Pour être sûr de recevoir cette gazette, abonnez-vous au fil RSS comme indiqué... Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture où règne une intéressante pluralité de points de vue ! Une ressource trop méconnue. Voir academie-agriculture.fr La chaine youtube.com de l’Académie d’Agriculture Aujourd’hui 1680 abonnés à la chaîne, plus de 2900 vues de la séance « L’agriculture de conservation des sols » et plus de 3100 pour la première partie du colloque « Une seule santé : les microbes et l’antibiorésistance ». À l'heure où "la sur-médiatisation l'emporte souvent sur la raison" et où "les tribuns autoproclamés experts empêchent les vrais experts souvent mauvais tribuns de s'exprimer", notre compagnie riche de plus de 250 années de SAVOIR RECONNU, se devait d'avoir sa chaîne YouTube pour ÉCLAIRER le plus grand nombre, et en particulier les jeunes, en diffusant par vidéo sa RÉFLEXION sur le progrès dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement ainsi que ses EXPLICATIONS sur les enjeux techniques, économiques, sociaux et environnementaux dans ces domaines. Nous espérons que le nombre de vos visionnages de nos vidéos de diffusion d'un SAVOIR CRÉDIBLE attesteront que notre chaîne Académie d'Agriculture de France a atteint son objectif ! Voir la chaine youtube.com de l’Académie d’agriculture Before computing
Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France Enrichi de documents originaux récents...: - 195 fiches " Question sur... " - 106 fiches " Bois-Forêt " - 57 fiches " Repères " - 23 " Vidéos " L'ensemble de ces 381 documents a été établi grâce aux contributions de 132 membres de la Compagnie et de 40 experts extérieurs. Voir bibliotheque.academie-agriculture.fr (moteur de recherche) Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture l’alimentation et l’environnement. Voir academie-agriculture.fr (présentation du fond) Contact : André FOUGEROUX Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com
La sauvagerie et la folie furieuse de Poutine à Dnipro Qu'en pensent les amis de Poutine à l'extrême droite comme à l'extrême gauche ?
Opinion très personnelle (GW) : pourquoi M. Macron tient-il tellement à la réforme des systèmes de retraite ? M. Macron avait présenté lors de son premier quinquennat un excellent système de retraite (unifié, équitable), qui n’a pas reçu un bon accueil. C’est bien dommage à mon avis. Maintenant, la réforme proposée est « a minima » et dans la lignée des précédentes réformes, la dernière datant du quinquennat de M. Hollande. La réforme d’aujourd’hui n’a rien d’ambitieux, mais elle se fera, quoiqu’en pensent les protestataires, parce qu’à mon avis – mais je peux me tromper, cela m'arrive souvent ! – M. Macron, qui ne peut être candidat à la prochaine élection présidentielle, souhaite seulement rendre un petit service à ses successeurs dont on estime qu’ils pourront attendre 2030 pour entreprendre la prochaine réforme, au vu de l’allongement de la durée de vie des français. Humour épais, mais je dédaigne pas...
Sur sa page Facebook, Jean-Paul Pelras, pour lequel j'ai de l'estime par ailleurs, indique... Je propose aux retraités qui soutiennent la réforme de se remettre au boulot pendant 2 ans. Vu sous cet angle...! Ma réponse : je n'ai rien contre si on me promet que j'aurai au moins cinq ans d'espérance de vie en plus, ces cinq années correspondant à l’augmentation de l'espérance de vie de nos compatriotes ayant 20 années de moins que moi !
Dans les années 50 en France, on dénombrait 5 actifs pour un retraité. En 2010, ce ratio était de 3.5. Il sera égal à 2 à partir de 2040 Ce qui signifie que les charges sociales seront insoutenables et que nos entreprises accablées par les charges ne résisteront pas à la concurrence... C’est la préférence pour le chômage des jeunes notamment.
Les régimes publics de retraite sont de plus en plus couteux En France, les dépenses publiques consacrées à la retraite atteignent 13% du PIB en 2007. Elles seront de 14% en 2060. C’est au-dessus de la moyenne des pays de l’Union européenne.
Avec une sortie du marché du travail plus précoce et une espérance de vie plus élevée …les français sont ceux qui passent le plus d’années à la retraite : 28 années pour les femmes, 24 années pour les hommes
Pourcentage des séniors (50-64 ans) en emploi, en 2008 et 1998 : le vrai problème ! En France, seul un peu plus d’un sénior sur deux travaille, c’est moins que la moyenne des pays européens.
Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour l'avenir de la vigne > Feuilleter ce beau livre > Acheter le livre Macron : une réforme des retraites nécessaire, par Alain Rebetez, 10.01.2023, Tribune de Genève Grâce à l’appui de la droite, le gouvernement Borne est presque certain de pouvoir faire voter le passage de l’âge de la retraite de 62 à 64 ans. Reste à convaincre les Français. Autant le dire clairement : vu de Suisse, la réforme des retraites portée par le gouvernement d’Élisabeth Borne pour retarder l’âge légal de 62 à 64 ans semble raisonnable et relativement équilibrée. Il ne s’agit pas de peindre le diable sur la muraille, car le système français par répartition n’est pas au bord de la faillite, mais cette réforme est nécessaire pour en garantir la solidité à long terme. Sinon, tous les scénarios du Conseil d’orientation des retraites indiquent un déficit croissant sur plusieurs dizaines d’années, à moins d’un financement supplémentaire par l’État ou d’une augmentation des cotisations patronales et salariales. Autrement dit : plus de dette publique, ou moins de compétitivité et de pouvoir d’achat. Ceux qui prétendent la réforme inutile négligent d’en dire le prix. Pour eux, quelques centaines de milliards d’euros supplémentaires face à la dette actuelle (2956 milliards à la mi-décembre) ne sont pas un problème. Paradoxalement, Emmanuel Macron n’aura pas d’obstacle rédhibitoire au parlement pour la plus emblématique des réformes de son quinquennat. Grâce à l’appui des Républicains, lui et sa première ministre sont pratiquement assurés de pouvoir faire voter leur projet sans avoir recours au passage en force du 49.3. Le véritable obstacle, ce sera la rue. La gauche et les syndicats annoncent une opposition résolue et tablent sur une mobilisation massive. Ils se fondent sur des sondages qui indiquent un refus de 80% des Français pour un report de l’âge à 64 ou 65 ans. La réforme est impopulaire, c’est certain. Mais l’est-elle au point de faire manifester des millions de gens ? C’est beaucoup moins sûr. Pour le président Macron, tout l’enjeu de son pari politique tient dans cette distinction. Voir tdg.ch Le Roi de la forêt, 1878, par Rosa Bonheur (1822-1899)
Sur Christian Bobin (le poète de la dernière gazette) Christian Bobin est mort le 23 novembre dernier à 71 ans. Il vivait retiré, près du Creusot, avec son épouse, la poétesse Lydie Dattas. Christian Bobin était une des grandes voix de la poésie catholique contemporaine... Contact : Maurice GUÉGUEN maugueg2(a)gmail.com Lewis Caroll Tout le monde connaît Lewis Carroll et « Alice au pays des merveilles ». Il était gaucher et bègue : il paraît que cela a influencé son œuvre, notamment dans l’usage de mots-valise, de mots inventés, comportant plusieurs sens. Par principe, je me méfie des traductions : comment être certain du respect de l’original ? Mais dans ce cas précis, le traducteur mérite des félicitations ! Jugez vous-mêmes !
