Pour être sûr de recevoir cette gazette, abonnez-vous
au fil
RSS comme indiqué...
Rappel : La
nouvelle gazette poétique par Maurice Guéguen
La poésie du mardi
Si vous le voulez bien,
tous les mardis, je vous adresse par mail :
Le texte d’un poème (pdf)
L’enregistrement correspondant (mp3)
Un commentaire (le message)
Ça ne coûte rien…
Ça instruit…
C’est beau…
C’est partagé…
Pour s'abonner, écrire à Maurice GUÉGUEN
Mél : poemamomo(a)gmail.com
Avant l’informatique / Before computers : Couple de paysans
auvergnats / Auvergne peasant couple
04/07/2024
|
|
|
Les inégalités sociales sont minimales en France
et en Europe (selon l'indice de Gini)
Par contre dans le "Sud global", l'Afrique du Sud, le
Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine, auxquels se sont ajoutés
l'Égypte, l'Iran, l'Arabie saoudite, les Émirats
arabes unis, l'Éthiopie ... les inégalités
sociales sont considérables, alors que les inégalités
sociales sont minimales en France et " en gros " dans
l'UE.
04/07/2024
|
|
|
Un artisan
menuisier du Faubourg Saint-Antoine à qui nous avons confié
la restauration de quelques meubles
Il a une machine à commande numérique dans son atelier.
La ville de Paris a voulu garder les artisans du faubourg. Les immeubles
qui hébergent les ateliers sont très étonnants.
Les camions peuvent rentrer dans le parking souterrain. Et les meubles
sont transportés des ateliers au parking souterrain grâce
de grands monte-charges.
Voir la menuiserie d'aujourd'hui
Ces cartes d'élections sont fausses (sur le site du journal "Les
Échos")
Cartographier une élection, est-ce bien raisonnable ? Eh bien, pas
vraiment, mais heureusement il existe des solutions.
Voir
lesechos.fr
Y a-t-il plus de porcs que de Bretons ?
Grâce au recensement, on sait combien il y a d’habitants. Grâce
au recensement *agricole*, on sait combien il y a de porcs, de vaches,
de chèvres et de moutons par département. La question qu’on se pose
tous c’est : dans quels départements les humains sont-ils moins
nombreux que le bétail ?
Voir
lesechos.fr
Raymond Devos : Parler pour ne rien dire
Voir
ina.fr
Cessons de maltraiter ceux qui nous font vivre ! De Sylvie Brunel
Présentation de l’ouvrage de Sylvie Brunel par Pierre Feillet.
Voir
academie-agriculture.fr
Jacques Faizant
04/07/2024
|
|
|
Du côté de l'encyclopédie de l'Académie d'agriculture
- La
chimie minérale des sols et la fertilisation (organique et minérale)
par Philippe VIAUX (Réf. AAF : 01.08.Q04)
- Interactions
sol-plante par Philippe VIAUX (Réf. AAF: 01.08.Q06)
- Le
sol agricole : un milieu vivant par Philippe VIAUX (Réf. AAF
: 01.08.Q05)
- Les
projets alimentaires territoriaux par Henri ROUILLÉ d'ORFEUIL
(Réf. AAF : 10.03.Q02)
Point de vue sur les différences normales (!) de perception de
la réalité dans notre pays de villages, bourgs et petites villes
d’une part, et notre pays de grandes villes et banlieues proches
d’autre part
- la peur de l’immigration : dans « ma » banlieue
des Hauts-de-Seine, les émeutes de juin 2023 ont été impressionnantes
mais deux semaines après, tout le monde a fait comme si de rien
n’était. On répare et on sait que c’est une histoire couteuse. Cela
n’empêche d’aller se faire couper les cheveux chez le coiffeur tunisien
ou marocain à 12 €, ou encore d’aller chez le boulanger tunisien
ou de faire un peu de soutien scolaire à un jeune dont je n'ai jamais
demandé d’où sa famille est originaire.
Le renouveau et l’extension extraordinaire du réseau de métro et
de tramways de Paris et sa banlieue (merci Sarkozy et ses successeurs)
permet déjà et va permettre à beaucoup de gens d‘aller
chercher du travail "plus loin"… alors qu’ils étaient
jusqu’à présent isolés dans leurs quartiers ou cités.
De toutes façons, nous avons besoin d'immigration dans les
métiers en tension (restauration, hôtellerie, agriculture,
etc.) et pour nos retraites... avec le taux de natalité actuel,
sans immigration, on va à la catastrophe.
- le combat des « écologistes des villes » contre les
pesticides (et les agriculteurs) parait bizarre dès qu’on connait
un peu les problèmes de protection des cultures. Mais le rejet total
(et compréhensible) des ambitions écologistes par le monde rural
serait aussi catastrophique. On peut être fâché après les « écologistes
des villes » et poursuivre les efforts de limitation des gaz
à effet de serres avec le non-labour, les systèmes de cogénération
de chaleur et d’électricité en serres, l’implantation de haies et
d’arbres en bordures de champs, le recours au vélo ou à l’auto électrique,
la mise en place (déjà bien avancée) de panneaux solaires et de
méthaniseurs…
- la fermeture des petits hôpitaux et des pharmacies choque
le monde rural. Mais, par exemple, personne ne voit comment attirer
des obstétriciens dans des services où il n’y a pas assez d’accouchements…
J’imagine que l’on cherche partout des solutions avec la mise en
place de cabinets médicaux partagés, ou en lien avec
les réseaux d’EHPAD qui nécessitent la présence d’un médecin par
exemple.
- De tout ceci, il faut discuter en sachant qu’il n’y a pas de solution
simple. Monter une belle équipe nationale de foot n'est pas
simple non plus. On t arrive. Notre équipe nationale de football
est diverse. Elle est à notre image.
- Observons enfin qu’au Royaume-Uni, l’équivalent du Parti
socialiste a de grandes chances d’arriver au pouvoir, sans faire
des promesses absurdes, tandis que l’extrême droite est aux portes
du pouvoir à Paris. Boris Johnson et les conservateurs ont régné
14 ans sur le Royaume-Uni , avec des idées à la «
Le Pen », et ont parfaitement réussi à paralyser l'économie
du Royaume-Uni.
Nos vieilles
04/07/2024
|
|
|
La France va plutôt bien, mais il faut dire le contraire (Un
éditorial de Éric Le Boucher dans Les Échos)
Il faudrait plonger dans la complexité, prendre du recul, tout
en rappelant qu'au bout du compte les bonnes questions portent
sur la productivité et la croissance. Au lieu de cela, la France
a divorcé avec la vérité, regrette Éric Le Boucher. Chiffres faux,
diagnostics faux, promesses électorales fausses…
Chiffres faux, diagnostics faux, état d'esprit faux, promesses
électorales fausses… la France a divorcé avec la vérité. Il faut
dire que tout va mal. Cette disparition totale de la raison au
pays de Montaigne et de Descartes s'explique par le concours général
au défaitisme. Le besoin de se plaindre, sport national depuis
la Gaule dit-on, s'est dramatisé avec l'abandon du réel pour le
« ressenti », s'est enflé avec les réseaux sociaux et s'est outré
avec la démagogie politique populiste.
On en arrive à ces élections législatives folles où l'on a écarté
les vrais sujets de l'Ukraine, du climat, des technologies, de
la croissance, de la Chine, et pour se focaliser sur les faux
que sont le pouvoir d'achat, la retraite ou l'insécurité.
…/…
Voir
lesechos.fr/
Où l'on voit que la Russie est encore un pays en voie de développement,
comme on disait autrefois : Mme Le Pen s’en est-elle aperçue ?
Sa pauvreté explique-t-elle l’agressivité de la Russie ? Les Russes,
avec leurs richesses naturelles incroyables (gaz, pétrole,
minerais, blé, etc.), gagnent en moyenne trois fois moins
que les Européens de la zone Euro. Très fort Poutine
!
Attention : sur le graphique, il vaut mieux prendre en compte
l'Euro-zone plutôt que l'UE dans sa totalité, les
pays qui ont longtemps "bénéficié"
de la tutelle russe n'ayant pas encore rattrapé leur retard.
Les Ukrainiens ne sont pas spécialement attirés
par l'Otan, mais plutôt par le bonheur de vivre dans un
pays de l'UE, et plus encore de l'Euro-zone.
Le niveau de vie des Ukrainiens s'était déjà
un peu amélioré avant l'agression russe, sensiblement
par rapport aux Russes, mais pas au point de rejoindre le nôtre,
trois fois plus élevé !!!
|
|
|
Le paysan, par Eugène Burnand (1850-1921, CH)
01
- 04/07/2024
|
|
|
La fournée dans un village des montagnes, 1877, par Eugène Burnand
(1850-1921, CH)
02
- 04/07/2024
|
|
|
Étude d'une femme et son panier, par Eugène Burnand (1850-1921,
CH)
03
- 04/07/2024
|
|
|
La vachère menant sa vache, 1883, par Julien Dupré (1851-1910)
04
- 04/07/2024
|
|
|
Francis Jammes
Francis Jammes n'a jamais mis les pieds à Alméria (voir les
deux premiers vers : la vallée d'Alméria "doit être"...).
Lui, l'amoureux de la nature et de la campagne, se fait une
image fantasmée de cet endroit, qui a toujours été un des lieux
les plus désertiques d'Europe.
Que dirait-il aujourd'hui, cent trente ans après avoir écrit
ce poème, s'il visitait aujourd'hui la "mer de plastique",
ce désastre agronomique et écologique ?
|
La vallée, de Francis Jammes (1868 – 1938)
in « De l’angélus de l’aube à l’angélus du soir »
La vallée d’AIméria. La vallée d’Alméria
doit être une vallée en tubéreuse aux eaux d’argent
et aux montagnes claires et bleues et aux torrents
pleins de fleurs claires, de grenadiers rouges et luisants.
