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notre Encyclopédie de l'Académie d'agriculture
- 445 "Questions
sur"
- 59
Repères
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vidéos
Voir
academie-agriculture.fr
Le fonds documentaire de l’Académie d'agriculture de
France
Le fonds documentaire de l’Académie est riche de près de 40 000
ouvrages complétés par les archives manuscrites de nombreux académiciens.
Il rassemble la totalité des publications de la Société Royale
d’Agriculture depuis 1761, puis de l’Académie après 1915 : périodiques
(mémoires, bulletins, comptes rendus) et ouvrages édités par la
Compagnie.
S’y ajoutent 3 249 périodiques anciens reliés :
- Annales de l’Agriculture de l’an VI à 1873 (complet)
- Journal d’Agriculture pratique de 1837 à sa disparition en 1938
- Journal de l’Agriculture de 1866 à 1909
Un fonds ancien constitué d’environ 15 300 titres reliés depuis
1512 jusqu’à 1960 et de 10 000 brochures et documents classés
par matière (du XIXe et XXe siècles essentiellement).
Un fonds moderne (livres entrés depuis 1960) représentant environ
9 000 volumes.
Les principales collections font l’objet de numérisation grâce
à un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France (BnF).
Elles sont consultables en ligne et permettent une recherche par
reconnaissance des caractères.
Enfin depuis 4 ans, les titres disponibles et consultables sur
rendez-vous à la bibliothèque de l’Académie sont catalogués grâce
au logiciel KOHA.
À ce jour, 3 061 titres sont répertoriés.
Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture,
l’alimentation et l’environnement.
Voir
academie-agriculture.fr
Avant l'informatique : Pendant les foins à Loucrup (Hautes-Pyrénées)
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Prochain concert de la Lyre du Plessis-Robinson (GW : Clarinette
basse) : réservation indispensable... vu le succès
(local !) de nos prestations !
Vieille blague soviétique, qu'il faudrait rappeler à
certains de nos amis (?)
En 1977, la fille de Sigmund Jähn, premier cosmonaute est-allemand,
habite à la Cité des étoiles près de
Moscou avec sa mère et est interrogée par la télé.
Question du reporter :
« Quand est-ce que ton père revient du cosmos
?
Demain à 12 h 52, répond la fillette.
Et quand est-ce que ta mère revient de chez le boucher
?
Demain ou après-demain, ça je sais pas.
Voir
blagues soviétiques
Du côté de Xavier Gorce (dans Le Point)
|
Opinions
et curiosités du web (1)
|
Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour
l'avenir de la vigne
> Feuilleter
ce beau livre
> Acheter
le livre
Nouveaux OGM : « Effrayer le public en prétendant que ces plantes
vont faire augmenter les intrants chimiques est un mensonge »,
Tribune, Collectif
Des scientifiques du CNRS, de l’Inrae et du CEA, parmi lesquels
François Parcy et Christophe Robaglia, expliquent, dans une tribune
au « Monde », le contexte et les perspectives des nouvelles techniques
génétiques, à la suite du projet de modification de la réglementation
européenne sur les OGM.
Toutes les plantes que nous mangeons depuis les débuts de l’agriculture
sont différentes de celles existant à l’état sauvage. Elles ont,
par exemple, des fruits plus gros, plus sucrés, des graines plus
nombreuses, non toxiques et qui restent attachées à l’épi. Ces
différences sont dues à des accidents génétiques variés dans leur
génome : les mutations stricto sensu mais aussi des insertions
aléatoires d’éléments génétiques mobiles (comme dans les oranges
sanguines) ou même des multiplications du nombre de chromosomes
(comme dans le blé).
Au cours des siècles, les humains ont d’abord sélectionné, dans
la nature puis dans le contexte artificiel du champ, des plantes
possédant des mutations spontanées avantageuses. Puis on a croisé
des variétés de provenances éloignées et même des espèces différentes
(comme l’abricot et l’amande ou le pomelo et la mandarine), qui
n’auraient probablement jamais eu de descendance sans l’aide de
l’homme.
Depuis plus d’un demi-siècle, on utilise des agents mutagènes
physiques (rayonnement) ou chimiques pour obtenir des variations
intéressantes agronomiquement. On a ainsi créé des milliers de
variétés dont le pomelo américain, une banane soudanaise ou une
pomme française.
Ces différentes méthodes (croisement et mutagenèse) introduisent
de plusieurs milliers à plusieurs millions de mutations et les
génomes des plantes comprennent de quelques centaines de millions
pour la tomate à plusieurs milliards de bases de l’ADN pour le
maïs. Toutes les plantes cultivées sont donc génétiquement modifiées
et ont toujours été considérées sans risques sanitaire ou environnemental.
>>> Les avancées positives des techniques d’édition du
génome
Le terme « OGM » [organisme génétiquement modifié] est une définition
réglementaire, réservée à des plantes dans lesquelles est introduit
de l’ADN étranger à l’espèce pour les rendre, par exemple, capables
de produire leur propre insecticide bio (issu de la bactérie Bacillus
thuringiensis) ou de résister aux virus (papayers sur les îles
Hawaï). Ces plantes sont soumises en Europe à une réglementation
extrêmement lourde basée sur leur méthode d’obtention (la transgenèse)
qui rend leur culture quasiment impossible (mais pas leur importation).
Aujourd’hui, grâce aux techniques d’édition du génome (résumées
par l’acronyme CrispR/Cas9), on sait introduire une poignée de
variations à des endroits définis du génome. On fait toujours
la même chose, insérer et sélectionner des mutations, mais de
façon rapide et choisie, en se basant sur les connaissances scientifiques
établies au cours des dernières décennies, plutôt que trier parmi
de nombreuses mutations aléatoires, spontanées ou induites.
Les plantes issues de ces approches sont génétiquement bien plus
proches de leurs parents que celles provenant de croisements entre
variétés ou traitées aux rayons X. Les changements génétiques
introduits étant identiques à ceux causés par la mutagenèse naturelle
ou induite, rien ne permet même de distinguer s’ils sont apparus
spontanément ou ont été créés par l’homme.
>> La notion d’intrant génétique n’a elle aussi aucun sens
Ainsi, on sait produire des tomates ou des pommes de terre qui
résistent par elles-mêmes au mildiou ou à certains virus. Cela
permet de limiter considérablement les traitements antifongiques,
comme la bouillie bordelaise, qui contamine les sols en cuivre
toxique ou les traitements insecticides permettant de détruire
les pucerons qui sont les vecteurs de virus. Le potentiel de ces
techniques est immense, il permet de modifier toutes les caractéristiques
des plantes incluant l’adaptation aux températures croissantes.
Ces plantes sont qualifiées de « nouveaux OGM », ou d’« OGM cachés
», pour agiter un chiffon rouge et créer de l’anxiété, mais une
telle définition, prise au pied de la lettre, devrait conduire
à bannir les « anciens OGM » produits par 9 000 ans d’agriculture
et à ne se nourrir que de pissenlits et d’ail des ours… Effrayer
le public en prétendant que ces plantes vont nécessairement faire
augmenter les intrants chimiques est un mensonge. La notion d’intrant
génétique également utilisée pour inquiéter n’a elle aussi aucun
sens.
Produire une tomate plus riche en vitamine D ou une pomme de terre
résistante au mildiou est un progrès pour le consommateur et pour
l’agriculteur. Et une mutation obtenue dans un laboratoire et
évaluée avant sa commercialisation ne présente pas plus de danger
qu’une variation génétique aléatoire, observée et retenue par
un agriculteur.
>>> Des nouvelles variétés compatibles avec la sélection
« classique »
Exploiter le potentiel e cette nouvelle technologie demande une
législation pour évaluer les bénéfices et les risques comme cela
se fait aujourd’hui pour les nouvelles variétés. Imposer sans
raison une réglementation trop contraignante serait la garantie
que ces avancées ne profitent qu’à un très petit nombre d’entreprises
capables d’assumer le coût de l’homologation (une dizaine de millions
d’euros), comme c’est le cas actuellement pour les plantes transgéniques.
Cela priverait de la possibilité d’innover les quelque 80 PME
qui, rien qu’en France, produisent des semences et créent de nouvelles
variétés.
On reproche aussi aux biotechnologies végétales de privatiser
le vivant sous forme de brevets. Mais il existe une alternative
à favoriser : c’est le certificat d’obtention végétale (COV) qui
permet la libre réutilisation des variétés nouvelles, tout en
préservant le travail des entreprises semencières. Loin de nous
cependant l’idée que les nouvelles variétés issues de cette sélection
végétale avancée vont résoudre tous les problèmes de l’agriculture
liés au dérèglement climatique et à la nécessité de réduire les
phytosanitaires tout en nourrissant convenablement une humanité
en croissance.
Ces nouvelles variétés resteront compatibles avec la sélection
variétale « classique », qui devra toujours être largement utilisée,
et avec les approches agroécologiques considérant les champs comme
des écosystèmes incluant un cortège de micro-organismes. Les habitudes
alimentaires devront également évoluer pour augmenter la part
de la production végétale destinée aux humains plutôt qu’aux animaux
d’élevage.
Sans sombrer dans une vision cornucopienne, où la technologie
suffirait à résoudre toutes les difficultés, l’enjeu est toutefois
trop important pour refuser des solutions pour des raisons dogmatiques,
en ne s’appuyant sur aucune base scientifique.
Paradoxalement, ces nouvelles variétés seront plus adaptées aux
pratiques de l’agriculture raisonnée ou de l’agriculture biologique
que celles utilisées jusque-là et dépendantes des produits phytosanitaires.
Vivement qu’arrivent dans nos champs, nos jardins et nos assiettes,
les nouveaux OGM bio !
Les premiers signataires : David Bouchez, directeur de recherche
Inrae Versailles ; Véronique Brault, directrice de Recherche Inrae
Colmar ; Michel Delseny, directeur de recherche CNRS, Académie
des sciences ; David Gilmer, professeur à l’université de Strasbourg
; Christian Meyer, directeur de Recherche Inrae Versailles ; Sébastien
Mongrand, directeur de recherche CNRS Bordeaux ; François Parcy,
directeur de recherche CNRS Grenoble ; Christophe Robaglia, professeur
à Aix-Marseille université ; Francis-André Wollman, directeur
de recherche CNRS, Académie des sciences ; Véronique Ziegler-Graff,
directrice de recherche CNRS Strasbourg.
Voir
lemonde.fr
Misery, 1919, by Nikolay Bogdanov-Belsky (1868-1945)
01
- 13/11/2023
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In a Village. Going to Liturgy, 1903, by Andrei Ryabushkin
(1861-1904)
02
- 13/11/2023
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Victor Hugo
Même grand père attendri, Victor Hugo est en guerre contre cet
" aventurier " qui " pose un forfait contre la
France ", Napoléon III, bien entendu...
Et il nous laisse son message, attendri, puissant et combatif,
dans une antithèse dont il a le secret, sur les pères pourris
et les enfants gâtés.
