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Do not miss the Virus Jokes in English and French
Conseil de lecture
Le livre de l'Académie d'agriculture sur "Covid-19
et agriculture : Une opportunité pour la transition agricole
et alimentaire ?" est intéressant avec des
regards très différents des uns des autres
sur la crise dont nous ne sommes pas encore sortis. A noter
(d'où le leger parti pris...) que j'ai contribué
à deux chapitres :
- Agrofournitures / Productions végétales
dans la crise de la Covid-19
- Agriculture et numérique, grand basculement entre
inelligence et résilience
Contact : Guy Waksman
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
C'était
avant l'informatique...
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Pensée pour les agriculteurs victimes des affreuses gelées
tardives
À vous, agriculteurs qui, partout en France, avez lutté
sans relâche, nuit après nuit, pour protéger les fruits
de votre travail, je veux vous dire notre soutien plein
et entier dans ce combat. Tenez bon ! Nous sommes à vos
côtés et le resterons.
Emmanuel MACRON, président de la République, samedi 10 avril
Gel dans les vignes, "des mois de travail pour rien"
Séquence émotion avec cette vidéo d'Émilie, viticultrice
dans l'Hérault, qui constate que toutes ses vignes ont gelé,
"ce qui n'est jamais arrivé ici".
Voir
wikiagri.fr
Bonjour Monsieur de la gazette (j’ai changé de nom –
GW),
Souhaitant continuer à recevoir cette indispensable gazette,
je vous transmets ma nouvelle adresse Mél : xxxx@yyyy.net.
Merci et bien cordialement
Contact : une lectrice dont je (GW) veux préserver
l'anonymat
135 ans plus tard, l'un des premiers "films"
de l'histoire passe en 4K, on vous explique comment, par
Karyl AIT KACI ALI
Denis Shiryaev, développeur, a retravaillé l'image du film
des frères Lumière sur Paris vers 1890 ou sur "L'Arrivée
d'un train en gare de La Ciotat" en s'appuyant sur
l'intelligence artificielle, de quoi donner un gros coup
de jeune à l'une des toutes premières vidéos de l'histoire
de l'humanité.
Voir
une vidéo obtenue après traitement
Voir
cnetfrance.fr
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Nothing is more responsible for the good old days than
a bad memory: La meule, 1826, Charles-François Daubigny
- Musée de Pontoise
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Une photo différente chaque jour... pour une « petite
» ballade dans l'Univers
See
nasa.gov
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
Casey Abrams & Haley Reinhart "Steam Roller
Blues" Idyllwild (excellent music)
See
Casey Abrams & Haley Reinhart
Comparaison internationale : au-delà des décès
identifiés Covid, combien de morts en plus ? Point d’étape
« un an après »
Le décompte des décès attribuables au virus dépend de
facteurs institutionnels et de diverses conventions qui
diffèrent d’un pays à l’autre : cause de décès renseignée
sur la base d’une simple présomption ou d’un test antérieur,
inclusion ou pas des morts en institutions, variabilité
de l’enjeu des morts à domicile… les modalités de suivi
de la mortalité liée au virus, ou même l’aptitude à procéder
à cet exercice peuvent ainsi varier considérablement selon
la solidité des systèmes sanitaires, sociaux et statistiques,
et le degré de transparence politique. Mais compter les
décès dans leur globalité est moins difficile ; beaucoup
de pays le font depuis longtemps, ce qui permet des comparaisons
précises dans le temps et entre pays.
Voir
strategie.gouv.fr, point d’étape, un an après
Voir
strategie.gouv.fr, rapport complet
Voir
le bulletin de l'INED - Mars 2021 : France 2020 : 68 000
décès supplémentaires imputables à l’épidémie de Covid-19
« Avertissement de Maurice » pour ce poème de
Saint-John Perse qui se souvient de son enfance en Guadeloupe
dans les champs de canne à sucre (?)
Bon, d’accord, ce n’est pas immédiat. Mais c’est quand
même d’un prix Nobel, peu agricole, qui a écrit ceci à
vingt ans, songeant à son enfance, se souvenant de sa
famille de planteurs, en Guadeloupe... (C’est ton antienne
« c’était mieux avant », qui m'y a fait repenser…). Cordialement.
Signalé par Maurice GUÉGUEN
Mél : maugueg(a)laposte.net
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Pour fêter une enfance – III de Saint-John Perse
(1887 - 1975) in Éloges (1907)
… Puis ces mouches, cette sorte de mouches, et le
dernier étage du jardin… On appelle. J’irai… Je
parle dans l’estime.
— Sinon l’enfance, qu’y avait-il alors qu’il n’y
a plus ?
Plaines ! Pentes ! Il y
avait plus d’ordre ! Et tout n’était que règnes
et confins de lueurs. Et l’ombre et la lumière alors
étaient plus près d’être une même chose… Je parle
d’une estime… Aux lisières le fruit
pouvait choir
sans que la joie pourrît au rebord de nos lèvres.
Et les hommes remuaient plus d’ombre avec une bouche
plus grave, les femmes plus de songe avec des bras
plus lents.
… Croissent mes membres, et pèsent, nourris d’âge
! Je ne connaîtrai plus qu’aucun lieu de moulins
et de cannes, pour le songe des enfants, fût en
eaux vives et chantantes ainsi distribué… À droite
on rentrait le café, à gauche le manioc
(ô toiles que l’on plie, ô choses élogieuses !)
Et par ici étaient les chevaux bien marqués, les
mulets au poil ras, et par là-bas les bœufs ;
ici les fouets, et là le cri de l’oiseau Annaô –
et là encore la blessure des cannes au moulin.
Et un nuage
violet et jaune, couleur d’icaque, s’il s’arrêtait
soudain à couronner le volcan d’or,
appelait-par-leur-nom, du fond des cases,
les servantes !
Sinon l’enfance, qu’y avait-il alors qu’il n’y a
plus ?…
Intégralité du poème « Pour fêter une enfance »
Voir
barapoemes.net
Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg(a)laposte.net |
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Martinique landscape, 1887, by Paul Gauguin (1848-1903)
pour illustrer un poème écrit en Guadeloupe,
mais je crois comprendre que Gauguin n’a été qu’en
Martinique...
See
gauguin.org
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Mettez-y l'accent !
Il y a dans les dictionnaires des trésors enfouis qui se
révèlent aux curieux. On y trouve des usages qui se meurent,
des formes désuètes que le temps va effacer pour toujours.
Et quand ce n'est pas le temps, ce sont les claviers d'ordinateurs
trop chargés de symboles et d'arobases pour tolérer longtemps
les fantaisies de l'orthographe. Alors, voici, avant qu'ils
ne disparaissent, l'histoire de deux compères, deux frères
ennemis, deux vestiges hérités du passé : Sire Conflexe
et Monsieur Tréma.
Sire Conflexe est comme un toit au-dessus d'une voyelle.
Tandis que M. Tréma est le flocon qui s'en approche. Deux
points en suspension dans l'air.
Sire Conflexe règne en maître. Ses accents concurrents,
le grave et l'aigu, n'ont qu'une pente quand lui en a deux.
Toujours en tête. Il a beaucoup d'admirateurs. Le flâneur
dans les forêts de chênes, l'âne bâté satisfait de lui-même,
le vieux croûton pâlot qui suit de sa fenêtre la femme court
vêtue, le râleur qui se mêle sans arrêt des bêtises des
autres, l'honnête benêt comme le crâneur bellâtre qui joue
un rôle et ne pense qu'à paraître, la marâtre comme la câline,
celui qui va au théâtre les jours de fête comme celui qui
se rend à l'hôpital, celui qui se pâme devant des huîtres,
des crêpes ou un gâteau, comme celui qui se bâfre au ragoût,
au rôti ou au pâté, l'ami des bêtes comme l'inspecteur des
impôts, le tôlier qui avance à la gnôle comme le môme bardé
de diplômes, le hâbleur empâté comme le traînard un peu
frêle, celui qui brûle une bûche dans le poêle comme celle
qui se revêt d'un châle, celui qui dort à la fraîche comme
celui qui cherche l'hôtel et le gîte sous la voûte des châteaux…
Il y en pour tous les âges et tous les goûts. Incontestablement,
Sire Conflexe trône. M. Tréma reste stoïque devant tant
de conquêtes.
Sire Conflexe et M. Tréma se côtoient parfois. Ils partagent
les piqûres de guêpes, la pêche à la foëne, l'île d'Haïti,
une bâtisse exigüe, un caïman mâle, un pâton de farine de
maïs, un coït bâclé... Et surtout, coïncidence sans doute,
ils sont sur la même touche du clavier d'ordinateur. En
binôme bien sûr. Avec avantage au Sire. Les uns, sur l'i,
servent à souligner le son de la voyelle, à la mettre en
valeur, tandis que ceux de l'u ne servent absolument à rien,
à vous dégoûter de les utiliser.
Mais sans moi, dit sire Conflexe, les mots ont un autre
sens. Sur et sûr, mur et mûr, mat et mât, jeune et jeûne,
du et dû, fut et fût, colon et côlon … Certes, répond, M.
Tréma. Mais que dis-tu de mais et maïs ? Égalité.
Mais ils sont le plus souvent voisins sans se toucher vraiment.
Quand l'un s'éveille à Noël, l'autre attend Pâques. Le premier,
entêté, ne s'arrête pas de sitôt et revient alors en août.
