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AFIA


Association
Francophone
d'Informatique en Agriculture


Du côté du web et de l'informatique agricole 49 - 2020
(parution hebdomadaire depuis janvier 1998)

Châtenay-Malabry, 1 octobre 2020



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Do not miss the Virus Jokes in English and French

> Coronavirus 4 Coronavirus 3 Coronavirus 2 Ant joke Coronavirus 1

> Virus et autres sujets Virus 6 Virus 5 Virus 4 Virus 3 Virus 2 Virus 1

> Les dernières histoire de l'oncle Paul (Jamet)


Une cervelle d'oiseau (à voir absolument)
Voir oiseau futé ?
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : glarroque1(a)orange.fr


Un ami m’envoie une vidéo vilipendant nos dirigeants pour leur gestion du besoin en masques de protection…

À mon avis (GW), il me semble que vous faites une petite erreur sur le pb des masques.

Nos responsables politiques (prenant conseil auprès des équipes spécialistes de l'Institut Pasteur) partaient du principe que seuls les gens ayant les symptômes de la maladie (ayant de la fièvre) sont contagieux, comme c’est le cas pour tous les autres coronavirus connus jusqu’en 2019.

Dans ce contexte, les masques n’étaient pas utiles pour le grand public et devaient être réservés aux malades et au personnel médical.

En avril 2020, on a acquis la certitude que la contagiosité de la maladie est liée au fait que des personnes porteuses du virus et asymptomatiques sont contagieuses et que, dans ce nouveau contexte, le port du masque doit être généralisé, au point que le Dr Fausti (US CDC) a dit récemment compter autant sur les masques que sur les vaccins pour freiner l'épidémie.

Un détail : dans le nouveau contexte, des masques artisanaux devenaient utiles, une protection de bas niveau valant toujours mieux que pas de protection du tout, et pouvant être utile si beaucoup en sont dotés.

Sur le fond, on voit là à l’œuvre ceux qui veulent miner la confiance en notre système sanitaire et nos dirigeants démocratiquement choisis. Ce sont ceux qui savent avoir raison a posteriori en oubliant tout du contexte dans lequel les décisions ont été prises et les responsables se sont exprimés, ce qui n'est pas très difficile.

Ceci étant, il y a eu des pbs de gestion des stocks de masques (insuffisance globale et / ou locale), mais ceci n’a rien de bien scandaleux. L'erreur est humaine.


Nuns and cement glue commercial (à voir !)

This priceless 1992 ad for a product called Talens Rubber Cement is a television commercial that swept the Cannes International Advertising Film Festival, winning its Grand Prix award.
See the nuns
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : glarroque1(a)orange.fr


Good old days (?????): Les femmes à la moisson à Auvers-sur-Oise par Charles Sprague-Pearce (1851-1914 - US)



 

Ferme de la Tremblaye près de Rambouillet (Yvelines)… Une visite très intéressante !

Depuis 1967, la Ferme de la Tremblaye vous propose des fromages fermiers de vache et de chèvre. Son écosystème autonome, pérenne et sain, a motivé dès 2008 l’adoption du modèle de l’agroécologie s’inspirant de la toute proche forêt de Rambouillet !


La Ferme de la Tremblaye maîtrise désormais l’ensemble des étapes de la production de ses fromages fermiers, depuis la culture de fourrages en Agriculture Biologique jusqu’à l’affinage, en passant par l’élevage des bêtes, la fabrication des fromages à partir du lait de la ferme. Elle prend en compte également la protection et l’entretien des sols, de la forêt, ou encore la production de sa propre énergie et le recyclage des déchets de l’exploitation par le biais d’un méthaniseur.

La conversion à l'Agriculture Biologique, entamée en 2016 fait désormais place à la certification BIO en 2020 qui poursuit logiquement l’engagement de longue date de la Ferme de la Tremblaye en faveur du bien-être animal, des agriculteurs, et de l’environnement ! La Ferme a également été certifiée B-Corp en 2020.
Voir fermedelatremblaye.com
Contact : Henri CAZAJUS
Mél : henri.cazajus(a)gmail.com


Méthanisation à La Boissière-École et Agriculture systémique, à la Ferme de la Tremblaye
Voir yvelines.gouv.fr


Du côté d’Auguste Derrière

Un menuisier a déposé une plinthe au parquet.
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr


Ophélie Lacroix : "Être agricultrice est une fierté, on nourrit la France"

À 22 ans, Ophélie Lacroix est agricultrice dans l'âme. Elle élève vaches et moutons et ne s'en laisse pas conter dans ce métier d'hommes. Le dimanche 20 septembre, TF1 consacre un numéro de « Reportages découvertes » à ces femmes agricultrices dans "Agricultrices, envers et contre tout".
Voir telestar.fr


La guerre des mots, par GRW

Interrogée sur les néonicotinoïdes par Radio Classique le 2 septembre, Christiane Lambert, la présidente de la FNSEA, a déploré que « nos élus écologistes véhiculent des fake news à longueur d’antenne pour imprégner dans la tête des gens des choses fausses ». Elle faisait notamment allusion aux propos de Yannick Jadot, qui a affirmé que les betteraves bio ne sont pas « aussi jaunes que les betteraves non bio ». Ce qui est naturellement faux.
.../...
Voir agriculture-environnement.fr


« Tout savoir sur… la souveraineté alimentaire pour le consommateur ?” avec Jean-Marie Séronie, agroéconomiste (pour qui j'ai la plus grande estime ! - GW)

La souveraineté alimentaire… Savez-vous ce que c’est ?
Jean-Marie SÉRONIE vous explique tout pour Les Clés de l’Agriculture.
Voir lesclesdelagriculture.com


Comment étouffer tout débat scientifique : la modération dans challenges.fr
Voir linkedin.com
Contact : Philippe STOOP, Directeur Innovation ITK, membre de l’Académie d’agriculture
Mél : philippe.stoop(a)itk.fr


Good old days (?????): Á travers les champs, c. 1884, par Charles Sprague-Pearce

 

 


J'ai vu dans ton avant-dernière gazette des références à l'inénarrable professeur Raoult

Je t’indique ci-dessous deux articles intéressants qui détaillent la "méthode" Raoult.

> Je trouve le premier particulièrement intéressant car il décrit la démarche de Raoult comme une démarche inductiviste mais la légitimant en se revendiquant de Popper, Kuhn et Feyerabend qui ont précisément rejeté cette démarche...
Voir medium.com_1

> Le deuxième complète en évoquant le problème des revues "toxiques" à travers le canular récent sur l'effet de l'hydroxychloroquine sur la mortalité par trottinette. Le "Publish or Perish"...
Voir medium.com_2

Contact : Carlos LOPEZ, un excellent collègue, ancien chef du service Biométrie de l’Institut de l’Élevage
Mél : carlos.lopez687(a)gmail.com


Application StopCovid : un flop Français ?
Voir lci.fr

Ma réponse (GW) à la question ci-dessus : Un flop oui, spécialement français non.

Même dans un pays où il a été très téléchargé, l'Irlande, StopCovid est peu utilisé. En Allemagne où il a été téléchargé de façon raisonnable, c'est pareil.

De mon côté, je le fais fonctionner sur mon téléphone, un petit iPhone de plus de deux ans, sans problème.

On a mis en cause le côté « centralisé » de l’application française. Il faut savoir que les données ne sont gardées que 15 jours, et que l’objectif des développeurs étaient de se passer des outils développés par Apple et Google, ce qui n’a rien de déshonnorant.

En fait il me semble que c'est le concept lui-même qui est sans doute trop abstrait et trop neuf à la fois. Le virus fait assez peur pour que nous mettions un masque, et pas assez pour qu'on laisse entrer une application dans l’intimité de notre téléphone.

À noter que pendant le confinement, nous avons eu des réunions virtuelles avec l'Académie des technologies et l'Académie de Médecine, et que beaucoup de spécialistes croyaient que StopCovid marcherait.


Les mimivirus découverts par le Dr Raoult (suite à la discussion de la semaine dernière)

Ce fut une découverte !!!!!!
La science - et c'est heureux - n'est ni infaillible ni absolument nécessaire.
Contact : Luc BECKER
Mél : luc.becker(a) wanadoo.fr


Ma remarque (GW) : la science, pas infaillible certes, pas suffisante sans doute, mais absolument nécessaire.