Ce qui m'inspire, quand je gâte ma petite fille : elle aura plus
tard assez de monde pour l'emmerder...
|
Laus puero de Victor Hugo (1802-1885)
in L’art d’être grand-père (1877)
Jetons le masque. Eh bien ! je tiens pour préjugés,
Oui, je tiens pour erreurs stupides les maximes
Qui veulent interdire aux grands aigles les cimes,
L’amour aux seins d’albâtre et la joie aux enfants.
Je nous trouve ennuyeux, assommants, étouffants.
Je ris quand nous enflons notre colère d’homme
Pour empêcher l’enfant de cueillir une pomme,
Et quand nous permettons un faux serment aux rois.
Défends moins tes pommiers et défends mieux tes droits,
Paysan. Quand l’opprobre est une mer qui monte,
Quand je vois le bourgeois voter oui pour sa honte ;
Quand Scapin est évêque et Basile banquier ;
Quand, ainsi qu’on remue un pion sur l’échiquier,
Un aventurier pose un forfait sur la France,
Et le joue, impassible et sombre, avec la chance
D’être forçat s’il perd et s’il gagne empereur ;
Quand on le laisse faire, et qu’on voit sans fureur
Régner la trahison abrutie en orgie,
Alors dans les berceaux moi je me réfugie,
Je m’enfuis dans la douce aurore, et j’aime mieux
Cet essaim d’innocents, petits démons joyeux
Faisant tout ce qui peut leur passer par la tête,
Que la foule acceptant le crime en pleine fête
Et tout ce bas-empire infâme dans Paris ;
Et les enfants gâtés que les pères pourris.
Signalé par Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com
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Pour Bernard, ton grand-père (1960),
par Pablo Picasso (1881-1973)

Le Père Noël de Picasso
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L'entrée de l'Ukraine dans l'UE serait « une catastrophe » pour
l'agriculture (Arnaud Rousseau, Fnsea)... pour ma part, je crois
que ce serait un moindre mal (GW, mais ce n’est qu’une hypothèse
d’un non-spécialiste)
La Commission européenne a recommandé mercredi l'ouverture de négociations
d'adhésion à l'UE avec l'Ukraine et la Moldavie, et l'octroi du
statut de candidat à la Géorgie.
« Dans le contexte de guerre, il est très difficile de se prononcer
sur ce sujet car on vous accuse tout de suite de ne pas soutenir
l'Ukraine. Mais du seul point de vue agricole, une entrée de l'Ukraine
dans l'Union européenne serait une catastrophe pour l'agriculture
européenne », a déclaré Arnaud Rousseau aux quotidiens du groupe
Ebra.
.../...
Voir
terre-net.fr
Ma réflexion (GW) : Le Président de la Fnsea a raison de souligner
la difficulté d’intégrer l’agriculture ukrainienne, mais ceci étant
acté, l’intégration de l’agriculture ukrainienne est la garantie
que l’Union Européenne gardera une politique agricole commune pour
encore de nombreuses années, alors que ce que nous devons craindre
le plus, c’est l’abandon de la PAC…
"2041
l'Odyssée paysanne pour la santé de l'homme et de la planète",
un excellent bouquin de Jean-Marie Séronie, membre de
l'Académie d'agriculture
L’agriculture est aujourd’hui au coeur de nombreux défis
de la modernité. Les vingt prochaines années s’annoncent
comme passionnantes et mouvementées, une véritable odyssée
paysanne. C’est un enjeu majeur pour la santé des hommes
et de la planète.
Le grand pari des vingt prochaines années est de faire
évoluer simultanément et à des rythmes compatibles entre
eux, la demande des consommateurs vers plus de naturalité,
la transition alimentaire, l’évolution agroécologique
d’agricultures utilisant de moins en moins d’intrants
chimiques et l’action publique.
Toutes ces évolutions dessineront un paysage agricole
nouveau. Les paysans, acteurs majeurs de ces évolutions,
seront encore plus demain de véritables « entrepreneurs
du vivant ».
Cet essai analyse les grandes tendances (société, sciences,
politique, géostratégie) qui façonneront les agricultures
futures. Il propose des clefs pour imaginer les contours
des agricultures françaises aux termes de l’odyssée des
vingt prochaines années, identifier les marges de manoeuvre
pour s’adapter et anticiper.
L’auteur s’adresse aux agriculteurs, aux spécialistes
agricoles comme à toute personne motivée par le décryptage
des futurs possibles. Ce livre ne requière donc aucune
connaissance agricole préalable.
Il peut se lire en continu ou se « picorer » au gré de
vos envies.
Voir
agroeconomie.com
Voir
editions-france-agricole.fr
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Agriculture et environnement : biodiversité et productivité ne
sont pas incompatibles ! Par Philippe Stoop, membre de l'Académie
d'agriculture
Une des principales idées reçues sur l’agriculture est que son impact
néfaste sur la biodiversité, que personne ne nie, serait dû essentiellement
à l’utilisation des intrants chimiques de synthèse.
Or le débat scientifique dit du land sharing et du land sparing,
remis récemment sur le devant de la scène par l’Académie d’agriculture
de France, arrive à de toutes autres conclusions. Comme souvent,
la réalité est plus complexe…
Voir
agridees.com
Atlas
des vins insolites, par Pierrick Bourgault
Depuis une trentaine d'années, j'écoute celles et ceux
qui cultivent les ceps, vendangent le raisin et élaborent
le vin, dans le vaste monde. Bien souvent, cépages et
technologie sont internationaux, même si l'on découvre,
ici et là, d'ingénieuses variantes, des cépages locaux,
de passionnantes initiatives personnelles. Et parfois,
des vins carrément insolites, issus de vignes cultivées
sous des climats inhabituels, dans des terroirs improbables,
des cépages oubliés, voire créés. Certains vignerons
nous offrent des vinifications originales, des saveurs
étonnantes et l'histoire de leurs vies. Autre intérêt
de ce tour du monde des vins insolites : rappeler les
méthodes classiques et expliquer leur contournement.
Bref, la pédagogie par la différence.
À notre époque mondialisée, l'uniformisation des techniques
et des goûts semble inévitable. Or quelques vignerons
cultivent la vigne sous des climats et dans des terroirs
improbables, sauvent des cépages oubliés ou bannis,
retrouvent ou créent des vins. Certains même perpétuent
les méthodes de l'Antiquité.
Quelques exemples, à travers le monde : des ceps hauts
de 15 mètres en Italie et au Portugal, les vins de glace
du Québec, des vignes héroïques inscrites au patrimoine
culturel de l'Unesco, le vin du désert de Gobi, ces
cuvées d'Indonésie issues d'une récolte continue, un
Vin de la paix associant plus de 600 cépages du monde
entier, une vendange du 31 décembre, des vignes qui
écoutent de la musique classique, le vin d'amphores
de Géorgie, un effervescent à dégorger soi-même...
L'Atlas des vins insolites est paru 19 octobre, Atlas
of Unusual Wines est déjà sorti en Grande-Bretagne le
13 octobre et sera distribué aux États-Unis le 4 décembre.
Atlante dei vini insoliti a rendez-vous avec l'Italie
le 23 octobre. La traduction espagnole Atlas de vinos
insolitos sera disponible le 14 novembre et une édition
allemande Atlas außergewöhnlicher Weine est prévue en
2024. Les éditions Jonglez offrent à ce thème une diffusion
mondiale.
Cet ouvrage succède à Vins insolites, qui avait reçu
le Prix OIV 2016 vins et territoires, le premier prix
pour la France aux Gourmand World Cookbook Awards 2016
et le grand prix Spirit 2016. L'Afja m'a remis le grand
prix du journalisme agricole pour mes reportages en
Irak, en particulier sur les vins clandestins que je
révèle dans cet Atlas des vins insolites.
Afin que vive le vin !
Voir
par exemple fnac.com
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« Pesticides : réduire les risques, pas notre souveraineté alimentaire
». La tribune de Gil Rivière-Wekstein
La semaine dernière, pas moins de cinq ministres ont participé à
la présentation des orientations de la stratégie Ecophyto 2030,
visant à la réduction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques
en France.
Après Ecophyto 1 & 2, ce nouveau plan s’inscrit dans le même
esprit que celui des précédents — qui ont tous échoué —, avec
un objectif chiffré de baisse de l’usage des pesticides.
Comble du ridicule, on annonce encore une fois l’objectif arbitraire
d’une réduction de 50 % de volume, comme ce fut déjà
le cas, il y a quinze ans, lors du Grenelle de l’environnement,
et toujours sans aucune évaluation scientifique préalable.
Voir
lopinion.fr
Introduction
à l’histoire du groupe EXEL
L’histoire d’EXEL industries commence lorsqu’en 1946,
Vincent Ballu, père de Patrick Ballu Président de l’actuel
conseil d’Administration, invente et construit lui-même
le premier « tracteur enjambeur ». Il est destiné aux
vignobles de Champagne de la célèbre maison Moët et Chandon.
En 1947, cette réalisation lui vaudra le premier prix
de « l’Association viticole champenoise ». Elle sera à
l’origine de la motorisation de la culture de la vigne
en Champagne, puis dans tous les vignobles étroits.
Voir
exel-industries.com
En quarante ans, j'ai repris une centaine de sociétés
- Patrick Ballu, Groupe Exel
Voir
l'incroyable épopée d'un constructeur champenois (vu dans
Le Betteravier Français)
Enjamber l'espace et le temps. EXEL Industries, 70
ans de recherche d'excellence pour faire différemment
et mieux qu'avant
En 70 ans, Tecnoma, petite entreprise d’Épernay, est montée
sur le podium des leaders mondiaux dans chacune de ses
activités.
Voici l’histoire de la success story familiale à la française
qu’est Exel Industries. Connaît-on beaucoup de groupes
industriels français, restés indépendants et familiaux
à plus de 80 %, et capables de grandir en attirant et
fédérant harmonieusement des entreprises autonomes, tout
en respectant leur ADN ?
Un groupe français, parti de rien en 1952, qui réalise
maintenant plus d’un milliard d’euros avec 4 000 femmes
et hommes, en majorité hors de France ? Un groupe mettant
en avant l’humain, la confiance et l’initiative de chacun,
pour mieux tendre vers l’excellence, au point de s’en
inspirer pour lui donner son nom : Exel Industries ?
Ce groupe, Patrick Ballu, qui a permis cette expansion
remarquable avec sa famille et ses équipes passionnées,
en raconte ici la saga et livre, à coeur ouvert, quelques-unes
de ses clés. De nombreux autres témoins viennent aussi
éclairer, sous leur angle personnel, cette belle aventure
humaine et collective. Une épopée portée par l’innovation,
l’agilité, l’initiative, l’audace, le pragmatisme. « Et,
à certains moments, par la chance aussi… qu’il faut savoir
saisir. »
Voir
par exemple sur amazon.fr
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Les habitants des villes aiment les insectes ailleurs que chez
eux, dans nos campagnes par exemple. En tous cas, ils n’aiment
pas les puces de lit...
