : « Nous avons peu d’influence sur ce que
nos enfants vont devenir non seulement parce que le facteur
génétique est important, mais qu’en plus nous avons moins
de contrôle que nous le pensons sur le facteur environnemental.
(…)
En prenant conscience de cela, les parents peuvent bien plus
profiter de leurs enfants, sans craindre que chaque faux pas
ne bousille leur progéniture. Les médias ou les livres sur
la parentalité exploitent l’anxiété des jeunes parents, leur
faisant croire qu’il faudrait suivre à tout prix les conseils
de tel ou tel docteur, sous peine de gâcher la vie de leur
enfant. Il est au contraire important pour les parents de
comprendre qu’ils n’ont guère de contrôle sur l’existence
de leur progéniture ». Voici bien sûr qui est finalement assez
libérateur, mais qui n’évitera nullement les éternels débats
entre ce que l’on appelle aujourd’hui l’éducation « positive
» et une éducation qui bien qu’étant évidemment également
positive privilégierait plus certainement le recours à « l’autorité
».
.../...
Voir
Journal International de Médecine
Robert Plomin : "Les parents et l’école influent peu
sur la réussite des enfants" (un peu surprenant – GW)
Dans "L’architecte invisible", le grand généticien
comportementaliste explique en quoi les recherches sur l’héritabilité
bouleversent nos idées reçues sur la famille ou l’éducation.
Il est l’un des chercheurs en psychologie les plus renommés
au monde. Professeur de génétique comportementale au King’s
College de Londres, l’Américain Robert Plomin, 74 ans, traque
depuis quatre décennies les influences génétiques de nos comportements.
L’Architecte invisible (Les Presses de la Cité/Perrin) résume,
à destination du grand public, des travaux aussi fascinants
que vertigineux. Plomin est notamment célèbre pour ses études
sur des jumeaux et des enfants adoptés. Elles ont permis de
quantifier l’héritabilité, autrement dit la part attribuée
à la génétique dans les différences entre les traits de caractère
des individus dans une population donnée.
Si personne ne s’étonnera de découvrir que l’héritabilité
de la couleur des yeux (95 %) ou de la taille (80 %) est élevée,
les avancées de la génétique comportementale contredisent
frontalement les thèses de la psychanalyse comme celles de
sciences humaines qui se focalisent exclusivement sur le rôle
de l’éducation ou celui de la socialisation.
L’héritabilité de troubles complexes comme l’autisme (70 %)
ou la schizophrénie (50 %) est par exemple conséquente. Celle
de la réussite scolaire (60 %) ou de l’intelligence générale
(50 %) également.
.../...
Voir
lexpress.fr
Du côté d’Auguste Derrère
03
- 14/08/2023
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Enfin, les absurdités énoncées par Piketty sont critiquées
dans Le Monde. Tout arrive !
« Il est faux de laisser croire que les inégalités territoriales
s’accroissent de plus en plus depuis quarante ans », par Aurélien
Delpirou, géographe, maître de conférences à l’École d’urbanisme
de Paris, et Martin Vanier, géographe, professeur à l’École
d’urbanisme de Paris
Les géographes Aurélien Delpirou et Martin Vanier réfutent,
dans une tribune au « Monde », les arguments d’une chronique
de Thomas Piketty sur les inégalités entre les communes françaises.
En premier lieu, il est faux de laisser croire que les inégalités
territoriales s’accroissent de plus en plus depuis quarante
ans. Dans une chronique parue le 8 juillet dans Le Monde, l’économiste
Thomas Piketty mobilise trois indicateurs à l’appui de cette
affirmation : le produit intérieur brut (PIB) par habitant à
l’échelle des départements ; la valeur immobilière moyenne des
logements mis sur le marché à l’échelle des communes ; le revenu
moyen des habitants par commune.
.../...
Ce choix soulève de lourds problèmes méthodologiques. Ainsi,
le PIB par habitant mesure des inégalités productives, et non
sociales : celui de la Seine-Saint-Denis, par exemple,
situe le département à la 14e place nationale en 2022, alors
qu’il est le plus pauvre de France métropolitaine. Du reste,
les valeurs départementales des PIB n’ont pas beaucoup de sens
dans une économie de la circulation comme celle de la France.