Fossil fuel subsidies: If we want to reduce greenhouse gas emissions we should not pay people to burn fossil fuels Instead of making fossil fuels more expensive, many governments do the opposite — they subsidize them, often to a very high degree. In many countries subsidies are higher than $100 per person per year. It’s understandable that governments care about providing affordable energy. Having access to reliable energy is very important to people. But if these subsidies support the consumption of fossil fuels, they come with very large downsides — air pollution and accelerated climate change. In this article, we discuss why repealing these subsidies is not easy, but it is possible. And the world is slowly making progress.
Nos enfants ne sont pas préparés à l’avenir ! In Journal du Dimanche - 20 novembre 2022, par Marc-André Selosse et Gilles Bœuf …/… Actuellement, l’école primaire n’offre que deux heures hebdomadaires de sciences, pas toujours effectuées. Les professeurs des écoles, y compris ceux en formation actuellement, sont peu préparés à enseigner le vivant. Il faut les aider en s’appuyant sur ceux qui ont une formation en biologie, ou grâce à des volontaires venus du secondaire. Un programme pédagogique ambitieux doit expliquer à nos enfants leur environnement et le vivant dès le primaire. Dans le secondaire, les Sciences de la vie et de la Terre (SVT) portent cet enseignement : mais leurs horaires, inférieurs à ceux de la Physique-Chimie ou de l’Histoire-Géographie qui sont aussi importantes, restent dérisoires. Dans sa scolarité, un élève reçoit 680 h de mathématiques, 306 h de physique-chimie et 270 h de SVT… une matière qui disparait comme telle en Première et en Terminale. L’appropriation des méthodes propres aux SVT reste donc trop limitée : observation, démarche expérimentale, décision dans des systèmes complexes et incertains… Cela prépare pourtant les choix de consommation et de santé ! Le secondaire ne parle pas assez de la vie et de l’environnement, alors que nous sommes tous vivants et environnés, quel que soit notre métier. …/… Voir academie-agriculture.fr
Excess fertilizer use: Which countries cause environmental damage by overapplying fertilizers? Fertilizers have transformed the way the world produces food. They have not only brought large benefits for food security, but they also bring environmental benefits through higher yields, and therefore less land use. But there can be a downside when we overapply fertilizers. No matter whether they are natural fertilizers (such as manure) or synthetic ones, excess nutrients are washed off and pollute the natural environment. Nitrogen and phosphorus are the two main fertilizers that farmers add to their fields. In this article, we present research showing that nearly two-thirds of the nitrogen we use on our crops becomes a pollutant, and more than half of the phosphorus we use does. Countries generate vastly different amounts of pollution through their agricultural practices. Some countries produce almost none, while others produce hundreds of kilograms per hectare of cropland.
Transition ! écologique, énergétique, climatique… que cache ce terme ? Transition ! Transition ! Transition ! Que cache ce terme, véritable sésame de toute action de com’ et de lobbying Voir agriculture-environnement.fr Nucléaire, agriculture : même logique de sabordage, mêmes conséquences, par GRW Sabordage de notre filière nucléaire et maintenant de notre filière agroalimentaire. On n’a pas fini de voir les conséquences de l’application du programme de décroissance de l’écologique politique. Voir agriculture-environnement.fr Néonicotinoïdes : L’ultime dérogation ? Par GRW, 4 janvier 2023 Lors de l’assemblée générale de la CGB (Confédération générale des planteurs de betteraves) qui s’est tenue à Paris le 8 décembre, son président Franck Sander a interpellé le ministre Marc Fesneau sur l’impérieuse nécessité d’obtenir, pour la troisième année consécutive, une nouvelle dérogation sur les néonicotinoïdes afin de pouvoir protéger les cultures de betteraves contre les pucerons. « J’exprime ici ma confiance dans le Conseil de surveillance et nos ministres pour qu’elle soit accordée », a-t-il souligné. …/… Voir agriculture-environnement.fr
Où vont les céréales de l'Ukraine ? Cinq pays en achètent les 60 pour cent
"2041 L'odyssée paysanne" avec Jean-Marie Seronie Voir bfmtv.comv Récolte de carottes Voir vidéo Récolte de prunes, d'oranges, citrons… Voir vidéo Le Marché aux chevaux (1853), par Rosa Bonheur (1822-1899), New York, Metropolitan Museum of Art
Du côté de l'Association Française pour l'Information Scientifique: Sciences et Pseudo-Sciences n°342 (octobre 2022) >>> Dossier Le nucléaire et la guerre Le nucléaire et la guerre Dossier coordonné par François-Marie Bréon et Jean-Paul Krivine Conséquences climatiques d’une guerre nucléaire par François-Marie Bréon Conséquences des bombardements à Hiroshima et Nagasaki sur les survivants et leur descendance par Bertrand Jordan Les effets d’une bombe nucléaire par Jean-Jacques Ingremeau Conséquences sanitaires des essais nucléaires français en Polynésie par François-Marie Bréon La sûreté des installations nucléaires en période de guerre par Emmanuel Raimond >>> Dossier La consommation d’alcool La consommation d’alcool : entre santé publique, réglementation et culture par Jean-Paul Krivine Le « binge drinking », nouvelle forme d’alcoolisation chez les jeunes La consommation d’alcool en France par Catherine Hill EXPERTISE COLLECTIVE INSERM : Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool Les politiques publiques de lutte contre l’abus d’alcool par Miléna Spach Le « French Paradox » par Jean-Paul Krivine  Pour se désabonner de cette gazette si vous la recevez par erreur… Si ce lien ne fonctionne pas, merci de s'adresser à moi : guy.waksman(a)laposte.net S'abonner à la gazette de l'Afia (un lien à transmettre à vos amis !) S'abonner à la gazette Efita en anglais (un autre lien à transmettre à vos amis) Lire une des dernières gazettes Efita en anglais Suivre l’Afia sur Facebook Groupe LinkedIn Afia
