
Cette édition est datée du 16 février, mais
j'ai souhaité vous l'adresse plus tôt pour vous signaler
la séance de l'Académie d'agriculture sur l'Ukraine
le 15 février 2023 ! A ne pas manquer sur youtube.com
en direct ou en différé.
Pour être sûr de recevoir cette gazette, abonnez-vous
au fil
RSS comme indiqué...
Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture
où règne une intéressante pluralité de points de vue !
Une ressource trop méconnue.
Voir
academie-agriculture.fr
La chaine youtube.com de l’Académie d’Agriculture
Aujourd’hui 1680 abonnés à la chaîne, plus de 2900 vues de la
séance « L’agriculture de conservation des sols » et plus de 3100
pour la première partie du colloque « Une seule santé : les microbes
et l’antibiorésistance ».
À l'heure où "la sur-médiatisation l'emporte souvent sur la
raison" et où "les tribuns autoproclamés experts empêchent
les vrais experts souvent mauvais tribuns de s'exprimer", notre
compagnie riche de plus de 250 années de SAVOIR RECONNU, se devait
d'avoir sa chaîne YouTube pour ÉCLAIRER le plus grand nombre, et
en particulier les jeunes, en diffusant par vidéo sa RÉFLEXION sur
le progrès dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation
et de l'environnement ainsi que ses EXPLICATIONS sur les enjeux
techniques, économiques, sociaux et environnementaux dans ces domaines.
Nous espérons que le nombre de vos visionnages de nos vidéos de
diffusion d'un SAVOIR CRÉDIBLE attesteront que notre chaîne Académie
d'Agriculture de France a atteint son objectif !
Voir
la chaine youtube.com de l’Académie d’agriculture
Avant
l'informatique : 1935 John Deere BW
13/02/2023
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Avant l'informatique également
Renault n'a jamais eu la capacité d'exporter ses excellents
tracteurs, et n'en voyait d'ailleurs pas la nécessité
Il parait que les commerciaux ne parlaient pas l'anglais et encore
moins l'allemand. D'où sa perte et son rachat par Claas,
société allemande qui fait prospérer sa filiale
française.
13/02/2023
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Comment les tracteurs Renault ont été dopés par la méthode germanique
(avril 2012)
L'entreprise familiale allemande Claas a appliqué à cette activité
acquise en 2003 les recettes du « made in Germany » et investi 250
millions d'euros.
Voir
lesechos.fr (accès libre)
1977 : Comment se soigner avec du vin ? INA
Le docteur MAURY à découvert que tous les vins avaient des propriétés
thérapeutiques spécifiques. Face à Stéphane COLLARO qui l'interviewe,
il présente son ouvrage "Soignez-vous par le vin" et conseille
divers vins en fonction des pathologies des malades.
Voir
ina.fr
Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France
Enrichi de documents originaux récents...:
- 195 fiches " Question sur... "
- 106 fiches " Bois-Forêt "
- 57 fiches " Repères "
- 23 " Vidéos "
L'ensemble de ces 381 documents a été établi
grâce aux contributions de 132 membres de la Compagnie et
de 40 experts extérieurs.
Voir bibliotheque.academie-agriculture.fr
(moteur de recherche)
Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture
l’alimentation et l’environnement.
Voir
academie-agriculture.fr (présentation du fond)
Contact : André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com
Apple Addict
13/02/2023
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ÉCONOMIE (L) : Elle est une science qui est seulement à la portée
des riches.
Henri MURGER
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (1)
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Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour
l'avenir de la vigne
> Feuilleter
ce beau livre
> Acheter
le livre
Personnage
dans la rue du village, de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
01
- 13/02/23 |
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Jacques Prévert
Amusant
petit poème de Jacques Prévert : comme quoi les
produits de l'agriculture ne servent pas seulement à nourrir
l'humanité !!
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Le météore, de Jacques Prévert (1900-1977),
in Histoires (1946)
Entre les barreaux des locaux disciplinaires
une orange
passe comme un éclair
et tombe dans la tinette
comme une pierre
Et le prisonnier
tout éclaboussé de merde
resplendit
tout illuminé de joie
Elle ne m'a pas oublié
Elle pense toujours à moi
Contact
: Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com
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Nuit
étoilée sur le Rhône, de Vincent Van
Gogh, 1888, Musée d'Orsay

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AI timelines: What do experts in artificial intelligence expect
for the future?
Artificial intelligence (AI) that surpasses our own intelligence
sounds like the stuff of science fiction.
What do experts in the field of AI research think about such scenarios?
Do they dismiss these ideas as fantasy, or do they take these
prospects seriously?
In this article, we show that many AI experts believe there is
a real chance that human-level AI will be developed within the
next few decades. At the same time, we also highlight the large
disagreement and uncertainty — some believe it will take longer,
while others believe that it will become reality much sooner.
The creation of a machine, or a network of machines, that is capable
of carrying out the same range of tasks as humans would very likely
have far-reaching and transformative consequences.
Yet the public discourse and the decision-making at major institutions
have not caught up with these prospects. In discussions about
the future of our world — our climate, our economies, our political
institutions — the prospect of transformative AI is rarely central
to the conversation.
We seem to be in a situation where most people hardly think about
the future of AI, while the few who dedicate their attention to
it find it plausible that one of the biggest transformations in
humanity’s history could happen within our lifetimes.
Une
centaine d'aquarelles de cépages français
réalisées par l'illustre Pierre-Joseph
Redouté, ont été retrouvée
à l'Académie d'agriculture. Elles témoignent
de la naissance d'une science des vins.
Au
début du XIXe siècle, le minsitre de l'Intérieur
Jean-Antoine Chaptal demande à Pierre-Joseph
Redouté, connu pour ses peintures des roses du
château de Malmaison, de représenter l'ensemble
des cépages français réunis dans
une collection au jardin du Luxembourg. Quatre-vingt
trois aquarelles sur vélin de variétés
de vignes nous sont parvenues.
Elles sont publiées pour la première fois
et accompagnée d'un texte explicatif de l'un
des plus grands ampélographes français
: Jean-Michel Boursiquot.
Ces planches ont une valeur patrimoniale incomparable.
Elles ont été réalisées
par les plus fameux illustrateurs botaniques de l'époque,
au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté
et marque une date hautement symbolique dans l'histoire
de la viticulture française : les prémices
de l'ampélographie.
À l'heure du regain d'intérêt pour
les cépages autochtones et des nombreuses interrogations
que posent le réchauffement climatique, les vélins
témoignent de la diversité passée
dans un pays où 95% de la production vinicole
reposent aujourd'hui sur 40 variétés.
Au-delà de la reproduction de ces planches, c'est
l'histoire du vin et de la vigne qui nous est racontée,
ou comment on s'est inquiété de la qualité
du vin dès le XIXe siècle. L'ouvrage se
conclut par un éclairage scientifique sur l'avenir
de la vigne au XXIe siècle.
Voir
editionspaulsen.com
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Dessine-moi une vie
Voir vidéo
Vive le vent avec des bouchons
Voir vidéo
Humour : Test d'embauche : le Hot Dog chez Caterpillar
Voir
vidéo
Humour : Avec ça, qu'est-ce que vous prenez ? Un whisky
Voir
vidéo
Curiosité : Une machine qui nettoie les verres à la vapeur sèche,
par une startup de Chatillon (92)
Voir vidéo
Au bonheur des bistrots, photographies de Pierrick
Bourgault
Une bonne partie des photos ont été prises dans les
bourgs des campagnes...
Cafés et bistrots sont des bulles ouvertes sur
le monde. Les visages et les lieux racontent leur quotidien,
un territoire, des cultures.
Litinéraire
photographique de Pierrick Bourgault se glisse dans
des univers intimistes parfois insolites, souvent chaleureux,
toujours dune infinie diversité et précieux
pour la qualité de la vie.
Ces bistrots à vins, bars-concerts, cafés
urbains ou ruraux ont une âme : celle des femmes
et des hommes qui les ont fondés, qui y travaillent,
qui les fréquentent.
Lhumanité se reflète dans leurs
miroirs et sur le zinc de leurs comptoirs, à
la hauteur du coude et du cur.
Pour
commander…
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Les argumentaires contre la réforme des retraites arrivent toujours
à la même conclusion : l’augmentation des impôts et / ou
des charges sociales
Ainsi Thomas Piketty indique dans Le Monde en conclusion de sa tribune
: « C’est en renouant avec l’esprit de justice que l’on sortira
de la crise actuelle sur les retraites » :
« Le troisième principe est la justice dans le financement. Pour
cela, il faut étendre la contribution sociale généralisée. La CSG
a une composante progressive depuis sa création, en 1990, avec un
taux réduit pour les petites retraites.
On pourrait créer des taux additionnels sur les revenus supérieurs
à 5 000 ou 10 000 euros par mois, ainsi qu’un taux de CSG de 2 %
sur les 500 plus grandes fortunes, qui rapporterait à lui seul 20
milliards d’euros par an, dont les hôpitaux et les retraites ont
bien besoin. »
Je n’ai rien contre l’impôt mais la France détient déjà le record
absolu dans ce domaine. Les transferts sociaux y sont les plus élevés
de l’OCDE. Dans ces conditions augmenter les impôts des plus riches,
qui trouveront toujours les moyens d’y échapper, c’est encore continuer
de maintenir une charge invraisemblable sur les classes moyennes
qui n’ont pas les moyens d’y échapper.
Ce qui me parait curieux, ce sont mes amis retraités qui manifestent
pour l’avenir de leurs enfants et de leurs petits-enfants. Dans
les faits, ils font tout pour que leurs petits-enfants s’appauvrissent
en payant les retraites de leurs parents.
Augmenter les charges patronales et salariales ou la CSG, c’est
augmenter nos coûts de production de biens et services, diminuer
notre compétitivité, et augmenter de nouveau le chômage de tous
et des plus jeunes en particulier. Je ne vois pas là l’esprit de
justice dont se targue M. Piketty.
F. Hollande puis E. Macron en s’attaquant aux impôts de production
et en promouvant une politique de l’offre ont réussi à faire baisser
très sensiblement le chômage, ce qui n’avait pas été réussi depuis
un certain temps. Tout le monde le sait… mais de là à le reconnaitre
?
Nous ne sauverons nos retraites qu’en mettant fin au chômage !