La vallée d’Alméria. La vallée d’Alméria
doit être une vallée où est un château clair,
des histoires d'amour pleines de seringas,
de jardins en sommeil et de belladones.
La vallée d’Alméria. La vallée d’Alméria
est comme une guitare aux fleurs des citronniers,
Les duègnes surveillaient mal et les cavaliers
engrossaient les belles jeunes filles sous les ombrages
noirs.
La vallée d’Alméria. La vallée d’Alméria,
c'est un rêve clair comme le silence des vallées,
Vers les hôtelleries eIles s’en sont allées,
celles qu’un muletier descendit dans ses bras.
1895
Signalé par Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com
|
|
|
Pas très loin d’Almeria, Malaga est la ville
où Pablo Picasso a passé sa petite enfance...
Un musée lui est consacré...
Voir
spain.info
|
|
|
Vues sur Google Map, les serres (en blanc !) de la plaine d'Almeria
- 30 % du PIB de la région d'Almeria
- un désert artificiellement fertile de 26 000 hectares
04/07/2024
|
|
|
Le désert de Tabernas, au nord d'Almeria
Voir
deserts.fr
"2041
l'Odyssée paysanne pour la santé de l'homme et de la planète",
un excellent bouquin de Jean-Marie Séronie, membre de
l'Académie d'agriculture
L’agriculture est aujourd’hui au coeur de nombreux défis
de la modernité. Les vingt prochaines années s’annoncent
comme passionnantes et mouvementées, une véritable odyssée
paysanne. C’est un enjeu majeur pour la santé des hommes
et de la planète.
Le grand pari des vingt prochaines années est de faire
évoluer simultanément et à des rythmes compatibles entre
eux, la demande des consommateurs vers plus de naturalité,
la transition alimentaire, l’évolution agroécologique
d’agricultures utilisant de moins en moins d’intrants
chimiques et l’action publique.
Toutes ces évolutions dessineront un paysage agricole
nouveau. Les paysans, acteurs majeurs de ces évolutions,
seront encore plus demain de véritables « entrepreneurs
du vivant ».
Cet essai analyse les grandes tendances (société, sciences,
politique, géostratégie) qui façonneront les agricultures
futures. Il propose des clefs pour imaginer les contours
des agricultures françaises aux termes de l’odyssée des
vingt prochaines années, identifier les marges de manoeuvre
pour s’adapter et anticiper.
L’auteur s’adresse aux agriculteurs, aux spécialistes
agricoles comme à toute personne motivée par le décryptage
des futurs possibles. Ce livre ne requière donc aucune
connaissance agricole préalable.
Il peut se lire en continu ou se « picorer » au gré de
vos envies.
Voir
agroeconomie.com
Voir
editions-france-agricole.fr
|
|
Législatives 2024 : « Le désastre des années Brexit au Royaume-Uni
préfigure, en mode atténué, ce qui pourrait attendre les Français
après le 7 juillet », par Philippe Bernard, Éditorialiste au «
Monde », qui aura attendu la veille du 1er tour des
législatives pour donner un tableau un peu réaliste de la situation
de notre pays…
Dans sa chronique, Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde
», dresse une analogie entre les conséquences d’une accession
du RN au pouvoir et les dégâts qu’ont entraînés la sortie des
Britanniques de l’Union européenne.
Voir
lemonde.fr
Les Américains travaillent beaucoup plus que nous autres français
! Et en moyenne, ils gagnent bien mieux leur vie que nous. C'est
un choix !
Le calcul montre que leur pouvoir d'achat est nettement supérieur,
en tenant bien sûr compte que la vie est plus couteuse aux USA
qu'en France.
04/07/2024
|
|
|
Atlas
des vins insolites, par Pierrick Bourgault
Depuis une trentaine d'années, j'écoute celles et ceux
qui cultivent les ceps, vendangent le raisin et élaborent
le vin, dans le vaste monde. Bien souvent, cépages et
technologie sont internationaux, même si l'on découvre,
ici et là, d'ingénieuses variantes, des cépages locaux,
de passionnantes initiatives personnelles. Et parfois,
des vins carrément insolites, issus de vignes cultivées
sous des climats inhabituels, dans des terroirs improbables,
des cépages oubliés, voire créés. Certains vignerons nous
offrent des vinifications originales, des saveurs étonnantes
et l'histoire de leurs vies. Autre intérêt de ce tour
du monde des vins insolites : rappeler les méthodes classiques
et expliquer leur contournement. Bref, la pédagogie par
la différence.
À notre époque mondialisée, l'uniformisation des techniques
et des goûts semble inévitable. Or quelques vignerons
cultivent la vigne sous des climats et dans des terroirs
improbables, sauvent des cépages oubliés ou bannis, retrouvent
ou créent des vins. Certains même perpétuent les méthodes
de l'Antiquité.
Quelques exemples, à travers le monde : des ceps hauts
de 15 mètres en Italie et au Portugal, les vins de glace
du Québec, des vignes héroïques inscrites au patrimoine
culturel de l'Unesco, le vin du désert de Gobi, ces cuvées
d'Indonésie issues d'une récolte continue, un Vin de la
paix associant plus de 600 cépages du monde entier, une
vendange du 31 décembre, des vignes qui écoutent de la
musique classique, le vin d'amphores de Géorgie, un effervescent
à dégorger soi-même...
L'Atlas des vins insolites est paru 19 octobre, Atlas
of Unusual Wines est déjà sorti en Grande-Bretagne le
13 octobre et sera distribué aux États-Unis le 4 décembre.
Atlante dei vini insoliti a rendez-vous avec l'Italie
le 23 octobre. La traduction espagnole Atlas de vinos
insolitos sera disponible le 14 novembre et une édition
allemande Atlas außergewöhnlicher Weine est prévue en
2024. Les éditions Jonglez offrent à ce thème une diffusion
mondiale.
Cet ouvrage succède à Vins insolites, qui avait reçu le
Prix OIV 2016 vins et territoires, le premier prix pour
la France aux Gourmand World Cookbook Awards 2016 et le
grand prix Spirit 2016. L'Afja m'a remis le grand prix
du journalisme agricole pour mes reportages en Irak, en
particulier sur les vins clandestins que je révèle dans
cet Atlas des vins insolites.
Afin que vive le vin !
Voir
par exemple fnac.com
|
|
Les Américains sont beaucoup plus riches en moyenne que les
Français, mais leur richesse médiane est moindre, signe qu’aux
USA les inégalités sont absolument énormes par rapport aux inégalités
en France, par exemple
04/07/2024
|
|
|
Introduction
à l’histoire du groupe EXEL
L’histoire d’EXEL industries commence lorsqu’en 1946,
Vincent Ballu, père de Patrick Ballu Président de l’actuel
conseil d’Administration, invente et construit lui-même
le premier « tracteur enjambeur ». Il est destiné aux
vignobles de Champagne de la célèbre maison Moët et Chandon.
En 1947, cette réalisation lui vaudra le premier prix
de « l’Association viticole champenoise ». Elle sera à
l’origine de la motorisation de la culture de la vigne
en Champagne, puis dans tous les vignobles étroits.
Voir
exel-industries.com
En quarante ans, j'ai repris une centaine de sociétés
- Patrick Ballu, Groupe Exel
Voir
l'incroyable épopée d'un constructeur champenois (vu dans
Le Betteravier Français)
Enjamber l'espace et le temps. EXEL Industries, 70
ans de recherche d'excellence pour faire différemment
et mieux qu'avant
En 70 ans, Tecnoma, petite entreprise d’Épernay, est montée
sur le podium des leaders mondiaux dans chacune de ses
activités.
Voici l’histoire de la success story familiale à la française
qu’est Exel Industries. Connaît-on beaucoup de groupes
industriels français, restés indépendants et familiaux
à plus de 80 %, et capables de grandir en attirant et
fédérant harmonieusement des entreprises autonomes, tout
en respectant leur ADN ?
Un groupe français, parti de rien en 1952, qui réalise
maintenant plus d’un milliard d’euros avec 4 000 femmes
et hommes, en majorité hors de France ? Un groupe mettant
en avant l’humain, la confiance et l’initiative de chacun,
pour mieux tendre vers l’excellence, au point de s’en
inspirer pour lui donner son nom : Exel Industries ?
Ce groupe, Patrick Ballu, qui a permis cette expansion
remarquable avec sa famille et ses équipes passionnées,
en raconte ici la saga et livre, à coeur ouvert, quelques-unes
de ses clés. De nombreux autres témoins viennent aussi
éclairer, sous leur angle personnel, cette belle aventure
humaine et collective. Une épopée portée par l’innovation,
l’agilité, l’initiative, l’audace, le pragmatisme. « Et,
à certains moments, par la chance aussi… qu’il faut savoir
saisir. »
Voir
par exemple sur amazon.fr
|
|
La bourse de Paris fébrile à cause de la montée du RN (source :
l’excellente newsletter de l'agence Bloomberg)
La bourse de Paris a une forte volatilité en ce moment. Les acteurs
de l’économie ont peur. C'est le stress dû à la montée du RN, dont
les promesses sont totalement délirantes. On peut penser ce qu’on
veut du capitalisme. Mais à court et moyen terme, l’évolution de
la bourse et la situation de nos entreprises comptent et compteront
dans nos vies encore un certain temps.
À Londres l'arrivée des travaillistes au pouvoir est accueillie
avec calme. La gauche anglaise est plus raisonnable et intelligente
que le RN, avec le travailliste Sir Keir Starmer, les folies de
son prédécesseur Jeremy Corbyn, le Mélenchon anglais, sont abandonnées.
On peut critiquer le Président Macron, mais celui-ci ne s’est pas
laissé aller à faire des promesses irréalistes.