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) DONNER : Donner aux uns, ça veut dire prendre aux autres. Georges WOLINSKI Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Du côté des gazettes afia et efita >>> Statistiques de l’édition du 06 janvier 2023 de cette gazette afia >>> Last issue of the Efita Newsletter nb 1062 dated January 16, 2023 >>> Last available statistics for the efita newsletter Étude de lionne, par Rosa Bonheur (1822-1899), musée d'Art et d'Histoire de Langres
Agroptima opens a new stage within the Isagri group Entrepreneurship in the agricultural sector is a rarity in Catalonia and the case of Agroptima is one of the few success stories of the local ecosystem. The startup, which develops software to manage farms, has just been acquired by the French group Isagri, one of the major competitors in the sector, which has a turnover of 283 million euros and employs 2,500 people worldwide. The acquisition has been closed through the Isagri subsidiary in Spain for a price that both companies prefer not to share. Together, his business has a turnover of 5 million in this country. Emilia Vila, co-founder of the business together with Anisia Tardà and Ferran Gascón, explains that Agroptima will maintain the brand as well as the entire team, made up of 28 workers. Vila y Gascón will assume new positions of responsibility: the direction of vegetable production, in the first case, and the technical direction, in the second. The company will be directed by Emilie Maigre, the current general director of the Spanish subsidiary. With this operation, Agroptima opens a new stage within one of the large multinationals in the sector. The startup was founded in 2014 in Sant Feliu de Codines and since then, it has had sustained growth in the market. Currently, it has 2,700 clients spread across Spain, France, Central and South America. It sells its software to companies that operate agricultural, livestock and wine-producing farms. “Through our technology, we help our customers increase efficiency, profitability and sustainability. We also respond to the growing legal and technical obligations of its activity”, explains the co-founder of the business, which demands a fee for the use of technology. With this model, Agroptima invoiced around 930,000 euros and recorded losses of around 200,000 euros, according to data from the Mercantile Registry. Throughout its eight years of life, the company has financed its growth through its own resources and also venture capital. It has raised more than 2.5 million euros, from funds such as Athos Capital, Maxfield Capital and Esade Ban, the network of private investors from the Esade business school. It has also given entry to other reference investors such as Carlos Blanco, who after selling his small part of the capital values the investment positively. “In the agricultural sector, the return takes longer to arrive because the growth of startups is slower than the average in the digital sector. In the case of Agroptima, the wait has been worth it because the startup has proven to add value to the market”, concludes Blanco. See usanews.net Portrait du Colonel William F. Cody (Buffalo Bill), 1889, par Rosa Bonheur (1822-1899)
Los dos líderes en software para la agricultura en España se unen para acelerar la digitalización del sector agrícola El grupo ISAGRI, líder europeo en programas informáticos para la agricultura ha adquirido Agroptima, startup Barcelonesa líder en software de gestión de fincas agrícolas, para responder a los retos futuros del sector. La fusión de Agroptima con Isagri España permitirá ofrecer la gama más completa del mercado de soluciones y tecnologías para la digitalización agrícola, ganadera y vitivinícola. De esta forma, respondemos a las crecientes obligaciones legales y a las necesidades de las explotaciones cada vez más tecnificadas en nuestro país. La alianza permitirá a su vez acelerar la expansión a América Latina. Las dos empresas comparten valores comunes de servicio al cliente y unen, desde este momento, sus capacidades y competencias. Emilie Maigre seguirá dirigiendo ISAGRI España, Emilia Vila asume la dirección de la actividad de producción vegetal y Ferran Gascon, la dirección técnica. Agroptima se fundó en 2014 por Emilia Vila, Ferran Gascon y Anisia Tardà, con el objetivo de hacer las explotaciones agrícolas más eficientes, rentables y sostenibles. En la actualidad cuenta con 28 empleados y tiene 2700 clientes repartidos en España, Francia, América Central y del Sur. Isagri ofrece en España una gama completa de soluciones de gestión para responder a los principales retos de los agricultores, bodegas y ganaderos. Con esta fusión Isagri S.L. y Agroptima S.L., conjuntamente, llegarán a más de 6000 clientes en España con un equipo de 70 personas y una facturación consolidada de 5 millones de euros. Sobre Groupe ISAGRI: una historia de éxito Creado en Beauvais en 1983 por Jean-Marie Savalle, su director general, el Grupo ISAGRI revolucionó muy rápidamente el mercado agrícola francés al hacer que la informática de gestión fuera accesible al mayor número de profesionales agrícolas posible. Cifras claves del Grupo ISAGRI: ✔ Cifra de negocio: 283 M€ ✔ 2.500 trabajadores, de los cuales, 180 en 12 países: España, Alemania, Bélgica, Canadá, China, Italia, País Bajos, Polonia, Portugal, Rumania, Reino Unido y Suiza. ✔ 9o desarrollador informático francés en 2022 (Truffle 100) El grupo es líder en servicios digitales en Europa con AGIRIS-EIC, AGIRIS Entreprises, AKANEA, BATAPPLI, CECURITY, CENTRALGEST, HEXANET-SOLUCEO, IRIUM, ISAGRI, KERHIS, LANDMARK SYSTEMS; y tiene clientes en 5 continentes, a través de sus 12 filiales en Europa, América y Asia. Grupo ISAGRI dispone de una oferta global de servicios independientes y complementarios: ✔ Sistemas de información y soluciones de gestión dedicados: agricultores, viticultores, cooperativas, industrias agroalimentarias y comercializadoras, empresas de transporte y logística, alquiler, venta, mantenimiento de equipos y vehículos. ✔ Software de gestión para contables y sus clientes, en particular, para el sector de la construcción. ✔ Software de archivo electrónico, caja fuerte digital, plataforma de documentos desmaterializados para el sector agropecuario, no agropecuario y asesores contables. ✔ Telecom, telefonía, hosting, outsourcing y transición a infraestructuras digitales de las organizaciones. ✔ Marketing y estudios técnicos ✔ Información, apoyo, ferias y eventos profesionales. El Grupo ISAGRI siempre ha puesto la relación con el cliente y la innovación en el centro de su desarrollo y crea 150 puestos de trabajo al año. El Grupo ISAGRI aspira a convertirse en 2023 en el líder mundial en agricultura digital, líder europeo en soluciones de gestión empresarial vertical y líder francés en software para la gestión contable. Ver : contacto.isagri.es Labourage nivernais, dit aussi Le Sombrage, 1849, par Rosa Bonheur (1822-1899)
