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Do not miss the Virus Jokes in English and French
Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture
où règne une intéressante pluralité de points de vue !
Une ressource trop méconnue.
Voir
academie-agriculture.fr
Académie d’agriculture de France : saviez-vous que sur notre
chaîne @YouTube : 953 #abonnés ont accès gratuitement à 210
#vidéos #fakechecking #agriculture #forêts #alimentation #environnement ?
Voir
youtube.com/
Avant l’informatique : 1897, Agriculture Tools Sowing Machine
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Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France
Le fonds documentaire de l’Académie est riche de près de 40000 ouvrages
complétés par les archives manuscrites de nombreux académiciens.
Il rassemble la totalité des publications de la Société Royale d'Agriculture
depuis 1761, puis de l'Académie après 1915 : périodiques (mémoires,
bulletins, comptes-rendus) et ouvrages édités par la Compagnie.
S’y ajoutent 2831 périodiques anciens reliés :
- Annales de l'Agriculture de l'an VI à 1873 (complet)
- Journal d'Agriculture pratique de 1837 à sa disparition en 1938
- Journal de l’Agriculture de 1866 à 1909
Un fonds ancien constitué d’environ 15 300 titres reliés depuis
1512 jusqu’à 1960 et 10 000 brochures et documents classés par matière
(du XIXème et XXème siècle essentiellement).
Enfin un fonds moderne (livres entrés depuis 1960), représentant
environ 9000 volumes
Les principales collections font l’objet de numérisation grâce à
un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France (BnF). Elles
sont consultables en ligne et permettent une recherche par reconnaissance
des caractères.
Enfin depuis 4 ans, les titres disponibles et consultables sur rendez-vous
à la bibliothèque de l’académie sont catalogués grâce au logiciel
KOHA sur le site. À ce jour 2623 titres sont répertoriés.
Voir bibliotheque.academie-agriculture.fr
(moteur de recherche)
Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture
l’alimentation et l’environnement.
Voir
academie-agriculture.fr (présentation du fond)
Contact : André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com
Tiens bien le coup Guy, face au (à la ?) covid mais aussi pour
faire vivre ton intéressante Gazette
Amicalement.
Conatct : Fernand SÉVERIN
Mél : fernandseverin(a)yahoo.fr
Question : qui sont les emmerdeurs ? Les non-vaccinés ou les
vaccinés
>>> Les non-vaccinés dix-sept fois plus représentés dans
les admissions en réanimation
Examinons par exemple les admissions des patients en réanimation
pour Covid-19 lors de la semaine du 13 au 19 décembre 2021 : en
proportion, les non-vaccinés sont dix-sept fois plus nombreux que
les personnes complètement vaccinées.
- Sur 1 million de vaccinés, 1,5 personne a été admise en réanimation
chaque jour en moyenne ;
- Sur 1 million de non-vaccinés, 26 personnes ont été admises en
réanimation.
Ces chiffres confirment un très haut niveau de protection des vaccins
(environ 94 %) face aux formes graves de la maladie – ils sont moins
efficaces pour prévenir la contamination et la transmission du virus.
Recensement agricole : remettre l’église au milieu du village
! Par Jean-Marie Séronie, membre de l'Académie d'agriculture
Le ministère vient de livrer les premières informations du recensement
agricole. En scrutant attentivement les premières images, la photo
est plutôt rassurante et s’éloigne des clichés souvent ressassés.
À première vue, une exploitation agricole sur cinq a disparu en
dix ans. Effectivement, nous sommes passés de 490.000 à 390.000
exploitations, ce qui paraît inquiétant. En parallèle, la surface
moyenne des fermes a crû de 25%, passant de 55 à 69 ha, ce qui peut
paraître énorme. En fait, un raisonnement détaillé et exempt de
tout parti pris ou a priori de posture donne une couleur plutôt
souriante à cette photo trop statique.
.../...
Voir
cultivar.fr
"El pan nuestro", 1905, Ramón Frade (US, 1875-1954).
Colección Instituto de Cultura Puertorriqueña, San Juan, Puerto
Rico
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Maurice Rollinat
Maurice Rollinat était un pessimiste : aucune confiance dans la
grandeur de l’homme, angoisse de la mort et du temps qui passe,
souvent sombre et parfois macabre. Il mettait ses poèmes en musique
pour les lire au cabaret, et on dit que des femmes s’évanouissaient
devant l’expression de son visage…
Mais il aimait aussi la nature et la campagne. Voici un joli petit
rondeau, extrait de son tout premier recueil écrit dans son Berry
natal (et dédié à une autre Berrichonne célèbre : George Sand).
Un rondeau est une forme fixe héritée du moyen-âge : trois strophes
de quatre, quatre et cinq vers, deux rimes seulement, et des vers
répétés selon un ordre immuable. Vous remarquerez quand même que
« le petit ver luisant dans l’herbe » est sujet dans
ses deux premières occurrences, mais complément d’objet direct
à la troisième strophe. Le tour de main d’un poète qui connaît
son métier...
Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg(a)laposte.net
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Le ver luisant, de Maurice Rollinat (1846 – 1903)
in
Dans les Brandes (1877)
Le petit ver luisant dans l’herbe
S’allume cette fois encor
A la même place ! Le cor
Pleure au loin ; la nuit est superbe.
Au doux âge où l’on est imberbe,
Je l’admirais comme un trésor.
– Le petit ver luisant dans l’herbe
S’allume cette fois encor.
Mais, dira le penseur acerbe :
« Tout ce qui reluit n’est pas or ! »
Moi, je réponds à ce butor,
Que j’aime, en dépit du proverbe,
Le petit ver luisant dans l’herbe.
Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugeg(a)laposte.net
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Les Bodin's chez le notaire (un grand moment)
Voir la
vidéo fameuse chez nos notaires
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Macron charge les non-vaccinés : "j'ai très envie de les
emmerder, on va continuer de le faire" (suite)
Bonjour Monsieur Waksman et... bonne année aussi !
Tout d'abord votre propos correspond totalement à ce que je pense
et que je n'aurais sans doute pas réussi à exprimer de manière aussi
concise.
L'art de la polémique, mais s'agit-il d'un art, consiste à tout
critiquer sans s'intéresser à l'essentiel en l'occurrence aux choix
vitaux faits depuis deux ans. La polémique pseudo-intelligente consiste
à passer un vernis brillant pour cacher la confusion entre signifiant
et signifié et élever le mensonge au rang d'information.
Il y a 50 ans, quand la réclame est apparue à la télévision, mes
amis enseignants ou élèves-enseignants disaient : "c'est à
nous d'apprendre à nos élèves à analyser et démonter les messages
publicitaires". Ont-ils réussi ou échoué ? Nous ne disposons
pas d'une étude comparée des comportements avec ou sans ce travail
pédagogique.
En ce début de XXIème siècle, réseaux dits sociaux et "fake
news" interpellent de la même manière et d'intensité encore
plus aigüe.
Et puisqu'il faut polémiquer, j'en ai honte et je prie M. le Président
de m'en excuser, la seule erreur contenue dans son message est d'avoir
attribué un adverbe (très) à un nom (envie) ; j'aurais préféré qu'il
utilisât "grande envie".
Joyeux courage !
Philippe FOLLIOT
Mél : phil(a)folliot.fr
Une
centaine d'aquarelles de cépages français
réalisées par l'illustre Pierre-Joseph Redouté,
ont été retrouvée à l'Académie
d'agriculture. Elles témoignent de la naissance
d'une science des vins.
Au
début du XIXe siècle, le minsitre de l'Intérieur
Jean-Antoine Chaptal demande à Pierre-Joseph Redouté,
connu pour ses peintures des roses du château de
Malmaison, de représenter l'ensemble des cépages
français réunis dans une collection au jardin
du Luxembourg. Quatre-vingt trois aquarelles sur vélin
de variétés de vignes nous sont parvenues.
Elles sont publiées pour la première fois
et accompagnée d'un texte explicatif de l'un des
plus grands ampélographes français : Jean-Michel
Boursiquot.
Ces planches ont une valeur patrimoniale incomparable.
Elles ont été réalisées par
les plus fameux illustrateurs botaniques de l'époque,
au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté
et marque une date hautement symbolique dans l'histoire
de la viticulture française : les prémices
de l'ampélographie.
À l'heure du regain d'intérêt pour
les cépages autochtones et des nombreuses interrogations
que posent le réchauffement climatique, les vélins
témoignent de la diversité passée
dans un pays où 95% de la production vinicole reposent
aujourd'hui sur 40 variétés. Au-delà
de la reproduction de ces planches, c'est l'histoire du
vin et de la vigne qui nous est racontée, ou comment
on s'est inquiété de la qualité du
vin dès le XIXe siècle. L'ouvrage se conclut
par un éclairage scientifique sur l'avenir de la
vigne au XXIe siècle.
Voir
editionspaulsen.com
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La facture d'eau... belge !
Voir l'humour
belge dans toute sa splendeur !
Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
« Ma réflexion (GW) : mais qui sont les "emmerdeurs"
? Les vaccinés ou les non-vaccinés ? »
Comme d’habitude ce n’est pas si simple :
1 Comme un bon nombre de personnes, on m’a un peu forcé la main,
par chantage à l’accès à ceci cela. On n’oubliera pas, et on est
nombreux à avoir eu le bras tordu.
2 Le vrai vaccin devrait arriver à la fin de ce mois, du moins je
l’espère, pour mon rappel,
3 Ce que l’on nous a vendu comme vaccin sont des thérapies à usage
prophylactique. Donc il faut fréquemment, comme dans toutes les
affections, prendre son traitement 3 doses, puis 4, 5, et une tout
les deux mois.
4 Si j’en crois Mr Darwin Charles, le virus n’ayant aucun bénéfice
à tuer, son hôte va évoluer vers plus de contagiosité et de moins
en moins de virulence, avant d’aller rejoindre le stock de virus
qui tous les hivers nous emmerdent, moins que macron toutefois.
4 Ce n’est pas par des manœuvres politiciennes de cette farine que
macron gagnera les élections, enfin, j’espère.
Contact : JL MAIGROT
Mél : Maigrot.lj(a)wanadoo.fr
Ma réponse (GW) :
- Vous avez très bien fait de vous faire vacciner. Preuve de
réalisme : vous avez gagné le droit de ne pas encombrer les hôpitaux.
Dans ma famille proche, j’ai deux cas de cancer dont le traitement
est pénalisé par cet encombrement. Je vous remercie donc bien sincèrement.
- Les vaccins administrés ne sont en aucune façon des remèdes. Ils
suscitent la création d’anticorps. La durée de l’immunité s’est
avérée limitée. Mais le mécanisme reste celui d’un vaccin.
