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Do not miss the Virus Jokes in English and French
Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture
où règne une intéressante pluralité de points de vue !
Une ressource trop méconnue.
Voir
academie-agriculture.fr
Académie d’agriculture de France : saviez-vous que sur notre
chaîne @YouTube : 872 #abonnés ont accès gratuitement à 210
#vidéos #fakechecking #agriculture #forêts #alimentation #environnement ?
Voir
youtube.com/
Ban the scan (Amnesty International), contre l’utilisation de
la reconnaissance faciale à des fins de surveillance généralisée
Around the world, facial recognition technologies are used to stifle
protest and harass minority communities. Check out how and where
it's used and why we must ban it!
See banthescan.amnesty.org
Avez-vous bien suivi l’actualité agricole de la semaine ?
Si le week-end est pluvieux, le Terre-net Test vous rendra heureux...
Ou, en tout cas, il vous occupera quelque peu en vous rappelant
les points clés de l'actualité agricole des derniers jours.
Voir
terre-net.fr
The Fifth wheel
There were a lot of funny inventions made, that never were widely
used. This movie shows a car with an additional fifth wheel that
should make parking a lot easier.
Voir vidéo
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Avant l’informatique
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Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France
Le fonds documentaire de l’Académie est riche de près de 40000 ouvrages
complétés par les archives manuscrites de nombreux académiciens.
Il rassemble la totalité des publications de la Société Royale d'Agriculture
depuis 1761, puis de l'Académie après 1915 : périodiques (mémoires,
bulletins, comptes-rendus) et ouvrages édités par la Compagnie.
S’y ajoutent 2831 périodiques anciens reliés :
- Annales de l'Agriculture de l'an VI à 1873 (complet)
- Journal d'Agriculture pratique de 1837 à sa disparition en 1938
- Journal de l’Agriculture de 1866 à 1909
Un fonds ancien constitué d’environ 15 300 titres reliés depuis
1512 jusqu’à 1960 et 10 000 brochures et documents classés par matière
(du XIXème et XXème siècle essentiellement).
Enfin un fonds moderne (livres entrés depuis 1960), représentant
environ 9000 volumes.
Les principales collections font l’objet de numérisation grâce à
un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France (BnF). Elles
sont consultables en ligne et permettent une recherche par reconnaissance
des caractères.
Enfin depuis 4 ans, les titres disponibles et consultables sur rendez-vous
à la bibliothèque de l’académie sont catalogués grâce au logiciel
KOHA sur le site. À ce jour 2623 titres sont répertoriés.
Voir bibliotheque.academie-agriculture.fr
(moteur de recherche)
Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture
l’alimentation et l’environnement.
Voir
academie-agriculture.fr (présentation du fond)
Contact : André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory: Femme distribuant du grain à des poules, ferme à
Bazincourt, 1886, de Camille Pissarro (1830-1903)
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Paul Fort
Mais, pourquoi les poètes rendent-ils toujours les chevaux si
malheureux ?
Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg(a)laposte.net
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Complainte
du petit cheval blanc, de Paul Fort (1872 - 1960),
in Cantilènes et balades (1909)
Le petit cheval dans le mauvais temps, qu'il avait donc
du courage !
C'était un petit cheval blanc, tous derrière et lui devant.
Il n'y avait jamais de beau temps dans ce pauvre paysage.
Il n'y avait jamais de printemps, ni derrière ni devant.
Mais toujours il était content, menant les gars du village,
A travers la pluie noire des champs, tous derrière et lui
devant.
Sa voiture allait poursuivant sa belle petite queue sauvage.
C'est alors qu'il était content, eux derrière et lui devant.
Mais un jour, dans le mauvais temps, un jour qu'il était
si sage,
Il est mort par un éclair blanc, tous derrière et lui devant.
Il est mort sans voir le beau temps, qu'il avait donc du
courage !
Il est mort sans voir le printemps ni derrière ni devant.
Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugeg(a)laposte.net
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Étude de cheval blanc, par Rosa Bonheur (1822 - 1899)
Le Petit Cheval Blanc, by Robert Combas (1957 - ), Hommage
à Georges Brassens
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Les #FaucheursVolontaires d’#OGM s’opposent clairement à la campagne
de vaccination anti-#COVID car ils ne veulent « pas de vaccins GM
injectés dans nos corps ». Faucheurs de science et #antivax, en
toute « cohérence ». L’idéologie avant la santé !
Voir
@AEGRW
Le mariage du bio-business avec le business du New Age
Les théories ésotériques sont-elles inscrites dans l’ADN du mouvement
de l’agriculture biologique ? La réponse est incontestablement
affirmative.
Voir
agriculture-environnement.fr
AntiOGM et antivax : même combat, mêmes combattants, par Yann
Kindo
Un des thèmes récurrents sur ce blog depuis son premier billet en
octobre 2010 a été de dénoncer la paranoïa anti-OGM comme étant
le produit non pas d’une critique raisonnée du capitalisme mais
plutôt d’un pur et simple obscurantisme anti-science.
.../...
Voir
blogs.mediapart.fr/yann-kindo
Insecticides,
insectifuges ? Enjeux du XXIe siècle par André Fougeroux
Depuis des milliers d'années, les hommes disputent leur
nourriture, leur santé, leurs vêtements, leurs matériaux
aux insectes. Mais les hommes bénéficient aussi des bienfaits
prodigués par les insectes. L'Homme doit composer avec
cet équilibre : limiter les ' nuisibles ', favoriser les
' utiles '. Pour limiter les ' nuisibles ', l'Homme a
recouru à toutes sortes de procédés : prières, ramassage
d'insectes, pièges, chimie végétale, minérale ou organique,
plantes résistantes, lutte biologique... En 1939, les
propriétés insecticides du DDT ont donné l'illusion que
l'Homme viendrait à bout des ' nuisibles '. Il a fallu
rapidement déchanter. Cet ouvrage rappelle l'utilité des
insecticides mais aussi leurs effets non intentionnels
qui ont conduit le grand public à les rejeter en bloc.
Mais les problèmes liés aux insectes n'ont pas disparu
et la maitrise des ' pestes ' reste indispensable ! Si
les solutions insecticides ne sont plus d'actualité, l'Homme
va devoir inventer au XXIe siècle une nouvelle voie pour
une cohabitation harmonieuse avec les insectes.
Voir
pressesdesmines.com
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L'histoire de Moïse avec la musique, la voix et la "présence"
virtuelle de Louis Armstrong !
Écouter Louis
Armstrong
Pierre RABHI, exploiteurs sans scrupule de travailleurs bénévoles,
les wwoofers (mot composé à partir de l’acronyme de World-Wide Opportunities
on Organic Farms, « accueil dans des fermes biologiques du monde
entier »), et auteur fameux de sentences définitives…
> Je considère comme dangereuse pour l'avenir de l'humanité la
validation de la famille homosexuelle.
> Avec l’affirmation de la raison, nous sommes parvenus au règne
de la rationalité des prétendues Lumières, qui ont instauré un nouvel
obscurantisme. J’invite à l’insurrection des consciences contre
ce paradigme global.