France 2030 - Agroécologie et numérique : l’État investit 65 millions d’euros dans un nouveau programme de recherche, 06 janvier 2023 Ce vendredi 6 janvier, le Programme et Équipements Prioritaires de Recherche (PEPR) sur l’agroécologie et le numérique a été lancé officiellement par les ministères en charge de la Recherche, de l’Agriculture, de la Transition Numérique et par le secrétariat général pour l’investissement, en charge de France 2030. Financé par l’État à hauteur de 65 millions d’euros dans le cadre de France 2030, ce nouveau PEPR doit permettre de mobiliser le numérique pour accélérer la transition agroécologique, au bénéfice de tous les agriculteurs. Son coup d’envoi a été donné en présence de Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et de Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, aux côtés de Philippe Mauguin et Bruno Sportisse, PDG des organismes pilotes de ce programme, INRAE et Inria. Pour accélérer la transition écologique des systèmes agricoles et faire face aux enjeux de sécurité alimentaire, climatiques et environnementaux, le numérique est un levier stratégique. La recherche et l’innovation ont un rôle fondamental à jouer dans la construction d’une agriculture numérique responsable, au service du développement de modes de production durables. Lancé ce jour devant 150 acteurs de la recherche, de l’enseignement supérieur, de l’innovation et des filières à la Cité des Sciences et de l’Industrie, le programme est doté de 65 millions d’euros de France 2030 sur 8 ans. Il a pour ambition d’accélérer la troisième révolution agricole, fondée sur le vivant et la connaissance. Ce programme financera des travaux de recherche de haut niveau et accompagnera l’innovation et son déploiement dans les territoires. Il permettra également de renforcer l’action académique dans ces domaines, en particulier en associant étroitement les grandes universités de recherche et de fédérer un écosystème de recherche à l’interface entre agroécologie et numérique, travaillant autour de quatre axes : - L’accompagnement des changements de pratiques en étudiant la place et le rôle des technologies, leurs impacts, et les politiques publiques ; - La caractérisation des ressources génétiques animales et végétales, afin d’évaluer leur potentiel en faveur de l’agroécologie et favoriser leur déploiement - Le développement des nouvelles générations d’agroéquipements, grâce aux technologies numériques et à la robotisation. Elles assisteront les agriculteurs dans leur travail et permettront par exemple d’améliorer la santé des animaux et leur bien-être grâce à des bâtiments d’élevage connectés où de réduire l’usage de produits phytosanitaires par une agriculture de précision ; - Le développement des outils numériques d’aide à la décision, en particulier d’intelligence artificielle pour la collecte puis l’analyse des données en agriculture, au service de pratiques agricoles plus efficaces. Ce programme de recherche s’intègre dans la stratégie d’accélération "Systèmes agricoles durables et équipements agricoles contribuant à la transition écologique" de France 2030, dont l’ambition est d’innover au service de la résilience et de la compétitivité du monde agricole, pour répondre aux défis du changement climatique et de la souveraineté alimentaire : produire en quantités suffisantes et en qualité, aussi bien d’un point de vue nutritionnel qu’environnemental. Les équipes de recherche mobilisées travailleront en lien avec d’autres programmes de cette stratégie d’accélération, dont le PEPR Sélection Variétale Avancée, le Grand Défi Robotique, ou encore celui portant sur le biocontrôle et les biostimulants. Partenaires de longue date et auteurs du Livre Blanc « Agriculture et numérique » paru en mars 2022, INRAE et Inria se voient confier le co-pilotage de cet ambitieux programme de recherche sur les synergies entre transition numérique et transition agroécologique. Voir agriculture.gouv.fr Mon sentiment (GW) : Et tout ceci sans les entreprises ? Je ne m’inquiète pas pour ce qui concerne les semences par exemple : il y a une tradition ancienne de collaboration entre le Recherche et les entreprises. En génétique animale également. Dans le secteur de la protection des plantes, des moyens de biocontrôle aux biostimulants, comme dans celui de la fertilisation, je ne connais pas assez bien les acteurs pour avoir un avis. Et puis je sais que les Instituts techniques ont l’habitude de collaborer avec les fournisseurs d’intrants, de matériels, etc. et avec les agriculteurs. Par contre sur le « numérique », je vois que les startups sont citées, mais que « sont passées à la trappe » toutes les entreprises qui fabriquent et commercialisent d’une part des logiciels agricoles, et d’autre part des agroéquipements : nos amis chercheurs ne pourront pourtant pas se passer de ces entreprises, s’ils veulent voir leurs travaux valorisés. Les responsables de nos organisations de recherche ne s’imaginent certainement pas que des solutions numériques créées par des chercheurs vont être adoptées telles quelles par les agriculteurs, mais pourquoi les indispensables collaborations entre la Recherche et le secteur commercial privé ne sont-elles pas dès à présent engagées ? Un ami, Hubert Defrancq, fait le calcul suivant et le commente :