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Un couple de touristes anglais décédés en Égypte dans leur
chambre d'hôtel, mitoyenne d'une chambre traitée au monoxyde carbone
contre les punaises de lit
>>> Because of a small insect… British couple in Egypt
‘died of carbon monoxide poisoning’, inquest hears, by Nadeem
Badshah, 9 Nov 2023
Pathologist gives cause of death of John and Susan Cooper, whose
hotel room was next to one being treated for bedbugs.
A statement from Dominik Bibi, a German tourist, read at the inquest
on Tuesday said there had been a bedbug infestation in the room
next door to the Coopers.
It was then treated with the pesticide, referred to as Lambda,
at lunchtime, with the Coopers falling ill in the early hours
and dying the next day.
Prof Robert Chilcott told the hearing he detected the presence
of carbon monoxide in blood samples from the bodies of the couple.
Home Office pathologist Dr Charles Wilson gave a cause of death
for John Cooper as carbon monoxide toxicity and heart disease,
and for Susan Cooper carbon monoxide toxicity.
Dr Wilson said: “What you have here is a situation whereby the
trajectory of the Coopers’ deaths, the circumstances surrounding
it, how that evolved is not compatible with natural disease.
“It is typical of something in the environment and carbon monoxide
is a common environmental toxin. It shows lots of features I would
expect to see in carbon monoxide poisoning.
“It’s exactly what I would expect to see in people poisoned by
carbon monoxide.”
Dr Wilson added that someone with cardiovascular disease, like
John Cooper, would find it more difficult to withstand carbon
monoxide poisoning.
Prof Chilcott, a toxicology expert, told the hearing carbon monoxide
was present in the blood samples from the bodies but he could
not be certain of the levels.
.../...
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Peut-on encore parler des produits animaux sans se fâcher ?
Alimenté par les réseaux sociaux dont les algorithmes isolent
les internautes de toute contradiction, chaque sujet mis en débat
se transforme désormais en une polémique.
Un débat est une discussion argumentée entre deux personnes ayant
la même légitimité pour parler du sujet, de par leur expérience
et leur niveau de connaissance. En revanche, lorsque les deux
camps n’ont pas la même expertise du sujet, le débat se transforme
immanquablement en une polémique. Le camp incompétent, qui ne
peut soutenir le débat sur le fond, le transforme en un affrontement
personnel, usant non plus d’arguments scientifiques mais d’arguments
moraux. Enfermés dans leur idéologie, les opposants contournent
le débat de fond pour imposer une supériorité morale au « camp
de la compétence ».
Dans le contexte actuel de l’hypermédiatisation, cette technique
est utilisée à outrance et fonctionne très bien. Nombre de débats
scientifiques ont été confisqués par des opposants idéologiques
pour les transformer en polémiques morales entre deux camps :
le « camp du bien » contre le « camp du mal ».
Citons les exemples des OGM, des énergies renouvelables, des vaccins,
de l’agriculture bio, du glyphosate ou de l’élevage… Il s’agit
là de sujets scientifiques parfaitement documentés et étudiés
de longue date. L’étude des connaissances acquises permet à des
personnes qualifiées de débattre de ces questions techniques pour
atteindre un consensus. Il serait ensuite possible d’évaluer le
rapport bénéfice/risque de chaque option pour décider de choix
politiques éclairés.
Malheureusement, ces questions sont désormais sorties du débat
car elles ont été érigées en totem idéologiques. Oser en discuter
s’apparente à une agression envers le « camp du bien » qui prétend
imposer sa supériorité morale à tout opposant. A partir de là,
toute argumentation rationnelle s’opposant au « camp du bien »
est disqualifiée ce qui empêche tout débat raisonnable.
Voir
europeanscientist.com

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Afia
Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
|
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A thought for today
I shut my eyes and all the world drops dead; I lift my eyes and
all is born again.
Sylvia PLATH, poet (1932-1963)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ANTISÉMITE(Un) : "Tout antisémite a son Juif. Tout anticlérical
peut bien avoir son curé, pas vrai ?"
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de lédition du 02 novembre 2023 de cette gazette afia
>>> Latest
issue of the Efita Newsletter nb 1082 dated October 30, 2023
>>> Latest
available statistics for the efita newsletter
La 5G au service de l’innovation dans l’agriculture, par Maxime
Voineau
L’État a lancé un appel à projets pour « favoriser l’émergence de
technologies grâce à la 5G. » La plateforme expérimentale 5G4agri
fait partie des lauréats. Son but : expérimenter de nouveaux cas
d’usage dans la médecine animale ou la robotique.
Voir
smartcitymag.fr
Partenariats de John Deere avec respectivement DeLaval, Yara,
et Xarvio Field Manager de BASF
Après la création de la plateforme numérique Milk
Sustainability Center avec le spécialiste des équipements d’élevage
DeLaval, John
Deere annonce deux nouveaux partenariats dans le secteur de
la protection des plantes et de la fertilisation. Le premier consiste
à améliorer la connectivité entre les plateformes numériques Xarvio
Field Manager de BASF et l’Operations Center de John Deere.
La simplification des opérations permettra de mieux valoriser les
données liées à la pulvérisation,d'améliorer la précision des traitements,
de faciliter la mise en œuvre de la modulation, afin de réduire
l’utilisation des produits phytosanitaires.
Le second accord concerne les échanges de données entre l’Operations
Center et la plateforme Atfarm de Yara. Là encore, la réduction
des intrants est en ligne de mire, grâce à l’optimisation des apports
d’engrais, notamment en rendant plus accessible la modulation intraparcellaire.
Voir
reussir.fr
Tournesol : des OAD pour piloter le semis et la récolte
Dans le cadre du plan d’action Téo visant à développer le tournesol
en France, Terres Inovia met à disposition deux outils d’aide à
la décision pour la culture :
- le premier, pour aider les producteurs à estimer la densité de
semis optimale, et
- le second à évaluer la date de récolte en fonction de la date
de semis.
Ces outils permettent donc d’estimer en conséquence la date de semis
adaptée pour une récolte dans de bonnes conditions. Objectif de
ces deux nouveaux outils disponibles en ligne sur le site Internet
de l’institut technique : mettre tous les atouts du côté des producteurs
pour récolter tous les quintaux.
.../...
Voir
cultivar.fr
Sciences et Pseudo-Sciences n°345 (octobre 2023) : Liberté
de prescrire ?
- Un médecin
peut-il prescrire librement ce qu’il veut ? Dossier coordonné
par Jean-Jacques Pik, Jacques Amsilli et Jean-Paul Krivine avec
la participation de Michel Baussier, Jean Brissonnet, Jacques Cohen,
Hervé Foenrenbach, Catherine Hill, et Jean-Paul Parier
- Les prescriptions hors autorisation de mise sur le marché
par Alain Saint-Pierre
- Baclofène et alcool : la saga atypique d’un médicament
par Jean-Jacques Pik et Thierry Kin
- Prescription hors autorisation de mise sur le marché en
psychiatrie adulte par Fabien Vinckier
- Maigrir à tout prix ? par Emmanuelle Lecornet-Sokol
- Hydroxychloroquine : prescrire un médicament hors AMM en
temps de crise ? par Matthieu Mulot
Agriculture Regenerative ; partenariat dans le numérique de Rewrow
Ag et Xarvio Digital Faming
Pour accélérer le déploiement de l’agriculture régénératrice des sols,
xarvio® Digital Farming Solutions de BASF et Regrow annoncent leur
collaboration. Les logiciels de vérification scientifique de Regrow
et la plateforme agricole intelligente xarvio® FIELD MANAGER contribuent
à l’adaptation des pratiques agricoles aux enjeux des changements
climatiques.
En adoptant des pratiques agricoles régénératrices, respectueuses
des ressources, les agriculteurs peuvent jouer un rôle important dans
la limitation du réchauffement climatique, tout en aidant les entreprises
qu’ils approvisionnent à atteindre leurs objectifs d’émissions de
GES. Ils ont besoin d’une technologie fondée sur la science et répondant
aux normes les plus strictes pour mesurer et vérifier l’impact climatique
de leurs actions.
>>> Le numérique pour mieux adapter les pratiques agricoles.
Dans ce cadre, xarvio® Digital Farming Solutions, marque de solutions
d’agriculture numérique de BASF, et Regrow Ag, fournisseur de logiciels
de mesure, de notification et de vérification (MRV) sur le développement
durable dans le domaine agricole, vont connecter leurs solutions.
Le logiciel MRV de Regrow sera intégré à xarvio® FIELD MANAGER. Cette
plateforme agricole numérique s’appuie sur des modèles de culture
et des algorithmes agronomiques éprouvés. Elle fournit des recommandations
agronomiques claires afin d’optimiser la gestion des cultures jusqu’au
niveau de la parcelle.
.../...
Voir
phyteis.fr
Mesure de l’indice de mérite agronomique des variétés de colza
Terres Inovia renforce l’accompagnement des producteurs dans le choix
de leur variété de colza en leur proposant un indice de mérite agronomique
dans Myvar®, l’outil gratuit d’aide au choix des variétés d’oléoprotéagineux
et de chanvre.
Grâce à cette fonctionnalité, développée dans le cadre du programme
Cap Protéines et déjà disponible pour les variétés de tournesol, les
producteurs de colza disposent désormais d’une approche globale qui
prend en compte les critères agronomiques et identifie les variétés
les mieux adaptées à chaque situation pédoclimatique et sanitaire.
Myvar® est disponible en libre accès sur myvar.fr.
Voir
terresinovia.fr/
Voir myvar.fr
Guide multimédia de Deleplanque Saaten-Union
Votre votrerotation-nossolutions.fr
Interopérabilité entre FieldView et Wanaka
Climate FieldView et Wanaka deviennent interopérables pour simplifier
la modulation et le pilotage de la fertilisation azotée.
Grâce à l’interopérabilité créée avec Wanaka, outil de gestion de
la fumure azotée en grandes cultures, le pilotage et la modulation
de la fertilisation azotée sont maintenant accessibles depuis la plateforme
Climate FieldView de Bayer. Fieldview permet aux agriculteurs de collecter,
visualiser et analyser leurs données agricoles. Les distributeurs
et les agriculteurs bénéficient ainsi d’une offre complète allant
de la génération du conseil jusqu’à l’analyse de rendement en fin
de campagne.
Voir
bayer.com
In the village, Girl with a bucket, 1989, by Andrei Ryabushkin
(1861-1904)
03
- 13/11/2023
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The Tea, 1903, by Andrei Ryabushkin (1861-1904)
04
- 13/11/2023
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Adama met en ligne les digi.docs.agri
En France, les utilisateurs des produits de protection des plantes
doivent respecter divers règlements. Il est parfois difficile d’avoir
tout en tête.
Pour vous aider, ADAMA a créé les Digi.Docs.Agri : un ensemble de
documents connectés qui permettent d'avoir :
- L’essentiel des règlements sans complications,
- Des schémas et des arbres de décisions facilement utilisables,
- Des QR codes pour accéder à nos simulations, nos questions-réponses
et les informations produits en ligne.