04/07/2024
|
|
|
Agir
avec la nature au XIXe siècle, À propos d'oiseaux,
d'agriculture et d'émergence de l'écologie,
par Christian Levêque
Le débat
qui s'est instauré au milieu du XIXème siècle
sur le rôle des oiseaux insectivores en tant qu'auxiliaires
de l'agriculture, s'inscrit dans la démarche "
agir avec la nature ". Les scientifiques ont fait l'hypothèse
que les dégâts causés par les insectes
aux cultures, résultaient de l'érosion des
populations d'oiseaux insectivores soumis à une forte
prédation par la chasse et le braconnage.
On parlait déjà à cette époque,
de la disparition prochaine de plusieurs espèces
d'oiseaux de la faune française.
Si la protection des oiseaux sera acquise en 1902, la distinction
opérationnelle entre utile et nuisible s'est avérée
difficile et ce débat perdure. C'est durant cette
période que les concepts de l'écologie ont
émergé: rôle des facteurs de l'environnement
sur la distribution des espèces, équilibre
des systèmes écologiques, régulation
des populations par les chaines trophiques, etc.
Des concepts hérités à la fois de la
pensée créationniste et du sens commun dont
certains seront remis en cause par la suite.
Voir
pressesdesmines.com
|
|
Les traitements de l'obésité vivent une révolution par Nathalie
Brafman et Pascale Santi
Des molécules imitant des hormones digestives et agissant sur
la satiété révolutionnent la prise en charge des patients obèses.
Les autorités sanitaires françaises tardent à valider leur mise
sur le marché. Ailleurs, c’est la ruée sur ces traitements, alors
que leurs effets à long terme restent inconnus.
Voir
lemonde.fr
La géographie vue par Xavier Gorce
04/07/2024
|
|
|
Le wokisme jusque dans les sciences, par Marcel Kuntz, 2 juillet
2024
.../...
Nier que la science puisse décrire le monde réel a aussi été l’une
des théories fumeuses de la sociologie des sciences postmodernes.
Le wokisme lui, a érigé l’occultation du réel en mode de pensée
chaque fois que ce dernier contredit ses vues idéologiques. Il
est, à ce titre, l’héritier du marxisme appliqué.
Certains médias, que l’on peut qualifier “d’occultation”, illustrent
cette évolution. Dans les faits, les médias wokisés sont reconnaissables
à ce qu’ils nient l’existence du wokisme… La raison étant qu’ils
ont conservé l’habitude du monopole de la fabrique des discours
dominants de propagande. Ainsi, il leur est insupportable que
certains termes, aujourd’hui présents dans le débat public, rompent
avec cette hégémonie. Il en va de même pour le terme woke, devenu
péjoratif.
Voir
contre-poison.fr
Pour se désabonner de cette gazette si vous la recevez par erreur…
Si ce lien
ne fonctionne pas, merci de s'adresser à moi : guy.waksman(a)laposte.net
S'abonner
à la gazette de l'Afia (un lien à transmettre à vos amis !)
S'abonner
à la gazette Efita en anglais (un autre lien à transmettre à vos
amis)
Lire une des dernières gazettes Efita
en anglais
Suivre l’Afia sur Facebook
Groupe LinkedIn
Afia
Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
|
|
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
SITUATION (Une) : Quand tu te sens en situation d'échec, souviens-toi
que le grand chêne, lui aussi, a été un gland !
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
The ability of so many people to live comfortably with the idea of
capital punishment is perhaps a clue to how so many Europeans were
able to live with the idea of the Holocaust: Once you accept the notion
that the state has the right to kill someone and the right to define
what is a capital crime, aren't you halfway there?
Roger EBERT, film critic (1942-2013)
|
Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de la dernière gazette AFIA
>>> Latest
issue of the Efita Newsletter nb 1090 dated May 13, 2024
>>> Latest
available statistics for the efita newsletter
La carte des vins de France, façon plan de métro (carte créée en
2013)
Una nueva generación para una forma distinta de trabajar en el
campo, de Claudia Vila Galán, 24 Jun 2024
Nuria Rodríguez, abulense de 24 años, y Ricardo Pérez, leonés de 21,
han decidido continuar con el oficio de sus padres, agricultores y
ganaderos, pero convirtiéndolo en una profesión que abarque múltiples
disciplinas y basada en la formación.
Ver
elpais.com
Le
vieillissement et le manque de formation pénalisent
l'agriculture espagnole
04/07/2024
|
|
|
04/07/2024
|
|
|
L'informatique au service de l'agriculture : comment la technologie
optimise la production et la gestion agricole ? La vision de
l’Acta
Au fil des années, l'informatique a progressivement trouvé sa place
dans différents secteurs économiques. L'un de ces secteurs est l'agriculture,
où les technologies de l'information sont devenues des outils incontournables
pour optimiser la production, la gestion et la planification des
cultures. L'agriculture est un domaine qui a beaucoup à gagner grâce
à l'utilisation de l'informatique, que ce soit pour améliorer les
rendements ou pour réduire les coûts.
L'informatique au service de l'agriculture comprend un ensemble
de technologies qui permettent de collecter, de stocker, d'analyser
et de partager des données afin d'optimiser la production agricole.
Parmi les technologies les plus couramment utilisées dans ce domaine,
on trouve les capteurs, les drones, les systèmes d'information géographique
(SIG) et les logiciels de gestion agricole.
Les capteurs sont utilisés pour collecter des données sur les conditions
de croissance des cultures, telles que l'humidité, la température,
la luminosité et la composition du sol. Ces données sont ensuite
transmises à des logiciels de gestion agricole qui les analysent
pour aider les agriculteurs à prendre des décisions éclairées sur
l'irrigation, la fertilisation et la lutte contre les maladies.
Les drones, quant à eux, sont utilisés pour cartographier les cultures
et surveiller leur croissance. En survolant les champs, les drones
peuvent collecter des données sur l'état des cultures, telles que
la hauteur, la densité et la couleur des feuilles. Ces données peuvent
être utilisées pour identifier les zones où les cultures sont en
difficulté et pour cibler les traitements nécessaires.
Les systèmes d'information géographique (SIG) sont utilisés pour
stocker et visualiser des données sur les cultures et les conditions
environnementales. Les SIG peuvent aider les agriculteurs à planifier
la gestion de leurs cultures en identifiant les zones à haut rendement
et les zones à risque. Les SIG peuvent également aider à la planification
des itinéraires de travail pour minimiser les déplacements et optimiser
l'efficacité.
Enfin, les logiciels de gestion agricole sont utilisés pour suivre
et planifier les opérations agricoles telles que la fertilisation,
l'irrigation, la récolte et la gestion du personnel. Ces logiciels
permettent aux agriculteurs de planifier les opérations en fonction
des données collectées et d'optimiser leur utilisation des ressources.
L'utilisation de l'informatique dans l'agriculture présente de nombreux
avantages. Tout d'abord, elle permet aux agriculteurs d'optimiser
la production agricole en utilisant les ressources disponibles de
manière plus efficace. Elle permet également de réduire les coûts
en évitant le gaspillage de ressources et en réduisant les pertes
de récolte. Enfin, elle contribue à la durabilité environnementale
en réduisant l'utilisation de produits chimiques et en optimisant
l'utilisation des ressources naturelles.
En conclusion, l'informatique est un outil incontournable pour l'agriculture
moderne. Les technologies de l'information, telles que les capteurs,
les drones, les SIG et les logiciels de gestion agricole, permettent
aux agriculteurs d'optimiser la production, de réduire les coûts
et de promouvoir la durabilité environnementale. En outre, l'informatique
facilite également la gestion et la planification des opérations
agricoles, permettant aux agriculteurs de travailler de manière
plus efficace et de maximiser leur rendement.
Cependant, malgré les avantages indéniables de l'informatique dans
l'agriculture, il reste encore des défis à relever. Tout d'abord,
l'utilisation de la technologie nécessite des compétences techniques,
ce qui peut constituer un obstacle pour certains agriculteurs. En
outre, l'accès à l'infrastructure nécessaire, comme la connectivité
Internet, peut être limité dans certaines régions.
Il est donc important de développer des programmes de formation
et d'accompagnement pour aider les agriculteurs à acquérir les compétences
nécessaires à l'utilisation de la technologie. Il est également
important de promouvoir l'investissement dans l'infrastructure nécessaire
pour garantir que tous les agriculteurs ont accès à la technologie.
En conclusion, l'informatique est un outil essentiel pour l'agriculture
moderne. Les technologies de l'information offrent une multitude
de possibilités pour optimiser la production agricole, réduire les
coûts et promouvoir la durabilité environnementale. Cependant, pour
maximiser les avantages de l'informatique dans l'agriculture, il
est important de s'assurer que tous les agriculteurs ont accès à
la technologie et les compétences nécessaires pour l'utiliser efficacement.
Voir
linkedin.com
Sciences et Pseudo-Sciences n°348 (avril 2024) : Science
et justice. L'expertise est-elle fiable ?
>>>
Editorial : Intégrité et neutralité scientifiques
dans le débat démocratique
>>> Expertise judiciaire
> Expertise scientifique en justice : quelle fiabilité
? par Jean-Paul Krivine
> Utiliser la science pour éclairer la justice : les
enjeux de lexpertise criminalistique par Damien Charabidze
> La science au secours de la justice : le cas exemplaire
de laffaire Kathleen Folbigg par Christophe de La Roche
Saint-André (une histoire exceptionnelle !!!)
> Le compteur Linky au tribunal par Anne Perrin
>>>
Médecines alternatives
> Détox : info ou intox ? par Valentin Ruggeri
> Bien-être et fausse médecine : quand la physique
quantique est récupérée par les pseudo-sciences
par Aymeric Delteil
> Sophrologie, une pseudo-science qui sinvite sur les
bancs des écoles ? par Christophe Adourian
> LOrdre des médecins et lhoméopathie
par Jean-Paul Krivine
Le Mas Numérique, la synergie du numérique pour la viticulture
à Montpellier
Voir lemasnumerique.agrotic
Voir vidéo
|
Publication
diffusée grâce au soutien de :
|
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
SITUATIONS (critiques) : Dans les situations critiques, quand on parle
avec un calibre bien en pogne, personne ne conteste plus. Y'a des
statistiques là-dessus.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
Silence will save me from being wrong (and foolish), but it will also
deprive me of the possibility of being right.