Pierre RABHI
Voir…
« Terre et humanisme » : notre visite chez des agro-écologues ardéchois
La
culture du tabac en France. Sauvegarder un savoir-faire,
promouvoir l’innovation ? sous la direction de Catherine
Regnault-Roger
La tabaculture française va-t-elle disparaître ? Cette
culture historique, caractérisée par un savoir-faire agronomique
et la mise en oeuvre des dernières avancées technologiques
pour répondre aux hautes exigences environnementales,
s’inscrit dans la modernité avec de nouveaux débouchés
innovants : bioproduits thérapeutiques pour l’homme, alimentaires
pour l’animal ou de la chimie verte pour la transition
énergétique. Elle répond ainsi aux préoccupations actuelles
alors que se développent de nouvelles approches pour limiter
la nocivité de la consommation du tabac incandescent.
Pourquoi ce déclin ? Des membres de l’Académie d’agriculture
de France, interpellés par cette situation, se sont penchés,
en leur nom propre, sur le sujet pour en examiner les
causes et dresser un état des lieux afin d’informer de
l’atteinte d’un point critique tous ceux qui s’intéressent
à travers la préservation des cultures patrimoniales,
à l’agro-indépendance et à la biodiversité des paysages.
Ils ont ainsi engagé un dialogue avec les professionnels
de la filière tabacole. Ce livre, fruit de ces échanges,
rassemble les témoignages et les réflexions d’acteurs
de terrain et du monde académique. Il dresse, en toute
liberté, le tableau sans complaisance de la situation
actuelle. La culture du tabac se meurt en France ? Ne
regardons pas ailleurs.
Voir
pressesdesmines.com
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Stocker pour 50 000 ans : des textes historiques sur ADN entrent
aux Archives nationales
C'est une première mondiale : les Archives nationales conservent
désormais deux textes historiques numériques encodés sur ADN, ceux
des Droits de l'homme et des Droits de la femme. Une technologie
nouvelle, possible révolution dans le stockage de nos données numériques,
toujours plus volumineuses.
"Les yeux d'un archiviste ne peuvent que briller quand on leur
promet une conservation stable sur des centaines de milliers d'années
voire au-delà !", s'enthousiasme Bruno Ricard, le directeur
des Archives nationales. L'institution, qui conserve dans ses serveurs
plus de 70 téraoctets de données numériques (des courriels de cabinets
ministériels, l'enregistrement de procès pour crime contre l'humanité
ou celui du grand débat national organisé lors de la crise des Gilets
jaunes), ne pouvait qu'être séduite par la proposition de Stéphane
Lemaire, directeur de recherche au CNRS, et de Pierre Crozet, maître
de conférence à Sorbonne Université : conserver des documents sur
de l'ADN synthétique.
Et pas n'importe lesquels : la Déclaration des Droits de l'Homme
et du citoyen (1789) et la Déclaration des Droits de la femme et
de la citoyenne (1791), rédigée par Olympe de Gouges. Ce mardi 23
novembre, les Archives nationales ont ouvert les lourdes portes
de l'Armoire de fer, un coffre-fort conservé au cœur des "grands
dépôts", pour y déposer deux capsules métalliques de la taille
d'une pilule, renfermant les deux textes fondateurs encodés sur
de l'ADN artificiel. Une grande première ! Cette technologie émergente
d'archivage pourrait être une solution à l'expansion, coûteuse et
néfaste pour l'environnement, du stockage de nos données numériques.
Comment fonctionne-t-elle ? Quelles sont ses promesses et ses limites
?
.../...
Archiver les mégadonnées au-delà de 2040 :
la piste de lADN
Voir
academie-technologies
"Voyages
dans les bistrots de l'Ouest" paraît le 26 novembre
Venez à la rencontre des personnalités de
nos incontournables bistrots de l'Ouest !
Les cafés
sont des petits mondes uniques, tous différents,
à la fois bulles d'intimité et portes ouvertes
sur la planète. Ils témoignent de leur époque,
d'un territoire, ils racontent des histoires. L'humanité
se reflète
dans leurs zincs et leurs miroirs, certains même
disent qu'ils ont une âme !
Ce récit rend hommage à celles et ceux qui
les font vivre au rythme du quartier, du village. Couvre-feu
et confinements nous ont rappelé combien sont précieux
ces petits lieux, qu'ils soient urbains ou ruraux.
Pierrick BOURGAULT
Voir monbar.net
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Two-thirds of Gen Z believe current food systems are ‘destroying
the planet’: survey, AFN, by Jack Ellis
Four-fifths of young people in Generation Z think that we urgently
need to make food production and consumption more sustainable –
while two-thirds believe that our existing agrifood systems are
“destroying the planet,” recent survey findings suggest.
The research was commissioned by EIT Food, the EU’s agrifood innovation
agency, and involved a survey of slightly over 2,000 members of
Gen Z — that is, 18 to 24-year olds — in France, Germany, Poland,
Spain, and the UK.
According to a summary of the findings from EIT Food:
- 78% of respondents agreed with the sentiment that society needs
to take “urgent action to make the ways in which we produce and
consume food more sustainable.”
- 66% said that extant systems of food production and consumption
are “destroying the planet, and that the situation is only getting
worse.”
- 61% said the agrifood industries have “become less sustainable
in recent years.”
- Furthermore, 64% of Gen Z respondents said that the sustainability
credentials of the food they eat have become more important to them
in the past 12 months; while 65% said they believe that their age
group “cares more” about food sustainability issues than older generations.
…/…
See
agfundernews.com
Nothing
is more responsible for the good old days than a bad memory:
La petite bergère, 1850-1855, de Jean-François Millet,
musée du Louvre
2
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Même si l'idée de vacciner les enfants est bizarre, cette
solution permet de diminuer le risque de développement de l'épidémie
en particulier chez les non-vaccinés, et au final éviter les
hospitalisations. Paradoxe !
>>> CDC (US Center fo Diseases Control and Prevention):
COVID-19 Vaccination for Children 5 through 11 Years Old
Information for Jurisdictions, Healthcare Providers, Pharmacists,
Schools, and Community Partners
The federal government is committed to ensuring that children
ages 5 through 11 years old have access to COVID-19 vaccines.
Scientists have conducted clinical trials with about 3,000 children,
and the Food and Drug Administration (FDA) has determined that
the Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine has met the safety and
efficacy standards for authorization in children ages 5 through
11 years old. The safety of COVID-19 vaccines continues to
be monitored.
See
cdc.gov/
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Afia
Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une
opinion !)
ARGENT (L') : Chaque fois qu'on croit être enfin arrivé
à joindre les deux bouts, un mauvais plaisant déplace l'un
des bouts.
Groucho MARX
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour
les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de lédition du 02 décembre 2021 de cette gazette
afia
>>>
Last
issue of the Efita Newsletter nb 1016 dated December 06, 2021
>>>
Last
available statistics for the efita newsletter
InVivo : l'accélérateur de la transformation digitale
Depuis 2018, la Digital Factory a pour mission de capitaliser sur
les opportunités offertes par le numérique pour accompagner et accélérer
la transformation du monde agricole.
Son action se concrétise autour de 2 axes de travail :
- piloter la transformation : accompagner l’émergence de la coopérative
4.0, identifier les nouveaux business et usages en tirant profit
de ce qu’offre le digital,
- mettre en œuvre cette transformation : exécuter et délivrer les
projets digitaux avec les équipes internes et externes.
Un site Internet pour mieux maîtriser la période sèche des vaches
laitières, par Danielle Bodiou, 29/11/2021
« Les premiers jours de la vie du veau sont déterminants pour la
carrière de la vache. Un veau robuste et en bonne santé, ce sont
des soins au quotidien et une alimentation adaptée. Quant au tarissement
et à la conduite des vaches durant la période sèche, ils impactent
le vêlage et la lactation suivante », avance l’interprofession laitière.