Voir
adama.com
L’autorisation : un principe-clé préalable à tout échange de données
agricoles
Les exploitations agricoles génèrent d’importante quantité de données
qui trouvent un intérêt majeur à être échangées avec leurs partenaires
qui les traitent afin d’apporter de nouveaux services ou de mieux
valoriser les productions agricoles. Les solutions Agdatahub sont
là pour accompagner et protéger la circulation de ces données en toute
sécurité, dans un environnement de confiance.
Voir
agdatahub.eu
Construire une Europe où les données agricoles et agroalimentaires
circulent en toute sécurité
À l’automne 2022 était lancé, sous le mandat de la Commission européenne,
AgriDataSpace. Ce consortium européen rassemble une équipe d'experts
issus de quinze organisations (instituts de recherche, intermédiaires
de données agricoles, associations industrielles, fédérations professionnelles…)
représentant dix États-membres enracinés dans l'écosystème des espaces
de données européens.
Sa mission ? Faire l’état des lieux des plateformes existantes et
co-construire une feuille de route afin de guider le déploiement puis
la maintenance du futur espace de données européen dédié à l’agriculture.
Un projet de grande envergure dont Agdatahub assure la coordination.
Voir
agdatahub.eu
OWD, la plateforme dédiée aux professionnels de la viticulture
: de la génération du QR code pour l'étiquette à l'échange de données
multi-acteurs, par Ingrid Proust, 09 mai 2023
Créatrice du logiciel Vitisoft, Solumatic va proposer une plateforme
pour permettre aux professionnels de la filière vin de générer des
QR codes de leurs cuvées afin de se conformer à la nouvelle réglementation
européenne sur l’étiquetage.
Voir
vitisphere.com
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
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A thought for today
Truth is not only violated by falsehood; it may be equally outraged
by silence.
Henri Frederic AMIEL, philosopher and writer (1821-1881)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
ATTENTE (Mon) : "Le Lundi, je suis comme Robinson Crusoé : j'attends
Vendredi."
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Mac M3 : à la découverte de la nouvelle gamme d'Apple, par Clément
Bohic, 3 novembre 2023
Les gammes iMac et MacBook Pro sont désormais équipées des nouvelles
puces M3. Passage en revue de la nouvelle offre d’Apple.
Voir
itespresso.fr
FTX : Sam Bankman-Fried reconnu coupable
Le fondateur de l’exchange de cryptomonnaie FTX a été reconnu coupable
des sept chefs d’inculpation qui pesaient contre lui. Il risque
jusqu’à 115 ans de prison.
Voir
linformaticien.com
LockBit : Boeing confirme un « cyberincident »
Après enquête, le géant de l’aéronautique Boeing a confirmé avoir
été victime d’un « cyberincident », quelques jours après que LockBit
ait revendiqué une cyberattaque contre l’avionneur.
Voir
linformaticien.com
A thought for today
Besides the noble art of getting things done, there is the noble
art of leaving things undone. The wisdom of life consists in the
elimination of nonessentials.
Lin Yutang, writer and translator (1895-1976)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas
une opinion !)
BANQUES (Des)
: "Si t'as pas de grand-père banquier, veux-tu me dire
à quoi ça sert d'être juif."
Michel AUDIARD
Contact : Georges
LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Nouvelle-Zélande : quels enjeux pour les filières lait,
ovin et bovin viande
Des professionnels de l'agriculture se sont rendus en Nouvelle-Zélande
en février 2023. Ce voyage était organisé par l'Idele-Institut de
l'Élevage et Agrilys, une agence de voyage agricole pour les scolaires
et les professionnels. La parole est donnée aux participants qui
expliquent ce qu'ils ont retenu de ce voyage formation. Puis retrouverez
en fin d'article un dossier complet sur l'agriculture en Nouvelle-Zélande.
Voir
reussir.fr
Commerce : premier feu vert du Parlement européen à l’accord
de libre-échange entre l’UE et la Nouvelle-Zélande (Rappel - GW :
l’accord entre l’UE et le Canada n’a eu jusqu’à présent aucun des
conséquences négatives annoncées)
Ce mardi 24 octobre, les députés de la commission du commerce international
(INTA) au Parlement européen ont approuvé un accord de libre-échange
entre Bruxelles et Wellington. Celui-ci pourrait entrer en vigueur
à la mi-2024.
Voir
touteleurope.eu
Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
La classification des aliments selon leur degré de transformation
: le système NOVA, par
Véronique Braesco (08.04.Q12)
Le rôle de l'alimentation sur la santé fait désormais l'objet d'un
fort consensus, qui repose sur de nombreuses études scientifiques
conduites durant les quarante dernières années. Celles-ci mettent
en relation la consommation de certains groupes d'aliments (fruits
et légumes, produits laitiers, céréales, etc.) et de certains nutriments
(sucres, sel, sodium, fibres alimentaires) avec une modification
du risque de maladies telles que cancer, diabète ou maladies cardio-vasculaires.
Jusqu'au milieu des années 2010, c'était essentiellement la composition
nutritionnelle de l'alimentation qui était proposée comme mécanisme
d'explication de ces relations.
Voir
academie-agriculture.fr
Aliments ultra-transformés et santé, par Jean-Michel Lecerf (08.04.Q13)
La classification NOVA a apporté un nouveau regard sur les aliments
et plus globalement sur l'alimentation en proposant de classer les
aliments en fonction de leur degré de transformation, selon des
critères multiples et arbitraires.
Deux groupes se détachent : les bons (bruts ou peu transformés)
et les mauvais (aliments ultra-transformés). L'intérêt de cette
classification, discuté sur la fiche 08.04.Q12, semble conforté
par l'association entre une consommation élevée d'AUT et un risque
accru de survenue de diverses pathologies, voire de mortalité prématurée.
Dans une étude sur le risque de cancer, le groupe NOVA3 (aliments
seulement transformés) est aussi mis en cause.
Que nous reste-t-il ? Toute transformation serait-elle à exclure
? Quelles sont les données existantes ? Comment les analyser ?
Voir
academie-agriculture.fr
Aliments ultra-transformés. Comment peut-on expliquer que leur
consommation soit associée à un risque accru de maladies ? par Véronique
Braesco (08.04.Q14)
La précédente fiche de cette série, fiche 08.04.Q12, décrit le système
NOVA, qui propose de classer les aliments selon leur degré de transformation.
En complément, la fiche 08.04.Q13 a présenté les études qui s'accordent
à établir une association entre une consommation élevée d'aliments
ultratransformés (AUT) et un risque accru de mortalité et de maladies
(cancer, maladies cardiovasculaire, obésité, diabète, dépression,
etc.) ; la cohérence des conclusions de cette fiche interroge, et
il est légitime de se pencher sur les différents mécanismes qui
pourraient expliquer ces associations.
Voir
academie-agriculture.fr
A peasant wedding in the Tambov Region (Russia), 1880, by Andrei
Ryabushkin (1861-1904)
05
- 13/11/2023
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A lad has wormed his way into the girl's round dance, 1902,
by Andrei Ryabushkin (1861-1904)
06
- 13/11/2023
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L'arbre dans la cité, histoire d'une conquête XVIIe-XXIe
siècle, par Andrée Corvol
Pendant longtemps, la végétation a été exclue de la ville :
seuls quelques enclos vivriers ou des jardins de grands hôtels
se frayaient une place entre d'étroites rues serrées derrière
de hautes fortifications. Les arbres relevaient du monde des
campagnes, et étaient le plus souvent coupés pour répondre à
des besoins socio-économiques. Or, si cette vision utilitaire
de l'arbre dans la forêt n'a désormais plus cours, il restait
à écrire une histoire de l'arbre en milieu urbain.
On connaît le souci hygiéniste qui a présidé à son introduction
dans les cités de l'ère industrielle, où il fut investi de la
mission d'assainir l'air vicié, mais on oublie trop vite qu'il
fut d'abord introduit comme un symbole de la liberté pendant
la Révolution française. En quoi cette généalogie explique-t-elle
le rôle dont nous chargeons les arbres dans nos villes à l'heure
de la lutte contre les émissions de CO2 et le réchauffement
climatique ? C'est toute l'histoire croisée entre l'arbre et
la modernité qu'Andrée Corvol retrace dans ces pages.
Où l'on découvre que le geste de planter ou couper un arbre
est toujours, à quelque moment historique qu'on se place, une
action politique.
Voir
decitre.fr
Les prairies stockent le carbone émis par les vaches, 06/11/2023,
par Amélie DI BELLA
L’élevage bovin représente la plus grande part des émissions
de gaz à effet de serre (GES) du secteur agricole au niveau
mondial. Pourtant, une des solutions pour diminuer son impact
environnemental se trouve aux pieds des vaches : les prairies
sont des puits de carbone.
Voir
mon-cultivar-elevage.com
Et si les vaches pouvaient sauver la planète ?
La France est, avec 17 millions de bovins, le premier cheptel
d’Europe. La filière est responsable de 10% des émissions de
gaz à effet de serre du pays. Pour compenser son empreinte carbone,
l’élevage bovin essaie de se réinventer.
Voir la
vidéo des Échos et del’Institut de l’Elevage
Bert&You : « Un écosystème hydrogène vert à trouver pour
la mobilité lourde »
L'an prochain, le transporteur routier et logisticien Bert&You
déploiera six camions à hydrogène. Son directeur Mobilités Vertes,
Yann Colin, partage les étapes franchies, pour arriver à ce
premier résultat, et les freins à lever, pour soutenir l'hydrogène
vert dans la mobilité lourde.
Voir
h2-mobile.fr
A thought for today
It is criminal to steal a purse, daring to steal a fortune,
a mark of greatness to steal a crown. The blame diminishes as
the guilt increases.
Johan Christoph Friedrich von SCHILLER, poet and dramatist (1759-1805)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ASSASSINS (Les) : Il serait normal qu'ils signalent les crimes.
Après tout, ils sont les premiers informés.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
|
Du
côté des écrivains et artistes paysans |
Le
billet N°30 de Michel Boudaud
A thought for today
Your voice dries up if you don't use it.
Patti PAGE, singer (1927-2013)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
AVOIR (Un) : Pourquoi certains n'auraient pas tout ? Il y en a qui
n'ont rien. Ça fait l'équilibre.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Le rôle des technologies numériques dans la sobriété énergétique
14 novembre 2023 - Webinaire qui doit se retrouver facilement...
