Pour être sûr de recevoir cette gazette, abonnez-vous au fil RSS comme indiqué... Do not miss the Virus Jokes in English and French Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture où règne une intéressante pluralité de points de vue ! Une ressource trop méconnue. Voir academie-agriculture.fr Académie d’agriculture de France : saviez-vous que sur notre chaîne @YouTube : + de 1200 #abonnés ont accès gratuitement à + de 200 #vidéos #fakechecking #agriculture #forêts #alimentation #environnement ? Voir youtube.com/ Avant l’informatique
Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France Enrichi de documents originaux récents...: - 195 fiches " Question sur... " - 106 fiches " Bois-Forêt " - 57 fiches " Repères " - 23 " Vidéos " L'ensemble de ces 381 documents a été établi grâce aux contributions de 132 membres de la Compagnie et de 40 experts extérieurs. Voir bibliotheque.academie-agriculture.fr (moteur de recherche) Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture l’alimentation et l’environnement. Voir academie-agriculture.fr (présentation du fond) Contact : André FOUGEROUX Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com Strasbourg : trois prix Nobel lancent un appel à la réélection d'Emmanuel Macron Un appel national à la réélection d'Emmanuel Macron a été lancé ce mercredi par 150 personnalités strasbourgeoises, dont trois prix Nobel de médecine et de chimie. Voir francebleu.fr Algérie et colonialisme : "Il est essentiel de se libérer des libérateurs" (à l’occasion d’une superbe exposition à l’Institut du Monde Arabe à Paris) En Algérie, comme en Russie, comme en France aussi, lorsque la gauche évoque le Conseil National de la Résistance, ou lorsque la droite n’en finit pas de célébrer le Général de Gaulle, il faut savoir se libérer du passé, aussi héroïque soit-il, remettre avec respect les morts à leur place et être vivant. Kamel Daoud dit : "Il est essentiel de se libérer des libérateurs", tout en continuant de respecter nos libérateurs. Être vivant, c’est possible en France, un pays de liberté, et impossible en Algérie ou en Russie, par exemple, où au nom de la fidélité aux héros disparus, on devient aveugle et sourd au présent, et on renonce à s’attaquer aux vrais problèmes… ce qui profite à une caste d’héritiers. L’exposition de l’Institut du Monde Arabe « Raymond Depardon / Kamel Daoud. Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019 » est très intéressante mais devient absolument passionnante lorsqu’on a vu la vidéo du dialogue entre Raymond Depardon et Kamel Daoud. Voir twitter.com Raymond Depardon / Kamel Daoud. Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019 Voir imarabe.org Algérie. Expo « Son œil dans ma main » : entretien avec Raymond Depardon et Kamel Daoud, par Franck Cartelet, in l’Humanité, le 27 février 2022 À l’approche du 60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, l’Institut du monde arabe présente une belle exposition intitulée « Son œil dans ma main, Algérie 1961-2019 ». Le photographe Raymond Depardon et l’écrivain Kamel Daoud y proposent un dialogue singulier sur la complexité humaine en Algérie. Voir humanite.fr La récolte de betteraves, de Camille Pissaro
Paul Verlaine Le recueil « Sagesse » est publié après la rupture définitive de Verlaine et de Rimbaud. Verlaine a été emprisonné deux ans (pour avoir tiré sur son amant), au cours desquels il a réfléchi et retrouvé la foi. Mais il n’est pas complètement guéri. Ici, le « son du cor » et « l’âme du loup » sont à la fois un cadre de référence extérieur et une métaphore de l’âme du poète. Celui-ci se laisse envahir de sentiments contradictoires, facilement perceptibles dans le deuxième quatrain, grâce à plusieurs antithèses (monte / décline, agonie / câline, ravit / navre). Verlaine ne sait plus très bien où il en est… Cet état de non-être est renforcé par l’imprécision caractéristique de Verlaine : rien n’est net, rien n’est clair. Même « l’air a l’air » d’être un soupir. Verlaine crée une ambiance magique et irréelle : comment un coucher de soleil pourrait-il être sanguinolent alors qu’il neige ? De plus, les approximations grammaticales finissent de troubler le lecteur. Assoupissons-nous dans cette atmosphère ouatée, bercés par l’extraordinaire musique de Verlaine, dorlotés par la curieuse lenteur du paysage...
La Suisse championne des demandes de brevets, par Ivan Radja, 05 avril 2002 Elle est le pays qui en a déposé le plus en proportion du nombre d’habitants. En interne, Vaud reste le canton le plus dynamique, devant Zurich. La progression dans les technologies de pointe est un bon indicateur, aussi, de la santé économique d’un pays. Et, de ce point de vue, les entreprises et instituts de recherche suisses se sont bien remis du choc de la pandémie. Avec 8442 demandes de brevets déposées auprès de l’Office européen des brevets (OEB), celles-ci sont en hausse de 3,9% par rapport à 2020. C’est supérieur à la moyenne européenne (+2,8%), selon le Patent Index publié ce mardi par l’OEB. Mieux que nos voisins immédiats la France (-0,7%) et l’Allemagne (+ 0,3%), pays très prolifiques en la matière, mais loin derrière le rebond des pays scandinaves comme le Danemark (+9,2%), la Finlande (+11,2%) ou la Suède (+12%). Voir tdg.chv Ma remarque (GW) : Quand évaluera-t-on les organismes français de recherche (Inrae, Cnrs, Inserm,…) au moins en partie sur le nombre de brevets déposés et les revenus dégagés par les droits attachés à l’utilisation des inventions brevetées ?
La décroissance comme seul moteur idéologique .../... En effet, le simple fait d’avoir envisagé de « produire plus » pour répondre à la crise alimentaire que provoque le conflit ukrainien a déchaîné un ouragan de critiques de la part de l’écolo-altermondialisme. « “Produire plus” pour répondre à un manque de disponibilité n’est pas la solution », objectent ces associations, persuadées que « nous produisons suffisamment de nourriture pour nourrir l’ensemble de l’humanité ». .../... Voir agriculture-environnement.fr
Le Parlement Européen approuve de nouvelles règles pour stimuler le partage des données au sein de l'UE - Davantage de données pour libérer le potentiel de l'intelligence artificielle - Stimuler le partage des données par la confiance, davantage de contrôle des citoyens et entreprises - Des dispositions spécifiques pour garantir un accès équitable et stimuler le partage volontaire Voir europarl.europa.eu Remarque (GW) : L’Académie d’agriculture a organisé une séance sur la « guerre des datas agricoles » le 9 mars 2022. Le rôle des données dans l’économie de l’agriculture et de l’agro-alimentaire reste sous-estimé, et c’est un vrai danger, alors qu’elles sont devenues « le nerf de la guerre » dans les relations commerciales bien entendu, mais pas que : demain, on n’imaginera pas élaborer un diagnostic technique, un scénario pour un « parcours cultural » ou pour le fonctionnement d’un atelier d’élevage sans les données ad hoc. Il se trouve que la propriété et le partage des données agricoles qui ont été l’objet des interventions des spécialistes invités à la séance du 9 mars sont également au cœur du règlement approuvé le 6 avril 2022 par le Parlement européen
Increasing agricultural productivity across Sub-Saharan Africa is one of the most important problems this century To grow food, you need two things: some land and some of your time. Land and labor are two of agriculture’s primary inputs. To build a food system that works for people and the planet, humanity needs to achieve high productivity in both of them. But across much of Sub-Saharan Africa, the productivity of both input factors is low. In this article we explain why agricultural productivity across the region needs to improve to reduce hunger, poverty, and the destruction of biodiversity—and why this makes it one of the world’s most pressing problems.