Comment avoir un impact dans ces conditions ? Comment s’assurer que ces fonds soient utiles, au moins à la hauteur de leur montant ? Cela me fait penser à une réflexion sur la promotion des épices pour donner plus de gout à des plats, sans prise en compte des ingrédients constituant les plats en question. Quel peut être le résultat de cette « cuisine » ? Ma réponse (GW) : Pour que cette dotation complémentaire ait un impact, le travail avec les industriels est indispensable. Cependant il faut se souvenir de la logique de la recherche française : les salaires des salariés permanents sont déjà payés, et la dotation permet de recruter des thésards, d’acheter des matériels, etc. En fait l’effort est donc supérieur à 0,12 %, et il faut espérer que cet effort significatif de l'Etat et de ses Instituts de recherche seront bien valorisés. Penser le numérique pour une agriculture durable Voir inrae.fr Innover au service de la transition agroécologique : INRAE et Inria renforcent leur partenariat autour du numérique responsable (communique de presse) Ce lundi 20 juin, Philippe Mauguin, président directeur général d’INRAE et Bruno Sportisse, président directeur général d’Inria, ont signé un nouvel accord de partenariat pour 4 ans. Dans un contexte socioéconomique et environnemental en pleine mutation, que ce soit face à des aléas climatiques extrêmes, à l’évolution des demandes des consommateurs en termes de naturalité, de bien-être animal, de circuits d’approvisionnement, la transition agroécologique est un enjeu majeur. Le numérique offre aujourd’hui de nouvelles opportunités pour doter le monde agricole d’outils, de ressources et de connaissances nouvelles, au service de toutes les agricultures. C’est notamment dans ce contexte que s’inscrit le renforcement de la collaboration entre INRAE et Inria, avec l’ambition de renforcer leur impact conjoint. Ce nouvel accord-cadre vise à consolider les liens existants et initier de nouveaux projets de recherche communs, pour favoriser l'innovation dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation et de la préservation de l'environnement. Dans ce contexte, INRAE et Inria ont par ailleurs rendu public début mars un livre blanc intitulé « Agriculture et Numérique ». Voir inrae.fr Systèmes agricoles durables et équipements agricoles contribuant à la transition écologique, 01/07/2021 modifié le 11/01/2022 Voir gouvernement.fr Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) DONNER : Quelques-uns donnent sans compter ; le reste compte sans donner. Albert BRIE Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Digital Worlkplace : pourquoi Chromebook est une alternative Le terminal léger imaginé par Google ne parvient pas à bousculer la domination du modèle PC sous Windows. Pourtant, l'offre s'est régulièrement enrichie pour mieux répondre aux besoins des entreprises. Voir itespresso.fr Lettres d’information du site cybermalveillance.gouv.fr Voir cybermalveillance.gouv.fr Cybersécurité : pourquoi la gestion des identités est essentielle, par Alain Clapaud, 12 janvier 2023, La gestion des accès des collaborateurs internes et externes au système d’information est un pilier de la cybersécurité. Les plateformes IAM (Identity Access Management) en mode SaaS lèvent beaucoup de freins techniques. Voir itespresso.fr Data & Stockage : OpenAI, que peut-on faire avec l'API ? Par Clément Bohic, 13 janvier 2023 Voilà un peu plus d’un an que l’API d’OpenAI est ouverte sans liste d’attente. À quoi donne-t-elle accès ? Voir silicon.fr Sauvegarde : comment le Cloud change la donne Si la sauvegarde de données on-premise reste un choix privilégié par de nombreux DSI, la diversité des offres dans le Cloud commencent à faire bouger les lignes. Voir itespresso.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) DONNER : Qui donne aux pauvres prête à rire. Francis BLANCHE Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Comptes de l’agriculture : en 2021 les agriculteurs ont investi sans s'endetter, par Hénin Frédéric, 11 janvier 2023 Au bilan, le passif moyen d’une exploitation de 495 000 € en 2021 était composé de 291 000 € de capitaux propres. Leurs montants ont progressé de 23 000 € par rapport à 2020 alors que l’endettement des exploitations était resté globalement stable.
Vers un recours accru aux ETA en 2023, par Delphine Jeanne, 8 décembre 2022 L’année 2022 n’a pas été simple pour le secteur agricole, entre flambée des intrants, de l’énergie, des carburants, et les entrepreneurs de travaux agricoles et forestiers ont dû augmenter leurs tarifs pour absorber les hausses de charges. Une nouvelle augmentation n’est pas à exclure en 2023, mais elle ne devrait pas entraver le recours de plus en plus important aux entreprises de travaux agricoles, d’autant plus que les prix des matériels vont continuer à flamber. Voir terre-net.fr Expérimentation d’agrivoltaisme - En Haute-Saône en grande culture - En Occitanie pour la vigne Prosperity and greenhouse-gas intensity
En Auvergne-Rhône-Alpes, 30 000 cédants vs 3 000 repreneurs : « Être innovant pour transmettre » 10 fois plus de cédants que de repreneurs : face à ce ratio, et au décalage entre les projets des candidats et les fermes à transmettre, la chambre d'agriculture Aura cherche à innover. Objectif : « rendre les offres de reprise plus attractives et communiquer de façon plus offensive » afin de séduire de nouveaux publics, explique Gérard Vigier, conseiller transmission dans le Cantal. Voir terre-net.fr Situation des nappes au 1er janvier 2023
In France, we are able to stay all our professional life with the same employer…
Commerce extérieur agroalimentaire à la fois déficitaire de 22 Mds d’€ et excédentaire de 32 Mds d’€, par Hénin Frédéric 15 Janvier 2023 Au cours des douze derniers mois, le solde commercial agricole et agro-alimentaire de 10,4 Mds d’€ masque une forte détérioration de la compétitivité de la France. Sur douze mois, l’excédent commercial des céréales, des produits laitiers, des animaux vifs et des boissons est de 33,2 Mds d’€. Mais les autres filières agricoles et agroalimentaires sont déficitaires de près 22,8 Mds d’€!