Avec :
- Claire Rogel-Gaillard - Directrice scientifique adjointe Agriculture
à INRAE, Directrice du PEPR (Programme et Équipements Prioritaires
de Recherche) Agroécologie et numérique)
- Clément Emine - Délégué aux affaires publiques, Numéum
- Nicolas Chaffurin - Directeur de l'exploitation viticole de Belleville
sur Saône
Comme les autres secteurs industriels, l’agriculture doit elle aussi
relever le défi de l'efficacité énergétique et réduire autant que
possible sa consommation d'énergie. Selon l’ADEME, en 2012, l’agriculture
consommait 4.4 Mtep soit 2,8 % de la consommation d’énergie finale
directe française. La consommation énergétique globale des exploitations
agricoles se décline en deux volets : tout d’abord, les consommations
directes (électricité, gaz, carburants) représentent en moyenne
9% des charges variables d’une exploitation (Chiffres clés - Climat,
air et énergie - 2018). A ces émissions directes, s’ajoutent les
consommations indirectes liées par exemple à la fabrication et au
transport des intrants agricoles, ainsi qu’à la fabrication des
matériels et des bâtiments agricoles (l'amortissement).
Les outils numériques utilisés dans le secteur agricole peuvent
constituer un levier dans la sobriété énergétique des exploitations
agricoles, en permettant par exemple de réduire la consommation
d’intrants ou en optimisant l’utilisation des engins agricoles en
réduisant le nombre de passages.
Ce webinaire permettra de parcourir plusieurs initiatives mises
en place autour de cette thématique. Dans un premier temps, Claire
Rogel-Gaillard présentera le PEPR (Programme et Équipements Prioritaires
de Recherche) Numérique et Agroécologie, programme lancé en janvier
2030 et ayant pour but de mobiliser le numérique afin d'accélérer
la transition écologique des systèmes agricoles et faire face aux
enjeux de sécurité alimentaire, climatiques et environnementaux.
Il sera exposé en quoi ce programme peut représenter une opportunité
intéressante pour les porteurs de projets travaillant sur le numérique
comme levier de la sobriété énergétique de l’agriculture.
Ensuite, Clément Emine, Délégué aux affaires publiques pour Numéum,
présentera les conclusions du Groupe de Travail “ Rôle du numérique
dans la décarbonation de l’agriculture”, piloté par Numéum et Infranum
dans le cadre de la feuille de route décarbonation du numérique.
Enfin, Nicolas Chaffurin, présentera à la fois les dispositifs déjà
mis en œuvre au sein de l'exploitation du lycée viticole de Belleville
sur Saône, et les investissements à venir allant dans le sens de
la sobriété énergétique. Il nous expliquera ce qui a motivé cette
démarche et les avantages constatés suite aux changements réalisés.
Voir
acta.asso.fr/
Inscription aux webinaires de présentation de OWD (Open Vine
Data) des 16 et 21 novembre
OWD : Le 1er référentiel commun pour l’ensemble des acteurs
de la filière Vignes et Vins
Voir openwinedata.fr
Du côté de ebbh.fr : Épisode #50 – Le pari de Loki, publié le
31 décembre 2019
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Listes de toutes les excellentes « bandes dessinées
» de Romain Meunier
Voir
ebbh.fr
|
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Smart Agri : la 5G au service de l’agriculture de demain
16 novembre - 13 h - 14 h - Webinaire
Voir
Smart Agri
Administrer ses Plans de Gestion de Données
7 et 14 décembre 2023
Proposée sur deux matinées, cette formation à distance a pour objectifs
de :
- comprendre les principes d’un plan de gestion de données (PGD
ou en anglais DMP, Data Management Plan),
- être capable de rédiger un PGD,
- savoir utiliser l’outil OPIDOR pour gérer ses PGD.
Les données et leur gestion ont un rôle de plus en plus important
dans les projets de Recherche, Innovation, Développement. Savoir
rédiger correctement un Plan de Gestion de Données est donc un grand
avantage. C’est aussi une exigence exprimée par beaucoup de financeurs
nationaux et grandement impulsée par les dynamiques européennes.
Les Plans de Gestion des Données sont d’ailleurs désormais obligatoires
dans les projets Horizon Europe.
En effet, avoir un plan de gestion de données robuste présente plusieurs
intérêts :
- permettre de mieux se projeter dans la mise en œuvre des projets
dès la phase de montage
- apporter un avantage compétitif lors de l’évaluation des projets
- faciliter la mise en œuvre opérationnelle du projet et de la gestion
des données
> Public : Ce stage s’adresse à toute personne ayant à rédiger
et gérer des Plans de Gestion de Données (PGD).
> Intervenant : Rémy Coffion, Chef de projet Système d’information
et Délégué à la Protection des Données (Acta Digital Services)
Voir
acta.asso.fr
Elevate Your Ag Tech Strategy at VISION 2024
January 22-24, 2024 - GLENDALE, AZ, USA
Now in its seventh year, The Vision Conference is the event for
forward-thinking executives of the ag tech community to come together
to chart the strategic roadmap for the adoption of the latest innovative
technologies and systems, with a focus on the drivers that will
transform the agribusiness industry within 3 – 5 years.
> Industry Insights: In 2024, we’re taking innovation to the
next level. Glean insight from sessions that bring technologies
and strategies to ground level for real-world, actionable takeaways.
> Cutting-Edge Topics: Dive deep into through-provoking discussions
on how the industry can work together toward impactful, integrated
technologies and services from precision agriculture to sustainable
practices to data-driven decision-making and beyond. Learn how you
can leverage the voice of the end user to revolutionize your agribusiness
approach.
> Strategic Roadmaps: Develop a clear go-forward plan, tailored
to your organization’s needs, with guidance from industry experts.
See thevisionconference.com
Stages of
life: damn, I'm on the third? / Les étapes de la vie. Zut, j’en
suis à la troisième ?
13/11/2023
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La caricature est marrante... et notre niveau en maths toujours
médiocre !
13/11/2023
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Tech Hub Live 2024
July 29-31 in DES MOINES, IA.
Explore the latest tech innovations and connect with industry stakeholders
committed to leveraging the latest tech innovations for practical
business advantages on the farm.
See techhublive.com
L'agriculture cherche des têtes et des bras !
13/11/2023
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A thought for today
Don't wait for the Last Judgment. It takes place every day. -Albert
Camus, writer and philosopher (1913-1960)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
BABY-SITTER (Une) : La différence entre un homme et un enfant, c'est
qu'un enfant, on peut le laisser tout seul avec la baby-sitter. Michel
AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du côté des gazettes et des blogs agricoles
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Vinosferatu🧛, Par Alexandre Abellan, 03 novembre 2023
Non-mort, mais non-vivant : l’état d’esprit de vignobles en difficulté,
voyant leurs trésoreries se réduire à peau de chagrin et leurs créances
enfler à en éclater, ressemble à celui d’un remord vivant. Le regret
d’avoir augmenté les surfaces de production pour augmenter les profits
à l’hectare et se retrouver avec des coûts désormais insoutenables.
Le dépit d’avoir investi dans une certification agroenvironnementale
coûteuse mais non rémunératrice (du bio déclassé au HVE sans valeur
ajoutée). L’impuissance de devoir répondre à une offre d’achat non-rémunératrice
pour dégager des liquidités avant que les cours baissent encore… Et
l’angoisse de voir les finances saignées par les créances sans que
les ventes les contrebalancent. Bref, tout pour se retrouver dans
de beaux Draculas : sauvegarde, redressement, liquidation...
Mais le vampire n’étant jamais sûr, la cessation des paiements n’est
pas une fatalité. Les tribunaux proposent des procédures préventives
pour tenter de donner un nouveau souffle aux caves particulières et
coopératives en difficulté. Demandant du courage, pour dévoiler l’ampleur
de ses difficultés matérielles, ce premier pas permet de sortir de
la torpeur d’une nuit sans fin, ne pouvant déboucher que sur l’évanouissement
au chant du coq… Au-delà des expertises administrativo-juridiques,
des dispositifs d’écoute psychologique et de conseil personnel existent
pour ne pas sombrer dans le désespoir et la dévalorisation. Yes we
canine !
Voir
vitisphere.com
In the village, 1902, by Andrei Ryabushkin (1861-1904)
07
- 13/11/2023
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Haystack, 1901, by Valentín Serov (1865-1911)
08
- 13/11/2023
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Du côté de pleinchamp.com : Carbone : l’exception agricole
[Edito] Dans la lutte contre le réchauffement climatique et la baisse
des gaz à effet de serre, le gouvernement demande moins d’efforts
au secteur de l’agriculture qu’aux autres secteurs d’activité. Une
exception qui est liée à la nature-même des émissions agricoles,
majoritairement issues de processus biologiques.
La feuille de route de la France pour diminuer ses émissions de
gaz à effet de serre a fixé, pour le secteur de l’agriculture, un
objectif de réduction de 46% d’ici 2050. C’est très inférieur à
ceux des autres secteurs d’activité : le bâtiment, le transport
et l’énergie ayant l’objectif de neutralité carbone totale en 2050.
Pourquoi cette exception ? Car la nature-même des émissions agricoles
rend plus difficile leur diminution comparativement à d’autres secteurs
d’activité. En effet, contrairement aux autres secteurs, les émissions
de gaz à effet de serre en agriculture n’ont pas pour principale
origine l’énergie. Elles sont surtout liées au cycle du carbone
et de l’azote et à l’activité de bactéries. Les émissions de méthane
sont liées à la rumination et à la dégradation des fumiers et lisiers.
Le protoxyde d’azote quant à lui est majoritairement émis lors des
fertilisations minérales et organiques des cultures ou prairies,
mais également via les effluents au niveau des bâtiments et du stockage.
>>> L'élevage, principale source d'émissions
L’élevage est régulièrement pointé du doigt comme un secteur important
d’émissions de gaz à effet de serre. La consommation de viande est
appelée à être réduite, voire, aux dires de certains, complètement
stoppée. Le cheptel est appelé à diminuer encore plus vite qu’il
ne le fait déjà. Qu’en est-il réellement ? Selon l’étude MyCO₂,
réalisée par Carbone 4 en 2022, l’alimentation représente 24% des
émissions totales de gaz à effet de serre de la consommation française.
De son côté, l’alimentation à base de produits animaux représente
13% de notre empreinte carbone, dont 4% sont liés aux produits laitiers
et œufs et 9% sont liés à la viande.
.../...
Les solutions de réduction de l’empreinte carbone dans les élevages
sont donc propres à chaque filière, et peuvent être mises en place
à l’échelle de chaque ferme, sans pour autant agiter le chiffon
rouge de la baisse du cheptel, qui ne fera qu’amplifier la hausse
des importations.
Voir
pleinchamp.com
Du côté d’André Heitz
> Extraordinaire
! Une tribune positive sur les NGT dans le Monde !
> Augmenter
les surfaces en bio dans les pays développés... et les prix dans les
pays pauvres
13/11/2023
|
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|
> Viticulture
et leucémies infantiles : une étude un peu « survendue » et instrumentalisée
> Transition
ou bon sens ?
> La
punaise, le moustique, le puceron et la démangeaison
> Étude
: une variable contrôlable a un impact clé sur les rendements du maïs
doux
> Mieux
vaut tard que jamais : le Bangladesh introduit enfin le cotonnier
Bt après des années de tergiversations
> Les
prix des engrais sont étonnamment stables – Le calme avant la tempête
?