Voir
mon-cultivar-elevage.com
Mesurer les risques de jaunisse de la betterave à sucre grâce
aux images satellitaires
Une récente publication de l’Institut technique de la betterave,
ITB, évoque les premiers essais visant à estimer en temps réel l’apparition
des symptômes de la jaunisse grâce aux images satellitaires. Comme
le rappelle l’ITB, "l’accès à l’imagerie satellitaire est aujourd’hui
démocratisé, les images des satellites Sentinel-2 sont en effet
disponibles gratuitement pour tous en temps réel".
Cette prévision à large échelle grâce à cette technologie est l’un
des objectifs du projet Sepim (surveillance, évaluation, prévision,
interpolation et mitigation des risques relatifs à la jaunisse de
la betterave) dans le cadre du plan national de recherche et innovation
(PNRI).
.../...
Voir
cultivar.fr
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory: The peasant family, 1871-1872, de Jean-François Millet,
National Museum of Wales
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GenTORE - Un projet européen de phénotypage de précision en élevage
bovin
Le projet développera, à l’aide de la génomique des outils de sélection
et de gestion du troupeau, pour permettre aux éleveurs d’optimiser
leur gestion de l’élevage en recherchant le meilleur équilibre entre
résilience et efficience dans une grande variété d’environnements
changeants. Le phénotypage de précision fournira aux éleveurs une
approche révolutionnaire leur permettant de sélectionner les meilleurs
animaux pour leur système.
https://idele.fr/fileadmin/_processed_/2/f/csm_GenTORE_WP__2__3fb0fb4914.png
Voir idele.fr
Du nouveau sur Equip’Innovin !
La page Web EquipInnovin s’enrichit de 3 nouveaux plans de bergerie
dont une spécialisée pour les agneaux ainsi que des plans de cornadis
ou d’un porte curon si vous souhaitez en fabriquer vous-mêmes. Vous
y trouverez également une information sur l’emplacement du bac d’équarrissage.
Enfin, une liste non exhaustive des fabricants et distributeurs
de matériel est désormais disponible.
Voir
idele.fr
GrASTech - Utilisation des nouvelles technologies pour réduire
les émissions de gaz à effet de serre des systèmes d'élevages bovins
basés sur le pâturage
Le projet GrASTech, financé par le programme européen ERA-NET SUSAN,
piloté par ILVO (Institut Technique Agricole Belge) dans lequel
L'Institut de l'Élevage est partenaire, répond à la nécessité de
mieux gérer le pâturage des bovins afin de limiter les émissions
de gaz à effet de serre.
L’élevage de bovins est reconnu pour valoriser la ressource en herbe
présente dans les prairies qui composent nos paysages. Seulement,
cette conduite d'élevage induit des émissions de méthane entérique
et de protoxyde d’azote variables selon la gestion du pâturage,
la composition des prairies ou encore la supplémentation alimentaire
pratiquée.
Le projet GrASTech a pour objectif d’identifier les meilleures pratiques
de gestion du pâturage et les technologies d’élevage de précision
disponibles. Le but est de soutenir les décisions de gestion qui
ciblent directement l’atténuation des GES et de réduire les inefficacités
techniques (telles que la mauvaise santé, l’infertilité et les décès)
qui augmentent indirectement l’intensité des émissions.
Voir
idele.fr
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory: La Cardeuse de Jean François Millet, National Museum
of Wales
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Réseaux sociaux, vidéos YouTube… Quand les agriculteurs prennent
leur communication en main
Au travers de vidéos, des réseaux sociaux ou via des opérations
portes ouvertes, les éleveurs s’adressent de plus en plus directement
aux consommateurs. Objectif ? Déconstruire les clichés sur
leur métier et œuvrer pour plus de transparence.
Voir
ouest-france.fr
L'IFV présente son outil de diagnostic carbone en ligne, par
Clément L'hôte (Sitevi 2021)
L'Institut Français de la Vigne et du Vin a dévoilé GES&Vit,
premier outil de diagnostic carbone de l'exploitation viticole,
lors d'une conférence du Sitevi, mardi 30 novembre à Montpellier.
Voir
vitisphere.com
Agro-équipements pour réduire les intrants, par Institut Français
de la Vigne et du Vin, publié le 19 juillet 2021
FranceAgriMer vient de mettre en œuvre un programme d’aide aux investissements
pour l’acquisition de certains matériels permettant de réduire significativement
la dérive et/ou la dose de pulvérisation de produits phytosanitaires
dans l’objectif de préserver l’environnement (eau, voisinage, …).
L’IFV présente, dans cette page, toutes les informations sur les
agro-équipements et les démarches techniques permettant de réduire
les intrants.
Voir
vitisphere.com
Science et Pseudo-Sciences n°338 (octobre 2021)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ARGENT (L') : Comme le fumier, il n'est intéressant que s'il
est bien répandu.
Francis BACON
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Comparatif visioconférence : Teams et Zoom font la course
en tête
Boostées par la crise sanitaire, les solutions de visioconférence
dans le cloud multiplient les innovations. Tour d'horizon des couvertures
fonctionnelles de Cisco Webex, Google Meet et consorts.
Voir
journaldunet.com
Comment animer une réunion en visioconférence ?
Les réunions en visioconférence ponctuent les journées des
travailleurs depuis le début de la crise du Covid-19. Zoom
sur les bonnes pratiques.
Voir
journaldunet.com
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory: The Sower, 1847-1848, de Jean-François Millet, National
Museum of Wales
5
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Télétravail : pas d'obligation dans le nouveau
protocole
Désormais, les employeurs peuvent faire revenir tous leurs
salariés sur site à temps complet s'ils le souhaitent
dans le secteur privé. Dans le secteur public, un accord cadre
pérennise le droit au télétravail. Le gouvernement
ne prévoit pas de généralisation.
Voir
journaldunet.com
De la Bretagne au Luberon, la France toujours sous le feu des
ransomwares
Emballage, agroalimentaire, collectivité territoriale... La diversité
des profils reste de mise chez les dernières victimes françaises
de ransomwares.
Voir
silicon.fr
Firewalls : qui sont les principaux fournisseurs ?
Qui sont les têtes d'affiche des firewalls et qu'attendre de leurs
offres respectives ? Éléments de réponse sur la base du Magic Quadrant.
Voir
silicon.fr
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : Comme un sixième sens, sans lui, on ne peut se servir
des cinq autres.
William Somerset MAUGHAM
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
L'Index Acta phytosanitaire 2022 est arrivé !
La nouvelle édition du livre de référence pour bien utiliser les
produits phytopharmaceutiques et les biocides à usage agricole :
- Synthèses techniques et réglementaires
- Nombreuses illustrations et schémas pour faciliter la compréhension
- Répertoire des produits, substances actives et de leurs usages
- Repérage simple des produits de biocontrôle, utilisables en Agriculture
Biologique et autorisés dans les jardins
- Une nouvelle classification pour optimiser le suivi des résistances
Voir
acta-editions.com
La filière céréalière centrale pour l’économie française
Le 25 novembre 2021, la filière céréalière française, représentée
par Intercéréales, tenait son assemblée générale. À cette occasion,
l’association a publié la nouvelle édition du livret "Des chiffres
et des céréales, l’essentiel de la filière".