- Le développement des vaccins à ARN semble très rapide par rapport
aux vaccins traditionnels. On ne peut que s’en féliciter.
- Votre vision du Darwinisme est un peu spéciale. La variabilité
du virus est intrinsèque, et on ne sait rien de son évolution mais
ce dont est certain c’est que la vaccination diminue drastiquement
la population virale et donc les possibilités de mutation. En vous
vaccinant, vous avez diminué les chances de mutation du virus en
limitant sa population. C'est d'ailleurs pourquoi, la vaccination
des Africains est indispensable : il ne faudrait laisser prospérer
un grand réservoir à virus.
- Je ne connais pas votre âge mais regardez dans votre tranche d’âge
le taux de vaccination. Dans ma tranche d’âge, ce taux est de 95
%. Puis-je penser que ces 95 % des personnes de mon âge sont des
idiots ?
Voir
lemonde.fr
- Contrairement à ce que vous pensez, les Français soutiennent massivement
le Président Macron. Ils savent que vaccination est synonyme de
liberté. Ce qui est incroyable, c’est par exemple que M. Mélenchon
va soi-disant soutenir le personnel hospitalier de Guadeloupe dans
sa lutte contre le vaccin, alors que ce personnel est vacciné à
95 %. Les mensonges et erreurs de Mme Le Pen, MM. Zemmour, Mélenchon,
Dupont-Aignan (dont certains sont vaccinés, d’après ce que j’ai
compris) en soutenant les anti-vax ne vont pas améliorer leur image
de marque, parce que leur électorat est très largement vacciné lui-aussi.
- Vous aurez noté que Robert Ménard, le maire de Béziers (Hérault),
défend la vaccination obligatoire et le passe vaccinal. « À Béziers,
il y a dix personnes hospitalisées en réa, les dix sont non vaccinées,
justifie-t-il, en prenant à rebours ses alliés populistes. Se targuer
de défendre les libertés face à l’épidémie, c’est absurde et c’est
même une faute. On ne va pas choyer une minorité moyenâgeuse obscurantiste
! ».
Macron « dit tout haut ce que l’immense majorité pense tout bas.
C’est un langage viril, mais c’est pensé, maîtrisé. Comme un matador,
il présente la muleta au taureau et le taureau fonce sans réfléchir.
» ajoute Robert Ménard.
En « en bis » : « Le Président dit tout haut ce que beaucoup de
Français pensent tout bas », a résumé Thomas Mesnier, député La
République en marche (LRM) de Charente
Insecticides,
insectifuges ? Enjeux du XXIe siècle par André Fougeroux
Depuis des milliers d'années, les hommes disputent leur
nourriture, leur santé, leurs vêtements, leurs matériaux
aux insectes. Mais les hommes bénéficient aussi des bienfaits
prodigués par les insectes. L'Homme doit composer avec
cet équilibre : limiter les ' nuisibles ', favoriser les
' utiles '. Pour limiter les ' nuisibles ', l'Homme a
recouru à toutes sortes de procédés : prières, ramassage
d'insectes, pièges, chimie végétale, minérale ou organique,
plantes résistantes, lutte biologique... En 1939, les
propriétés insecticides du DDT ont donné l'illusion que
l'Homme viendrait à bout des ' nuisibles '. Il a fallu
rapidement déchanter. Cet ouvrage rappelle l'utilité des
insecticides mais aussi leurs effets non intentionnels
qui ont conduit le grand public à les rejeter en bloc.
Mais les problèmes liés aux insectes n'ont pas disparu
et la maitrise des ' pestes ' reste indispensable ! Si
les solutions insecticides ne sont plus d'actualité, l'Homme
va devoir inventer au XXIe siècle une nouvelle voie pour
une cohabitation harmonieuse avec les insectes.
Voir
pressesdesmines.com
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A quoi M. Maigrot répond : Je suis de 1947 (donc dans la
catégorie vaccinée à plus de 95 % - GW)
De fait je partage votre avis sur certains points, pas d’autres
Ce que vous dites est intéressant. Mais je persiste à penser que
le Pfizer et Al. est un traitement à visée prophylactique plus qu’un
vaccin. Et ce indépendamment qu’il suscite dans l’organisme une
réaction immunitaire, ou alors il n’est pas au point et dans l’urgence
a été bâclé. Un vaccin ne s’affaiblit pas comme ça. Je suis vacciné
contre le tétanos et le rythme des rappels est un peu plus long.
Idem pour la polio. Par contre j’ai laissé tomber la diphtérie et
la typhoïde.
Par ailleurs, ma fille vient de m’informer qu’elle est positive
avec de petits symptômes alors que légèrement hypocondriaque elle
est plus qu’en règle (2 +1 à jour).
Ce que je reproche à l’autorité c’est l’absence totale de franchise,
de gouverner par la peur et la contrainte, de nous prendre pour
des demeurés. : exemple en mars 2020 comme le stock de masque avait
été liquidé on a été dire qu’il ne servait à rien, par exemple.
A propos d’épidémie, je vous suggère d’écouter Biraben (archive
INA) que j’ai côtoyé quand j’étais démographe-historien : Émission sur la peste
Ma réponse (GW) : Je ne vais pas reprendre point par point
vos réflexions (intéressantes !) mais seulement sur les masques,
un point sensible, s’il en est.
De fait pendant les premiers mois de la pandémie, on a pensé que
les seuls les symptomatiques sont contagieux, ce qui est le cas
de nombreuses maladies virales, d’après ce que j’ai compris. Bizarrement
cette croyance a perduré malgré les démentis :
« Les bien portants, dits “asymptomatiques”, ne transmettent
pas le Covid-19 », titre le site complotiste France-Soir dans
un billet du 31 décembre 2020, signé par le Dr Gérard
Delépine.
Si seuls les symptomatiques avaient été contagieux, c'étaient
eux seuls qui avaient besoin de masques, une population somme toute
limitée, bien repérée qu’il était facile d’équiper. Mais on découvre
que les asymptomatiques sont contagieux et qu’il faut donc équiper
toute la population. Cela change tout. Le besoin de masques
de très limité est devenu massif. D’où l’embarras des scientifiques
et de l’administration… et finalement du Gouvernement. Une situation
totalement imprévisible et difficile donc.
Les anti-vax, soyez cohérents ?!? Par Mathieu Madénian
Voir joli sketch
La
culture du tabac en France. Sauvegarder un savoir-faire,
promouvoir l’innovation ? sous la direction de Catherine
Regnault-Roger
La tabaculture française va-t-elle disparaître ? Cette
culture historique, caractérisée par un savoir-faire agronomique
et la mise en oeuvre des dernières avancées technologiques
pour répondre aux hautes exigences environnementales,
s’inscrit dans la modernité avec de nouveaux débouchés
innovants : bioproduits thérapeutiques pour l’homme, alimentaires
pour l’animal ou de la chimie verte pour la transition
énergétique. Elle répond ainsi aux préoccupations actuelles
alors que se développent de nouvelles approches pour limiter
la nocivité de la consommation du tabac incandescent.
Pourquoi ce déclin ? Des membres de l’Académie d’agriculture
de France, interpellés par cette situation, se sont penchés,
en leur nom propre, sur le sujet pour en examiner les
causes et dresser un état des lieux afin d’informer de
l’atteinte d’un point critique tous ceux qui s’intéressent
à travers la préservation des cultures patrimoniales,
à l’agro-indépendance et à la biodiversité des paysages.
Ils ont ainsi engagé un dialogue avec les professionnels
de la filière tabacole. Ce livre, fruit de ces échanges,
rassemble les témoignages et les réflexions d’acteurs
de terrain et du monde académique. Il dresse, en toute
liberté, le tableau sans complaisance de la situation
actuelle. La culture du tabac se meurt en France ? Ne
regardons pas ailleurs.
Voir
pressesdesmines.com
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Les vaccins, une forme de liberté (paru dans la Tribune de Genève,
fin décembre 2021)
Voir
le message d’un lecteur de la Tribune de Genève
Lorsqu’un pays doit se défendre contre une agression, quelle qu’elle
soit, la moindre des choses sensées est que le peuple fasse front
commun face à la menace
>>> Chêne-Bougeries, 20 décembre 2021
Le président Macron a dit que la France était en guerre contre la
Covid-19. Sur le moment, ses paroles m’ont parues disproportionnées
comparées aux horreurs de la guerre.
Pourtant, lorsqu’un pays doit se défendre contre une agression,
quelle qu’elle soit, la moindre des choses sensées est que le peuple
fasse front commun face à la menace. Si le gouvernement suisse nous
avait dit d’aller défendre le pays, nous aurions pris les armes
pour le faire, par patriotisme.
En temps normal, je suis un défenseur de la liberté et aussi des
libertés. Or, dans ce cas précis, force est de constater que devant
le danger que représente la Covid-19, il y a énormément de déserteurs
qui refusent toute vaccination alors que celle-ci est une solution
pour lutter contre ce fléau qui ébranle nos certitudes, augmente
la précarité et génère certains effets dévastateurs.
Il est vrai que depuis quelques décennies, c’est l’individualisme
qui prime et que, pour certaines personnes, alors qu’il est démontré
que les vaccins n’ont provoqué que quelques effets indésirables,
il ne leur vient pas à l’esprit qu’on se vaccine aussi pour protéger
les autres.
Retenons cela, c’est que c’est grâce aux vaccinés qu’on a pu respirer
pendant quelques mois et que l’économie a pu redémarrer; les réfractaires
qui se sentent si bien dans leur petit cocon, en ont bénéficié…
en comptant sur les autres.
À l’heure actuelle, les vaccins sont notre seul espoir pour, un
jour, revivre normalement.
Patrick Perrinjaquet
"Voyages
dans les bistrots de l'Ouest"
Venez à la rencontre des personnalités de
nos incontournables bistrots de l'Ouest !
Les cafés
sont des petits mondes uniques, tous différents,
à la fois bulles d'intimité et portes ouvertes
sur la planète. Ils témoignent de leur époque,
d'un territoire, ils racontent des histoires. L'humanité
se reflète
dans leurs zincs et leurs miroirs, certains même
disent qu'ils ont une âme !
Ce récit rend hommage à celles et ceux qui
les font vivre au rythme du quartier, du village. Couvre-feu
et confinements nous ont rappelé combien sont précieux
ces petits lieux, qu'ils soient urbains ou ruraux.
Pierrick BOURGAULT
Voir monbar.net
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Les pas futés au balcon ! Et ils peuvent toujours continuer
de critiquer un Président de la République qui a amené 90 % des
français de plus de 12 ans à se faire vacciner !
