Ce message online


AFIA


Association
Francophone
d'Informatique en Agriculture


Du côté du web et de l'informatique agricole 13 - 2021
(parution hebdomadaire depuis janvier 1998)

Châtenay-Malabry, 18 mars 2021



Pour être sûr de recevoir cette gazette, abonnez-vous au fil RSS comme indiqué...


Do not miss the Virus Jokes in English and French

Blagues de janvier – février 2021
Coronavirus 1 
Coronavirus 3
Ant joke

Virus 1
Virus 3
Virus 5 
Histoires drôles de l'oncle Paul (Jamet)
Dernières histoires de Michel Gil-Antoli
Et encore... 

Coronavirus 2
Coronavirus 4
Virus et autres sujets
Virus 2
Virus 4
Virus 6
Histoires drôles de Georges Larroque
Les dernières histoires de Jean Pinon
Et encore, encore


Conseil de lecture

Le livre de l'Académie d'agriculture sur "Covid-19 et agriculture : Une opportunité pour la transition agricole et alimentaire ?" est intéressant avec des regards très différents des uns des autres sur la crise dont nous ne sommes pas encore sortis. A noter (d'où le leger parti pris...) que j'ai contribué à deux chapitres :
- Agrofournitures / Productions végétales dans la crise de la Covid-19
- Agriculture et numérique, grand basculement entre inelligence et résilience
Contact : Guy Waksman
Mél : guy.waksman(a)laposte.net


François de Rugy : « L’écologie n’est pas la propriété d’EELV » (il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis ! - GW)

OGM, nucléaire… L’ancien ministre dynamite les totems et annonce la création d’un think tank pour nourrir le programme écologique de LREM.
Voir twitter.com
Voir lepoint.fr


Du côté du tour de France de Thierry sur son tracteur (+ de 370 000 Vues sur les vidéos YouTube #CoFarming Tour)
Voir agriculteurdaujourdhui.com


L’écologie pour saboter l’emploi… En Bretagne, EELV contre une usine de viennoiseries à 500 emplois, les élus locaux s’indignent

Les élus de Liffré-Cormier, qui veulent accueillir une usine Bridor, sont dégoûtés par l’opposition soudaine d’Europe Écologie Les Verts. Dans un communiqué, les militants écologistes locaux jugent que le projet va à l’encontre de la transition écologique et n’a donc pas sa raison d’être.
Voir ouest-france.fr (réservé aux abonnés)


Libres expressions (jouons encore avec les mots !)

Légaliser le cannabis aurait au moins pour effet de couper l'herbe sous le pied des trafiquants.
Création de Étienne VICARIOT
Mél : etienne.vicariot(a)orange.fr


Ce n'est pas une consolation mais nous ne sommes pas les seuls à avoir des déboires avec les applications " TousAntiCovid " ! (probablement une fausse bonne idée, en laquelle j’ai vraiment cru – GW)

>>> Coronavirus : les bugs et déboires du TousAntiCovid japonais
Lancée en juin, l'application Cocoa avait réussi ses débuts et a été téléchargée par 25 millions de personnes, soit 20 % de la population totale du Japon. Mais des soucis techniques sont apparus récemment. Embarrassant alors que le gouvernement misait beaucoup sur cet outil pour ses Jeux Olympiques prévus cet été.

Je dois t'avouer que je suis surpris de lire cela ... concernant un pays comme le Japon !

Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Le rappel des glaneuse, de Jules Breton

1
 

La militantisation de la recherche, et ses ravages, par Nathalie Heinich (CNRS-EHESS)

La récente polémique sur l’islamo-gauchisme à l’université a eu le mérite de mettre sur le devant de la scène intellectuelle la question de la « militantisation » de l’enseignement et de la recherche, pour tenter un néologisme rendu hélas nécessaire par la réalité de ce qui est en train de se produire sous nos yeux: l’emprise croissante d’un militantisme dévoyé, qui tend à transformer les salles de cours en lieux d’endoctrinement, et les publications en tracts.

Après les dérives des années post-68, nous pensions en avoir presque fini avec la contamination de la recherche par le militantisme, qui subordonne la mission épistémique – produire et transmettre du savoir – à la mission politique – transformer le monde. Eh bien non : dans une splendide ignorance des calamités engendrées par cette confusion dans un passé pourtant récent, nos « universitaires engagés », trouvant sans doute que voter, manifester, militer dans une association ou un parti ne sont pas assez chics pour eux, tentent d’y revenir.

Certes, leurs causes ont changé : la classe sociale s’est effacée derrière la race et le sexe, comme l’ont récemment déploré Stéphane Beaud et Gérard Noiriel, tandis que la religion passait, au moins chez certains, du statut d’opium du peuple à celui d’étendard des opprimés.

Mais le fond est le même: justification de moyens plus que douteux par la mise en avant de causes légitimes, sur le vieux modèle du «la fin justifie les moyens»; refus de l’autonomie de la science, n’empêchant pas d’ailleurs la défense opportuniste de la liberté académique dès qu’un doute est émis sur la place de ces productions à l’université; médiocrité intellectuelle, encouragée par une division en « studies » mono-centrées en place des disciplines organisant la distribution des compétences épistémiques; glissement vers un radicalisme propre à fasciner les esprits faibles.
.../...
Voilà donc, rapidement esquissés, les effets de la militantisation de l’Université : grave déficit de curiosité intellectuelle et de rigueur scientifique, radicalisme borné, lâcheté individuelle protégée par la meute, jouissance perverse du pouvoir exercé par la culpabilisation, par la menace ou par la force. Le monde académique que nous dessinent les nouveaux chantres de l’identitarisme et du communautarisme est un monde intellectuellement exsangue, appauvri de toute la richesse de nos ressources conceptuelles ; et le monde social qu’ils tentent de construire est un monde relationnellement invivable, habité par la méchanceté, la hargne et le désir de vengeance.
Voir decolonialisme.fr


Ma remarque (GW) : besoin d’utiliser les techniques de la génétique pour l’amélioration végétale ; besoins de protéger les cultures contre les agressions des insectes, champignons, virus ; besoin de contrôler les mauvaises herbes concurrentes des cultures ; place de l’élevage et consommation de viande… autant de thèmes où la militantisation de la recherche dans l’Inrae comme au Cnrs fait des petits ou gros dégats, comme depuis plus longtemps il est vrai, dans les sciences humaines et sociales.

 

Le risque d’attraper le Covid-19 en région parisienne est beaucoup plus élevé que le risque de mourir de la vaccination (GW)…

Vaccin AZ : environ 1 incident pour 1 million de vaccinations (si je ne me trompe pas)
Taux d’incidence Coronavirus France : 2500 personnes positives pour 1 million de personnes testées

Vaccin d’AstraZeneca : Olivier Véran espère un « verdict » de l’Agence européenne des médicaments d’ici à jeudi

Après sa suspension dans de nombreux pays, dont la France, le ministre de la santé veut pouvoir reprendre rapidement la vaccination avec le vaccin anti-Covid du laboratoire britannico-suédois.
Voir lemonde.fr


Vaccination et esprit critique : "On manque cruellement de culture scientifique en France"

Plusieurs pays ont suspendu provisoirement la vaccination par le vaccin AstraZeneca du fait de la pression des antivax jouant sur la corrélation et la causalité. Baptiste Beaulieu rend compte des enjeux que peut susciter une trop grande défiance en matière de vaccination et de médecine.
Voir franceinter.fr


La bête à Bon Dieu de Maurice Rollinat (1846 - 1903) in La nature (1892)



La bête à bon Dieu tout en haut

D'une fougère d'émeraude

Ravit mes yeux... quand aussitôt,

D'en bas une lueur noiraude

Surgit, froide comme un couteau.

C'est une vipère courtaude

Rêvassant par le sentier chaud

Comme le fait sur l'herbe chaude,

La bête à bon Dieu.

Malgré son venimeux défaut

Et sa démarche qui taraude,

Qui sait ? Ce pauvre serpent rôde

Bête à bon Diable ou peu s'en faut :

Pour la mère Nature il vaut

La bête à bon Dieu.

Maurice Rollinat était un personnage foncièrement pessimiste, encore plus sombre que Baudelaire. Heureusement, contrairement à Baudelaire, il aimait la nature, ce qui éclaire quand même un peu son œuvre ! Et il nous livre une leçon d'écologie : le serpent vaut bien la coccinelle (comme pour Hugo, le crapaud, l'ortie et l'araignée…) !


Contact : Maurice Guéguen
Mél : maugueg(a)laposte.net
 

Fresque représentant l'exploit d'Hercule,
dans la maison de Vetti, à Pompéi, en Italie


 

Lettre au maire de Lugdunum (Lyon) et à Xavier Niel (Lutèce) (Par Jean-Paul Pelras)

Messieurs,

ému par vos engagements respectifs, l’un visant à imposer un menu végétarien dans les cantines et l’autre s’apprêtant à ouvrir la plus grande école d’agriculture au monde, je me permets cette modeste bafouille qui, je l’espère, ne viendra pas brusquer vos généreuses sensibilités.