La récolte des pommes de terre à Pontoise, de Camille Pissaro
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVARES (Les) : Comme les porcs, ils ne rendent service qu'après leur mort. Proverbe français. Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Du côté des gazettes afia et efita >>> Statistiques de l’édition du 07 avril 2022 de cette gazette afia >>> Last issue of the Efita Newsletter nb 1034 dated April 11, 2022 >>> Last available statistics for the efita newsletter Sencrop : la météo connectée à vos cultures Rassemblez vos données météo de précision dans une seule application, et simplifiez le pilotage quotidien de vos travaux agricoles avec des indicateurs adaptés à vos cultures. >> Des données météo de précision Conçu pour répondre aux besoins des professionnels de l’agriculture, Sencrop vous propose de rejoindre son réseau de stations météo connectées et ainsi recevoir des données agro-environnementales de précision issues de vos parcelles. >> Le plus grand réseau européen de stations ! Plus de 20 000 stations agro-météo connectées à travers l’Europe. >> Une application intuitive et facile d’utilisation Retrouvez des données ultra-locales et fiables pour optimiser votre organisation quotidienne. >> Prévenir les risques, réduire les coûts Réduire les intrants et diminuer votre impact environnemental ainsi que les coûts liés. Voir sencrop.com Beeguard : compteur d’abeilles intelligent BeeGuard, spécialiste et pionnier de la ruche connectée depuis 2016, conçoit, fabrique et commercialise la solution la plus innovante et complète pour mesurer l'activité des abeilles à distance. Grâce à son équipe interne de R&D, BeeGuard mène en continue, des projets de recherche en partenariat avec les laboratoires académiques les plus en pointe sur l'analyse des comportements des pollinisateurs. Ces travaux ont permis de développer des capteurs et services innovants plusieurs fois primés lors des trophées de l'innovation Voir beeguard.fr La récolte des choux, de Camille Pissarro
Nutrition & robot de traite : Tous les chemins mènent à l’herbe, par Toma Dagorn - 4 avril 2022 À l’arrivée des premiers robots en France, la traite automatisée avait d’abord véhiculé l’image d’un système optimisé par le zéro-pâturage, quand les vaches restaient toujours en bâtiment à proximité des stalles. Pour autant, les prairies n’avaient pas forcément disparu des assolements, valorisées par l’affouragement en vert ou sous forme de stocks conservés en enrubanné ou en ensilage. Et puis, peu à peu, la question du pâturage est assez naturellement revenue sur le tapis alors que la traite robotisée se vulgarisait. Des éleveurs ont expérimenté et essuyé les plâtres. Les fermes expérimentales des Chambre d’agriculture de Bretagne et des Pays de la Loire, à Trévarez (29) (en zone arrosée) ou à Derval (44) (sur stalle saturée en zone séchante) ont produit des références. Aujourd’hui, alors que les robots représentent désormais plus de la moitié des installations de traite neuves bretonnes, producteurs de lait, conseillers et installateurs savent rendre complémentaire l’automatisation et l’approche herbagère. D’autant que le prix des correcteurs azotés crève le plafond et pousse à réfléchir sur l’autonomie protéique, par exemple en progressant sur la gestion des prairies. Voir paysan-breton.fr Concilier robot et pâturage À Val d’Izé (35), le Gaec Douillet travaille en traite robotisée depuis 2017. Pour Romain Chevrel, l’un des associés, son système pâturant se résume en un maître-mot : efficience. Voir paysan-breton.fr Une solution de guidage GPS dans les parcelles en dévers, Alexis Jamet - avril 2022 JCB, Trimble et Arvalis testent une solution pour améliorer la précision du guidage RTK dans les parcelles en dévers. L’idée est de piloter par GPS chaque essieu des tracteurs Fastrac, équipés de quatre roues directionnelles. Les résultats des premiers tests ont montré une réduction du déport de l’outil. Ils laissent entrevoir de nombreuses applications. https://www.paysan-breton.fr/wp-content/uploads/2022/04/Graphe_guidage_RTK_devers.jpg Voir paysan-breton.fr The Countryside in the Vicinity of Conflans Saint Honorine, 1874, by Camille Pissarro
« Les robots n’ont pas eu d’impact sur notre conduite herbagère » Avec deux stalles pour 80 vaches en production, le troupeau a vite trouvé le bon rythme entre la traite robotisée et les paddocks dimensionnés pour 24 heures. Voir paysan-breton.fr John Deere installe la première boîte électrique eAutoPowr sur son 8R410, par Sébastien Duquef John Deere annonce l'arrivée de son concept de transmission électrique sur les tracteurs de la gamme 8R410, version R, RT et RX. Les éléments hydrauliques ont laissé leur place à des pièces électriques, qui offrent davantage de capacité de traction, de l'accélération et la possibilité d'emmener des outils plus larges. Sans oublier la possibilité d'utiliser l'électricité pour alimenter les outils, à l'image de la tonne à lisier Joskin à essieux moteur. Une médaille d'or Agritechnica qui devient réalité. Voir terre-net.fr Lemken et Krone se lancent dans le matériel de traction autonome Deux équipementiers allemands viennent d'annoncer leur projet de véhicule de traction autonome. Le concept hybride (diesel-électricité) devrait faire parler de lui si le résultat des tests est concluant. En clair, l'ensemble unité de traction-outil fait corps et communique en permanence en vue d'optimiser la qualité du travail et de sécuriser les opérations. À voir comment les producteurs seront réceptifs au projet. Voir terre-net.fr Chez E-farm, une nouvelle marque allemande au catalogue Le site de e-commerce distribue désormais les outils bavarois Ziegler dont les déchaumeurs à disques indé- pendants. Ils disposent de disques crénelés de 560 mm de diamètre et de 5 mm d’épaisseur montés sur roulements SKF sans entretien. Voir wikiagri.fr Sciences et Pseudo-Sciences n°339 (janvier 2022) Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVARICE (L') : J'ai connu un type qui était tellement radin qu'il avait engagé une bonne aveugle... pour économiser de l'électricité ! Pierre DORIS Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Lettres d'information sur la cybermalveillance Actualités, contenus et ressources thématiques pour vous sensibiliser aux risques numériques et aux bonnes pratiques associées, informations sur les cybermenaces… Voir cybermalveillance.gouv.fr La récolte, Pontoise, de Camlle Pissarro
Cloud : vers une enquête de l'UE sur le cas Microsoft ? Bruxelles sonde le marché au sujet des pratiques commerciales de Microsoft dans le domaine du cloud. Le prélude à une éventuelle enquête formelle. Voir silicon.fr Cybersécurité : ce que proposent les candidats à la présidentielle 2022 Cybersécurité, données et souveraineté numérique sont - enfin - au coeur des programmes des candidats à la présidentielle 2022, relèvent le FIC et inCyber. Voir silicon.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVARICE (L') : Éjaculer est du gaspillage. José ARTUR Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