>> Nous allons présenter un texte qui demande de mettre fin
au régime d’exception de santé, qui veut enlever le plein pouvoir
sanitaire à Emmanuel Macron, et qui mettra fin au passe sanitaire
et au passe vaccinal.
M. Panot, 18 décembre, présidente du groupe La France insoumise
(LFI) de l’Assemblée nationale
>> Ici c’est la Guadeloupe, les gens ne se laissent pas mater
!
JL. Mélenchon, opposé à l’obligation vaccinale et au passe sanitaire
mais favorable à la vaccination, tout en approuvant les syndicalistes
guadeloupéens qui sont en train de tuer leur syndicat en même temps
qu’ils mettent en danger nos concitoyens.
>> Je suis la science, je suis à l’écoute de ce que disent
les scientifiques. Aujourd’hui, ils ne recommandent pas le passe
vaccinal.
Yannick Jadot, France 2
>> Le vaccin ne marche pas.
Sous l’influence de Big Pharma, Big Data, Big Finance (…), ce qu’ils
veulent, c’est le contrôle total de la population avec le traçage
numérique, c’est-à-dire une société dans laquelle Orwell + Google
= Macron. »
Ph. de Villiers, Europe 1
>> « On en fait trop depuis le début » et le Covid-19 n’est
« pas un sujet prioritaire », 22 novembre, Franceinfo.
Un vaccin qui « n’empêche pas de transmettre » le virus…
Je n’ai pas à « appeler les gens » à se faire vacciner.
E. Zemmour, 9 décembre, France 2,
>> Je suis [une] responsable politique qui n’est pas en exercice
et qui, par conséquent, ne dispose pas des éléments d’information
qui lui permettraient formellement soit de donner une consigne,
soit de considérer qu’au vu de ces éléments d’information (…) je
tiens un propos responsable.
Ch. Taubira, septembre 2021, contre l'appel à la vaccination,
avant de changer d’avis en décembre
Voir
lemonde.fr
EBBH
- Evidence Based Bonne Humeur… à la recherche de l’esprit
critique, un excellent livre de Romain Meunier !!!
>> Un ouvrage ludique et qui fait chauffer les neurones.
À mettre entre toutes les mains !
Francois-Marie BRÉON, président de L'Association française
pour l'information scientifique (Afis)
>> L’esprit critique se défend de toutes les façons,
même avec des petites boules bavardes et cartoonesques.
Romain Meunier nous démontre avec son livre qu’on peut
allier pertinence et impertinence.
Gérald BRONNER, sociologue, membre de l'Académie des technologies
Voir
Livre d’or
Voir la présentation
du livre et le commander
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"5% de faux pass sanitaires chez les personnes hospitalisées"
: d'où vient ce chiffre ?
Devant les députés, Olivier Véran a indiqué ce mercredi que parmi
les personnes hospitalisées en raison du Covid-19, 5% étaient en
possession d'un faux pass sanitaire. Un chiffre issu d'un audit
réalisé par la Société française d'anesthésie et de réanimation
le 29 décembre.
Vaccinés / non-vaccinés
Italie, Grèce, Autriche : l’obligation vaccinale fait son chemin
chez nos voisins européens
Si en France Emmanuel Macron reste opposé au principe d’obligation
vaccinale pour lutter contre le Covid-19, plusieurs pays européens
instaurent cette mesure pour une partie de leur population.
Voir
franceinter.fr
Ma réflexion : Personnellement, j'aurais tendance dans un premier
temps à penser que l’Italie, la Grèce et l’Autriche sont sur la
bonne voie.
Mais un classique du droit veut qu'on reste dans le champ des possibles.
Sinon, on fait une loi de pure idéologie, ou de circonstance.
En effet, une loi que l'on ne peut vraiment appliquer, n'est pas
une bonne loi.
Par ailleurs, dans la pratique, l'application de la loi italienne
passe par le pass vaccinal, si j'ai bien compris.
Déjà chez nous, 5 % des hospitalisés pour cause de Covid ont des
pass sanitaires : le premier objectif serait de mieux sécuriser
ce pass sanitaire. Mais comment ?
Il me semble que la pandémie nous fatigue vraiment et que la couverture
vaccinale insuffisante est la cause du rebond des hospitalisations,
d'où un sentiment de frustration des vaccinés, frustration que Macron
a très bien perçue, d'où sa "sortie" contre les non-vaccinés.
Le confort du complotisme : qui possède Big Pharma et
Big Media ? Vous ne devinerez jamais (ce site est parfaitement
mensonger – GW)
Voir
francemediasnumerique.com
BlackRock et le Vanguard Group, les deux plus grandes sociétés
de gestion d’actifs au monde, ont combiné le New York Times et
d’autres médias traditionnels, ainsi que Big Pharma (selon www.boursier.com)
>>> PFIZER - Les principaux actionnaires
> Vanguard Group Inc : 8,05%
> BlackRock, Inc. : 7,72%
> State Street Corporation : 5,25%
> Wellington Management Company LLP : 3,16%
> Capital World Investors : 3,01%
> Bank of America Corporation : 1,88%
> Northern Trust Corporation : 1,32%
> T. Rowe Price Associates, Inc. : 1,07%
>
>>> > Johnson & Johnson - Les principaux actionnaires
> Vanguard Group Inc : 8,79%
> BlackRock, Inc. : 7,27%
> State Street Corporation : 5,4%
> Geode Capital Management LLC : 1,6%
> State Farm Mutual Automobile Insurance Company : 1,31%
> Wellington Management Company LLP : 1,25%
> Bank of New York Mellon Corporation (The) : 1,25%
> Bank of America Corporation : 1,22%
> Northern Trust Corporation : 1,19%
> Massachusetts Financial Services Company : 1,04%
>>> Astra Zeneca - Les principaux actionnaires
> BlackRock, Inc. : 7,69%
> Wellington Management Group LLP : 5,89%
> Wellington Management Company LLP : 5,88%
> The Capital Group Companies, Inc : 4,86%
> Investor AB : 3,93%
Ma réponse (GW) : Et alors ? Les sociétés capitalistes, y compris
les médias et les inventeurs / producteurs de médicaments et vaccins
ont des actionnaires. Quelle découverte !
Et côté complotisme, il est naturel d'associer possession d'actions
dans la pharmacie, et possession d'actions dans les médias pour
attaquer le NYT et Big Pharma. Que c'est facile et confortable
!
Le regard critique sur le capitalisme ne se porte surtout pas
chez nos amis chinois, où les capitalistes sont les complices
éhontés d'une des pires dictatures que l’on n’ait jamais vues.
Dans nos pays européens, mais pas que, les sociétés qui font des
bénéfices (tant mieux !), paient des impôts, rémunèrent bien
leurs personnels qui paient aussi leurs impôts. Ces sociétés jusqu'à
preuve du contraire respectent les lois et règlements des pays
où elles exercent leurs activités, ainsi que les droits de leurs
personnels et de leurs clients.
Il leur arrive aussi de faire faillite, faute d'avoir renouvelé
leurs offres, d'avoir augmenter leurs coûts de production, de
ne pas pouvoir faire face à la concurrence...
Dans tous les cas, les entreprises capitalistes seraient coupables :
faire de l'anti-capitalisme aujourd’hui plait à l'extrême droite
comme à l'extrême gauche, et, plus que jamais, et n'a strictement
aucun sens.
L'absence de d'analyses critiques, raisonnées et raisonnables
du capitalisme est toujours un vrai danger. Un gestionnaire de
génie (?) Warren Buffet ou Bill Gates sont d'ailleurs plutôt bons
critiques du capitalisme d'aujourd'hui, et tous les cas meilleurs
critiques que beaucoup de nos chercheurs et universitaires dont
c'est pourtant la spécialité.
La critique du capitalisme, quand elle s'enferme dans l'anticapitalisme
de principe, aboutit généralement à des résultats peu brillants
qui ont pour exemples récents le Venezuela et la Turquie.
"Voorjaar",
"Ganzen" (?) van Albert De Vree (NL)
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Fusion nucléaire : une avancée majeure dans cette source d'énergie
« presque illimitée » ! Par Nathalie Mayer
L'un des verrous à l'exploitation de la fusion nucléaire pour produire
une énergie propre et durable pourrait bien avoir sauté récemment.
Des chercheurs sont en effet parvenus à produire un champ magnétique
d'une intensité record grâce à un électro-aimant supraconducteur
à haute température.
Voir
futura-sciences.com
Les notes scientifiques de l'Office - n°30 : "Le déclin
des insectes" (avec des erreurs flagrantes colportées par les
anti-pesticides et anti-agriculteurs : la pollinisation par
les insectes est importante mais ce n’est pas la peine de l’exagérer
pour sonner le tocsin – GW)
Jeudi 9 décembre 2021, l'Office a adopté la note scientifique n°30
: "Le déclin des insectes", présentée par Annick Jacquemet,
sénatrice.
« Par ailleurs, les insectes, par le biais de la pollinisation,
rendent des services d’approvisionnement toujours plus importants
en garantissant notre sécurité alimentaire en volume, mais surtout
en qualité . Sur les 107 principales sortes de cultures mondiales,
91 (fruits, graines et noix) dépendent à des degrés divers de la
pollinisation animale. Il a été calculé qu’une disparition totale
des pollinisateurs entrainerait une baisse de la production supérieure
à 90% pour 12% des principales cultures mondiales et une augmentation
du nombre de personnes présentant des carences en vitamine A, fer
et folate. L’impact de la diminution des pollinisateurs sur l’agriculture
se fait déjà sentir puisque le rendement par hectare des cultures
qui dépendent des pollinisateurs augmente moins et varie davantage,
d’une année sur l’autre, que le rendement par hectare des cultures
qui n’en dépendent pas. ».
Voir
OPECST
En écho au texte de l’OPECST, cette vidéo où Andrew Balmford
montre bien que qu’il faut une agriculture aussi intensive que possible
là où c’est possible, pour avoir les moyens de préserver la biodiversité
ailleurs
>>> Eureka Moments: Professor Andrew Balmford, Cambridge
University
Andrew Balmford's moment of discovery, which he shared with Professor
Rhys Green, was the realization that the best way to conserve wild
nature would almost certainly be to keep large areas of high-yielding
agriculture completely separate from large areas of land completely
committed to biodiversity conservation. This is known as land-sparing,
in contrast to the alternative strategy of doing agriculture and
conservation in more or less the same spatial area - land-sharing.