Pour ce qui est du menu végétarien, l’initiative me paraît bien téméraire, pour ne pas dire désespérée, au pays de la rosette, de la quenelle, du saucisson brioché et de tous ces vagabondages salivaires qui font la fierté d’une ville où se côtoient embaumeurs de talents et autres “chairs-cuitiers” disciples d’Apicius ou de Rabelais. Qu’il vous soit permis, monsieur le maire, d’accommoder votre modus vivendi aux sauces que vous privilégiez, me semble tenir de la plus élémentaire démocratie. Mais qu’en revanche, vous souhaitiez influencer les papilles des jeunes générations relève à mon sens d’une grande ineptie. La viande que vous semblez diaboliser en évoquant quelques contraintes inhérentes à la pandémie est indissociable de ce repas gastronomique classé en 2010 au Patrimoine immatériel de l’Humanité.

Imaginez ce trésor de reconnaissance privé de ses bavettes, de ses aloyaux, de ses ris de veau, de son magret, de sa blanquette, de ses aiguillettes, de ses tournedos. Que deviendraient truffes, morilles, pleurotes et girolles si, demain, elles ne pouvaient plus accompagner paupiettes ou gigot d’agneau ? Cette brèche que vous venez d’ouvrir sera probablement exploitée par le dogme végan et par quelques élus politiquement verdoyants. Peu appréciée par les éleveurs, elle remet en question la liberté de nous sustenter comme nous le souhaitons. Les élus de la République doivent-ils, à ce titre, imposer, comme le font certaines religions, un régime, un carême, une diète, un jeune car ils jugent que tel ou tel aliment ne correspond pas au bon équilibre idéologique de ce que nous consommons ? La question est posée. Elle emprunte aux fondamentaux de notre société.
.../...
Voir lagri.fr

En 1899, 1900, 1901 et 1910, un groupe d'artistes, dont notamment Jean-Marc Côté, a réalisé une série de cartes et de dessins d'anticipation sur le thème de l'an 2000 (Bibliothèque Nationale de France).


La police volante / Aviation police
In 1899, 1900, 1901 and 1910, a group of artists, including notably Jean-Marc Côté, produced a series of anticipatory drawings on the theme of the year 2000 (BNF).

Covid : la revanche de Vladimir Poutine, d’après Le Point (?????? – GW)

Considéré pendant plusieurs mois comme un vaccin de seconde catégorie, le Spoutnik V affiche d’excellents résultats.
Voir lepoint.fr


Ma remarque (GW) : Personnellement (GW), je n'ai pas considéré le vaccin russe comme inefficace. Il a simplement été mis en circulation sans avoir été testé...

Si vous pensez que Poutine a bien géré la pandémie, jetez un œil sur les statistiques publiées par The Economist, bien mieux informé que la plupart des médias comme Le Point, Le Monde ou même le NYT.

NB : Le Royaume-Uni est à 187, l'Espagne à 177, les USA à 168, la France à 109 morts pour 100000 habitants…
See economist.com


La saison pour les vrais mâles va commencer...

Bon courage à tous !!!

 

 


Le retour des hommes forts et des grands travaux



 

 

 

 


 

 


Voilà qui fait avancer la science : « Et le bronzage de tes fesses dessine un cœur » - Réflexions sur les expériences lesbiennes des plages

Les héritiers et héritières de Bruno Latour travaillent du chapeau...
Voir journals.openedition.org


Cancel culture / Grenoble : les noms de deux professeurs accusés d'islamophobie placardés sur les murs de l'IEP, par Hadrien Brachet
Si vous pensez que l'islamo-gauchisme est un concept creux, allez y voir...

Greta a tué Einstein : La science sacrifiée sur l'autel de l'écologisme, par Jean-Paul Oury

L'écologisme n'est plus l'apanage d'une irréductible poignée de chevelus adeptes du potager bio. A la faveur de l'urgence climatique, une jeune prophétesse incarnant l'idée universelle du Bien propage la vision messianique d'un avenir sombre. There is no alternative : l'heure de l'apocalypse écologique a sonné. La prosternation est notre seule voie de salut.

Ce totalitarisme mou, teinté d'anticapitalisme de combat, est érigé en système de pensée politique et morale au mépris des fondements de la raison cartésienne.

Dans son livre, Jean-Paul Oury décrit sans concession le cadre de croyance que nous impose la viralité d'une idéologie simpliste, manichéenne, et par conséquent redoutable.

Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM, l'auteur démonte méthodiquement le corpus des poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes dans l'espoir assumé de nous réconcilier avec la science, et de nous faire retrouver foi dans le progrès technique.

Cet ouvrage est aussi le témoin d'une époque à laquelle penser librement, en marge d'une religion nourrie de fantasmes et de peurs, est devenu un acte de courage ; et les voix scientifiques discordantes, des ennemis à abattre.

Voir fnac.com




France 2 omet l’agriculture du XXIe siècle

Alors que le traditionnel Salon de l’Agriculture n’aura pas lieu en raison de la crise sanitaire, le président de la République s’est rendu, le 23 février, dans le village d’Étaules, situé à une quinzaine de kilomètres au nord de Dijon.
.../...
C’est donc dommage de constater, avec Charlotte Vassant, agricultrice picarde, que « le documentaire s’est arrêté avant 1980, il nous reste 40 ans d’agriculture non expliquée ». « Rien sur le fait que l’agriculture ait réussi à alimenter sainement et quantitativement une population croissante et concentrée dans les villes », déplore pour sa part Christian Rousseau, céréalier dans la Marne. À la place, on a eu droit, dans le dernier quart d’heure du reportage, aux habituels clichés sur les méfaits du « productivisme » et de la chimie. « C’est assez marrant qu’un documentaire puisse d’abord montrer la rudesse du travail d’une agriculture de subsistance et juste ensuite, se mettre à critiquer les outils qui ont permis aux agriculteurs de s’en délivrer », ironise Josselin Saint-Raymond, directeur de l’ANPP. De toute évidence, il reste donc à France 2 à faire découvrir aux Français l’agriculture telle qu’elle se pratique vraiment aujourd’hui. Une agriculture de progrès, qui fournit l’une des alimentations les plus saines de la planète.
Voir agriculture-environnement.fr


Covid-19 et agriculture : Une opportunité pour la transition agricole et alimentaire ?

Bousculant nos connaissances scientifiques en matière de virologie et d’épidémiologie, la pandémie de la Covid-19 a provoqué un confinement mondial qui a eu immédiatement de graves conséquences socio-économiques. Paradoxalement, elle semble être un catalyseur des grandes mutations en cours dans les filières agricoles et alimentaires françaises : agroécologie, territorialisation, numérique, circuits courts, transition alimentaire. Elle invite à la réflexion sur l’évolution de l’Union Européenne et de sa politique agricole commune. Elle oblige à revoir les relations Nord-Sud en matière de sécurité alimentaire mondiale.

Interpellée par ces événements, l’Académie d’agriculture de France s’est mobilisée autour d’un groupe de réflexion qui a travaillé durant le grand confinement par visioconférence et alimenté un Forum académique numérique. Ce sont ces contributions et des propositions concrètes pour une mutation accélérée et positive du monde agricole, qui vous sont communiquées dans cet ouvrage. Avec la crise de la Covid, l’Académie d’agriculture de France s’est muée en une société savante 4.0 !

L'Académie d'agriculture de France, s'est en effet posé la question « Covid-19 et agriculture : Une opportunité pour la transition agricole et alimentaire ? » et s'est efforcé d'y répondre dans le nouvel ouvrage collectif, qu'elle publie aux Presses des Mines, en cette rentrée 2020.

Pour ce faire, quelque soixante membres de l'Académie d'agriculture de France ont mené "leurs propres réflexions", au sein de chacune des 10 sections de la Compagnie.

Ils ont confronté et fait progresser leurs idées au sein d'un forum numérique animé par Michel Dron, secrétaire de la section "Productions végétales" et Philippe Kim-Bonbled, directeur du développement et de la communication de l’Académie.

Puis, ils ont entamé la rédaction de l'ouvrage, en un temps record, qui comporte les trois parties suivantes :

1. La pandémie et ses réalités agricoles,
2. Les vulnérabilités agricoles mises en évidence par la pandémie,
3. L’après-pandémie agricole.

Pour illustrer les chapitres écrits par leurs consœurs et confrères, des membres engagés au quotidien dans différents secteurs d’activités font, par ailleurs, part de "la manière dont ils ont vécu la pandémie, comment ils ont dû s’y adapter et quelles leçons ils en tirent pour l’avenir".

Comment commander cet ouvrage…




A thought for today (la meilleure raison de refuser la collapsologie genre Greta !)

Scratch a pessimist and you find often a defender of privilege.
William BEVERIDGE, économiste and reformiste (1879-1963), un libéral qui a beaucoup influencé le gouvernement travailliste de Clement Atlee après la guerre WW2


A thought for today (la meilleure raison de refuser le principe de précaution !)

Everybody knows if you are too careful you are so occupied in being careful that you are sure to stumble over something.
Gertrude STEIN, romancière, poète, auteur de pièces de théâtre (1874-1946)

page facebook

Pour se désabonner de cette gazette si vous la recevez par erreur…
Si ce lien ne fonctionne pas, merci de s'adresser à moi : guy.waksman(a)laposte.net


S'abonner à la gazette de l'Afia (un lien à transmettre à vos amis !)