Filière viande bovine : des outils pour faciliter mise en place des contrats, par Danielle Bodiou, 06/04/2022 La loi Egalim 2 introduit l’obligation de contrats écrits entre l'agriculteur et le premier acheteur de ses produits, dans la filière bovine. Pour accompagner les acteurs du secteur dans l’appropriation et la mise en œuvre de ces nouvelles règles en matière de contractualisation, Interbev met à disposition des outils adaptés : guides de contractualisation, modèles de contrat, indicateurs… Voir mon-cultivar-elevage.com Du côté d'Auguste Derrière
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) DOT (La) : C'est un présent fait au futur pour dissimuler l'imparfait. WILLY Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
> L’écrivain Marcel Grelet, interviewé par Carlos Sotomayor journaliste Péruvien > Un nouvel adhérent pour l'AEAP: Jean-Paul Abadie > Le Lien des écrivains-paysans Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) ÉCONOMIE (L') : Ayant renoncé à devenir une science, elle a choisi d'être une religion. Michel MARCHETEAU Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr The more efficient our cars are, the more miles we drive
Starlink success
Air travel, back to life
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) ÉCONOMIE (L) : Elle est une science qui est seulement à la portée des riches. Henri MURGER Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Webinaire AGTECH : Produire durablement et Mobiliser les Bioressources 19 Janvier 2023 - 09h30 - 12h00 Voir iar-pole.com FIRA 2023, 7e édition en plein champ
7 – 9 février 2023 - Auzeville-Tolosane, près de Toulouse Plus de 30 robots agricoles en démos en conditions réelles. - Nanovel (Israël) - Pixelfarming (Pays-Bas) - Pek Automotive (Slovénie) - Naïo Technologies (France) - Pavillion Italie par FEDERUNCOMA (organisateurs de l'EIMA à Bologne), et ses entreprises et startups - Pavillon Région Occitanie et Village des Startups d'Agri Sud-Ouest Innovation - Pavillion Pays-Bas par l'Ambassade, et ses entreprises et startups - SMC France, expert en automatisation industrielle, - SICK, fournisseur leader de solutions d'automatisation - Campus Agrobiopole : ENSAT, Cité des Sciences Vertes et ENSFEA Les communiqués de presse des exposants du World FIRA 2023 S’inscrire au FIRA 2023 Du côté de ebbh.fr : #127 : Orage et désespoir
Administrer ses Plans de Gestion de Données 7 - 14 mars 2023 – à distance Comprendre les principes d’un Plan de Gestion de Données, être capable d'en rédiger, savoir utiliser l’outil OPIDOR pour les gérer. Aucun prérequis. Ce stage s’adresse à toute personne ayant à rédiger et gérer des Plans de Gestion de Données. Voir acta.asso.fr/ Initiation à la science des données : valoriser les données agricoles pour les services de demain 14 - 16 mars 2023 - à distance Découvrir les enjeux du big data agricole, se questionner autour de la maitrise des données et comprendre les principes de la science des données pour des objectifs de prédiction. Voir acta.asso.fr Text mining ou l’exploitation de données textuelles pour les risques agricoles et sanitaires 28 - 30 mars 2023 - à distance Acquérir les bases permettant de manipuler les principales méthodes de text mining, mettre en place des outils de visualisation, choisir des tests statistiques pour l’analyse des données textuelles et appliquer ces méthodes dans des études de cas avec le logiciel R. Prérequis : connaissances de base du logiciel R Voir acta.asso.fr
Du côté d’André Heitz Les affaires Zantac et la recevabilité des preuves scientifiques dans les tribunaux états-uniens Peut-on vivre avec la NDMA, une nitrosamine ? Consultation sur les semences de betteraves et deux néonicotinoïdes : j'ai répondu Produire des engrais azotés sans émissions de carbone Un article de presse sur cinq sur les OGM publiés en Afrique contient des informations erronées, selon une étude Label « Utilisation responsable des antibiotiques » pour le lait : un nouveau marché pour les produits laitiers aux USA ?
Du côté de vitisphere.com : discussion imaginaire entre deux opérateurs des vins français, un pessimiste vinvétéré et un vinoptimiste (Un bel édito de Alexandre Abellan, 6 janvier 2023 "Bonne année, et surtout la santé ! - … - Et bien, tu n’as pas l’air en forme toi… Tu fais peine à voir, on dirait un cheval qui a raté une haie. On t’abattrait sur un champ de course ! La gueule de bois du nouvel an ne passe pas ? - Ce serait plutôt le contraire, c’est la déconsommation française qui me pèse. Tu imagines : une baisse de 70 % des volumes de vin consommés annuellement en 60 ans ? Et la perspective de 60 % de déconsommation sur les 10 prochaines années ? Les maisons du vin vont-elles devenir les musées du vaincu ? - Je vois, peur sur la vigne… Mais rien de nouveau sous le soleil : on ne peut pas parler de découverte en loucedéconsommation ! Tu ne te souviens pas de l’antienne du « moins mais mieux » que tu répétais encore récemment pour te rassurer ? 60 ans que la chute dure, c’est surtout une évolution démographique, avec la disparition des consommateurs de vin du quotidien. D’abord sur les vins de consommation courante, les vins de table du papé, et désormais sur les vins d’appellation plus génériques (Bordeaux, Côtes du Rhône…). - Si tu crois me rassurer avec tes analyses démographiques… Pour un consommateur quotidien de vin qui nous quitte, il en faudrait cinq occasionnels ! Et je ne vois pas de solution miracle pour renverser la tendance dans la situation économique actuelle. - Forcément, si tu vois le verre à moitié vide ! Imagine plutôt que le champ des possibles est ouvert ! Et essaie de voir le verre à moitié plein. Certes, il y a une déconsommation de vins à faible degré et à faible valeur ajoutée. Mais il y a une augmentation de la consommation des vins plus riches culturellement et plus verts culturalement ! Les volumes baissent, nos rendements aussi, alors que les qualités organoleptiques et environnementales augmentent. - N’empêche que le combat de la consommation avec modération a été trop bien gagné : on ne consomme pas moins, mais mieux, on consomme moins, mais moins ! Tu ne m’enlèveras pas de l’idée que nous sommes plongés dans une spirale de décroissance : une machine infernale. - On est d'accord, les occasions de consommation changent. Mais c’est à nous de nous adapter et de proposer de la nouveauté. Rien n’est figé, il faut évoluer ! On le voit avec les chiffres catastrophiques des ventes en grande distribution, ce modèle arrive en bout de cycle. Il n’y a pas de vache sacrée pour la mise en marché, à nous de nous focaliser sur d’autres circuits. Quid du traditionnel ? On voit les ventes au verre exploser en restauration, mais est-ce qu’il y a un accompagnement qualitatif de cette offre ? Grâce aux tireuses fournies par les brasseurs, le service de la bière est meilleur que celui du vin : et ce n’est pas moi qui le dis. Quid du réseau des cavistes ? Quid de la vente directe ? Quid des prescripteurs pour créer de nouvelles occasions d’achat et de consommation : les bières artisanales et le spritz ont bien réussi avec des rapports qualité/prix qui doivent nous interpeler. Et je ne parle même pas du marché mondial des vins qui reste sur une tendance haussière et ouvre de nouvelles pistes… La peau de chagrin de la consommation de vin est à relativiser ! - Non mais tu as vu la concurrence mondiale qu’il y a à affronter sur les marchés export ? Notre compétitivité est aux fraises : surcharge administrative, surtranspositions réglementaires, cahiers des charges pesants… Et je ne parle même pas des tarifs 2023 de nos matières sèches : je ne me suis toujours pas remis de la douloureuse de mon verrier ! - Tu sais bien que c’est lorsque que l’on touche le fond que l’on fait tout pour remonter. Et alors... Comme on dit dans mon village : le coq est lâché, gardez vos poules ! - C'est bien, tu as réponse à tout : le roi déconsommation..." Voir vitisphere.com Sultan et Rosette, les chiens des Czartoryski (1852), par Rosa Bonheur (1822-1899), musée national de Varsovie
Du côté d'Auguste Derrière
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !) ÉCONOMIE (L') : Une chose utile pour fournir un travail aux économistes. John Kenneth GALBRAITH Contact : Georges LARROQUE Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Conseil d'ami Nous le savons tous, on risque de plus en plus gros si on se fait contrôler positivement en rentrant chez soi après une soirée un peu arrosée, chez des amis ou au restaurant. Eh bien, le week-end dernier, j'ai passé une très agréable soirée avec des ami(e)s et comme d'hab' : apéritif, de très bons vins, et un petit pousse-café pour terminer en beauté. Au moment de prendre congé de mes hôtes, malgré le fait que je me sentais parfaitement bien, j'ai eu l'intelligence de penser que j'avais peut-être dépassé la limite permise. Alors, pour la première fois dans de telles circonstances, j'ai pris un bus pour rentrer chez moi ! Heureusement d'ailleurs, car sur la route pour rentrer à la maison, il y avait les policiers qui filtraient les véhicules et faisaient souffler les conducteurs dans le ballon. Mais, voyant un bus, ils lui ont fait signe de passer et je suis arrivé chez moi sans incident. C'était vraiment une surprise, car je n'avais jamais conduit de bus auparavant. D'ailleurs, je ne me souviens plus où je l'ai pris... Et maintenant il est devant ma porte, et je ne sais plus quoi en faire ! Veaux (1879), par Rosa Bonheur (1822-1899), par Rosa Bonheur (1822-1899), New York, Metropolitan Museum of Art
El Hierro, l’île qui voulait être “100% renouvelables”, et n’a pas réussi, par Vincent Benard, 05.01.2023 En 2015, l’île d’El Hierro, dans l’archipel des Canaries, inaugurait un nouveau dispositif de production électrique basé sur l’éolien couplé à une station de transfert d’énergie par pompage (STEP). Selon ses promoteurs, le système devait permettre à l’île de remplacer rapidement son ancienne usine de production électrique diesel, et de se rapprocher de l’idéal Net Zéro. Après 6 ans d’opération, c’est un échec. Voir europeanscientist.com China back to normal?
Inflation, back to normal?
Cancer et idées fausses sur les réseaux sociaux, à l’ère de la conspiration Entre 30 % et 50 % des cancers peuvent être évités par des changements de mode de vie et des stratégies de prévention : maintien d’un poids idéal, activité physique, consommation régulière de fruits et légumes, réduction de la consommation d‘alcool et de viande rouge ou transformée, éviction des expositions au soleil, rejet du tabac, vaccinations, etc. La connaissance des facteurs de risque de cancer est la première étape pour l’adhésion à la prévention. Dans un objectif de santé publique, il semble intéressant de préciser les opinions quant à ces facteurs de risque et ce qui détermine ces opinions. La désinformation, fréquente sur les réseaux sociaux, est à l’origine de discours susceptibles d’affecter les comportements de santé. Dans le domaine des cancers, il s’agit par exemple de certaines allégations au sujet des vaccins contre le papillomavirus ou de dénigrements des traitements anticancéreux pouvant faire retarder leur mise en route et altérer le pronostic. Des informations non fondées sur des faits scientifiques circulent, pouvant être à l’origine d’idées fausses sur les causes des cancers. .../... Voir Journal International de Médecine Support for leaving EU has fallen significantly across bloc since Brexit People less likely to vote leave in every EU member state for which data was available than in 2016-17, survey finds
Les gènes impliqués dans le processus de développement de la maladie d’Alzheimer clairement identifiés La maladie d’Alzheimer résulte de la combinaison de facteurs génétiques et environnementaux et de leurs interactions. De nombreuses variations génétiques sont associées au risque de la maladie, et leur identification a permis de mettre en évidence certains des mécanismes biologiques impliqués dans la maladie. Notre connaissance génétique de la maladie d’Alzheimer a très fortement été améliorée par nos dernières études, permettant de se diriger petit à petit vers des outils d’aide au diagnostic pronostic basé sur la génétique, et probablement une médecine personnalisée en fonction des traitements. Voir pasteur-lille.fr Leftist have more positive views of the EU
EU seen favorably across 19 countries
Death rates from cancer in the US have fallen by 32% over the three decades from 1991 to 2019, according to the American Cancer Society. The decline is thanks to prevention, screening, early diagnosis and treatment of common cancers, including lung and breast cancer. The drop has meant 3.5m fewer deaths. However, cancers are still the second leading cause of death in the US, after heart disease. See bbc.com Elon Musk ne me parait pas très sympathique, mais c’est tout de même un génie. En donnant des Starlinks aux Ukrainiens, il a certainement changé le cours de l’histoire. Sans cet exceptionnel moyen de communication, les Ukrainiens n’auraient pas aussi bien résisté à l’agression russe… Que cela va-t-il changé en Iran ? Elon Musk says around 100 Starlinks now active in Iran (December 27, 2022) Dec 26 (Reuters) - SpaceX Chief Executive Elon Musk said on Monday that the company is now close to having 100 active Starlinks, the firm's satellite internet service, in Iran, three months after he tweeted he would activate the service there amid protests around the Islamic country. Musk said, "approaching 100 starlinks active in Iran", in a tweet on Monday. The billionaire had said in September that he would activate Starlink in Iran as part of a U.S.