See Professor
Andrew Balmford, Cambridge University
Dans le même style que l’OPECST, aux USA, et aussi peu fondé…
Perspective: This pesticide ‘research’ is short on data, big
on hype, By Jack DeWitt, November 24, 2021
My region is finally getting some rain, after going seven months
without any meaningful precipitation. Very welcome, and also gives
me an excuse to stay indoors and tackle some of those magazines
that have piled up on my desk over the summer.
I picked up a Scientific American that came last August and thumbed
my way to page 12, where alarm bells rang. The two-page article
was titled, Pesticides are Killing Our Soils. And the sub-title
declared, “They harm worms, beetles and thousands of other vital
subterranean species.” It was written by Nathan Donley, director
for the Center for Biological Diversity, and Tari Gunstone, research
assistant at the center.
When the word “pesticides” is used in Scientific American, it usually
means bad hype for those of us who grow crops.
.../...
See
agdaily.com
Association Nationale des Familles de Fusillés et de Massacrés
de la Résistance
Se
souvenir pour que nous-mêmes, nos enfants et petits-enfants ne vivent
pas le cauchemar des années de guerre 39-45
Contact : Jean DARRACQ, ancien collègue à l’Iteb, et ami
Mél : anffrmfa(a)gmail.com
Pour se désabonner de cette gazette si vous la recevez par erreur…
Si ce lien
ne fonctionne pas, merci de s'adresser à moi : guy.waksman(a)laposte.net
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Afia
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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une
opinion !)
ARGENT (L') : Il n'a pas d'odeur.
VESPASIEN
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour
les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Informatique
et numérique agricole |
ACTA recrute : CDD - Chargé.e de projets Numériques
Européens
Voir linkedin.com
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de l’édition du 06 janvier 2022 de cette gazette afia
>>>
Last
issue of the Efita Newsletter nb 1021 dated January 10, 2022
>>>
Last
available statistics for the efita newsletter
Du côté de agdatahub.eu
> Une équipe renforcée
- Gaëlle Chéruy Pottiau, directrice conseil
- Thomas Gomez, chargé de projets Agriculture numérique
- Christophe Gervais, directeur technique
- Laurie Bésinet, ingénieure avant-vente et cheffe de produits Agriconsent
> Une nouvelle formule gratuite
En septembre, les abonnements à la plateforme d'échanges de données
API-Agro ont été revus.
100% gratuite, l'offre Découverte vous permet d'acquérir des données
disponibles autrement qu'en open data.
> Le consentement en plein essor
Second pilier d'Agdatahub, le volet consentement est en plein déploiement.
A savoir : identité numérique des exploitations agricoles, portail
gratuit des exploitants agricoles et gestionnaire de consentements.
Voir agdatahub.eu
Russian Peasants by Boris Dmitrievich Grigoriev (RU, 1886-1939)
3
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Farmi vous simplifie l’agri avec la vente de produits et services
agricoles en ligne
Sur farmi.com, site E-commerce agricole, vous trouvez tout ce dont
vous avez besoin pour la gestion de votre exploitation : des semences
agricoles, des engrais, des produits de nutrition et de santé animale,
des produits phytosanitaires, des carburants pour engins et véhicules
agricoles, des services agricoles, du matériel agricole et des équipements
pour la protection des personnes. Le tout vendu sous une multitude
de formats, par exemple, en vrac, en big bag, en sac…
Le site internet propose des produits et services agricoles pour
tous les publics en lien avec l'agriculture ou l'activité équestre
: particulier, agriculteur céréalier, viticulteur, éleveur, arboriculteur,
maraicher...
Répartis sur plusieurs régions, nos experts sont à votre écoute
pour vous renseigner et vous accompagner sur les différents produits
et services et leur utilisation.
Voir farmi.com
Un agriculteur sur deux n'a pas confiance en la robotique (en
grande culture prncipalement)
Robot en grandes cultures - Un agriculteur sur deux n'a pas confiance
en la robotique
Un récent sondage réalisé sur Terre-net.fr, indique que près de
la moitié des agriculteurs interrogés n'ont...
Voir
terre-net.fr
Russian Peasant Woman by Boris Dmitrievich Grigoriev (RU, 1886-1939)
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Thierry agriculteur d'aujourd'hui
Voir
youtube.com
Les règles du pâturage des vergers, par l'Idele
Voir vimeo.com
Les règles du pâturage des vignes, par l'Idele
Voir vimeo.com
Science et Pseudo-Sciences n°338 (octobre 2021)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ARGENT (L') : Il n'achète pas la santé, mais permet au moins de
s'offrir de jolies infirmières pour la faire revenir.
Anonyme
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Révélations des « Facebook Files » : Comment Instagram peut pousser
les ados à l’anorexie
Des documents internes montrent que la plateforme offre des contenus
toxiques aux adolescents. Nous l’avons testé sur des profils fictifs,
avec des résultats effrayants.
Voir
Tribune de Genève
Russian Peasant Girl, by Boris Dmitrievich Grigoriev (RU, 1886-1939),
Detroit Institute of Arts Museum
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Comment ouvrir la voie du Cloud aux entreprises, par Rudy Malka,
11 janvier 2022
Pour les petites et moyennes entreprises en particulier, le passage
au cloud peut souvent ressembler à une série d’obstacles décourageants,
avec des questions difficiles à résoudre à chaque étape.
Voir
silicon.fr
Développeurs : 10 compétences recherchées par les recruteurs,
par Ariane Beky, 11 janvier 2022
1 - Développement Web (cité par 58% des recruteurs)
- DevOps (38%)
- IA / Machine Learning (30%)
- Logiciels de bases de données (27%)
- Cloud computing (26%)
- Développement mobile (24%)
- Conception d’interfaces UI/UX (23%)
- Big Data (20%)
- Programmation fonctionnelle (19%)
- Cybersécurité (17%)
Voir
silicon.fr
Green IT : le réseau mauvais élève ?Par Clément Bohic, 7 janvier
2022
Resterait-il, en France, du travail à faire sur l’empreinte environnementale
des équipements réseau ? La dernière édition du baromètre Green
IT le suggère.
Voir
silicon.fr
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : Il ne fait pas le bonheur ; sans doute veut-on parler
de l'argent des autres.
Sacha GUITRY
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Agritechnica : Une médaille d'or et 16 médailles d'argent
attribuées
Agritechnica Innovation Awards 2022 - Une médaille d'or et 16 médailles
d'argent attribuées
Avant d'annoncer l'annulation de l'édition 2022 d'Agritechnica,
la DLG avait présenté les lauréats des Agritechnica Innovation...
Voir
terre-net.fr
Jade Denis : « Le but est de garder la mainmise sur le produit
afin de garantir un produit artisanal, local et de très bonne qualité
»
Je m’appelle Jade Denis, j’ai 29 ans, une petite fille ; avec mon
compagnon Thomas Wilmet, nous exploitons une ferme mixte (grandes
cultures, BBB et Holstein), la Ferme de la Béole, à Flostoy. Nous
sommes la 4ème génération à occuper les lieux.
C’est en 2016 que j’ai rejoint l’exploitation familiale de la Béole
de mon compagnon. De mon côté, j’ai repris le troupeau laitier de
mon père dont la ferme est située à Gembloux.
.../...
Voir
uniondesagricultriceswallonnes.be
Yara France : « Il y a 10% à gagner sur le pilotage et 10% sur
la forme d’engrais azoté »
Voir
pleinchamp.com
Russian Peasant Woman By Boris Grigoriev, Cutler Miles Art Gallery
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Pénurie de frites au Japon : Ce n’est pas parce qu’un pays
est riche qu’il peut se nourrir tout seul, par Bruno Parmentier
20 décembre 2021
La société McDonald’s annonce qu’elle rationne les frites
dans ses 2900 restaurants japonais, qui n’en serviront que
des petites portions pendant les fêtes de fin d’année ! Une
information totalement inattendue pour les Français et une
occasion de mieux comprendre comment on se nourrit dans le
monde.
Voir
stripfood.fr
Quelle contribution de la sélection génétique pour l’adaptation
de l’agriculture au changement climatique ? Replay de la conférence
n°1 Varenne agricole - Thématique 2
Ce Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement
climatique vise ainsi à identifier, avec l’ensemble des parties-prenantes
(agriculteurs, ONG, élus…), des solutions concrètes et établir
une feuille de route opérationnelle, pour nous permettre de
nous doter des outils nécessaires à l’adaptation et à la protection
de nos agriculteurs face aux aléas du changement climatique,
en complément des premières mesures mises en œuvre dans le
cadre du volet agricole du plan France Relance.
Voir
idele.fr
Présidence française du Conseil de l’Union européenne :
priorités de la FNSEA
Dans son rapport d’orientation de 2017 intitulé « les 60 ans
de l’UE, nos propositions pour mieux d’Europe », la FNSEA
appelait de ses vœux une Europe qui relève les nouveaux défis,
plus harmonisée et solidaire, une Europe qui protège les acteurs
économiques et s’affirme sur la scène internationale. La PAC
est certes la principale politique européenne et le ciment
historique de l’UE, mais la PAC n’est plus la seule politique
qui concerne l’agriculture : la santé, l’environnement, le
climat, l’énergie, le commerce, la concurrence, le marché
intérieur… impactent tout autant la production agricole.
Au premier semestre 2022, la France exercera la présidence
du Conseil de l’Union européenne (PFUE). Le Pacte vert sera
probablement au cœur des discussions avec les Stratégies «
de la Ferme à la Table », la stratégie « Biodiversité 2030
» et le plan d’action pour la neutralité carbone « Fit for
55 ». L’agriculture jouera un rôle important pour relever
ces défis, à condition qu’il y ait davantage de cohérence
dans les politiques menées par l’Union européenne.
En effet, l’agriculture est un secteur économique productif.
Des orientations de réduction des intrants et des émissions
de GES ne seront économiquement et socialement vertueuses,
et donc réalisables, que si elles découlent d’une vraie stratégie
de transition s’adossant notamment sur l’investissement, les
innovations, l’amélioration de la rémunération des producteurs,
et des politiques commerciales qui prennent en compte les
distorsions de concurrence.
C’est pourquoi, face à de tels enjeux les études d’impact
doivent faire partie du processus législatif européen, surtout
si les objectifs sont chiffrés et même si ces derniers ne
sont pas contraignants.
Nous comptons sur la PFUE pour porter une vision ambitieuse
et stratégique pour l’agriculture européenne, en remettant
en perspective les enjeux alimentaires et environnementaux.
C’est une échéance importante et nos attentes sont fortes.
.../...