Voir
lemonde.fr
Enjeux
biotechnologiques : des OGM à l’édition du génome, par
Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture
L’évolution des techniques de modification du génome par
génie génétique s’est caractérisée par une rupture technologique
majeure avec la découverte de CRISPR en 2012. On distingue
désormais les biotechnologies de première génération mises
au point au XXe siècle et les biotechnologies actuelles
de deuxième génération, les NGT ou New Genomic Techniques,
dont l’édition du génome. Comment considérer ces modifications
génomiques par rapport à celles qui se produisent spontanément
dans la nature ? Quelles sont les applications de ces
techniques dans les domaines du végétal, de l’animal et
de la santé humaine ? Quelles perspectives en termes de
développement et d’indépendance pour les pays ? Quelle
réglementation est en vigueur sur les différents continents
?
L’ouvrage questionne ce que sont les OGM, les produits
d’édition du génome et la place des transformations génomiques
aujourd’hui et demain dans nos sociétés. L’auteur se propose,
à partir de son expérience au Comité scientifique du Haut
Conseil des Biotechnologies (HCB) pendant toute sa durée
(2009-2021), de donner quelques repères géostratégiques
et réglementaires sur les biotechnologies afin de mieux
cerner les enjeux actuels.
Voir
pressesdesmines.com
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Conférence de Hervé Le Bars (membre de l’AFIS) sur le glyphosate
Cette conférence d’information a été perturbée par des militants
du mouvement Extinction Rebellion et par des scientifiques qui souhaitaient
empêcher cette conférence. L’intérêt de cette présentation vient
du fait qu’elle est réalisée par une personne extérieure au milieu
agricole mais qui a une approche rationnelle ni pour ni contre.
Voir vidéo
Signalée par André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com
Evidence
Based Bonne Humeur… à la recherche de l’esprit critique,
un excellent livre de Romain Meunier !!!
>> Un ouvrage ludique et qui fait chauffer les neurones.
À mettre entre toutes les mains !
Francois-Marie BRÉON, président de L'Association française
pour l'information scientifique (Afis)
>> L’esprit critique se défend de toutes les façons,
même avec des petites boules bavardes et cartoonesques.
Romain Meunier nous démontre avec son livre qu’on peut
allier pertinence et impertinence.
Gérald BRONNER, sociologue, membre de l'Académie des technologies
Voir
Livre d’or
Voir la présentation
du livre et le commander
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L’AFBV souscrit au jugement de la CJUE sur l’exclusion de la mutagenèse
in vitro de la Directive européenne sur les OGM
L’Association française des biotechnologies végétales (AFBV) souscrit
au jugement de la Cour de justice européenne (CJUE) qui considère
que les organismes obtenus par mutagénèse in vitro doivent être
exclus du champ d'application de la directive européenne sur les
OGM.
Cette exclusion est justifiée selon les termes de la CJUE « si ces
organismes sont issus d'une technique/méthode de mutagenèse qui
a été traditionnellement utilisée pour diverses applications in
vivo et dont la sécurité est avérée depuis longtemps au regard de
ces applications ». L’AFBV comprend dans ce jugement que la mutagenèse,
que ce soit par technique in vivo ou in vitro, bénéficie du régime
d'exclusion inscrit dans la législation OGM.
Cela va dans le sens que l ‘AFBV espérait car l’utilisation de ces
techniques permet d’aider au développement de nouvelles variétés
de plantes innovantes indispensables à notre agriculture pour produire
notre alimentation tout en relevant les défis de réductions des
intrants, du changement climatique et du programme « De la ferme
à l’assiette ».
Contact presse : Gil KRESSMANN
Mél : gil.kressmann(a)wanadoo.fr
Grande
neige, , de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
02
- 13/02/23 |
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La CJUE déçoit les anti-OGM
La bataille oppose anti et pro-OGM depuis des années : lorsqu'on
modifie le génome d'une espèce vivante sans y ajouter d'ADN étranger,
cet organisme est-il soumis à la réglementation sur les OGM ? La
Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a donné mardi un point
aux pro-OGM.
Voir
agri-mutuel.com
Le ministre de la Santé, François Braun, révèle son plan anti-paperasse
Le principal axe du plan de François Braun consiste à réduire le
nombre de certificats médicaux, qui doivent devenir une « exception
» et non plus la règle. Pratique sportive, cantine scolaire, administration
d’un médicament à la crèche : il existe des certificats médicaux
en tout genre et « les médecins y consacrent encore aujourd’hui
en moyenne entre 1h30 et 2h00 chaque semaine » selon les auteurs
de la mission flash.
Des lois ont déjà été prises pour limiter le nombre de ces certificats,
qui sont pour la plupart facultatifs, mais il faut désormais faire
un effort d’information auprès des écoles, des fédérations sportives,
des employeurs et plus globalement du grand public pour « mettre
fin aux certificats inutiles de non contre-indication à la pratique
sportive » caricature le ministre. D’ici l’été prochain, l’ensemble
des règles en vigueur sur les certificats médicaux sera disponible
pour les médecins et les patients sur le site service-public.fr.
Voir
Journal International de Médecine

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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
|
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Vaches d’Adainville : revers judiciaire pour les néoruraux
défendus par le cabinet Huglo-Lepage contre un agriculteur bio,
par Emmanuelle Ducros, 7 janvier 2022
Emblématique des conflits entre l’agriculture et les néoruraux,
la guérilla judiciaire autour d’un projet de ferme bio dans les
Yvelines a été tranchée en première instance par la justice administrative,
donnant tort aux voisins mécontents.
L’histoire a tout du cliché, raison pour laquelle elle fait grand
bruit dans les campagnes. Le décor d’abord : un village rural
de 650 habitants dans les Yvelines, Adainville, avec ses maisonnettes
et son clocher. Les protagonistes, ensuite. D’une part, un jeune
agriculteur, Fabien Le Coïdic, qui veut y implanter une petite
ferme familiale bio avec 13 vaches pie-noires bretonnes – une
race rare en voie d’extinction – et 28 chevaux. D’autre part,
des néoruraux aisés, trois propriétaires des maisons de campagne
alentours, dont une éditrice mondialement connue, Odile Jacob,
qui voient d’un mauvais œil cette activité dont ils craignent
qu’elle ne leur gâche les week-ends.
Voir
lopinion.fr
Néonicotinoïdes en enrobage des semences de betteraves : retour
sur France Désinfo
.../...
Comment se fait-il aussi que des néonicotinoïdes soient autorisés,
malgré cet effet allégué, pour un usage à domicile ou en pipettes
et colliers anti-puces pour chiens et chats ?
.../...
Voir
seppi.over-blog.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ÉCONOMIE (L') : Une chose utile pour fournir un travail aux économistes.
John Kenneth GALBRAITH
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de lédition du 02 févier 2023 de cette gazette
afia
>>> Last
issue of the Efita Newsletter nb 1064 dated January 13, 2023
>>> Last
available statistics for the efita newsletter
Parmi les offres de données récemment entrées au catalogue de api-agro
- La Réglette Azote Colza, de Terres Inovia
- La profondeur des nappes d'eau souterraines, du BRGM
- Les caractéristiques granulométriques, chimiques ou morphologiques
des sols, d'Arvalis
- Des indicateurs agro-climatiques blé, à l'échelle d'une ville, par
la Chambre régionale d'agriculture de Normandie
Accessibles gratuitement pour la plupart, ces données agricoles n'attendent
que vous ! Qu'allez-vous en faire ?
Voir api-agro.eu
Des exosquelettes testés sur choux
Des producteurs de légumes ont essayé des exosquelettes lors de la
récolte de chou-fleur. Un essai concluant, qui soulage le port de
charges.
Voir
paysan-breton.fr
Un outil pour prédire les vols de charançons de la tige du colza
Terres Inovia a mis en ligne sur son site internet un outil de prédiction
des vols de charançon de la tige du colza. Issu des travaux de modélisation
de l’Institut, cet outil digital simple, en accès libre, permet d’évaluer
le risque et d’aider les producteurs de colza à protéger leur culture,
tout en évitant les traitements inutiles.
Voir
cultivar.fr
Les robots dans les champs, c’est maintenant ?
Comment se développe la robotisation de l’agriculture en France ?
Quels freins rencontre-t-elle ? Dans quels secteurs les robots sont-ils
le plus présents ? Arnaud Rey, expert en innovation à la direction
agri-agro du Crédit Agricole, décrypte pour Pleinchamp la situation
de la robotique agricole en France.
Voir
pleinchamp.com
Le traitement NDVI des images satellites Sentinel 2 au service
des agriculteurs, par Mathieu Lecourtier, 24/04/2020
Si les applications valorisant les images prises très régulièrement
par les satellites Sentinel fleurissent un peu partout dans le monde
agricole, il ne faut pas oublier que les technologies sont accessibles
gratuitement en ligne pour tous ceux qui souhaitent s’approprier ses
outils.
Voir
cultivar.fr
L'élevage connecté : on vous explique tout (Institut de l’élevage)
Voir vidéo
Identification et traçabilité des ovins : l’essentiel en 4 points
– Guide éleveurs, par Jacques Holtz, 13/12/2018
L’identification est une obligation réglementaire applicable à
tous les ovins (règlement européen du 9 juillet 2005). Elle est soumise
à des règles précises, à respecter, pour permettre une libre circulation
des animaux.
Voir
idele.fr
Finie la robotique agricole hors-sol ? Par Yoann Frontout
Le World Fira, le forum international de la robotique agricole, a
investi du 7 au 9 février les parcelles de l’Agrobiopole toulousain
pour une édition « plein champ ». Le signe d’une plus grande synergie
entre roboticiens et agriculteurs ?
Voir
terre-net.fr
L'église
du village
03
- 13/02/23 |
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L'agriculture numérique sert aussi la biodiversité (un dossier
dans Science & Vie)
La biodiversité, au cœur de la “smart” agriculture, par Héloïse Rambert,
02 février 2023
À Saint-Nom-la-Bretèche, dans les Yvelines, la Station V accueille
plusieurs start-ups, dont NeoFarm, qui développe des solutions d'automatisation
des tâches agricoles au service de l'agroécologie.
Grâce à des outils numériques, certaines exploitations peuvent suivre
l'évolution de la richesse de leurs sols et modéliser l'impact de
leurs pratiques sur la biodiversité. Le tout sans renoncer à une productivité
optimale.