Merci pour votre article "Du côté du coronavirus, l’avis d’un ami optimiste" du N°46 de la gazette avec son graphique parlant

J’ai sous les yeux un graphique mettant en correspondance le nombre de morts avec le nombre de cas positifs. Le nombre de cas positifs est en augmentation en raison de l'augmentation du nombre de tests. Par contre le virus a perdu de sa virulence et ne tue plus.
Tous les virologues "sérieux" l'avaient prévu car les virus à ARN comme celui de la grippe mutent constamment (d'où l’impossibilité d'obtenir un vaccin de la grippe efficace).
Contact : Patrick BOUZIN
Mél : pbouzin(a)orange.fr


Covid-19 : le coût humain de l’immunité collective
Voir Journal International de Médecine


Ma remarque (GW) : J’avais lu cet article (voir ci-dessus) lorsque j’ai cité mon ami dans l’avant dernière gazette, ami qui faisait confiance en l’immunité collective. Ce qui m’a plu, c’est son optimisme ! Mais il me semble qu'il se trompe...


25 divided by 5 equals 14
Voir excellente « vieille » vidéo en anglais
Signalée en français par Georges LARROQUE, mais je n’ai pas réussi à retrouver sa vidéo sur Tiktok
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Good old days (?????): Les faucheurs par René Seyssaud

   

Comment communiquer pour lutter contre l’agribashing, par Marie Dominique GUIHARD

Covid-19 oblige, le grand débat du Space sur le thème « Impossible pédagogie : comment connecter les consommateurs et les éleveurs » était retransmis, ce mercredi 16 septembre, sur Youtube. L’occasion de monter l’importance de la communication aujourd’hui et de dégager certaines règles pour bien communiquer.
 
Les Français aiment bien les agriculteurs mais pas leurs modes de production. C’est en tout cas ce qu’affirme les sondages BVA.
Voir mon-cultivar-elevage.com


4 pour 1000, quels bénéfices du stockage du carbone dans le sol ?

Dans un rapport rendu public le 8 septembre, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a évalué les impacts économiques et environnementaux de l’augmentation de 0,4 % de la teneur en carbone des sols, telle que fixée dans l’initiative 4 pour 1000. Les chiffres avancés sont conséquents.
Voir campagnesetenvironnement.fr


Ma remarque (GW) : Nous devrions être très reconnaissant à Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture et ami de François Hollande, d’avoir promu le « 4 pour 1000 ».


Comment l’agroécologie va affamer des millions de personnes ?

L’agroécologie est la solution lorsque les paysans n’ont pas d’autres moyens. Malheureusement pour elle, nous disposons de technologies qui peuvent facilement être appliquées pour résoudre les problèmes auxquels les petits exploitants sont confrontés.
Voir contrepoints.org


Ma réflexion (GW) : David Zaruk, auteur de cet article, et son traducteur mon ami André Heitz, sont des types tout à exceptionnels, mais pour autant je ne suis pas d’accord avec eux sur ce sujet.

Nous avons eu comme ministre de l’Agriculture, le très bon Stéphane Le Foll qui a promu le 4 pour 1000, à l’incitation de quelques-uns de ses amis agriculteurs, qui ont développé l’agriculture de conservation (en français), proche de la « regenerative agriculture » aux USA.

Pour le coup les agriculteurs français adeptes de l’ACS n’ont pas été retard, alors que personne à l’Inra ne s’intéressait au sujet, de même que l’Inra ne s’est jamais intéressé au « sans labour », très répandu aux USA depuis bien longtemps, alors même qu’il était promu en France par un groupe d’agriculteurs réunis autour de la revue « Techniques culturales simplifiés » créée par Frédéric Thomas.

J’ai d’ailleurs soutenu l’attribution par l’Académie d’agriculture de sa médaille de vermeil à Frédéric Thomas en 2017.

Sur les techniques elles-mêmes :
- pas de labour,
- pas de sols nus,
- semis de couverture pour les intercultures (semis parfois avant récolte du précédent)…

Résultat : augmentation sensible de la teneur en matière organique des sols et amélioration de la structure de ceux, diminution sensible de consommation de phytos et d’engrais azotés, mais nécessité de garder le glyphosate en cas de pépin.

>>> À quoi répond André Heitz

On peut être facilement sur la même longueur d'onde : David s'insurge contre l' "agroécologie" telle qu'elle est par exemple décrite caricaturalement par Miguel Altieri : une conception idéologique de l'agriculture qui donne plus de poids à l'anticapitalisme et la technophobie qu'à l'agriculture et la satisfaction des besoins alimentaires (et autres) de l'humanité.
L'ACS, les TCS, le 4 pour mille, c'est de l'agronomie.

>>> Á quoi répond Christian Rousseau, agriculteur, ancien dirigeant de coopérative, membre de l’Académie d’Agriculture

L’agroécologie est un prolongement du 4 pour 1000 proposée par Stéphane Le Foll lorsqu’il était ministre. Elle promeut une synergie entre les process agronomiques et l’activité biologique du sol. L’Agriculture de Conservation des Sols (ACS) est un moyen de favoriser cette synergie.
Ce terme d’agroécologie a depuis été galvaudé par le militantisme de la décroissance et réduit à des pratiques « d’autrefois ».
C’est en cela que la pseudo-agro-écologie conduirait à l’augmentation des famines, de la déforestation et de la perte de sols.
Voir agriculture-de-conservation.com

   

Un collectif de médecins favorable à l’HCQ fait référence à Mengele… et est sévèrement condamné par l’Ordre

Rappel citant ces médecins « pas futés » : « Les êtres humains sont des êtres de contact et Mengele a bien étudié ce que l'absence de toucher créait chez les bébés séparés de leurs mères. Semer la terreur de façon injustifiée est irresponsable. Exclure nos anciens et ceux qui nous sont chers, encore la folie Covid19. »

« L’Ordre condamne fermement la référence inqualifiable et inacceptable du collectif Laissons les prescrire. Il rappelle que tout médecin est tenu par ses obligations déontologiques dans son expression publique, et ce en toutes circonstances ».
Voir Journal International de Médecine


Bio, les consommateurs prêts à payer 37 % plus cher pour du made in France (à mon avis, une vaste blague ! – GW)

Selon un sondage réalisé par le magasin bio en ligne, La Fourche, auprès de ses consommateurs, les Français seraient prêts à payer 37 % de plus pour des produits fabriqués en France. L’origine du produit est d’ailleurs, à 15 %, l’un des critères les plus importants pour les personnes interrogées. C’est plus que le prix (12,8 %), mais moins que les labels (29 %) et surtout que la composition des produits (38 %).
Voir campagnesetenvironnement.fr


AFIS : Mise au point à propos du livre « Les gardiens de la raison » où dans les faits, c’est le rationalisme qui est attaqué…

Journalisme d’insinuation : après les articles, voici le livre du trio inénarrable Stéphane Horel et Stéphane Foucart et Sylvain Laurens qui n’aiment leurs contradicteurs (normal ! – GW)

Nous avions décrit le « journalisme d’insinuation » comme une attitude visant à disqualifier des propos en essayant de discréditer leurs auteurs. Dans ce procédé de diabolisation, écrivions-nous, la réalité devient simple : « Il y aurait d’un côté les “bons” (eux) qui dénoncent tous les maux de la société et, de l’autre, tous ceux qui n’adhèrent pas à leurs analyses. Ces derniers sont alors amalgamés dans une vaste nébuleuse de “méchants” selon une rhétorique proche du complotisme où les lobbies tirent toutes les ficelles et les agences sanitaires qui ne confirment pas les attentes du “camp du bien” sont assimilées à des regroupements d’experts sous influence. Leurs avis ne méritent alors même pas d’être portés à la connaissance des lecteurs ou téléspectateurs. »

Ce passage visait alors en particulier les propos des journalistes Stéphane Horel et Stéphane Foucart dans un article du journal Le Monde (31 janvier 2019) qui accusait tous ceux qui relayaient l’avis quasi unanime des agences sanitaires quant au risque du glyphosate sur la santé d’être les acteurs d’une campagne de lobbyisme de l’entreprise Monsanto.