S'abonner à la gazette Efita en anglais (un autre lien à transmettre à vos amis)


Lire une des dernières gazettes Efita en anglais


Suivre l’Afia sur Facebook


Groupe LinkedIn Afia

Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

RIDES (Les) : Ce sont des sourires gravés.
Jules RENARD

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Informatique et numérique agricole

Du côté des gazettes afia et efita

>>> Statistiques de l’édition du 3 mars 2021 de cette gazette afia

>>> Last issue of the Efita Newsletter nb 975 dated March 15, 2021

>>> Last available statistics for the efita newsletter


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Les Glaneuses, 1854, de jules Breton (National Gallery of Ireland, Dublin)

2
 

Préciloc, une application gratuite pour une pulvérisation efficace

Terres Inovia, en partenariat avec AgroSup Dijon, Maréchal et Sudu'innov, a développé une application qui permet de définir les réglages optimums pour un traitement en plein ou localisé. Le développement de cet OAD était prévu dans le cadre du projet Plevop, dont l’objectif était de définir les conditions de réussite des applications des herbicides.

L’application Préciloc est désormais téléchargeable gratuitement sur la plateforme Google Play Store.
Voir cultivar.fr


Capflor, un outil informatique pour concevoir des prairies à flores variées (libre d'utilisation)

Capflor® est un outil d’aide à la décision libre d’utilisation accessible sur internet avec un navigateur, depuis un ordinateur, un smartphone ou une tablette. Il permet de préconiser des mélanges d’espèces fourragères en fonction des conditions pédoclimatiques de la parcelle à semer et de la valeur d’usage souhaitée par l’utilisateur (fauche, pâturage, mixte).
Il est destiné aux conseillers agricoles, aux conseillers de coopératives, aux éleveurs pour une utilisation d’envergure nationale.
Il peut également être utilisé dans le cadre de formations par des enseignants agricoles.
Capflor® s’appuie sur un modèle couplant agronomie et écologie et né de l’hybridation des connaissances entre la science et le monde agricole.
Voir capflor.inra.frv


AgroIntelligent : L’Agroxcontrol améliore le suivi des épandages de lisier, par Simon Billaud

Agroxcontrol est une solution digitale destinée à améliorer le suivi et la déclaration des épandages de lisier, et à faciliter ainsi les relations entre l’éleveur, l’exploitant agricole et les autorités administratives.

La solution AgroxControl gère tout le cycle de vie du lisier, depuis son prélèvement chez l’éleveur jusqu’à son épandage sur la parcelle de l’exploitant.
Voir grostracteurspassion.com


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Jeunes glaneuses, de Jules Breton (1827-1906)

3  

Datamars, leader mondial de l’identification électronique de haute performance

Datamars développe, fabrique et commercialise depuis 30 ans des solutions d’identification innovantes pour 3 principaux marchés : identification du bétail, animaux de compagnie et marquage du textile.
Forte de son expérience dans les puces RFID et les systèmes intégrés, l’entreprise propose des solutions personnalisées et ciblées sur le marché de l’identification animale en France et dans le monde entier.
Datamars conçoit tous les composants clés de l’identification : tags, lecteurs, antennes, logiciel et services.
Datamars en quelques chiffres-clés
- Plus de 30 ans d'innovation ;
- Une présence dans 97 pays, dont la France, le Royaume-Uni, l’Espagne, les États-Unis, l’Australie et l’Argentine ;
- 14 sites de vente et de production :
- Plus de 1800 personnes ;
- Plus de 100 millions d'animaux identifiés chaque année ;
- Une croissance de 28 % par an.

Parmi les innovations :
- Certification Ecoloop
- Marquage des numéros agrandi pour les pendentifs OVIMARS
Voir datamars.fr


J'applique un herbicide sur les bordures de champs (vidéo)

Alex, agriculteur dans la Vienne, explique qu'il a besoin d'appliquer un herbicide sur les bordures de ses champs pour éviter...Alex, agriculteur dans la Vienne, explique qu'il a besoin d'appliquer un herbicide sur les bordures de ses champs pour éviter d'être envahi par les mauvaises herbes. Mais pas dans le champ, encore indemne à ce stade.
Voir wikiagri.fr


L'élevage de poules au quotidien (vidéo)

Lucie, éleveuse de poules pondeuses en Vendée, montre ici les journées ordinaires de travail dans son élevage, tout ce qu'elle doit suivre au quotidien.
Voir wikiagri.fr


Le dernier numéro de Sciences et Pseudo-sciences


Yanmar : Une mise à jour des tracteurs autonomes au Japon, par Willy Deschamps

Yanmar a annoncé une nouvelle version de sa série de tracteurs autonomes. Celle-ci sera commercialisée au Japon à partir du 1er avril prochain. Ces engins utiliseront une antenne multifréquence pour une connexion stable et plus de précision.
Voir grostracteurspassion.com


Tuto vidéo - Bien réaliser une prise de sang chez la vache, par Delphine Scohy

Le vétérinaire Sébastien Knockaert explique comment bien réaliser une prise de sang sur une vache. Démonstration en vidéo.
Voir web-agri.fr


Le système comptage de graines, Väderstad SeedEye, disponible sur encore plus de semoirs
Voir wikiagri.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: La fileuse, de Jules Breton

4  


Plateforme numérique Connect de AVR sur les automotrices d’arrachage des pommes de terre

Nouvelle Puma 4.0., cette arracheuse de pommes de terre à quatre rangs succède à la Puma 3 et est désormais entièrement connectée au cloud. Afin de visualiser toutes les fonctions et mesures, le fabricant belge lance aussi une plateforme numérique : AVR Connect.
Voir grostracteurspassion.com


L'intelligence artificielle de Carbon Bee réduit les pesticides dans les champs
Voir capital.fr
Voir carbonbee-agtech


Plateformes Syppre : la rentabilité à la traine
Voir lebetteravier.fr/


« Arrêtez de vous priver ! », par David Hhayat, ancien chef du service d’oncologie médicale de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, ancien Président de l’Institut national du cancer

« Manger, boire, bien vivre, tout est enfin possible ! »

Dans son dernier livre « Arrêtez de vous priver ! », le professeur Khayat répond à son tour par une injonction aux nombreux interdits qui pourrissent le quotidien des Français. Des interdits (pas de viande, pas d’alcool…) présents partout et qui amplifient le sentiment de culpabilité.

Cet ouvrage se veut un véritable pied-de-nez aux gourous de l’aseptisation. À la sinistrose ambiante le professeur Khayat préfère une ode à la vie et livre quelques astuces pour ne plus vivre dans l’angoisse permanente.
Arrêtez de vous priver !

Éditions Albin Michel - 224 pages

Voir par exemple Fnac

Et concernant les nitrites ?

Il faut savoir que la proportion de nitrites que vous ingérez qui provient de la charcuterie est seulement de 12 à 15 %. Tout le reste vient de l'eau et des légumes. Lorsque les fabricants de charcuterie communiquent sur du jambon " sans sel nitrité ajouté ", c'est qu'ils ont simplement cuit le jambon dans un bouillon de légumes qui a apporté les nitrites. Pour revenir sur le rapport de 2015 qui a dit que la charcuterie est cancérigène, il prenait en compte la consommation de cinq charcuteries seulement : le corned-beef, les lanières de bœuf séchées, le bacon frit le matin - qu'on ne mange pour ainsi dire pas en France - et deux charcuteries que nous avons en commun avec les Américains, la saucisse et le jambon.

Quand vous comparez la composition du jambon cuit acheté dans un supermarché américain et celle d'un jambon français, même industriel, ça n'a rien à voir. En France on a de la saumure et de la viande de porc alors que là-bas il y a plein de produits chimiques, c'est une véritable armoire à pharmacie, pas du jambon ! Là encore, dans l'ensemble des études prises en compte, il n'y en a aucune qui parle de la charcuterie française. En fait, cette idée que la charcuterie pourrait être cancérigène part d'une étude d'un très grand chercheur qui s'appelle Denis Corpet, qui a donné à des rats l'équivalent, pour un être humain de 75 kg, de six kilos par jour d'une charcuterie expérimentale nitritée pendant cent jours. À l'issue de quoi, il a trouvé qu'il y avait une augmentation des polypes dans le colon des rats. Or, Denis Corpet a préfacé un livre il y a quelques temps (2017) dans lequel il affirme que la consommation de charcuterie dans une alimentation équilibrée n'est absolument pas dangereuse. Ajoutons que les expériences récentes, depuis le rapport de 2015, montrent que prendre du calcium, des polyphénols, de la vitamine E avec de la charcuterie élimine complètement l'effet potentiellement cancérigène. Comme le dit le professeur Corpet, si vous mangez un yaourt après votre charcuterie, vous éliminez l'effet potentiellement cancérigène. Idem si vous prenez un peu de vitamine D le matin.