Igor STRAVINSKY, composer (1882-1971)
DMA (EU Digital Market Act) : Apple n’est pas réglo, juge Bruxelles,
par Clément Bohic, 25 juin 2024
La Commission européenne relève plusieurs infractions au DMA chez
Apple. Et ouvre une enquête supplémentaire contre le groupe américain.
Les nouvelles de la Commission européenne ne sont pas bonnes pour
Apple.
Le groupe américain est officiellement sous enquête depuis fin mars,
suspecté de ne pas respecter toutes les obligations du DMA.
Bruxelles vient de communiquer ses conclusions préliminaires sur l’un
des points examinés. En l’occurrence, les « règles d’orientation »
de l’App Store. Celles-ci exigent, dans les grandes lignes, que les
développeurs distribuant leurs applications par cet intermédiaire
puissent « informer leurs clients sur d’autres possibilités d’achat
moins coûteuses, les orienter vers ces offres et leur permettre d’effectuer
des achats, et ce gratuitement ».
Voir
silicon.fr
Comment Cegid va infuser la GenAI dans ses solutions
Cegid Pulse, l’éditeur accélère l’infusion de l’IA générative dans
son offre de logiciels de gestion des métiers. Premiers servis : les
experts-comptables et les professionnels du retail.
Les « experts-comptables qualifiés » seront les premiers à pouvoir
y accéder en juillet. L’éditeur prévoit une extension progressive
à ses solutions de gestion, « dont Cegid Business quelques semaines
plus tard ».
Mais de quelle GenAI parle-t-on au juste ? Cegid n’entre pas dans
les détails. Tout au plus évoque-t-il « un ensemble d’agents intelligents
construits avec l’intelligence artificielle générative ». Et de mettre
l’accent sur trois cas d’usage :
– Rapports personnalisés pour les clients
– Création, ajustement et validation de devis
– Simulations pour faciliter les prises de décision
…/…
Voir
itespresso.fr
Au pâturage, par Julien Dupré (1851-1910)
05
- 04/07/2024
|
|
|
En classe, le travail des petits, 1889, par Geoffroy, dit Geo
Henri Jules Jean (1853 - 1924), RMN - Grand Palais
NB : Géo, polytechnicien et docteur ès sciences économiques,
il a débuté au ministère des Finances, dirigé Le Bon Marché et
Conforama…
06
- 04/07/2024
|
|
|
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SOCIÉTÉ (La) : J'ai divisé la société en deux catégories : mes
amis ou mes cons à moi et les cons des autres que je ne supporte
pas.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
The truly creative mind in any field is no more than this: A human
creature born abnormally, inhumanly sensitive. To him... a touch
is a blow, a sound is a noise, a misfortune is a tragedy, a joy
is an ecstasy, a friend is a lover, a lover is a god, and failure
is death. Add to this cruelly delicate organism the overpowering
necessity to create, create, create -- so that without the creating
of music or poetry or books or buildings or something of meaning,
his very breath is cut off from him. He must create, must pour
out creation. By some strange, unknown, inward urgency he is not
really alive unless he is creating.
Pearl S. BUCK, novelist, Nobel laureate (1892-1973)
Une agriculture sans élevage serait-elle plus écologique ?
Par Philippe Stoop
Encore un article éclairant sur le blog d'André Heitz, sur le
rôle de l'élevage dans l'agriculture, et la difficulté de remplacer
la viande par des protéines végétales.
Il s'agit de la traduction française d'un article
allemand de Agrarheute, qui rappelle un problème essentiel
et trop souvent oublié : on ne peut pas augmenter à volonté la
proportion de légumineuses dans nos rotations car leur retour
trop fréquent favorise l'installation de champignons ou bactéries
parasites, qui au bout de quelques années rendent les champs impropres
à leur culture. C'est pourquoi il faut respecter des intervalles
minimaux entre deux semis de légumineuses sur une même parcelle
pour que la production soit durable.
C'est un des facteurs qui ont provoqué l'effondrement des rendements
du pois protéagineux dans les années 90 en France, où il était
pourtant cultivé en rotation triennale (une année sur 3).
.../...
Voir
linkedin.com
8 ans après, les systèmes innovants Syppre toujours face au
mur des IFT... et de l’EBE
L’allongement des rotations avec la diversification comme corollaire
ne garantit pas toujours une réduction des IFT qui, le cas échéant,
demeure nettement inférieure à la cible de -50% inscrite dans
la stratégie Ecophyto 2030. Au plan économique, les performances
sont quasi systématiquement dégradées.
Voir
pleinchamp.com
À travers la presse déchainée : l’histoire délirante de l’Adblue,
ou le nouveau glyphosate caché, par Philippe Stoop
Voir
linkedin.com
La baisse du nombre d’agriculteurs multiplicateurs de semences
n’est pas une fatalité
La France observe une baisse importante du nombre d’agriculteurs
multiplicateurs de semences. Cette tendance résulte de multiples
facteurs, tels que le changement climatique et les préférences
économiques. Pour renverser la vapeur, une reconnaissance accrue
de l’importance stratégique de ce secteur et des efforts concertés
vers l’innovation sont nécessaires, selon la Fnams et l’UFS.
Voir
tema-agriculture-terroirs.fr
Le Brésil prend soin de sa terre depuis 1970, par Alexis Jamet
(in « Paysan breton »)
Ademir Calegari, agronome brésilien, a présenté l'état des lieux
de l'agriculture de conservation des sols (ACS) dans son pays.
En raison de la forte détérioration de ses sols, le Brésil a dû
faire face à un gros challenge agronomique à partir des années
1960.
En effet, le labour systématique, la pluviométrie et l’absence
de couverture végétale ont provoqué l’érosion des parcelles, la
compaction des sols, la lixiviation des éléments nutritifs et
la baisse de la teneur en matière organique. « La transition vers
l’agriculture de conservation au Brésil a débuté en 1970 en s’inspirant
de ce qui se faisait aux États-Unis et en Angleterre et en important
des machines de là-bas », explique Ademir Calegari, agronome et
chercheur brésilien.
« Aujourd’hui, environ 40 % des terres du pays sont cultivées
sans labour. Dans l’état du Paraná, d’où je viens, on est à 85
% ». Même les plus petites structures sont initiées à la technique,
avec des méthodes adaptées à la traction animale et aux tracteurs
de faible puissance. « Il faut réussir à collecter et connecter
tous les éléments qui font qu’un sol fonctionne correctement »,
ajoute le chercheur.
|
|
|
Vallpojke med boskap, Carl Trägårdh 1861-1899, Sweden)
07
- 04/07/2024
|
|
|
Famille Paysanne Italienne, par François Alfred Delobbe (1835-1920)
08
- 04/07/2024
|
|
|
Études sur les outils de financement innovants pour l'agriculture
française (à lire en lien avec le paragraphe suivant)
Voir
agriculture.gouv.fr
« 10 millions d’hectares vont changer de mains dans les dix
ans à venir, suite au départ en retraite de 150 000 agriculteurs.
40 % de ces départs auront lieu d’ici 2 ans. ». Bruno Keller,
président de la Fédération nationale de la propriété privée
rurale (FNPPR)
Voir
agridees.com
L’Agriculture de Conservation des Sols sème ses graines à
la FAO, par Gérard Rass
A l’heure où les agriculteurs Européens viennent de faire des
manifestations contre la Politique Agricole Commune de l’Union
Européenne qui, selon eux, les empêche de gagner leur vie, à
l’heure où la pénurie alimentaire fait son retour en Europe,
où les famines réapparaissent dans les pays sous-industrialisés,
en particulier en Afrique, le citoyen ordinaire pourrait penser
que les politiques publiques internationales se focaliseraient
sur la manière de sécuriser la production agricole mondiale.
C’est en particulier le rôle du PAM, Programme Alimentaire Mondial
de la FAO, l’Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture
et l’Alimentation. Qu’en est-il vraiment ?
Voir
europeanscientist.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SOMMETS (Les) : Il n'y a pas que les aigles qui les atteignent,
les escargots aussi, mais ils en bavent !
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
To do the opposite of something is also a form of imitation.
Georg Christoph Lichtenberg, scientist and philosopher (1742-1799)
|
Du
côté des écrivains et artistes paysans |
> 37e
Festival du livre de Mouans-Sartoux, 4-5-6 octobre 2024
04/07/2024
|
|
|
> Article
de Gérard Cherbonnier paru dans les Brèves des éditions du Petit
Pavé
> Publication
: Paroles de paysans du monde
L’Association des écrivains et artistes paysans a la fierté d’annoncer
la publication numérique de ses écritures partagées, sur son site
Internet, suite à l’appel à textes lancé il y a deux ans:
Si tous leurs auteurs qui ont répondu ne sont pas forcément écrivains
ou paysans, la centaine de témoignages rapportés s’inscrivent dans
une approche de la ruralité souvent raisonnée, parfois critique
ou sentimentale mais toujours fort intéressante, qui jette les bases
d’un nouveau monde à construire.
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
TITRES (longs) : Je suis pour les titres longs. Si "À la recherche
du temps perdu" s'était appelé simplement Albertine, ce serait
moins bon.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
What wisdom can you find that is greater than kindness?
Jean Jacques ROUSSEAU, philosopher and author (1712-1778)
30 ans d'AGROTIC
18 - 19 octobre 2024 - MONTPELLIER
Eh Oui, 30 ans déjà ! Au mois de septembre dernier, nous avons
passé le 400ème diplômé issu de la spécialisation AgroTIC.