Pour rappel, Intercéréales est une association interprofessionnelle
représentative de l’ensemble du secteur céréalier. Elle réunit tous
les acteurs économiques de la filière : production, collecte, commercialisation
et acteurs de la première transformation. L’association est présidée
par Jean-François Loiseau.
Le saviez-vous ? La filière représente 440.000 emplois sur le territoire
français. En 2020, 57 millions de tonnes ont été récoltées, 25 millions
de tonnes ont été exportées sous forme de grains et 26 millions
de tonnes ont été valorisées sur le marché intérieur (alimentation
humaine, animale et bioéthanol…).
.../...
Voir
cultivar.fr
Consortium méthane - Identifier des prédicteurs de la production
de méthane entérique
Onze acteurs de la filière production animale se sont associés à
l’Inrae pour former un consortium de recherches autour de la méthanogenèse
chez le ruminant. Les recherches se sont organisées autour de 3
mots clés : quantifier, comprendre et prédire. L’objectif in fine
est de développer des solutions opérationnelles pour réduire les
émissions de méthane issus de l’élevage des ruminants.
Dans ce cadre, les travaux ont permis :
- d’éditer des recommandations d’utilisation de nouveaux outils
(GreenFeed, Laser Methane Detector) pour quantifier les émissions
individuelles de méthane en stations expérimentales.
- d’établir des équations de prédiction des émissions de méthane
à partir des profils en acides gras, obtenus par chromatographie,
du lait de vaches laitières recevant des rations très diversifiées.
Une différence minimum de 16% de méthane entre stratégies de réduction
peut être mise en évidence avec la meilleure équation de prédiction
qui intègre d’autres variables (composition chimique de la ration,
performances de l’animal).
- d’identifier une large gamme de métabolites associés à la production
de méthane grâce aux profils métaboliques, obtenus par spectrométrie
de masse et par résonnance magnétique nucléaire, de 3 matrices corporelles
(rumen, plasma, lait).
L’analyse des voies métaboliques a relevé plusieurs voies impactées,
notamment celle du métabolisme énergétique ou encore celle des acides
aminés.
Voir
idele.fr
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory (?????): The good Samaritan, de Jean-François Millet,
National Museum of Wales
6
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JCB lance l’industrialisation d’un moteur à hydrogène, par
Éloïse Boone • Terre-net Média
Lord Bamford, président de JCB, en compagnie du premier ministre
britannique Boris Johnson, affiche sa volonté de se tourner pour
l’avenir vers les moteurs à hydrogène. Un combustible « zéro émission
», pour pallier l’utilisation d’énergies fossiles et réduire ses
émissions de CO2.
Voir
terre-net.fr
Les céréales en chiffres (édition 2020)
- 1 hectare de blé permet de fabriquer 25.000 baguettes de 250g
(5,5 tonnes de farines);
- 1 ha de blé dur permet de fabriquer 7.700 paquets de pâtes de
500g;
- 1 ha d’orge permet de produire 35.000 litres de bière;
- 1 ha de blé tendre permet de fabriquer 900.000 biscuits de type
petit-beurre;
- 1 ha de céréales permet de fabriquer 13 tonnes d’aliments pour
les animaux et de produire 4,5 tonnes de viande.
Voir
intercereales.com
Pour atteindre la neutralité carbone, il faut réduire la demande
d'énergie
La France dispose de plusieurs voies, « difficiles », pour atteindre
la neutralité carbone en 2050 et limiter le réchauffement du climat
et, pour y parvenir, réduire la consommation d'énergie sera «
le facteur clé », prévient l'Ademe en publiant mardi quatre scénarios
possibles.
Voir
agri-mutuel.com
Assurance récolte : le gouvernement va lancer la réforme
Un projet de loi fixera « les fondations » et « les grandes lignes
» de la nouvelle architecture souhaitée par le gouvernement, a-t-on
précisé au ministère de l’agriculture. Les différents seuils de
déclenchement des indemnisations de perte de récolte, culture
par culture, seront définis ultérieurement par voie réglementaire
ou décret. Le gouvernement souhaite que son texte soit adopté
au Parlement avant la fin de la mandature, pour que la réforme
de l’assurance récolte soit opérationnelle au 1er janvier 2023.
Voir
agri-mutuel.com
Krone : 20 millions d’Euros pour la construction du centre
de validation technologique Krone
Krone a ouvert fin septembre le centre de validation technologique
Future Lab sur le site de Lingen (30 km de l’usine de Spelle).
Le Future Lab Krone a été construit en un an sur une superficie
totale de 13 hectares. Le montant d’investissement du groupe Krone
pour ce Future Lab s’élève à 20 millions d’euros.
…/…
Voir
grostracteurspassion.com
Du côté
d'Auguste Derrière
1
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La comptabilité verte, séance de l'AAF du 24 novembre 2021
La comptabilité verte des entreprises a été établie afin de transmettre
aux investisseurs des informations sur les performances financières
de leurs placements. Aujourd’hui, les investisseurs eux-mêmes demandent
des comptes sur des indicateurs non- financiers, du fait des risques
d’épuisement des ressources ou de boycott.
L’Union européenne a pris une directive imposant aux sociétés de
rendre compte de leurs pratiques sociétales et environnementales.
Cette séance présentera les propositions pour faire évoluer le cadre
comptable des entreprises, les diverses approches de comptabilité
verte, les retours d’expérience et les outils déjà disponibles.
Voir
academie-agriculture.fr
Ma remarque (GW) : Une séance intéressante avec deux regrets
qui concernent d’une part une introduction centrée sur les « communs »,
une abstraction sans grand intérêt à mon sens dans le débat sur
la comptabilité verte, et d’autre part l’absence des entreprises
« réelles » dans la discussion, alors qu’elles sont très
concernées. Travailler avec des collectivités territoriales plutôt
qu’avec des entreprises, c’est un « choix » curieux.
M. Séronie, membre de l’Académie, faisait justement remarquer qu’un
bilan Carbone des exploitations agricoles pourrait être élaboré
à partir de leur comptabilité.
L’eau, le sol et l’agriculture, séance de l'AAF du 1er décembre
2021
La gestion de la ressource en eau est majeure pour l’agriculture
et pour l’humanité. Les besoins globaux en eau augmentent et les
concurrences pour son usage s’exacerbent. Cette séance académique
a abordé les problématiques mondiales pour ensuite se focaliser
sur des avancées scientifiques récentes.
Celles-ci concernent la connaissance du fonctionnement et des propriétés
hydriques des sols. Elles permettront de développer des applications
concrètes et des outils d’aide à la décision pour le pilotage de
l’eau en agriculture.
Voir
academie-agriculture.fr
Ma remarque (GW) : Une séance intéressante bien que je décroche
dès que l’on me parle de kilomètre-cube d’eau. Par contre, eau verte,
eau bleue, impacts sur les exploitations agricoles partout dans
le monde… cela m’allait mieux.
Analyse comparée des Plans stratégiques nationaux de la future
PAC dans trois États membres : Allemagne, Espagne et Irlande, séance
de l’AAF du 17 novembre 2021
Dans le cadre de la future PAC 2023 – 2027, les Plans stratégiques
nationaux (PSN) regroupent de nombreuses interventions et laissent
une grande marge de manœuvre à chaque État. Au cours de cette séance,
les PSN de trois États membres, l’Allemagne, l’Espagne et l’Irlande,
ont été présentés. Dans sa conclusion, Bernard Bourget a proposé
que ces présentations puissent être complétées par celles des pays
d’Europe centrale et orientale comme la Roumanie et la Lituanie,
ainsi que la Pologne, qui sont devenus d’importants exportateurs.