La stratégie F2F de l’Union Européenne est-elle réaliste dans le contexte de la guerre d’invasion de l’Ukraine par la Russie Le Centre commun de recherche de la Commission européenne à Ispra (Italie) a produit le rapport suivant qui montre les baisses de production, de cheptel ou de surfaces avec la mise en œuvre de la stratégie F2F... >>> Modelling environmental and climate ambition in the agricultural sector with the CAPRI model See publications.jrc.ec.europa.eu
"L'année exceptionnelle va devenir celle sans aléas climatique" au vignoble, par Alexandre Abellan, le 07 avril 2022 Les dernières gelées printanières remettent en avant le besoin d'anticiper les effets du changement climatique sur le fonctionnement des propriétés viticoles souligne le président des Vignerons Indépendants. Voir vitisphere.com Évolution du tonnage des substances actives en France, dont beaucoup de cuivre utilisé en AB (source : Phyteis) et 7 idées fausses sur les pesticides 1 - On utilise de plus en plus de pesticides 2 - On peut s’en passer dans l’agriculture bio 3 - Les pesticides sont des perturbateurs endocriniens 4 - Les autorisations de mise sur le marché n’étudient pas "l’effet cocktail" 5 - Les produits phyto sont dangereux pour les consommateurs en raison des résidus 6 - Les pesticides tuent les abeilles 7 - Leur pulvérisation est dangereuse pour les agriculteurs et les riverains » Voir phyteis.fr
Arrêt sur images dénonce la complicité de certains journalistes avec L214 Arrêt sur images (ASI) a récemment mené l’enquête sur les « relations étroites, complices, nouées » par certains journalistes avec l’association antispéciste L214, accusant ceux-ci d’être « devenus au fil des années de véritables relais de communication », non sans avoir oublié au passage quelques règles déontologiques de base. Et les exemples cités sont éloquents ! Voir agriculture-environnement.fr Produits Kinder rappelés : Ferrero reconnaît des « défaillances internes » et s’excuse L’usine belge des chocolats Kinder à l’origine de contaminations à la salmonellose dans plusieurs pays a été arrêtée ce vendredi. Ferrero s’est également exprimé sur l’affaire. Voir tdg.ch LabPSE : le laboratoire des paiements pour services environnementaux Le projet LabPSE, porté par TRAME, vise à expérimenter la signature de PSE en installant une dynamique de coopération territoriale entre : - Des agriculteurs qui s’engagent à produire des services sur plusieurs années - Des acteurs du territoire qui investissent pour pérenniser ces services Voir webtrame.net Le Laboureur au Valhermeil Auvers Sur Oise, de Camille Pissaro
Relay cropping : Un prototype d'adaptation de semoir développé par Agco, 25 mars 2022, par Éloïse Boone Lors de la journée technique végétale UnitechDays qui avait pour thème la réduction de la dépendance des exploitations aux intrants, Agco présentait son prototype d'adaptation d'un semoir monograine à la pratique du relay-cropping. Voir terre-net.fr 50 tonnes d’azote minéral économisées grâce à la méthanisation, 04/04/2022, par Agathe Legendre À Mance, dans le nord de la Meurthe-et-Moselle, Dominique Hirtzberger est l'un des six associés à l’origine de l’unité́ de methanisation collective Valbioénergie. Voir cultivar.fr Marché européen du tracteur agricole - Des immatriculations en hausse de 17 % en 2021, un record ! L'année 2021 devrait rester dans les annales en matière de ventes de tracteurs agricoles. 17 % de plus qu'en 2020, un niveau record depuis des décennies à l'échelle européenne. Cependant, le marché risque d'être perturbé par la pénurie de composants, poussant certaines usines à cesser leur production. Sans oublier la hausse du prix des matières premières, de l'énergie et la pénurie de main d'œuvre qu'entraînent le Covid-19 et la guerre en Ukraine. https://cdn1.regie-agricole.com/ulf/TNM_Biblio/fiche_206828/fiches_Immat_tracteur_Cema_2021.png Voir terre-net.fr Quel est l’état des lieux de la consommation d’antibiotiques en médecine vétérinaire ? Consultez l'atlas démographique vétérinaire 2021 Voir veterinaire.fr Face à la flambée des engrais, quelles solutions ? Comment sécuriser ses approvisionnements dans un contexte de flambée historique des prix des engrais ? Quels sont les risques pour les prochaines récoltes ? Quelles sont les alternatives aux importations russes ? Le point avec Isaure Perrot, consultante chez Agritel. Voir pleinchamp.com D'après la newsletter du NYT reçue le 3 avril 2022, il n'est pas impensable de réussir à limiter nos émissions de gaz à effet de serre
Les universités privées US coûtent de plus en plus cher, 50 % du revenu annel moyen il y a 20 ans, 70 % aujourd'hui
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVARICE (L') : La maladie du bas de laine. Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
“Et si les arbres parlaient” de Brigitte Vépierre Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVARICE (L') : On n'a jamais vu un coffre-fort suivre un corbillard. Étienne BILLAUD Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Le cheval, un atout pour l’agriculture française, une séance commune AAF/AVF 4 mai 2022 - PARIS - 14h30 et sur youtube.com Cette séance conjointe de l'Académie d'agriculture (section 3, Production animale) et de l'Académie vétérinaire (section 2, Sciences cliniques) se tiendra dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France. La filière du cheval constitue une filière agricole atypique et méconnue. Son intérêt pour nos territoires ruraux est pourtant réel que ce soit au niveau économique (pour exemple, elle génère 66 000 emplois directs en majorité situés en zones rurales ou périurbaines), social (pour exemple, plus de 2 millions de pratiquants assurent un lien ville-campagne) ou environnemental (pour exemple, 1,05 million d'équidés utilisent environ 4% de la SAU, notamment des espaces délaissés par les autres espèces d'élevage et avec peu de contraintes en produits phytosanitaires ou engrais). Son appartenance au monde agricole est parfois questionnée alors qu'elle est essentielle à son devenir en lui offrant un cadre technique et politique. La proximité avec le public rend le cheval très sensible, voire précurseur vis à vis des attentes sociétales au premier rang desquelles figurent la prise en compte du bien-être animal. Au cours des vingt dernières années, la filière a connu une profonde mutation en termes de gouvernance, de produits et services et de défis technologiques. Cette séance a été préparée conjointement avec l'Académie vétérinaire de France et l'académie de l'agriculture Française, section 3. Elle vise à mieux faire connaître cette filière et montrer les intérêts réciproques entre les secteurs du cheval et le monde agricole. Elle présentera comment la filière répond aux attentes sociétales par un exemple, celui du bien-être animal dans le monde des courses. Pour terminer et afin d'illustrer le dynamisme de la recherche équine, seront exposées les avancées technologiques dans deux domaines, ceux de la prévention sanitaire et de l'histoire génétique de l'espèce. Voir academie-agriculture.fr En résumé #113 : Le doute au carré Mai- Octobre 2022 : Eureka ! À Figeac (Lot) Le 14 septembre 1822, Jean-François Champollion s’exclamait enfin « Je tiens l’Affaire » ! Et quelle affaire, puisqu’il