Par ailleurs, chaque indicateur est envisagé uniquement au prisme
du rapport des valeurs extrêmes : les cinq PIB départementaux
par habitant les plus élevés rapportés aux cinq les moins élevés,
le 1 % des communes au marché immobilier le plus coté au
1 % le plus déprécié, etc. Le raisonnement paraît
simple : si ces ratios augmentent depuis les années 1980,
c’est que les inégalités s’accroissent.
Mais qu’en est-il des 90 % des départements et des 98 %
des communes restants ? Tous les travaux disponibles montrent
plutôt une convergence des niveaux de revenus du fait de la
puissante redistribution géographique opérée par la mobilité
des ménages et les mécanismes associés à l’impôt et aux
cotisations. Ainsi, à l’échelle départementale, les inégalités
de revenus n’ont jamais été aussi faibles que dans les années
2010.
.../...
Finalement, il ne s’agit pas de nier la forte visibilité ni
la charge symbolique des inégalités territoriales qui continuent
de prospérer dans le pays : les situations de décrochage durable
et la sécession spatiale des ultra-riches appellent en effet
des mesures spécifiques. Mais il faut exiger de ne pas caricaturer
ni prendre en otage ce débat, aujourd’hui tristement enfermé
dans une nouvelle bien-pensance de l’indignation.
Voir
lemonde.fr
NB : J'ai pris cet exemple de l'espérance de
vie qui n'est pas évoqué dans l'article
cité (GW)
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BÊTISE (La) : Elle vient en pensant.
Jacques PATER
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Envie de construire (et de déménager !) / Builder sentiment
and activity
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- 14/08/2023
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Eaux chaudes / Hot Waters
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- 14/08/2023
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Être en mesure ou non de sortir 400 $US / To be able or not to
spend 400 $US
13
- 14/07/2023
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A first thought for today
In an earlier stage of our development most human groups held
to a tribal ethic. Members of the tribe were protected, but people
of other tribes could be robbed or killed as one pleased. Gradually
the circle of protection expanded, but as recently as 150 years
ago we did not include blacks. So African human beings could be
captured, shipped to America, and sold. In Australia white settlers
regarded Aborigines as a pest and hunted them down, much as kangaroos
are hunted down today. Just as we have progressed beyond the blatantly
racist ethic of the era of slavery and colonialism, so we must
now progress beyond the speciesist ethic of the era of factory
farming, of the use of animals as mere research tools, of whaling,
seal hunting, kangaroo slaughter, and the destruction of wilderness.
We must take the final step in expanding the circle of ethics.
Peter SINGER, philosopher and professor of bioethics (1946-)
A second thought for today
The influence of each human being on others in this life is a
kind of immortality.
John Quincy ADAMS, 6th president of the US (1767-1848)
A third thought for today
Everything you've learned in school as "obvious" becomes
less and less obvious as you begin to study the universe. For
example, there are no solids in the universe. There's not even
a suggestion of a solid. There are no absolute continuums. There
are no surfaces. There are no straight lines.
R. BUCKMINSTER FULLER, engineer, designer, and architect (1895-1983)
A fourth thought for today
Courage is the price that life exacts for granting peace. The
soul that knows it not, knows no release from little things.
Amelia EARHART, aviator (24 Jul 1897-1937)
“Data is the new oil. And so there’s sort of this very colonial
perspective of, this is a land grab.”
Like other researchers from the global south and Indigenous communities
working on machine-learning models for their languages, software
engineer and artificial-intelligence ethicist Michael Running
Wolf is wary of big tech companies collecting data for proprietary
tools.
See
science.org
Lindsay Announces Acquisition of FieldWise
Acquisition expands Lindsay’s suite of technology solutions and
increases the number of connected devices.
See
businesswire.com
Hitting the agritech sweet spot with farmers, by Gerald Piddock,
June 12, 2023
Agritech has to be viable, feasible and reliable for it to win
favour with farmers.
Wading through the vast array of technology available can be a
daunting prospect for dairy farmers looking to invest in new gadgets
to make the job easier.