> Glyphosate
et maladies neurodégénératives : le lobbying outrancier du Monde
> «
Trop de manipulations autour du glyphosate » ? À qui le dis-tu, UFC-Que
Choisir ?
> Beyond
Meat s'effondre sans répit – la vérité sur le veggie boom
> Tribune
: Les biocarburants ne volent pas les terres des producteurs de denrées
alimentaires
> Du
potentiel au progrès : derniers développements dans le déploiement
du Riz Doré aux Philippines
> Revoilà
Vandana Shiva ! (Republié)
> Les
agriculteurs s'adaptent à l'évolution de la situation pour produire
les denrées alimentaires souhaitées par les consommateurs
> Du
pain toxique ?
Millenials prefer bonds / Les milléniums achètent des obligations
01
- 13/11/2023
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Outlays increasing: reform of retirement programs necessary
/ Des dépenses qui croissent plus vite que les revenus : réforme
des systèmes de retraite à faire aux USA comme en France
02
- 13/11/2023
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Luxury Electric Vehucules Crash / La voiture électrique de
luxe a du mal à s’imposer
03
- 13/11/2023
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Nuclear Arms Race: USA Number 1 (Good News) / Course aux armements
nucléaires : USA bien armés et la France aussi (heureusement)
04
- 13/11/2023
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Sea Level Rise in NYC / Montée de la mer à New-York
05
- 13/11/2023
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Dry Mississippi / Le Mississipi à sec
06
- 13/11/2023
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WeWork Losses / WeWork en faillite
07
- 13/11/2023
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Democratic Dissatisfaction (here Democrat party) / En démocratie,
nous ne sommes jamais vraiment contents et encore moins jamais
tous contents
08
- 13/11/2023
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Japanese Dissatisfaction / Le mécontentement des Japonais
09
- 13/11/2023
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US Infant Mortality Rate Up (because of minorities, especially
Indian tribes) / Mortalité infantile en hausse, notamment à cause
des peuples premiers, autrement les tribus indiennes
10
- 13/11/2023
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Du côté de la Fnsea
> La
France doit renoncer aux surtranspositions qui affaiblissent
l’agriculture française !
Ce mardi 31 octobre, Arnaud Rousseau, Président de la FNSEA,
a rencontré Marc Fesneau, Ministre de l’Agriculture et de la
Souveraineté Alimentaire, afin d’évoquer les sujets d’actualité
et de préoccupation des agriculteurs français.
Cet échange a notamment permis d’aborder l’augmentation des
Redevances pour Pollution Diffuse (RPD) et pour prélèvement
d’eau prévues dans le Projet de Loi de Finances, qui suscitent
une vive inquiétude du monde agricole. Il fut aussi question
des modalités du décret agrivoltaïsme dans un objectif de souveraineté
énergétique, pour lequel nous attendons une publication rapide.
La question de l’indemnisation des éleveurs confrontés à l’expansion
de la Maladie hémorragique épizootique (MHE), portée par la
Fédération Nationale Bovine (FNB), et dont les conséquences
sont un export fortement contraint, des frais sanitaires qui
explosent et des rendements en baisse a fait l’objet de débats.
Les sujets européens étaient également à l’ordre du jour. A
quelques jours d’un nouveau vote pour la réhomologation du glyphosate,
la France doit faire acte de cohérence et de respect de la science.
Elle doit donc adopter une position favorable. Par respect des
engagements pris au Salon International de l’Agriculture en
matière de souveraineté alimentaire et de planification écologique,
le Gouvernement doit s’engager à renoncer à toute surtransposition
qui placerait les agriculteurs français en faiblesse par rapport
à leurs homologues européens.
A thought for today
For me, words are a form of action, capable of influencing
change. -Ingrid Bengis, writer and teacher (1944-2017)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BAGAGE (Un) : "À juger ton bagage intellectuel, j'en déduis
que tu aimes voyager léger."
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (2)
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Un noir au volant d'une voiture immatriculée en Belgique est
stoppé par un douanier
Celui-ci lui fait signe de s'arrêter et lui demande ses papiers.
En examinant les papiers du noir, il prend un petit air satisfait
et dit :
- « Hé bien d'où viennent ces papiers ? ».
- « De la préfecture » lui répond le black un peu courroucé.
- « Dites, mon garçon, on ne me la fait pas à moi ! Sur vos papiers,
il y a d'écrit que vous êtes Belge ? ».
- « Oui Monsieur je suis Belge ».
- « Arrêtez de vous foutre de moi, je vois bien que vous êtes
noir ».
- « Parfaitement Monsieur, je suis Belge et je suis noir » dit
le gars de plus en plus en plus énervé.
- « C'est ça oui mon garçon et je dois vous croire ? ».
- « Mais oui, enfin puisque je vous le dis » presque en criant.
Le type dit haut et clair :
- « Je suis Belge, je suis Wallon et noir ».
Il y a tant de conviction dans les propos de ce brave type que,
pris d'un doute, le douanier va voir son collègue et lui demande
:
- « Tu y crois toi qu'il y a des Belges Wallons noirs ? ».
« Tu sais », dit l'autre douanier « il ne faut plus s'étonner
de rien, j'ai vu un reportage sur ARTE. Il paraîtrait qu'il y
a des Flamands roses... ».
Contact : Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr
Domotkanovo, 1886, by Valentín Serov (1865-1911)
09
- 13/11/2023
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Winter Road to Domotkanovo, 1904, by Valentin Serov (1865-1911)
10
- 13/11/2023
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Proche-Orient : les mots justes au bon moment de M. Robert Habeck,
vice-chancelier de la République Fédérale d'Allemagne (traduit de
l’allemand par André Heitz)
L'attaque terroriste du Hamas contre Israël a eu lieu il y a bientôt
quatre semaines. Beaucoup de choses se sont passées depuis : politiquement,
mais surtout pour les gens, tant de gens dont la vie est dévorée
par la peur et la souffrance. Depuis l'attaque, le débat public
s'est enflammé, parfois de manière confuse. Je souhaite contribuer
à le démêler avec cette vidéo.
Trop de choses me semblent être mélangées trop rapidement. La phrase
: « La sécurité d'Israël est une raison d'État allemande » n'a jamais
été une formule creuse et ne doit pas le devenir. Elle dit que la
sécurité d'Israël est nécessaire pour nous en tant qu'État. Cette
relation particulière avec Israël découle de notre responsabilité
historique : c'est la génération de mes grands-parents qui a voulu
détruire la vie juive en Allemagne et en Europe. La création d'Israël
a ensuite été, après l'Holocauste, la promesse de protection faite
aux Juifs – et l'Allemagne a le devoir d'aider et de faire que cette
promesse puisse être tenue. C'est un fondement historique de cette
République.
La responsabilité de notre histoire signifie également que les Juives
et les Juifs de l'Allemagne peuvent y vivre librement et en toute
sécurité. Qu'ils ne doivent plus jamais avoir peur d'afficher ouvertement
leur religion et leur culture. Or, c'est précisément cette peur
qui est revenue.
>>> Les enfants juifs ont peur d'aller à l'école
J'ai récemment rencontré des membres de la communauté juive de Francfort.
Au cours d'une conversation intense, douloureuse, les représentants
de la communauté m'ont raconté que leurs enfants avaient peur d'aller
à l'école, qu'ils ne fréquentaient plus les clubs de sport, que
sur le conseil de leurs parents, ils laissaient à la maison la chaînette
avec l'étoile de David. Aujourd'hui, ici en Allemagne, près de 80
ans après l'Holocauste.
Ils ont raconté qu'ils n'osaient plus eux-mêmes monter dans un taxi,
qu'ils ne mettaient plus d'expéditeur sur les lettres pour protéger
leurs destinataires. Aujourd'hui, ici en Allemagne, près de 80 ans
après l'Holocauste.
Et un ami juif m'a fait part de sa peur, de son désespoir pur et
simple, de son sentiment de solitude. Les communautés juives recommandent
à leurs membres d'éviter certains endroits – pour leur propre sécurité.
Et cela aujourd'hui, ici en Allemagne, près de 80 ans après l'Holocauste.
L'antisémitisme se manifeste lors des manifestations, il se manifeste
par des déclarations, il se manifeste par des attaques contre des
magasins juifs, par des menaces. Alors qu'il y a rapidement de grandes
vagues de solidarité, par exemple lorsqu'il y a des attaques racistes,
la solidarité se fragilise vite lorsqu'il s'agit d'Israël. On dit
alors que le contexte est difficile. Mais la contextualisation ne
doit pas conduire à la relativisation. Nous avons certainement trop
d'indignation dans notre culture du débat. Mais ici, nous ne serons
jamais assez indignés. Nous avons besoin de clarté et non de flou.
Et la clarté implique que l'antisémitisme ne peut être toléré sous
quelque forme que ce soit.
L'ampleur des manifestations islamistes à Berlin et dans d'autres
villes d'Allemagne est inacceptable et nécessite une réponse politique
ferme. Celle-ci doit également venir des associations musulmanes.
Certaines se sont clairement distanciées des actes du Hamas et de
l'antisémitisme, et ont cherché le dialogue. Mais pas toutes, et
certaines de manière trop hésitante, et je trouve qu'elles sont
globalement trop peu nombreuses.
>>> Il n'y a pas de place pour l'intolérance religieuse
en Allemagne
Les musulmans qui vivent ici ont droit à une protection contre la
violence d'extrême droite – à juste titre. Lorsqu'ils sont attaqués,
ce droit doit être respecté et ils doivent faire de même lorsque
des Juifs sont attaqués. Ils doivent se distancier clairement de
l'antisémitisme afin de ne pas saper leur propre exigence de tolérance.
Il n'y a pas de place pour l'intolérance religieuse en Allemagne.
Celui qui vit ici, vit ici selon les règles de ce pays. Et ceux
qui viennent ici doivent savoir que c'est ainsi et que cela sera
appliqué.
Notre Constitution protège et donne des droits, mais elle impose
aussi des devoirs que chacun doit respecter. On ne peut pas séparer
les deux. La tolérance ne peut tolérer l'intolérance. C'est le cœur
de notre cohabitation dans cette République. Cela signifie que brûler
des drapeaux israéliens est un délit, tout comme louer la terreur
du Hamas. Celui qui est allemand devra en répondre devant un tribunal,
celui qui ne l'est pas risque en outre de perdre son statut de résident.
Celui qui n'a pas encore de titre de séjour fournit une raison d'être
expulsé.
L'antisémitisme islamiste ne doit toutefois pas faire oublier que
nous avons également un antisémitisme consolidé en Allemagne : cependant,
c'est pour des raisons purement tactiques que l'extrême droite se
retient, afin de pouvoir s'en prendre aux musulmans. Relativiser
la Seconde Guerre Mondiale, le régime nazi comme une « chiure de
mouche » n'est pas seulement une relativisation de l'Holocauste,
c'est une gifle au visage des victimes et des survivants.
Tous ceux qui écoutent peuvent et doivent le savoir. La Seconde
Guerre Mondiale était une guerre d'extermination contre les Juifs.