venait de déchiffrer les hiéroglyphes, une écriture oubliée depuis des millénaires. En rendant possible la compréhension de l’une des plus grandes civilisations de l’Antiquité, Champollion a ainsi rejoint le camp des « passeurs » de connaissance, entre autres chercheurs, scientifiques, ou explorateurs, qui ont fait et refait l’histoire de l’humanité. C’est justement à cet engagement si passionné que Eurêka vient rendre hommage, au travers d’une programmation culturelle riche, ludique et variée. Durant six mois, de mai à octobre 2022, c’est tout un territoire qui met en lumière les dernières actualités scientifiques et propose de nouvelles manières de regarder le monde, comme autant d’invitations à la découverte. Habitants, visiteurs ou touristes de passage, Eurêka c’est « l’Affaire à suivre » pour pouvoir se retrouver entre amis, en famille ou entre curieux, et profiter d’une saison culturelle à la fois unique et intemporelle. >>> Séminaire décentralisé de la section « Environnement et Territoire » de l'Académie d'agriculture, avec la participation de Guillaume DHERISSARD, directeur de la coopérative Fermes de Figeac 1er juin 2022 - FIGEAC Thème : lien fécond qu’entretiennent aujourd’hui les chercheurs avec les acteurs des territoires pour inventer de nouvelles façons de faire du développement agricole et rural. Voir eureka-figeac.fr Ma remarque (GW) : je voudrais réagir au thème de ce séminaire. J’ai travaillé à l’Acta, organisme de recherche appliquée et de développement agricole. Je ne pense pas que les Instituts techniques de l’Acta n’aient jamais prétendu à l’exclusivité de leur activité de recherche appliquée et de développement agricole. Ce que je sais, mais ceci a peut-être changé, c’est que nos amis chercheurs n’avaient pas une grande crédibilité auprès des agriculteurs. C’est sans doute dommage, mais leur statut de fonctionnaires ne les aidait pas. Je ne suis pas sûr que les choses aient bougé avec l’augmentation du bagage scolaire et universitaire des jeunes agriculteurs. Je continue de penser que le développement agricole est un métier distinct de celui de chercheur. Les « living lab » sont à la mode. Ce sont des outils qui permettent le renouveau d’un discours qui reste malheureusement vertical, du haut vers le bas, mais les « living labs » ne développent pas spécialement, contrairement aux réseaux sociaux, une communication horizontale entre acteurs… Un exemple de ce genre réseau social « horizontal » est ShaYoFae présenté par M. Escriou lors de la séance de l’Académie d’agriculture le 9 mars 2022 sur les datas agricoles. Certes, dans les « living labs », les chercheurs sont à l’écoute des acteurs de terrain, ici les agriculteurs, mais ils exercent naturellement une forme d’influence sur les « acteurs » non-chercheurs, en l’occurrence les agriculteurs. De fait c’est très difficile de sortir d’une démarche verticale, du haut vers le bas… Et pourtant il faudra bien prendre en compte les réseaux sociaux ou non d’agriculteurs échangeant entre eux. Et à mon sens, une démarche d’influence, c’est le contraire du développement agricole tel que le concevait le patron l’Acta, le regretté Marc Hanrot, qui me disait : « Les agriculteurs nous voient nous autres personnels des Instituts Techniques, comme leurs employés ». Il ne s’agissait donc pas de convaincre mais d’examiner des problèmes et proposer des solutions souvent modestes « dans l’univers du possible à court terme ». Dans mon cas, qu’il s’agisse de services Minitel ou de micro-informatique, j’ai voulu d’abord comprendre puis informer, montrer des possibilités, mais pas influer… C’est à mon sens la manière respectueuse de faire du développement. C’est limitant, peut-être frustrant. C’est difficile de pondre ensuite un article pour un colloque ou une revue. Mais cela ne m’a pas empêché d’en écrire un certain nombre présentant pour l’essentiel des usages effectifs des technologies de l’information, pas ceux dont j’ai pu rêver. Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVOCAT (L') : C'est un oreiller appuyé sur un tiroir-caisse. Mark TWAIN Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Du côté de vitisphere.com : La promesse est dite, par Alexandre Abellan, le 08 avril 2022 Douze comme les apôtres, les candidats sont en lice pour le titre de président de la République française pour les cinq prochaines années. Et même s’il est discret, le vin fait partie de leur Cène avant le premier tour de ce dimanche 10 avril. Cinq candidats ont répondu aux questions de Vitisphere sur leur politique vitivinicole. Et tous évoquent un lien personnel avec les vins. Par ordre de réponse à Vitisphere, Valérie Pécresse évoque ainsi ses liens familiaux « au vin car mes beaux-parents sont viticulteurs dans le Sud-Ouest. Cela a fait de moi une consommatrice modérée mais une amatrice régulière ! » Nicolas Dupont-Aignan rappelle être le « fils d’un représentant en vin, ayant moi-même, lorsque j’étais étudiant, travaillé à la promotion des vins français à New-York », ce qui lui a enseigné « que le vin n’était pas seulement une boisson, mais aussi un élément de convivialité et de patrimoine, incarnant la France ». Pour Anne Hidalgo, le vin est lié à la Bourgogne, et au « souvenir d’une visite des Hospices de Beaune quand j’étais en CM2 » et aux vins de Cahors et des Côtes-du-Rhône « en souvenir de Lyon et de mon père ». Avec Yannick Jadot, pas de surprise : ce sont les vins nature qui ont sa préférence, avec le goût du contact : « je rends souvent visite aux vignerons, c’est aussi comme cela que s’établit une relation… ». Emmanuel Macron, indique avoir « toujours été très fier de porter cette excellence, ce rayonnement dont nous avons besoin. Je le fais en tant qu’amateur de vin et aussi en tant que chef d’Etat […]. Notre République n'existe pas sans ces terroirs. » Dans tous les camps ici représentés, pas de trace d’une quelconque volonté de dénormalisation hygiéniste comme chez certains à Bruxelles et à l’Institut National Contre le Cancer « Rendre hommage au produit des vignerons, c'est le déguster et l'apprécier, forcément avec modération. La filière porte ce message avec détermination depuis des années et le cadre législatif dont s'est dotée la France est exigeant » déclare Valérie Pécresse. « Je ne prône pas le "zéro alcool". Une politique de santé publique passe avant tout par la prise en compte des types d’usage » indique Anne Hidalgo. « Il n’y a pas d’opposition entre la promotion de la consommation de vin avec modération et la lutte farouche contre l’alcoolisme, en particulier chez les jeunes » pour Nicolas Dupont-Aignan. « La consommation de vin est un plaisir dont il faut user avec modération » indique Yannick Jadot, qui précise souhaiter un renforcement de la loi Évin, notamment sur les volets publicitaires. Pour Emmanuel Macron, « il faut avant tout travailler sur la prévention contre les consommations excessives et les consommations à risque, les femmes enceintes et les jeunes par exemple. Il ne s’agit pas d’aller vers le zéro alcool, mais bien de prévenir les excès et de mieux aider ceux qui sont dans la dépendance à en sortir ». .../... Voir vitisphere.com Harvesting the rye, 1905, by Carl Larsson(1853-1919 - Sweden)