30 et 400, deux chiffres ronds qui méritent d'être célébrés.
Voir
supagro-alumni.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
TRADITIONS (Les) : C'est comme ça qu'on appelle les manies dès
qu'il s'agit de fêtes militaires ou religieuses.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
The test of a democracy is not the magnificence of buildings or
the speed of automobiles or the efficiency of air transportation,
but rather the care given to the welfare of all the people.
Helen Adams KELLER, lecturer and author (1880-1968)
|
Du côté des gazettes et des blogs agricoles
|
Du côté de pleinchamp.com : Et pendant ce temps, la moisson bat
la campagne
[Edito] Alors que la campagne pour les législatives électrise le
pays, presque au point de désespérer la trêve olympique, la moisson
bat son plein avec des agriculteurs plus ouverts que jamais sur
leurs concitoyens..
« Alors que la moisson 2024 débute après une année difficile marquée
par des intempéries, nous, agriculteurs franciliens, avons le plaisir
de vous annoncer avec joie et soulagement le début des récoltes
(...) Il nous faut récolter nos céréales avec bon sens pour vous
offrir une alimentation saine et de qualité (...) Nous sommes déterminés
à travailler avec passion et dévouement pour vous offrir des produits
frais, locaux et cultivés avec soin (...) Il est ainsi possible
que vous soyez occasionnellement dérangé(e) par de la poussière
ou du bruit à des moments peu communs (...) Pour votre confort,
vous pouvez envisager certaines mesures de prévention comme fermer
vos fenêtres, couvrir vos piscines ou reporter votre repas en terrasse
». Ce sont quelques lignes extraites d’un message diffusé cette
semaine sur le réseau X (ex-Twitter) par Agriculteurs Île-de-France,
association qui cultive le lien à la ruralité et à l’alimentation.
>> En attendant la trêve olympique
On ose à peine y croire : autant de candeur et de bienveillance,
qui plus est sur un réseau social où d’ordinaire, le clinquant le
dispute au clivant, qui plus est à une époque où la boussole et
le GPS servent davantage à entrechoquer les instincts primaires
qu’à aiguiller et à éclairer les consciences. Il faut dire que la
campagne électorale express, déclenchée par l’annonce de la dissolution
de l’Assemblée nationale le 9 juin dernier, au soir des résultats
des élections européennes, n’est pas des plus propices au débat
d’idées, agricoles et autres. Presque au point de désespérer la
trêve olympique (du 19 juillet au 15 septembre, soit 7 jours avant
le début des JO et 7 jours après la fin des Jeux paralympiques)
réclamée par l’ONU sur les théâtres de guerre, dont celui, à nos
portes, déclenché par la Russie en Ukraine. Mais peut-être le prisme
et le cirque médiatiques surexposent-ils les postures radicales
au détriment de la sagesse populaire ? A voir.
>> De l’isoloir à la cabine
Entre deux allers-retours à l’isoloir, les céréaliers, toujours
eux, invitent nos compatriotes à vivre la moisson de l’intérieur,
dans une démarche d’ouverture et de connexion à la réalité agricole
qui, cette année, devrait être marquée par une dégradation des rendements
et de la qualité des récoltes, conséquence d’un long cycle exceptionnellement
pluvieux.
Cet été, Intercéréales renoue en effet avec l’initiative lancée
en 2018 par l’agriculteur youtubeur David Forge, invitant nos concitoyens
à embarquer à bord d’une batteuse en action. Plus de 140 machines
à travers l’Hexagone ouvrent ainsi leur porte. Et il y en a de toutes
les couleurs.
Voir
pleinchamp.com
Du côté de pleinchamp.com : Élevage intensif : un décret
qui divise
La publication du décret 2024-529 suscite les controverses. Les
uns espéraient plus, les autres s'insurgent de l'assouplissement
des installations d'élevage intensif. Les éleveurs sont pris en
étau. En réalité, c'est un manque de communication qui nourrit les
fantasmes et écorne l'image des agriculteurs.
.../...
>> Les éleveurs encore pointés du doigt
C'est pénible. Lorsque des lois, décrets et mesures arrivent sur
la table, il n'y a ni débat ni explications, entre les filières,
les professionnels et les consommateurs.
Le décret 2024-529 a ainsi été approuvé malgré une consultation
publique organisée du 23 février au 17 mars 2024. 99,87 % des participants
ont émis un avis négatif. Cette décision ne satisfait personne,
ni les opposants ni les interprofessions qui attendaient des évolutions.
“Rien ne va changer” regrette la présidente d’INAPORC qui espérait
davantage. L’incompréhension des acteurs pour la modification des
normes environnementales et les opposants grandit, égratignant au
passage l’image des agriculteurs déjà mise à mal.
Une méconnaissance de la réalité du terrain, un manque cruel de
communication, un décret occulté par les élections européennes et
qui plus est, contre l’avis de la majorité des contributeurs : vous
obtenez le cocktail qui stigmatise les agriculteurs…déjà victimes
d’agri-bashing.
Décidément, c'est la tour de Babel, personne ne se comprend. Un
travail pédagogique serait extrêmement bienvenu et peut-être faudrait-il
ouvrir les portes des élevages pour ainsi éviter de mettre tous
les agriculteurs dans le même panier et nourrir tous les fantasmes
? Mais, comme le rappelle justement la présidente d’INAPORC, toutes
ces questions demeurent, puisque l’avenir du projet de loi d'orientation
agricole est en suspens pour cause, cette fois, d’élections législatives.
Voir
pleinchamp.com
Woman with Faggots by François Alfred Delobbe (1835-1920)
09
- 04/07/2024
|
|
|
Le violoniste aveugle et sa fille, 1866, par François Alfred Delobbe
(1835-1920)
10
- 04/07/2024
|
|
|
Du côté d’André Heitz
> Les
vaches sont sa vie : un Massaï comme gestionnaire de troupeau dans
le nord de l'Allemagne
> CDJM
: défense de la déontologie du journaliste ou contribution au musellement
d'une journaliste (et d'autres) ?
> Les
agriculteurs utilisent-ils trop d'engrais ? Voici comment cela fonctionne
vraiment
> Les
espèces sauvages permettent d'améliorer les pois chiches
> Soja
GM au Ghana : quand on a de telles organisations professionnelles,
pas besoin d'activistes anti-OGM
> Les
refus d'obstacle du Conseil de Déontologie Journalistique et de Médiation
(CDJM) dans l'affaire Sabine Grataloup c. Géraldine Woessner
> Grataloup
c. Woessner : où est ta déontologie, « Conseil de Déontologie Journalistique
et de Médiation » ?
> Choc
et tristesse après la destruction du premier champ CRISPR en Italie
> Une
enzyme issue de la bio-ingénierie crée de la vanilline naturelle à
partir de plantes
> Des
plantes modifiées peuvent-elles contribuer à rendre les préparations
pour nourrissons aussi nutritives que le lait maternel ?
> Mise
à jour juridique sur le glyphosate
Une méta-étude utilisée par les avocats de la responsabilité civile
chasseurs d'ambulances pour qualifier le Roundup de Bayer de cancérigène
est considérée comme de la « science poubelle » par un juge de première
instance.
Du côté de la Fnsea
> Les
métiers de l’agriculture au cœur du Tour de France 2024
Tour de France 2024 : continuer à sensibiliser les jeunes pour répondre
aux défis du renouvellement des générations et de la souveraineté
alimentaire
>> S’associer au Tour de France pour parler au plus grand nombre
Le Tour de France est bien plus qu’une simple course cycliste. C’est
un rendez-vous populaire incontournable qui rassemble chaque jour
une incroyable audience de plus de 4,2 millions de téléspectateurs.
Et ce n’est pas tout ! Parmi les 42,5 millions de Français qui suivent
cette épopée sportive, 4,7 millions sont des jeunes âgés entre 15
et 24 ans, un public dynamique et avide de découvertes.
C’est dans ce contexte exceptionnel que la FNSEA a choisi de s’associer
au Tour de France, une fois encore. L’ambition de la FNSEA est claire
: toucher un public qui ne serait pas forcément réceptif à nos messages
habituels. Grâce à cet événement, nous avons une opportunité unique
de sensibiliser la nouvelle génération, de susciter des passions et
de faire découvrir les enjeux de l’agriculture française.
>> Une campagne de communication attractive
En parallèle de son engagement inébranlable depuis 18 ans à travers
le concours de fresques monumentales sur les bords de route « Les
Agris aiment le Tour », la FNSEA veut assurer une présence remarquable
à travers son char « Ma Nature, Mon Futur, l’Agriculture » dans la
caravane, accompagné de deux monospaces personnalisés aux couleurs
de l’emploi agricole. Ces véhicules seront présents à la fois sur
le Tour de France masculin et sur le Tour de France féminin.
Une équipe d’animateurs passionnés diffusera des messages impactants
tout au long des étapes, partageant l’importance des métiers agricoles.
De plus, ils distribueront généreusement les traditionnels goodies.
Les FDSEA dont les départements seront traversés par la route du Tour
de France, accompagnées de partenaires experts en promotion de l’emploi
tels que l’Anefa, l’Apecita, l’Ocapiat et l’Onisep, organiseront des
villages métiers dans les villes étapes, offrant ainsi des opportunités
de découverte et d’orientation professionnelle.
La FNSEA montre ainsi sa détermination à faire du Tour de France un
véritable tremplin pour la valorisation des métiers agricoles. Avec
ses partenaires, la FNSEA s’engage à inspirer la prochaine génération
et à promouvoir l’emploi dans le secteur agricole.
Dans les 30 départements traversés par la mythique Grande Boucle,
des agricultrices et des agriculteurs des fédérations locales incarneront
avec passion et créativité notre campagne.