L'un trouve le son de flûte trop aigüe. L'autre l'accuse
d'être un païen sans respect pour les jours de carême. Dans
le jardin, l'un cultive la mâche et l'autre la cigüe. Quand
l'un cueille les pâquerettes, l'autre suit les astéroïdes.
Quand ils sont mécontents, l'un charge à la baïonnette tandis
que l'autre, un peu lâche, se contente de blâmer. L'un se
rêve en goëland quand l'autre reste à son râteau. Ils se
disputent même parfois. Bâtard ! Naïf !
Que deviendront-ils ? Ils étaient à égalité. Ils le resteront.
Ils partiront bientôt. Ensemble. Pour ne pas dire côte à
côte. Beaucoup nous ont déjà quitté. Il y a des options
–avec ou sans accent– qui ne sont que des leurres. Pourquoi
garder un toit à abîme lorsque tout est perdu. Pas de blâme,
c'est ainsi. Quel gâchis. On ne peut être et avoir été.
Mais quand ils ne seront plus, le français aura perdu un
peu de son âme.
Signalé par Michel GIL ANTOLI
Mél : michel(a)gilantoli.com
|
En
1899, 1900, 1901 et 1910, un groupe d'artistes,
dont notamment Jean-Marc Côté, a réalisé
une série de cartes et de dessins d'anticipation
sur le thème de l'an 2000 (Bibliothèque
Nationale de France).
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Un tailleur moderne / A Tailor of the Latest
Fashion |
In
1899, 1900, 1901 and 1910, a group of artists, including
notably Jean-Marc Côté, produced a series
of anticipatory drawings on the theme of the year
2000 (BNF). |
Vous êtes nul en langues étrangères et cela
vous a freiné dans vos envies de voyager ? Bientôt,
ces outils vont vous faciliter la vie quand nous
pourrons de nouveau voyager (décembre 2019)
Voir
« quand on en aura fini avec le virus, cela pourra
être utile »
Signalé par Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
La coromachie par Karim Duval
Voir
la coronavirus tauromachie
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
L’extrême pauvreté dans le monde diminue (source
(Our World in Data)
Lettre à Barbara Pompili, écologiste de télé-réalité,
par Jean-Paul Pelras, écrivain, ancien maraîcher,
qui n’a pas apprécié l’intervention de la ministre
dans l’émission « Top Chef ».
Madame la Ministre,
En septembre dernier, j'écrivais, ici même dans
Le Point, au Premier ministre pour lui signifier
mon indignation concernant votre prise de position
en faveur du mouvement dit des Coquelicots, qui,
rappelons-le, considère les tenants de l'agriculture
comme étant des empoisonneurs. Une position partisane
et de surcroît officielle, puisque vous avez vous-même
ratifié l'appel de ce mouvement si peu apprécié
par ceux qui, loin des idéalistes donneurs de
leçons, parviennent tout de même à nourrir 67
millions d'individus, 365 jours par an. Et voilà
que vous récidivez dans Top Chef, émission de
télé-réalité diffusée mercredi dernier à laquelle
vous avez participé en dégustant des plats écologiquement
engagés. Il s'agissait d'une « épreuve verte »
tournée au ministère de l'Environnement pendant
le confinement de novembre en présence du chef
Mauro Colagreco. Au menu : tartare de fourmis,
larves de grillons et insectes en tacos. L'occasion
pour vous de diaboliser une nouvelle fois l'utilisation
des pesticides.
Votre vision à l'égard des pratiques agricoles
étant, à ce titre, bien réductrice, car ces phytosanitaires
que vous condamnez à la moindre occasion permettent
de sauver, est-il nécessaire de le rappeler à
un membre du gouvernement, les cultures menacées
par les maladies et les ravageurs tout en garantissant,
loin des théories de salon et dans le respect
des normes imposées, une autosuffisance alimentaire
aux populations. L'écologie que vous défendez,
à l'instar de celle promue par quelques maires
« nouvelets » pourfendeurs du sapin de Noël, du
Tour de France ou de l'aviation, relève d'un dogmatisme
inquiétant. Car, en jetant l'opprobre sur l'agriculture
conventionnelle, vous impactez la compétitivité
de ce secteur déjà suffisamment malmené par le
jeu des distorsions internationales. Mais aussi
par celui des importations qui usurpent impunément
nos marchés traditionnels.
Continuez, Madame, à accabler le modèle paysan
français comme vous le faites…
*Jean-Paul Pelras est écrivain, ancien syndicaliste
agricole et journaliste. Rédacteur en chef du
journal L'Agri des Pyrénées-Orientales et de l'Aude,
il est l'auteur d'une vingtaine d'essais, de nouvelles
et de romans, lauréat du prix Méditerranée-Roussillon
pour Un meurtre pour mémoire et du prix Alfred-Sauvy
pour Le Vieux Garçon. Son dernier ouvrage, Le
Journaliste et le Paysan, est paru aux éditions
Talaia en novembre 2018.
Voir
la suite de l’article lepoint.fr
Greta a tué Einstein : La science
sacrifiée sur l'autel de l'écologisme,
par Jean-Paul Oury
L'écologisme n'est plus l'apanage d'une
irréductible poignée de chevelus
adeptes du potager bio. A la faveur de l'urgence
climatique, une jeune prophétesse incarnant
l'idée universelle du Bien propage
la vision messianique d'un avenir sombre.
There is no alternative : l'heure de l'apocalypse
écologique a sonné. La prosternation
est notre seule voie de salut.
Ce totalitarisme mou, teinté d'anticapitalisme
de combat, est érigé en système
de pensée politique et morale au mépris
des fondements de la raison cartésienne.
Dans son livre, Jean-Paul Oury décrit
sans concession le cadre de croyance que nous
impose la viralité d'une idéologie
simpliste, manichéenne, et par conséquent
redoutable.
Du bio à la voiture électrique
en passant par le nucléaire ou les
OGM, l'auteur démonte méthodiquement
le corpus des poncifs écologistes les
plus clivants et les plus extrêmes dans
l'espoir assumé de nous réconcilier
avec la science, et de nous faire retrouver
foi dans le progrès technique.
Cet ouvrage est aussi le témoin d'une
époque à laquelle penser librement,
en marge d'une religion nourrie de fantasmes
et de peurs, est devenu un acte de courage
; et les voix scientifiques discordantes,
des ennemis à abattre.
Voir
fnac.com
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Chute de la compétitivité française : la crise qu’on
ignore
Voir
latribune.fr
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
A quoi je réponds pars quelques questions que je me pose
à la lecture de cet intéressant article (GW) :
- Combien de chercheurs de l'Inrae ou du Cnrs se sont-ils
engagés dans la création de start-ups ?
- Combien de chercheurs ont-ils rejoint des entreprises
(exportatrices ou non) dans les 10 dernières années ?
- Combien de brevets l'Inrae ou le Cnrs ont-t-il déposé
dans les 10 dernières années ?
- Combien de centres Inrae ou Cnrs disposent-ils d'une
"pépinière" à start-ups ?
- Alors que nous exportons 3/4 de notre production de
matériels agricoles (valeur : 3,6 MM€), mais importons
3/4 des matériels agricoles (valeur : 4,1 MM€) que nous
utilisons, engendrant globalement un déficit pas gigantesque
mais significatif, quelles équipes de l'Inrae s'intéressent-elles
au sujet dans un contexte où pour réussir il faut vraiment
être très bon, et où une nouvelle génération de petites
machines robotisées est en train de naitre ?
- Alors que l'Inrae a contribué par le passé au succès
du secteur semencier national, qu'en est-il aujourd'hui
(comme pour les fraises nouvelles, par exemple) ? Id.
en génétique animale ?
- Alors que le succès des entreprises est souvent lié
à leur capacité à exporter et à nouer des partenariats
avec des entreprises étrangères, combien d'établissements
d'enseignement supérieur agricole offre-t-il un enseignement
tout ou partie en anglais ?
- Le Crédit Agricole a organisé son intervention dans
le domaine des start-ups avec ses 37 « Village by CA »,
incubateurs et accélérateurs de start-ups, et un projet
inauguré par le ministre S. Le Foll le 15/10/2014. Travaillent-ils
beaucoup en lien avec la recherche, l’enseignement, les
instituts techniques ?
Nothing is more responsible for the good old days than
a bad memory: La petite cuisinière, par Pierre
Edouard Frère (1819 – 1886, FR)
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...sans négliger les impôts sur les sociétés… liés
à la production
Commission européenne : Taux effectifs moyens d'impôts
sur les sociétés dans l'Union Européenne pour les grandes
entreprises hors secteur financier, en %
En termes d’impôt sur les sociétés, la France applique le
taux maximal le plus élevé (32,02 % en 2020) des 37 États
de l’OCDE. Seul le Portugal a fixé un taux maximum similaire,
de 30 %. De l’autre côté, l’Irlande (12,5 %) et la Hongrie
(9 %) appliquent les taux plus bas de l’OCDE, étant seulement
suivies par la Suisse (8,5 %).
Voir
touteleurope.eu
En Irlande, inquiétudes mesurées face à un impôt international
minimum sur les sociétés
Le pays a fait de son taux de 12,5 % un pilier de sa stratégie
économique pour attirer les multinationales sur son sol.
Le
Monde illustre cet article sur la situation en Irlande,
infiniment meilleure qu’il y a 30 ou 40 ans, alors
qu’en France avec notre niveau d’impôt sur les sociétés,
nous tuons l’emploi.