Du côté de pleinchamp.com : Assurance climatique, après la solidarité nationale, place à la solidarité agricole Après avril 2021 et avril 2022, il n’y a aura pas d’avril 2023. Non parce que le gel ne frappera pas mais parce que le système de gestion des risques sera réformé, avec une bonne dose de solidarité nationale, mais qui n’opérera qu’avec une bonne dose de solidarité agricole. Bruxelles y croit. Au point de redouter une forme d’aléa moral. Un an exactement après ce que le ministre de l’Agriculture avait qualifié de « plus grosse catastrophe agronomique du XXIème », le gel s’est rappelé au mauvais souvenir des arboriculteurs et viticulteurs, voire ici ou là des céréaliers, sur une grande partie du territoire. Le quart Nord-Est sera de nouveau en alerte ce week-end. Dans un réflexe désormais pavlovien, le gouvernement a ressorti sa vieille caisse à outils : fonds d’urgence, calamités agricoles, exonération de charges sociales, dégrèvement de taxe foncière sur le non bâti. Sans oublier le rituel témoignage de solidarité du Premier ministre et de son ministre de l’Agriculture. L’an passé dans le Midi, cette année dans le Tarn-et-Garonne. >> Solidarité nationale... et agricole ? Ce sera la dernière fois. En avril 2023 (jamais deux sans trois pour les superstitieux), la loi relative à la gestion des risques climatiques, promulguée le 2 mars dernier, sera opérationnelle. Finies les calamités agricoles et autres cataplasmes (mais sans doute pas les visites de solidarité). Place, à partir du 1er janvier 2023, au régime universel de couverture des risques avec la nouvelle assurance multirisque climatique pour des pertes grosso modo comprises entre 20% et 50% (les seuils par cultures restent à définir) et la solidarité nationale au-delà. Qu’on se le dise : il n’y aura pas d’autre filet de sécurité. Le système ne fait pas l’unanimité au sein de la profession, perçu par certains comme une prime aux assureurs. Et pourtant, pour qu’il soit efficient, il supposera l’adhésion massive des agriculteurs pour générer un effet de mutualisation, l’essence de toute assurance. Après la solidarité nationale, la solidarité agricole opérera-t-elle ? >> La Commission européenne y croit L’avenir le dira. .../... Voir pleinchamp.com Du côté d'Auguste Derrière
Du côté d’André Heitz > Les quatre « M » de l'agriculture de précision > Vous avez dit « justice environnementale » ? Attention : oxymore ! > 100 millions de personnes affamées en plus > Pan sur les études nutritionnelles portant sur les aliments ultra-transformés ? > Ag day 2022 – Journée de l'agriculture 2022 : cultiver un climat pour demain > L'Allemagne devient le pilote fantôme de la politique agricole de l'UE La politique agricole de Bruxelles est en train de changer de cap en raison de la guerre en Ukraine. La souveraineté alimentaire est à nouveau une priorité. Seul le ministre allemand de l'Agriculture, Cem Özdemir, ne suit pas le mouvement. [L'article d'origine est daté du 8 avril 2022.] > Dans un monde de conflits, les agriculteurs collaborent pour produire davantage de nourriture > Point de vue : Il existe une solution à la pandémie dévastatrice de grippe aviaire – mais des groupes d'activistes anti-technologie et des réglementations obsolètes y font obstacle Du côté du ministère de l’Agriculture > Consommateurs, producteurs, territoires : tous concernés par la lutte contre le gaspillage alimentaire .../... Grâce au numérique, des applications facilitent les dons par les producteurs envers les personnes démunies, ainsi que les dons entre particuliers. En régions, de nombreux réseaux se mettent en place afin de limiter les pertes de nourriture. Enfin, le ministère en charge de l’Agriculture déploie une campagne de sensibilisation et propose des outils pour réduire au quotidien les gaspillages alimentaires. .../... > Financiarisation de la production agricole : une analyse des enjeux fonciers - Analyse n° 174 - 15/03/2022 La prise de contrôle de foncier agricole par des acteurs financiers suscite des controverses. Pour clarifier les enjeux associés à ce phénomène, le Centre d’études et de prospective a conduit une réflexion, associant plusieurs experts externes au ministère. Cette note présente les principaux enseignements de ce travail. .../... Cette étude de la financiarisation du foncier agricole, prenant en compte plusieurs pays, montre la complexité du phénomène, qui implique des investisseurs aux profils, motivations et stratégies variés. Si l’afflux de capitaux financiers permet de soutenir le développement agricole des territoires concernés, la performance économique des formes productives qui en résulte interroge et des limites sociales apparaissent : répartition parfois moins équitable de la valeur ajoutée, soutien limité au développement local, effets ambivalents sur l’emploi. Enfin, les conséquences environnementales, pour les pays ciblés, restent à affiner. La financiarisation est un phénomène dynamique, qui évolue dans le temps : après l’emballement de la période 2008-2015, un ralentissement s’est amorcé depuis, ainsi qu’une reconfiguration du phénomène. Il est possible que le contexte post-covid actuel, marqué par des tensions très fortes sur les matières premières, entraîne de nouvelles dynamiques. Néanmoins, la situation institutionnelle a évolué et le changement climatique risque de peser sur les rendements agricoles à moyen terme. Threshing, 1906, by Carl Larsson (1853-1919 - Sweden)
Du côté de la Fnsea > Agriculture, industrie : la Commission Européenne mélange tout ! La Commission Européenne a proposé hier une révision de la Directive IED sur les « émissions industrielles » en l’étendant à presque tous les élevages quelle que soit leur taille. Ainsi : - Un élevage bovin français de 100 vaches sur 120 hectares, nourri à 80% d’herbe et géré par un couple d’éleveurs, - Un élevage de 500 porcs alimentés par les céréales produites sur la ferme où travaille une éleveuse, - Un élevage de volailles avec 2 poulaillers de 1 200 m2 où travaillent l’éleveur et un salarié, seraient désormais assimilés, du fait de cette directive, à… des élevages « industriels » ! Cette « classification » aura pour conséquence d’imposer toujours plus de normes de charges et de contraintes bureaucratiques aux éleveurs. Ce faisant, la Commission pousse, de fait, à accroître la taille des élevages et met en danger les élevages les plus petits ! Incompréhensible ! D’où vient cette confusion ? D’une volonté de condamner l’élevage familial en France et en Europe ? D’une volonté d’importer de la viande, du lait, du porc ou des poulets de pays où l’élevage est vraiment industriel, avec des dizaines de milliers d’animaux ? C’est absurde ! Nous appelons à un retour à la raison et à la défense de notre modèle Français d’élevages à capitaux familiaux, modernisés, attentifs à l’environnement et performants. Il est garant d’une qualité reconnue et le fondement de notre souveraineté alimentaire ! Nous comptons sur le Parlement Européen et le Conseil de l’Union Européenne, appelés à se prononcer sur cette proposition de révision, pour revenir au bon sens et s’opposer.