Trois messages essentiels seront véhiculés :
>> « L’agriculture, c’est bien plus que 100 métiers, forcément
un pour vous ! »
Nous brisons les clichés et nous vous dévoilons la véritable diversité
des métiers agricoles. De l’élevage aux cultures végétales, du maraîchage
à la viticulture, de la production à la transformation et à la commercialisation,
vous découvrirez un monde d’opportunités passionnantes.
>> « On recrute, lancez-vous dans l’aventure ! »
A chaque étape du Tour de France, nous dévoilerons au public un panorama
captivant des opportunités d’emploi agricole dans le département traversé.
>> « Du CAP au Bac +5, à chacun son parcours vers l’excellence
! »
Nous souhaitons mettre en lumière l’enseignement agricole en démontrant
que choisir cette voie est une garantie de formation solide et d’emplois
d’avenir. Du CAP au Bac +5, chaque parcours est unique et offre des
perspectives extraordinaires dans un secteur en pleine croissance.
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
TRAVAIL (Le) : Si le travail c'est la santé, donnez donc le mien à
quelqu'un de malade.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
History is a vast early warning system.
Norman COUSINS, editor and author (1915-1990)
|
Opinions et curiosités du web
(2)
|
Nouvelles de belle-maman
Une femme vient de raccrocher le téléphone. Elle paraît furieuse.
Son mari lui demande :
- Qui c'était ?
- C'était ma mère, je crois bien qu'elle est devenue à moitié folle
!
- Ah bon ? Ça va mieux alors.
Nouvelles de Russie
Afin de se mettre en conformité avec les exigences de Roskomnadzor
[le gendarme russe des communications], le livre de Léon Tolstoï « Guerre
et Paix » a été renommé « Opération spéciale et haute trahison
».
Nouvelles de Poutine
Voici donc Poutine chez un coiffeur qui n’arrête pas de l’interroger
sur l’Ukraine pendant qu’il lui coupe les cheveux.
Agacé, le dirigeant russe finit par lui demander pourquoi tant de
questions sur le sujet.
« C’est plus pratique pour moi de travailler quand vos cheveux se
dressent. »
Fieldhand with scythe,1909, by John George Brown
11
- 04/07/2024
|
|
|
A ride with a carrige, by Edouard Bernard Debat-Ponsan (1847 –
1913, FR)
12
- 04/07/2024
|
|
|
Bœufs tirant une charrette, par Rosa Bonheur
13
- 04/07/2024
|
|
|
Première pensée du jour
Toujours préférer l'hypothèse de la connerie à celle du complot. La
connerie est courante. Le complot exige un esprit rare.
Michel ROCARD
Voir
babelio.com
Seconde pensée du jour (aujourd’hui, il faudrait dire « L’Europe
ne peut… »)
La France ne peut accueillir toute la misère du monde, mais elle doit
savoir en prendre fidèlement sa part.
Michel ROCARD
Voir
babelio.com
Trois articles d’Olivier Berthelier
> Le
numérique sera l’un des piliers d’une seconde révolution verte que
le dérèglement climatique et les forces de la mondialisation rendent
inéluctable
> Le
temps est aujourd’hui venu de l’avènement du numérique dans le secteur
de l’agriculture
> En
réponse au dérèglement climatique, les AG-tech permettent à l’agriculture
à se réinventer sous la forme d’une industrie hors-sol et hors-ciel
Contact : Olivier BERTHELIER
Mél : olivier.berthelier(a)priva.com
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
TRUANDS (Entre) : Les bénéfices, ça se partage, la réclusion, ça s'additionne.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
A thought for today
Faith is a cop-out. If the only way you can accept an assertion
is by faith, then you are conceding that it can't be taken on its
own merits.
Dan BARKER, former preacher, musician (1949-)
Du côté
d'Auguste Derrière (1)
04/07/2024
|
|
|
Editorial: AI in ag communications can be deceptive & unethical,
by Saul Reyes, June 27, 2024
When I thought about artificial intelligence (AI) just a few years
ago, the idea of it was vastly different from what it is today. Back
then, AI was this minor assistance in the background, something we
used daily without even realizing it. For instance, I knew AI was
behind our autocorrect and tailored our social media advertisements.
I knew AI was the “computer” we played against in video games and
the technology behind shuffle music. These were tools that supplemented
creative spaces.
Fast forward to today, and the scope of AI has expanded tremendously.
When you say the words AI, it could be followed by almost anything
— AI images, AI videos, AI voices. It’s become a ubiquitous term.
Yes, AI has its benefits. Tools like Grammarly help me catch spelling
errors in my articles, and AI makes search engines more effective.
In agricultural research, there are times when I wish for AI technology
to make tasks easier, although in ag spaces it’s much more costly
than your typical AI text generator.
As a scientist and a writer, I acknowledge that AI is making tremendous
strides in various fields, including medicine, construction, and agriculture.
It’s helpful in data processing and handling tedious work that no
one really wants to do. AI also enhances communication for people
who don’t understand different languages and provides a voice for
those who otherwise wouldn’t have one.
However, it also has significant risks and downsides, especially in
creative and communication fields.
Here, I’ll explore communication as part of the creative field, because
it involves components of humanities like art, imagery, and social
interaction. While agriculture and its related fields — like food
production and natural resources — benefit from AI, there are risks
I can see arising in ag communications. There’s already a lot of mistrust
in such industries, and using AI can exacerbate this. The idea of
jobs in creative and communication fields being not only enhanced
but replaced is concerning. It brings a dystopian feeling to these
spaces that I really don’t like.
As a Gen Z’er, I feel it’s important to mention that not all of us
are as on the same track with modern day technology and where it is
going, as older generations might think. Many of us have significant
concerns about its impact on the future of agriculture in the public
eye.
Growing up with social media and this kind of technology gives us
a better understanding of the risks and problematic factors that come
with AI. The future of agriculture is in the hands of my generation,
yet there are very few young farmers compared to older generations.
This reality with AI makes the future of ag look shaky, and I know
older generations are worried about that too.
It’s crucial to address these concerns from a Gen Z perspective to
emphasize that we are also invested in the future of agriculture and
its public image.
In ag communications, we manage the public image of agriculture and
agricultural literacy, which requires a lot of trust with the public.
We need to be careful about using tools that could potentially build
mistrust. It’s crucial to consider the implications of AI to ensure
we maintain public confidence in our industry.
AI is no longer just about autocorrect or specialized marketing. Today,
it generates images, videos, and even interactions. With just a few
clicks, you can create almost any image or video you want and have
artificial conversations. AI has become a feature on many platforms,
embedded in tools for generating images, text, and even videos and
voices. This shift means AI is moving from a supplemental role to
potentially replacing many roles in creative spaces.
As a communicator with respect for the arts and humanities, I have
deep concerns for those in communication and creative fields. The
idea that people can lose jobs in these fields is troubling. People
often argue that technological progress is inevitable, comparing it
to the disappearance of the milkman. But delivering milk isn’t an
aspect of our humanities and arts. Storytelling, writing, and film
are fundamental to our culture, and our ag story tellers are not exempt
from this.
Animators, for instance, put in hard work to create their animations.
It’s unfortunate that people can now use AI to create animations with
a few clicks, often resulting in poorly made content. This undermines
the passion and effort that go into creative work. Similarly, the
roles of graphic designers and writers are at risk. The public deserves
genuine, human-crafted art and communication, not lifeless, AI-generated
content.
There are significant ethical issues related to AI, particularly regarding
likeness and intellectual property. For example, there have been instances
where AI-generated voices and images have been used without permission,
causing distress and concern about the misuse of technology.
Agricultural communications is a critical field that plays a significant
role in maintaining public trust. Agriculture is a controversial industry,
encompassing more than just biology and chemistry — it involves legalities
and ethical considerations. While agriculture is meant to benefit
people, it often faces significant mistrust and controversy.
Ag communicators are essential in managing this controversy and delegating
public images. They form a crucial part of the triad of ag literacy,
alongside ag education and ag leadership. Ag communicators handle
ag literacy through communications — social media, journalism, images,
and videos. With only a small percentage of the nation involved in
or knowledgeable about the agriculture industry, ag communicators
are tasked with informing the public and building trust.
Recently, there was an incident that caused quite a stir in the academic
community. The journal Frontiers in Cell Development and Biology published
an article featuring an AI-generated image of a rodent’s physiology
and anatomy, which was completely inaccurate. This example highlights
the potential danger of AI-generated misinformation reaching the public.
While this incident suggests that the academic field needs to improve
its review processes, it also underscores the risks associated with
AI in generating misleading content. (Thankfully, the paper was retracted
due to those images.)
When people encounter fake images, videos, or even AI-generated texts
from any source, it fosters mistrust. If a company or institution
relies on AI-generated content, it raises questions about the authenticity
and reliability of their information. Why not use real images or actual
research findings? The use of AI-generated content can make people
skeptical of the researchers and the field as a whole, eroding trust
further. Although one might argue that this could teach us to be better
at spotting fake news, the ease with which AI can create misinformation
is alarming and should be addressed.
Given the significant role of ag communications in ag literacy, it’s
crucial for ag communicators to prioritize transparency and authenticity.
Ag communicators have a big job in bridging the gap between the agricultural
industry and the public, and this responsibility should not be taken
lightly. Using AI-generated content can give a false sense of transparency
and authenticity, which can be detrimental to building trust.
I believe that ag communicators should resist the temptation to use
AI for creating deceptive content. There are plenty of opportunities
to use real content — on the visual side, that would include stock
images, personal photography training, or hiring professional photographers.
Real content is always better for a brand and more trustworthy.
Using AI-generated content can be seen as deceptive, and in an industry
already struggling with public trust, we cannot afford to be deceptive.
We must keep it real and ensure the integrity of our work.