-backed effort "to advance internet freedom and the free flow of information" to Iranians. See reuters.com Élisabeth Roudinesco, historiadora: “El sexo biológico existe. No responde a una elección La investigadora francesa, autora de una biografía de referencia sobre Sigmund Freud, publica nuevo libro. Cree que vivimos en la locura identitaria. Ver elpais.com https://elpais.com/ideas/2023-01-06/elisabeth-roudinesco-historiadora-el-sexo-biologico-existe-no-responde-a-una-eleccion.html The AI revolution Artificial intelligence made a sudden leap forward last year, with deep learning models like DALL-E, Midjourney, and ChatGPT delighting millions of people with impressive, if uncanny, artwork and text. But how will these technologies impact our lives? Will they really replace artists and writers? And what are the risks and benefits of increasingly powerful AI? In the latest episode of The Human Progress Podcast, policy analyst and technology expert Will Duffield joins Chelsea Follett to discuss these questions and more. .../... How will advances in artificial intelligence improve our lives, and what challenges are they likely to pose? Policy analyst in the Cato Institute’s Center for Representative Government Will Duffield joins Chelsea Follett to discuss the policy implications of these questions and more. Recent advances in artificial intelligence have been all over the news, from DALL-E to ChatGPT. How significant are they really? Recently, there have been several advances in large language modeling. Essentially, by gathering large corpuses of language training data, AI pioneers have been able to derive ever more effective models. These large language models don’t reason deductively like humans. Instead, they infer information by synthesizing great reams of data. But even if we see these models as mere curve fitters, things that are good at recognizing patterns, their pattern recognition is useful to us and, in some cases, even outstrips our abilities. There’ve been studies throwing millions of iris images at artificial intelligence. And while we don’t know of any difference between the male and female iris, this AI has been able to, with a fair degree of certainty, determine whether the iris belongs to a man or a woman. So, it’s seeing a pattern that we don’t even know exists. It does this by comparing irises in a way that you or I never could. By iris 20, they’d all look the same to us, but a machine doesn’t have the same constraints. And so, it can make associations that might not occur to us. How else are AI technologies being used in the real world? One of the more exciting areas is drug discovery, using AI to predict the results of combining molecules rather than synthesizing everything in a lab. A lot of that early-stage testing can now be done virtually using artificial intelligence. There are also tools like Copilot at GitHub, which allow someone to explain the code that they would like and then receive code generated by an AI. It can help a novice coder learn or punch above their weight much more quickly, turning to the AI in the same way you might turn to a more experienced coder. The most exciting possibility to me is that AI will help us interface with complex modern systems. Everything from your county website, where you pay your taxes and deal with parking tickets, to payroll software, to booking a flight can be very difficult to navigate. In the most hopeful world, AI will be an everyday interface between human beings and the various systems we’ve built that don’t tend to work well with us. How do you think advances in AI technology will impact the job market? Unlike something like the power loom, we aren’t talking about displacing manual labor but instead rote white-collar tasks like data entry, basic research, and legal assistance, as well as some creative tasks. There’s been a tremendous amount of concern from artists about generative AI. And while lots of people are using it, not all that use causes displacement. Lots of people have the new Lensa profile picture, but very few of those people were previously paying an artist to create a profile picture for them. They were relying on a photograph or stock imagery. So, a lot of this fills in the parts of the market that weren’t well served before. At the end of the day, we still need people in charge of these tools. And at their best, they can save us from drudge work that, frankly, people deserve better than. It’s undignified for people to spend all day acting like a machine in a toll booth. What are some challenges posed by artificial intelligence? People often bring up the so-called paperclip maximizer scenario. Say you have an AI that is ostensibly aligned with your goals, and you set it to make a lot of paperclips. If it’s very powerful and can have factories built and draw up resources, it will slowly start making everything into paperclips. That would obviously be a bad scenario for everyone. So, it’s not just thinking of the genocidal evil machine that wants to destroy all humans, but also how to put side constraints on AI to prevent it from taking harmful steps to achieve its goal. Another challenge is that, if AI is an effective personal assistant, it won’t just be an effective personal assistant for good people. We can imagine a friendly artificial assistant helping people who otherwise couldn’t build a bomb to build one. There’s a lot of debate right now about how to either regulate AI or place side constraints on the models themselves to resolve these challenges. Getting that right is important, but it will also be very important not to neuter this technology or gate it away from the everyman. If only the vetted or powerful have access to it, then you’re just going to exacerbate existing disparities in wealth and power. Even though there are potentials for misuse, many of those cases seem worse in a world in which only some people have access to the technology. …/… See humanprogress.org Chamois, par Rosa Bonheur (1822-1899)
The hospital joke An elderly Jewish man faints and is rushed to the nearest hospital. A nurse tucks him into bed and says, “Mr. Schwartzman, are you comfortable?” Schwartzman replies, “I make a living…!” Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone d’informatique agricole (Afia) Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia Do not miss the Virus Jokes in English and French La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique agricole" est réalisée avec le concours de Vitisphere Ma « nouvelle » adresse : guy.waksman(a)laposte.net Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970 Vous êtes plus de 15 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage personnel et les besoins de votre entreprise. Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue, merci de faire directement l'inscription en allant sur le formulaire suivant Et si vous souhaitez contribuer à la rédaction de cette gazette hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande à Guy Waksman. Adresse mél : guy.waksman(a)laposte.net |
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