> Distribution alimentaire : il n’y a qu’UNE réalité économique, l’ignorer est tout simplement irresponsable ! A nouveau réunis en comité de suivi des relations commerciales hebdomadaire, la FNSEA et Jeunes Agriculteurs en sortent abasourdis et en colère devant le comportement de certains distributeurs ! En effet, une semaine après la signature de la charte, certaines enseignes sont prêtes à bafouer son contenu sans aucun scrupule. Tandis que les hausses du prix des matières premières agricoles sur les marchés se poursuit dans toute l’Europe, la France serait le seul pays, où il faut attendre des semaines pour qu’une partie seulement de l’augmentation de ces charges soit répercutée dans la chaîne d’approvisionnement alimentaire ? Nous appelons tous les acteurs de la chaîne d’approvisionnement alimentaire à être responsables et à la hauteur de la mission qu’est la nôtre, à savoir nourrir nos concitoyens ! Les ministres l’ont rappelé : l’inflation alimentaire en France est deux fois inférieure à celle constatée dans le reste de l’Europe. Dans certains pays, elle atteint même 10 à 12 %, là où la répercussion des hausses de charges est plus réactive. En France, pendant très longtemps, nous avons assisté à des baisses de prix systématiques en magasins : selon l’institut IRI, entre 2013 et 2021, la baisse des prix alimentaires a été de 8 % (soit -1 % par an). Deux phénomènes changent littéralement la donne : la reprise économique post-Covid et depuis le 24 février la guerre en Ukraine. La responsabilité des acteurs de la chaine alimentaire est celle d’approvisionner les Français. Il est scandaleux que certains distributeurs veuillent détricoter des dispositifs de la loi EGalim 1 ou relancer des schémas promotionnels du passé ! Le nouveau contexte économique créé par la guerre en Ukraine impose une renégociation immédiate si l’on veut assurer la continuité des approvisionnements alimentaires. Celle-ci passe par une rémunération de chacun des maillons à sa juste valeur, à commencer par les producteurs, EGalim 2 le rappelle : toutes les hausses de coûts de production agricole sont sécurisées dans le prix jusqu’au bout de la chaîne. Il ne peut pas en être autrement, les chiffres sont là et se traduisent déjà dans les factures reçues par les agriculteurs. Mais la hausse des coûts des industriels (emballages, énergie, transport…) ne doit pas être oubliée. - La hausse de l’alimentation animale, tirée par la hausse des cours des céréales et des oléoprotéagineux, atteint + 45% (sur un an) ; - Les autres composantes des coûts de production agricoles augmentent très fortement aussi : engrais (+ 82 % sur un an), solutions azotées (+ 260 % sur un an), GNR (+ 83 % sur un an), électricité (+ 300 % sur un an), gaz (+ 80 % sur un an) etc… Ces hausses ne vont pas s’arrêter de sitôt : le retournement des marchés n’est pas à l’ordre du jour. Dans ces circonstances, quel cynisme de la part des distributeurs que d’exiger dès maintenant de revoir les prix à la baisse dans quelques mois ! Et que dire des distributeurs qui expliquent à la filière volailles qu’il faudra attendre plusieurs semaines pour conclure des hausses de tarifs : quel mépris, en pleine crise de l’influenza aviaire, à l’encontre des éleveurs dont la détresse psychologique est forte. Les réponses de certaines enseignes sont, par conséquent, en tous points irresponsables ! La FNSEA et JA alertent avec solennité sur la gravité de la situation : il en va de la pérennité de nos productions agricoles. La décapitalisation du cheptel bovin (lait et viande), la réduction de la production de volailles de chair, de foie gras, d’œufs liée à l’influenza aviaire, les aléas climatiques tels que le gel et l’inflation généralisée des intrants imposent la pure réalité économique : il faut payer les produits à leur juste valeur. Longtemps les distributeurs sont aller chercher des produits moins chers en dehors de nos frontières, ça ne peut plus être leur échappatoire ! C’est bien de notre souveraineté alimentaire et de notre production agricole qu’il faut pérenniser aujourd’hui ! Au moment où l’ONU annonce un ouragan de famine dans de très nombreux pays du monde, tous les acteurs de la chaine alimentaire doivent faire preuve de civisme et de responsabilité.
> Un taux réduit de TVA pour l’élevage et les activités équines : une étape franchie avec l’adoption de la Directive européenne ! Mardi 5 avril, les ministres européens en charge de l’économie et des finances ont adopté définitivement et à l’unanimité le texte permettant d’appliquer un taux réduit de TVA « aux équidés vivants et à la fourniture de services liés aux équidés vivants ». Ce vote concrétise l’accord politique du 7 décembre dernier, fruit de longues années de négociations menées, auprès des pouvoirs publics, par l’ensemble des acteurs de la filière cheval et en premier lieu la profession agricole, appuyée au niveau européen par le COPA. Une étape importante vient d’être franchie pour la filière du cheval. Il appartient désormais au gouvernement et aux parlementaires de transposer au plus vite cette directive en droit interne afin de répondre aux besoins urgents des entreprises du secteur équin. Cette mesure, qui répond à l’une des propositions formulées par la profession dans le cadre des présidentielles, est une avancée importante pour préserver la compétitivité de nos entreprises mises à mal par la crise Covid et à nouveau fragilisées par les conséquences de la guerre en Ukraine sur l’économie et les ménages. Elle émet aussi un signal fort en direction des jeunes, encourageant pour le renouvellement des générations en agriculture. La FNSEA, JA, la FNC et le GHN saluent cette nouvelle avancée vers un retour à une TVA permettant aux entreprises de la filière de rebondir malgré un contexte toujours difficile. A la veille des élections présidentielles, puis du renouvellement de l’Assemblée nationale, la profession demande aux candidats de faire de la mise en œuvre de cette mesure l’une des priorités des 100 premiers jours qui suivront l’élection du Président de la République, en l’inscrivant dans une loi de finances qui devra être portée rapidement devant le Parlement. Du côté d'Auguste Derrière
> La FNSEA rappelle l’importance du maillage territorial des entreprises d’équarrissagev Les nombreuses crises sanitaires qui traversent et fragilisent l’élevage français ont souligné l’importance du maintien de service d’équarrissage de proximité. La crise sans précédent d’influenza aviaire qui touche la filière volaille le démontre encore. En effet, la propagation virulente d’une maladie peut rapidement saturer les capacités d’abattage et d’équarrissage d’un territoire, alors qu’elles jouent un rôle clé dans la jugulation de la maladie. Pourtant, dans ce contexte sanitaire, des usines d’équarrissage créées par la profession agricole sont mises en difficulté alors même qu’elles constituent un outil indispensable au service des éleveurs et de l’économie des territoires. C’est, tout récemment, le cas de SOPA, créée dans le Cantal il y a plus de 40 ans par la profession agricole. La décision de lui retirer son principal marché de collecte remet en cause la continuité des services auprès du monde agricole et des collectivités ; elle met également en danger l’avenir de l’entreprise, des 40 emplois associés et de dizaines d’emplois indirects chez les sous-traitants et les laboratoires d’analyse. La FNSEA appelle, au maintien d’entreprises d’équarrissage réparties sur l’ensemble des territoires, qu’ils soient à forte densité comme à faible densité, en plaine ou en zone de montagne. La profession agricole a besoin de ce maillage pour éviter des déplacements trop importants d’animaux morts et ainsi gérer le plus efficacement possible ces événements. A cela s’ajoute l’enjeu majeur du développement économique des territoires dont dépend leur vitalité. Enfin, pour la FNSEA, il est fondamental de ne pas mettre en difficulté les outils créés par la profession agricole, surtout dans une période particulièrement compliquée pour le monde de l’élevage. The potato harvest, 1905, by Carl Larsson (1853-1919 - Sweden)