Pour le régime nazi, l'objectif principal était l'anéantissement
du judaïsme européen. Et puisque parmi les extrémistes de droite,
il y a quelques amis de Poutine : Poutine se fait photographier
avec des représentants du Hamas et du gouvernement iranien et déplore
les victimes civiles dans la bande de Gaza, tout en faisant des
victimes civiles en Ukraine. Ses amis en Allemagne ? Ils ne sont
certainement pas les amis des Juifs et des Juives.
>>> Chaque enfant mort est un enfant mort de trop
Mais je m'inquiète aussi de l'antisémitisme qui règne dans une partie
de la gauche politique, et malheureusement aussi chez les jeunes
militants. L'anticolonialisme ne doit pas conduire à l'antisémitisme.
En ce sens, cette partie de la gauche politique devrait revoir ses
arguments et se méfier du grand récit de la résistance.
L'argument « d'un côté comme de l'autre » est ici trompeur. Le Hamas
est un groupe terroriste meurtrier qui lutte pour l'extinction de
l'État d'Israël et la mort de tous les Juifs. La clarté avec laquelle
la section allemande de Fridays for Future, par exemple, l'a constaté,
en se démarquant de ses amis internationaux, est plus que respectable.
Récemment, lorsque j'étais en Turquie, on m'a reproché qu'en Allemagne,
les manifestations propalestiniennes étaient interdites. Et que
l'Allemagne devait également appliquer ses exigences humanitaires
aux habitants de Gaza. J'ai expliqué que chez nous, la critique
d'Israël était bien sûr autorisée. Et qu'il n'est pas interdit de
défendre les droits des Palestiniens et leur droit à leur propre
État. Mais l'appel à la violence contre les Juifs ou la célébration
de la violence contre les Juifs sont interdits – et à juste titre
!
Oui, la vie à Gaza est une vie d'absence de perspectives et de pauvreté.
Oui, les implantations de colons en Cisjordanie attisent la discorde
et privent les Palestiniens d'espoir et de droits – et de plus en
plus de vie. Et la souffrance de la population civile dans la guerre
est un fait, un fait terrible. Chaque enfant mort est un enfant
mort de trop. Je réclame moi aussi des livraisons humanitaires,
je m'engage pour que l'eau, les médicaments et les biens de première
nécessité arrivent à Gaza, pour que les réfugiés soient protégés.
Avec nos amis américains, nous ne cessons de faire comprendre à
Israël que la protection de la population civile est essentielle.
La mort et la souffrance qui s'abattent actuellement sur les habitants
de la bande de Gaza sont graves. Le dire est aussi nécessaire que
légitime. Mais cela ne peut pas légitimer la violence systématique
contre les Juifs. Elle ne peut pas non plus justifier l'antisémitisme.
Bien sûr, Israël doit respecter le droit international et les normes
internationales. Mais la différence est la suivante : qui formulerait
jamais de telles attentes à l'égard du Hamas ?
>>> Le Hamas veut l'anéantissement d'Israël
Et parce que j'ai récemment été confronté à l'étranger à la manière
dont l'attaque contre Israël du 7 octobre a été minimisée en tant
que – je cite – « incident malheureux », voire même dont les faits
ont été remis en question, rappelons-le ici encore une fois : c'est
le Hamas qui a assassiné bestialement des enfants, des parents,
des grands-parents dans leurs maisons. Ses combattants ont mutilé
des corps, enlevé des personnes et les ont exposées à l'humiliation
publique en riant. Ce sont des récits d'horreur pure – et pourtant
le Hamas est célébré comme un mouvement de libération ? C'est une
inversion des faits que nous ne pouvons pas laisser perdurer.
Et cela m'amène au dernier point : l'attaque contre Israël intervient
dans une phase de rapprochement de plusieurs États musulmans avec
Israël. Il y a les accords d'Abraham entre Israël et les États musulmans
de la région. La Jordanie et Israël travaillent ensemble sur un
grand projet d'eau potable. L'Arabie Saoudite était sur le point
de normaliser ses relations avec Israël. Mais une coexistence pacifique
d'Israël et de ses voisins, des Juifs et des Musulmans, la perspective
d'une solution à deux États – tout cela, le Hamas et ses soutiens,
notamment le gouvernement iranien, n'en veulent pas. Ils veulent
le détruire.
Ceux qui n'ont pas abandonné l'espoir de paix dans la région, ceux
qui tiennent au droit des Palestiniens à leur propre État et à une
véritable perspective – et c'est ce que nous faisons – doivent maintenant
faire preuve de différenciation en ces semaines de mise à l'épreuve.
Et la différenciation implique que les actes meurtriers du Hamas
visent à empêcher la paix. Le Hamas ne veut pas la réconciliation
avec Israël, mais l'anéantissement d'Israël. Et c'est pourquoi la
règle est immuable : le droit à l'existence d'Israël ne doit pas
être relativisé. La sécurité d'Israël est notre obligation. L'Allemagne
le sait.
Voir
seppi.over-blog.com
Du côté d'Auguste Derrière - 1
Belle présentation des nouvelles techniques de sélection
des plantes, par Agnès Ricroch, membre de l’Académie d’agriculture,
avec l'Institut Sapiens
Les Nouvelles Techniques de Sélection (New Breeding Techniques,
NBT) pourraient bien inaugurer une nouvelle ère pour notre agriculture.
Ces méthodes innovantes promettent de nous offrir des plantes
améliorées, adaptées à des besoins en pleine évolution.
Voir vidéo
Plan #Ecophyto 2030 : pourquoi le @gouvernementFR prend le
problème de la réduction de l’usage des #phytos à l’envers
Voir
GRW toujours convaincant
France-Info - " L'automobiliste en plein brouillard
" : les Français sont les plus sceptiques des Européens
sur la voiture électrique, selon une étude
Cette étude de l'observatoire Cetelem, réalisée dans 16 pays,
montre aussi que ce sont les Français qui sont les plus sceptiques
par rapport à la voiture électrique. - Les automobilistes sont
un peu perdus, voire agacés face à l’évolution réglementaire,
la motorisation et la tarification de la voiture électrique,
révèle une étude de l'observatoire Cetelem, publiée mardi 7
novembre et intitulée "L'automobiliste en plein brouillard".
Six personnes sur dix pensent qu’il est difficile d’acheter
une voiture et ce sont les Français qui sont les plus sceptiques
par rapport à la voiture électrique, montre cette étude réalisée
dans 16 pays, et auprès de 15 000 personnes.
Voir
francetvinfo.fr
Ma réflexion (GW) : De fait, le brouillard est entretenu
par un certain nombre d’acteurs dont les médias et activistes
des réseaux sociaux qui sèment le doute sur l’avenir de la voiture
électrique. Partout dans le monde, on se prépare à l’abandon
des moteurs à explosion pour les voitures au moins. Dès à présent
les petites voitures électriques sont avantageuses pour tous
les petits déplacements.
Le glyphosate, un allié des vers de terre... quoi qu'ils
en disent !
Le non-labour nécessite de temps en temps l'utilisation du glyphosate
en dernier recours... mais le glyphosate est bien le meilleur
allié des vers de terre
Le beau dossier de la séance de l'AAF sur le "goût sucré
et santé" (le goût du sucré est contrôlé par deux gènes
très répandus dans le règne animal, sauf chez les félins…)
Bien que la perception gustative soit un des déterminants sensoriels
majeurs de nos choix alimentaires, l’impact potentiel de la
perception des saveurs sur la santé a longtemps été négligé.
Les découvertes, parfois inattendues, de ces dernières décennies
ont permis de corriger cette vision restrictive ouvrant ainsi
des perspectives inédites d’interventions nutritionnelles et/ou
thérapeutiques visant à favoriser des comportements alimentaires
plus sains.
L’objectif de cette séance, ayant pour fil conducteur le goût
sucré, est d’illustrer ce nouveau paradigme au moyen d’exemples
en phase avec des problématiques sociétales fortes en lien avec
l’alimentation (obésité et addiction) et des questionnements
sur la composition de nos aliments (édulcorants).
Voir
academie-agriculture.fr
Lettre au sujet des positions anti-scientifiques et contraires
à l’éthique du Dr Vandana Shiva, De Giovanni Molteni Tagliabue
- 05.10.2021
Réagissant à l’invitation du Dr Vandana Shiva par l’Université
du Missouri-Kansas, un groupe d’universitaires a écrit une lettre
à C. Mauli Agrawal, chancelier de l’université afin de rappeler
« ses positions anti-scientifiques et contraires à l’éthique
» de l’activiste indienne. Voici la lettre et en dessous, la
réponse de l’UMKC. Cette initiative a été dirigée par Giovanni
Molteni Tagliabue, chercheur indépendant en philosophie des
sciences de la vie et de la science politique.
Voir
europeanscientist.com
Du côté d'Auguste Derrière - 2
"Les oiseaux et l'agriculture au 19è siècle m'ont conduit
aux sources de l'écologie", C. Lévêque (Interview)
« Comment on parlait du rapport nature-agriculture et plus particulièrement
des oiseaux au XIXeme siècle », c’est le sujet du nouveau livre
de Christian Lévêque. Dans Agir avec la nature au XIXe siècle,
l’écologue mène une enquête passionnante au sujet des oiseaux,
de l’agriculture et de l’émergence de l’écologie. En exhumant
des textes rares et précieux, il reconstitue les problématiques
de l’époque et montre que bien qu’on ne parlait pas encore de
biodiversité à l’époque, toutes les problématiques traitées
aujourd’hui dans ce sujet étaient déjà présentes. Préfacé par
Nadine Vivier et publié aux Presses des Mines dans la collection
Académie d’Agriculture de France, dirigée par Catherine Regnault
Roger, cet ouvrage est un recueil précieux pour tous ceux qui
souhaitent comprendre l’émergence de l’écologie et mettre en
perspective les problématiques auxquelles sont confrontées l’agriculture
et l’écologie contemporaine… des sujets que Christian Lévêque
traite dans l’interview qu’il a bien voulu nous consacrer.
.../...
Voir
europeanscientist.com
L’EPR finlandais a atteint sa pleine puissance électrique,
1600MW bas carbone ! De Christian Semperes - 07.10.2022
Pourquoi les médias n’en parlent pas ? Alors qu’on se félicite
de l’ouverture de parcs de production d’électricité décarbonés
pour limiter l’emploi des énergies fossiles à grand renfort
de communication et de propagande VERTE de l’Europe et des états
comme l’Allemagne, la Belgique et la France, là … rien ! Pas
un mot non plus des médias, sur l’atteinte de 100% de puissance
du plus gros réacteur de production d’électricité bas carbone
en Europe et le plus sûr au monde. 1600MW électriques, excusez
du peu ! En pleine crise du gaz russe, pas un mot de cette bonne
nouvelle pour les défenseurs de la lutte contre le réchauffement
climatique et de la limitation des énergies fossiles.
Voir
europeanscientist.com
A thought for today
The sons of torture victims make good terrorists.