…/…
L’agroécologie, en s’appuyant sur les écosystèmes naturels au lieu
d’entrer en compétition avec eux, apporte de nombreux bénéfices dans
la lutte contre le changement climatique et la préservation des ressources
naturelles. Entre autres : la séquestration du carbone dans les sols,
l’optimisation de l’usage de l’eau, et le maintien de la biodiversité,
particulièrement utile, car favorisant en retour les rendements agricoles
élevés sur de petites surfaces.
“La biodiversité, c’est la pierre angulaire de tout l’agroécosystème
: c’est parce que le sol est riche que les cultures pourront être
cultivées avec le minimum d’intrants, explique Alexia Rey, directrice
générale de NeoFarm. Un bon sol est un sol dans lequel se développent
les micro-organismes, qui vont pouvoir s’épanouir et ‘faire leur travail’
pour conserver la terre en bonne santé et aider les cultures à pousser.
C’est un cercle vertueux, mais néanmoins fragile et auquel il faut
faire attention, avec des pratiques agricoles protectrices.”
NeoFarm est pourtant bien loin d’être revenue au temps de la pioche
: leurs minifermes sont agroécologiques, mais aussi technologiques.
Elles disposent d’une application de gestion intelligente, de capteurs
et d’automates contrôlant notamment l’irrigation et l’aération. Parmi
les données surveillées de près : la si précieuse biodiversité. “La
productivité de l’ensemble de l’agroécosystème, et donc les rendements
agricoles, constitue un bon indicateur de l’état de la biodiversité,
continue Alexia Rey. Mais nous avons mis en place d’autres indicateurs
et mesures sur nos fermes, parmi lesquels le comptage des espèces
faunistiques, et notamment des auxiliaires de cultures – qui rendent
des services écosystémiques à la ferme -, le comptage des vers de
terre, des mesures de l’état du sol et des analyses diverses comme
la qualité de l’eau des bassins et des mares.”
>> Plus le taux de matière organique des premiers centimètres
du sol est élevé, plus la terre est riche en bio diversité
Chez ITK, on mise aussi sur les outils numériques pour aider les agriculteurs
à tirer un profit maximum de leur terre tout en “bichonnant” l’environnement…
qui le leur rend bien. “Notre métier, c’est l’aide à la décision informatique
pour l’agronomie et pour l’élevage, explique Philippe Stoop, directeur
R&D et Innovation à ITK. Cela comprend en particulier des services
en faveur de l’agriculture raisonnée : minimiser l’utilisation d’eau
pour l’irrigation, celle de l’engrais pour la fertilisation et des
pesticides pour la protection des cultures.”
Un peu comme un GPS guide un conducteur en lui permettant d’éviter
obstacles et ralentissements pour arriver dans les meilleurs délais,
même s’il connaît la route, les outils numériques assistent les agriculteurs.
Du semis à la récolte, ces technologies détectent des éléments qu’ils
ne peuvent pas anticiper, comme une vague de sécheresse, un afflux
de froid ou encore le coût des intrants. Objectif : rendement économique
maximum et impact minimum sur les écosystèmes.
>> La biodiversité, c’est la pierre angulaire de tout l’agroécosystème
Le collier connecté d’ITK permet de suivre en temps réel le comportement
de chacune des vaches. L’éleveur reçoit directement sur son smartphone
les alertes en cas d’urgence, comme le vêlage.
La biodiversité est aussi forcément au cœur des préoccupations d’ITK.
L’intelligence artificielle renseigne l’agriculteur sur l’incidence
de chacune de ses pratiques sur la vie dans le sol de ses parcelles.
“On connaît bien les actions qui favorisent cette biodiversité, comme
les techniques de conservation des sols ou la réduction de l’emploi
des pesticides, rappelle Philippe Stoop.
Impossible à ce stade, cependant, de modéliser l’impact des pratiques
directement sur la biodiversité. “C’est encore trop complexe, il n’y
a pas moyen de concevoir des modèles simples et utilisables à l’échelle
d’exploitations agricoles”, précise-t-il. En clair, aucun outil numérique
n’est actuellement capable de dire à un exploitant combien de vers
de terre pourraient disparaître s’il utilise une quantité donnée de
pesticides, et donc de prédire les conséquences sur sa récolte…
“Ce qu’il est possible de faire, en revanche, c’est de se reposer
sur des indicateurs indirects de la biodiversité, comme la mesure
du taux de matière organique des premiers centimètres du sol : plus
ce taux est élevé, plus la terre est riche en biodiversité” , ajoute
le directeur R&D. L’important pour les ingénieurs agronomes qui
croient à la numérisation est de rendre toujours plus accessibles
les pratiques favorables à la biodiversité. Alexia Rey se veut résolument
optimiste. “C’est parce qu’il est économiquement viable que ce modèle
écologique pourra essaimer et constituer une alternative solide aux
modèles aujourd’hui dominants d’agriculture”, assure-t-elle.
Voir Science et
Vie
Paysage,
de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
04
- 13/02/23 |
 |
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Dossier Entraid' : Robots agricoles : nouveautés, réglementation
et essais
>> [FIRA 2023] Des robots dans ma ferme, ça va changer quoi
?
Le rôle des robots agricoles n'est pas seulement de remplacer de la
main-d'œuvre pour en réduire le coût. Selon les agriculteurs interrogés
au salon World Fira, les situations divergent et l'aspect qualitatif
est également à prendre en compte. Témoignages.
>> Des kits pour rendre le tracteur autonome
À côté des constructeurs de robots, on trouve aujourd’hui des sociétés
qui proposent de rendre autonomes les tracteurs du commerce.
>> Un nouveau mode d’irrigation avec un robot
Le système d’irrigation 360 Rain emploie un petit automoteur robotisé
portant une rampe à pendillards.
>> 25 robots en démo près de Toulouse au World Fira
Intéressé par les robots agricoles ? Il y en aura 25 en démo près
de Toulouse début février, en partenariat avec la Frcuma Occitanie.
>> Un robot pour la grande culture conçu en France
Le robot électrique Softi Rover a été étudié pour assurer toutes les
tâches dans la conduite d’une culture en plein champ.
>> Un robot dans les pentes gersoises
Ce n’était pas un mirage mais bel et bien un automoteur venu d’ailleurs…
du Danemark. Ce robot autonome est venu réaliser un essai de semis
de carottes porte-graines en conditions difficiles…
>> Les robots d’AgXeed et AgroIntelli distribués en France
Les robots n'ont jamais été aussi proches de nos champs. Après l'observation
de leur développement technique ces dernières années, place à leur
commercialisation. Retour sur deux partenariats…
>> Un broyeur de refus autonome ? C’est pas de refus !
Des chercheurs américains développent un broyeur de refus autonome
pour les prairies. Il s’appuie sur une tondeuse autoportée largement
modifiée.
>> Robot en Cuma: une utopie ou bientôt une réalité?
La FR Cuma Occitanie s’investit pour tester des solutions robotiques
avec les Cuma. Robot viticole pour le travail du sol, robot porte-outils
en grandes cultures, démonstrations, essais et prise en main…
>> Horsch Gantry: 24m de large et une vitesse de 15km/h
La rédaction d’Entraid a pu visiter la R&D du constructeur Horsch
et s’entretenir avec Michael Horsch sur le robot Gantry.
>> Horsch, Kuhn, Naïo… dernières exclus sur les robots destinés
aux grandes cultures
Entraid Magazine de juillet-aout fait le focus sur les robots agricoles
à destination des productions de grandes cultures. Voici un petit
résumé.
>> Assurance obligatoire pour les robots
Dans les vignes, les exploitations maraîchères ou même les champs
de céréales désormais, les robots font leur apparition. Mais comme
tout autre engin automoteur, ils ne sont pas exempts de risques…
>> Claas et Amazone accélèrent sur les robots
Les deux constructeurs allemands Claas et Amazone viennent de rentrer
au capital de la start-up AgXeed.
>> Nettoyer pour une meilleure rentabilité
Retour sur une démonstration fin mars de robots nettoyeurs de panneaux
photovoltaïques dans la Nièvre. L'occasion de revenir sur l'impact
de la propreté des panneaux sur la rentabilité de…
>> Vigne : le surcoût « relatif » du robot
Anthony Chambrin, conseiller à la FR Cuma Centre Val-de-Loire, a chiffré
le coût prévisionnel, toutes charges comprises, d’un robot viticole
Bakus, par rapport à un enjambeur classique ou un tracteur…
>> Un robot pour Krone et Lemken: Combined Powers
Les deux constructeurs allemands présentent leur concept autonome
pour leur outil. Il se dénomme : Combined Powers.
>> Robot : Tracteur électrique autonome John Deere SESAM 2
John Deere donne une nouvelle fois la direction du tracteur du futur.
Le constructeur vient de diffuser une vidéo de son concept de tracteur
à la fois autonome et 100% électrique.
>> Robotique agricole : qu’est-ce qui change en 2022 ?
Dernier épisode de la web-série "qu'est-ce qui change en 2022".
On conclue avec la robotique: nouveautés et changements attendus pour
cette année.
>> Quel robot-broyeur choisir ?
Comment choisir son robot broyeur ? Témoignage de la Cuma Pyrénées
Espace Innovation qui a fait son choix parmi 6 modèles.
>> Robot viticole : un nouvel outil adapté pour revenir au travail
du…
La robotique et les innovations numériques ouvrent de nouvelles possibilités
pour réinventer les pratiques au service de la transition agroécologique.
La fédération des Cuma a organisé, avec les Cuma…
Voir
entraid.com
John Deere agrees to give American farmers the right to repair
John Deere has reached a Memorandum of Understanding (MoU) with the
American Farm Bureau Federation, which enables farmers in the US to
take their equipment to a dealer of their choice to fix the problem
or repair the machinery themselves.
The fight over the right to repair has been brewing for years. John
Deere had so far required farmers and ranchers to use their own repair
employees on equipment, in an effort to protect intellectual property.
.../...
See
futurefarming.com
App assesses grain quality on-farm with over 95% accuracy
Australian company GoMicro has released a device that allows Australian
farmers to assess grain quality using a smartphone.
With this grain quailty measurement technology, that uses an app,
growers will be able to assess most export grains by the middle of
2023. Farmers can already use the device for lentils. The technology,
developed by GoMicro, is also being used to assess soy quality, by
PB Agrifood in Queensland.
GoMicro’s AI technology will eventually enable a wide variety of grains
to be assessed for physical characteristics. CEO Dr Sivam Krish expects
that the low-cost, portable device, named the Assessor, could replace
expensive machinery, industrial cameras and grain feeders that are
currently required to separate the grains for assessment.