The aim should be to hit that sweet spot between viability, feasibility
and reliability, DairyNZ research engineer Brian Dela Rue said
at the organisation’s Farmers Forum in Waikato.
Making a tech decision is very much down to the individual farmer
and is about identifying the need on the farm, the gap, and whether
that gap can be filled with training staff or if the answer will
be new technology.
Assessing value and return on investment is difficult but financial
factors such as time saved and improved results are considered.
.../...
See
farmersweekly.co.nz
Mind-reading tech creates privacy issues
Advances in technologies that directly interact with the brain
to monitor or change its activity are raising thorny questions
for ethicists. Delegates at a meeting two weeks ago organized
by the United Nations cultural organization UNESCO plotted the
next steps in governing brain-reading devices to protect human
rights such as privacy.
Policymakers face the challenge of creating regulations that protect
against potential harms — such as profiling individuals or manipulating
people’s thoughts and behaviours — without restricting research
into their benefits. It “is not a technological discussion — it’s
a societal one, it’s a legal one”, says Gabriela Ramos, UNESCO’s
assistant director-general for social and human sciences.
See
nature.com
As the Climate Crisis Escalates, Here Are 18 Food and Ag Solutions
Climate change is here, and the news is dire. We share our recent
stories of the many food system innovators finding ways to mitigate
damage, increase resilience, and adapt to our ever-changing realities.
his summer, the world experienced the hottest week on record,
with seven consecutive days of off-the-charts temperatures, and
many places are experiencing other extremes, including deadly
floods, droughts, and wildfires. These severe conditions have
a tremendous impact on our food system, affecting everything from
crop yields to working conditions on farms.
While agriculture is a major contributor to climate change, it
can also play a significant role in mitigating the impacts—and
we at Civil Eats make a concerted effort to focus on solutions
in our coverage. So far this year, we have shared numerous stories
of creative thinkers across the food system pursuing efforts to
reduce damage, increase resilience, and adapt to the new and ever-changing
realities.
.../...
See
civileats.com
Ghana Census of Agriculture: 5 Key Insights, Challenges, and
Recommendations to Boost Agricultural Growth, by K. Afrane Okese,
July 29, 2023
The Ghana Census of Agriculture (GCA), conducted by the Ghana
Statistical Service (GSS) in 2017/18, shed light on the state
of agriculture in the country. Despite being an essential sector
for the nation’s economy, the report reveals that agriculture
in Ghana is primarily rural and lacks innovation and modernization.
Let’s delve into the key insights backed by figures from the report
to understand the challenges facing Ghana’s agricultural sector
and explore some recommendations for its growth and development.
See
nobowa.com
A new HIV drug is coming to Africa – it could be game-changing,
By Verity Bowman, 5 July 2023
Experts believe a new long-lasting version of PrEP has the potential
to dramatically change the course of the HIV epidemic in Africa.
See
telegraph.co
Mega-fires force us to change how we fight
Today’s mega-fires are so intense that they can render standard
firefighting useless: leaping across firebreaks, creating heat
too intense to approach and vapourizing water dropped from above
before it can curb the flames. “It’s like spitting on a campfire,”
says wildland-fire researcher Mike Flannigan. Wildfire specialists
are changing their focus to prevention, mitigation and preparedness.
But in a warming world, “there’s no technofix, no silver bullet
or vaccine”, says Flannigan. “We’re in for the long haul. Dante’s
circles of hell — we’re probably on level four and we’ve got a
way to go.”
.../...
Portugal, Spain, Italy and Greece may see fewer forest fires in
future, because their increasingly arid climates will limit the
growth of vegetation. Trees will not have enough water and enough
time between fires to regrow to their former height. Land will
transition to scrub. “The real problem,” says Fernandes, “will
be in regions like southern France, or Germany or Poland, because
they have biomass. And that biomass will dry out.”
With a placid lake and a few kegs of beer, the fire camp in Poland
seemed like a benign setting. But the weather was hot and dry,
and already the fire was not conforming to humans’ plans. In one
exercise, after the instructor lit the ground deliberately, a
group failed to dig a sufficiently rigorous firebreak and the
burning spread deep into the soil. Volunteers were putting out
the fire late into the night.