Voir
fnsea.fr
La génération 68 arrive en maison de retraite avec humour
Voir
les Punks à l‘EHPAD
Signalé par Paul JAMET
Mél ; paul.jamet(a)free.fr
Du côté
d'Auguste Derrière
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En recevant sa récompense de la RVF, le Président Macron, «personnalité
de 2022», loue le vin français, «un monde d'excellence»
Emmanuel Macron a loué « l'extraordinaire richesse » du secteur
du vin en France, « un monde d'excellence qui irrigue nos territoires
», en recevant jeudi le titre de « personnalité de l'année 2022
» décerné par la Revue du vin de France (RVF).
Voir
agri-mutuel.com
Les systèmes alimentaires territorialisés durables, par Jean-Louis
Rastoin, membre de l'Académie d'Agriculture de France
Dans la quête d'une alimentation durable, on observe un foisonnement
d'initiatives locales en réaction aux chaînes globales de valeur
alimentaires. Ces micro-projets – qu'il convient d'encourager –
présentent cependant des limites, qui appellent un cadre opérationnel
performant entre local et global. On peut les qualifier de systèmes
alimentaires territorialisés durables (SATD). Le point sur ce sujet
avec l'Académie d'agriculture de France.
Voir
agri-mutuel.com
Menaces d’inflation sur les produits alimentaires ? André Neveu,
membre de l'Académie d'Agriculture de France
Alors que les récoltes mondiales des années 2020 et 2021 sont considérées
comme normales, les prix des produits agricoles et alimentaires
ont fortement progressé. Comment expliquer ces augmentations ? On
fait le point avec l'Académie d'agriculture de France.
Voir
agri-mutuel.com
Les 10 articles qu'il ne fallait pas manquer en 2021 sur pleinchamp.com
1 - L’abattage à la ferme, un petit pas de côté pour l’animal et
pour l’humanité
2 - Léa et Damien : ingénieurs, entrepreneurs, agriculteurs
3 - Azote sur blé : pas à tout prix
4 - « Des récoltes comme ça, j'en fais une tous les dix ans »
5 - Pac 2023-2027 : les arbitrages du ministère de l’Agriculture
6 - « En 20 ans de semis direct, j’ai peut-être créé 1 millimètre
de sol »
7 - Pâturage : bienvenue dans l’ère des clôtures virtuelles
8 - Faim d’azote et fin de croissance pour les grandes cultures
bio ?
9 - L’asphalte plutôt que le béton pour rénover la stabulation
10 - Et le tracteur de l’année 2022 est...
Voir
pleinchamp.com
La technologie résout le problème du brûlage des chaumes en Inde
.../...
Il s'avère que le brûlage des chaumes n'est responsable que de 4
% de la pollution atmosphérique de New Delhi. Lorsque ce fait est
apparu récemment dans une déclaration sous serment à la Cour Suprême,
le juge D.Y. Chandrachud a réagi avec surprise : « Le chat est sorti
du sac », a-t-il déclaré. « Nous visons quelque chose qui est totalement
insignifiant. »
Les plus gros pollueurs n'ont rien à voir avec l'agriculture. Les
cheminées d'usines, les générateurs d'électricité et les pots d'échappement
des véhicules produisent la grande majorité du smog indien. Même
les pétards jouent un rôle. Les allumer est un passe-temps populaire
à New Delhi.
Les agriculteurs sont devenus une cible facile. Les critiques les
visent, nous détournent du vrai problème et nous empêchent de réfléchir
aux solutions possibles.
Il est insensé d'espérer que le brûlage des chaumes disparaisse
sans se concentrer sur les options que les agriculteurs peuvent
utiliser. Le gouvernement, les agriculteurs et les universités ont
la possibilité de travailler ensemble pour fournir des informations
qui favoriseront l'adoption de nouvelles technologies susceptibles
d'aider les agriculteurs à abandonner cette méthode.
Plutôt que de crier sur les agriculteurs qui brûlent les chaumes,
nous devrions les persuader d'envisager des alternatives, afin qu'ils
puissent réduire leur contribution de 4 % au dilemme de la qualité
de l'air en Inde.
Les agriculteurs entreprenants peuvent transformer les chaumes en
aliments pour le bétail, en énergie de biomasse, en compost, en
matériau d'emballage, en combustible, en papier, etc. Dans les zones
rurales, ils peuvent devenir un matériau de couverture. Ils peuvent
même être utilisé pour la culture des champignons.
Les agriculteurs peuvent également adopter une technique de semis
direct que j'utilise dans ma ferme depuis plusieurs années. Au lieu
de repiquer les plants de la pépinière, nous établissons notre culture
de riz à partir de graines semées directement dans le champ. Avec
un tracteur, nous semons les graines directement dans le sol.
.../...
Voir
seppi.over-blog.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ARGENT (L') : Il ne fait pas le bonheur, car les ministres le nomment
traitement, les notaires, émoluments, les médecins honoraires, les
employés, appointements, les ouvriers salaires et les domestiques
gages.
Gustave FLAUBERT
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté des écrivains et artistes paysans |
Clément
Mathieu communique
Du côté d’EBBH : En résumé #103 : « E sur ou , la »* (vœux
2022)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ARGENT (L') : Il ne fait pas le bonheur, c'est même à se demander
pourquoi les riches y tiennent tant.
Georges FEYDEAU.
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Enjeux et impacts du développement de l’agrivoltaïsme en agriculture
18 janvier 2022 - 13h - 14 h - Webinaire
Voir
Inscription Webinaire Acta-Agreenium
Webconférence - Quel(s) avenir(s) pour l'agriculture
française ? Échanges sur les récentes analyses, prospectives
et consultations du public
18 janvier 2022 - Web conférence
Adaptation au changement climatique, renouvellement des
générations d'agriculteurs, préservation de notre souveraineté
alimentaire, évolution des comportements et des attentes
sociétales en matière d'alimentation, mise en œuvre de la
future PAC : le secteur agricole est confronté à de nombreux
défis vis-à-vis desquels différentes voies d'évolution sont
envisageables.
En partenariat avec l'Institut Montaigne, France Stratégie
organise une webconférence de présentation de travaux d'analyse
et de concertation récemment publiés pour éclairer ces débats.
Seront notamment abordés :
- le rapport présidé par Hervé Gaymard « En campagne pour
l'agriculture de demain » (Institut Montaigne)
- le rapport coordonné par Julien Fosse « Pour une alimentation
saine et durable » (France Stratégie)
S'en suivront les interventions de Mme Christiane Lambert,
Présidente de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants
agricoles (FNSEA), de Mme Ilaria Casillo, vice-présidente
de la Commission nationale du débat public (CNDP) chargée
du débat public sur « ImPACtons » et M. Pierre-Marie Aubert
coordonnateur de l'initiative Politiques publiques pour
l'agriculture européenne à l'Institut du développement durable
et des relations internationales (IDDRI).
Voir
strategie.gouv.fr
Groningse boerderij, van Van Dulmen Krumpelman (1925-2000)
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Accélération des programmes d’amélioration des plantes grâce
à la génomique
19 janvier 2022 – 14h30 en présentiel et en webinaire
Aujourd’hui les techniques de séquençage des génomes ont fait
des progrès gigantesques à la fois en débit, en coût et en qualité.
La plupart des génomes des plantes cultivées ont été séquencés
et des dizaines, voire des centaines, d’accessions re-séquencées.
Les informations issues de ces travaux ont considérablement
changé les modalités de l’amélioration des plantes. L’identification
de gènes impliqués dans la variation de caractères d’intérêt
est largement facilitée.
La sélection génomique, qui s’appuie sur l’information contenue
dans l’ensemble du génome, qui a vu le jour pour la sélection
bovine il y a une dizaine d’années, se développe rapidement
chez les plantes de grande culture mais aussi chez les arbres
forestiers. Elle permet de prédire la valeur d’individus sur
la seule base de leur génome et modifie profondément les schémas
de sélection.
La biologie translationnelle permet de s’appuyer sur les connaissances
acquises chez les plantes modèles pour identifier les gènes
homologues chez les plantes cultivées. Elle est également source
de progrès génétique.
Nous proposons d’illustrer ces avancées sur trois espèces emblématiques,
deux espèces de grande culture, blé et maïs et sur les arbres
forestiers
Voir
academie-agriculture.fr
Du côté
d'Auguste Derrière
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : Il ne fait pas le bonheur, mais il permet de supporter
le malheur dans un certain confort.
Stephen KING.
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du côté des gazettes et des blogs agricoles
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Du côté de vitisphere.com : Le verre à moitié plein, par Marion
Sepeau Ivaldi Le 07 janvier 2022
Nous commençons tous l’année en nous souhaitant les vœux. Et cette
année, ils sont plus clivants que jamais entre les Optimistes qui
tournent vite la page de 2021 et espèrent une année 2022 haute en
félicité et les Pessimistes qui voient arriver un bis repetita de
2020 et 2021. Jamais deux sans trois, dit l’adage…
Mais pour la Vitisphere ? On s’est dit qu’on pourrait vous souhaiter
de regarder le verre à moitié plein. Cela a le mérite de ne pas être
trop ambitieux dans un contexte très flou mais tout de même un sacré
objectif de s’y tenir toute l’année. L’export se porte plutôt bien,
la filière est prise en exemple dans son anticipation du changement
climatique, l’offre en robotique s’étoffe et s’avère prometteuse,…
La liste à la Prévert des raisons de se réjouir est longue, si on
prend le temps de la dresser.
Et puis, le temps du verre à moitié plein, c’est un peu le temps suspendu
où après avoir rencontré le nectar, s’être questionné sur ses arômes,
avoir déclaré ses impressions, une deuxième rencontre se fait. Passé
la surprise, la découverte, c’est le temps d’un second jugement, peut-être
plus posé, avec plus de recul, moins spontané, mais plus profond.
Le temps où l’on peut corriger une première impression un peu hâtive,
le temps où l’on reconnait une évolution. Le temps aussi où l’on pose
un avis définitif. Le temps de la maturité.
Belle et heureuse année 2022.
(Et ne manquez surtout pas nos 20 personnalités du vin. On prend le
pari, ils feront bouger l’année 2022 !).
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Quand le carbone vient au secours du
glyphosate
Le vent a bien tourné depuis l’annonce d’Emmanuel Macron, en novembre
2017, demandant à ce que le glyphosate soit interdit en France « au
plus tard dans 3 ans ». Quatre ans et trois ministres de l’Agriculture
plus tard, le discours est tout autre. A plusieurs reprises, le président
a reconnu avoir échoué sur ce dossier brûlant pour les agriculteurs
et hautement symbolique pour la société civile.