Il conviendra d’examiner l’ensemble des PSN des États membres, de
les comparer et de suivre leur mise en œuvre pour en dégager des
enseignements.
Voir
academie-agriculture.fr
Ma remarque (GW) : Même familier des débats sur la PAC, je ne comprends
vraiment pas tout et j’ai une grande admiration pour celles et ceux
qui maitrisent le sujet !
Vision de la création variétale, colloque de l’AAF du 23 novembre
2021
Ce colloque a été organisé par l’Académie d’agriculture de France
et l’Association des sélectionneurs français (ASF). Il a rendu hommage
à Michel Desprez, directeur de la recherche des établissements Florimond
Desprez.
Trois règles ont guidé ses 60 années d’activité :
- La nécessité impérative de penser et d’agir avant tout en agronome
et en héritier de générations d’agriculteurs-sélectionneurs,
- le caractère indispensable de la collaboration en matière de recherche,
- l’importance du partage des résultats et des acquis.
Ce colloque appuyé sur sa carrière a permis de développer trois
grands aspects de la création variétale auxquels Michel Desprez
était attaché : la gestion des ressources génétiques, les méthodes
de sélection et l’alliance de la sélection et de l’agronomie. Il
a également mis en avant les orientations actuelles du métier de
sélectionneur face aux attentes de la société.
Voir
academie-agriculture.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ARGENT (L') : Dans la vie, il faut choisir entre gagner de l'argent
et le dépenser ; on n'a pas le temps de faire les deux.
Édouard BOURDET
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté des écrivains et artistes paysans |
> Michel
Boudaud
Voyager ensemble, c’est plus intelligent (à voir ou revoir, on
ne se lasse pas !)
La société Flamande de transports en commun « De Lijn » réalise
des publicités pleines d’humour. La vidéo produite en images de
synthèse démontre en séquences de 30 secondes qu’il est plus malin
de se déplacer en groupe et donc de prendre les transports en commun.
Leur leitmotiv publicitaire « Voyager ensemble, c’est plus intelligent
: prenez le bus » est parfaitement illustré dans par des animaux
dans différentes situations.
Voir
vidéo
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ARGENT (L') : Emprunté, il s'en va en riant et revient en pleurant.
Proverbe turc
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Plateforme d’épidémiosurveillance en santé animale et zoonoses
14 décembre 2021 - 13h - 14h - Webinaire
La plateforme d’Epidémiosurveillance en Santé Animale (ESA) a
pour objectif de veiller à l’efficience et l’efficacité de la
surveillance épidémiologique en santé animale. à cet effet, elle
peut mener des travaux sur tout danger sanitaire ayant ou pouvant
avoir un impact sur la santé animale et/ou la santé publique (zoonoses),
et pour lequel une surveillance est souhaitable ou requise chez
les animaux. La surveillance permet aux décideurs d’anticiper,
de mettre en place et de piloter des mesures préventives et de
lutte. Certaines thématiques de travail de la Plateforme ESA concernent
des dangers sanitaires zoonotiques ou à potentiel zoonotique.
Par son approche multipartenariale et multidisciplinaire, la Plateforme
ESA constitue un cadre facilitant pour une approche de santé globale.
Le webinaire permettra de découvrir le fonctionnement de la plateforme
d’Epidémiosurveillance en Santé Animale et les modalités de traitement
des thématiques zoonotiques ou à potentiel zoonotiques. L’importance
du lien entre la surveillance et la recherche sera illustrée par
une présentation de la valorisation du dispositif de surveillance
de la fièvre Q chez les ruminants domestiques pour évaluer et
prendre en compte l’incertitude dans le cadre du diagnostic sérologique
de cette infection. Enfin, une enseignante-chercheuse témoignera
de l’intérêt des données de surveillance et des outils d’épidémiosurveillance
en enseignement en formation initiale ou continue.
S’inscrire
Nothing is more responsible for the good old days than
a bad memory (?????): The Seated Shepherdess, de
Jean-François Millet, National Museum of Wales
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Chaptal et l’agriculture
15 décembre 2021 – PARIS – 14h30 – EN présentiel ou webinaire
Jean-Antoine Chaptal (1756 – 1832) a été médecin, chimiste,
industriel et homme politique. Chaptal avait une prédilection
pour l’agriculture. Il a ainsi contribué à l’amélioration génétique
des troupeaux (bovins, buffles, moutons), a régionalisé le corps
des Eaux et Forêts, a créé six haras et deux écoles vétérinaires.
Pour lui, la chimie était une science exacte qui devait servir
l’industrie depuis la teinture du coton jusqu’à la production
de sucres. Il a également mis en place des collections de vignes
pour une production de vins de qualité.
Toutes ces activités seront présentées et développées lors de
la séance en hommage à cet homme de progrès. Elle est organisée
conjointement par l’Académie et l’Association pour l’étude de
l’histoire de l’agriculture (AEHA).
Voir
academie-agriculture.fr
Rencontre Technique Terres Inovia, session Normandie/IDF
ouest
11 janvier 2022 - Guichainville (27) - 9 h - 16 h 30
Après plusieurs mois d'évènements en visio-conférence, nous
sommes heureux de pouvoir à nouveau vous retrouver EN PRESENTIEL
à l'occasion de notre Rencontre Technique Terres Inovia, session
Normandie/Ile-de-France ouest.
Voir
terresinovia.fr
Du côté
d'Auguste Derrière
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : En France, c'est un vilain péché, c'est pourquoi de
plus en plus de Français vont se confesser en Suisse.
Jacques MAILHOT
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du côté des gazettes et des blogs agricoles
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Du côté de Vitisphere.com : Demain pénurie de mains
D'une manière ou d'une autre, le manque était dans toutes les conservations
des allées de ce salon Sitevi. Si le vin fait défaut dans les cuves
après l’éprouvant millésime 2021 et si les tensions sur les matières
premières poussent à l’inflation tarifaire (bouteilles en verre, engrais,
piquets métalliques...), ce sont aussi les bras qui manquent pour
construire l’avenir de la filière vin. Croissantes, les difficultés
de recrutement ne sont pas nouvelles dans le milieu viticole. Les
tractoristes constituent une denrée rare depuis longtemps, et le recours
à des prestataires de service pour compléter, voire remplacer, les
travailleurs saisonniers et permanents dans le vignoble répond autant
à un besoin de déléguer une lourde charge (à la fois administrative
et de management) qu'à un manque de candidats. Par Alexandre Abellan,
3 décembre 2021
Touchant désormais des postes techniques de chef de culture et de
maître de chai, cette crise des vocations n’est pas propre à la filière
vin : toute l’agriculture est touchée, mais aussi la restauration
et l’hôtellerie. La pénibilité et la valorisation de ces métiers semblent
expliquer une partie de la situation. La crise covid exacerbe le souhait
de nombreux salariés de donner un nouveau sens à leur carrière et
de recentrer leur vie sur d’autres priorités que leur métier. Dans
un contexte où les candidats se font rares, les employeurs doivent
adapter leur discours : ne plus proposer une offre d’emploi, mais
un projet global intégrant la qualité de vie du candidat et pouvant
s'adapter à ses attentes (allant de la flexibilité des horaires au
développement durable). Pouvant heurter la vision d'exploitants se
donnant corps et à âme à leur entreprise, ces nouvelles approches
semblent incontournables pour redonner de l'attractivité et de l'envie
aux nobles métiers du vin. Le but étant de ne pas laisser se croiser
offres et demandes d’emploi. Ces dernières existant bien, comme le
montre le job dating organisé pendant le Sitevi par les équipes de
Vitijob : avec une quarantaine postes pour 200 candidats.