Voir
lemonde.fr
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Jeux d’eau à La Granja : Les fontainiers français en Espagne
au XVIIIe siècle (mieux qu’à Versailles ?)
Chaque année, des visiteurs du monde entier se pressent pour
admirer les effets d’eau des fontaines monumentales du domaine
royal de La Granja de San Ildefonso, près de Ségovie en Espagne.
Trois cents ans après l’ouverture du chantier des jardins,
le spectacle de la mise en eau des fontaines émerveille toujours
autant le public.
Pour réussir son projet, démonstration de la puissance royale,
Philippe V fait appel à des fontainiers français afin qu’ils
mettent en oeuvre les innovations techniques déjà appliquées
sur le chantier de Versailles. Ces techniciens spécialisés,
experts hydrauliciens, participent pleinement au succès de
l’opération, aux côtés des jardiniers, sculpteurs et architectes.
Notre surconsommation d’engrais azotés de synthèse est
un désastre écologique, social et économique (????? – GW)
L’addiction des agriculteurs aux engrais azotés a un coût
exorbitant pour le climat et la biodiversité, estime un collectif
d’agronomes et d’agriculteurs. Ils appellent, dans une tribune
au « Monde », à réduire fortement la consommation de fertilisants
chimiques et à retrouver des sources d’approvisionnement biologiques.
Voir
lemonde.fr
Ma perception des choses (GW) : Haber et Bosch, deux bienfaiteurs
de l’humanité
C'est en 1909 que fut produite la première tonne d'ammoniac
de synthèse en alliant l'azote de l'air avec de l'hydrogène,
grâce au procédé Haber-Bosch qui est à l'origine de tous les
engrais azotés chimiques. Haber et Bosch, des chimistes allemands
qui ont eu un prix Nobel amplement mérité, ont par leur invention
sauver de la faim des milliards de vie humaine.
Sur le site HumanProgress.org, une belle présentation en anglais
de leurs travaux :
Voir
humanprogress.org
Les malthusiens, auteurs de cette tribune amusante, pourront
toujours souligner que sans l’invention de Haber et Bosch
nous serions beaucoup moins nombreux, et que ce serait mieux
pour la planète… après qu’ils aient fait l’effort d’expliquer
qu'il n'y a pas vraiment de différence entre l'azote d'un
fumier et l'engrais obtenu par le procédé Haber-Bosch.
La plupart des méfaits que les auteurs dénoncent sont en effet
communs aux engrais de synthèse et organiques… peut-être qu’ils
finiront pas demander la taxation de tous les engrais, y compris
organiques ?
Ah que nous sommes malheureux, dans nos pays développés!
Les hurluberlus écolos en veulent à l’agriculture et
aux engrais, mais négligent les fabrications d’acier et
de ciment qui sont et de loin les plus gros producteurs
de gaz à effet de serre…
The biggest polluters are cement and steel production,
which make up nearly half of all industrial carbon dioxide
emissions worldwide, according to the World Resources
Institute think-tank.
See
news.trust.org
Libres expressions (jouons encore avec les mots !)
Le capitaine de l'équipe de tir à la corde, en plein effort
: les gars, on ne lâche rien !!
Création de Étienne VICARIOT
Mél : etienne.vicariot(a)orange.fr
AFIS
La guerre des engrais n’en finit pas
Pour bien nourrir les hommes, mieux vaut bien nourrir
les plantes. Ce constat qui relève du bon sens semble
avoir échappé à certains élus de la République, partis
en croisade idéologique contre les engrais azotés de synthèse,
au motif qu’ils sont justement de synthèse.
Voir
agriculture-environnement.fr
La
transition agroécologique – Tome
I - Tome
II - Quelles perspectives en France et ailleurs
dans le monde ?
Le déploiement en France de l’agroécologie est l’une
de priorités de la loi d’avenir pour l’agriculture,
l’alimentation et la forêt de 2014. Les membres de
l’Académie d’Agriculture de France et de nombreux
collègues s’appuyant sur les premières réflexions
d’un groupe de travail se sont interrogés sur les
conditions et les solutions pour réussir ce déploiement.
Cet ouvrage est articulé en deux tomes. Le premier
dresse un état des lieux du concept de l’agroécologie
et de sa situation actuelle dans différentes parties
du monde tandis que le second volume s’attachera à
définir les perspectives et les changements à promouvoir
pour réaliser une transition agroécologique. Après
un rapide tour d’horizon sur le développement de l’agroécologie
dans d’autres continents, les réflexions et les propositions
rassemblées dans cet ouvrage sont fondées sur la contribution
des sciences agronomiques, écologiques, économiques
et sociales ainsi que sur des analyses et témoignages
issus du terrain.
Elles s’adressent aux enseignants, aux étudiants,
aux agents de développement, aux professionnels comme
aux décideurs politiques, soucieux de la mise en œuvre
d’une transition agroécologique mieux à même de faire
face au changement climatique, à l’érosion de la biodiversité,
ainsi qu’aux attentes des consommateurs pour une alimentation
saine et diversifiée.
Voir
pressesdesmines.com
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Pour réduire la consommation d’engrais azotés, des
quotas semblent plus efficaces que des taxes
Le projet de loi Climat actuellement en discussion à
l’Assemblée nationale propose d’introduire une mesure
issue des propositions de la Convention citoyenne qui
vise à taxer les engrais azotés. Se basant sur les objectifs
français de réduction des émissions d’ammoniac (NH3)
(-13 % d’ici 2030, par rapport à 2005) et de protoxyde
d’azote N2O (-15 % d’ici 2030, par rapport
à 2015).
Précisons que l’ammoniac n’est pas un gaz à effet de
serre, L'ammoniac réagit avec l'humidité de l'air pour
former de l'ammonium (NH4) qui contribue
à l'acidification des sols et de l’eau. L'ammoniac se
combine avec d'autres polluants atmosphériques pour
former des particules fines (PM10) c’est donc un polluant
atmosphérique.
Le protoxyde d’azote est un puissant gaz à effet de
serre (GES) avec un effet environ 300 fois supérieur
à celui du gaz carbonique (CO2). Il est émis
lors de la fabrication des engrais azotés mais aussi
au niveau des sols une fois l’engrais épandu. Mais la
fabrication d’engrais azoté nécessite beaucoup de pétrole
ou de gaz et donc émet aussi énormément de CO2
lors de sa fabrication.
Le projet de loi prévoit la définition, d’une trajectoire
annuelle de réduction. Et si les objectifs annuels ne
sont pas atteints pendant deux ans consécutifs, une
redevance sur les engrais azotés minéraux pourrait être
mise en place (art. 62 et 63). Bien entendu ces objectifs
de réductions annoncées sont louables, mais mettre une
taxe sur les engrais minéraux si les objectifs ne sont
pas atteints, ne permettra pas de réduire les émissions
d’ammoniac ni de réduire les émissions de protoxyde
d’azote.
Notons d’abord que taxer les engrais azotés minéraux
revient à augmenter leur coût de production pour les
agriculteurs et à créer une distorsion de concurrence
vis-à-vis des pays étrangers (européens ou pays tiers).
Mais surtout la taxation des engrais ne sera pas efficace
pour attendre les objectifs affichés. D’abord parce
qu’une grande partie des émissions d’ammoniac provient
des élevages et de l’épandage des engrais de ferme (lisier,
fumier) (75% des émissions de NH3 proviennent
de l’élevage) alors que les émissions dû au engrais
minéraux sont plus faibles (22%). Par ailleurs la taxe
devrait conduire les agriculteurs à réduire les apports
d’engrais azotés. Mais les économistes ont montré depuis
longtemps qu’il faudrait un niveau de taxe très élevé
(au moins 20%) pour changer l’optimum économique et
conduire les agriculteurs à une réduction des doses
utilisées (ce niveau de taxe pénaliserait très fortement
la « Ferme France »). La preuve en est que les fortes
fluctuations de prix des engrais azotés (liés à la fluctuation
sur le marché mondial du prix du gaz et du pétrole)
ne conduisent pas les agriculteurs à changer leurs pratiques
d’une année à l’autre.
Il nous semble qu’il serait plus efficace de mettre
en place des quotas d’engrais minéraux par exploitation,
basés sur les données historiques (par exemple les trois
dernières années). Ces données existent car depuis quelques
années les agriculteurs sont obligés de déclarer un
plan de fumure (indiquant les doses d’engrais par culture)
au titre de la conditionnalité des aides PAC. Ces quotas
pourraient être échangeables (donc avec un prix de marché)
et seraient réduits chaque année faiblement (1% par
an par exemple). De ce fait mécaniquement les quantités
d’engrais azotés épandus diminueront et cette diminution
réduira immédiatement les émissions de gaz à effet de
serre.
Mais il existe d’autres raisons justifiant cette stratégie.
Les agriculteurs conventionnels qui passent en AB pourraient
vendre la totalité de leurs quotas ce qui serait incitatif
pour passer au bio. Un autre intérêt c’est que les agriculteurs
conventionnels, devant la réduction de leurs quotas,
seraient amenés à faire évoluer leurs systèmes de production.