Alors que la France vient de prendre la présidence de l'Union européenne
pour les six prochains mois, Emmanuel Macron et Julien Denormandie
s’en remettent désormais à la communauté européenne pour tabler sur
le sujet. L’herbicide, dont l’autorisation de mise sur le marché prendra
fin le 15 décembre 2022 dans l’UE, devra faire l’objet d’une nouvelle
approbation (ou non) d’ici la fin de l’année.
« Il faut faire en sorte que la question des pesticides ne soit pas
une question de concurrence déloyale au sein du marché commun », a
affirmé le ministre de l’Agriculture lors de ses vœux à la presse
le 4 janvier. Le ministre défend une position « méthodique » et «
pragmatique » : « pas d’interdiction sans alternatives ».
>>> L'agriculture de conservation comme étendard
« Quand il n’y a pas d’alternative viable économiquement et crédible
environnementalement, il faut continuer à utiliser le glyphosate.
C’est la position que l’on défendra au niveau européen », a clamé
le ministre de l’Agriculture. Et de citer comme exemple de situation
d’impasse l’agriculture de conservation des sols (ACS), dont l’un
des piliers consiste à ne pas travailler le sol, et qui reste à ce
jour dépendant du glyphosate en l’absence d’alternative réellement
efficiente, même si de nombreuses expérimentations sont en cours chez
les agriculteurs.
« L’agriculture de conservation est une agriculture incroyablement
essentielle car elle permet de capter le carbone », a dit le ministre.
« Ne plus utiliser le glyphosate, ça veut dire labourer le champ,
et donc libérer toutes les tonnes de CO2 que les agriculteurs ont
réussi à capter dans le sol ».
>>> Un ensemble de pratiques à considérer
Or, l’absence de labour n’est pas garant d’un accroissement de carbone
dans les sols, a récemment montré l’Inrae dans une analyse bibliographique.
Selon elle, les pratiques les plus stockantes sont d’abord l’extension
des cultures intermédiaires, l’agroforesterie intraparcellaire, l’insertion
et l’allongement des prairies intermédiaires, le semis direct ne se
classant en quatrième position.
.../...
Voir
pleinchamp.com
Boeren erf, van Louis Soonius ( 1883 - 1956 )
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Du côté d’André Heitz
> Une
communication efficace démystifie le marketing fondé sur la peur
> Les
scientifiques africains appellent à des politiques de soutien à la
biologie synthétique et aux autres technologies innovantes
> Un
chercheur de K-State espère écraser les mauvaises herbes résistantes
aux herbicides
> Comment
la Révolution Verte a permis au monde d'économiser 83.000 milliards
de dollars
> Suisse
: le Conseil National rejette l'« initiative sur l'élevage intensif
» et le contre-projet
> Nouvelle
année, nouvelle présentation (par Amanda Zaluckyj, the farmer's
daughter USA)
Du côté de l'ambroisie, un fléau
Voir
AFEDA FLASH INFO N°88
Du côté du ministère de l’Agriculture
> Conférence
de presse de rentrée de Julien Denormandie
> Administration
numérique : priorité à l'usager
> Communiquer
de manière accessible : un enjeu essentiel pour le ministère
> Christophe
Harnois : « Il est fondamental de favoriser le recrutement d’agents
en situation de handicap »
Du côté de la Fnsea
> Présidence
française du Conseil de l’Union européenne (PFUE) : nos propositions
pour une Présidence de l’UE utile pour l’agriculture
La France vient de prendre la présidence du Conseil de l’Union européenne,
une première depuis 14 ans. Cette présidence intervient à un moment
clé des discussions du Pacte Vert, sur les Stratégies « de la Ferme
à la Table », « Biodiversité 2030 », du plan d’action pour la neutralité
carbone « Fit for 55 », mais aussi de la révision de la politique
commerciale pour « une autonomie stratégique ouverte ».
Le Président, Emmanuel Macron, l’a annoncé : l’une de priorités de
cette présidence sera de bâtir un nouveau modèle européen de croissance
qui concilie développement économique et ambition climatique.
L’agriculture a un rôle stratégique à jouer pour participer pleinement
à cette ambition : l’agriculture, ciment historique de l’Union européenne,
attend donc des 6 mois de la présidence française de l’Union Européenne,
qu’ils posent les conditions lui permettant de devenir le fer de lance
d’une Europe forte, souveraine et durable.
Pour cela, la FNSEA propose un plan d’actions qui s’articule en 4
axes stratégiques :
- Mieux rémunérer les agriculteurs et mieux informer les consommateurs
pour permettre une redistribution plus équitable de la valeur ajoutée
dans la chaine de production en faveur des agriculteurs et une meilleure
information des consommateurs par le biais de la généralisation et
de l’obligation de l’étiquetage de l’origine des denrées alimentaires,
brutes ou transformées.
- Intégrer la durabilité aux politiques commerciale et extérieure
européennes pour permettre aux agriculteurs de poursuivre leur effort
pour une transition agroécologique, tout en les protégeant d’une concurrence
internationale déloyale, via une réciprocité des normes pour les produits
importés.
- Allier compétitivité et durabilité de l’agriculture. Notre capacité
à nourrir les citoyens impliquera nécessairement des interactions
de plus en plus complexes entre des enjeux agronomiques, environnementaux
et économiques,
- Promouvoir l’Agriculture comme solution contre le changement climatique.
L’agriculture a la spécificité d’être un acteur clé de la neutralité
carbone. Il est nécessaire que l’Union européenne lui donne les moyens
financiers et techniques de relever ces défis.
La FNSEA appelle de ses vœux depuis de nombreuses années une vision
ambitieuse et solidaire pour l’agriculture européenne, qui remette
en perspective les enjeux économiques, alimentaires et environnementaux
dans une cohérence globale de toutes les politiques.
Du côté d'Auguste Derrière
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> Baromètre
de conjoncture agricole IFOP / FNSEA – Automne 2021 : un panorama
riche d’enseignements pour les candidats à la présidentielle
La FNSEA publie ce jour son baromètre d’opinion biannuel réalisé avec
le concours de l’IFOP auprès des agriculteurs. Celui-ci rend compte
de l’opinion des agriculteurs sur leur perception de la situation
économique de leur exploitation et de celle du pays ainsi que du jugement
qu’ils portent sur l’action gouvernementale.
Réalisés du 2 au 27 novembre 2021, les résultats de l’étude révèlent,
à l’instar des autres secteurs économiques, que le secteur agricole
est revenu à son niveau d’avant crise, avec 29% des exploitants (+
7 points en un an) qui estiment que la situation économique actuelle
de leur exploitation est bonne, soit une proportion identique à celle
mesurée en mars 2020 avant le début de la crise.
Sans réelle surprise compte tenu des lourds aléas climatiques et de
la hausse des matières premières qui ont pesé sur l’agriculture en
2021, près de 40% des agriculteurs interrogés témoignent de difficultés
importantes dans leur activité.
Ces difficultés, principalement liées à des charges d’exploitation
trop lourdes (+ 16 points en 1 an) ont logiquement des répercussions
sur l’optimisme qu’ils expriment quant à l’avenir de leur propre activité.
Ils demeurent toutefois 6 sur 10 à estimer que la situation financière
de leur exploitation restera stable au cours des trois prochains mois.
Dans un contexte pré-électoral et au démarrage de la présidence française
de l’UE, c’est avec prudence que les agriculteurs regardent la classe
politique. Alors que la campagne présidentielle débute, l’indice de
confiance des personnalités politiques reste faible. 42% des agriculteurs
ne se retrouvent pas dans l’offre politique du moment.
La FNSEA appelle les candidats à prendre la mesure de ces résultats
et à porter dans leur programme une véritable ambition pour le secteur
agricole.
Christiane Lambert dévoilera les propositions du syndicat agricole
majoritaire à l’occasion de la conférence de presse des vœux 2022
le mardi 11 janvier à 9h. Ces propositions destinées aux candidats
engagés dans la campagne présidentielle doivent permettre le retour
de la confiance, indispensable pour répondre aux enjeux de souveraineté
alimentaire et de lutte contre le dérèglement climatique.
The Beggars or The Cripples, 1568, by Pieter Bruegel The Elder
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Évolution des surfaces incendiées et du nombre de feux de forêt
en France métropolitaine
>> L'opinion répandue :
« Les dommages aux forêts dus aux incendies sont en augmentation ».
>> L'analyse de l'Académie :
« Dans 95% des feux d’origine connue, l’homme est la cause première
de la mise à feu : travaux agricoles et forestiers, malveillance (conflits
d’occupation du sol ou intérêts particuliers), imprudences. Mais les
cas documentés d’actes de pyromanie sont rares.
Sur 30 ans on constate une nette baisse du nombre de feux après 1997,
et une diminution des surfaces totales brûlées annuellement se stabilisant
autour de 10 000 ha. Ces bons résultats découlent essentiellement
d’une politique efficace de détection précoce des feux et d’intervention
rapide des moyens de lutte : patrouilles terrestres (véhicules légers
avec réserve d’eau) et aériennes (moyens bombardiers d’eau). Pour
autant, ces chiffres, bien que flatteurs, masquent quelques réalités
très préoccupantes.
95% de la surface brûlée sont causés par seulement 5 % des feux. Il
s’agit donc de très grands feux, apparaissant en conditions de sécheresse
sévère (ex. 2003) et impossibles à contrôler : en 2016, le feu de
Rognac a détruit 3 300 ha et 30 maisons, entrainant la fermeture temporaire
de l’aéroport de Marseille. Avec des épisodes de canicule liés au
réchauffement climatique plus intenses et plus fréquents, et l’accumulation
du combustible végétal résultant de l’efficacité à court terme du
contrôle des feux naissants et du faible prélèvement de matière ligneuse
par la gestion forestière, l’occurrence des grands feux est à redouter.
Il faudra dans l’avenir accorder plus de poids à une prévention à
long terme du risque, fondée sur le traitement de la biomasse. »
Mercifully, annual U.S. home fires, along with their related injuries
and deaths, have roughly halved over the past forty years (humanprogress.com
newsletter)
> Less US home structure fires
> Less fire related deaths and injuries
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : Il ne fait pas le bonheur, surtout quand on en manque.
Alexandre VIALATTE.
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (2)
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L'avis de l'Agence européenne du médicament sur l'efficacité des
vaccins face aux nouveaux variants
- Savez-vous que le variant Travolta donne toujours de la fièvre,
mais seulement le samedi soir.
- Alors que le variant Suisse reste neutre, quel que soit le test.
- Pour le Bordelais, pas de souci on a les Médoc.
- Le variant Normand est difficile à prévoir : "p'têt ben qu'oui,
p'têt ben qu'non".