The next day, we spoke about how firefighters can become overconfident
when they fight fires in the landscapes they know best. We spoke
of the risks from damaged trees falling. We marvelled at videos
of wildfires and prescribed burns. It struck me that the men and
women at the camp were thankfully in for the long haul. Around
us, the pine canopies were green. But we all knew that the future
was orange.
See
ft.com
We Will Never Run Out of Resources. The supply of minerals
is theoretically finite, but human knowledge and creativity are
limitless. By By Marian L. Tupy and David Deutsch
The world’s population has increased eightfold since 1800, and
standards of living have never been higher. Despite increases
in consumption, and contrary to the prophecies of generations
of Malthusians, the world hasn’t run out of a single metal or
mineral. In fact, resources have generally grown cheaper relative
to income over the past two centuries. Even on the largest cosmic
scale, resources may well be limitless.
…/…
See humanprogress.org
Eight Centuries of Increasing Food Abundance in England: Baking,
by Harry Backhouse
Baking products have become much more abundant for skilled and
unskilled workers alike.
See
humanprogress.org
Progressive gloom ignores a marvelous historical economic measure,
by By George F. Will, Columnist, July 19, 2023, The Washington
Post
Progressivism’s name connotes confidence in mankind’s ability
(guided by progressives) to progress. Yet, progressivism often
seems pessimistic. This encourages Americans’ low pain threshold
and high capacity for complaining, traits unbecoming in a populace
many of whose hardy predecessors walked to Oregon.
Progressives’ obsessing about race is not only undiminished by
decades of improvements in race relations (e.g., approval of interracial
marriages was 4 percent in 1958 and 94 percent in 2021), it is
inversely related to improvements. There are vocal interests with
large political and lucrative financial stakes (e.g., the “diversity”
consultants industry) in the myth of nonprogress. Similarly, portions
of the government have an interest in insisting on its failure,
despite trillions spent, to substantially improve economic equality:
Hence the government’s practice of not counting transfer payments
and tax rebates (the earned income tax credit) as income for those
of modest means. Counting those augmentations of income would
reveal that the 2021 poverty rate was not 11.6 percent, but 2
to 3 percent.
Inaccurate assessments of present conditions relative to the past
fuel grievance politics and forebodings about the future. A corrective
for these is the concept of time-price. Consider this from Yale
University economist William D. Nordhaus, a Nobel laureate, writing
in the 1990s:
“One modern hundred-watt incandescent bulb burning for three hours
each night would produce 1.5 million lumen-hours of light per
year. At the beginning of the last century, obtaining this amount
of light would have required burning seventeen thousand candles,
and the average worker would have had to toil almost one thousand
hours to earn the dollars to buy the candles. In the modern era,
with a compact fluorescent bulb, the 1.5 million lumen-hours would
need twenty-two kilowatt-hours, which can be bought for about
10 minutes’ work by the average worker.”
In “Life After Capitalism,” George Gilder, citing Marian L. Tupy
and Gale L. Pooley in the Cato Institute’s volume “Superabundance,”
writes that “between 1980 and 2022, workers have been able to
buy some 300 percent more goods and services with their hours
and minutes.” The secret sauce is applied knowledge. Economist
Thomas Sowell is right: “The cavemen had the same natural resources
at their disposal as we have today.” They lacked only know-how.
As did the nail-maker before the Industrial Revolution, making
one nail a minute. Today’s nail maker can produce 3,500 per minute.
“We buy things with money,” Tupy and Pooley write, “but we pay
for them with time.” And “time prices can be calculated on any
product with any currency at any time and any place. This means
you can compare the time price of bread in France in 1850 to the
time price of oranges in New York in 2021.”
In 1902, a Sears Roebuck 53-cent hammer cost almost four hours
of blue-collar work. Today, Home Depot’s basic hammer ($6.50)
costs about 12 minutes of that work. Walmart’s $98 bicycle costs
nominally 720 percent more than Sears’s $11.95 bicycle in 1910,
but blue-collar hourly compensation has increased 18,450 percent.
So, the time-price of a basic bike has fallen 95.6 percent.