Pour pallier au manque d’azote ils seraient « naturellement
incités » à cultiver plus de légumineuses (pois, féverole,
luzerne, etc.) dont la France manque cruellement et
à mieux utiliser les engrais de fermes en minimisant
les pertes par volatilisation de l’ammoniac (il existe
des techniques pour cela). Un système de quotas d’engrais
minéraux serait donc très efficace pour atteindre les
objectifs du Plan national de Réduction des Émissions
de Polluants Atmosphériques
Enfin un système de quota a l’avantage de nécessiter
peu de contrôle, il laisse aux agriculteurs leur souplesse
stratégique tout en les conduisant « naturellement »
vers une agriculture à hautes performances économiques
et environnementales. Ce n’est pas le cas du système
avec des taxes. Certes les taxes sont pour l’administration
facile à prélever. Une partie au moins de ces taxes
(officiellement une redevance) pourra être utilisée
pour favoriser les changements de pratique des agriculteurs
(comme actuellement la taxe sur les produits phytosanitaires
pour financer le plan ECOPHYTO). Or on ne peut que constater
que ces incitations sont peu efficaces et très complexes
à mettre en œuvre (car il y a beaucoup de « pratiques
vertueuses » possible) et encore plus difficile et plus
couteuse à contrôler.
Contact : Philippe VIAUX, membre de l’Académie d’agriculture
de France
Mél : philippe.viaux(a)gmail.com
Pourquoi
les paysans vont sauver le monde
Par Sylvie Brunel, Buchet-Chastel, 2020, 256 pages,
19 euros.
Le propos du livre vu par Julien Damon (sociologue,
chroniqueur aux " Echos ")
Sylvie
Brunel propose un tour du monde de l'univers des paysans.
A rebours des images misérabilistes ou exaltées,
elle remet les pendules écologiques à
l'heure, quand près d'un milliard de personnes
souffrent encore de la faim.
Fine connaisseuse des réalités incarnées
et des chiffres (1.000 milliards d'oeufs consommés
chaque année), la géographe revient
sur des activités souvent ignorées et
méprisées. Selon ses termes, les agriculteurs
sont aujourd'hui une " chevalerie protectrice
".
Ces " manageurs de la photosynthèse "
vivent une troisième révolution agricole
qui doit concilier acquis agronomiques et soucis environnementaux.
L'auteur souligne la nécessité d'une
agriculture compétitive et nourricière,
pour laquelle ce qui est " bio " ne saurait
être que complémentaire.
Elle estime qu'en Afrique, où se trouvent 60
% des terres cultivables du monde mais où seulement
10 % sont mises en valeur, l'agriculture doit devenir
une priorité. Plus généralement,
partout, il faut revaloriser les paysans.
Une
citation. " Moins les citadins sont au contact
de la nature, plus ils l'aiment. ".
Voir
lesechos.fr
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L’Oreal, Axa, Michelin… les luxueux cachets d’Audrey Pulvar
avant la politique, par Barthélémy Philippe
L’adjointe d’Anne Hidalgo a multiplié les conférences confortablement
rémunérées entre 2017 et 2020, comme le montre sa déclaration
d’intérêts à la Haute autorité pour la transparence de la
vie publique (HATVP).
Voir
capital.fr
Mon point de vue sur cet article (GW) : Cet article est un
sommet de la mauvaise foi. Si Andrey Pulvar, pour qui je n’ai
aucune sympathie particulière, a vendu cher ses prestations,
c’est que ses clients estimaient que les prestations offertes
en valaient le coût. Où est le pb ? Où est le conflit d’intérêt
? Nulle part !
Mais ce qui est drôle, c’est que l’article soit paru sur capital.fr
qui parait renier ici ses convictions, attaquant quelqu’un
au seul motif qu’il a gagné de l’argent et accessoirement
parce que ce quelqu’un ne partage pas les opinions de capital.fr.
Libéralisme, où es-tu ?
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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European
Federation for Information and Communication Technology
in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015)
; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut
de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite
agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas
une opinion !)
SANTÉ (La) : Quand on l'a, c'est pas grave d'être malade.
Francis BLANCHE
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour
les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de l’édition du 8 avril 2021 de cette gazette afia
>>>
Last
issue of the Efita Newsletter nb 980 dated April 12, 2021
>>>
Last
available statistics for the efita newsletter
Nothing is more responsible for the good old days than a
bad memory: La vache rouge, 1889, par Paul Gauguin (1848-1903)
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Agor@gri, Les médias sociaux au service de l’accompagnement
des transformations du métier des agriculteurs engagés dans
l’agroécologie
Voir
ecophytopic.fr
Il module la totalité des intrants sur blé, par Mathieu Lecourtier
Avant son installation en 2011, Michaël Godiet évolue dans l’univers
des hautes technologies. Ce n’est donc pas par hasard qu’après
sa reconversion il tend vers la modulation intraparcellaire
de l’ensemble des intrants sur ses parcelles.
Voir
cultivar.fr
CamaCuma : L’achat par appel d’offres se concrétise en agriculture
Bien connues dans le monde du TP notamment, les centrales d’achats
fonctionnant par appel d’offres directement auprès des constructeurs
peinent à se faire une place en agricole pour le moment. Si
en 2018, une tentative d’achats groupés d’ensileuse avait eu
lieu, celle-ci n’avait pas abouti, et avait fait couler beaucoup
d’encre dans le milieu. À l’époque déjà, cette tentative était
pilotée par le réseau Cuma. Face à ce constat, les dirigeants
n’ont pas voulu baisser les bras, persuadés que l’achat groupé
allait tôt ou tard faire partie du paysage agricole, et surtout
que c’était sûrement un moyen de mettre un frein à l’augmentation
constante et régulière que l’on peut observer sur le matériel
agricole depuis de nombreuses années.
Voir
grostracteurspassion.com
Nothing is more responsible for the good old days than a
bad memory: Paysannes bretonnes, 1894, par Paul Gauguin (1848-1903),
Musée d'Orsay
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Je pose des caméras de recul sur mon automoteur agricole
(belle vidéo !)
Gilles VK, agriculteur dans le Loiret, explique comment il
installe des caméras de recul sur son automoteur, pour augmenter
ainsi la visualité au volant de cet imposant engin agricole.
Voir
wikiagri.fr
Voir
la chaine YouTube de Gilles VK
Les fourrages et prairies de plus en plus « connectés »
Les objets connectés investissent le champ des fourrages.
L’évaluation de la biomasse permet de mieux gérer le disponible,
les capteurs sur les animaux au pâturage informent sur leur
localisation ou leur comportement… Après l’humain, la vache
laitière est l’animal le plus « connecté »…
Une vidéo pour promouvoir les métiers de l'agriculture
Agridemain publie une vidéo pour promouvoir les métiers de
l'agriculture, à travers l'interview d'un céréalier de l'Essonne,
Victor Rabier. En substance : beaucoup de départ sont prévus
dans les prochaines années (retraite), qu'il faudra compenser.
Voir
wikiagri.fr
Nothing is more responsible for the good old days than
a bad memory: Fenaison en Bretagne par Paul Gauguin (1848-1903)
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Anatis sur les rails
Le robot Anatis de Carré entre dans sa phase industrielle et
commerciale avec une distribution assurée par Latitude GPS.
Voir
lebetteravier.fr
Krone : Deux ans d’essais gratuits pour la télématique, par
Simon Billaud
Krone propose dès à présent de tester gratuitement les deux
outils SmartTelematics Krone et la plateforme Agrirouter pour
une période de deux ans.
Smart Telematics Krone est un module du portail clients en ligne
Krone. Ce portail permet aux clients d’appeler en temps réel
toutes les données machines, telles que par exemple le travail
effectué au quotidien ou la position de la machine.
Ver
grostracteurspassion.com
« Arrêtez
de vous priver ! », par David Hhayat, ancien
chef du service d’oncologie médicale de l’hôpital
de la Pitié-Salpêtrière à Paris, ancien Président
de l’Institut national du cancer
« Manger, boire, bien vivre, tout est enfin possible
! »
Dans son dernier livre « Arrêtez de vous priver
! », le professeur Khayat répond à son tour
par une injonction aux nombreux interdits qui pourrissent
le quotidien des Français. Des interdits (pas de
viande, pas d’alcool…) présents partout et qui amplifient
le sentiment de culpabilité.
Cet ouvrage se veut un véritable pied-de-nez aux
gourous de l’aseptisation. À la sinistrose ambiante
le professeur Khayat préfère une ode à la vie et
livre quelques astuces pour ne plus vivre dans l’angoisse
permanente.
Arrêtez de vous priver !
Éditions Albin Michel - 224 pages
Voir
par exemple Fnac
Et concernant les nitrites ?
Il faut
savoir que la proportion de nitrites que vous ingérez
qui provient de la charcuterie est seulement de
12 à 15 %. Tout le reste vient de l'eau et
des légumes. Lorsque les fabricants de charcuterie
communiquent sur du jambon " sans sel nitrité
ajouté ", c'est qu'ils ont simplement
cuit le jambon dans un bouillon de légumes
qui a apporté les nitrites. Pour revenir
sur le rapport de 2015 qui a dit que la charcuterie
est cancérigène, il prenait en compte
la consommation de cinq charcuteries seulement :
le corned-beef, les lanières de bœuf
séchées, le bacon frit le matin -
qu'on ne mange pour ainsi dire pas en France - et
deux charcuteries que nous avons en commun avec
les Américains, la saucisse et le jambon.