Source : La boucherie Française - Mars 2021
Voir L'info du vrai



Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

RETRAITÉ (Le) : Individu qui s'éveille sans avoir rien à faire, et se couche sans l'avoir fait.
Anonyme

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Informatiques et réseaux

Grave incendie sur le site OVH de Strasbourg, par Bertrand Garé

Un incendie dans des salles informatiques a totalement détruit un des centres de données d’OVH sur son site de Strasbourg. Malgré l’intervention rapide des sapeurs-pompiers avec le renfort d’un bateau pompe allemand, le bâtiment SBG2 est totalement détruit ainsi qu’une partie de SBG1.
Voir linformaticien.com


3,6 millions de sites affectés par l'incendie de deux datacentres sur le site OVH de Strasbourg, par Théophile Larcher

Le cabinet d’études britannique Netcraft estime que 18 % des adresses IP d’OVH ont été touchées. 184 000 adresses en .fr et 180 000 adresses en .com sont concernées, affectant des sites de clients de nombreux pays. Deux des quatre datacentres d’OVH à Strasbourg sont partiellement ou totalement détruits.
Voir linformaticien.com


France Digitale porte plainte contre Apple, par Guillaume Périssat

L’association de startups françaises rejoint Epic Games et Spotify dans leur lutte contre le comportement anticoncurrentiel de la marque à la pomme. Ce n’est pas sur des abus de position dominante que France Digitale attaque, mais sur des violations du RGPD.
Voir linformaticien.com


Publication diffusée grâce au soutien de :
page facebook

Open source d'entreprise : d'abord une affaire d'infrastructure ?

La modernisation d'infrastructure demeure, dans les statistiques de Red Hat, le principal usage de l'open source d'entreprise. Les bénéfices et les barrières perçus évoluent.
Voir silicon.fr


La 5G à Paris avant la fin du mois

Stéphane Richard promet que le déploiement du réseau 5G d’Orange débutera dans la capitale d’ici à la fin du mois de mars. Car le Conseil de Paris a approuvé mercredi la charte qui encadre la 5G dans la ville, ouvrant la porte aux opérateurs.
Voir linformaticien.com


Marché de l'IoT en France : tous les chiffres

L'IoT est appelé́ à se développer dans tous les secteurs d'activité́. Si la croissance ces dernières années n'a pas été́ aussi importante qu'espérée, qu'en est-il aujourd'hui du marché́ ?
Voir journaldunet.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Une paysanne au repos, de Jules Breton

5  

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

RIDES (Les) : Des sillons où, la plupart du temps, il n'a rien poussé.
Paul VÉRON

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Agricultures

Emmanuelle Ducros : Martine à la ferme ou le fléau de notre temps dans l'Opinion
Voir lopinion.fr


Charlotte Glachant: « Pour un agriculteur, passer au bio représente un changement complet du système de production »

Notre journaliste Emmanuelle Ducros vous donne rendez-vous pour une série d’interviews du 8 au 13 mars sur le plateau TV #VillageSemence 2021. L’invité du jour : Charlotte Glachant, responsablede l’équipe bio à la Chambre d’agriculture d’Île-de-France
Voir lopinion.fr


Julien Denormandie: «La transition agroécologique doit servir de moyen pour atteindre la souveraineté alimentaire»

Notre journaliste Emmanuelle Ducros vous donne rendez-vous pour une série d’interviews du 8 au 13 mars sur le plateau TV #VillageSemence 2021. Ce mardi matin, elle reçoit le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie
Voir lopinion.fr


Pourquoi les paysans vont sauver le monde

Par Sylvie Brunel, Buchet-Chastel, 2020, 256 pages, 19 euros.

Le propos du livre vu par Julien Damon (sociologue, chroniqueur aux " Echos ")

Sylvie Brunel propose un tour du monde de l'univers des paysans. A rebours des images misérabilistes ou exaltées, elle remet les pendules écologiques à l'heure, quand près d'un milliard de personnes souffrent encore de la faim.

Fine connaisseuse des réalités incarnées et des chiffres (1.000 milliards d'oeufs consommés chaque année), la géographe revient sur des activités souvent ignorées et méprisées. Selon ses termes, les agriculteurs sont aujourd'hui une " chevalerie protectrice ".

Ces " manageurs de la photosynthèse " vivent une troisième révolution agricole qui doit concilier acquis agronomiques et soucis environnementaux.

L'auteur souligne la nécessité d'une agriculture compétitive et nourricière, pour laquelle ce qui est " bio " ne saurait être que complémentaire.

Elle estime qu'en Afrique, où se trouvent 60 % des terres cultivables du monde mais où seulement 10 % sont mises en valeur, l'agriculture doit devenir une priorité. Plus généralement, partout, il faut revaloriser les paysans.

Une citation. " Moins les citadins sont au contact de la nature, plus ils l'aiment. ".

Voir lesechos.fr



Les agriculteurs s’emparent de la communication même en l’absence du Salon de l’agriculture, par Hélène Sauvage

Pas d’édition 2021 du Salon de l’agriculture, mais qu’à cela ne tienne, les agriculteurs ont du ressort, ils communiqueront différemment, explique Philippe Dubief, président de Passion Céréales.
Voir cultivar.fr


Des « faucheurs » d’OGM détruisent des centaines de sacs de semences

Une cinquantaine de « faucheurs volontaires » d'OGM ont pénétré jeudi dans le site d'une coopérative agricole à Castelnaudary (Aude), éventrant plusieurs centaines de sacs de semences de colza et de tournesol qu'ils considèrent illégales, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Voir pleinchamp.com


« Comment l’agriculture stocke du carbone », expliqué au grand public

DécodAgri le premier site de « fact-checking » entièrement dédié à l’agriculture, revient sur un sujet de critique à l’égard des agriculteurs : les émissions de gaz à effet de serre. Certes l’agriculture émet beaucoup de méthane et le dioxyde de carbone, mais elle permet également le stockage du carbone dans les sols et contribue à la diminution du réchauffement climatique.
Voir agriculture.gouv.fr


Loi climat : Les mesures qui vont concerner le secteur agricole

Issu des propositions de la Convention citoyenne, le projet de loi Climat revient à l’Assemblée, lundi en commission spéciale, et dans l’hémicycle à partir du 29 mars. Plusieurs points concernent le secteur agricole, notamment l’objectif de diviser par deux l’artificialisation des sols dans les 10 ans, l’expérimentation d’un menu végétarien quotidien dans les cantines, ou encore la taxation des engrais.
Voir agri-mutuel.com


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory (?????): La bénédiction des blés en Artois, de Jules Breton

6  

Application des biotechnologies dans le domaine de la sélection végétale : un coton avec des graines sans gossypol et donc utilisable en alimentation humaine

A&M Institute for Plant Genomics and Biotechnology avec le chercheur Keerti Rathore a utilisé la méthode de l’ARN interférent (ARNi) qui permet d’inhiber le gène codeur de la formation du gossypol dans la graine.
See agropages.com


La dimension internationale de l'Académie d'agriculture
Voir academie-agriculture.fr
Contact : Michel THIBIER
Mél : michel.thibier(a)outlook.fr


Les étudiants se préparent à la nouvelle formule du trophée des lycées

Changement de nom, changement d'épreuves, annulation du salon, concours virtuel : que de changements cette année pour le traditionnel trophée des lycées agricoles. Pour autant, les étudiants n'en sont pas moins motivés. Rencontre avec « Les vachement normands » du lycée Le Robillard dans le Calvados.
Voir agri-mutuel.com


Suisse : Un référendum sur l’interdiction totale des pesticides de synthèse en Suisse, par Marion Bazireau

Une initiative populaire pour l’interdiction des pesticides de synthèse dans la production agricole sera soumise au vote du peuple le 13 juin. Le vice-président de l’association des vignerons-encaveurs indépendants pense qu’elle a de bonnes chances d’aboutir.
Voir vitisphere.com


Manger « mieux » à Paris grâce à une conférence citoyenne, par André Heitz

Est-il dans l’intention des grands stratèges de mettre à mort les signes de qualité, tels que les appellations d’origine, sauf à ce que les produits soient labellisés bio dans les cantines de Paris ?

L’objectif affiché est, rappelons-le, 100 % de bio et de durable en 2026. C’est dans cinq campagnes agricoles… alors qu’on cherche à définir en ce moment ce que veut dire « bien manger en 2021 ».

Ces gens s’imaginent donc qu’ils peuvent mettre leur usine à gaz en place, rendre leur AgriParis opérationnel en 2023 et recruter les producteurs performants d’ici 2026, alors que la conversion – ce mot du vocabulaire religieux est tout à fait approprié – au bio requiert un délai d’attente de deux ans pour les cultures annuelles et trois ans pour les arbres fruitiers.