En compagnie de Sylvain Laurens, « sociologue des élites européennes », les deux journalistes prolongent leurs imputations avec les mêmes méthodes dans un livre intitulé Les gardiens de la raison – Enquête sur la désinformation scientifique (éditions La Découverte, septembre 2020).

Un vaste complot serait à l’œuvre, impliquant une multitude d’acteurs « existant de facto par [des] obsessions communes ».
.../...
Voir afis.org


Good old days (?????): La chevrière par René Seyssaud (c. 1945)

   

Libres expressions (jouons encore avec les mots !)

Le Président de la SNCF présenta dans ses grandes lignes l’activité banlieue.

Création de Étienne VICARIOT
Mél : etienne.vicariot(a)orange.fr


M. Villani (qui nous prend vraiment pour des parisiens ou pour des nouilles) : "Le vrai ennemi de la betterave, ce n’est pas le puceron, c’est le commerce international"

Le député de l’Essonne (groupe « Écologie, Démocratie, Solidarité »), ex-macroniste et ex-candidat à la mairie de Paris, prépare une contre-proposition au projet de loi du gouvernement qui vise à autoriser jusqu’en 2023 les industriels de la betterave à recourir aux néonicotinoïdes, de puissants insecticides interdits en France depuis 2016.
Voir challenges.fr


La HVE (label de haute valeur environnementale) fait de l’ombre au bio, il faut l’éliminer

« J’ai regardé les analyses de mon vin rosé et ça prouve deux choses : je n’utilise que des produits homologués et dans des bonnes conditions (avec des résidus inférieurs de 100 à 5 000 fois par rapport aux CMR du raisin de cuve (CMR : Cancérogène, Mutagène et Reprotoxique) » estime Jean-Samuel Eynard, le président de la FDSEA, exploitant le château Genibon Blanchereau en Côtes de Bourg. S’attendant à être ciblé, le vigneron estime que ces analyses ne portent « aucun discrédit au label HVE. Leur cheval de bataille c’est halte aux LMR. Je suis d’accord, mais en commençant par ceux qui sont les plus exposés dans la société : le tabac, l’alcool, le super sans plomb, la viande rouge, le sel… La liste peut être longue ! »
Voir alerte-environnement.fr


Good old days (?????): Moisson à Villes sur Auzon (c. 1898) par René Seyssaud

   

Ce que les coquelicots ont vraiment dit à Barbara Pompili… (d’après « Nous voulons des coquelicots, et si c’est vrai, c’est vraiment catastrophique pour Mme la ministre)
Voir nousvoulonsdescoquelicots.org


…Mme Pompili ne condamne pas les actions des vandales qui détruisent des expérimentations visant à réduire l'utilisation des pesticides sur tournesol ???
Voir Emmanuelle Ducros


Jean-Paul Pelras – Lettre ouverte à Jean Castex sur les agriculteurs dans lepoint.fr

L'ancienne figure catalane de la résistance paysanne tacle la ministre Barbara Pompili pour son soutien au mouvement Nous voulons des coquelicots.
…/…
Que des individus collectent, sans aucun contrôle digne de ce nom, des soutiens en usant d'arguments mensongers et en critiquant une filière de production qui pèse 75 milliards d'euros et emploie 1,5 million de personnes, passe encore. Puisque le crédit qu'il faut accorder à cette initiative doit être proportionnel aux connaissances agronomiques et à l'expérience agricole des pétitionnaires.

En revanche, qu'une ministre de votre gouvernement puisse « partager l'appel de ce mouvement » en suscitant la satisfaction d'un président d'association pose réellement question.
…/…
Voir lepoint.fr


Quelques bons mots (dont beaucoup du grand R. Devos)

> Je n'aime pas être chez moi. À tel point que lorsque je vais chez quelqu'un et qu'il me dit : "Vous êtes ici chez vous" ; je rentre chez moi.

> Le flux et le reflux me font "marée".

Signalé par Michel GIL ANTOLI
Mél : michel(a)gilantoli.com


L’extinction de 75% des insectes : Comment naît une légende scientifique, par Philippe Stoop, directeur Innovation ITK, membre de l’Académie d’agriculture

.../...
Contrairement à l’exploitation politique qui en a été faite, aucune de ces publications ne démontre un effet direct des pesticides sur les populations d’insectes. De plus, leurs données brutes ne montrent aucune évolution significative de ces populations depuis 2009 au moins.

Seul le modèle statistique de Nature indique une tendance significative au déclin des insectes sur la décennie passée. A ce jour il n’est pas encore possible de savoir s’il a réellement détecté une tendance que les données brutes ne permettaient pas d’observer, ou s’il s’agit d’un artefact généré par l’hétérogénéité des données en début d’expérimentation. Mais l’avantage des prévisions apocalyptiques, c’est qu’au bout du compte on finit toujours par savoir si elles étaient justifiées ou non. Parfois c’est un peu long à vérifier, comme ce fut le cas pour la prédiction du calendrier Maya : il a fallu attendre décembre 2012, pour constater qu’elle recélait manifestement une erreur de calcul, malgré l’excellence des astrologues mayas. Dans le cas de l’article de Nature, nous serons heureusement fixés plus vite.
Si on prolonge la courbe tracée par le modèle, on voit que les insectes auront disparu des prairies allemandes dès 2021. Rendez-vous donc à l’année prochaine, pour savoir s’il valait mieux croire les données ou le modèle statistique !
Voir europeanscientist.com

   

Ne nous opposons pas, agissons ensemble pour la transition agricole ! (La ferme digitale)

Ne nous trompons pas de combat, au moment où un référendum d’initiative partagée sur la condition animale emballe la sphère médiatique française, il est temps que les acteurs de la « tech » qui sont chaque jour aux cotés des agriculteurs s’expriment.

L’élevage français représente une valeur sûre de nos territoires. À taille humaine et diversifiée, la France et les Français peuvent être fiers de leurs élevages et de leurs éleveurs. La France n’est pas la Californie à plusieurs égards : il n’existe pas sur notre territoire de « feed-lots » nauséabonds où s’entassent 200 000 bovins. Notre élevage a su se moderniser en associant savoir-faire séculaires, sciences et technologie. Nos élevages ne sont pas le fait d’investisseurs anonymes mais de femmes et d’hommes dont l’immense majorité se soucie du bien-être des animaux qu’ils élèvent en faisant face au dumping de productions étrangères moins scrupuleuses et que les Français consomment ! Certes il reste beaucoup à faire, mais c’est par l’innovation que nous trouverons les solutions. Pour accompagner ces changements, l’AgTech française prend ses responsabilités pour offrir aux éleveurs les moyens de se transformer, de réduire leur empreinte carbone, de diversifier leur activité, en somme d’accompagner la transition sociale, économique et environnementale de la filière.
.../...
Voir lafermedigitale.fr


Pesticides dans l'air : « La connaissance nous libère de la peur » par Julie Guichon

Agacée par les données publiées sur la pollution atmosphérique par les pesticides, Annette Lexa, toxicologue réglementaire, cherche à remettre du bon sens sur l’appréciation des risques chimiques vis-à-vis de l’homme.

« Il faut arrêter le catastrophisme. Les données diffusées par Générations futures sur la qualité de l’air ne doivent pas être lues de façon orientée et anxiogène, précise Annette Lexa. Ces études montrent qu’entre 2002 et 2017 la qualité de l’air s’est nettement améliorée. Nous devons communiquer de façon positive et optimiste. »
Voir cultivar.fr


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

COÏT (furtif) : Avec l'âge, il le devient de moins en moins.
Jean YANNE

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Informatique et numérique agricole

Du côté des gazettes afia et efita

>>> Statistiques de l’édition du 24 septembre 2020 de cette gazette afia

>>> Last issue of the Efita Newsletter nb 952 dated September 28, 2020

>>> Last available statistics for the efita newsletter


Good old days (?????): L'effort par René Seyssaud (1867-1952)

   

Intelligence artificielle : Ce capteur estime le rendement des vignes en les flashant (Edition abonné)

Fixé sur un quad ou un tracteur à hauteur des grappes, le boîtier "Flash" prend une photo toutes les dix secondes. Une fois qu'il a réalisé le tour de la parcelle, (...)
Voir vitisphere.com


Bastien Hennequez : mesurer et estimer le rendement dans l'Eure
Voir beApi, agriculture de précision intraparcellaire


Le numérique au service de la réduction des intrants - Ian Senaux et Jérôme Clair
Voir AgroTIC


Les capteurs d’oreille facilitent le suivi de reproduction

Les boucles d’oreille eSense suivent en permanence l’activité et la rumination des animaux. L’algorithme du système s’appuie sur l’évolution de ces données pour prédire une chaleur…
Voir paysan-breton.fr


Parade Connect : les chaussures de sécurité qui sonnent l’alerte en cas de chute

Le groupe Eram dévoile ses chaussures de sécurité connectées via sa marque Parade. Le principe est simple : l'accéléromètre détecte les mouvements inhabituels du pied du porteur et en cas de chute, l'application installée sur le smartphone de l'utilisateur envoie un message contenant la géolocalisation aux contacts prédéfinis en cas d'urgence.
Voir agri-mutuel.com


Covid-19 et agriculture : Une opportunité pour la transition agricole et alimentaire ?