Quand
vous comparez la composition du jambon cuit acheté
dans un supermarché américain et celle
d'un jambon français, même industriel,
ça n'a rien à voir. En France on a
de la saumure et de la viande de porc alors que
là-bas il y a plein de produits chimiques,
c'est une véritable armoire à pharmacie,
pas du jambon ! Là encore, dans l'ensemble
des études prises en compte, il n'y en a
aucune qui parle de la charcuterie française.
En fait, cette idée que la charcuterie pourrait
être cancérigène part d'une
étude d'un très grand chercheur qui
s'appelle Denis Corpet, qui a donné à
des rats l'équivalent, pour un être
humain de 75 kg, de six kilos par jour d'une charcuterie
expérimentale nitritée pendant cent
jours. À l'issue de quoi, il a trouvé
qu'il y avait une augmentation des polypes dans
le colon des rats. Or, Denis Corpet a préfacé
un livre il y a quelques temps (2017) dans lequel
il affirme que la consommation de charcuterie dans
une alimentation équilibrée n'est
absolument pas dangereuse. Ajoutons que les expériences
récentes, depuis le rapport de 2015, montrent
que prendre du calcium, des polyphénols,
de la vitamine E avec de la charcuterie élimine
complètement l'effet potentiellement cancérigène.
Comme le dit le professeur Corpet, si vous mangez
un yaourt après votre charcuterie, vous éliminez
l'effet potentiellement cancérigène.
Idem si vous prenez un peu de vitamine D le matin.
Source
: La boucherie Française - Mars 2021
Voir
L'info du vrai
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SANTÉ (La) : Se mesure à l'amour du matin et du printemps.
Henry David THOREAU
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Cybersécurité et empreinte carbone : une relation encore
difficile
Qu’en est-il de l’empreinte carbone dans nos entreprises ? Quel
est l’impact de l’informatique et de la cybersécurité sur cette
empreinte, et surtout quel impact a pu avoir le récent passage
au télétravail d’une grande partie de la population ?
Voir
silicon.fr
Services réseau : pourquoi Gartner distingue Orange Business
Services
Orange Business Services se hisse parmi les « leaders » dans
le Magic Quadrant des services réseau d'entreprise. À quels
titres ?
Voir
silicon.fr
Investissements IT : terminaux et logiciels dopent le marché,
par Ariane Beky
Les projets numériques de directions métiers orientent à la
hausse les achats mondiaux de terminaux, logiciels d’entreprise
et services IT.
Gartner révise ses prévisions de croissance des investissements
informatiques mondiaux.
Voir
silicon.fr
DSI : 5 segments qui recrutent toujours plus
Opérations IT, sécurité cyber, données, cloud... 55% des DSI
sont prêts à étoffer leurs équipes employées à temps plein,
relève Gartner.
Voir
silicon.fr
Microsoft acquiert Nuance pour 19,7 milliards de dollars
On attendait l’annonce ce lundi de ce qui constitue le deuxième
rachat le plus coûteux de la firme de Redmond après les 26,2
milliards déboursés pour Skype. Jeux-vidéos, réseaux sociaux,
intelligence artificielle, Microsoft élargit encore les domaines
de ses potentiels rachats. Le rachat de Nuance vient d’être
confirmé. Il lui en coûte 19,7 milliards de dollars.
Voir
linformaticien.com
ENT : Jean-Michel Blanquer accuse OVH, qui réplique, par
Guillaume Périssat
Si le Cned a été victime d’attaques, du côté des ENT c’est la
“taille des tuyaux” qui est en cause, à en croire le ministre
de l’Education nationale. Lequel désigne clairement un coupable
sans le nommer : OVHCloud. Ce dernier a riposté et nie être
responsable des dysfonctionnements des espaces numériques de
travail.
Voir
linformaticien.com
Qwant, le retour ! par Bertrand Garé
Après une refonte technique et un recentrage sur sa première
activité de moteur de recherche, Qwant semble retrouver un bon
rythme de croisière.
Voir linformaticien.com
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SANTÉ (La) : Un manque d'affections.
Trouvé sur "La Toile"
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Le secteur agricole et forestier est à la fois émetteur et
capteur de gaz à effet de serre
Voir
agriculture.gouv.fr
Guerre des prix : "la situation reste inacceptable"
pour Julien Denormandie
Le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie s’engage à faire
cesser la guerre des prix entre industriels, grande distribution
et agriculteurs. Une guerre qui se fait toujours au détriment
de ces derniers juge-t-il.
Voir
lanouvellerepublique.fr
L’association HVE Développement défend son cahier des charges
La certification environnementale a été sévèrement jugée par
l'Institut du développement durable et des relations internationales,
estimant la voie A insuffisamment ambitieuse et la voie B inepte.
L’association HVE développement défend les deux voies d’accès
à la certification.
Voir
pleinchamp.com
Le ministre rappelle sa vision pour la rémunération des agriculteurs
Dans une interview donnée à Terre-net et Web-agri, le ministre
de l’Agriculture détaille les mesures qu’il compte mettre en
œuvre pour assurer la rémunération des producteurs dans le cadre
des négociations commerciales, mais également dans le plan stratégique
national de la future Pac, dont une première version sera prête
dans les prochaines semaines.
Voir
agri-mutuel.com
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France Carbone Agri Élevage
- En communiquant et négociant avec les acheteurs de Crédits
Carbone nationaux ou locaux pour garantir une juste rémunération
de votre projet et sécuriser votre rétribution.
- En assurant la gestion administrative et soutien logistique
: prise en charge de toutes les démarches administratives pour
l’obtention de la labellisation Bas Carbone et la reconnaissance
des Crédits Carbone (notification, suivi, descriptif et dépôt
de projet auprès du Ministère de la Transition Écologique et
Solidaire, certification par un organisme indépendant).
- En proposant un accompagnement par des porteurs de projets
référencés et compétents proches des exploitations, pendant
les 5 années du projet. Le porteur de projet assure le suivi
technique des exploitations, il met en œuvre et suit la réalisation
des bilans carbone et coconstruit un plan d’action sur 5 ans
avec chaque agriculteur.
- En permettant une réduction des coûts de conseil et de certification
en les mutualisant avec d’autres exploitations dans le cadre
de projets communs régionaux ou nationaux.
...FCAA se donne une position unique et avantageuse tant pour
les agriculteurs que pour les porteurs de projets et les acheteurs
de carbone. Cette position unique à ce jour lui permet de rémunérer
les agriculteurs pour services environnementaux par la vente
de crédits carbone labellisés et tracés.
Voir
france-carbon-agri.fr/
Stocks mondiaux de céréales 2020/2021 : 3,5 mois d'utilisation
https://cdn1.regie-agricole.com/ulf/TNM_Biblio/fiche_151756/fiches_Production-cereales-FAO.PNG
Voir
terre-net.fr
Agroforesterie : 14 années d’expérience pour l’EARL Plaine
de vie (80)
En passant sur l’autoroute A29 entre Amiens (Somme) et Saint-Quentin
(Aisne), on repère facilement l’exploitation agricole de Sylvain
Deraeve et de sa sœur Inès, installés à Bayonvillers. En effet,
10 km de linéaires d’arbres sillonnent tout le parcellaire,
situé dans une vaste plaine de grandes cultures typique du Santerre.
Voir
agri-mutuel.com
Stratégie nationale bas carbone (SNBC)
Introduite par la Loi de Transition Énergétique pour la Croissance
Verte (LTECV), la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC) est
la feuille de route de la France pour lutter contre le changement
climatique. Elle donne des orientations pour mettre en œuvre,
dans tous les secteurs d’activité, la transition vers une économie
bas-carbone, circulaire et durable.
Elle définit une trajectoire de réduction des émissions de gaz
à effet de serre jusqu’à 2050 et fixe des objectifs à court-moyen
termes : les budgets carbone.
Elle a deux ambitions : atteindre la neutralité carbone à l’horizon
2050 et réduire l’empreinte carbone de la consommation des Français.
Les décideurs publics, à l’échelle nationale comme territoriale,
doivent la prendre en compte.
Voir
ecologie.gouv.fr
Nothing is more responsible for the good old days than a
bad memory (?????): The sower by G. Myasoedov
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Le miscanthus en Corrèze, une alternative pour remplacer
la paille pour les bovins et les volailles
Victimes depuis plusieurs années d’une pénurie de paille pour
les bovins, les agriculteurs corréziens ont peut-être trouvé
la solution : le miscanthus.
Voir
lamontagne.fr
Que faut-il penser des biochars par Samuel ABIVEN, Directeur
scientifique du Cereep-Ecotron de Foljuif à Saint Pierre lès
Nemours
Voir cereep.bio.ens.psl.eu
L'Union européenne ne sera pas autonome en oléo-protéagineux
en 2021-2022, par Frédéric Hénin
L'union européenne restera importatrice nette de graines pour
la prochaine campagne 2021-2022, selon le comité européen
des négociants en céréales et en aliments pour animaux (Coceral).
Voir
wikiagri.fr
La couleur de la perle de l’huître de Polynésie décodée
Des scientifiques viennent de percer l'énigme de la couleur
de la perle de l'huître de Polynésie, dite perle noire, une
découverte majeure pour la filière perlicole, pilier de l'économie
de l'archipel français, a révélé lundi l'Ifremer.
Voir
agri-mutuel.com
Du
côté d'Auguste Derrière
Autres bons mots
Quand un crocodile voit une femme, il Lacoste !!!