Ces gens sont vraiment – mais alors vraiment – hors sol !
Voir contrepoints.org

 

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

RIDES (Les) : Elles devraient être tout simplement la trace des sourires.
Mark TWAIN

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Du côté des écrivains et artistes paysans

> André Besson: “La mystérieuse affaire du DOMAINE DES REPENTIS”

> Gérard Ghersi, ambassadeur de l’AEAP au Québec

> Publication du Garae: Sur les chemins de l’école


Du côté d'Auguste Derrière



 

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

QUINQUAGÉNAIRE (Le) : Chez lui, ce sont les quinquets qui commencent à moins bien fonctionner. Chez le sexagénaire…

Jean SAUTERON

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Agenda

Apport des séries temporelles d'images satellitaires pour caractériser la composition des peuplements forestiers

23 mars 2021 – Webinaire - 13h – 14h - avec Yousmina Yousra Hamrouni - UMR Dynafor / CNP, Eric Paillassa - CNPF-IDF et David Sheeren - Toulouse INP-ENSAT / UMR DYNAFOR

La disponibilité récente des images satellitaires optiques et radar issues du programme européen Copernicus (ESA) suscite un engouement important pour la télédétection, dans différents domaines d'application. Les attentes des utilisateurs sont fortes, avec l'espoir que les promesses annoncées soient tenues et que ces nouvelles images, acquises de façon très fréquente (revisite tous les 5 jours), conduisent à des produits opérationnels. L'usage de l'imagerie en foresterie n'est pas nouveau mais ces nouvelles séries temporelles Sentinel réinterrogent les capacités de la télédétection à suivre et caractériser les peuplements forestiers et à cartographier leur composition. Un premier exposé illustrera l'état des recherches actuelles sur la discrimination des essences à partir de séries temporelles optiques. Un second exposé fera état de la production en cours d'une carte nationale des peupleraies plantées dans le cadre d'un partenariat entre la recherche et les acteurs de la filière populicole, accompagné par le CNPF-IDF. Enfin, un enseignant évoquera la façon dont ces travaux de recherche peuvent nourrir des projets pédagogiques en l'illustrant par un projet développé avec les élèves-ingénieurs agronomes de l'ENSAT.
Voir Acta-Agreenuim


L'aridoculture

24 mars 2021 – 14h30 - Webinaire
Actuellement, les surfaces terrestres dites arides recouvrent 41% de la planète, et elles hébergent près de 2 milliards de personnes, dont 90% dans des pays en développement.
L’aridoculture recouvre l’ensemble des stratégies (hors irrigation) qui permettent une activité agro sylvo pastorale sous forte contrainte hydrique.
Au cours de cette séance, dans ce cas de l’aridité permanente, seront présentées les méthodes et techniques mises en œuvre pour y faire face, vivre et produire dans ce contexte difficile.  
Voir academie-agriculture.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Laveuses de la côte bretonne, de Jules Breton

7  

Autonomie et protéines pour l’élevage français et européen : quelles perspectives ?

31 mars 2021 – 14h30 - Webinaire
La dépendance de l’élevage européen au soja américain date de la création du Marché commun agricole, avec le libre accès au soja américain en contrepartie de la protection de notre marché céréalier. Depuis les accords de Blair House en 1992, l’Europe devait aussi limiter ses surfaces en oléagineux. Aussi, les fabricants d’aliments du bétail et les éleveurs européens ont dû importer de plus en plus de soja en provenance des USA, puis du Brésil et de l’Argentine. Ces pays disposent de grandes surfaces parfois acquises par déforestation.
Face aux engagements politiques pris par l’Europe concernant la lutte contre le changement climatique et la déforestation, dans quelles conditions l’élevage français et européen pourrait-il se passer du soja américain ?
Voir academie-agriculture.fr


Naturel vs Non-Naturel / Génomique vs Modification Génétique

13 avril 2021 – 10h – 12 h - Webinaire
Le choix de l’AFBV pour la thématique de ce webinaire est motivé par le constat que, dans les débats auxquels nous sommes confrontés, ce type de question est sous-jacent dans les controverses sur la définition du statut des plantes issues des différentes technologies de modification des génomes. Notre objectif est donc de mieux appréhender le pourquoi de ce questionnement entre ce qui est « Naturel » et ce qui ne le serait pas et qui, donc, serait « Non-Naturel » ou « Artificiel ».

Animation : Alain Deshayes et Brigitte Laquièze

Intervenants : Catherine Larrère - François Képès - Christian Lévêque

Voir biotechnologies-vegetales.com
S’inscrire en ligne (gratuit mais obligatoire)


Rappel sur le sujet : Vous avez dit "naturel" ? Par Pierre Morlon
Voir mots-agronomie.inra.fr


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Jeune fille gardant les vaches, de Jules Breton

8  

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

Rides (Les) : Les archives du passé.
??

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Du côté des gazettes et des blogs agricoles

Du côté de vitisphere.com : Femmes du vin, par Marion Ivaldi

Le monde du vin, depuis quelques années déjà, met en avant la féminisation de son secteur. Il n’est plus rare qu’un père passe la main à sa fille au moment du départ à la retraite. Peu à peu, l’idée que travailler la vigne et faire du vin est un métier d’homme s’est évanouie. C’est une bonne nouvelle pour les femmes passionnées par le vin !

Cette évolution est louée par les médias, les marques qui n’hésitent pas à mettre en valeur les femmes qui réussissent dans le monde du vin. De quoi mettre en concorde le produit vin avec la revendication sociale de l’équité homme/femme dans la société. Ce procédé marketing est d’ailleurs le fait de nombreuses entreprises. Et la cause des femmes est utilisée comme une valeur de marque dont le fondement est laissé au seul arbitre de l’entreprise elle-même. Cette méthode commence à être dénoncée sous le mot de « fem-washing » ou « féminisme washing », un parallèle avec le « green washing », un procédé marketing qui consiste à laisser penser qu’une entreprise est solidement engagée dans la transition environnementale. Et n’y a-t-il pas un soupçon de "fem-washing" dans le monde du vin ?

Les données de la MSA montrent que la filière vin est loin d’être la plus féminisée de l’agriculture. Et que les ouvrières sont plus susceptibles d’avoir accès à un emploi précaire. Bien loin de ce que certains aimeraient laisser voir de la filière vin qui exploite une sémiologie vinique largement féminine pour contextualiser le vin dans une lutte sociale qui n’a proprement rien à voir. En réaction à cette pratique, des groupes de vigneronnes se forment, se posent pour ce qu’elles sont, des professionnelles. Elles tentent d’expliquer qu’il n’existe pas de goût féminin du vin, sans que pour autant l’idée ne disparaisse totalement. Elles tentent de se défaire des clichés et de revendiquer leur singularité. Ces groupes alors souvent vus comme des task forces commerciales pour vendre, soit une manipulation féminine pour s’implanter sur un marché.

L’égo est au centre du métier de vigneron qui valorise sa personnalité, son héritage, son patrimoine, sa technicité à travers son produit. Or, l’égo n’est pas une valeur féminine forte. La bienveillance, le souci des autres et l’équité sont bien davantage féminin.

En valorisant son management bienveillant, son implication familiale, son souci de l’équité dans le travail avec les fournisseurs ou la clientèle ; la vigneronne posera son produit dans des valeurs positives qui petit à petit cheminent dans la société, notamment dans la jeune génération. Une opportunité pour les vigneronnes d’être perçues comme des professionnelles ? Et rien d’autre.
Voir vitisphere.com


Du côté d'Auguste Derrière

 

Du côté de pleinchamp.com : Ce que les agricultrices apportent à l’agriculture, par Adèle Magnard

En France, un agriculteur sur quatre est une agricultrice, une proportion qui stagne depuis une dizaine d’années. A l’heure où le renouvellement des générations est un enjeu majeur, favoriser l’installation des femmes apparaît comme un moyen de pérenniser les exploitations mais aussi d’enrichir l’agriculture de nouveaux modèles.

Depuis quinze ans, la part des femmes dans les installations des moins de 40 ans en France oscille entre 27% et 31%. Le métier reste encore majoritairement masculin et le manque d’agricultrices dans les instances de décision ne concourt pas à la féminisation de la profession. Aux difficultés inhérentes à l’installation, les agricultrices font également face aux préjugés de la société, mais aussi aux freins que certaines se mettent elles-mêmes (un sentiment aussi appelé « syndrome de l’imposteur »).
.../...
« Les femmes s’installent généralement plus tard que les hommes, après avoir eu une formation non agricole et parfois une activité salariée dans un autre secteur, pointait une étude du ministère de l’Agriculture en 2012. La nouvelle génération d’agricultrices a ainsi fréquemment acquis, au cours de ces expériences, des compétences importantes pour la gestion de l’exploitation : l’art de la négociation avec les organisations agricoles, une aisance plus grande dans les démarches administratives, le rapport au public... compétences qui font parfois défaut aux hommes plus centrés sur la production. Or, ces compétences sont au cœur du métier d’agriculteur de demain. » Et d’agricultrice.
Voir pleinchamp.com


Terre-net Web TV


Bonnes & mauvaises nouvelles sur le front du maïs, in La lettre des amoureux du maïs, n° 32, mars 2021

Bonnes et mauvaises nouvelles sur le front du maïs, en ce printemps où les questions de sécurité et de souveraineté alimentaires se posent plus que jamais.

Bonnes nouvelles : la remontée des cours liée à la demande chinoise, la reconnaissance des travaux de qualité d’étudiants confrontés aux difficultés universitaires suscitées par la pandémie, la success story de Babban Gona au Nigeria.

Mauvaise nouvelle : la difficulté des agriculteurs français à faire admettre leur rôle stratégique pour notre pays, alors que la pandémie a accru les difficultés alimentaires dans le monde. Puisque c’est bientôt la période, souhaitons-leurs bons semis.
Voir la lettre des amoureux du maïs



Du côté d’André Heitz

> Repas végé à la cantine : vous êtes sérieux, là, France Inter ?

> L'agriculture de précision améliore la gestion de l'environnement

> Le vaccin contre la Covid-19 est une technologie fondée sur la science qui sauve la vie

> Merci aux auteurs de « L'affaire Roundup à la lumière des Monsanto Papers »

> Les ventes de fruits et légumes biologiques ont augmenté en 2020 aux USA. Les ventes de produits conventionnels aussi

> Point de vue : changer la trajectoire de l'agriculture moderne

> Un « bricoleur » n'est pas un paysan

> L'agriculture urbaine ne produit pas assez pour les besoins locaux

> Paris mangera-t-il « mieux » en 2026 grâce à une « conférence citoyenne » ?