See
futurefarming.com
Sciences et Pseudo-Sciences n°343 (janvier 2023)
Dossier Nucléaire civil
- Accidents et contaminations nucléaires, quelles conséquences
? Dossier coordonné par François-Marie Bréon
- Un historique de la gestion des déchets nucléaires
par Alexis Quentin
- Léchelle INES des incidents et accidents nucléaires
par Laurent Coudouneau
- Les contaminations radioactives au tritium par Paul Ferney
- Conséquences sanitaires de laccident de Fukushima par
Nicolas Automme
Complément du dossier exclusivement en ligne
- Tchernobyl :
aurait-on évité encore pire ? par François-Marie
Bréon
- Tchernobyl 1986 : lUnion soviétique a-t-elle sacrifié
la Biélorussie pour protéger Moscou ? par François-Marie
Bréon
- La série Chernobyl est-elle fidèle à la réalité
? par Jean-Jacques Ingremeau
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISE (La) : Elle ne dépasse jamais les bornes, où qu'elle pose le
pied, là est son territoire.
Stanislaw Jerzy LEC
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Google ne favorise pas WordPress pour le SEO, vraiment ? SEO :
Search Engine Optimisation
Le favoritisme supposé de Google à l'égard de WordPress
anime depuis longtemps une partie de la communauté́ web. Certains
estiment que le moteur de recherche américain comprendrait mieux WordPress
que d'autres CMS.
Voir
journaldunet.com
Prendre la data dans le bon sens, de Jean-Michel Franco (Audatacity)
La data nous concerne tous, et les attentes sont considérables, partout
dans l'entreprise. Organisation, architecture et gouvernance sont
les trois leviers pour généraliser ses usages et son adoption.
Voir
journaldunet.com
L'e-commerce progresse encore en 2022, grâce aux services
L'e-commerce atteint 146,9 milliards d'euros de chiffre d'affaires
en 2022 en progression de 13,8% sur un an. Les ventes de services
sont en forme à +36% sur un an quand les produits reculent de
7%.
https://www.informatique-agricole.org/wp-content/uploads/2023/02/salaire_minimum_europe_31_01_2023-Copie.jpg
Voir
journaldunet.com
Bougival,
de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
05
- 13/02/23 |
 |
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Réduire l'empreinte carbone du travail collaboratif, c'est possible
A l'heure de la crise énergétique et des plans de sobriété,
une entreprise doit se pencher sur l'empreinte carbone de ses pratiques
collaboratives, de l'envoi d'e-mails à la visioconférence.
Voici quelques pistes.
Voir
journaldunet.com
Anthropic, réponse de Google à ChatGPT, par Clément Bohic, 6 février
2023
Sur le même schéma que Microsoft avec OpenAI, Google s’associe à Anthropic.
Que propose cette start-up américaine ?
.../...
Anthropic a récemment ouvert l’accès – expérimental, avec liste d’attente
– à un assistant nommé Claude.
.../...
Voir
silicon.fr
Le cloud hyperscale sauve Amazon et ne tire pas encore Google
Chez Amazon comme chez Google, la croissance du cloud hyperscale ralentit,
mais son poids dans l’activité globale du groupe augmente.
Combien le cloud pèse-t-il dans l’activité d’Amazon et dans celle
de Google ? Chez l’un et l’autre, une part croissante des revenus
comme des bénéfices.
.../...
Voir
silicon.fr
Light at Night
Being able to switch on the light at night is something that most
people today take for granted. But for those who live, or have lived,
where there is no artificial light, you can appreciate how important
it is. After sunset, working, reading, and many other aspects of living
become impossible.
Unfortunately, this is still the reality for many people today, and
it was the default for everyone in the past.
By following the history of artificial light — the transitions from
candles to lamps to lightbulbs — and the developments that make these
accessible, we can learn a lot about technological innovation and
economic changes over the centuries.
The price of light has fallen by more than 99.9% since 1700. And its
efficiency has increased 1000-fold. This has made light at night available
to more and more people.
On our redesigned topic page, you can find all our data, visualizations,
and writing about changes in the efficiency, price, and access to
lighting.
ChatGPT capte 100 millions d'utilisateurs en deux mois
ChatGPT, l'intelligence artificielle conversationnelle d'OpenAI,
établit le record de croissance rapide du nombre d'adeptes pour
une application.
Voir
silicon.fr
La fraude au faux conseiller bancaire
Un appel du service anti-fraude de votre banque vous alerte d'opérations
suspectes sur vos comptes ? Il vous demande de coopérer en validant
des codes pour les bloquer ?
Attention, il s'agit d'une tentative d'escroquerie !
Notre nouvel article décrit cette cybermalveillance, les moyens
de s'en protéger et les actions à réaliser si on en est victime.
Voir
cybermalveillance.gouv.fr
Un million !
C'est le nombre de consultations de notre article relatif aux messages
frauduleux usurpant l’identité de la Police et de la Gendarmerie
à l’argument d’infraction pédopornographique. Ces escroqueries prétendent
en effet que vous allez être poursuivi par les autorités pour de
graves infractions qui seront rendues publiques si vous ne payez
pas une forte amende.
Publié fin décembre 2020, cet article, qui décrit comment y réagir
et y faire face, reste toujours d'actualité.
Voir
cybermalveillance.gouv.fr
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISE (La) : On se fatigue de la voir triompher
sans combat.
Albert CAMUS
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
OGM, Glyphosate, rendement du blé... quel est l'avis de ChatGPT
?
OGM, Glyphosate, rendement du blé… quel est l’avis de ChatGPT ?
Par Philippe Stoop - 01.02.2023
Après l’interview remarquée de Marc Rameaux avec laquelle nous avons
inaugurée notre série sur ChatGPT, voici une analyse de Philippe
Stoop, ingénieur agronome spécialiste des questions agricoles et
auteur de nombreuses analyses dans nos colonnes.
Curieux de connaitre le fond de la pensée de cette IA d’Open AI
qui déchaine les chroniques depuis quelques semaines, il a eu la
riche idée d’aller l’interroger pour savoir ce qu’elle pensait sur
des sujets aussi clivants que les OGM, le Glyphosate, mais également
sur des débats d’experts tels que la stagnation des rendements du
blé, l’épuisement des sols ou encore la monoculture. Bluffé par
les réponses obtenues, l’auteur s’interroge alors sur le caractère
« humain trop humain » de la machine.
Voir
europeanscientist.com
Les flux logistiques agroalimentaires : l'avenir des modes massifiés
Explorant un domaine jusque-là très peu étudié, ce rapport sur les
flux logistiques agroalimentaires montre que malgré des spécificités
de production, de conservation et de distribution des produits agroalimentaires
qui entravent le recours à un transport massifié économe en émission
de GES, il existe des voies de progrès pour réussir à décarbonner
cette logistique sans pour autant pénaliser la compétitivité des
entreprises agroalimentaires.
Voir
agriculture.gouv.fr
La méthanisation par injection se développe à plein gaz
Avec 24 projets en construction et 49 autres en phase étude avancée,
la Bretagne poursuit son développement de la méthanisation avec
injection du biométhane sur le réseau gaz.
Voir
paysan-breton.fr/
La méthanisation, un tremplin pour des projets innovants
L’association des méthaniseurs bretons se réunit 4 fois dans l’année
pour échanger sur différents sujets. Le 13 janvier, l’innovation
était à l’honneur avec la production de BioGNV et de CO2 sur l’exploitation
et du déconditionnement de biodéchets pour valorisation en méthanisation.
Voir
paysan-breton.fr
Electric
vs traditional cars in USA
01
- 13/02/23 |
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Les peintres russes : forêt, arbres et arbustes, de Jean Pinon
Voir
revueforestierefrancaise.agroparistech.fr
Les Chênes vus par les peintres, de Jean Pinon
Voir
revueforestierefrancaise.agroparistech.fr
Les pins vus par les peintres, de Jean Pinon
Voir
revueforestierefrancaise.agroparistech.fr
Les chênes remarquables français vus par les peintres
Voir
jardinsdefrance.org
L’orme : un classique pour les peintres outre-Manche
Voir
jardinsdefrance.org
L'identification ovine et caprine, par Jean-Michel Besancenot
Le système d'identification pérenne national des ovins et des
caprins complète la loi sur l'élevage de 1966. Étendu à toute
l'Union européenne, il apporte une grande fiabilité quant à la
traçabilité des animaux. La rigueur de tous les opérateurs impliqués,
notamment l'éleveur en début de chaîne, et la sécurisation des
moyens mis en œuvre sont les gages de cette traçabilité.
La connaissance individuelle de tous les ovins et caprins – prenant
en compte lieux de production, détenteurs, aspects génétiques
et sanitaires – est une assurance pour la chaîne alimentaire :
aujourd'hui, l'élimination ultra-rapide, hors des circuits de
la chaîne alimentaire, de produits dont la qualité pourrait poser
problème, est une réalité demandée et appréciée des consommateurs,
notamment en ce qui concerne les 200 000 tonnes de fromages produits
annuellement et issus des productions laitières caprine (120 000
tonnes) et ovine (65 000 tonnes). La consommation de viande ovine
(près de 3 kg par Français et par an) est également à prendre
en compte.
Voir
academie-agriculture.fr
Leopard tanks in Europe
02
- 13/02/23 |
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Pas de pluie à l’horizon, le déficit pluviométrique se creuse
!
La pluie avait certes fait son retour sur une grande partie de la
France au début janvier, excepté dans le Sud-Est, mais les conditions
anticycloniques en place depuis maintenant plusieurs jours semblent
devoir durer, ce qui commence à inquiéter.
Voir
agri-mutuel.com
La filière volailles fermières française en danger
La Commission européenne envisage de supprimer les normes encadrant
certaines appellations permettant d’identifier les modes d’élevage
plein air en ouvrant la voie à une multiplication fantaisiste d'appellations
sans cadre ni contrôle.
Voir
paysan-breton.fr
Comment les ETA cherchent à s’adapter
Pour les entrepreneurs qui se voient « de plus en plus indispensables
comme apporteurs de technicité », la délégation va s’intensifier
avec des fermes plus grandes, une main-d’œuvre salariée rare et
un matériel coûteux.