Bousculant nos connaissances scientifiques en matière de virologie et d’épidémiologie, la pandémie de la Covid-19 a provoqué un confinement mondial qui a eu immédiatement de graves conséquences socio-économiques. Paradoxalement, elle semble être un catalyseur des grandes mutations en cours dans les filières agricoles et alimentaires françaises : agroécologie, territorialisation, numérique, circuits courts, transition alimentaire. Elle invite à la réflexion sur l’évolution de l’Union Européenne et de sa politique agricole commune. Elle oblige à revoir les relations Nord-Sud en matière de sécurité alimentaire mondiale.

Interpellée par ces événements, l’Académie d’agriculture de France s’est mobilisée autour d’un groupe de réflexion qui a travaillé durant le grand confinement par visioconférence et alimenté un Forum académique numérique. Ce sont ces contributions et des propositions concrètes pour une mutation accélérée et positive du monde agricole, qui vous sont communiquées dans cet ouvrage. Avec la crise de la Covid, l’Académie d’agriculture de France s’est muée en une société savante 4.0 !

L'Académie d'agriculture de France, s'est en effet posé la question « Covid-19 et agriculture : Une opportunité pour la transition agricole et alimentaire ? » et s'est efforcé d'y répondre dans le nouvel ouvrage collectif, qu'elle publie aux Presses des Mines, en cette rentrée 2020.

Pour ce faire, quelque soixante membres de l'Académie d'agriculture de France ont mené "leurs propres réflexions", au sein de chacune des 10 sections de la Compagnie.

Ils ont confronté et fait progresser leurs idées au sein d'un forum numérique animé par Michel Dron, secrétaire de la section "Productions végétales" et Philippe Kim-Bonbled, directeur du développement et de la communication de l’Académie.

Puis, ils ont entamé la rédaction de l'ouvrage, en un temps record, qui comporte les trois parties suivantes :

1. La pandémie et ses réalités agricoles,
2. Les vulnérabilités agricoles mises en évidence par la pandémie,
3. L’après-pandémie agricole.

Pour illustrer les chapitres écrits par leurs consœurs et confrères, des membres engagés au quotidien dans différents secteurs d’activités font, par ailleurs, part de "la manière dont ils ont vécu la pandémie, comment ils ont dû s’y adapter et quelles leçons ils en tirent pour l’avenir".

Comment commander cet ouvrage…


Robot d'alimentation... Aura : la mélangeuse automotrice autonome qui se sert directement dans le silo

Kuhn présente son tout nouveau robot d'alimentation : Aura. Totalement autonome, cette mélangeuse automotrice autonome se sert directement dans les silos. Récompensée par un Innov'Space 2020, la marque met en avant des aspects de liberté (diminution de l'astreinte et possibilité de faire évoluer la structure) et d'accessibilité (en termes d'investissement et d'utilisation).
Voir web-agri.fr


Data : Département par département, les estimations de rendements en maïs grain
Voir terre-net.fr


Le drone sème le couvert

Semé tôt, parfois avant la récolte du maïs, le couvert végétal piège une quantité importante d’azote. Le drone pourrait être un outil idéal pour un semis précoce. Semés après la récolte du maïs, les couverts d’avoine ou de seigle n’ont pas toujours le temps de se développer et captent peu d’azote résiduel…
Voir paysan-breton.fr


MyKverneland : votre parc matériel à portée de clic !

Kverneland lance sa plateforme en ligne MyKverneland sur laquelle les agriculteurs retrouveront toutes les informations liées à leurs machines et une vue d'ensemble de leur parc de la marque.
Voir agri-mutuel.com


Good old days (?????): Moisson en montagne, par René Seyssaud (1900)

   

1er e-learning sur la biosécurité pour tous les intervenants en élevage : salarié, technicien, saisonnier, prestataire...

Pourquoi la biosécurité ? Dès cette rentrée, l’IFIP propose de se former, à distance, grâce à un module d’e-learning dédié aux mesures de biosécurité en élevage de porcs. Pour répondre aux exigences de l’Arrêté du 16 octobre 2018, un Référent Biosécurité doit mettre en place le ‘Plan de biosécurité de l’élevage’. De plus, il doit également former le personnel permanent et temporaire de l’exploitation aux consignes de biosécurité. Pour maintenir, dans le temps, l’application des mesures de biosécurité, des rappels réguliers des consignes sont nécessaires.
Voir pleinchamp.com


Lely Live tour : Visitez quatre fermes robotisées

4 jours, 4 exploitations, 4 éleveurs, 4 directs : voilà le résumé du Lely live tour organisé par la marque rouge. Du 15 au 18 septembre, vous pourrez visiter quatre exploitations et surtout échanger avec quatre éleveurs en live.
Voir agri-mutuel.com


Grâce à Floriscope…

- Trouvez les végétaux adaptés à vos projets parmi les 160 000 noms de plantes du plus grand référentiel français.
- Gratuite et ouverte à tous l’application Floriscope offre de nombreuses fonctionnalités :
- Créer des listes de plantes
- Rechercher une plante à partir de critères professionnels
Voir floriscope.io


Pourquoi utiliser l'application Floriscope présentée ici par des professionnels de l’horticulture et des aménagements floraux et paysagers qui l'utilisent ?
Voir la vidéo Floriscope


Du côté de « Le village by CA Morbihan », accélérateur de start-up lancé il y a 2 ans

> Dynavia : Process de protection des semences en environnement confiné
See dynavia.eu

> Opticultures : Permettre la modulation de la fertilisation par une analyse poussée des parcelles de l'agriculteur
Voir opticultures.fr
Contact : Pierre-Henri HAMON
Mél : contact(a)opticultures.fr

> Meropy
Meropy offers farmers and agricultural advisory experts the SentiV solution, a new approach to plot monitoring.
See meropy.com

> Dilepix
Dilepix propose aux exploitants, qui équipent leurs champs et leurs bâtiments d’élevage, d’analyser automatiquement les images de surveillance et de les alerter si…
Voir dilepix.com

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Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

COMPLIMENTER : Chaque fois qu'un ami vous complimente sur votre jeunesse, vous pouvez être certain qu'il trouve que vous avez vieilli.
John IRVING

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Informatiques et réseaux

Un tiers des moyennes et grandes entreprises françaises utilisent l'IA

34% des moyennes et grandes entreprises françaises sondées ont désormais recours à l'apprentissage machine. L'indicateur est issu de la dernière enquête Club Décision DSI / JDN. Le recours au bot progresse.
Voir journaldunet.com


Quelle place pour le numérique face au changement climatique et à la crise sanitaire ? par Marie-Cécile DAMAVE

L’Université d’été de GS1 France s’est tenue le 28 août 2020 sur le thème « Dématérialiser la croissance – Pour une nouvelle efficience, de nouvelles mesures s’imposent ». Le riche programme de cet événement a fourni beaucoup de matière à réflexion. Il a été question de résilience face au changement climatique et à la crise sanitaire actuelle et du rôle du numérique face à ces enjeux.