Cargo 500 : le véhicule zéro émission à petit prix pour circuler
dans la ferme
Scot-e importe les triporteurs électriques roumains dont la
capacité de charge de 500 kg dans la benne devrait permettre
de travailler sur la ferme sans trop de contrainte. Pour 2 190
€ (prix de lancement), l'agriculteur bénéficie d'un engin roulant
jusqu'à 45 km/h sur 35 à 50 km d'autonomie.
Voir
agri-mutuel.com
La Haute valeur environnementale, ses avantages et ses contraintes,
par Cogédis
Le succès de la Haute Valeur Environnementale (HVE) ne se dément
pas : les filières concernées sont de plus en plus nombreuses
et diversifiées. Ce succès est dû aux avantages que procurent
ce label. Pour autant, le dispositif comporte quelques inconvénients.
Voir
paysan-breton.fr
Des betteraves et des céréales font vrombir vos moteurs !
Le marché mondial des oléoprotéagineux va atteindre des sommets
pour l'export, par Frédéric Hénin
Parce que les filières d'élevage sont en expansion partout dans
le monde (sauf en Europe où elles restent à leur niveau), les
protéines cultivées pour les nourrir sont elles aussi en large
hausse.
Les producteurs de soja et de colza sont assurés de trouver
des débouchés à leurs récoltes. La demande mondiale ne tarit
pas. Or les premières prévisions du CIC portent sur des productions
mondiales de soja de 383 millions de tonnes (Mt) et de colza
de 73 Mt, juste suffisantes pour la couvrir.
Voir
wikiagri.fr
Des cultures grandes par leur importance
La culture des céréales (blé, orge, maïs…), des oléagineux (tournesol,
colza, soja…), protéagineux (pois, féveroles…) et des betteraves
sucrières constitue le secteur des grandes cultures. Elles occupent
une place essentielle dans l’économie française.
Voir
agridemain.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SANTÉ (La) : Une affaire de tuyauterie.
Jacques DE BOURBON-BUSSET
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du
côté des écrivains et artistes paysans |
Gelée
tardives
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SAVOIR (Le) : Ce que je sais à soixante, je le savais aussi
bien à vingt. Quarante ans d’un long, d’un superflu travail
de vérification…
Emil Michel CIORAN
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les
faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Des agriculteurs français toujours plus connectés !
20 avril - 14h - 15h - Webinaire
Depuis plus de 20 ans, l’étude Agrinautes suit les comportements
des agriculteurs sur internet, l’évolution de leurs équipements
et de leurs usages.
Du 15 juin au 15 septembre 2020, l’institut d’étude Datagri
en partenariat avec Hyltel et pour le compte de Terre-net,
Web-agri et du groupe France Agricole a conduit une enquête
online et analysé les réponses de 980 exploitations agricoles.
Comment la couverture 4G a-t-elle évolué sur les exploitations
agricoles ? Quelles sont les sources les plus utilisées par
les agriculteurs ? Quels sont les réseaux sociaux les plus
plébiscités ?
Christophe SEMONT, directeur commercial chez Hyltel, présentera
en détail les résultats de l’étude, et analysera les grandes
tendances de cette nouvelle édition.
Voir
syrpa.com
Concours « Graines d’Agriculteurs 2021 » : les candidatures
sont ouvertes !
Date limite : 31 mai 2021
Cette année, le public votera pour des jeunes agriculteurs
(installés entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2019)
qui ont lancé des « projets en lien avec la solidarité et
l’entraide », comme par exemple : - la création d’une association
de lutte contre le gaspillage alimentaire, - l’ouverture d’une
exploitation à des groupes sociaux précaires, à des personnes
âgées ou à mobilité réduite, - une ou des missions humanitaires
à l’étranger pour former à des pratiques agricoles innovantes,
- des interventions dans des établissements de zones d’éducation
prioritaire, - des initiatives d’insertion par le travail
pour différents publics en difficulté (ex : réinsertion après
chômage de longue durée ou séjour carcéral), - une mobilisation
à fort impact pendant la crise du COVID-19 pour participer
à l’effort collectif dans la lutte contre l’épidémie.
Voir
academie-agriculture.fr/
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory: Récolte de pommes de terre à Barbizon, par Max Liebermann
(allemand, 1847 - 1935)
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Première édition des Journées Nationales de l'Agriculture
18, 19, 20 juin 2021
Cette année, à l’instar de nombreux grands pays agricoles, la
France organisera, elle aussi, ses Journées Nationales de l’Agriculture.
Cette première édition, qui se tiendra les 18, 19 et 20 juin prochains
sur l’ensemble du territoire, proposera à chaque citoyen de découvrir
son patrimoine agricole et alimentaire, en visitant des sites
de production, d’enseignement agricole, d’expérimentation, de
recherche et des sites de transformation.
Voir
syrpa.com
Voir journeesagriculture.fr
Ruminants connectés : Une journée pour tout capter ! Sm@rt
élevage
24 juin 2021 - 9h à 16h - Webinaire
Voir
idele.fr
Du
côté d'Auguste Derrière
Autres bons mots
Dieu a créé l'homme 10 minutes avant la femme pour qu'il ait le
temps d'en placer une !!!
Quelles conséquences du Brexit pour les secteurs agricole
et agroalimentaire ?
5 mai - 14h30 - Webinaire
Depuis que le Royaume Uni a quitté l’Union européenne
le 31 décembre 2020, leurs relations sont régies
par l’accord de commerce et de coopération du 24 décembre
2020.
Les échanges de produits agricoles et alimentaires entre
le Royaume Uni et l’Union européenne sont très
importants. Dans ce domaine, le Royaume Uni est un partenaire
essentiel pour plusieurs pays de l’Union européenne
tels que l’Irlande et la France.
Si l’accord commercial du 24 décembre 2020 permet
aux deux parties d’échanger sans quotas ni droits
de douane, il n’évite pas de nouveaux coûts
et formalités administratives pour les entreprises, notamment
en raison des contrôles sanitaires et phytosanitaires des
denrées alimentaires, ainsi que des exigences requises
en matière de « règles d’origine ».
D’autre part, le Royaume Uni, qui a toujours été
hostile à la PAC, va pouvoir élaborer et conduire
sa propre politique agricole.
Il s’agit donc, au cours de cette séance, d’appréhender
:
- l’impact du Brexit sur les échanges agricoles et
alimentaires du Royaume Uni avec l’Union européenne,
en particulier avec l’Irlande et la France, mais également
avec des pays tiers,
- les orientations de la nouvelle politique agricole du Royaume
Uni.Voir
academie-agriculture.fr
Voir
academie-agriculture.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SEINS (Les) : Unique constance de l'homme car il les prend à la
naissance et ne les lâche qu'à la mort.
EnriqueJARDIEL-PONCELA
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du
côté des gazettes et des blogs agricoles |
Du côté de vitisphere.com : gel sur les plaies par Alexandre
Abellan
L’hiver est revenu cette semaine, ramenant les pleurs dans les
vignes. Pas au bout des ceps taillés, mais dans les yeux des vignerons
et vigneronnes qui ont passé la semaine à scruter les prévisions
météo, leurs nuits à lutter contre les gelées et leurs matinées
à découvrir les dégâts sur leurs parcelles. En témoigne la bouleversante
vidéo d’Émilie Faucheron, vigneronne dans l’Hérault, dévastée
en découvrant ses vignes brunies par une nuit à -6°C.
Après trois nuits de gelées successives (mardi 6, mercredi 7 et jeudi 8 avril), avec des températures allant parfois jusqu’à
-9°C, les premières remontées témoignent de situations catastrophiques
sur des pans entiers du vignoble : Bordeaux, Bourgogne, Champagne,
Jura, Languedoc, Provence, val de Loire, vallée du Rhône... S’il
est encore impossible d’estimer précisément les dégâts, 80 % du
vignoble serait affecté à des degrés variables selon le Comité
National des Interprofessions des Vins (CNIV). Les douloureux
souvenirs des gels historiques de 2017 et de 1991 sont déjà évoqués
pour mesurer l’ampleur des pertes de récolte attendues.
Dramatique, la catastrophe laisse groggy un vignoble
qui encaisse depuis des années les coups du sort, des difficultés
export à la crise sanitaire qui n’en finit pas. Déjà lourdement
éprouvée, la résilience du vignoble est de nouveau soumise à rude
épreuve. D’autant plus qu’une nouvelle vague de froid est annoncée
pour les prochains jours. Alors que la nation se porte au chevet
de son vignoble martyrisé par les cieux, les appels à l’aide se
multiplient pour soutenir les entreprises mises à mal et investir
dans l’adaptation du vignoble aux effets du changement climatique.
Face à un gel qui s’annonce déjà historique, la filière vin doit
être entendue pour être soutenue à sa juste valeur. « Ce n’est
pas dans mes habitudes de me lamenter, mais là franchement les
tripes elles me prennent » témoigne dans sa vidéo Émilie
Faucheron, parlant au nom de tous les gens du vin.
Voir
vitisphere.com
Nothing is more responsible for the good old days than a bad memory:
Dans le champ, 1890, par Max Liebermann (allemand, 1847 - 1935)
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Du côté de pleinchamp.com : Contre le gel, un paratonnerre
L’intensité et l’étendue de l’épisode gélif vont de nouveau mettre
en lumière le désarmement des systèmes de couverture publics et
privés face aux impacts climatiques. La gestion des risques est-elle
condamnée à l’impuissance ?