> Régimes alimentaires (consommation de viande) : les preuves d'observation n'impliquent pas nécessairement un lien de causalité

> Covid-19 : le moment

> Quand MM. Benoît Biteau et Martin Häusling évoquent des « substances non chimiques qui tuent les insectes ou les champignons »...

page facebook

Le Mensuel de l'Académie


Abonnez-vous

Du côté du ministère de l’Agriculture

> Sommet franco-espagnol du 15 mars 2021 - Déclaration conjointe de Julien Denormandie et Luis Planas Puchades

> Emploi agricole : Élisabeth Borne et Julien Denormandie réunissent les fédérations professionnelles du secteur

> 60 millions d’euros pour la filière bovine

> PAC 2020 : paiement mesures agro-environnementales et climatiques, aides à l’agriculture biologique et aides couplées

Association nationale des éditeurs de logiciels agricoles



Du côté de la Fnsea

> Feuille de route pour les solutions recrutements et emploi !

Lors du rendez-vous chez le Premier ministre dans le cadre de la consultation sociale du 28 janvier dernier, la FNSEA avait demandé une réunion de travail spécifique sur les difficultés de recrutement rencontrées par les employeurs agricoles. Cette réunion s’est tenue hier. Nous saluons les réponses du Gouvernement.

A l’invitation du ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, de la ministre du Travail et en présence du Haut-Commissariat à l’Emploi, la FNSEA a ainsi pu exposer les difficultés conjoncturelles et structurelles auxquelles les employeurs agricoles sont confrontés en matière de recrutement. Nous avons présenté les demandes concrètes attendues: assouplir des conditions de logements, mobiliser les employeurs agricoles autour des plateformes ciblées, conclure un partenariat avec Pôle emploi et le ministère du Travail sur le dispositif « 1 jeune, 1 solution », créer des flux avec les réseaux des étudiants, réamorcer le dispositif ADEMA (accès des demandeurs d’emploi aux métiers agricoles), participer à la future campagne sur les métiers agricoles, consolider les Groupements d’Employeurs au niveau départemental, créer des ponts avec les politiques d’insertion professionnelle des réfugiés, réunir nos plateformes emploi, trouver des solutions d’hébergement satisfaisantes, ….

Très réceptifs à ces attentes, les deux ministres et le Haut-Commissaire à l’Emploi se sont déclarés prêts à se mobiliser avec l’ensemble des opérateurs pour mettre en place tous les dispositifs qui permettront d’anticiper les besoins des employeurs et d’apporter des solutions adaptées.

À cette fin, une feuille de route est en cours d’élaboration. Elle comprendra notamment :

- la mobilisation des plateformes emploi pour identifier les besoins de main-d’œuvre notamment saisonnière,
- le rapprochement avec les étudiants, les saisonniers privés d’emploi en raison de la crise Covid,
- le lancement au printemps d’une campagne de communication sur les métiers agricoles,
- la promotion du dispositif « 1 jeune, 1 solution »,
- le redémarrage du dispositif ADEMA,
- le recours possible à la main-d’œuvre étrangère.
La FNSEA et son Réseau saluent ce volontarisme dans la mise en mouvement concertée de tous les acteurs.

Ce premier rendez-vous est prometteur et doit sortir très vite sa traduction opérationnelle dans les départements pour permettre aux employeurs agricoles de contribuer à l’objectif de production dans les territoires et de souveraineté alimentaire.

> Le Conseil d’État annule le décret sur l’étiquetage de l’origine du lait : un retour en arrière inacceptable !

Précurseur dans le domaine de l’étiquetage de l’origine, la France mène une expérimentation de l’étiquetage de l’origine du lait, du lait incorporé dans les produits laitiers et des viandes utilisées comme ingrédients dans des produits transformés depuis le 1er janvier 2017. Dans une décision rendue hier, le Conseil d’Etat a répondu favorablement à la demande de Lactalis de mettre à bas cette expérimentation et d’interdire la mention obligatoire de l’origine du lait sur les produits laitiers vendus en France.

La Fédération Nationale des Producteurs de lait, Jeunes Agriculteurs et la FNSEA regrettent profondément cette décision et dénoncent l’attitude irresponsable d’un acteur économique qui va à l’encontre de la reconnaissance du travail des éleveurs laitiers français. En donnant raison à Lactalis, le Conseil d’Etat empêche les consommateurs de connaître la provenance de leur alimentation, et de choisir librement les produits qu’ils consomment.

Cette décision est à contre-courant de l’Histoire puisqu’un certain nombre d’autres Etats membres ont entre-temps rejoint la France dans sa démarche. Qu’un tel texte fondateur ait pu être remis en cause alors même qu’il est créateur de valeur pour la Ferme France et permet d’informer le consommateur sur l’origine et la traçabilité de ce qu’il consomme est un très mauvais signal. Cette décision mine en effet les efforts de longue date, engagés par les agriculteurs français pour répondre aux attentes des citoyens, qui doivent permettre à la profession agricole de se rémunérer dignement. Alors que l’Assemblée nationale examine en ce moment-même le projet de loi visant à diminuer nos émissions de gaz à effet de serre, nous rappelons qu’un revenu digne et une alimentation plus locale sont des conditions sine qua non de la transition agroécologique et de la lutte contre le changement climatique.

Face à cette décision, nous demandons à l’Etat une réaction forte :

- Tout mettre en œuvre pour remettre en place cette nécessaire obligation d’étiquetage,
- Maintenir les dispositions du décret concernant les viandes en tant qu’ingrédients
- Afficher un cap à la hauteur de l’enjeu pour les travaux du Conseil National de la Consommation sur l’étiquetage de l’origine des denrées transformées avec un dispositif simple et apportant toute la transparence nécessaire. En effet, l’autre enjeu en ligne de mire est bien sûr la stratégie Farm to fork, dont la FNSEA et JA attendent une reprise au niveau européen de nos demandes !
Plus que jamais la transparence est une nécessité du producteur au consommateur !


Du côté d'Auguste Derrière

 

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

RIDES (Les) : Grimaces ou sourires gravés sur un visage.
Woody ALLEN

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


Opinions et curiosités du web (2)


L'action se passe en 2035

Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.

Son fils de 15 ans rentre avec 2 heures de retard de l'école.

- Où étais-TU tout ce temps ? Demande le père.

- J'étais à la bibliothèque pour préparer un devoir !

Le robot se dirige vers Le fils et lui assène une claque...

Le père explique :

- Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité...

- Ok... J'étais chez un copain et nous avons regardé un film : Les 10 Commandements.

Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fils...

- Aïe ! Bah oui ! En fait, c'était un film porno...

Le père :

- J'ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents !

Et paf ! Le robot assène une baffe au père...

La mère se marre :

- Décidément, c'est bien ton fils...

Et paf ! Une baffe à la mère...

TV Agri : actualités agricoles. Toute les actualités de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles

 

Pensée en réponse à la question : Pourquoi la France a-t-elle gardé coûte que coûte ses écoles ouvertes à partir de mai 2020 ? Avons-nous fait preuve de dogmatisme à ce sujet ?

R. de Jean-Marie de Ketele : De l’étranger, la France donne le sentiment d’être un pays où la pensée, la réflexion et, d’une certaine façon, l’idéologie priment sur l’action. Dans le contexte de la pandémie, les principes ont prévalu – notamment celui de l’école républicaine et l’idée que tout le monde doit avoir accès à la même chose. Les politiques sont conscients que l’écart entre les élèves très brillants et ceux qui le sont moins pose problème. Fermer les écoles, c’était risquer d’accroître le fossé entre les quelques élèves bien soutenus par les parents et les autres. Ailleurs, on a parfois pensé autrement, en faisant primer les impératifs de santé.

Jean-Marie DE KETELE, professeur en sciences de l’éducation
Voir lemonde.fr


Mon opinion (GW) : Avoir gardé les écoles ouvertes aura été une belle réussite, et une chance pour les enfants et le pays tout entier, même si, en contrepartie, il a fallu instaurer le couvre-feu.


Pensée de Jean-Michel Blanquer : « Les avantages à laisser les écoles ouvertes sont largement supérieurs aux inconvénients »

Le maintien des écoles ouvertes est un objectif humain fondamental ! L’école n’est pas une variable d’ajustement mais un enjeu vital pour tous les enfants. En avoir été privé nous a rappelé son caractère précieux. Les avantages à laisser les écoles ouvertes sont largement supérieurs aux inconvénients.

Nous savons cependant qu’un mois de mars difficile nous attend. Depuis lundi, tous les enfants de France sont de nouveau en classe. Or, la courbe des contaminations a tendance à augmenter dans les jours qui suivent le retour des vacances ; ces prochaines semaines, davantage de classes risquent de fermer. Mais ces fermetures ont toujours été et restent encore très minoritaires – de l’ordre de 0,2 %.
Voir lemonde.fr


Ageekculture : un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information

 

A first thought for today

Nothing is more dangerous than an idea when it's the only one you have.
Émile CHARTIER, philosopher (1868-1951)


A second thought for today

What is the opposite of two? A lonely me, a lonely you.
Richard WILBUR, poet and translator (1921-2017)


A third thought for today

To be capable of embarrassment is the beginning of moral consciousness. Honor grows from qualms.
John Leonard, critic (1939-2008)


A fourth thought for today

The greatest happiness of life is the conviction that we are loved -- loved for ourselves, or rather, loved in spite of ourselves.
Victor HUGO, novelist and dramatist (1802-1885)


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: Jeune fille tricotant, de Jules Berton

9  

Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

Rides (Les) : Les sillons d'automne.
M. Longuevilles

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr

Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

 


Quelles alternatives à l'élevage industriel en Europe ?