The potential misuse of AI tools, such as voice replication and image
manipulation, carries significant ethical ramifications. Voice replication
is just one of the many potential misuses of AI. For instance, there
have been concerns about the unauthorized use of voices to create
new content. This kind of misuse can be haunting and disturbing. Image
and video manipulation are also significant concerns.
There are many people who are passionate about the creative process,
AI should be a tool to aid these professionals, not replace them.
The idea of replacing human effort with a few clicks undermines the
essence of creativity. Even in roles like graphic design within ag
communications, the reliance on AI can lead to job losses and a decrease
in the quality of work. It’s essential to preserve these human elements
in our creative industries.
I have both hope and skepticism about the future of AI in these spaces.
On one hand, AI continues to improve, making it harder to distinguish
between real and AI-generated content. This raises valid concerns
about the future and the regulation of AI. There’s a risk that people’s
likenesses will be continuously violated, and jobs in creative fields
will be increasingly replaced.
On the other hand, I am hopeful that the rise of AI will bring people
closer together. I believe that people will start to support content
created by humans more, rejecting AI-generated content. This could
encourage a greater appreciation for genuine human creativity.
In the agricultural sector, AI might help us better detect misinformation,
leading to better-informed consumers and more trust in our industry.
However, this will require careful and ethical use of AI tools.
AI should serve as a tool to enhance human creativity and integrity,
not replace them.
I encourage readers and ag communicators to prioritize the ethical
use of AI. We must advocate for responsible AI usage, ensuring that
we uphold transparency and authenticity in all our communications.
By doing so, we can navigate the technological landscape without losing
sight of what makes us uniquely human.
See
agdaily.com
Du côté
d'Auguste Derrière (2)
04/07/2024
|
|
|
Anthropic Releases “Most Intelligent” AI Model in Rivalry with
OpenAI, Jun 21, 2024
“Anthropic introduced Claude 3.5 Sonnet, an updated version of its
Claude 3 model that it just released in March. The company said Thursday
that the new model — the technology that underpins its popular chatbot
Claude — is twice as fast as its most powerful previous version.
Anthropic said in its evaluations, the model outperforms leading competitors
like OpenAI on several key intelligence capabilities, such as coding
and text-based reasoning.”
See
humanprogress.org
Farming can fight climate change, By Bianca Nogrady, 19 June 2024
(Nature Newsletter)
How farming could become the ultimate climate-change tool?
A generation of farmers and scientists are finding ways to sequester
carbon in the soil while improving crop yields.
.../...
Despite the uncertainties of soil carbon sequestration, it is a hot
topic when it comes to emission reductions. Governments have leapt
enthusiastically, and sometimes prematurely, into capitalizing on
the possibility of buying and selling carbon credits from agriculture.
These are credits earned from reducing carbon emissions that can be
used to offset carbon emissions from other sources or sectors — a
win-win situation, given the added benefits of improving soil health.
Marit Kragt, an agriculture and resource economist at the University
of Western Australia in Perth, became interested in soil carbon sequestration
shortly after the Australian government introduced the Carbon Farming
Initiative act in 2011. Her concerns were that the policy had been
formulated with little scientific or economic data on, for example,
the best practices for sequestering soil carbon, the impact of climate,
the cost to farmers and whether soil carbon sequestration would truly
increase overall soil carbon.
This cost-benefit analysis will be crucial to overcoming the sociocultural
barriers to change. There is resistance to changing farming practices,
particularly when the advice to do so comes from scientists or policymakers,
says Kragt. “Sociocultural change is actually really important in
any society, but is often forgotten,” she says. “When you have a group
of people advocating for something and they’re not part of the farming
community or trusted peers, there is push back.”
However, Kragt says that most farmers who implement carbon-positive
farming techniques don’t do it for the credits. “I think most people
that have taken up carbon farming practices will have done so because
they wanted to regenerate their environment,” she says. Many farmers
are also concerned about climate change because they can see the impact
on their livelihoods. “They have seen the bushfires, droughts and
extreme heat that’s affecting their harvests, so they know that something
needs to change.”
Billions of tonnes of carbon have been lost from the soil because
of agricultural practices such as tilling, which ploughs up the organic
matter deep in the soil, nourishing crops — and releasing CO2 into
the atmosphere. The good news is that we can restore soil’s role as
a carbon sink. “Before soil carbon was even a thing from a climate-change
perspective, people were promoting the increase of organic matter
in the soil to improve its fertility, to improve water-holding capacity
and resilience to droughts, and to prevent erosion,” says soil scientist
Peter Smith. But we’ll have to change many of the bad habits developed
to squeeze better short-term yields out of the ground.
See Nature
Spotlight: Agricultural sciences.
Du côté
d'Auguste Derrière (3)
04/07/2024
|
|
|
Extreme wildfires are now more common
The frequency at which extreme fires occur around the world has
more than doubled during the past two decades, according to an analysis
of satellite data. The results provide the first solid evidence
to support a nagging suspicion that many scientists and others have
had as they watch a seemingly endless series of infernos scorch
ecosystems and communities: wildfires have increased somehow, and
climate change is almost certainly a factor. “It’s the extreme events
that we care about the most, and those are the ones that are increasing
quite significantly,” says ecologist Calum Cunningham.
|
|
|
Do farmers overuse fertilizer? Here’s how it really works, by
Amanda Zaluckyj, The Farmer’s Daughter USA, April 19, 2024
.../...
Many farmers have soil testing done to identify which nutrients
the soil is deficient in. They can then precisely apply the correct
nutrients to address those deficiencies. With modern GPS systems,
farmers have real-time diagnostics that can show where in a field
yields are lower, allowing them to pinpoint exactly what that part
of the field needs.
Fertilizers are extremely important in modern agriculture. They
provide essential nutrients for plant growth and vitality, and they
allow us to increase yields without turning up new fields. By combining
scientific advancements, farmers can better apply fertilizers in
a way that minimizes environmental impacts.
See
agdaily.com
Drones and Driverless Tractors Usher in New Age of Farming, Jun
27, 2024
“Tractors plow the farm fields without drivers, guided by satellites
and iPhones. Solar-powered robots tend to plants on the ground like
giant outdoor Roombas, while drones fly overhead spraying the crops.
It may sound like science fiction — perhaps Uncle Owen’s moisture
farm in Star Wars — but it’s actually the future of agriculture
in America, and it’s already being deployed in California vineyards
and corn fields in Illinois. Automation and artificial intelligence
promise to usher in a revolutionary shift for an industry long averse
to change.”
See
humanprogress.org
Can engineered plants help make baby formula as nutritious
as breast milk? By Kara Manke
Human breast milk contains a unique blend of prebiotic sugars
that are tricky to replicate in commercial infant formula. New
research shows that plants may be the perfect manufacturers.
See
berkeley.edu
Land Sparing: Why is improving agricultural productivity crucial
to ending global hunger and protecting the world’s wildlife?
By Max Roser, March 04, 2024
|
|
|
Rice Farming Gets an AI Upgrade, Jun 21, 2024
“Lê Quốc Trung was born into a rice-farming family in
the Tràm Chim area of the Mekong delta and understood the pervasive
risk that rice diseases pose for crops. In 2021, he partnered
with the Chinese agricultural technology company XAG to bring
agricultural drones equipped with AI to the delta region, hoping
to improve working conditions and limit the spread of rice diseases.
XAG Mekong gives farmers two options: buy a drone and operate
it autonomously, or hire pilots to provide the machine and manage
operations. The drones can be configured to scatter seed, spray
pesticide, or spread fertilizer. The farmer or pilot first fills
the drone with the right amount of material. Then, once the
operator has set the parameters and mapped the field, using
a mobile phone application, the machine runs automatically and
returns when supplies run out.
.../...
See
humanprogress.org
"Bad joke" from the Reader Digest
04/07/2024
|
|
|
Google Translate seen by the Human Progress web site
When Google Translate launched in 2006, it supported two languages.
By 2016, that number had grown to 103. Then expansion started
to slow; over the next five years, just six languages were added
to the service. Google had hit a bottleneck. To learn to translate,
their machine learning models needed a large body of “parallel”
text, or text in one language paired with a translated version.
Unfortunately, that kind of data existed only for a small fraction
of languages.
In 2022, Google researchers made a breakthrough.
They assembled two datasets: one of parallel text in 112 languages
and the other of untranslated text in over 1,000 languages. Using
the first, the researchers trained a model to translate text from
one language to another, and with the second, the model learned
to reconstruct randomly garbled text in the same language. When
the researchers combined these tasks during training, the model
learned to generalize its translation abilities to languages it
had never seen translated before. This capability, called zero-shot
translation, brought 24 new languages to the service.
Large language models have unlocked even greater advancements.
On Thursday, citing advances driven by one such model, Google
added support for 110
languages, some spoken by just a few thousand people.
As these models continue to improve, language barriers will become
increasingly obsolete.
"Bad joke" from the Reader Digest
04/07/2024
|
|
|
Ambivalence + polarized views can promote political violence,
by Jeff Grabmeier, Ohio State News
Surprising finding suggests people compensate for attitudinal
discomfort.
Feeling ambivalent about a political issue might seem to be a
recipe for indecision and even inaction.
But a new study suggests, surprisingly, that ambivalence can actually
lead some people – especially those with polarized views – to
be more supportive of extreme actions, such as violence.
The reason? Researchers found that ambivalence creates discomfort
in those with extreme views by making them feel weak or insecure
about their beliefs – and that can lead them to compensate for
that weakness by supporting extreme actions to signal strength.
“When people have these polarized views on a political topic,
but also feel some conflict about that belief – that is really
a potent combination,” said study lead author Joseph Siev, who
did the work as a doctoral student in psychology at The Ohio State
University.
“That’s when they are most likely to support extreme actions in
support of their view.”