Selon Christian de Perthuis, économiste et fondateur de la chaire Economie du climat de l’Université Paris Dauphine, le « capitalisme viral » (c’est-à-dire le capitalisme numérique) a déjà gagné sur le capitalisme thermo-industriel. Un événement récent symbolise parfaitement ce bouleversement : il y a quelques jours, la compagnie pétrolière ExxonMobil a été contrainte de quitter l’indice boursier Dow Jones au profit de l’éditeur de logiciel Salesforce…

Concernant le rôle du « capitalisme viral » dans les stratégies énergétiques, Christian De Perthuis a considéré qu’il était un accélérateur de la transition énergétique en favorisant la substitution des sources d’énergies au profit des renouvelables, en réduisant leur coût et en améliorant leur efficacité. Cependant, il a souligné le fait que les gains en efficacité devaient être complétés par davantage de sobriété de consommation. Or les prix bas génèrent logiquement l’inverse…
.../...
Voir agridees.com


De chauffeur à livreur, le véhicule autonome s'adapte au coronavirus

Les applications de livraison par véhicule autonome ont connu un regain d'intérêt pendant le confinement. Tour d'horizon des acteurs et enjeux de ce segment naissant.
Voir journaldunet.com


"Avec la 5G, les opérateurs vont se recentrer sur les problématiques business de leurs clients"

Tata Communications travaille étroitement avec le secteur automobile dans le déploiement de la 5G. Une approche métier qui va se généraliser chez les opérateurs, selon son vice-président.
Voir journaldunet.com


Spotify accuse Apple d'abus de position dominante avec son nouvel abonnement Apple One

Le numéro un mondial du streaming musical en ligne, le suédois Spotify, a de nouveau accusé le géant américain Apple d'abuser de sa position dominante, appelant les autorités de la concurrence à se pencher cette fois sur le nouvel abonnement Apple One annoncé mardi.
Voir linformaticien.com


Pourquoi de plus en plus de médias misent sur la 1st party data

Le New York Times, Le Figaro, TF1 ou Le Monde investissent dans la création de "segments propriétaires". Un passage obligé́, expliquent-ils, mais pas accessible à tous.
Voir journaldunet.com


Publication diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

CONS (Vieux) : Ils sont simplement d'anciens jeunes cons.
Louis PAUWELS

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Agricultures

Solution de couplage agriculture et photovoltaïque

Solution développée depuis 2009 par le groupe Sun’R, en collaboration avec l’Inra, l’agrivoltaïsme s’adresse aux cultures à forte valeur ajoutée souffrant du réchauffement climatique.

Le programme SunAgri s’est déroulé en plusieurs étapes :

2009 – 2012 : Sun’Agri 1. Les principaux résultats obtenus ont démontré qu’en pleine densité des panneaux, les rendements sont fortement réduits (de l’ordre de 40%). En condition de semi-densité (30% d’ombrage), certaines cultures ont maintenu un rendement agricole équivalant, voire supérieure à des cultures témoin (sans panneaux).

2013 – 2017 : Sun’Agri 2. Développement du socle logiciel et hardware, et mise en place du premier modèle agrivoltaïque sur la laitue et la vigne. Les panneaux sont mobiles. Deux thèses :
- une première présentant une modélisation du développement écophysiologique de la laitue.
- et une présentant un modèle de bilan hydrique sous-système agrivoltaïque dynamique.

2017 – 2022 : Sun’Agri 3. C’est la phase de démonstration. L’agrivoltaïsme est déployé à grande échelle et dans les conditions réelles.

Voir sunagri.fr


Sécheresses et irrigation… Julien Denormandie veut « simplifier » les constructions de retenues d’eau - AFP, le 31/07/2020 (Espérons que, depuis juillet, le dossier avance ! - GW)

Le ministre de l'Agriculture veut « simplifier un peu les procédures » pour construire des retenues d'eau afin de permettre aux agriculteurs de faire face aux sécheresses à répétition.
Voir agri-mutuel.com


Découvrez les grandes nouveautés de l’élevage primées par le Space 2020
Voir agri-mutuel.com


« Quels corps gras doit-on consommer ? », par Jean-Michel Lecerf, membre de l’Académie d’agriculture
Voir academie-agriculture.fr


Récolte et enrubannage du sorgho en Haute-Loire

Guillaume, éleveur de brebis en Haute-Loire, évoque ses cultures de sorgho dont il montre la récolte puis l'enrubannage...
Voir wikiagri.fr


Good old days (?????): Paysan avec serpe par Vincent van Gogh (1885)

   

Tenter l'autosuffisance alimentaire en fermant les frontières ? La Russie n'est pas le bon exemple

Une étude récente met en lumière que la Russie, malgré les embargos et les politiques de soutien à ses producteurs qui s'en sont suivies, ne parvient pas à l'autosuffiance alimentaire. Elle continue à importer, beaucoup, et malgré une forte exportation de céréales, la balance est négative, avec un déficit de 16 milliards de dollars depuis 2015.
Voir wikiagri.fr


Cri d’alerte des agris méthaniseurs : Les sites industriels favorisés au détriment des agriculteurs

Alors que le Conseil supérieur de l’énergie doit se réunir demain, l’association des agriculteurs méthaniseurs de France alertent sur les conséquences du projet de revalorisation de l’énergie et mettent en avant le risque de faire disparaitre les sites agricoles au profit de grands sites industriels, aux externalités positives beaucoup plus limitées.
Voir agri-mutuel.comv


Produire localement, vendre en circuits courts : un nouveau paradigme ? Par Gil Kressmann, membre de l'Académie d'agriculture

Vendre en circuits courts des produits alimentaires locaux est une idée séduisante. C’est même devenu un discours dominant pour évoquer la sauvegarde de notre agriculture et de notre souveraineté alimentaire !
Voir agri-mutuel.com/


Bio, « des critiques depuis deux ans »

Le 8 septembre, l'entreprise semencière MAS SEEDS organisait une table ronde, en visioconférence, sur le thème du bio. Éric Birlouez, sociologue de l’alimentation, a apporté son regard sur ce marché en pleine croissance.
Voir campagnesetenvironnement.fr


Le ministre de l’agriculture se prononce au sujet du RIP sur le bien-être animal

Lancée durant l’été, la proposition de référendum d’initiative partagée (RIP) sur le bien-être animal est portée par près de 60 associations de défense des animaux. Lors d’une table ronde sur la chaîne alimentaire organisée au Space à Rennes, le 16 septembre, le ministre de l’Agriculture a défendu sa vision du bien-être animal, remettant l’éleveur au centre du débat.
Voir campagnesetenvironnement.fr


Le monde agricole s'insurge contre Les Nouveaux Fermiers, par Hélène Flamant

« Les plus grands promoteurs de la fin de l’élevage sont les premiers promoteurs de la fausse viande, ultra-transformée », dénonce le monde agricole à l’annonce de l’ouverture par Les Nouveaux Fermiers d'une ligne de production dédiée à la fabrication de ses produits promettant de « réinventer la viande ».
Voir mon-cultivar-elevage.com


Depuis quand utilise-t-on des pesticides ? Par Jean-Louis Bernard et Bernard Ambolet, membres de l'Académie d'agriculture de France
Voir agri-mutuel.com


Histoire du désherbage en grandes cultures, In Phytoma N°736 août-septembre 2020, par Jacques Gasquez, Michel Dron, Marc Délos
Voir academie-agriculture.fr


Des objectifs détaillés et réalistes seraient plus efficaces pour réduire les phyto, In VITI Septembre 2020, par Philippe Stoop

Un article récent montre que deux approches écologiques s’affrontent :

- Une vision « localiste », centrée sur les nuisances environnementales de proximité,

- Une vision « globaliste », centrée sur le changement climatique.

Le plan européen « De la ferme à la fourchette » est issu de la vision localiste. Il prévoit de réduire de 50% l’emploi des pesticides et de 20% celui des fertilisants. Ceci aurait pour conséquence des baisses très importantes de rendement. Les pays tiers devraient suppléer à ces pertes de volume par une intensification de leurs cultures, une augmentation de la déforestation et de gaz à effet de serre…

Ainsi, les approches écologiques « localistes » et « globalistes » sont en contradiction.