Voir
paysan-breton.fr
Découvrez A Vrai Lire n°35, la revue d'actualités agricoles et
viticoles du Groupement AGIRAGRI
Voir agiragri.com/
Damien Lidon (Loir-et-Cher) : J’emblave mes cultures avec une
douzaine de l/ha de GNR, par Willy Deschamps, 03/02/2023
Agriculteur à Averdon, dans le Loir-et-Cher, Damien Lidon a revu
sa stratégie d’équipement pour les semis. Il a opté pour un semoir
direct à dents de chez Claydon, complété par une herse à paille
et des bêches roulantes. Il travaille désormais superficiellement
et le moins possible, une technique qui a notamment amélioré la
porosité de ses sols. Il consomme moins de carburant, travaille
plus vite et peut gérer ses 350 ha quasiment seul.
Voir
grostracteurspassion.com
Le monde peut devenir moins accro aux engrais sans sacrifier
les rendements
Réduire le recours aux engrais azotés est possible et bénéficierait
à l'environnement et à la santé, tout en conservant des rendements
agricoles capables de nourrir 10 milliards d'humains, estiment des
chercheurs dans une étude publiée par la prestigieuse revue scientifique
Nature.
Voir
terre-net.fr
Du
côté d'Auguste Derrière
1 - 16/02/23
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Capture et séquestration de CO2 par les agriculteurs – Peut-on
et comment les contractualiser, les rétribuer ? (séance de l’Académie
d’agriculture du 11 janvier 2023 )
Le stockage du carbone dans les sols présente un important potentiel
pour lutter contre l’effet de serre. Cette séance a permis de présenter
les politiques actuelles ou futures, françaises ou européennes, basées
sur des incitations pour la capture et le stockage du carbone par
l’agriculture.
Dans sa conclusion, Jean Jouzel, climatologue, a rappelé la nécessité
de réussir conjointement la séquestration du carbone et la réduction
des émissions de gaz à effet de serre. Le stockage du carbone est
également en interaction avec le climat et ne doit pas être dissocié
des autres problèmes environnementaux.
Il a souligné que les agriculteurs manifestent leur intérêt pour ces
enjeux et que tous les types d’exploitation doivent pouvoir participer
à ces objectifs de stockage du carbone dans les sols.
Voir
academie-agriculture.fr
Pourquoi et comment améliorer l’efficience d’utilisation des ressources
nutritionnelles du sol par les cultures (séance de l’Académie d’agriculture
du 18 janvier 2023 )
Depuis quelques années, l’augmentation des rendements stagne si l’apport
d’intrants n’est pas augmenté, ce qui induit des problèmes environnementaux.
Cette séance a donc analysé les perspectives d’amélioration des capacités
racinaires au prélèvement des ressources minérales dans les sols.
Aujourd’hui, les mécanismes biologiques du développement racinaire
sont de mieux en mieux compris. Des voies de recherche vont être explorées
pour utiliser ces connaissances en génétique afin de permettre un
niveau de production optimum avec une fertilisation minérale la plus
basse possible.
Voir
academie-agriculture.fr
Biodiversité / Économie de terre et partage des terres. Land sharing
- Land sparing (séance de l’Académie d’agriculture du 25 janvier 2023)
Faut-il concentrer l’agriculture sur des terres et des cultures intensives
pour conserver ailleurs plus d’espaces naturels riches en biodiversité
(land sparing) ? Ou bien privilégier une agriculture plus diversifiée
mais à plus faible rendement, c’est-à-dire plus extensive et donc
moins économe en espaces naturels (land sharing) ?
Cette séance a fait l’objet de débats denses et argumentés. Il est
difficile de décorréler les questions de biodiversité des besoins
en alimentation, des rendements, du revenu des agriculteurs, du coût
des produits pour les consommateurs…
Les exposés ont montré que des approfondissements sont nécessaires
et ils pourraient donner lieu à un futur colloque.
Voir
academie-agriculture.fr
Les conditions d’une nouvelle dynamique des agricultures périurbaines
face à l’urgence de souveraineté alimentaire (séance de l’Académie
d’agriculture du 1er février 2023)
Les villes se sont très souvent développées sur des territoires fertiles
et ayant accès à l’eau. Pendant des siècles, des ceintures maraîchères
ont ainsi fourni une alimentation de proximité aux populations urbaines.
Mais beaucoup de ces territoires ont régressé face à l’urbanisation
et aux aménagements périphériques. L’urgence de la souveraineté alimentaire
nécessite aujourd’hui une nouvelle dynamique des agricultures urbaines.
Cette séance avait pour objectif d’étudier et de définir les conditions
de la réussite de ces nouvelles agricultures périurbaines : main-d’œuvre,
logistique d’approvisionnement et de mise en marché…
Voir
academie-agriculture.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BÊTISES (Des) : Il y a deux âges pour faire des bêtises, la jeunesse
parce qu'on a tout le temps devant soi ; la vieillesse parce qu'il
n'en reste plus beaucoup.
Jeanine BOISSARD.
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du
côté des écrivains et artistes paysans |
> Un
article de presse sur le livre de Jean-Paul Abadie "Jean, le
dernier paysan"
> L’AEAP
invitée au SIA sur le stand d’AGRIDEMAIN
Where
does Cobalt comme from?
03
- 13/02/23 |
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46 vagues de chaleur de 1947 à 2022
04
- 13/02/23 |
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Covid & mental stress
05
- 13/02/23 |
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BILAN (Un) : Pour faire le bilan de ta propre sagesse, ajoute avec
précaution la bêtise des autres.>
Stanislaw Jerzy LEC
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Webinaire sur la situation de l'agriculture française, un an
après la guerre en Ukraine ?
15 février de 17h-18h30
Lien
pour s'inscrire
Ukraine
15 février 2023 - 14h30 - 17 h - Paris ou sur youtube.com
Quelle est la situation de l’agriculture ukrainienne, près d’un
an après le début de l’agression russe ?
Basée sur des témoignages directs, cette séance est centrée autour
de trois thèmes :
- L’accès aux intrants, notamment aux semences
- La situation des investisseurs français en Ukraine
- Les perspectives de mises en culture et de récoltes.
Cette séance est organisée par l’Académie d’agriculture de France,
en partenariat avec l’Académie des sciences agraires d’Ukraine.
Voir
academie-agriculture.fr
Retrouvez les instituts techniques agricoles au SIA 2023
À l’occasion du Salon international de l’agriculture, l’Acta et
les instituts techniques agricoles, vous invitent à découvrir leurs
travaux de recherche appliquée et les solutions opérationnelles
qui accompagnent les agriculteurs, les filières et les entreprises
dans les grands défis de l’agriculture : adaptation au changement
climatique, réduction des émissions de gaz à effet de serre, prise
en compte des interrelations entre le bien-être de l’éleveur, celui
des animaux et la qualité de l’environnement, transition agroécologique
et numérique et développement de modèles de production encore plus
durables.
Merci de relayer auprès de vos réseaux le programme des rencontres
qui se tiendront sur le stand Acta (4C151) du 25 février au 5 mars
2023, réalisées en présence des experts des Instituts techniques
ainsi que les principaux temps forts organisés avec nos partenaires
de la R&D où nous sommes impliqués.
Voir
acta.asso.fr
16/01/23
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Journalistes n’hésitez pas à y concourir !
Relations des journalistes, n’hésitez pas à les faire concourir
!
Les travaux proposés pour candidature sont à envoyer par mél, accompagnés
de la copie de la carte de presse et d’un mini CV du ou de la journaliste
auteur-auteure (dans un FICHIER UNIQUE au format PDF) avant le 15
mars 2022 à Philippe Kim-Bonbled (philippe.kim-bonbled(a)academie-agriculture.fr).
Ce prix (médaille et diplôme) est décerné chaque année (depuis 2018)
par l'Académie d'agriculture de France, qui considère de sa responsabilité
de mettre à l'honneur, dans ses champs de compétence, des travaux
journalistiques remarquables et d'encourager les journalistes à
prendre en compte les enjeux du développement de demain.
- En 2018, il a été décerné à Nathalie Picard, journaliste au Magazine
Science & Vie, pour son article "Faut-il encore manger
de la viande ?".
- En 2019, il l’a été à Sylvestre Huet, pour son article "OGM-poisons
? La vraie fin de l'affaire Séralini", publié sur son blog
personnel hébergé par lemonde.fr.
- En 2020, il l’a été à Jade Boches, pour son article "Les
animaux peuvent-ils nous tuer ? ", paru dans la revue 30 millions
d’amis.
- En 2021, il l’a été à Florence Rosier, pour son article : "Les
racines du futur", paru dans le Monde (Science & Médecine)
daté du 2 juin 2021.
La Compagnie souhaite, en attribuant ce prix, récompenser l'esprit
critique et la rationalité plus que jamais nécessaires au débat
public. Le Prix concerne la presse écrite, les émissions de radio
ou de télévision, les sites Internet ou les blogs, sur des supports
classiques ou numériques.
Voir
academie-agriculture.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
CHASSE Une) : Le jour de l'ouverture de la chasse aux cons, j'en
connais qui n'auront pas intérêt à mettre leur nez dehors.
Bernard GUYSO
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Du côté de ebbh.fr : Santé ? (épisode #130)
Voir
ebbh.fr
13/02/23
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Attention
: tout soutien via Utip,
Tipee,
ou Paypal
sera interprété comme une incitation à
continuer mes bêtises. Z'êtes prévenus.
Signé : Romain, l'auteur talentueux de .fr

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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas
une opinion !)
CHEVAUX (Les)
: Ce sont tous des ongulés. Mais ce n'est pas une raison
pour les prendre pour des cons.
Pierre DESPROGES
Contact : Georges
LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du côté des gazettes et des blogs agricoles
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Du côté de vitisphere.com : Top Chef Sommelier, par Alexandre Abellan,
10 février 2023
Paris Wine Week arrive ! Avant le salon Wine Paris & Vinexpo
Paris (13-15 février) se tient un évènement marquant pour la filière
vin : le concours du Meilleur Sommelier du Monde, de retour à la
capitale dans une salle à grand spectacle (Paris La Défense Arena).
Intense pour ses 70 candidats, cette coupe du monde des experts
du vin est fascinante pour ses spectateurs, professionnels comme
amateurs. Exigeantes, ses épreuves donnent à voir toute la richesse
du service de la dive bouteille d’une manière ludique. Comme l’ont
montré les précédentes éditions de cette compétition, visibles en
ligne, les exercices de service, de connaissances et de dégustations
à l’aveugle sont hautement pédagogiques : rendant vivante et accessible
la culture du vin.