At the mid-20th-century dawn of the shipping container era, the
first ship carried 58 containers. Today’s largest ships can carry
almost 24,000, which end to end would extend more than 90 miles.
In 1956, hand-loading cargo at U.S. ports cost $5.86 per ton;
50 years later, 16 cents. By such efficiencies, time — the precious
and intractable scarcity in an era of multiplying abundances —
is restored to us to use to demonstrate the fecundity of freedom.
In “Superabundance,” Tupy and Pooley say that although the Homo
sapiens species is 300,000 years old, there has been economic
growth for only about 0.08 percent of that time. Global income
per person per day (measured in 2011 U.S. dollars) was about $2
when Caesar Augustus reigned, and had grown to only $2.80 when
Thomas Jefferson was president.
Economic growth has not just coincided with, it has been caused
by, population growth — more brains, more trade in knowledge.
There are, however, those who consider people a plague, and who
favor ever-larger regulatory government to prevent ruinous human
ingenuity and planet-threatening dynamism. Such people resent
the time-price metric of economic (and hence social) progress
because it measures the results of millions of unplanned and uncoordinated
decisions, cooperations, inventions and refinements.
The metric frustrates those who believe, and who benefit from,
pessimistic predictions that the supposedly retrograde present
is a harbinger of a stagnant future of scarcities — unless government
plans a better future. The time-price metric blows to smithereens
the idea that progressivism is conducive to progress.
See
washingtonpost.com
Birds With Benefits: How Eagles Are Helping Dairy Farmers in
Western Washington, by Rebecca Dzombak, July 24, 2023
Bald eagles and other raptors clean up fields for free and scare
off pest birds like starlings. “You support the wildlife, the
wildlife supports you,” one farmer says.
See
civileats.com
Regenerative farming practices are a 'transition for farmers':
Nestlé North America CEO
Food and beverage company Nestlé is changing the way it harvests
its ingredients by investing in regenerative farming practices
to reduce its carbon footprint and maximize crop yields. Nestlé
North America CEO Steve Presley joins Yahoo Finance Live to discuss
inflation's impact on its consumer brands, where its growth drivers
are, and its plans for sustainable farming.
.../...
See
finance.yahoo.com
Shaky ground: A company called Indigo is paying farmers to
trap carbon in their soils. Some researchers say the climate benefits
are dubious, by Gabriel Popkin, 27 Jul 2023
My remark (GW): the support of regenerative ag by big companies
does not seem please the author who does not think that big companies
may be honest and may have a positive contribution to climate
change mitigation.
Lance Unger has been doing things a little differently lately
on his farm near the Wabash River in southwestern Indiana. After
last fall’s harvest, rather than leaving his fields fallow, he
sowed some of them with cover crops of oats and sorghum that grew
until the winter cold killed them off. And before planting corn
and soybeans this spring, Unger drove a machine to shove aside
yellowing stalks—last season’s “trash,” as he calls it—rather
than tilling the soil and plowing the stalks under.
For these efforts, a Boston-based company called Indigo paid Unger
$26,232 in late 2021 and an even larger chunk late last year.
That’s how much an emerging market values the hundreds of tons
of carbon that, in theory at least, Unger yanked out of the atmosphere
with his cover crops or left in the soil by not tilling. Slowing
climate change isn’t a priority for him, he says, and it hasn’t
been easy to change his longstanding farming practices. But he
says the money made it worthwhile. “I need to see economic benefits.”
Indigo also made money in the deal. It took a 25% cut of the bundle
of credits it then sold at about $40 per ton of captured carbon.
Buyers were companies such as IBM, JPMorgan Chase, and Shopify,
which were looking to offset greenhouse gas emissions from their
operations and bolster their green bona fides.
For advocates, the exchange represents a beautiful marriage of
idealism and capitalism in the service of an urgently needed climate
solution. “Are we going to wait for the planet to catch on fire?”
asks Chris Harbourt, Indigo’s chief strategy officer. If applied
across the globe’s farmland, soil-based carbon capture could offset
between 5% and 15% of greenhouse gas emissions every year, according
to an influential 2004 study by Ohio State University soil scientist
Rattan Lal. “I and many other scientists have a lot of confidence
that we can build carbon in soil,” says Deborah Bossio, lead soil
scientist for the Nature Conservancy.