Pour l’auteur de cet article, une réduction de 50% des produits phytosanitaires utilisés, quels que soient les produits et la culture, serait absurde et contre-productif. Ces objectifs arbitraires ne tiennent pas compte des réalités et des conséquences, alors que le rapport Ecophyto indiquait que « des réductions de pesticides de l’ordre de 20 à 25% étaient accessibles sur la plupart des cultures sans pénaliser la production ».
Voir academie-agriculture.fr

 

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

CONTRÔLE (Naissances) : Vous avez remarqué que tous les partisans du contrôle des naissances sont déjà nés ?
Benny HILL

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Du côté des écrivains et artistes paysans

> Concours de poésie

> COVID 19 et agriculture


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

CUL (Le) : Quand on n'a que lui, mais qu'on a la jeunesse, on a l'île aux Trésors à portée de la main.
Bernard DIMEY

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Agenda

Les webinaires d'automne de l'institut de l'élevage 2020

Dans un contexte sanitaire qui a conduit à l'annulation des salons d'automne, Space et Sommet de l'Élevage, l'Institut de l'Élevage s'organise pour proposer à distance les conférences prévues. 5 webinaires ont déjà eu lieu entre le 15 et le 18 septembre et sont accessibles en replay. La programmation d'une quinzaine de conférences sur d'autres sujets est en cours, du 28 septembre jusqu'à la fin du mois d'octobre.
Voir idele.fr


Tassement des sols : propriétés mécaniques et analyse des déterminants du risque, conséquences et solutions correctives

Le tassement des sols est principalement dû à la mécanisation des activités dans le domaine agricole et forestier. Il apparaît un facteur déterminant de la dégradation de leurs propriétés physiques (Richard et al., 2012). Principalement lié aux passages d’engins, il conduit à une dégradation des propriétés des sols, « de leur qualité ». Ce risque concerne désormais l’ensemble des sols français. Il entraine de nombreux dommages sur les cultures et les forêts par une baisse globale de la production et par un accroissement des impacts environnementaux. Sans être exhaustif il accroit les risques d’anoxie en période humide, affecte l’enracinement des végétaux, notamment leur encrage, particulièrement dommageable pour les forêts. Il contribue à diminuer la réserve en eau des sols en rendant les végétaux sensibles à la sécheresse, en diminuant le rendement des cultures et en fragilisant la survie des arbres. Il favorise le ruissellement et l’érosion, affecte la recharge des nappes souterraines, contribue à dégradation de la qualité des eaux et à l’émission de gaz à effet de serre, etc.
Pour les champs cultivés les évolutions actuelles des systèmes de culture remettent le tassement au cœur des préoccupations. Si la tendance à la diminution de l’intensité du travail du sol, motivée par le souci de baisser les coûts de production et les charges de mécanisation se généralise, elle risque en contrepartie de limiter les possibilités de régénération de la structure par le travail de la faune et de l’effet bénéfique de la croissance racinaire. Le tassement rend plus problématique la mise en œuvre des outils de travail du sol, mais affecte aussi celui de l’effet bénéfique des agents du climat (alternances dessiccation-humectation, effet structurant du gel).

Pour traiter ces questions nous avons choisi de nous focaliser, dans une première phase, par une présentation pédagogique des facteurs et mécanismes à la base du tassement des sols. Nous commencerons par la présentation des concepts de base de la mécanique des sols adaptés aux milieux plus ou moins saturés d’eau, en analysant les effets répétitifs sur les sols et leurs conséquences sur la réversibilité des phénomènes. Nous analyserons ensuite le rôle des constituants et de leur environnement physico-chimique comme agent de cohésion entre les particules du sol, prenant notamment en compte leur nature et leurs propriétés associées. Nous montrerons par la suite quels sont les facteurs déterminant le tassement et leurs impacts au champ et sur les milieux forestiers. Nous examinerons les solutions correctives, notamment pour ce qui est de l’évolution des pratiques actuelles liées et associées au non-travail du sol, notamment des facteurs biologiques (faune, rhizosphère) et à la réduction des effets des engins de roulage potentiellement très lourds sur les sols.
Voir academie-agriculture.fr


Actualités Produits Laitiers Fermiers 2020

1 et 2 octobre - Webinaire
Quoi de neuf dans la filière laitière fermière ? Venez découvrir les actualités sur la réglementation, les aspects sanitaires et la qualité des...
Voir idele.fr


9èmes Journées Techniques Ovines

14 et 15 octobre - Webinaire
Au regard des conditions sanitaires, des capacités d’accueil locales et d’une baisse du nombre d’inscrits, le comité de direction de l’Institut de...
Voir idele.fr


FIRA 2020 sera virtuel et fortement internationalisé

8 au 10 décembre 2020 de 8 h à 20 h

   

> La plate-forme de salon virtuel, ouverte le 8 décembre, sera disponible jusqu'en juillet 2021
> Accès gratuit pour les producteurs agricoles
> + de 100 pays participants
> Accès à tous les acteurs de l'industrie, partout dans le monde
Voir FIRA 2020


Lancement du concours Make IT Agri, « destiné à contribuer à améliorer les pratiques du champ à l’assiette pour accélérer les transitions agricoles et alimentaires en démontrant leur aptitude à lutter contre le changement climatique »

15 décembre 2020
Ce concours est ouvert aux étudiants en 2e et 3e années d’écoles d’ingénieurs. Candidatures à déposer avant le 15 décembre 2020.
Voir makeitagri.org


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

DÉVOTION (féminine) : Elle a trois âges, le désir, la vanité, la peur : quinze, trente et quarante ans.
Edmond et Jules DE GONCOURT

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Du côté des gazettes et des blogs agricoles

Du côté de vitisphere.com : Un automne morose, par Marion Ivaldi

Les mauvaises nouvelles sur la santé financière des entreprises commencent à faire l’actualité. Cogevi, Comexposium… Ces entreprises sont sans doute les premières d’une longue liste. La filière commence à s’engager dans la pente raide, dans le dur de la crise. Des entreprises se bagarrent pour rester en haut de la ligne de flottaison, comme Advini qui se dote d’un plan d’économies substantielles.

Très discrètes pour l’instant, les caves particulières vont faire face aux charges sociales et fiscales alors que le marché s’annonce à nouveau très perturbé. La nouvelle fermeture des restaurants dans la majorité des grandes villes de France n’est pas faite pour offrir de la perspective. Et l’annulation des salons les uns après les autres tire un trait sur les maigres perspectives d’une commercialisation. L’automne se dessine véritablement morose. Alors que l’acceptabilité sociale des mesures sanitaires commencent à décliner, chacun comprend que l’épidémie ne sera peut-être pas jugulée à court terme, et que l’économie ne pourra être mise sous perfusion encore longtemps, il est essentiel peut-être d’appréhender la crise avec de nouvelles méthodes.
Voir vitisphere.com


Terre-net Web TV


Du côté de pleinchamp.com : Les éleveurs prennent le RIP en grippe

Abandon des cages et accès au plein air pour les animaux d’élevage : voici les deux principales mesures agricoles du projet de référendum d’initiative partagée (RIP) sur la cause animale lancé début juillet par trois grands patrons du digital. Des propositions plutôt consensuelles et qui recueillent l’adhésion d’une grande partie de la société, sans compter qu’elles ne font que prolonger certaines mesures prises par le gouvernement avec la loi Egalim. Mais dans les rangs des syndicats agricoles, l’initiative passe mal.
Voir pleinchamp.com


Du côté de l'Institut de l'Élevage
Voir idele.fr


Du côté d’André Heitz

> Soutien de Mme Barbara Pompili aux « coquelicots » : M. Jean-Paul Pelras écrit une lettre ouverte à au Premier Ministre Jean Castex dans le Point

> « Litzenburg-gate » – ce que les auteurs des articles sur les « Monsanto-papers » ont toujours caché : épilogue

> « Défendre la science et la raison » de M. Marcel Kuntz

> Betteraves, jaunisse et néonicotinoïdes : autopsie d'un psychodrame français

> Traction animale : une démonstration implacable sur un blog à découvrir, le Jardinier Sceptique

> Il y a zéro pesticides dans le sucre... peut-il y en avoir moins ?