Il est encore bien trop tôt pour évaluer les dégâts causés cette
semaine par le gel, d’autant plus que l’épisode n’est pas terminé.
Mais il sera assurément d’une ampleur inédite, ruinant sinon affaiblissant
bon nombre d’exploitations voire de filières. Dans un réflexe
pavlovien, le ministre de l’Agriculture a dégainé les trois outils
de circonstance que sont l’activation des calamités agricoles,
les allègements de charges et les dégrèvements fiscaux. Autant
dire un paratonnerre pour s’éviter la foudre des agriculteurs,
à défaut de réchauffer l’atmosphère. Jupiter n’est pas qui veut.
A la décharge du ministre, il faut dire que le combat entre le
ciel et les terriens est très inégal. On peut allumer des bougies,
on peut se battre avec des moulins à vents, y compris des pales
d’hélicoptère, on peut mobiliser l’armée agroécologique : les
phénomènes à l’œuvre, exacerbés soit-dit en passant par la fumée
des bougies et les gaz de l’hélicoptère, sont surpuissants.
.../...
Voir
pleinchamp.com
Du côté d’André Heitz
> Le
chaos créé lorsque l'infrastructure est bloquée
> Riz
Doré : un riz « ordinaire » avec un caractère en plus
> Recherche
: l'arrêt de la production laitière ne réduit pas significativement
les émissions de GES
> Une
chronique immonde de M. Stéphane Foucart dans le Monde
> Voici
pourquoi les agriculteurs doivent commencer à parler sérieusement
du changement climatique
> Le
glyphosate a-t-il des effets sur le microbiote intestinal ?
> Une
barre énergétique fait son apparition avec un label de culture
régénérative (aux USA). Quel intérêt ?
> Cinq
raisons d'être optimiste quant à l'avenir de l'édition du génome
> Sanatech
Seed lance la première tomate génétiquement éditée au monde
> Des
promoteurs de l'agro-écologie au Ghana disent adopter les technologies
modernes
> Projet
de loi « climat et résilience » : l'usine à gaz de l'affichage
environnemental
> M.
Daniel Cueff, sa liste Bretagne ma vie et le miracle du sondage
Du côté de l’Institut de l’élevage : Idele-Première n°695 et
696
Voir
idele.fr 695 et
Voir idele.fr 696
Du côté du ministère de l’Agriculture
> Épisodes
de gel : l’État au côté des agriculteurs
> France
Relance : 8 premiers lauréats de l’AAP pour la structuration de
filières agricoles et agroalimentaires
> Covid-19
: maintien de l’allocation de remplacement pour les exploitants
agricoles empêchés de travailler
Du côté de la Fnsea
> Les
gelées destructrices anéantissent les producteurs : le soutien
des pouvoirs publics devra être à la hauteur !
Les températures élevées des dernières semaines annonçaient le
printemps, entrainant avec elles le réveil de la végétation. Malheureusement,
les dernières nuits marquées par une chute historique des températures
et des gelées destructrices viennent mettre un coup d’arrêt à
la floraison et menacent fortement plusieurs filières de production
agricole.
L’angoisse est immense dans les vignobles, les vergers, les champs.
Les photos qui circulent sur les réseaux sociaux sont éloquentes
: parcelles illuminées de tant de braseros, aspersions pour fixer
le gel, remparts trop souvent insuffisants ! Dans de nombreuses
régions, du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest les dégâts sont
impressionnants chez les viticulteurs et chez les arboriculteurs.
La détresse est grande aussi dans le monde des grandes cultures
! Les impacts sur le colza, en pleine floraison, sont dramatiques,
comme sur les semis de betteraves : de très nombreux planteurs
vont devoir ressemer plus de la moitié de leur surface.
La FNSEA tient à apporter son soutien total à tous les producteurs
qui se trouvent confrontés à des incertitudes majeures pour la
suite de leur activité.
Mais elle appelle aussi à une réaction rapide des pouvoirs publics
pour apporter des solutions concrètes afin de permettre aux agriculteurs
de retrouver de la visibilité, notamment quant aux conditions
de re-semis des betteraves, et à envisager dès à présent les mesures
d’indemnisation permettant à chacun de passer l’année difficile
qui s’annonce.
Ce nouvel épisode climatique rappelle, cruellement, l’importance
de permettre aux agriculteurs de bénéficier de dispositifs de
prévention et d’un régime de gestion des risques à la hauteur
du défi climatique. Ce n’est pas le cas aujourd’hui.
Les décisions à venir, dans le cadre de la future PAC, et dans
les suites de la mission confiée par le ministre de l’Agriculture
et de l’Alimentation au député Frédéric Descrozaille, sont capitales
pour l’avenir de la production agricole sur notre territoire.
Les agriculteurs attendent une détermination sans faille pour
traduire en acte les possibilités ouvertes par le règlement européen
« Omnibus », la rénovation du régime des calamités agricoles ou
encore la mise en place d’une nouvelle gouvernance de l’assurance
récolte permettant d’associer agriculteurs, assureurs et pouvoirs
publics. Le gel de ces dernières nuits nous montre une fois de
plus l’urgence d’agir.
Du côté d'Auguste Derrière
Autres bons mots
Je me demande si, à moyen terme, le changement climatique finira
par avoir des conséquences irréversibles sur les pizzas des 4
saisons.
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SÉNILITÉ (La) : Début des grandes vacances. Anne Archet.
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (2)
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Vos enfants
Une dame est chez son médecin. Après s'être intéressé à elle,
il demande :
- Et comment vont vos enfants ?
- Mon premier à la grippe, le second couve une angine et mon dernier
à la diarrhée ! Qu'est-ce que vous en dites ?
- Oh, vous savez, moi, les charades...
Pensée du jour
Pour beaucoup de gens, les vraies conséquences du référendum
commencent à peine à se faire sentir. La réalité, qui est devenue
claire pour tous, est que le Brexit signifie recréer des barrières
commerciales qui n’existaient pas depuis 47 ans.
Michel BARNIER
Pensée sur ce "Que signifie pour vous "être juif"
?"
Je suis juif, j’en porte l’héritage et la trace. Mais je ne le
définis ni par Israël ni par la religion. Je n’ai pas fait ma
bar-mitsva, mes parents n’avaient aucune pratique religieuse.
Mais il y avait chez nous d’autres marques du judaïsme : la cuisine,
l’humour, la dérision, une forme de joie assez grave, la capacité
à douter, le goût des études, celui des débats. Notre judaïsme,
comme le définissait Georges Perec, est un judaïsme de la faille,
du doute, du saisissement, de l’absence, de la disparition.
Ivan JABLONKA, 47 ans, Historien et écrivain
Voir
lemonde.fr
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TV
Agri : actualités agricoles. Toute les actualités
de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles
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A first thought for today
At least one way of measuring the freedom of any society is the
amount of comedy that is permitted, and clearly a healthy society
permits more satirical comment than a repressive, so that if comedy
is to function in some way as a safety release then it must obviously
deal with these taboo areas. This is part of the responsibility
we accord our licensed jesters, that nothing be excused the searching
light of comedy. If anything can survive the probe of humour it
is clearly of value, and conversely all groups who claim immunity
from laughter are claiming special privileges which should not
be granted.
Eric IDLE, comedian, actor, and author (b. 29 Mar 1943)
A second thought for today
Simplicity of life, even the barest, is not a misery, but the
very foundation of refinement.
William MORRIS, designer, poet, and novelist (1834-1896)
A third thought for today
We can lick gravity, but sometimes the paperwork is overwhelming.
Wernher Von BRAUN, rocket scientist (1912-1977)
A fourth thought for today
When an individual is protesting society's refusal to acknowledge
his dignity as a human being, his very act of protest confers
dignity on him.
Bayard RUSTIN, civil rights activist (1912-1987)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
SÉNILITÉ (La) : Le crépuscule des vieux.
A. MORGE
Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire
rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Ageekculture
: un blog sur l'agriculture et les technologies de l'information
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Région Occitanie – Une charte inédite avec la grande distribution
pour promouvoir nos produits locaux, par Patrick Sacristan
La Région s‘est engagée aujourd‘hui avec 6 enseignes de la grande
distribution à former un pack pour valoriser les produits et producteurs
régionaux à travers la signature d‘une Charte d‘engagement pour
la grande distribution durable en Occitanie.
Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, Jean-Louis Cazaubon,
vice-président en charge de l‘agroalimentaire et de la viticulture,
ont présenté cette démarche collective en présence des représentants
des enseignes (Auchan, Carrefour, Casino, Intermarché, Leclerc
et Super U), et des partenaires (Chambre régionale d‘Agriculture
Occitanie, AREA, Coopération Agricole Occitanie, Centre technique
Régional de la Consommation d‘Occitanie, Interbio, l‘Irqualim
et Ad‘Occ).
Voir
lasemainedespyrenees.fr
Nothing is more responsible for the good old days than a bad
memory: La récolte des pommes de terre, 1907, Lucien Simon
(1861-1945), Musée des beaux arts de Quimper
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Lobby anti-glyphosate... Glypho : enfin la vérité, les tests
sont bidons
La FNSEA 37 et la FDSEA 36 ont poursuivi leur enquête sur les
tests glyphosate. Le 10 mars, elles ont restitué les résultats
de leur enquête à Châteauroux et ont apporté les preuves comme
quoi le test utilisé par les opposants au glyphosate était une
supercherie organisée à l’échelle européenne. Interrogée par la
NR de l’Indre, la responsable locale de ce collectif confirme.