Rappel : 9 mars - Webinaire organisé par les « Cafés Sciences et Citoyens de l'Agglomération Grenobloise »
Les alternatives consistent à développer un élevage qui optimise en même temps qualité des produits, bien-être animal, rentabilité pour l’éleveur et prix accessibles pour le consommateur.

Les leviers d’action techniques via la PAC (Politique Agricole Commune) sont nombreux puisque l’élevage, et plus généralement l’agriculture de l’UE sont basés sur un système de subventions. On peut donc modifier les prix de revient et donc les prix sur le marché des produits issus des diverses modalités d’élevage, en faisant payer les pollutions et en rémunérant les “services écosystémiques”.

Il reste que les habitudes des consommateurs ne peuvent évoluer que lentement, sur la base des campagnes de sensibilisation menées par les ONG et les pouvoirs publics. Il s’agit donc sans doute de programmes s’étalant sur des décennies.
Voir echosciences-grenoble.fr


Ma question (GW) : Quand je lis l'annonce de cette conférence, je suis un peu surpris. Dans mon souvenir, l'agriculture en France pèse environ 77 milliards d'Euros pour des aides PAC de 9 milliards environ dont 7 milliards en lien avec la production, soit 10 % du poids de l'agriculture. La PAC est peut-être un "levier" mais il est exagéré de dire que l'agriculture de l'UE est basée sur un système de subventions.

C'est même la raison pour laquelle, j'ai souvent entendu des dirigeants agricoles plaider pour la suppression de la PAC en contrepartie d'une garantie de rémunération, basée sur des prix négociés à la hausse avec les industriels et la grande distribution... mais ces négociations sont très difficiles, ce qui bloque toute évolution raisonnable du point de vue des producteurs.

Ce qui bloque aussi ces négociations est la sensibilité du marché au prix, les consommateurs français choisissant les produits alimentaires les moins chers même si la part de l'alimentation dans le budget des ménages a beaucoup baissé. Ceci bloque également la "montée en gamme" que souhaitent les promoteurs de cette réunion, montée en gamme qui a eu souvent des effets catastrophiques, par exemple sur le marché des volailles.
Est-ce que je me trompe ?

Contact : Guy WAKSMAN
Mél : guy.waksman(a)laposte.fr


>>> A quoi répond un ami agriculteur, M. A. CESSATEUR

De toute façon, la montée en gamme est difficile, il faut faire du marketing, c'est un autre métier et ça prend du temps. Personnellement ça me prend une bonne demi-journée par semaine, rien que pour un site internet et un compte FB/IG, sans compter le temps de formation.

Pour des exploitations spécialisées dans la production, il est pratiquement impossible de basculer dans le schéma des producteurs de circuit court : les investissements et la mentalité ne sont pas du tout les mêmes.

De toute façon le marché, bien qu'en croissance, n'a pas vocation à remplacer la production de masse, mais à satisfaire les besoins de produits premium de la classe moyenne supérieure.

Franchement je me fais du souci pour la production de masse en France, les contraintes s'empilent sans cesse, la concurrence internationale va nous rouler dessus, on sent bien que le régime veut faire disparaître ce type d'agriculture à terme, pour flatter l'électorat urbain.

Contact : Alexandre CESSATEUR
Mél : alexandre.cessateur(a)gmail.com


>>> Une observation d’un autre agriculteur, M. JJ HAUTEFEUILLE, à propos de la critique de l'élevage industriel

1) La souffrance animale est prise en compte par une réglementation de plus en plus contraignante sur les surfaces allouées aux animaux et les modes de contention qui sont interdits.

2) Ils reconnaissent que les émissions de CO2 par kg produit sont inférieures, et par un raisonnement un peu confus, ils arrivent à la conclusion inverse.

3) Les déjections animales sont toujours valorisées par les cultures. Le problème, ce sont les zones très denses en élevage. Là également, une réglementation très contraignante (zone d'excédent structurelle) a obligé les éleveurs à s'équiper en stockage et à transformer et exporter (méthanisation), ce qu'ils ne pouvaient pas utiliser.

4) Par ailleurs la consommation d’antibiotiques en élevage a diminué de moitié. Selon l'année de référence, la diminution atteint même les 2/3  par rapport à 1999 (maximum de consommation) ou 1/2 par rapport à 2011 début du plan Écoantibio.

5) Le problème n'est pas l'élevage vivrier qui restera incapable de nourrir les villes africaines, mais plutôt la possibilité de développer des élevages « industriels » en Afrique.

Contact : Jean-Jacques HAUTEFEUILLE
Mél : jjotef(a)gmail.com

Réseau Numérique et Agriculture ACTA

 

Les grandes lignes de la réforme de la justice voulue par Éric Dupond-Moretti

« Le Monde » a eu accès au texte de l’avant-projet de loi voulu par le garde des sceaux afin de rendre, notamment, l’institution judiciaire plus accessible aux citoyens.

- Les audiences filmées
- Un encadrement de l’enquête préliminaire
- Un accès facilité au dossier
- Un encadrement des perquisitions chez les avocats
- L’alignement du régime des fadettes sur les écoutes
- Un encadrement des écoutes des avocats
- Le développement du bracelet électronique
- La réorganisation des procès d’assises
- Un élargissement du jury d’assises
- La généralisation des cours criminelles
- La suppression des crédits de remise de peine
- Une libération sous contrainte automatique
- La création d’un contrat d’emploi pénitentiaire
- La création de droits sociaux
- Un renforcement des procédures disciplinaires des professions du droit
Voir lemonde.fr


Du côté d'EBBH : Les Konspi


Jancovici - Polony : Pourquoi les médias ne comprennent-ils rien aux questions d’énergie ?

Banalités sur les énergies renouvelables, poncifs sur le nucléaire… L’écologie, un sujet trop sérieux pour les journalistes et les politiques ? Rencontre avec Jean-Marc Jancovici, ingénieur spécialiste de l’énergie et du climat.
Voir Jean-Marc Jancovici


Les méta-analyses : Principes, intérêts et limites avec Thibault Fiolet
Voir la chaine Youtube des amis des sciences


Notre perception du hasard avec Nicolas Gauvrit
Voir la chaine Youtube des amis des sciences


La place de la démocratie dans la construction du savoir scientifique avec Gérald Bronner
Voir la chaine Youtube des amis des sciences


Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory: En moissonnant les champs, de Georges Laugée

10  

La España despoblada pierde en siete décadas la mitad de su peso económico y laboral, para Laura Delle Femmine

Un estudio de Funcas analiza la evolución de 23 provincias del interior de siete comunidades autónomas.
Ver elpais.com


El sueño rural truncado por la pandemia

Muchos emprendedores asisten al hundimiento de sus negocios: “Primero por la covid y después por Filomena”.
Ver elpais.com


José Epita Mbomo: el electricista que saboteó a los nazis y salvó a sus amigos
Ver elpais.com


6 consejos para aprender un nuevo idioma de un poliglota que habla 15 lenguas
Ver bbc.com


Así ha cambiado España desde los primeros censos del siglo XVIII

Analizamos la población de nuestro país hace 250 años (y cómo ha cambiado) con las primeras estadísticas recogidas por el Conde de Floridablanca y Manuel Godoy
Ver elpais.com


How fires have spread to previously untouched parts of the world

Fires have always been a part of our natural world. But they’re moving to new ecosystems previously untouched by fire – and this is concerning scientists

Wildfires are spreading to fuel-abundant regions of the world that used to be less prone to burning, according to a new analysis of 20 years of data by the Guardian.

While the overall area of annual burn in the world has remained relatively static in this period, the research indicates a shifting regional fire pattern that is affecting more forests and fewer grasslands.

In recent years, fires have devastated areas of California, Australia, Siberia and the Pantanal that used to be relatively unaffected. In Africa, by contrast, there has been a reduction of savannah fires.

Experts believe the changing fire patterns are driven by human factors: global heating, which is creating more tinderbox conditions in forests, and land conversion, which is turning grasslands into farm fields, conurbations and roads.

The causes and consequences are still being studied, but scientists are concerned this shift will put more carbon dioxide into the atmosphere from forests, while eroding the unique bio-vitality of grasslands, which are better adapted to fire.