> Tour de France et « rêve du chômeur » (M. Jacques Boutault (EÉLV) : la réponse du député paysan Jean-Baptiste Moreau

> Greenpeace et al. découvrent une mutation spontanée

> La scandaleuse escalade d'engagement de Greenpeace contre le Riz Doré

> Fauchage de science et d'essais réglementaires : le député Raphaël Schellenberger s'en émeut

> Une étude montre que les plantes génétiquement modifiées peuvent sortir les agriculteurs de la pauvreté

> Ah non ! Pas d'agriculteur, même bio, près de nos résidences, même et surtout secondaires !

> Assemblée citoyenne : l'agriculture (et la PAC) comme elle devrait être selon ceux qui ne la pratique pas

> « La reine du miel » sur France 2 : l'agribashing ordinairev

> « Elevage en plein air: tout sauf une bonne idée pour le bien-être animal! » de Mme Emmanuelle Ducros dans l'Opinion

> Assemblée Citoyenne sur l'Agriculture : c'est moins pire que craint pour les « ojectifs », nul pour les « leviers »

> L'agriculture face au risque

> « Une géohistoire du blé français pour penser le futur », de M. Sébastien Abis dans l'Opinion

> Lobbying : le « Groupe de Travail sur les Pesticides Systémiques » à l'assaut du Parlement

> Un élevage laitier et du biogaz au Kenya


Du côté du blog d'Albert Amgar
Défendre la science et la raison par Marcel Kuntz

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Le Mensuel de l'Académie


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Du côté du ministère de l’Agriculture

> Projet de budget 2021 du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation

> Lancement du programme prioritaire de recherche « cultiver et protéger autrement »

> Concertation PAN 7 : lancement d’une concertation préalable à la révision du programme d’actions national nitrates

> Remise au gouvernement du rapport de mission parlementaire sur l’avenir de la forêt et de la filière bois

> Vague de sécheresse : le ministère de l’Agriculture prend de nouvelles mesures pour accompagner les agriculteurs

Association nationale des éditeurs de logiciels agricoles


Du côté de la Fnsea

> Prolongation du dispositif TODE Travailleurs Occasionnels Demandeurs d’Emploi ) jusqu’à fin 2022 : une réponse forte aux employeurs agricoles

Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, à l’occasion de la présentation du projet de loi de finances (PLF) pour 2021, a annoncé la prolongation jusqu’à fin 2022 du TODE, c’est- à-dire l’exonération spécifique de charges patronales pour les employeurs de saisonniers agricoles.

Cette annonce, qui fait suite à une première prolongation pour l’année 2021, est une très bonne nouvelle pour les employeurs !

Cette reconduction était demandée avec insistance par la FNSEA, pour soutenir la compétitivité et l’emploi agricole mis à mal par une concurrence exacerbée portant sur le coût du travail.

Dispositif pérenne jusqu’à fin 2018 et qui visait à soutenir les employeurs de saisonniers agricoles par rapport aux pays européens ayant des salaires minima très inférieurs au SMIC, le dispositif TODE a été transformé en janvier 2019 en mesure temporaire, tout en y intégrant le CICE. L’annonce de ce jour est un soutien tangible.

Au-delà d’une reconduction d’année en année, la FNSEA demande à ce que le TODE soit désormais pérennisé afin d’apporter plus de visibilité aux employeurs agricoles.

> Fausse viande et fin de l’élevage : les masques tombent !

Enfin, les masques tombent. Hier « Les Nouveaux Fermiers » ont annoncé l’ouverture d’une ligne de production dédiée à la fabrication de ses produits promettant de « réinventer la viande ».

Au-delà du marketing commercial qui veut faire passer des usines pour des fermes en utilisant à tout va le terme fermier, ce qui démontre bien la méconnaissance de ces industriels de la réalité des agriculteurs qui travaillent, eux, avec le vivant, il est intéressant de s’arrêter sur les investisseurs qui viennent d’inaugurer cette usine de substituts de viande. Comme de nombreux Français, la présence dans ce projet du fonds d’investissement de Mr Xavier Niel nous interpelle.

Xavier Niel, l’un des initiateurs du référendum pour les animaux. D’un côté, il prône l’arrêt de l’élevage. De l’autre, il se positionne sur un marché nouveau qui serait bien aidé par la fin de l’élevage. Ce mélange des genres est terriblement gênant pour notre démocratie. Cela d’autant plus, que Mr Niel étend son emprise sur les médias en acquérant différents groupes de presse pour soutenir ses intérêts financiers.

Comment peut-on cautionner le dévoiement de nos outils démocratiques par certains groupes d’intérêts, qui au bénéfice de capacités d’investissement incommensurables détournent, à grand renfort de campagnes d’influence, le nouvel outil de démocratique qu’est le RIP ? Une démarche pourtant censée émaner du peuple, pour le peuple.

Comment peut-on croire à l’honnêteté de certains « milliardaires du numérique », initiateurs du référendum d’initiative populaire (RIP) pour les animaux qui, se drapant publiquement de vertu pour la cause animale, cherchent en réalité à réaliser une OPA sur la viande ? Rappelons que les plus grands promoteurs de la fin de l’élevage sont les premiers promoteurs de la fausse viande, ultra-transformée, et dont le taux de profit n’a pas d’équivalent à ce jour.

Si les éleveurs n’ont jamais été dupes de cette stratégie déjà éprouvée par les « gourous de la tech » de l’autre côté de l’Atlantique, c’est maintenant aux consommateurs d’apprécier cette réalité.

Ce projet de « Nouveaux Fermiers », qui inscrit en son nom toute la démagogie de la démarche, fait enfin tomber les masques.

 


> Une convention collective nationale pour les salariés agricoles, résultat d’une négociation constructive entre partenaires sociaux !

Après plus de trois années d’intenses négociations, les partenaires sociaux agricoles salariés et patronaux (respectivement FGA-CFDT, FNAF-CGT, FGTA-FO, CFTC- AGRI, SNCEA/CFE-CGC et FNSEA et FNCUMA) viennent de s’accorder sur la mise en place d’une convention collective nationale couvrant l’ensemble des entreprises et des salariés de la production agricole et des CUMA en France.

Cette convention, signée au niveau national pour la première fois, pose un jalon décisif dans un processus de concertation constructive des organisations syndicales et patronales représentatives de la filière agricole. Elle ne marque pas la fin des négociations paritaires territoriales ni de filières, mais promeut une nouvelle approche en termes de classification des emplois, basée sur les compétences, afin de favoriser l’évolution professionnelle des salariés. Elle établit également une grille nationale fixant les salaires minima. Sa mise en œuvre interviendra à compter du 1er janvier 2021.

La FNSEA se félicite d’avoir su parvenir, avec ses interlocuteurs, à un texte satisfaisant et équilibré. En dotant près d’un million de salariés d’une même couverture conventionnelle, les partenaires sociaux donnent un signal fort sur la vitalité du dialogue social en agriculture, et sur la capacité de la filière agricole à se structurer.


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

DIEU : Il a sagement agi en plaçant la naissance avant la mort ; sans cela que saurait-on de la vie ?
Alphonse ALLAIS

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Opinions et curiosités du web


La "réflexion" masculine

Un homme avait trois copines mais il ne savait laquelle épouser. Alors il s’est résolu à faire un test, pour voir laquelle était plus apte à être sa femme.

Il a retiré 15.000 euros de sa banque, donné 5.000 euros à chacune et leur a dit :
« Dépensez cet argent comme vous voulez. »

La première a fait du shopping, acheté des habits, bijoux ; est allé chez le coiffeur, à l’institut de beauté, etc. De retour, elle dit à l’homme :
« J’ai dépensé tout ton argent pour être plus belle pour toi, pour te plaire, car je t’aime plus que tout. »

La deuxième a fait du shopping également, a acheté des habits et des chaussures pour son homme, une chaîne Hifi, une gigantesque télévision Oled, des accessoires de golf et autres sports. De retour, elle dit à l’homme :
« J’ai dépensé tout ton argent pour te rendre heureux et te plaire, car je t’aime plus que tout. »

La troisième a pris l’argent, l’a investi en Bourse. En trois jours, elle a doublé son investissement, rendu les 5.000 euros à l’homme et lui dit :
« J’ai investi ton argent et j’ai gagné le mien. Maintenant je peux faire ce que je veux avec mon argent pour ne pas être un poids pour toi, car je t’aime plus que tout. »

Alors, l’homme réfléchit, réfléchit encore, réfléchit encore plus, réfléchit vraiment, réfléchit vraiment plus, réfléchit intensément, réfléchit presque autant qu’une femme (c’est dire l’effort !), réfléchit encore et toujours, réfléchit longuement, réfléchit très longuement…

Et il se marie avec celle qui avait les plus gros seins…

Oui, parce qu’un homme, ça peut réfléchir beaucoup… mais ça ne sert à rien !