Voir
terredetouraine.fr
Glypho-tests de biocheck : nicht akkredtieres
Voir
maisondesagriculteurs37.fr
Les plastiques dans l'environnement (Académie des Sciences)
Les plastiques, polymères de composition très variable, sont devenus
des objets d’usage courant. La diversité́ de leur composition
chimique leur confère des propriétés uniques dans le monde des
matériaux : rigidité́, souplesse ou élasticité́, résistance
mécanique et chimique. Leurs domaines d’application sont multiples
: avions, automobiles, bâtiments, prothèses médicales, ordinateurs...
Ils permettent aussi la conservation et le transport des produits
industriels, alimentaires, médicaux et pharmaceutiques dans
des conditions d’hygiène inégalées. Les plastiques sont devenus
indispensables et leur production annuelle mondiale, passée de
1,5 million de tonnes en 1950 à plus de 350 millions de
tonnes aujourd’hui, est toujours en croissance continue.
.../...
Voir
academie-sciences.fr
ITK, experte en prévisions de rendements agricoles, analyse
la catastrophe liée au gel sur TF1
Serge Zaka, agro-climatologue chez ITK raconte : « J’ai réalisé
de premières prévisions de catastrophe agricole dès le 30 mars.
Et le 3 avril je réalisais une première carte d’alerte sur les
différents niveaux de risques en fonction des régions de France
». Serge Zaka travaille dans une équipe de chercheurs d’ITK, qui
innove dans la prévision de rendements et les risques encourus
par les exploitations agricoles.
Voir
itk.fr
NBT : mobilisation tous azimuts du lobby anti-OGM
Craignant une révision de la directive 2001/18 sur les OGM dans
un sens plus favorable aux nouvelles techniques génomiques (NBT),
la nébuleuse anti-OGM se mobilise à plein, tandis que Greenpeace
joue sa partition en solo.
Voir
agriculture-environnement.fr
Strasbourg : pourquoi la subvention accordée (par la maire
écolo et hurluberlue) à une mosquée fait-elle polémique ? Par
Ju. M. avec AFP
La mairie écologiste de Strasbourg pourrait octroyer une subvention
à l'association Millî Görüs pour la construction d'une mosquée.
Pourquoi cette annonce suscite-t-elle la polémique ? Pourquoi
la mairie accepte-t-elle de financer un édifice religieux ?
Explications.
.../...
Ce projet de subvention ne plaît pas au gouvernement, notamment
à Gérald Darmanin. Le ministre de l’Intérieur a notamment reproché
à la maire EELV Jeanne Barseghian de financer une "ingérence
étrangère" sur le sol français et une association qui a
"refusé de signer la charte des principes de l'islam de
France et qui défend un islam politique".
Voir
lalsace.fr
NB :
- L‘association Millî Görüs est contrôlé par le gouvernement
turc.
- Et elle refuse de se conformer aux principes de la charte
de l’islam de France.
- Il faut être écolo et hurluberlue pour ne pas voir le problème,
même si l’Alsace n’est pas sous le régime de la loi de 1905
séparant les églises et l’État, et que les collectivités territoriales
peuvent y financer la construction et l’entretien des lieux
de culte.
About environment by Steven Pinker
Q. by Zitelmann: You write that–with the exception of climate
change–the condition of the environment has improved massively
in recent decades. In which countries and environmental sectors
(air, water, etc.) do you think this applies most?
A. by Pinker: According to the Environmental Performance Index,
a report card for the environment, almost every country has
shown improvement over the past decade, with wealthier countries
having the cleanest environments (this counts the most dangerous
forms of pollution, indoor cooking smoke and contaminated water).
Since Enlightenment Now came out, there have been reports on
worsening trend overall in species extinctions, which I would
add to the list of concerns, though we should also acknowledge
the successful conservation efforts that have rescued many endangered
or threatened species.
See
forbes.com
The unexpected history and miraculous success of vaccines,
by Matt Ridley
At a time when the miraculous success of vaccines against SARS-CoV-2
has transformed the battle against the pandemic, it is fitting
to recall that the general idea behind vaccination was brought
to the attention of the western world, not by brilliant and
privileged professors, but by a black slave and a woman.
His name was Onesimus and he lived in Boston, as the property
of Cotton Mather, a well-known puritan preacher. Her name was
Lady Mary Wortley-Montagu, the literary wife of the British
ambassador to Constantinople.
Sometime around 1715 Onesimus seems to have told Mather that
back in West Africa people were in the habit of deliberately
infecting children with a drop of “juice of smallpox” from a
survivor, thus making them immune. Mather then came across a
report to the Royal Society in London from an Italian physician,
Emmanuel Timoni, working in the Ottoman court in Constantinople,
which described the same practice in combating smallpox. The
Ottomans had got the idea from either China or Africa.
.../...
Vaccination was invented a long time before anybody understood
how it works. Even today, we still face huge uncertainty in
designing vaccines. This past year, in record time, using novel
technology, scientists have developed a fleet of effective vaccines
to prevent a disease, forcibly reminding the world of the incalculable
value of innovation.
The pandemic is none the less a rebuke to the human race for
not having done more in recent years to improve the speed and
success rate of vaccine development. Until last year it was
a surprisingly neglected technology, not profitable for pharmaceutical
firms and taking second place to lifestyle interventions among
public-health advocates recently. Vaccine development, warned
Wayne Koff, president of the Human Vaccines Project, in 2019,
“is an expensive, slow and laborious process, costing billions
of dollars, taking decades, with less than a 10 per cent rate
of success…There is clearly an urgent need to determine ways
to improve not just the effectiveness of the vaccines themselves
but also the very processes by which they are developed.”
Not all vaccines have been safe or effective, but the problems
are nearly all in the past. Vaccines are now safe and life-saving
medications. The antivaxxer movement is as mistaken the mob
that went after Dr Boylston.
Voir
rationaloptimist.com
Du côté d'EBBH : Dissimilitude en cascade !
(Ep.#96)
They Overcame Mutual Loathing, and Saved a Town, by Nicholas
Kristof (quand les forestiers et les écolos arrivent
à dialoguer…)
JOHN DAY, Ore. — One of the most venomous battles in our polarized
nation is the one that has unfolded between loggers and environmentalists
in timber towns like this one in the snow-capped Blue Mountains
of Eastern Oregon.
Yet, astonishingly, peace has broken out here. Loggers and tree-huggers
who once loathed and feared each other have learned to hold
their noses and cooperate — and this may have saved the town.
It may also offer lessons for a divided country.
The timber industry, by far the biggest employer in John Day,
survives here only because environmentalists led by Susan Jane
Brown, a Portland lawyer, fought to save these workers’ jobs
by keeping chain saws active. John Shelk, who owns the town’s
sawmill, and might be expected to eat environmental lawyers
for breakfast, says simply, “Susan Jane is my hero.”
See
NYT
Nothing is more responsible for the good old days than a
bad memory: Staging Post, by Lucien Simon (1861–1945), Glasgow
Museums Resource Centre
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Así son los cálculos de riesgo y beneficio con la vacuna
de AstraZeneca
Un repaso a los números con los que trabajan los reguladores
para decidir sobre la vacuna anglosueca. En la 'newsletter'
de Kiko Llaneras.
El riesgo de morir al contraer la covid sería mucho mayor
que el de sufrir un trombo raro después de recibir la vacuna.
Para la gente de 60 a 69 años, el riesgo por covid es 2.000
veces superior.
Ver
elpais.com
Vacuna de AstraZeneca: prudencia, sí; miedo, no
Los efectos adversos del producto del laboratorio anglosueco
son muy infrecuentes.
Ningún medicamento es completamente seguro. La cuestión es
si los beneficios que aporta compensan los riesgos inherentes
a su uso. Y en este caso la evidencia científica que proporciona
la EMA dice que así es. No hay que olvidar que esta vacuna
ha demostrado ser efectiva en la prevención de casos graves.
En el actual contexto de crecimiento de los contagios y limitaciones
en la producción de vacunas, renunciar de forma radical a
AstraZeneca puede acabar causando muchísimas más muertes de
las que se evitarían suspendiendo su uso. Habrá que medir
bien entre prudencia y los riesgos de hiperreacción.
Ver
elpais.com
Reticencia a la vacunación : Un desafío creciente para
los programas de inmunización
Ver
who.int
Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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Short jokes
The waiter joke (Jewish joke, that could be a French one)
A group of five Jewish women are eating lunch in a busy cafe.
Nervously, their waiter approaches the table.
“Ladies,” he says. “Is anything okay?”
The Perfect Son
A: I have the perfect son.
B: Does he smoke?
A: No, he doesn't.
B: Does he drink whiskey?
A: No, he doesn't.
B: Does he ever come home late?
A: No, he doesn't.
B: I guess you really do have the perfect son. How old is he?
A: He will be six months old next Wednesday.
The dancer
Girl: You would be a good dancer except for two things.
Boy: What are the two things?
Girl: Your feet.
Confusion
A: Just look at that young person with the short hair and blue
jeans. Is it a boy or a girl?
B: It's a girl. She's my daughter.
A: Oh, I'm sorry, sir. I didn't know that you were her father.
B: I'm not. I'm her mother.
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d’informatique agricole (Afia)
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