“Since the early 2000s, we are seeing a decline in grassland fires, which dominate the global numbers. At the same time, there is an increase in some high-fuel systems such as the western US that several studies have connected to climate change,” Niels Andela, an expert in remote sensing at Cardiff University, said. “This trend is not yet visible everywhere, but it is likely to become more apparent in other parts of the world.”
See theguardian.com


Here's why Johnson & Johnson's COVID-19 vaccine is arguably the best shot, by Hilary Brueck, Andrew Dunn

Here's why Johnson & Johnson's COVID-19 vaccine is arguably the best shot:

- Some people might prefer Johnson & Johnson's shot because it was tested on variants, has milder side effects, and is easier to get.
Pfizer and Moderna's COVID-19 vaccines were both near-perfect at preventing symptomatic infections in their trials.
- But Johnson & Johnson's new shot has some serious benefits: it's cheap, easy, mild, and also performs against variants.
- The truth is that you can't pick out which vaccine you get anyway, so it's a good thing they all work.
.../...
See businessinsider.fr


Episode 16 of our Heroes of Progress video series features Linn Enslow and Abel Wolman, Baltimore-based scientists who pioneered the use of chlorine for water purification

Their formula eliminates cholera, typhoid, and dysentery from the water supply and has saved nearly 200 million lives.
Read the full article about Enslow & Wolman here


The Science of Reasoning With Unreasonable People, by Adam Grant

Don’t try to change someone else’s mind. Instead, help them find their own motivation to change.

Adam Grant is an organizational psychologist at the Wharton School. His research focuses on motivation, generosity and creativity. His latest book is “Think Again: The Power of Knowing What You Don’t Know,” from which parts of this article are adapted.

A few years ago, I made the mistake of having an argument with the most stubborn person I know. R., whose initial I’m using to protect his privacy, is a longtime friend, and when his family came to visit, he mentioned that his children had never been vaccinated — and never would be.

I’m no proponent of blindly giving every vaccination to every newborn, but I was concerned for his children’s safety, so I started debunking some common vaccine myths. After days of debate, I was exhausted and exasperated. Determined to preserve our friendship, I vowed never to talk with him about vaccines again.

Then came 2020. Fear of the vaccine may be the greatest barrier to stopping Covid-19. It stretches far beyond the so-called anti-vaxxer community: About half of Americans harbor questions about the safety of the Covid-19 vaccines; 39 percent say they definitely or probably won’t get one.

I decided to see if I could open R.’s mind to the possibility. What I didn’t realize was that my mind would be opened as well.

As an organizational psychologist, I’ve spent the past few years studying how to motivate people to think again. I’ve run experiments that led proponents of gun rights and gun safety to abandon some of their mutual animosity, and I even got Yankees fans to let go of their grudges against Red Sox supporters. But I don’t always practice what I teach.

When someone seems closed-minded, my instinct is to argue the polar opposite of their position. But when I go on the attack, my opponents either shut down or fight back harder. On more than one occasion, I’ve been called a “logic bully.”

When we try to change a person’s mind, our first impulse is to preach about why we’re right and prosecute them for being wrong. Yet experiments show that preaching and prosecuting typically backfire — and what doesn’t sway people may strengthen their beliefs. Much as a vaccine inoculates the physical immune system against a virus, the act of resistance fortifies the psychological immune system. Refuting a point of view produces antibodies against future attempts at influence, making people more certain of their own opinions and more ready to rebut alternatives.
That’s what happened with my friend. If I wanted him to rethink his blanket resistance to vaccines, I had to rethink my approach.

Several decades ago, when treating substance abuse problems, psychologists developed a technique called motivational interviewing. The central premise: Instead of trying to force other people to change, you’re better off helping them find their own intrinsic motivation to change. You do that by interviewing them — asking open-ended questions and listening carefully — and holding up a mirror so they can see their own thoughts more clearly. If they express a desire to change, you guide them toward a plan.

Say you’re a student at Hogwarts, and you want to help your uncle reject Voldemort. You might start like this:

You: I’d love to better understand your feelings about He-Who-Must-Not-Be-Named.

Uncle: Well, he’s the most powerful wizard alive. Also, his followers promised me a fancy title.

You
: Interesting. Is there anything you dislike about him?

Uncle
: Hmm. I’m not crazy about all the murdering.

You
: Well, nobody’s perfect. What’s stopped you from abandoning him?

Uncle
: I’m afraid he might direct the murdering toward me.

You:
That’s a reasonable fear — I’ve felt it too. Are there any principles that matter so deeply to you that you’d be willing to take that risk?

In controlled trials, motivational interviewing has helped people to stop smoking, abusing drugs and alcohol, and gambling; to improve their diets and exercise; to overcome eating disorders; and to lose weight. The approach has also motivated students to get a good night’s sleep; voters to reconsider their prejudices; and divorcing parents to reach settlements.

Recently, thanks to a vaccine whisperer, it has been applied to immunization. Arnaud Gagneur is a pediatrician in Quebec who encourages reluctant parents to immunize their children. In his experiments, a motivational interview in the maternity ward after birth increased the number of mothers willing to vaccinate their children from 72 percent to 87 percent; the number of children who were fully vaccinated two years later rose by 9 percent. A single conversation was enough to change behavior over the next 24 months.

I set up a conversation between Dr. Gagneur and my friend. After 90 minutes, it was clear to me that R.’s vaccination stance had not changed.

“I have tried to apply all the principles of motivational interviewing, but I have had the unpleasant feeling of not doing so well,” Dr. Gagneur wrote to me in email. “R. is very knowledgeable and always ends up finding arguments that support his decision.”

Strangely, I didn’t feel defeated or irritated. I wanted to learn how my friend’s views could evolve.

The pioneers of motivational interviewing, William Miller and Stephen Rollnick, have long warned against using the technique to manipulate people. It requires a genuine desire to understand people's motivations and help them reach their goals. Although R. and I both want to keep his children healthy, I realized I had never tried to understand his perspective on vaccines before. So the next morning, I called him.

In our past debates, R. had focused only on the potential downsides of vaccinations. With Dr. Gagneur, though, he acknowledged that vaccines could be good for some but not necessarily for others. If he lived in a country experiencing an outbreak of, say, malaria, would he consider immunization? “You weigh the pros and cons,” he said.

Psychologists find that when we listen carefully and call attention to the nuances in people’s own thinking, they become less extreme and more open in their views. I wondered how my friend’s ambivalence applied to Covid, and I knew that the kinds of questions I asked would matter. Social scientists have found that asking people how their preferred political policies might work in practice, rather than asking why they favor those approaches, was more effective in opening their minds. As people struggled to explain their ideal tax legislation or health care plan, they grasped the complexity of the problem and recognized gaps in their knowledge.

So for my second attempt, instead of asking R. why he was opposed to Covid vaccines, I asked him how he would stop the pandemic. He said we couldn’t put all our eggs in one basket — we needed a stronger focus on prevention and treatment. When I asked whether vaccines would be part of his strategy, he said yes — for some people.

I was eager to learn what might lead R. to decide that he is one of those people. In motivational interviewing, there’s a distinction between sustain talk and change talk. Sustain talk is commentary about maintaining the status quo. Change talk is referencing a desire, ability or commitment to making a shift. A skilled motivational interviewer listens for change talk and asks people to elaborate on it. This was my third step.

I asked R. what the odds were that he would get a Covid vaccine. He said they were “pretty low for many different reasons.” I told him it was fascinating to me that he didn’t say zero.
“This is not a black-and-white issue,” R. said. “I don’t know, because my views change.” I laughed: “This is a milestone — the most stubborn person I know admits that he’s willing to change his mind?” He laughed too: “No, I’m still the most stubborn person you know! But at different stages of our lives, we have different things that are important to us, right?”
I don’t expect R. or his children to be vaccinated any time soon, but it felt like progress that he agreed to keep an open mind. The real breakthrough, though, was mine. I became open to a new mode of conversation, with no points to score and no debate to win. The only victory I declared was against my own prosecutor tendencies. I had prevailed over my inner logic bully.

Many people believe that to stop a deadly pandemic, the end justifies whatever means are necessary. It’s worth remembering that the means are a measure of our character. If we succeed in opening minds, the question is not only whether we’re proud of what we’ve achieved. We should also ask whether we’re proud of how we’ve achieved it.

I no longer believe it’s my place to change anyone’s mind. All I can do is try to understand their thinking and ask if they’re open to some rethinking. The rest is up to them.
Adam Grant (@adammgrant) is an organizational psychologist at the Wharton School and the author of “Think Again: The Power of Knowing What You Don’t Know,” from which parts of this article are adapted. His research focuses on motivation, generosity and creativity.
See NYT

Vidéo de l'Académie
d'Agriculture de
France



Murphy, Collins And Vella

Murphy, Collins and Vella are drinking in a pub when a drunk comes in, staggers up to them, and points at Collins, shouting,

“Your mum’s the best shag in town!”

Everyone expects a fight, but Collins ignores him, so the drunk wanders off and stick his nose into a pint of Guinness at the far end of the bar.

Ten minutes later, the drunk comes back, points at Collins again, and says,

“I just screwed your mum, and it was grand!”

Again Collins refuses to take the bait, and the drunk goes back to the far end of the bar.

Ten minutes later, he comes back and announces, “Your mum said it was the best thing since sliced bread!”

Finally, Collins interrupts. “Go home, Dad… you’re pissed!”

   

Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone d’informatique agricole (Afia)


Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia


La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique agricole" est réalisée avec le concours de Vitisphere


Ma « nouvelle » adresse : guy.waksman(a)laposte.net


Adhérez (enfin facilement !) à l’Afia (adhésion individuelle ou adhésion d’organisme)


Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970
Vous êtes plus de 15 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage personnel et les besoins de votre entreprise.
Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue, merci de faire directement l'inscription en allant sur le formulaire suivant

Et si vous souhaitez contribuer à la rédaction de cette gazette hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande à Guy Waksman.
Adresse mél : guy.waksman(a)laposte.net