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Assurance récolte, en attendant les
« petites lignes »
Le gouvernement a présenté les grandes lignes de son projet de réforme
de gestion des risques climatiques, le décrivant comme universel.
A ce stade, il y manque l’essentiel : les petites lignes.
Une réforme plus juste et pas juste une réforme : tel est l’esprit
qui anime le projet de loi présenté mercredi 1er décembre en Conseil
des ministres. Entamé en 2019, le processus de refondation de l’assurance
multirisques climatique (MRC) s’est accéléré au printemps 2021 avec
la survenue d’un épisode de gel massif impactant les trois-quarts
de l’Hexagone et de très nombreuses filières pour un coût se comptant
en milliards d’euros. Le choc a achevé de porter l’estocade à un système
assurantiel illisible, discriminatoire et injuste. Le prochain dispositif,
qui entrera en vigueur en même temps que la Pac, soit le 1er janvier
2023, est ambitieux pour ne pas dire prétentieux : il s’agit d’instaurer
une protection universelle, qui concernera tous les aléas, tous les
producteurs, toutes les productions et tous les territoires, y compris
les Outre-mer.
Trois seuils de perte, trois mécanismes
Le futur système entérine un dispositif à trois étages correspondant
à trois degrés d’impacts et à trois seuils de pertes. Pour un aléa
dit « courant », la perte relèvera de la responsabilité du seul producteur
et de ses choix de gestion (parades agronomiques, équipements anti-aléas,
épargne de précaution...). Pour un aléa qualifié de « significatif
», l’agriculteur ayant souscrit une MRC bénéficiera de la part de
son assureur d’une indemnisation proportionnelle à ses pertes. Enfin
pour un aléa dit « exceptionnel », l’agriculteur sinistré, qu’il soit
assuré ou non, aura face à lui un interlocuteur unique chargé d’indemniser
ses pertes, grâce à la solidarité nationale, et avec davantage de
réactivité que le mécanisme actuel des calamités. L’indemnité complétera
celle versée par les assurances à leurs assurés. Dans ce cas de figure,
un « non assuré ne pourra pas toucher plus de 50% de ce que touche
un assuré », est-il écrit dans le projet de loi. Voilà pour les grandes
lignes.
Un défi à l’universalité
A ce stade, le projet de loi ne fait pas mention des seuils de pertes
de récolte correspondant à ces trois degrés d’intensité des aléas.
On sait simplement qu’ils feront l’objet d’une définition production
par production.
.../...
Voir
pleinchamp.com
Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory:
Winter The Faggot Gatherers, 1868-75, de Jean-François Millet,
National Museum of Wales
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Du côté d’André Heitz
> La
robotique et l'innovation font partie de l'industrie laitière
> Point
de vue : « Absurdité à la mode » – L'impact mortel de la « soumission
à l'esprit politique du monde universitaire » en biomédecine
> «
La chronique de Sylvie Brunel : le mauvais exemple » dans Sud-Ouest
? Peut-être le mauvais titre !
> Pesticides
: passer une lingette sur la vitre... et hop, l'enfumage de Générations
Futures
> Des
étudiants ougandais encouragent la diffusion des biotechnologies et
l'adoption d'une loi sur la biosécurité
> «
AntiOGM et antivax : même combat, mêmes combattants », le dernier-né
de M. Yann Kindo
> Point
de vue : l'agriculture a besoin de l'économie mondiale
|
Le bateau a quitté le port de Rouen (Seine-Maritime)
en direction de la Chine avec un chargement de 57 000 tonnes
d’orge fourragère. (©Hubert Langlois)
|
|
> Point
de vue : En n'approuvant pas les innovations biotechnologiques qui
réduisent les émissions de carbone, le sommet sur le climat de Glasgow
a raté un « fruit à portée de main »
> Farm
Babe : de meilleurs soins aux animaux pour de meilleurs profits
> Les
producteurs nigérians de niébé GM témoignent d'une réduction de l'infestation
par les parasites et de meilleurs rendements
> Des
scientifiques saisissent l'occasion (qui ne se produit qu'une fois
par décennie) de plaider en faveur des arbres génétiquement modifiés
> La
Russie stoppe les exportations d'engrais – Les engrais deviennent
désormais chers
> Atlantico
: Crise énergétique : une très mauvaise nouvelle pour le coût des
engrais et ceux des produits alimentaires
> «
AntiOGM et antivax : même combat, mêmes combattants », le dernier-né
de M. Yann Kindo
Du côté du ministère de l’Agriculture
> Le
ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation présent au Salon européen
de l’éducation 2021
> Influenza
aviaire : un premier foyer détecté en élevage de volailles dans le
département du Nord
> Hackathon
du Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement climatique :
3 jours pour développer de nouveaux outils
> Dossier
de presse - Projet de loi portant réforme des outils de gestion des
risques climatiques en agriculture
> Bruno
Le Maire et Julien Denormandie présentent un projet de loi pour couvrir
tous les agriculteurs face aux aléas climatiques
> France
Relance : le soutien aux cantines scolaires des petites communes
prolongé et étendu
Du côté de la Fnsea
> Adoption
du projet de loi sur la gestion des risques en Conseil des ministres
: une étape importante vers la concrétisation !
Découlant des conclusions du premier groupe de travail « Varenne agricole
de l’eau et du changement climatique », le projet de loi portant réforme
des outils de gestion des risques climatiques en agriculture vient
d’être présenté au Conseil des ministres ce mercredi 1er décembre.
FNSEA et JA saluent cette adoption et appellent les parlementaires
à contribuer à une réforme capitale face au réchauffement climatique
et à ses conséquences.
S’appuyant sur le constat que les agriculteurs ne peuvent à eux seuls
supporter l’évolution du climat et l’accroissement des risques, le
projet de loi formalise l’expression de la solidarité nationale en
instituant un mécanisme unique reposant sur une offre assurantielle
rénovée et une indemnisation publique.
L’architecture de ce nouveau dispositif, qui répond à l’objectif fixé,
s’articule autour de grands principes :
- Une incitation renforcée à la souscription à une assurance multirisques
climatiques. La réaffirmation du règlement européen « Omnibus » permettant
un niveau maximum de subvention de 70% de la prime et une franchise
subventionnable de 20% minimum est un signal positif.
- Une garantie minimale ouverte à tous les agriculteurs et soutenue
par l’Etat. Répondant principalement aux conséquences des risques
non assurables, ce soutien aura aussi pour vocation à inciter progressivement
les agriculteurs à s’assurer.
- Un guichet unique et une gouvernance équilibrée. L’objectif de simplifier
les démarches des agriculteurs victimes de dégâts et d’accélérer le
paiement des indemnisations est l’une des clefs de réussite de la
réforme. La création d’un pool de « coréassurance » réunissant les
assureurs, les réassureurs, les pouvoirs publics et la profession
agricole permettra une transparence dans l’élaboration des offres
assurantielles et la fixation des primes.
Avec une application au 1er janvier 2023, le calendrier d’adoption
et de mise en œuvre s’annonce très serré. Au-delà de l’examen du projet
de loi cadre, FNSEA et JA seront particulièrement vigilants sur les
mesures précises fixées par l’ordonnance et les textes réglementaires
à venir.