Millions of dollars of soil credits have already been sold, and
companies like Indigo are ramping up aggressively to claim a piece
of an industry that could overall be worth $50 billion by 2030,
according the consulting firm McKinsey & Company. With other
carbon markets based on planting or preserving trees facing accusations
of peddling questionable or outright fraudulent credits, some
buyers may see soil as a safer option.
But as the industry heats up, so does the skepticism. Some researchers
say the science of how soils store and release carbon is too uncertain
to support an industry claiming to be cooling the planet. They
accuse companies like Indigo of exaggerating the benefits of their
programs.
.../...
Indigo’s leaders say these studies will add confidence, but waiting
years for results to come in before launching their marketplace
would have meant a disastrous delay. “We need solutions right
now to reverse climate change,” Harbourt says. In December 2022,
Indigo said it had paid more than 400 U.S. farmers $3.7 million
for regenerative practices implemented on more than 170,000 hectares.
Next year, it hopes to ramp up to 2.2 million hectares under contract.
The chemical and seed giant Corteva has enrolled more than 400,000
hectares farmed by its customers in Indigo’s program.
.../...
See
science.org
Canadian researchers start a soil carbon measurement project,
by Matteo Cavallito, 22 May 2023
An annual project in the state of Saskatchewan will collect data
on soil carbon occurrence. The goal is to assess soil effects
and generate measurable and verifiable emission credits.
Assessing precisely how much carbon is stored in the soil and
how it changes over time. That’s the goal of a project launched
in Canada by a group of researchers from the Universities of Saskatchewan
and Guelph and other institutions and companies, including Hebert
Grain Ventures, that will take place on a 32,000-acre plot near
Moosomin in south-central Canada.
The initiative is supported by CANZA (Canadian Alliance for Net-Zero
Agri-Food) recently founded by Royal Bank of Canada, in partnership
with a number of companies such as Maple Leaf Foods, Nutrien and
Loblaws to support farmers in reducing greenhouse gas emissions.
The research, The Western Producer website reported, will last
12 months. And it will involve survey techniques such as remote
sensing and spectroscopy, a tool which is known to have interesting
applications in soil analysis.
.../...
See
resoilfoundation.org
Soil organic carbon stocks potentially at risk of decline with
organic farming expansion
Organic farming is often considered a strategy that increases
croplands’ soil organic carbon (SOC) stock. However, organic farms
currently occupy only a small fraction of cropland, and it is
unclear how the full-scale expansion of organic farming will impact
soil carbon inputs and SOC stocks.
Here we use a spatially explicit biogeochemical model to show
that the complete conversion of global cropland to organic farming
without the use of cover crops and plant residue (normative scenario)
will result in a 40% reduction of global soil carbon input and
9% decline in SOC stock.
An optimal organic scenario that supports widespread cover cropping
and enhanced residue recycling will reduce global soil carbon
input by 31%, and SOC can be preserved after 20 yr following
conversion to organic farming. These results suggest that expanding
organic farming might reduce the potential for soil carbon sequestration
unless appropriate farming practices are implemented.
See
nature.com
The limits of our personal experience and the value of statistics
It’s tempting to believe that we can simply rely on personal experience
to develop our understanding of the world.
But that’s a mistake. The world is large, and we can experience only
very little of it personally. To see what the world is like, we need
to rely on other means: carefully-collected global statistics.
Of course, our personal interactions are part of what informs our
worldview. Every time we meet people and hear about their lives, we
add one more perspective. This is no doubt a great way to see the
world and expand our understanding — but we can’t lose sight of the
limitations of this.
This article aims to remind us how little we can learn about our society
through personal interactions alone, and how valuable statistics are
in helping us build the rest of the picture.
New Sustainable Development Goals Tracker
We’re very excited to have launched our new Sustainable Development
Goals (SDG) Tracker, where you can monitor global and country-by-country
progress toward the United Nations SDGs.
The SDGs are targets for global development that were adopted in 2015,
which all countries have agreed to work toward achieving by 2030.
What are the SDGs all about?