- Cependant que le variant Belge serait redoutable, ça finit généralement
par une mise en bière.
- Ne craignez plus le variant Chinois, il est cantonné.
- Par contre, le variant SNCF arrivera plus tard que prévu.
- Contrairement aux apparences, le variant du Bénin serait dangereux.
- En ce qui concerne le variant Italien, vous en prenez pour Milan.
- De son côté, le variant Écossais se tient à carreau.
- Apparemment avec le variant Japonais, il y a du sushi à se faire.
- On parle de l'émergence d'un variant Colombien, mais il semblerait
que ce soit de la "poudre" aux yeux.
- Vivement l'arrivée du variant Jamaïcain, ça détendra l'atmosphère.
- S'agissant du variant Moscovite, c'est un méchant Vi-Russe.
- Pour sa part, le variant Corse s'attrape au bouleau et il est transmis
par l'écorce.
- Le premier symptôme du variant Breton, c'est quand on commence à
entendre le loup, le renard et la belette chanter.
- Le variant Martiniquais du Covid est en grève en ce moment : il
revendique la liberté de se propager.
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
What is economic growth? And why is it so important?
In this article we answer the question, "What is economic growth?"
We also discuss what the data on economic growth tells us about our
history and humanity's ongoing battle against poverty.
Pensée du jour (Astronomie / Astrologie et Agronomie / Agrologie)
Les agronomes considèrent qu’une corrélation ne démontre pas une causalité
; d’après eux, une corrélation suggérant une relation de causalité
devrait être vérifiée par une expérience sur le facteur supposé causal,
pour confirmer (ou pas) ce lien de causalité.
Pour les agrologues, cette approche prouve un attachement maladif
au réductionnisme, alors qu’une corrélation suffit largement à prouver
une causalité, du moment que l’on a bien ajusté les facteurs de confusion.
Exemple : une corrélation positive au champ entre une forte présence
d’abeilles et un rendement élevé chez le colza montre que les butineurs
font gagner 35 % de rendement, même si les expériences réductionnistes
montrent que des colzas sous grillage, inaccessibles aux abeilles,
n’ont que des pertes de rendement minimes.
Philippe STOOP, membre de l’Académie d’agriculture
Voir
europeanscientist.com
Autre pensée du jour
Il faut mettre une pression de dingue sur les non-vaccinés, car ce
sont eux, en ce moment, qui bloquent le système. Il faut que le fait
d'être non-vacciné devienne difficile à supporter, c'est la seule
façon de desserrer la pression sur les hôpitaux et de diminuer le
nombre de morts du Covid.
Jean-Michel CONSTANTIN, professeur en anesthésie-réanimation à l'hôpital
de la Pitié-Salpêtrière
Voir
franceinter.fr
Beijing New Year 2022
Voir un
feu d’artifice d’un nouveau genre
Signalé par Paul JAMET
Mél ; paul.jamet(a)free.fr
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TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
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The Living Planet Index
The Living Planet Index is usually the biodiversity metric that hits
the news. Unfortunately, many of these headlines are wrong because
the index is easy to misinterpret.
In two of our latest articles we take a look at the impressive work
behind the Living Planet Report, and what the Index does (and doesn't)
tell us about global biodiversity loss.
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ARGENT (L') : Il rend toujours la bêtise plus brillante.
Paul CARBONE
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A first thought for today
When I approach a child, he inspires in me two sentiments; tenderness
for what he is, and respect for what he may become.
Louis PASTEUR, chemist and bacteriologist (1822-1895)
A second thought for today
It does not do to leave a live dragon out of your calculations, if
you live near him.
J.R.R. TOLKIEN, novelist and philologist (1892-1973)
A third thought for today
Contentment is, after all, simply refined indolence.
Thomas Chandler HALIBURTON, author, judge, and politician (1796-1865)
L’agrologie en action : Chercheurs militants et BorderLines selon
l’INRAE, par Philippe Stoop, membre de l’Académie d’agriculture
de France - 30.12.2021
.../...
Bien conscients de cette contradiction, les scientistes l’ont contournée
d’une façon qui illustre une fois encore leur penchant totalitaire
: en décrétant que chaque discipline scientifique aurait un domaine
de validité, dont elle ne devrait d’après eux pas sortir. Selon
eux, la physique quantique ne devrait pas s’appliquer aux objets
macroscopiques, et les sciences humaines ne devraient pas se mêler
de diagnostic clinique, mais seulement de permettre au patient de
s’approprier ce diagnostic, et mobiliser son énergie pour l’aider
à guérir. C’est au prix de cet artifice liberticide qu’ils ont pu
sauvegarder l’idée obsolète selon laquelle il existe des sujets
sur lesquels la science ne peut donner qu’une réponse juste, qui
correspondrait à une vérité abstraite sur laquelle l’observateur
ne peut influer.
Á la décharge des agronomes, il faut reconnaître que le monde végétal,
sur lequel ils travaillent, se montre souvent peu réceptif aux approches
scientifiques modernes. Quand une voiture percute un platane, ce
dernier a une fâcheuse tendance à imposer une lecture mécaniste
newtonienne de l’évènement, très préjudiciable à la santé du conducteur,
en profitant lâchement de ce que trop peu d’automobilistes maitrisent
assez la physique quantique pour s’en tirer sans dommage par une
pirouette schrödingerienne. De même, dans l’URSS des années 30,
les semences initiées par Lyssenko à l’agronomie prolétarienne,
que l’on n’appelait pas encore agrobioscience, retombaient sournoisement
dans les ornières de la génétique bourgeoise, sitôt que des agriculteurs
essayaient de s’en servir. Mais c’est la grandeur de l’humanité
de ne pas capituler devant l’inertie du monde physique.
Prenons l’exemple d’un platane dont l’élan de l’agrologie s’approche
dangereusement : l’échéance de 2025 du Plan Ecophyto, lancé en 2010,
avec un objectif de réduction de 50% de l’emploi des pesticides,
défini par les Parties Prenantes du Grenelle de l’Environnement
de 2008. Ce plan n’a manifestement pas obtenu les résultats attendus,
comme le rappelait il y a peu une enquête de France Inter, très
reprise par les courants agrologistes [9]. Cela n’étonne pas les
agronomes, qui, avec leur défaitisme habituel, avaient annoncé depuis
longtemps l’échec de ce plan [10], au prétexte que cet objectif
entrainerait une baisse de la production agricole française de 12%,
et une perte de revenus pour les agriculteurs de près de 6 milliards
d’euros, sans aucune mesure avec les sommes investies par l’État
pour changer leurs pratiques. On notera que ces chiffres venaient
du rapport Ecophyto R&D produit par l’INRA, à l’époque où le
A d’INRA signifiait « agronomique », mot heureusement banni du nom
actuel de l’INRAE.
France Inter, autre haut-lieu de l’agrologie après le Monde, arrive
finalement aux mêmes conclusions, mais avec un diagnostic bien différent
pour ses causes. La principale raison mise en avant par cette enquête
est le Bulletin de Santé du Végétal (BSV), le réseau d’épidémiosurveillance
qui informe les agriculteurs sur le niveau de risque de maladies
et de ravageurs de leurs cultures, et les incite donc à traiter
! Comment peut-on convaincre les agriculteurs qu’ils peuvent baisser
leur utilisation de pesticides de 50% sans dommages, si dans le
même temps des agronomes rétrogrades les informent chaque semaine
des maladies ou ravageurs potentiellement présents dans leurs parcelles,
et de leur seuil de nuisibilité ? Comme nous le rappelions dans
notre article précédent, « les agrologues exigent que les indicateurs
environnementaux ne soient publiés que s’ils sont en cohérence avec
les politiques publiques et les attentes des consommateurs ». Si
les résultats du BSV incitent à traiter, et entravent ainsi l’atteinte
des objectifs Ecophyto, supprimons le BSV !
Cet exemple montre la voie que l’agrologie doit suivre, pour ne
pas s’enliser dans une résistance supposée invincible du monde réel.
Il nous incite à ajouter une différence essentielle à notre comparaison
entre agrologie et agronomie :
Quand les prédictions de l’agrologie ne se confirment pas sur le
terrain :
- Les agronomes prétendent que c’est parce qu’elles n’étaient
pas réalistes
- Les agrologues constatent que c’est à cause des agriculteurs,
dont l’esprit d’innovation est paralysé par les informations anxiogènes
et défaitistes dont les abreuvent les agronomes.
Merci à la Mission Agrobiosciences de l’INRAE pour avoir replacé
la révolution agrologique dans le contexte plus vaste de l’histoire
des sciences ! Elle démontre ainsi que la suppression du mot « agronomique
» dans le nom de l’Institut (rappelons que le A d’INRAE signifie
désormais Agriculture et Alimentation) n’est pas qu’un artifice
destiné à effacer un passé honteux : c’est bien la marque d’un engagement
dans une nouvelle étape postmoderne des sciences agricoles.
Voir
europeanscientist.com
Dans European Scientist en 2021
Gérard Kafadaroff - UE : Feu
vert pour les biotechs rouges VS Feu rouge pour les biotechs verte
Pierre Bonnefoy - Les
antivax devraient méditer l’histoire de Pasteur
Sébastien Richet - Dessine-moi
un réseau électrique « sans ou avec peu de pilotable »
Pierre Bois d'Enghien - Plus
de RSE pour la filière du caoutchouc naturel
Eric van Vaerenbergh - Pas
de survie de l’espèce humaine sans transhumanisme
Christian Leveque, membre de l’Académie d’agriculture - Protéger
les insectes, oui, … mais pourquoi pas aussi les humains
Philippe Legrand - Les
enfants ont besoin de viandes, même à la cantine !
Michael Esfeld - La
société ouverte et ses nouveaux ennemis
Samuele Furfari et Loïk Le Floch-Prigent - Libérons
la recherche européenne
Guy Waksman, membre de l’Académie d’agriculture - Nos
racines paysannes, Louis et Lucienne, Souvenirs d’agriculteurs de
Pierrick Bourgault
Bernard Accoyer – « PNC
s’engage pour le nucléaire et le climat » (interview)
Bertrand Alliot - «
L’homme est comme un ours sur son tas d’ordures » (Interview)
Pierre Tarissi - L’ingénieur,
cœur du réacteur de l’« écologie » au XXIe siècle et au-delà…
Jean de Kervasdoué (Interview)«
La science est ludique et passionnante. Le public doit la redécouvrir.
»
Marcel Kuntz - «
Dans une idéologie post-moderne, le statut des NBT est toujours
de facto celui des « OGM » », (Interview)
Gil Kressmann, , membre de l’Académie d’agriculture - L’agriculture
bio, cheval de Troie de la décroissance agricole ?