Pour la FNSEA et JA, seule une application complète du règlement «
Omnibus », sur le niveau d’appui à la cotisation et sur le seuil de
déclenchement de l’assurance, à toutes les productions et aux contrats
d’assurance à la nature de culture créera une dynamique positive en
affichant une réelle amélioration par rapport à l’offre assurantielle
actuelle.
Notre volonté est de concrétiser de toute urgence le dispositif dans
la loi avant la fin de cette mandature en donnant une visibilité réglementaire
et en affichant l’ambition budgétaire.
Cet ancrage législatif permettra d’éviter le risque d’une énième concertation
sur une réforme attendue depuis de trop nombreuses années par les
agriculteurs. Ne les décevons pas !
Du côté d'Auguste Derrière
3
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La culture du lin
La culture du lin, importante en France, est majoritairement destinée
à l'exportation.
Entre le semis et l'utilisation de la fibre pour le tissage (sa principale
utilisation), la plante passe par de nombreuses étapes de transformation
agricole, puis de transformation industrielle.
Voir
academie-agriculture.fr
Nombre de variétés cultivées en France pour la production de semences
> L'opinion répandue…
« L’emprise des industriels des semences réduit la diversité des variétés
disponibles pour l’agriculture sur le territoire national. »
> L'analyse de l'Académie :
"En fait, l’offre semencière n’a jamais été plus large qu’à notre
époque ! Il existe en effet aujourd’hui 7000 variétés répertoriées
au Catalogue officiel français, soit environ 1/3 du Catalogue de l’UE.
En 2016 , ce sont 530 variétés nouvelles qui ont été inscrites ! Ceci,
grâce aux sélectionneurs français qui consacrent 15% de leur CA à
la sélection et à l’amélioration des variétés. Au cours de l’année
2016, plus de 5800 variétés étaient cultivées sur le territoire national
pour produire les semences de grandes cultures majeures : betterave,
chicorée, céréales à paille, lin, chanvre, maïs, sorgho, oléagineux,
pommes de terre, fourragères et gazons. Le nombre des variétés disponibles
était de l’ordre de 3500 pour ces mêmes espèces en l’an 2000. Ce nombre
était lui-même incomparablement supérieur à ce qu’il était en 1960
et plus encore en 1900. Cette évolution positive sur une longue période
ne correspond donc pas à la suspicion régulièrement entretenue à l’encontre
des sélectionneurs."
Du côté de la Fnsea (suite)
> 36
organisations s’engagent pour des ruralités vivantes
Évoquer la ruralité, c’est en premier lieu se questionner sur le rapport
que nous entretenons
à notre espace.
Ce rapport a connu, depuis ces 30 dernières années, de profonds bouleversements,
sous l’influence de la métropolisation accélérée, de l’étalement urbain
et des dynamiques multimodales à l’œuvre.
La ruralité ne peut se résumer de nos jours à sa simple essence latine
« ruralis », campagne, qui la positionnerait comme une simple soustraction
à l’espace urbain alors que l’opposition classique campagne/ville
tend, de par son homogénéisation, à disparaitre. La crise sanitaire
du COVID-19 a particulièrement accentué le besoin de ruralité des
Français, même occasionnellement. Nos concitoyens expriment aujourd’hui
des aspirations auxquelles les territoires ruraux peuvent répondre
car, oui, le monde rural s’inscrit pleinement dans les transitions
en cours. Il est un réservoir pour l’accomplissement de projets professionnels
et personnels aussi divers soient-ils. Il permet d’accueillir des
projets innovants, durables à même de relever les défis actuels et
futurs : sociaux, économiques, environnementaux et territoriaux.
Il ne faut pas oublier que, depuis 10 ans, nous assistons à un véritable
repeuplement rural : 80 % des communes rurales sont en croissance
démographique. Un besoin de relocaliser, de reprendre le contrôle
d’entreprises s’exprime afin qu’elles produisent des biens et des
services sur le sol français. Le sujet de la souveraineté française
est au cœur des débats et particulièrement de la souveraineté alimentaire.
Le changement climatique auquel nous faisons face oblige à repenser
toutes les politiques publiques et tous les développements d’entreprises
pour les rendre compatibles avec la neutralité carbone.
Pourtant certains freins à l’installation persistent. Le manque de
services, bien qu’en recul, reste dominant (64 % du grand public ;
63 % des ruraux), devant l’offre d’emplois (62 % ; 63 %) et de transports
(55 % ; 55 %) jugée insuffisante1. Près d’un tiers des ruraux (28
%) ont connu des problèmes de connexion Internet durant le confinement
(contre 22 % du grand public).
Pour que le monde rural soit davantage attrayant et compétitif, le
Groupe Monde Rural (GMR) et l’ensemble des acteurs du monde rural,
militent pour que ces territoires ne soient pas considérés comme un
simple bloc homogène. L’État doit mieux s’adapter aux caractéristiques
particulières des territoires ruraux. Il doit répondre à leurs attentes
pour faciliter l’accès aux services médicaux, éducatifs, de transport,
aux nouvelles technologies, au numérique, à la culture, aux loisirs,
etc. et pour permettre le développement équilibré des potentiels ruraux
qui contribuera au maintien de la vitalité des territoires.
En complémentarité des actions conduites dans le cadre d’Agenda rural,
qui visent notamment à la nécessaire amélioration des services publics
dans les campagnes françaises, les acteurs des territoires ruraux,
notamment les agriculteurs, les artisans, les commerçants et professionnels
libéraux veulent réaffirmer la vocation productive comme socle de
base des espaces ruraux et souhaitent replacer les entrepreneurs au
cœur de la croissance verte comme vecteurs du développement rural
et de la souveraineté française.
En ce contexte de crise sanitaire, l’économie française est en pleine
relance. La ruralité doit prendre toute sa part dans l’exercice de
relance et avancer des propositions singulières visant à challenger
les pouvoirs publics et l’ensemble du monde économique rural. Il n’y
aura pas de relance économique en France s’il n’y en a pas dans les
zones rurales.
Henri Biès-Péré, Président du Groupe Monde Rural, Deuxième Vice-Président
de la FNSEA, Agriculteur dans les Pyrénées Atlantiques
Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory:
The Joyless Winter Day, by J Farquharson (Scotland - 1846 -
1935)
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : En mettre de côté pour l'avoir devant soi, est, pour
paradoxale qu'elle soit, une façon comme une autre d'assurer ses arrières
à effet de ne pas l'avoir dans le dos.
Pierre DAC
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (2)
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Auto-test du Covid
Suivre chacune des étapes correctement :
Étape 1 : Mettez de l'Armagnac dans un verre et essayez de le sentir.
Étape 2 : Si vous pouvez le sentir, voyez si vous pouvez le goûter.
Étape 3 : Si vous avez pu le sentir et le goûter, il est raisonnable
de supposer que vous n'avez pas le Covid 19.
Hier soir, j'ai passé le test neuf fois et tous sont revenus négatifs
! Dieu merci.
Ce soir je vais refaire le test puisqu'aujourd'hui je me suis réveillé
avec un petit mal de tête, qui peut être un symptôme de la maladie.
Je suis inquiet !
Signalé par Paul JAMET
Mél paul.jamet(a)free.fr
The map we need if we want to think about how global living conditions
are changing
Part of our mission at Our World in Data is to make the big global
problems understandable — and we often do this by showing maps.