Pour vivre heureux, payons des impôts, la preuve par le Danemark et la France
Pour une faible espérance de vue, les Américains ont des dépenses de santé énormes
Les dépenses de santé des français sont encore raisonnables
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVOCAT (L') : Sa salade est plus facile à digérer qu'une facture d'avocat. Trouvé sur "La Toile". Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Humour soviétique au 21ème siècle > Humour russe 1 Moscou a proposé à Kiev d’organiser une rencontre entre Poutine et Zelensky. Selon des sources non officielles, les travaux pour la construction de la table ont déjà commencé. > Humour russe 2 Poutine est en enfer. Au cours d’une permission sur Terre, il se rend dans un bar à Moscou, commande une vodka et s’enquiert avec insistance si la Crimée, le Donbass, Kiev et toute l’Ukraine sont toujours « à nous ». Rassuré par les réponses affirmatives du barman, il demande l’addition. - Cinq euros, lui répond le serveur. > Humour russe 3 Afin de se mettre en conformité avec les exigences de Roskomnadzor [le gendarme russe des communications], le livre de Léon Tolstoï Guerre et Paix a été renommé : Opération spéciale et haute trahison. > Humour russe 4 Voici donc Poutine chez un coiffeur qui n’arrête pas de l’interroger sur l’Ukraine pendant qu’il lui coupe les cheveux. Agacé, le dirigeant russe finit par lui demander pourquoi tant de questions sur le sujet. Le coiffeur : - C’est plus pratique pour moi de travailler quand vos cheveux se dressent. > Humour russe 5 Rapportée d’Izmaïl, dans la région d’Odessa, cette histoire conte une conversation entre Dieu et Jésus, bien décidés à prendre des vacances. Jésus choisit en premier d’aller en Israël. Dieu prend le temps de la réflexion avant de lâcher : - Je vais aller en Russie. Devant le silence interloqué, Il explique ne « jamais avoir été là-bas ». La Russie, une terre oubliée de Dieu. > Humour tchèque Histoire de deux Tchèques discutant après l’invasion de leur pays [en 1968]. Le premier : - Pourquoi les Russes sont ici ? Le second répond : - Parce qu’on les a appelés. Le premier : - Jusqu’à quand ? Le second : - Jusqu’à ce que l’on retrouve ceux qui les ont appelés. Voir lemonde.fr Les pays en développement ont les inégalités sociales les plus fortes
Pensée du jour Un homme qui boit rêve toujours d'un homme qui écoute. Kamel DAOUD Autre pensée du jour Le seul verset du Coran qui résonne en moi est bien celui-ci : «Si vous tuez une seule âme, c'est comme si vous aviez tué l'humanité entière. Kamel DAOUD Et une dernière de Raymond Aron La démocratie n'est pas le règne du bonheur, c'est l'organisation du mécontentement... Guillaume ERNER, France Culture, 8 avril 2022 Voir franceculture.fr Ma remarque : notre peuple appelé aux urnes en ce mois d’avril, est un des plus riches du monde, où l'on vit en bonne santé très longtemps, où nous travaillons moins que beaucoup d’autres, où nous sommes relativement souvent en vacances par rapport à beaucoup d’autres, où l'éducation et la santé sont en très grande partie gratuites... Le mécontentement, une facilité, qui évite de réfléchir ou d’agir concrètement pour que les choses se passent mieux ? En France des revenus relativement élevés et des prestations sociales considérables
L'essence coûte de plus en plus cher mais la situation n'est plus la même qu’il y a ne serait-ce que 3 ans, avec les engins électriques du vélo électrique à la Citroën Ami électrique (par exemple) >>> Ami-100% électric à 20 € par mois L’Ami est biplace et 100% électrique, animée par un moteur avant de 8ch. Il s’agit d’un véhicule aux équipements rudimentaires doté de peu d’éléments de carrosserie différents (les boucliers avant et arrière sont identiques, comme les portières par exemple), ce qui lui permet d’être affiché au prix de 6.900€, hors bonus écologique de 900€. Voir citroen.fr Emmanuel Macron grand vainqueur du vote agricole (sondage pour le 1er tour) Dans six jours, le corps électoral français est amené à élire le ou la 11e président(e) de la Ve République. Pour ce scrutin, 12 candidats sont en lice. L’âge moyen des candidats est de 53 ans, le plus jeune étant Emmanuel Macron (45 ans) et le plus âgé Jean-Luc Mélenchon (70 ans). Certains sont aguerris, puisqu’il s’agira de leur troisième candidature : Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen, Nathalie Arthaud, Philippe Poutou et Nicolas Dupont-Aignan. D’autres tentent de briguer le Graal pour la 2e fois: Jean Lasalle et le président sortant Emmanuel Macron. Enfin, il y a tous les "petits novices" qui s’essaient à l’exercice: Valérie Pécresse, Éric Zemmour, Yannick Jadot, Anne Hidalgo et Fabien Roussel. Cela ne signifie toutefois pas qu’ils soient novices en politique, bien au contraire, exception faite évidemment d’Éric Zemmour. Le 29 mars dernier, la FNSEA a publié les résultats d’un sondage en prévision de l’élection présidentielle, commandité à l’Ifop. Il a été réalisé auprès de 1.500 agriculteurs entre le 17 et le 21 mars 2022. Les agriculteurs y expriment leur intention de vote et leurs attentes. Il ressort qu’au premier tour des élections, 30% des agriculteurs voteraient pour Emmanuel Macron et 13% pour Valérie Pécresse. Ils seraient suivis par Éric Zemmour à 12% et Marine Le Pen à 11%. Voir cultivar.fr Le lavage de cerveau des électeurs français avant la présidentielle passe maintenant par WhatsApp Les actions de propagande anti-démocratique russes qui pullulaient déjà̀ sur Twitter et Facebook s'ouvrent à WhatsApp. Et interrogent sur la volonté́ des démocraties à stopper la projection de pouvoir des États totalitaires via Internet. Voir journaldunet.com Comparez les programmes agricoles d’Emmanuel Macron et de Marine Le Pen Actant la fin des partis traditionnels, les Français ont choisi un duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle. Si la configuration rappelle celle de 2017, les priorités agricoles des candidats ont évolué, marquées par la crise sanitaire et la guerre en Ukraine. Ainsi, la candidate du Rassemblement national ne défend plus ouvertement une renationalisation de la Pac, et a davantage mis en avant la protection animale lors de sa campagne. Le président sortant promet, quant à lui, l’application des réformes mises en œuvre au cours de son quinquennat, et prévoit une loi d’orientation et d’avenir pour assurer le renouvellement des générations. Voir agri-mutuel.com Yara et Saipol alliés pour promouvoir la filière colza bas carbone en France TNCle 11/04/2022 à 14:45 Yara France et Saipol ont signé « un contrat de collaboration triennal afin de soutenir les producteurs de colza s'engageant dans des modes de production plus durables ». Voir agri-mutuel.com Nos catastrophiques importations de gaz russe