Léon Guéguen, membre de l’Académie d’agriculture - Les
freins et limites de l’alimentation bio
François Vazeille - «
La recherche ne se porte pas mal en France » (interview)
Pierre Pagesse - «
F2F : un manque de vision stratégique qui nuira à la souveraineté
alimentaire de l’Europe » (Interview)
Michel de Rougemont - Le
casse-tête de la taxe carbone
Marc Rameaux - Climat,
crise sanitaire : les dérapages de la modélisation numérique
Jean-Philippe Vuillez - «
Cancer : il faut laisser la liberté aux chercheurs » (Interview)
Jean-Pierre Riou - Indépendance
énergétique : des ordres de grandeur pour éclairer une voie étroite
Philippe Joudrier - Rappels
alimentaires : méfiez-vous toujours du «Bio» !
Sébastien Point - «
L’Electrosensibilité est le fruit de la religion anti-ondes » (Interview)
Thierry Berthier - Grands
défis technologiques du prochain quinquennat : les politiques sont-ils
prêts ?
Christian Semperes - France
vs Allemagne : deux stratégies pour une énergie décarbonée
Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture - «
Reconsidérer la place de la culture du tabac est essentiel » (interview)
Philippe Charlez - Pour
que nos hôpitaux et nos écoles ne soient pas éclairés un jour sur
cinq
André Pellen - La
salutaire transition énergétique n’est pas celle qu’on croit
Claude Vaucher - Programmes-cadres
: comment l’Union européenne finance sa recherche ?
Gerard Petit - Nouvelle
donne énergétique allemande : une fuite (de gaz) en avant !
Philippe Stoop, membre de l’Académie d’agriculture - L’agrologie
en action : Chercheurs militants et BorderLines selon l’INRAE
Et aussi Quatorze
ouvrages à offrir pour ne pas céder au catastrophisme
Omicron, moins mortel (1) (source Bloomberg newsletter)
Omicron, moins mortel (2) (source Bloomberg newsletter)
Avec les anti-vax, nous payons le prix de l'irresponsabilité de
ceux qui ont critiqué de façon très excessive les OGM, les pesticides,
le nucléaire, la 5G, les compteurs Linky...
Coronavirus : "Je n'ai jamais eu aussi peur qu'aujourd'hui",
confie Émilie une immunodéprimée
Sacrifiées par la pandémie, les personnes immunodéprimées vivent
dans la crainte permanente d'attraper le virus. 300.000 Français
sont concernés.
Voir
rtl.fr
Coronavirus : "Les immunodéprimés sont obligés de s'auto-confiner",
déplore le président d'une association
La part de patients immunodéprimés au sein des services de réanimation
n'a jamais été aussi haute depuis le début de l'épidémie. Pour éviter
l'hôpital, certains restent chez eux depuis près de deux ans.
Ils sont moins de 300.000 en France mais représentent près de 30%
des passages en réanimation dans certains hôpitaux. Les immunodéprimés
sont des malades sous traitement, malades d'un cancer, transplantés
ou encore simplement fragiles qui vivent depuis deux ans parfois
cloîtrés pour se protéger face à la Covid-19.
Voir
rtl.fr
Victims of the Unvaccinated, Jan 5, 2022, by Peter Singer
When both a vaccinated and an unvaccinated patient with COVID-19
need the last available bed in a hospital’s intensive care unit,
the vaccinated patient should get it. Those who view vaccination
as a “personal choice” need to bear personal responsibility for
choosing to place others’ lives at risk.
.../...
After the announced date, when both a vaccinated and an unvaccinated
patient with COVID-19 need the last available bed in the intensive
care unit, the vaccinated patient should get it. If the last ICU
bed is given to an unvaccinated patient because at the time there
was no one else who needed it, and a vaccinated patient with a greater
or equal need for the facility then arrives, the bed should be reallocated
to the vaccinated patient.
The unvaccinated patient, or the family of that patient, may object.
But if the move is in accord with a previously announced policy,
and everyone had the opportunity to be vaccinated before the policy
took effect, people who make choices that are likely to harm others,
and have been warned of the consequences of those choices, must
take responsibility for them.
Hospitals with sufficient capacity should, of course, continue to
treat unvaccinated patients with COVID-19 as best they can. Despite
the extra strain this puts on hospital staff, everyone should have
sufficient compassion to try to save lives, even when those whose
lives need saving have made foolish, selfish choices.
.../...
See
project-syndicate.org
Chute de la natalité dans le monde entier (Source : Bloomberg
Newsletter)
La chute de la natalité est moindre en Afrique subsaharienne, mais
elle est universelle tout de même. Zemmour, le dinosaure, agite
un « grand remplacement » sans fondement aucun.
Et en parallèle, le boom des animaux de compagnie
Priorité à mon animal de compagnie
Les raisons pour différer la venue des enfants
The nuclear moment
For decades, progress towards a clean energy future has been stymied
by anti-nuclear activism.
This may finally be changing. From members of the Biden administration
to EU technocrats, major political forces have shifted their position
from opposition to support for nuclear power.
See
humanprogress.org
Gutenberg innovated the printing press around 1440
Back then, the average book cost around 1,080 hours of work.
Holding all else constant, if there had been no book innovation
since 1439, the money price of a typical book would be $35,143 today.
See
humanprogress.org
The Gift of Life Years, By Gale Pooley
In the last 220 years, life expectancy increased by 157 percent,
and the population increased by 680 percent.
That means that the total number of life years has increased by
1,903 percent since 1800.
According to the website OurWorldinData, in 1800, there were 1 billion
people on the planet. Today there are over 7.8 billion of us. That
website also reports that life expectancy in 1800 was around 28.5
years. Fortunately for all of us, life expectancy has increased
to 73.2 years, with men at 70.8 years and women at 75.6.
Total life years, then, is the combination of population growth
and increase in life expectancy. In the last 220 years, life expectancy
increased by 157 percent, and the population increased by 680 percent.
Multiply those together, and you find that life years increased
by 1,903 percent.
Each additional life year means more time to innovate, trade, and
ultimately improve the lives of others.
Farmer's Daughter: Why I no longer oppose a national bioengineered
label, by Amanda Zaluckyj, The Farmer’s Daughter USA (January 07,
2022)
This columnist is welcoming the bioengineering labeling requirement
on food products -- and she'll support companies that use it.
.../...
I was finally convinced the national labeling law was the right
approach when I first saw the USDA’s BE label. The agency ditched
the loaded “GMO” term and replaced it with the more neutral terms
“bioengineered” and “bioengineering.” Instead of a skull and crossbones,
the icon is bright, happy, and emphasizes the technology’s sustainability
link. The label isn’t a warning; it’s a signal of something good!
Will it silence the activists who want to end the use of biotechnology?
Nope, they’re still complaining (which is proof this was never about
the public’s “right to know”). They’ll continue to complain, too.
And as long as they can squeeze money from their donors, they’ll
continue lying to the public about the alleged dangers and perils
of GMOs.
But I’m predicting this will be the end of the anti-GMO movement’s
power. If consumers want to avoid BE crops, they can look for products
without the label. The label will soon become mainstream and normal.
It’ll be a regular part of our groceries and people will stop worrying
about it.
So I’m welcoming the BE labeling requirement. I’m excited to see
it for the first time on my groceries, and I’ll make sure to support
companies that use it.
The Hay Wain - La Charrette de foin, 1821, par John Constable,
National Gallery de Londres.
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Effective communication debunks fear-based marketing, By Michelle
Miller, Farm Babe
I’ve criss-crossed the world sharing stories about the wonders
of agriculture, and I love doing this so the industry becomes
better understood overall. You can readily persuade someone who
trusts you by appealing to them with a convincing argument, backed
up with solid facts, and accessing the emotions of the reader/listener.
I do my best to build trust by bringing the farm to my audience
through the lens of an earnest learner. Consumers need to be aware
of those that have an agenda that isn’t quite on the “up and up.”
Many in agriculture convey messages to the public about the industry
that are true … but also a bit scary at times to the general public
(i.e. food supply is low, hunger is increasing, etc.). Agriculture
has a lot of uncertainty to it as an industry, but these types
of messages are designed for awareness and to prepare people,
not scare them.
Activist groups and groups disguised as “authorities” on agricultural
issues often use manipulative persuasive fear appeals in ways
that impacts many segments of the agricultural industry negatively.
This hits the bottom line of hard-working producers, and I shake
my head wondering why these groups want to bite the hand that
feeds them!
Recently, I wrote about these types of fear tactics used by Only
Organic (an activist organization that shares an office floor
in Washington with the Environmental Working Group and is funded
by corporations in the organic food industry), which is doing
a big fear-mongering campaign against conventional agriculture
called “Skip the Chemicals.”
.../...
See
agdaily.com
Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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Le graal de la réduction des émissions de CO2 par l'agriculture,
la fixation symbiotique de N2 pour les céréales. Ci- dessous une piste
avec des bactéries génétiquement modifiées…
>>>> Engineered bacteria could boost corn yields. Gene-edited
microbe offer continuous nitrogen fixation
.../...
In the new study, Pivot Bio explained the biology behind its corn-specific
nitrogen-fixing bacteria, which launched commercially in 2019. “The
goal here is to have a microbe that provides nitrogen with the same
reliability and access that a synthetic fertilizer would provide,”
says Keira Havens, Pivot Bio’s sustainability project manager and
the study’s lead author.
Pivot Bio created their modified microbes by starting with an isolate
of a soil bacterium called Klebsiella variicola that selectively colonizes
the outer surface of corn plants’ roots and potently performs biological
nitrogen fixation. Normally, the microbe suppresses its ability to
perform this process when fixed nitrogen is already present. But the
researchers deleted one of the two genes that controls this mechanism
and moved a promoter within the genome so that nitrogen fixation capabilities
stay on full-time. This allows growers to replace some of their fertilizer
use with the altered microbe, which fixes 122 times more nitrogen
than its naturally occurring counterpart.
.../...
See
cen.acs.org
Sunday: a day of rest
Many people know that Sunday means a day of rest and in the countryside
little opens. There are always a few exceptions, however. This Irish
joke is sure to get a few laughs in the pub!
Liam had left Dublin to go up to Belfast for a bit of skydiving.
Late on Sunday evening, he was found in a tree by a farmer.
“What happened?” said the farmer
Liam replied, “My parachute failed to open!”
“Well!” said the farmer, “if you had asked the locals before you
jumped, they would have told you nothing opens here on a Sunday!”
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d’informatique agricole (Afia)
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