But despite the popularity and familiarity of world maps, they can
mislead our understanding of global living conditions because they
only show us where the world’s landmasses are. They don’t show us
where people are.
To show where the world’s people live, we need a population cartogram
— a geographical representation of the world where the size of the
countries are drawn not according to the distribution of land, but
according to the distribution of people.
In this article from September 2018, we present a detailed population
cartogram, zooming in to the different world regions and describing
what this people-centered perspective can teach us.
TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
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Pensée du jour
…/…
Pourtant, nous avons en France la chance inouïe d'avoir une agriculture
familiale et responsable : la plus durable au monde ! Et il y a de
la place pour tous : bio, circuit courts, vente directe, magasins
paysans... mais aussi exploitations performantes pour nourrir des
villes qui ne produisent localement que 2 % de ce qu'elles consomment,
et des pays structurellement déficitaires. Soyons réalistes : 90 %
de ce que nous mangeons vient de l'agriculture dite conventionnelle
– terme mensonger, car elle ne cesse d'innover et de se verdir, main
dans la main avec les bio – et s'achète en grande surface.
Associons les modèles au lieu de les opposer, intégrons nos producteurs
dans des Projets alimentaires de territoires qui donnent une place
à chacun, créons avec eux des réserves d'eau qui forment les plus
beaux paysages.
Sans nos agriculteurs, nous ne sauverons ni le climat, ni les paysages,
ni notre santé. Et pour des territoires vivants, il faut des paysans
respectés ! [...]
Sylvie BRUNEL dans Sud-Ouest
A first thought for today
If they are not gonna make a distinction between muslims and extremists,
then why should I distinguish between white people and racists.
Parag AGRAWAL, President Twitter
A second thought for today
The smart way to keep people passive and obedient is to strictly limit
the spectrum of acceptable opinion, but allow very lively debate within
that spectrum -- even encourage the more critical and dissident views.
That gives people the sense that there's free thinking going on, while
all the time the presuppositions of the system are being reinforced
by the limits put on the range of the debate.
Noam CHOMSKY, linguistics professor and political activist (1928 -
)
A third thought for today
One trouble with living beyond your deserved number of years is that
there's always some reason to live another year. And I'd like to live
another year so that Nixon won't be President. If he's re-elected
I'll have to live another four years.
Rex STOUT, novelist (1886-1975) [Nixon resigned in 1974.]
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : Il a son mérite, je ne trouve d'ennuyeux que les moyens
de l'avoir.
Alphonse KARR
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
COVID-19 update: How do death rates from COVID differ between vaccinated
and unvaccinated people?
To understand how the pandemic is evolving, it’s crucial to know how
death rates from COVID differ by vaccination status. The death rate
is a key metric that can accurately show us how effective vaccines
are against severe forms of the disease.
In this article we explain why it is essential to look at death rates
by vaccination status rather than the absolute number of deaths among
vaccinated and unvaccinated people.
We also visualize this mortality data for the United States, England,
and Chile.
Ideally we would produce a global dataset that compiles this data
for countries around the world, but we do not have the capacity to
do this in our team. As a minimum, we list country-specific sources
where you can find similar data for other countries, and we describe
how an ideal dataset would be formatted.
→ Explore our global vaccination dataset, alongside cases, deaths,
hospitalizations, testing, and other metrics by country in our COVID
Data Explorer.
ourworldindata.org: Our World in Data is a project of the Global Change Data Lab, a non-profit
organization based in the United Kingdom (Registered Charity Number
1186433).
Ehpad et USLD (unités de soins de longue durée) : La vaccination
contre la Covid-19 a eu un impact important sur l’épidémie
Wilson Greatbatch, the American engineer who created the first
implantable pacemaker.
Thanks to his work, and a lucky mistake, millions of people have
been saved from an early death.
See
humanprogress.org
US Prisons overpopulated (NYT Newsletter)
Good jobs? (Bloomberg newsletter)
Burn out? (Bloomberg newsletter)
Décroche,
un peu
The HIV pandemic peaked in the mid-2000s when some 1.9 million
people died of AIDS each year
In 2017, fewer than 1 million died from the sickness.
In Botswana, one of the worst-affected nations, AIDS was responsible
for 62 percent of all deaths in 2003. By 2017, that fell to 29 percent.
This progress is primarily due to broader access to antiretroviral
therapy, which dropped in price from over $10,000 per year in 2000
to $64 per year in 2016.
Gene edited sex selection may spare animal suffering, by Pallab
Ghosh, BBC Science correspondent
Scientists have used gene editing technology to create female-only
and male-only litters of mice.
Their technique could prevent the destruction of hundreds of thousands
of unwanted mice used in research.
The team says it could also prevent the slaughter of millions of
male chickens in the UK, which are culled because they don't lay
eggs.
The government is considering allowing gene editing to be used by
the livestock industry in England.
The technique, which has been outlined in the academic journal Nature
Communications, deactivates a gene involved with embryo development.
The system can be programmed to kick in for either male or female
embryos at a very early stage of development - of between 16 and
32 cells.
The researchers believe that the technique could work on farm animals
and they are in discussions to set up scientific pilot studies with
the Roslin Institute near Edinburgh, which is among the world leaders
in gene editing of livestock.
Dr Peter Ellis of Kent University told BBC News that if the results
do translate from the lab to commercial use, they could have a "far
reaching" impact on animal welfare.
See
bbc.com
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory: Un coin de vigne (1886) d'Édouard Debat-Ponsan (1847-1913)
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200 years ago, everyone lacked democratic rights. Now, billions
of people have them.
When French revolutionaries stormed the Bastille prison in 1789
in pursuit of liberty, equality, and fraternity (and weapons),
they could not have imagined how far democratic political rights
would have spread a mere 200 years later.
In the 19th century, there were few countries one could call democracies.
Today, the majority are.
But the mere number of countries does not tell us how many people
enjoy democratic rights. When Tunisia became democratic in 2012,
its population of 11 million gained the political rights that
came with it. When India democratized in the 1950s, this same
transition affected almost 400 million people.
In this article we explain how political regimes are classified,
how many people live under different regimes, and how this has
changed over time. While the number of people with democratic
political rights has increased dramatically, these rights are
still far from universal — and far from inevitable.
The Role of Culture in Innovation, by Taylor Barkley
Over the past two hundred years, innovation has lifted humanity
from subsistence to prosperity.
But innovation is not inevitable. In fact, these last two centuries
have been a blip in human history, which was mostly technologically
stagnant.
Like a flowering plant, technological progress needs the right
environment to thrive. Specifically, it requires a culture that
embraces innovation.
See humanprogress.org
El tomate no es natural, es un tesoro creado por el ingenio
humano
Las variedades actuales son una creación humana, fruto de una
larga historia que abarca numerosas culturas y tradiciones agrícolas.
Ver
elpais.com
El día a día de cuatro agricultores y ganaderos
El aumento de los costes de producción en la cadena alimentaria
ahoga al sector agrario, que no percibe las subidas en el precio
final de sus productos
Ver elpais.com
Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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Two factory workers are talking
The woman says, "I can make the boss give me the day off."
The man replies, "And how would you do that?"
The woman says, "Just wait and see."
She then hangs upside-down from the ceiling.
The boss comes in and says, "What are you doing?"
The woman replies, "I'm a light bulb."
The boss then says, "You've been working so much that you've
gone crazy. I think you need to take the day off."
The man starts to follow her and the boss says, "Where are you
going?"
The man says, "I'm going home, too. I can't work in the dark."
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