TV Agri : actualités agricoles. Toute les actualités de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles

 

Pensée du jour à l’attention de nos amis écolos

Toutes les idéologies politiques qui ont voulu modifier le monde paysan ont échoué parce que le monde agricole ne peut être géré par des théories, il est régi par la réalité.
Olivier DE KERSAUSON


Seconde pensée du jour sur la démarche scientifique

La démarche scientifique a toujours été gênante pour les amateurs d’interprétations globalisantes. Les esprits religieux auraient bien voulu que la science n’ait pas accès à la réalité sans l’accord préalable de la théologie. Les esprits politiques la voyaient bien servir leur vision du sens de l’Histoire. Ces détournements ont échoué, au moins temporairement, mais le combat contre la science ne faiblit pas […]. Si l’on veut dénigrer la valeur de la science, la voie la plus facile est de dénigrer celui qui la produit [et de disqualifier] toute expertise en jetant sur elle, par principe, le soupçon de la connivence industrielle et du conflit d’intérêt.
Yves BRÉCHET, membre de l’Académie des sciences


Troisième pensée du jour sur les initiatives comiques des maires écolos

On voudrait passer pour des ayatollahs, on ne ferait pas autre chose !
Isabelle SAPORTA, compagne de Yannick JADOT, en réaction aux initiatives pas forcément populaires des nouveaux maires verts
Voir lemonde.fr


Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

 


A first thought for today

A straw vote only shows which way the hot air blows.
O. HENRY, short-story writer (1862-1910)


A second thought for today

The radical novelty of modern science lies precisely in the rejection of the belief ... that the forces which move the stars and atoms are contingent upon the preferences of the human heart.
Walter LIPPMANN, journalist (1889-1974)


A third thought for today

Would the boy you were be proud of the man you are?
Laurence J. PETER, educator and author (1919-1990)


A fourth thought for today

Patriotism is proud of a country's virtues and eager to correct its deficiencies; it also acknowledges the legitimate patriotism of other countries, with their own specific virtues. The pride of nationalism, however, trumpets its country's virtues and denies its deficiencies, while it is contemptuous toward the virtues of other countries. It wants to be, and proclaims itself to be, "the greatest", but greatness is not required of a country; only goodness is.
Sydney J. HARRIS, journalist and author (1917-1986)

Ageekculture : un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information

 

La reprise se passe mieux que prévu - François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France

L’économie française devrait rebondir de 16 % au troisième trimestre, estime la Banque de France. Son gouverneur souligne que la confiance des ménages sera déterminante pour accélérer la relance.

Q. : Jugez-vous que le plan de relance est de nature à répondre à la crise ?

R. Je crois, en toute indépendance, que ce plan est bien positionné, y compris parce qu’il n’est pas isolé. Les 100 milliards d’euros du plan de relance viennent après des mesures d’urgence au printemps très significatives et axées sur les ménages, pour un montant à peu près équivalent. Dans le plan de relance, on a des mesures sur l’offre. C’est un bon équilibre, d’autant qu’il est très important que l’investissement ne soit pas une victime discrète et peu visible de la reprise.

« Il faut être capable de mobiliser des fonds propres pour les TPE, les PME »

De ce point de vue, le soutien à apporter aux fonds propres des entreprises est absolument vital pour la confiance des entrepreneurs. Il faut donc être capable de mobiliser des fonds propres pour les TPE, les PME, tous ceux qui n’ont pas accès aux mécanismes de marché : nous estimons que ce besoin est de l’ordre de 10 à 20 milliards d’euros.
Voir lemonde.fr



Good old days (?????): Le semeur par Vincent van Gogh (1882)

   

L’agroécologie pour lutter contre la faim dans le monde
Voir actioncontrelafaim.org


Ma remarque (GW) : Et pourtant, sans technologie et progrès technique et intensification, il n’y a pas d’agroécologie.
Sans intensification en particulier, il devient nécessaire d’étendre les superficies cultivées et donc de diminuer la biodiversité. La politique promue par « Action contre la faim » va ainsi à l’encontre de ses objectifs… comme le démontre Philippe Stoop ci-après.

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L’agriculture extensive favorable à la biodiversité ? Par Philippe Stoop, membre de l’Académie d’agriculture, directeur Recherche et Innovation d’ITK

Sur les liens entre intensification de l'agriculture et biodiversité : où l'on (re)découvre que l'agriculture "productiviste" n'est pas forcément le mal absolu... et que l'important n'est pas de minimiser l'impact environnemental local de l'agriculture, mais d'optimiser son rapport biodiversité/rendement. Et on l'on retrouve les nécessaires arbitrages à faire, entre écologies "localistes" et "globalistes".
Voir première partie
Voir seconde partie

Réseau Numérique et Agriculture ACTA

 

Bio c’ Bon: 2800 épargnants piégés par la faillite du distributeur

Ils ont investi 114 millions d’euros dans les magasins de l’enseigne. Des sommes qu’ils risquent de perdre.
Voir lefigaro.fr


« Le nucléaire est devenu un péril parmi tant d’autres » : la lutte contre l’atome ne fait plus recette (d’autres phobies vertes ont remplacé la phobie du nucléaire – GW)

La priorité donnée à la bataille contre le réchauffement climatique a fait passer la question du nucléaire au second plan dans les mobilisations citoyennes.
Voir lemonde.fr


Du côté d'EBBH

   

Scholars target ‘problematic’ common animal names: slavemaker ant, gypsy moth, rape bug and dozens more, Charles Hilu - The University of Michigan
See thecollegefix.com


Pesticide hypocrisy? EU edges toward banning glyphosate after finding it safe but clears organic copper sulfate after finding it a ‘public health and environment concern’, by Andrew Porterfield
See geneticliteracyproject.org


A swarm of activists, by James Njoroge

The bottom line is that if Kenya — and other African countries – give-in to the demands of EU anti-technology campaigners, it will lose control of its agriculture and economic future. Just consider how complying with EU pesticide standards would’ve crippled efforts to control ravenous, crop-destroying locust swarms. Low yield European agriculture is no path for Kenya or Africa to build real food sustainability, security or wealth. Without access to modern farming technologies – pesticides, GMOs, gene-edited crops and more — Africa’s famers will continue struggling to feed themselves. Allowing the EU to control the destiny of Africa’s agriculture could, in the end, be the most destructive plague of all.
See europeanscientist.com


Good old days (?????): Paysage d'Ouessant : La récolte des pommes de terre par René T. Eschapasse (1905-1957)

   

The Economist Essentials: Public Debt

The covid-19 pandemic is set to increase public debt to levels last seen after the second world war. But is rising public debt a cause for concern? New economic thinking suggests perhaps not, at least for now.
See The Economist


Statistics, lies and the virus: Tim Harford’s five lessons from a pandemic

In an age of disinformation, the value of rigorous data has never been more evident
See ft.com


Anders Tegnell and the Swedish Covid experiment

The controversial epidemiologist believes lockdown is ‘using a hammer to kill a fly’. Could he be proved right?
See ft.com


Ma remarque (GW) : On peut comparer la Suède à ses voisins, mais pas avec la France. Il y a plus d’habitants en région parisienne qu’en Suède, avec en plus une invraisemblable circulation des personnes dans les réseaux de transports publics.

Revue de l'Académie
d'Agriculture de
France



The cat and the dogs

A Doberman, a Golden Retriever and a cat died and met God. God said to them, “Tell me why I should let you into heaven.”

The Doberman said, “I’ll protect you with my life.”

God said, “You can sit at my right side.”

The Golden Retriever said, “I will fetch your slippers and anything else you ask me to.”

God said, “Then you can sit at my left side.”

Finally, God looked at the cat and said, “And what will you do?”

The cat said, “Excuse me. I think you’re sitting in my seat.”

   

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