Si la loi Évin empêche d’imaginer une émission Masterchef Sommelier
à la télévision, cette compétition mondiale va permettre un coup
de projecteur médiatique on ne peut plus positif sur un métier et
toute une filière. Reste aux sommeliers de conserver ce(tte) capital(e)
sympathie au quotidien. Il faut bien reconnaître que tout amateur
de vin a au moins connu une fois dans sa vie un moment désagréable
avec un sommelier n’étant pas à l’écoute, mais restant droit dans
son rôle de grand prêtre défendant l’orthodoxie du vin.
En témoigne le rappeur Soso Maness, qui s’est fait reprendre par
un sommelier pour avoir voulu mettre du sirop de grenadine dans
un verre de rosé. Qu’est-ce que cela aurait été avec des glaçons…
Pour lutter contre la déconsommation, il faut aussi savoir accompagner
les envies de consommation et se souvenir que la sacralisation du
vin est loin d’être un acquis. En Champagne on aime bien tremper
un biscuit rose dans une coupe pétillante, en Angleterre c’est dans
du stilton que s’épanouit du porto… Et ce qui pourrait s’apparenter
à une coutume locale peut devenir une mode mondiale : à Venise les
Autrichiens coupaient le vin avec de l’eau gazeuse, un Spritz donnant
naissance à un cocktail faisant la fortune de la Vénétie.
Et il y a aussi les sommeliers que la terre ne peut plus porter,
l'égo gonflé par la liste prestigieuse des vins inabordables qu’ils
servent quotidiennement aux tables de convives fortunés. Une confusion
entre la qualité du déboucheur et la qualité du débouché qui n’est
pas sans rappeler la fable de l’âne portant des reliques de Jean
de la Fontaine (livre V, 1668). Le concours de l’Association Internationale
de Sommellerie a également l’avantage de remettre la modestie au
cœur du métier : les meilleurs sommeliers du monde n’ont jamais
20/20 en dégustation à l’aveugle : n’est pas Louis de Funès dans
l’Aile ou la cuisse qui veut !
Voir
vitisphere.com
Ville
au bord d'un lac, de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
06
- 13/02/23 |
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Du côté de pleinchamp.com (1) : Néonicotinoïdes, la saga : suite
et presque fin, par Adèle Magnard
[Edito] Alors que 2023 devait être la dernière année de dérogation
pour l’usage des semences de betteraves traitées aux néonicotinoïdes
en France, deux décisions majeures viennent d'être prises au niveau
européen en quelques jours : d’une part, la fin de cette dérogation,
et d’autre part, l’interdiction des néonicotinoïdes dans les produits,
y compris importés.
Le feuilleton autour des néonicotinoïdes a démarré voilà plus de
10 ans, et dans les médias, les journalistes et commentateurs audiovisuels
les plus aguerris réussissent désormais à en prononcer le nom correctement.
En 2013, sur la base des conclusions de l’Autorité européenne de
sécurité des aliments (EFSA), un moratoire de la Commission européenne
a imposé des restrictions à l’usage de trois néonicotinoïdes (la
clothianidine, l’imidaclopride et la thiaméthoxame) sur les cultures
attractives pour les abeilles. À l’époque, cette interdiction ne
s’applique ni sur les betteraves, ni sur les céréales d’hiver, peu
attractives pour les abeilles. Mais la France veut aller plus loin,
et en 2016, la loi « Pour la reconquête de la biodiversité » prévoit
l’interdiction des produits à base de néonicotinoïdes pour toutes
cultures et tous usages à compter du 1er septembre 2018, avec possibilités
de dérogations jusqu’en 2020. Au niveau européen, l’interdiction
est actée en 2018, mais ne concerne pas l’intégralité des substances
de néonicotinoïdes. Ainsi, l’acétamipride continue d’être autorisée
chez nos voisins européens, notamment en usage foliaire.
>> 2020, année de la jaunisse
En 2020, lors de la première année sans néonicotinoïdes, une épidémie
de jaunisse, transmise par les pucerons, provoque une chute des
rendements des betteraves de 30% en moyenne, et jusqu’à 70% pour
les exploitations les plus touchées. L’État vient au secours des
planteurs en débloquant 80 millions d’euros d’aides et en octroyant
par arrêté une dérogation pour l’enrobage des semences de betteraves
aux néonicotinoïdes pour trois campagnes maximum. L’année 2023 devait
donc être la dernière année pour l’usage de cette dérogation, mais
la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a mis fin à cette
possibilité le 19 janvier, en jugeant la dérogation illégale.
Suite à cette décision, et face au spectre de la jaunisse, une mobilisation
syndicale des planteurs de betteraves est prévue le 8 février à
Paris, pour dénoncer la « liquidation de l’agriculture ». Dans un
communiqué commun, la Confédération générale des betteraviers, les
Jeunes Agriculteurs et la FNSEA Grand Bassin Parisien dénoncent
« la suppression continue des moyens de production » et « la mise
en œuvre de contraintes réglementaires intenables », qui « favorisent
les importations massives de produits étrangers issus de cultures
traitées avec des produits phytosanitaires interdits en Europe ».
>> Une clause miroir sur les importations
Pour faire face à ces distorsions de concurrence, la Commission
européenne vient d’adopter le 2 février - hasard du calendrier -
un règlement abaissant les limites maximales de résidus (LMR) pour
deux néonicotinoïdes, le thiaméthoxame et la clothianidine, « au
niveau le plus bas qui peut être mesuré avec les dernières technologies
», dans tous les aliments, y compris importés. Un premier pas de
géant, alors que les mesures miroir sont réclamées à cor et à cri
dans de nombreux secteurs agricoles. Il faudra cependant attendre
2026 pour la mise en place de cette mesure, afin de laisser le temps
aux pays tiers de se conformer aux nouvelles règles.
Voir
pleinchamp.com
Du côté de pleinchamp.com (2) : la transmission, étape cruciale
pour le renouvellement des générations
Ces chiffres doivent être répétés encore et toujours : dans 10 ans,
la moitié des agriculteurs auront atteint l’âge de la retraite et
en 10 ans, la France a perdu 100 000 fermes. Pour arrêter cette
hémorragie, la transmission des exploitations - étape cruciale et
complexe - doit être anticipée le plus en amont possible.
Voir
pleinchamp.com
Du côté d'Auguste Derrière
2 - 16/01/23
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Du côté de la Fnsea
> Calcul
de la retraite des agriculteurs sur les 25 meilleures années : un
pas décisif pour l’avenir !
La Proposition de Loi portée par Julien DIVE (LR-Aisne) visant à calculer
la retraite des non-salariés agricoles sur leurs seules 25 meilleures
années de carrière, a été définitivement adoptée cette nuit par un
vote conforme et unanime du Sénat, avec le soutien du Gouvernement.
Nous tenons en ce sens à saluer la mobilisation trans-partisane de
l’ensemble des sénatrices et sénateurs, sous l’impulsion de la Rapporteure
du texte, Pascale GRUNY.
A compter de 2026, le texte prévoit d’étendre aux non-salariés agricoles
le calcul de la retraite de base sur les seules 25 meilleures années
et non plus sur l’intégralité de leur carrière.
Pour la FNSEA, c’est un grand pas vers la construction d’une retraite
digne de ce nom. Les agriculteurs sont en effet les seuls à calculer
leur retraite sur la totalité de leur carrière, bonnes et mauvaises
années mêlées. Les salariés la calculent sur leurs 25 meilleures années
de revenu, les fonctionnaires sur leurs 6 derniers mois…
En retirant les plus mauvaises années du calcul, cette réforme vise
la mise à niveau de pensions dont la moyenne reste inférieure aux
pensions de l’ensemble des retraités ! Tous régimes confondus, y compris
les régimes complémentaires, les anciens non-salariés agricoles (chefs,
conjoints et aides familiaux) perçoivent une pension de 1 170 euros
bruts mensuels (à comparer avec la moyenne nationale qui dépasse 1
500 euros bruts).
Le texte voté cette nuit est engageant, il doit être finalisé. Le
texte précise que le Gouvernement devra remettre, dans un délai de
3 mois à compter de la promulgation de la loi, un rapport précisant
les modalités de sa mise en œuvre (scénarios envisagés et coût de
la réforme).
Pour la FNSEA, le calcul de la retraite sur les 25 meilleures années
n’a guère de sens dans le système actuel d’acquisition des droits
à la retraite. A minima, nous demandons un calcul proportionnel au
revenu du nombre de points de retraite proportionnelle (suppression
du palier à 30 points) et une fusion des deux composantes de la retraite
de base des agriculteurs (retraite forfaitaire et retraite proportionnelle).
Après la revalorisation des minima de retraites avec les lois Chassaigne
de 2020 et 2021, nous portons l’ambition de donner des perspectives
aux agriculteurs et aux agricultrices mais aussi aux jeunes qui s’installent.
C’est une réforme nécessaire pour réparer l’injustice subie par notre
profession. Nous serons vigilants sur le respect des délais pour que
la réforme soit applicable au 1er janvier 2026. C’est en effet aujourd’hui
que se prépare la retraite de demain.
Bord
de rivière, de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
07
- 13/02/23 |
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> Projet
de loi sur les énergies renouvelables : un texte équilibré pour le
monde agricole, et qui doit aller jusqu’au bout !
Mardi dernier, la commission mixte paritaire (CMP) qui réunissait
députés et sénateurs est parvenue à un compromis sur le projet de
loi relatif à l’accélération de la production d’énergies renouvelables,
ouvrant la voie à son adoption définitive.
Il s’agit d’un texte équilibré et satisfaisant, qui reconnaît le rôle
incontournable du monde agricole dans la transition énergétique tout
en assurant un juste équilibre de cet enjeu avec la souveraineté alimentaire.
Il contient des avancées essentielles, attendues de longue date par
la profession, notamment sur l’agrivoltaïsme.
Grace aux apports des Rapporteurs, Eric Bothorel, Patrick Chauvet
et du député Dominique Potier, le texte prévoit un cadre légal à la
mesure des enjeux, qui permettra un développement d’un agrivoltaïsme
raisonné, vertueux et respectueux de notre ruralité. La FNSEA, qui
a contribué dans la concertation à l’élaboration de la loi, se félicite
de l’introduction d’une définition juridique fondée sur celle, scientifique,
de l’Ademe, ainsi que de nombreux garde-fous pour préserver la production
agricole sur les terres concernées et empêcher à l’avenir tout développement
de projets dits « alibis ».