Le Giec appelle à des mesures radicales et immédiates pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C Selon le nouveau rapport du Giec, des réductions massives des émissions de carbone combinées à une élimination du carbone déjà présent dans l’atmosphère sont le seul espoir d’éviter un réchauffement catastrophique. Nous ne parviendrons probablement pas à limiter le réchauffement du climat à 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels – au moins temporairement –, mais une action massive pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et éliminer le carbone de l’atmosphère pourrait limiter cette augmentation et ramener par la suite les températures à la normale : telles sont les conclusions du dernier rapport du Giec (le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat des Nations unies), rendu public lundi 4 avril. Cependant, ce rapport indique clairement que la fenêtre est en train de se refermer rapidement, et avec elle la possibilité d’empêcher les impacts les plus délétères du réchauffement climatique. Au-dessus du seuil de 1,5 °C adopté par l’accord de Paris sur le climat en 2015, les risques d’événements météorologiques extrêmes et d’effondrement des écosystèmes augmentent en effet drastiquement. - « Le rapport du Giec nous dit que nous avons les connaissances et les technologies pour y parvenir », a déclaré Inger Andersen, directrice exécutive du programme des Nations unies pour l’environnement, lors de la présentation du rapport à la presse. « Mais une action plus soutenue doit commencer, non pas l’année prochaine, ni le mois prochain, ni demain, mais dès aujourd’hui. » Voir pourlascience.fr Signalé par Paul JAMET Mél : paul.jamet(a)free.fr Ma remarque (GW) : Il me semble que le GIEC, pour la première fois, suggère des solutions concrètes. Il était temps ! Voir francetvinfo.fr Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) AVOCAT (L') : Ses mains sont toujours dans la poche de quelqu'un. Proverbe indien Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A first thought for today This habit of forming opinions, and acting upon them without evidence, is one of the most immoral habits of the mind. ... As our opinions are the fathers of our actions, to be indifferent about the evidence of our opinions is to be indifferent about the consequences of our actions. James MILL, philosopher (1773-1836) A second thought for today I do not want art for a few, any more than education for a few, or freedom for a few. William MORRIS, poet and novelist (1834-1896) A third thought for today A scholar is just a library's way of making another library. Daniel DENNETT, philosopher, writer, and professor (1942 -) Ag Day 2022: Growing A Climate for Tomorrow This year the theme of Ag Day is “growing a climate for tomorrow.” It’s an incredible opportunity to brag about agricultural production in the U.S. Why? Because modern agriculture is a leader in sustainability! Here’s the proof: Beef. U.S. beef producers have reduced GHG emissions per pound of beef by more than 40%, while also producing more than 66% more beef per animal since 1961. GMOs. Adoption of genetically modified crops has reduced chemical pesticide use by 37%, while increasing yields by 22%. Soybeans. Over the past 25 years, soy growers have decreased energy use per tonne of soybeans by 46%. Dairy. From 2007 to 2017, U.S. milk production used 30% less water, 21% less land, and had a 19% smaller carbon footprint. Corn. Between 1980 and 2015, corn growers reduced soil erosion by 58%, energy use by 41%, and GHG emissions by 31% Eggs. From 1960 thru 2010, egg production in the U.S. lowered its GHG emissions by 71%!! Today’s hens produce 27% more eggs and live longer than ever. Wheat. Farmers have improved soil conservation by over 30% from 1980 to 2015. Almonds. U.S. almonds are grown with 33% less water than 20 years ago. U.S. agriculture is sustainable agriculture. See thefarmersdaughterusa.com Harrowing the field, by Carl Larsson (1853-1919 - Sweden)
ARS Unveils New Disease Resistant Honeysweet Plum Plum pox virus is a devastating disease that infects stone fruit trees. Eradicating the virus is costly because infected trees need to be identified and destroyed and all trees in a 500-meter area around the infected tree are also destroyed to prevent virus spread. ARS researchers have used RNAi technology to create a plum variety that’s resistant to the devastating disease. See tellus.ars.usda.gov Air pollution The WHO recently released a statement claiming that 99% of the world's population breathes unhealthy air. Air pollution is a serious threat to public health, but we need to put such claims in context. As this chart from Our World in Data demonstrates, the air in developed countries is pristine compared to the past, and air pollution in developing countries is not unprecedented.
Ultra-processed foods: how functional is the NOVA system? by Véronique Braesco, Isabelle Souchon, Patrick Sauvant, Typhaine Haurogné, Matthieu Maillot, Catherine Féart & Nicole Darmon Overall, our results suggest improvements should be made to the NOVA classification system to enhance assignment consistency. Indeed, we observed that a large percentage of the food assignments were discordant, regardless of whether ingredient information was provided. This finding raises questions about how functional NOVA is in its current form. It should also spur reflection on the reliability of conclusions from epidemiological studies that use NOVA as well as on NOVA’s ability to guide public health policy or provide useful information to consumers. While the concept of ultra-processed foods has certainly entered the consumer consciousness, our results indicate that NOVA criteria do not currently allow foods to be unequivocally defined as ultra-processed. Braesco, V., Souchon, I., Sauvant, P. et al. Ultra-processed foods: how functional is the NOVA system?. Eur J Clin Nutr (2022). Voir doi.org See nature.com See European Journal of Clinical Nutrition Jewish dispute, like the French ones A synagogue is having an ongoing dispute that started small, but is now getting completely out of hand. It’s over whether you sit or stand during the Shema. The argument is incredibly bitter. There are people who are not talking to each other. There are people who are threatening to leave the synagogue unless they get their way. Family relationships have been destroyed. The rabbi doesn’t know what to do, so he finds out that one of the founders of the synagogue, old Mr. Bernstein, is still alive in the Hebrew Home. He sits on the porch in a wheelchair when the delegations for each viewpoint pay a call. Before the rabbi can complete his opening spiel, one of the partisans bursts forth: “Mr. Bernstein, Mr. Bernstein, isn’t it the tradition in our synagogue that you stand during the Shema, so as to show your respect to God?” After a couple of seconds pass, he just shakes his head slightly and says “No.” So an advocate from the other side says: “So, isn’t the tradition in our synagogue that we always sit to show our humility before God?” Mr. Bernstein shakes his head and again says “No.” The rabbi and the rest of the delegation look at each other. Finally the rabbi says, “Mr. Bernstein, that can’t be right. It has to be one or the other because the synagogue is tearing itself apart. There are people who hate each other and families that aren’t speaking to each other and we’ve practically got fist fights in the parking lot. We’re just constantly at each other’s throats.” And old Mr. Bernstein smiles, nods and says, “That’s the tradition!” Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone d’informatique agricole (Afia) Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique agricole" est réalisée avec le concours de Vitisphere Ma « nouvelle » adresse : guy.waksman(a)laposte.net Adhérez (enfin facilement !) à l’Afia (adhésion individuelle ou adhésion d’organisme) Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970 Vous êtes plus de 15 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage personnel et les besoins de votre entreprise. Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue, merci de faire directement l'inscription en allant sur le formulaire suivant Et si vous souhaitez contribuer à la rédaction de cette gazette hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande à Guy Waksman. Adresse mél : guy.waksman(a)laposte.net |
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