SDG 15, as one example, is about conserving life on land, by sustainably
managing forests, combatting desertification, halting and reversing
land degradation, and halting biodiversity loss.
All together, the SDGs cover many areas of human life, life on our
planet, and our planet itself.
We'll be highlighting all of the SDGs in a series of posts on our
social media over the next two months, leading up to the UN SDG Summit
2023 on 18–19 September — so check us out there, too!
Economic Growth
Good health, nutrition, a place to live, education… Many of the things
we care about most require goods and services produced by people:
the care that nurses and doctors give; the food we eat; the homes
we live in; the education that teachers provide.
Economic growth means an increase in the quantity or quality of the
many goods and services that people produce.
The history of economic growth is the history of how societies left
widespread poverty behind. In places that have seen substantial economic
growth, few people now go without food, almost all have access to
education, and parents rarely suffer the loss of a child. The work
of historians shows this was not the case in the past.
Similarly, the history of economic growth is also the history of how
large global inequalities emerged — in nutrition, health, education,
basic infrastructure, and many other dimensions. In some countries,
the quantity and quality of the goods and services underpinning these
outcomes grew substantially over the past two centuries; in others,
they did not.
Of course, economic growth does not reflect everything we value. On
Our World in Data we provide thousands of measures that try to capture
these many other dimensions, covering topics such as biodiversity,
pollution, time use, human rights, and democracy.
Economic growth is, however, central to shaping people's overall living
conditions. Just as in the past, the future of global poverty and
inequality will depend on whether, and which, countries are able to
substantially grow their economy. As such, it is one of the most important
aspects of understanding our world today and what is possible for
the future.
On our new page, you can find all our data, visualizations, and writing
on Economic Growth.
Homicides
Homicides — when people intentionally and illegally kill others —
are the most serious crime.
They are a common cause of death globally and a leading cause in some
countries. They not only rob the victims of their lives: they also
hurt the victims’ friends and families and harm the broader community.
Our new page provides data and research on how frequent homicides
are, how this differs across countries, and how their frequency is
changing over time.
We’ve also published a new article on homicide data that describes
how sources differ and when to use which source.
Tourism
Tourism has massively increased in recent decades. Aviation has opened
up travel from domestic to international. Before the COVID-19 pandemic,
the number of international visits had more than doubled since 2000.
Tourism can be important for both the travelers and the people in
the countries they visit. For visitors, traveling can increase their
understanding of and appreciation for people in other countries and
their cultures. And in many countries, many people rely on tourism
for their income. In some, it is one of the largest industries.
But tourism also has externalities: it contributes to global carbon
emissions and can encroach on local environments and cultures.
On our new page, you can find data and visualizations on the history
and current state of tourism across the world.
Malaria: One of the leading causes of child deaths, but progress
is possible and you can contribute to it
We do not have to live in a world in which 1,320 children die every
day from a disease that is preventable — malaria. Malaria is one of
the leading causes of child death.
We know that progress against malaria is possible because it was once
prevalent in many parts of the world that are now free of it today.
How have we made this progress, and how can we continue? Economic
development has played a key role, but this is a slow process.
There are opportunities right now to protect people from malaria —
with the use of insecticide-treated bed nets. This simple and cheap
technology has saved millions of lives in the last few years.
As we explain in the article, each of us can individually contribute
to this progress right now by making a donation to the organizations
that are achieving this change — for example by following the donation
recommendations at GiveWell.org.
Sherlock Holmes and Dr Watson are on a camping trip
In the middle of the night, Holmes nudges Watson awake, and says,
"Watson, look up at the sky and tell me what you see."
"I see millions of stars, my dear Holmes."
"And what do you infer from these stars?"
"Well, a number of things," he says, lighting his pipe:
Astronomically, I observe that there are millions of galaxies and
billions of stars and planets.
Astrologically, I observe that Saturn is in Leo.
Horologically, I deduce that the time is approximately a quarter
past three.
Meteorologically, I expect that the weather will be fine and clear.
Theologically, I see that God is all-powerful, and man, his creation,
small and insignificant.
What about you, Holmes?"
"Watson, you fool. Someone has stolen our tent!"
Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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