> Souveraineté
alimentaire : il faut passer du discours aux actes !
La FNSEA appelle à la mobilisation sur l’ensemble du territoire
pour la défense de toutes les agricultures et de leurs moyens
de production, indispensables à la sauvegarde de notre souveraineté
alimentaire !
La FNSEA appelle tout son réseau et l’ensemble de ses filières
à se mobiliser à partir du 8 février à Paris et jusqu’au 20
février dans toute la France.
Alors que la souveraineté alimentaire est régulièrement affichée
comme priorité gouvernementale, il est urgent de passer du
discours aux actes.
Depuis plusieurs années déjà, l’agriculture est en première
ligne face à une succession de crises (climatique, sanitaire,
géopolitique et énergétique) qui affectent son potentiel productif
et menace la poursuite de certaines de ses activités.
Les agriculteurs se retrouvent aujourd’hui en butte à des
contraintes réglementaires de tous ordres qui freinent les
projets innovants dans les territoires (irrigation, bâtiments
d’élevages…). Ils sont aujourd’hui confrontés à des impasses
de solutions face à des menaces sanitaires sur les cultures
ou face à la prédation. Sans compter les tentatives des distributeurs
de brader nos produits et le recours massif à l’importation
de produits moins disant, issus, ou non, d’accords de libres
échanges inéquitables et pénalisants. Il s’ensuit une décapitalisation
et une délocalisation de nos productions.
Toutes les productions agricoles sont impactées. Toutes les
régions sont concernées. Le moral des agriculteurs est affecté.
Depuis le début de l’année, nos fédérations se mobilisent
sur l’ensemble du territoire pour alerter sur les impasses
dans lesquelles se retrouvent de nombreuses filières.
Le coup de grâce est porté par la décision de la Cour de Justice
Européenne de revenir sur la dérogation d’utilisation de produits
de protection de la betterave sucrière, sans recours à une
possible dérogation en raison de la loi « Pompili » de 2016,
contrairement à d’autres pays européens.
La FNSEA appelle tout son réseau et l’ensemble de ses filières
à se mobiliser sur la durée. Rendez-vous dès le 8 février
à Paris !
Nous demandons des réponses concrètes aux pouvoirs publics
et invitons tous les Français à nous exprimer leur confiance
et leur soutien, car oui, la Ferme France est belle, diverse
et ancrée dans les territoires, elle doit être sauvée !
#sauvetonpaysan
Sauvegardons notre agriculture ! Produisons en France ! Préservons
notre souveraineté alimentaire ! N’importons pas l’alimentation
que nous ne voulons pas !
En outre, la loi contient diverses avancées à l’initiative
des Rapporteurs Pierre Cazeneuve et Didier Mandelli sur le
biogaz qui permettront aux agriculteurs méthaniseurs d’accélérer
leurs projets, notamment via une meilleure anticipation des
délais de raccordement.
Nous saluons donc le travail des parlementaires, dans un esprit
transpartisan, qui a pu déboucher en CMP sur ce texte, qui
facilitera le déploiement de nombreux projets sur les exploitations
agricoles dans le respect de notre souveraineté alimentaire.
Ce projet de loi relatif à l’accélération de la production
d’énergies renouvelables doit désormais aller jusqu’au bout
de sa procédure. Nous appelons ainsi députés et sénateurs
à le voter définitivement.
Du côté d'Auguste Derrière
3 - 16/01/23
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> Le
Sénat prêt à détricoter la loi EGalim : une provocation inacceptable
pour la FNSEA et Jeunes Agriculteurs !
Mercredi 8 février, la Commission des affaires économiques
du Sénat examinera la Proposition de loi visant à sécuriser
l’approvisionnement des Français en produits de grande consommation.
Ce texte est primordial pour la FNSEA et Jeunes Agriculteurs
car il a pour objectif de proroger des dispositions EGalim
qui ont fait leurs preuves pour stopper la destruction de
valeur dans la filière alimentaire, nous pensons ici au relèvement
du Seuil de Revente à Perte et à l’encadrement des promotions.
Ces dispositions arriveront à échéance d’ici le 15 avril 2023
si aucune nouvelle disposition législative est prise.
C’est dans ce contexte que nous avons pris connaissance de
la proposition de la Rapporteure du texte au Sénat de suspendre
l’application du relèvement du Seuil de Revente à Perte jusqu’en
2025. Nous dénonçons cette initiative qui risque d’avoir des
effets dramatiques pour l’ensemble de la filière : certains
distributeurs n’attendent que ce signal pour relancer une
guerre des prix touchant l’ensemble des produits alimentaires.
Prendre ce risque est inconcevable, voire irresponsable !
Ce dispositif a été efficace depuis son entrée en vigueur
pour stopper la guerre des prix : depuis le démarrage des
Etats Généraux de l’Alimentation, il existe un consensus entre
la plupart des acteurs de la filière – qui se veulent en position
de responsabilité devant l’enjeu de la souveraineté alimentaire
– pour redonner de la valeur aux produits alimentaires. La
mesure n’est pas pour autant à l’origine de l’inflation alimentaire
subie actuellement par le consommateur. Ce sont deux rapports
– un du Gouvernement, l’autre de l’Inspection Générale des
Finances – qui l’ont démontré fin 2022 (+0,17 % d’inflation
attribuée à la loi). Des facteurs exogènes expliquent l’inflation
actuelle. Par conséquent, faire porter le chapeau à une mesure
législative n’a aucun sens ! Cette disposition permet de ne
pas retomber dans la spirale déflationniste qui a entrainé
la baisse du revenu des agriculteurs, la cessation d’activité
de nombreuses exploitations agricoles, entamant lourdement
notre souveraineté alimentaire pendant plus de huit années.
Cette proposition est donc la source potentielle d’une grande
déstabilisation des négociations commerciales qui entrent
actuellement dans leur dernière ligne droite. Au regard du
contexte de hausse des charges subie par l’ensemble des maillons,
ces négociations sont extrêmement tendues et une telle possibilité
ouvrirait la porte à un retour de la guerre des prix, alors
que les opérations de communication sur des prix cassés se
multiplient.
L’adoption d’un tel amendement donnerait le coup de grâce
à notre filière et au travail de l’ensemble des agriculteurs.
Alors que le Sénat a l’occasion d’apporter des ajouts pertinents
à la PPL à la suite de son passage à l’Assemblée nationale,
il est finalement prêt à détricoter le texte et servir sur
un plateau la filière aux partisans du « prix le plus bas
» ! L’heure des choix appelle celui de la responsabilité :
Mesdames et Messieurs les Sénateurs, choisissez la souveraineté
alimentaire plutôt que les parts de marché des distributeurs
les plus agressifs !
Du
côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas
une opinion !)
CHROMOSOME (Son) : Il est plus con que génital.
ANONYME
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (2)
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Une histoire banale mais bien triste !
Quand j'étais gamin, mon père trompait ma mère et n'aimait pas la
famille de ma mère.
Plus tard, mes parents ont divorcé.
Par la suite, ma mère est morte dans un accident de voiture.
Du coup, mon frère et moi vivions dans la grande maison de ma grand-mère.
La sœur de ma grand-mère était alcoolique.
Toute la famille vivait aux crochets de ma grand-mère et ce grâce
à ses économies.
Mon oncle a échappé à la prison grâce à un arrangement entre ma grand-mère
et la justice.
Grand-mère est décédée récemment.
Mon petit frère a quitté la famille pour aller vivre à l'étranger
et ne nous adresse plus la parole.
Papa, maintenant âgé de 73 ans, doit commencer de travailler pour
subvenir aux besoins de la famille.
Et il va certainement me demander d'en faire autant.
Sincères salutations,
Signé : Prince William
Maisons
et meules, de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
08
- 13/02/23 |
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Check-list pour freiner le déclin de la mémoire
Les pertes de mémoire sont très fréquentes avec l’âge. Ce n’est toutefois
pas une fatalité, et il est possible de stabiliser voire d’inverser
le déclin. Certains facteurs ayant un effet sur la mémoire ont été
identifiés, comme l’âge, le génotype ε4 de l’apolipoprotéine
E (APOE), les maladies chroniques et les habitudes de vie. Ces dernières,
en tant que facteurs modifiables, sont l’objet d’un intérêt croissant.
Une équipe chinoise a réalisé une étude prospective de cohorte, avec
pour objectif de préciser le style de vie idéal qui protègerait du
risque de perte de mémoire liée à l’âge, y compris chez les personnes
génétiquement à risque, c’est-à-dire porteuses du génotype ε4
de l’APOE. Plus de 29 000 participants ont été inclus, âgés de 60
ans ou plus au début de l’étude en 2009, et suivis jusqu’en 2019.
Six items permettaient de déterminer le style de vie des participants
: une alimentation saine (consommation d’au moins 7 de 12 aliments
recommandés), une activité physique régulière (≥ 150 mn d’exercice
d’intensité modérée ou ≥ 75 mn d’exercice d’intensité élevée,
par semaine), une vie sociale active (au moins 2 fois par semaine),
pas de tabagisme, une activité cognitive (au moins 2 fois par semaine),
l’absence de consommation d’alcool. Les participants étaient classés
dans le groupe « favorable » si leur mode de vie comprenait au moins
4 de ces 6 facteurs, dans le groupe « moyen » avec 2 à 3 facteurs
et dans le groupe « défavorable » pour 0 ou 1 facteur. La mémoire
était évaluée par le WHO/UCLA Auditory Verbal Learning Test et la
cognition globale par le MMS test. Tous les patients avaient des fonctions
cognitives normales à l’inclusion, et ont bénéficié d’un génotypage
APOE. Un sur 5 était porteur du génotype APOE ε4.
Au fil des 10 ans de suivi, les données d’ensemble montrent que si
les capacités cognitives restent stables, la mémoire décline régulièrement
avec l’âge. Ce déclin survient plus rapidement chez les porteurs du
génotype APOE ε4
.../...
Voir
jim.fr
No interest
in changing job
06
- 13/02/23 |
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Avec son électrolyseur réversible, Sylfen veut développer l’autonomie
énergétique des bâtiments
Avec sa technologie "d'électrolyseur réversible", la startup
Sylfen propose une solution qui pourrait faciliter le développement
de l'autoconsommation d'électricité grâce à la production et le stockage
de l'hydrogène par les bâtiments, tout en gommant les effets de l'intermittence
des énergies renouvelables.
Voir
leshorizons.net
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une
opinion !)