Siev, who is now a postdoctoral fellow in consumer behavior at
the University of Virginia, conducted the research with Richard
Petty, professor of psychology at Ohio State. Their study was
published today (June 12, 2024) in the journal Science Advances.
Previous research has shown – and this study confirmed – that
ambivalence about a political issue typically leads people to
avoid taking moderate actions such as voting or donating money
in support of that issue. It makes sense that people would be
less likely to act on an issue if they have mixed feelings, Petty
said.
And that’s why these findings for extreme behaviors surprised
the researchers, he said.
“We thought that people with extreme views who were the most one-sided
about their beliefs would be the ones who would most support extreme
actions, but that didn’t turn out to be the case.”
The researchers did a series of studies on various political issues
including abortion and COVID-19 mask mandates, which all had similar
results. Those with strong but conflicted views were more likely
than others to support extreme actions like getting opponents
to their views fired from their jobs, even if they wouldn’t bother
to take more moderate actions, like voting in support of their
opinions.
One study showed this phenomenon could induce real support for
extreme political groups. The researchers asked 250 online participants
their views on environmentalism and how ambivalent they felt about
those beliefs.
Participants were told that, after the study, that they would
be offered the opportunity to win a $10 prize that they could
share with real-life environmental organizations, some of which
were radical (e.g., “Just Stop Oil”) and others more moderate
(e.g., “The Sierra Club”).
Participants read statements adapted from the groups’ actual mission
statements that made clear that they were either well outside
or inside of the mainstream. For instance, one radical organization’s
statement said its mission was “to use extreme tactics when necessary
to defend Mother Earth.” Another’s said it would use “civil resistance
and disobedience, direct action, vandalism, and traffic obstruction”
to meet its goals. The mainstream groups were described in moderate
terms.
Results showed that those who were most conflicted about their
polarized environmental beliefs pledged to give more of their
prize money to the extreme organizations. For the moderate organizations,
those with extreme beliefs and ambivalent feelings were not any
more likely than others to give money.
“This shows that the effect can have real-life consequences –
those who are conflicted are more willing to give their money
to extreme organizations,” Siev said.
Another study showed that the willingness to support extreme actions
was the result of people feeling especially uncomfortable if they
were ambivalent about their extreme views.
“Those who have these extreme views, but still feel conflicted
about them, feel a need to prove themselves, to show that their
beliefs are real and strong,” Petty said.
It is similar to people who have fragile self-esteem, Petty said.
Those who think they’re great but feel conflicted about that belief
have a desire to prove their worth. A boss who has fragile self-esteem
is more likely than one with secure self-esteem to take an extreme
action to show his or her strength, like firing an employee who
makes a challenge.
…/…
See
osu.edu
Degrowthers Are the New Barbarians
Our editor compares today's proponents of degrowth to ancient
barbarians.
Just as the city of Rome sustained itself with a system of aqueducts,
modern society relies on the flow of abundant energy.
And just as the barbarians destroyed the aqueducts during their
conquest of Rome, degrowthers plan to sabotage our civilization
by cutting the energy supply.
.../...
See
humanprogress.org
Le progrès de l’Industrie est une clé décisive du progrès en
général : ici diminution des accidents et de la consommation
de carburants
Driving in 2021 Was 225 Percent Safer than in 1970 (in USA)
Deaths per traffic mile have decreased by 69.3 percent while miles
per gallon increased by 95.4 percent.
|
|
|
Le porte-monnaie électronique est rassurant, surtout pour
les habitants de pays pauvres et où l’insécurité règne. Un « petit »
progrès technique peut changer la vie de centaines de millions
d’humains !
Mobile money accounts are financial accounts managed via mobile
devices. They offer services like deposits, transfers, and payments,
mainly in regions with limited banking access.
Nvidia iis worth than the entire French Stock market
Si certains pensent avoir trouver la poule aux œufs d'or
à la bourse de Paris, ils se trompent. Nvidia, produit de la
créativité de surdoués, est une vraie poule aux œufs d'or…
04/07/2024
|
|
|
Nvidia at the top of the world
04/07/2024
|
|
|
En moyenne, bien sûr, nous penons notre retraite très tôt,
nous travaillons moins que d'autres et... gagnons moins
04/07/2024
|
|
|
Épidémie d'obésité en France
04/07/2024
|
|
|
Épidémie d'obésité dans le monde
04/07/2024
|
|
|
Pourquoi l'humanité est-elle de plus en plus obèse ?
See
vidéo
Surging
mobile money accounts
04/07/2024
|
|
|
World Crude Oil Production / Production mondiale de pétrole
brut
04/07/2024
|
|
|
US Crude Oil Production / Production de pétrole brut
aux USA
04/07/2024
|
|
|
Tenants Squeezed / Locataires maltraités dans les grandes
villes européennes (effet AirB&B ?)
04/07/2024
|
|
|
How many farmworkers are employed in the United States? by
Daniel Costa, October 3, 2023
See
epi.org
The farmworker wage gap
Farmworkers earned 40% less than comparable nonagricultural
workers in 2022
See
epi.org
US Farm Labor
See
ers.usda.gov
What are the trade-offs between animal welfare and the environmental
impact of meat?
Swap a beef burger for a chicken one, and you’d cut the carbon
footprint of your dinner by around 80%. The problem is that
you’d need to kill 200 times as many chickens to get the same
amount of meat.
The chart shows each type of meat’s carbon footprint on the
right and the number of animals killed to produce one tonne
on the left. Bigger animals emit more greenhouse gasses but
produce much more meat per animal. Chicken and fish might have
a lower carbon footprint but are killed in much higher numbers.
The average person in the EU consumes around 80 kilograms of
meat per year. If all of this came from chicken meat, about
40 chickens would have to be killed per person. From beef, it
would be less than one-sixth of a cow. That’s one cow every
6 or 7 years.
In a new article, Hannah Ritchie presents the research on the
trade-offs between environmental protection and animal welfare.
See
ourworldindata.org
04/07/2024
L'autre souci est que le remplacement des protéines
animales par des protéines végétales
est difficile parce qu'on ne peut pas cultiver
sur une parcelle que des légumineuses qui doivent
s'insérer dans des rotations longues pour cause
de pbs phytosanitaires (voir la contribution de Ph.
Stoop plus haut.
|
|
|
Trachoma: how a common cause of blindness can be prevented
worldwide
Hundreds of thousands of people worldwide are blind because
of trachoma, a disease caused by repeated bacterial infections.
Sufferers can endure eye pain for years before potentially going
blind.
Records of trachoma date back thousands of years, but it declined
significantly in many richer countries during the twentieth
century, with improvements in clean water, sanitation, garbage
collection systems, insect control programs, and the development
of effective antibiotics.
In recent decades, poorer countries have also made great progress.
The maps above show the prevalence of early stages of trachoma
in African children, based on surveys conducted between 1996
and 2021.
In the first surveys, over half of children had the disease
in some areas. However, according to the most recent surveys,
the prevalence of trachoma has shrunk greatly.
In a new article, Saloni Dattani explores this major success
story in public health and explains how the world can entirely
eliminate this painful cause of blindness.
|
|
|
Family is very important to people around the world / La
famille au centre de nos vies ?
Which countries have fertility rates above or below the “replacement
level”? Le taux de natalité en berne presque partout
sauf...
Human rights have improved in all world regions over the
last century / Les droits de l'homme (et de la femme) mieux
respectés
Extreme poverty, though lower than in the past, is still very
high in Sub-Saharan Africa / La pauvreté encore extrême,
malgré quelques progrès, en Afrique subsaharienne
Deaths from tetanus have been reduced massively
See
ourworldindata.org
Mobile money accounts are surging globally, especially in Africa
and Asia
See
ourworldindata.org
Explore income inequalities
Globally, there are large differences in the estimated share of income
received by the richest 1% of the population. In Norway and Slovakia,
it’s 7%; 27% in Mexico, and 31% in Mozambique and the Central African
Republic.
You might expect these numbers to be strongly correlated to a country's
level of economic development. But this isn't always the case. In
the United States, for example, 1% of its population takes home 21%
of national income. This is relatively high globally.
This data is based on income before taxes and benefits, but looking
at after-tax income shows a broadly similar inequality map. You can
see data before and after taxes and much more in our data explorer
of the World Inequality Database, which we’ve just updated with their
latest release.
See
ourworldindata.org
New polio vaccines are key to preventing outbreaks and achieving
eradication
See
ourworldindata.org
Philippe Geluck
04/07/2024
|
|
|
Jean Effel
04/07/2024
|
|
|
Told in USA
- Viktor Orban, Marine Le Pen, Paul Manafort and Donald Trump
all go out to a bar. Who picks up the tab?
- Vladimir Putin.
The bald/hair thing also goes back to the Tzars
Putin — bald
Medvedev — hair
Putin — bald
Yeltsin — hair
Gorbachev — bald
Chernenko — hair
Andropov — bald
Brezhnev — hair
Khrushchev — bald
Stalin — hair
Lenin — bald
Tzar Nicholas II — hair
Tzar Alexander III — bald
Tzar Alexander II — hair
Tzar Nicholas I — bald
Chaîne youtube.com de
l'Académie
d'Agriculture de France
|
|
Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone
d’informatique agricole (Afia)
Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia
La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique
agricole" est réalisée avec le concours de Vitisphere
Ma « nouvelle » adresse : guy.waksman(a)laposte.net
Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970
Vous êtes plus de 15 000 à recevoir "Du côté du web et de l'informatique
agricole". La reproduction n'est autorisée que pour votre usage
personnel et les besoins de votre entreprise.
Si vous souhaitez abonner un (e) ami (e), un (e) collègue, merci
de faire directement l'inscription en allant sur le formulaire
suivant
Et si vous souhaitez contribuer à la rédaction de
cette gazette hebdomadaire, merci d'en faire directement la demande
à Guy Waksman.
Adresse mél : guy.waksman(a)laposte.net
|