COMMUN (En) : Les gens intelligents et les imbéciles ont en
commun de se croire intelligents et de prendre les autres pour des
imbéciles.
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Too big banks ?
07
- 13/02/23 |
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A first thought for today
All art is autobiographical; the pearl is the oyster's autobiography.
Federico FELLINI, film director and writer (1920-1993)
A second thought for today
That community is already in the process of dissolution where each
man begins to eye his neighbor as a possible enemy, where nonconformity
with the accepted creed, political as well as religious, is a mark
of disaffection; where denunciation, without specification or backing,
takes the place of evidence; where orthodoxy chokes freedom of dissent;
where faith in the eventual supremacy of reason has become so timid
that we dare not enter our convictions in the open lists, to win or
lose.
Learned HAND, jurist (1872-1961)
A third thought for today
Never let your sense of morals get in the way of doing what's right.
Isaac ASIMOV, scientist and writer (1920-1992)
Brexit regrets
08
- 13/02/23
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Fuel Positive: Making green ammonia for fertiliser and fuel on-farm
Canadian technology will enable crop farmers to manufacture their
own green ammonia for fertiliser from air and water, with renewable
energy where possible.
See fuelpositive.com
Brexit failure
09
- 13/02/23
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Antibiotics use in animals is underestimated
The amount of antibiotics used in animal farming is underestimated
in official reports. Researchers collated figures from sources such
as farm surveys and drug sales, because “the majority of data on antibiotic
use in the world is unusable”, according to epidemiologist Thomas
Van Boeckel. Calculations of antibiotic usage in 229 countries suggest
that Africa’s use is probably twice what the World Organization for
Animal Health reports, and use in Asia is 50% higher than reported.
Globally, antibiotics use in farmed animals is projected to grow 8%
between 2020 and 2030. There are efforts to curtail agricultural antibiotics
use, which could drive drug-resistant infections in humans.
See nature.com
Sous-bois,
de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
09
- 13/02/23 |
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Driving culture gives us ‘car brain’
People seem to be more likely to excuse the negative effects of
driving — such as pollution and accidents — than those in other
areas of life. In a survey of 2,157 drivers and non-drivers in the
United Kingdom, roughly half were asked to rate a statement about
cars.
The others were given an almost identical sentence about another
issue. For example, 75% agreed that people shouldn’t smoke in highly
populated areas where others have to breathe in the fumes — but
only 17% agreed that people shouldn’t drive in highly populated
areas. The researchers suggest that this ‘motonormativity’ inhibits
our ability to think objectively about how we use cars.
See
theverge.com
How to solve the row over Africa’s giant dam
A team of environmental scientists has a plan to end a long-running
dispute between Egypt, Ethiopia and Sudan over Africa’s largest hydroelectric
dam. Since construction began in 2011, the countries have been trying
and failing to resolve concerns including the speed of completing
the project and the volume of water that will be released to drive
the electricity-generating turbines. Researchers used climate models
and artificial intelligence to create scenarios for how the dam could
operate to maximize economic benefits while adapting to the effects
of climate change. The plan offers “a win–win solution for these countries”,
says civil-engineer Sharaf Eldin Bannaga.
See nature.com
Plastic,
Not Fantastic
10
- 13/02/23 |
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The 232 animals in this photo were killed by house cats in just
one year
The image seeks to draw attention to the billions of birds and other
animals killed annually by domestic cats, by Cordilia James, 24 Sept
2020
See
nationalgeographic.co.uk
Super Big IT Companies' growth before 2022
11
- 13/02/23 |
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India Sets New Wheat Production Record, by Gale Pooley
.../...
Before agronomist Norman Borlaug showed up in the 1960s, India was
only producing 10 million tons of wheat a year. In 2023, it expects
to produce 112 million tons. Thanks to Borlaug and other scientists
and innovators, India’s wheat production has increased by 1,020 percent
since 1965. From 1965 to 2022, India’s population increased by 180
percent, from 500 million to 1.45 billion. Every 1 percent increase
in population corresponded to a 5.66 percent increase in wheat production—the
opposite of what Paul Ehrlich predicted.
.../...
Renfe retrasa la entrega de 31 trenes a Asturias y Cantabria porque
eran demasiado grandes para pasar por algunos túneles
“Espero que rueden cabezas”, dijo el presidente cántabro Miguel Ángel
Revilla, que calificó el fallo de “error monumental”.
Ver
elpais.com
Tesla Production
12
- 13/02/23 |
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Los gatos, enemigos de especies en extinción
Una investigación revela que los felinos matan un millón de pájaros
al día en Australia.
Los gatos matan más de un millón de pájaros al día en Australia, según
ha revelado un estudio publicado en la revista Biological Conversation,
lo que está causando el declive de muchas especies en peligro de extinción.
La investigación estima que, anualmente, los gatos domésticos acaban
con la vida de 61 millones de aves, mientras que los callejeros matan
otros 316 milones.
"Todo el mundo sabe que los gatos matan pájaros, pero este estudio
muestra que la depredación es asombrosa", dijo el investigador
John Woinarski, de la Universidad Charles Darwin. "Es probable
que conduzca al actual declive de muchas especies". Los datos
se basan en un centenar de estudios realizados en toda Australia por
especialistas con un muestreo sobre la densidad de la población felina.
Otro centenar de estudios evaluó su dieta.
Woinarski dice que investigaciones anteriores se han centrado en el
impacto de los gatos sobre mamíferos de Australia y que está es la
primera evaluación en las aves de Australia. Los mayores índices de
depredación se encontraron en las islas australianas y zonas áridas
remotas, donde el número de aves que mueren cada año podría alcanzar
los 330 por kilómetro cuadrado.
Los gatos callejeros, millones en todo el país, se consideran también
los principales culpables de alta tasa de extinción de mamíferos de
Australia. Han eliminado poblaciones enteras después de ser introducidos
por los europeos que se asentaron en el país hace dos siglos. Desde
entonces, los esfuerzos para ralentizar su expansión han fracasado.
Los investigadores han descubierto que los gatos matan 338 tipos de
aves, casi la mitad de las especies nativas de Australia, incluyendo
71 especies amenazadas como el zorzal, la codorniz moteada, y el loro
de noche. "Encontramos que las aves que más matan son de tamaño
mediano son aves que anidan y se alimentan en el suelo, y otras que
viven en islas o en los bosques, pastizales y matorrales", explicó
Woinarski."Para los pájaros australianos, los gatos son un problema
muy arraigado desde hace mucho tiempo que debe abordarse con más eficacia".
El comisionado de Especies Amenazadas en Australia, Sebastian Lang,
ha calificado el estudio de "extremadamente importante y de gran
preocupación". "El conocimiento del impacto de los gatos
en mamíferos amenazados fue un estímulo importante en nuestra estrategia
de especies amenazadas, que priorizó acciones de control de gatos
callejeros", dijo Lang. "Esta nueva investigación hace hincapié
en la necesidad de seguir trabajando para reducir el impacto de los
gatos en nuestra biodiversidad".
El Gobierno australiano ha dedicado 20 millones de euros a proyectos
para reducir el impacto de los gatos callejeros en la vida silvestre.
En junio, comenzó la construcción de una gigantesca área libre de
gatos de cerca de 700 kilómetros cuadrados para facilitar la reintroducción
de especies salvajes al borde de la extinción.
Ver
elpais.com
Indian Adani Empire (falling now)
13
- 13/02/23 |
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Yearning for Learning: 7 Lessons from Western and Central Africa
(School Enrollment Has Risen Drastically in Western and Central Africa)
Here are seven key lessons from Western and Central African countries
from the regional education strategy to help girls and boys get ready
to learn, acquire real knowledge, and enter the job market with the
right skills to become productive and fulfilled citizens.
See
worldbank.org
Poor billionaires
14
- 13/02/23 |
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Between 1989 and 2017, the prevalence of childhood stunting, a
key indicator of malnutrition, nearly halved in India
15
- 13/02/23 |
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Dodo next in line for de-extinction by scientists reviving the
mammoth, by Michael Irving, January 31, 2023
.../...
Whether or not we’ll ever see dodos, mammoths or thylacines walking
the Earth again remains to be seen, but it’s an intriguing thought
that seems to be gaining more traction.
See
newatlas.com
Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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Will an AI be the first to discover alien life? By Alexandra Witze
SETI, the Search for ExtraTerrestrial Intelligence,
is deploying machine-learning algorithms that filter out Earthly interference
and spot signals humans might miss.
Artificial intelligence could help to sift through the reams of data
coming from telescopes that are searching for extraterrestrial intelligence.
It could even find alien signals that we have missed in the data we
already have.
.../...
Machine learning is also good at picking up candidate extraterrestrial
signals that don’t fall into conventional categories and so might
have been missed by earlier methods, says Dan Werthimer, a SETI scientist
at the University of California, Berkeley.
Peter Ma, a mathematician and physicist at the University of Toronto,
Canada, and lead author of today’s paper, agrees. “We can’t always
be anticipating what ET might send to us,” he says.
Ma and his colleagues sifted through Breakthrough Listen observations
of 820 stars, made using the 100-metre Robert C. Byrd Green Bank Telescope.
They built machine-learning software to analyse the data; this netted
nearly three million signals of interest but discarded most as Earth-based
interference. Ma then manually reviewed more than 20,000 signals and
narrowed them down to 8 intriguing candidates.
The search ultimately came up empty — all eight signals disappeared
when the team listened again. But the methods could be used on other
data, such as a flood of observations from the MeerKAT array of 64
radio telescopes in South Africa, which Breakthrough Listen began
using in December. The machine-learning algorithms could also be used
on archived SETI data, says Ma, to seek signals that might previously
have been overlooked.
.../...
See nature.com
Village
de Valmondois, de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
10
- 13/02/23 |
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Yes, we have enough materials to power the world with renewable
energy, by Casey Crownhart, January 31, 2023
We won’t run out of key ingredients for climate action, but mining
comes with social and environmental ramifications.
See
technologyreview.com
La Seine à Chatou, de Maurice de Vlaminck (1876-1958)
11
- 13/02/23 |
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The Top Hat (Jewish joke)
Schwartz is sitting in his room, wearing only a top hat, when Steinberg
strolls in.
“Why are you sitting here naked?”
“It’s all right,” says Schwartz. “Nobody comes to visit.”
“But why the hat?”
“Maybe somebody will come.
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Do not miss the Virus Jokes in English and French
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