Andre MALRAUX, novelist, adventurer, art historian, and statesman
(1901-1976)
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
BANQUE (La) : C'est un endroit où on vous prête de l'argent
si vous arrivez à prouver que vous n'en avez pas besoin.
Michel AUDIARD
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Du côté d'Auguste Derrière - 3
Farm robotics startups face a talent shortage. Academia and
tech are working together to change that, by Jennifer Marston
Startups have made strides in the last few years turning the
theoretical benefits of ag robotics and automation into actual
realities for farmers. But there’s still a ton of work to be
done when it comes to making tools that are complex enough for
smart spraying and laser weeding, but don’t also require a PhD
to operate.
Ergo, startups will have a lot of new hires to make in the coming
years, many of them from the growing pool of talent coming out
of college, said many at the FIRA USA 2023 farm robotics show
in Salinas, California.
Enter the annual Farm Robotics Challenge organized by the AI
Institute for Next Gen Food Systems (AIFS), University of California
Agriculture and Natural Resources (UC ANR) initiative the VINE,
the Fresno-Merced Future of Food (F3) coalition, and robotics
company farm-ng.
.../...
See
agfundernews.com
Verqor lands $7.5m from Yara, Accion and others to offer
farmers ‘the fastest credit for agriculture in Mexico’, by Jennifer
Marston
- Agrifintech startup Verqor has raised $7.5 million in funding
to connect more farmers with credit via its alternative underwriting
process.
- Funding includes a $4 million pre-Series A led by Yara Growth
Ventures. Accion Venture Lab, SP Ventures, GLOCAL, and Amplifica
Capital also participated.
- The remainder of the new capital comes via a $3.5 million
debt round from Co_Capital and Addem Capital.
- Verqor will use the capital to expand in Mexico as well as
become a direct financial lender to farmers and approve loan
applications in “48 hours or less.”
See
agfundernews.com
Ag Biotechnology investment surges in Asia-Pacific as funding
swims upstream, November 1, 2023, by Jennifer Marston
Despite an overall decline in funding to the region last year,
some Asia-Pacific startups are seeing an increase in new VC
capital (venture capital).
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Earth just had its hottest year on record
Over the past 12 months, the average global temperature was 1.32 ℃
above the pre-industrial baseline, and one-quarter of people experienced
dangerous levels of extreme heat, according to a report by the non-profit
organization Climate Central.
The European Union’s Copernicus Climate Change Service predicts that
2023 will be the warmest calendar year on record. “This is the hottest
temperature that our planet has experienced in something like 125,000
years,” says climate scientist Andrew Pershing, vice-president for
science at Climate Central. Most of this warming, about 1.28 ℃,
is the product of human impacts.
Natural variations caused by processes such as the ongoing ocean-warming
event El Niño contributed much less, says climate researcher Friederike
Otto.
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Podcast: How ChatGPT will change research
Generative artificial intelligence (AI), such as the chatbot ChatGPT,
is already transforming research and scientific publishing — for better
and for worse. Nature editor-in-chief Magdalena Skipper, journalist
and features editor Richard Van Noorden and Yann Sweeney, the editor
responsible for AI-related manuscript submissions at Nature, join
host Nick Petrić Howe to discuss how these AIs are affecting
science and what the future might hold.
See nature.com
Plan to breed domestication out of wildcats
Researchers trying to rebuild the Scottish wildcat (Felis silvestris)
population are gaining insights from ancient genomics. At a remote
wildlife park in the Scottish Highlands, a captive-breeding programme
is considering an audacious breeding strategy to eliminate the house-cat
DNA that has infiltrated the wildcat genome.
To help them to unpick the problem, researchers analysed the genomes
of dozens of ancient and modern cats, including the 2,000-year-old
remains of a domestic cat found at a Roman palace in West Sussex and
those of a wildcat that died 600 years ago, uncovered at a now-ruined
castle in the north of England.
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Study: A controllable variable has key impact on sweet corn yields,
August 25, 2023
A new analysis from the University of Illinois Urbana-Champaign
and the Agricultural Research Service has identified the top factors
accounting for yield variability in processing sweet corn, including
one within the control of processors — seed source.
“We used a very robust approach to account for sweet corn yield
with field-level data across some 16,000 fields and 27 years. Year
and production region were the two most important variables, which
makes logical sense. But the third was seed source: the company
that developed the hybrids. That’s interesting because it’s actually
something the industry has a choice over,” said senior study author
Marty Williams, ARS ecologist and affiliate professor in the Department
of Crop Sciences.
The analysis drew from confidential industry data on 67 variables
relating to crop genetics, management, weather, and soil factors
from fields in the Upper Midwest and Pacific Northwest, where most
of the nation’s processing sweet corn is grown. Williams and co-author
Daljeet Dhaliwal, who completed his doctorate in the Department
of Crop Sciences, used machine learning techniques to narrow down
which of the dozens of factors correlated most strongly to yield
across nearly 30 years.
.../...
See
Agdaily.Com
5 of the coolest innovations I saw in Senegal, by Bill Gates,
November 02, 2023, 5 minute read
I got to meet with amazing scientists working on the next big breakthrough
while I was in Dakar.
I had an amazing trip to Senegal last month. I always love getting
the chance to travel and see the remarkable work the foundation’s
partners are doing firsthand. These visits leave me more energized
than ever to go to work every day—and my time in Senegal was no
exception.
Senegal is a particularly interesting country to visit, because
it has made exemplary progress improving the health of its people
thanks to a focus on community-led care and many years of smart
policymaking. Some of the statistics are mind-blowing: Since 1992,
the country has cut its stunting rate in half. Since 2000, the number
of Senegalese children who die before their 5th birthday has dropped
by 70 percent. And since 2005, the number of women giving birth
in health facilities has increased from 62 percent to 80 percent.
It’s the perfect place to talk about progress.
One of the highlights of my visit was a trip to the Institut Pasteur
de Dakar, or IPD—a research center that has been pushing the frontiers
of global health for nearly a century. The facility does it all:
IPD plays a key role in monitoring for disease outbreaks in the
region; produces millions of diagnostics every year; serves as an
educational hub for the next generation of health workers and biomanufacturing
workers; and will soon resume manufacturing vaccines.
.../...
See
gatesnotes.com
Ryanair profitable (business as usual) / Ryanair rentable
11
- 13/11/2023
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CO2 emissions per dolllar of GDP / Plus on est riche, moins on
émet de CO2
12
- 13/11/2023
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Where are the jobs? / Où sont les emplois pour les étudiants de
la Columbia Business School ?
13
- 13/11/2023
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Restaurant Productivity Up / Augmentation de la productivité dans
les restaurants
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- 13/11/2023
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US Wages Up / Salaires en hausse aux USA
15
- 13/11/2023
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More EV / Toujours plus de voitures électriques
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- 13/11/2023
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Into cryptocurrency hell / Dans l'enfer des cryptomonnaies
17
- 13/11/2023
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Inflation down, growth too / L'inflation baisse, la croissance
aussi
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- 13/11/2023
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US People more and more stressed / Les Américains toujours plus
stressés
19
- 13/11/2023
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Ukraine rotten by Russian mines / Ukraine pourrie par les mines
russes
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- 13/11/2023
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Better late than never: Bangladesh finally introduces Bt cotton
after years of dilly-dallying, by Reaz Ahmad, October 12, 2023
.../...
Scientists involved in agro-biotech product development in Bangladesh
find it painful that regulators sit on their decisions for years
without assigning much of a reason. Biotech regulators at different
tiers don’t hold their scheduled meetings. As a result, scientists
miss out on seasons and have to wait for the next season, next year,
to go for field tests and other necessary trials.
These act as disincentives – a likely reason why hundreds of Bangladeshi
agricultural scientists leave the country for better pro-science
ecosystems. There appears to be no hesitance from the growers or
consumers in appreciating biotech-derived agricultural products
in Bangladesh. The rapid expansion of Bt brinjal over the past ten
years and consumers’ acceptance of the crop is a testament. Even
before any biotech crop approval in Bangladesh, consumers had already
accepted GM soybean oil, one of the country’s most popular cooking
oils.
There is a range of other biotech products in the approval queue
or at different stages of development at various premier agricultural
research stations, but regulatory inertia appears counterproductive.
Bangladeshi scientists are still working on iron and zinc-rich rice,
biotech potatoes, tomatoes, and blast-resistant wheat.
See
allianceforscience.org
From potential to progress: Latest developments in Golden Rice
deployment in the Philippines
In the Philippines, about two million children under five are at
risk of vision issues and weak immune systems. These symptoms are
consequences of diets lacking in Vitamin A. This number is equivalent
to one out of five Filipino children from the less fortunate communities
in the country with Vitamin A deficiency (VAD). This preventable
nutritional problem impacts the Philippines and an estimated 190
million children globally.
Several initiatives have addressed this problem, including supplementation,
diversified diet, and food fortification. Yet, many are still being
missed. One of the complementary solutions to these initiatives
is now in the hands of Filipino farmers—a healthier kind of rice
known as Golden Rice. This effort was initiated in 1982 by Dr Ingo
Potrykus of the Swiss Federal Institute of Technology and Dr Peter
Beyer of the University of Freiburg, Germany, and aimed to address
VAD by developing a kind of rice that can provide Vitamin A in the
diet.
.../...
See
allianceforscience.org
Perspective: IARC relishes stirring the pot with thin science,
by Amanda Zaluckyj, July 21, 2023
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Aspartame is an artificial sweetener found in a variety of foods
and beverages, like diet sodas and chewing gum. It provides a sweet
flavor without the calories associated with sugar. Although some
people complain of side effects like headaches and dizziness, the
Food and Drug Administration has concluded that aspartame is safe
for most people to consume in moderation. Most importantly, it doesn’t
cause cancer.
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See
agdaily.com
"Bad"
Joke
China’s carbon emissions set for structural decline from
next year, by Jillian Ambrose, Energy correspondent, 13 Nov
2023
Emissions by world’s most polluting country could peak this
year after surge in clean energy investments.
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Op-ed: Biofuels don't steal land from food producers, by AGDAILY
contributors, September 06, 2023
Food insecurity continues to be a problem for the world — and
it’s a problem that’s getting worse. According to the World Bank
, the number of people facing moderate to severe food insecurity
topped 2 billion in 2022. Logic tells us that we need to grow
as much food as possible — but a good deal of arable land is used
to grow crops that end up not as food, but as feedstock for biofuel
production.
Globally, at least 8 percent of agricultural land is used to grow
biofuel feedstock, mainly for biodiesel and ethanol; in the U.S.,
nearly half of corn production is used in ethanol production.
On the other hand, biofuels help reduce greenhouse gas emissions
— in some cases by over 80 percent, depending on the feedstock
used. And according to studies, biofuel based gas and diesel could
replace as much as half the amount of petroleum-based fuels now
in use — a prospect that should be taken seriously as a path to
reducing carbon dioxide and greenhouse gas emissions.
The world definitely needs more food — yet we can’t afford to
increase pollution in order to produce it. Biofuel technology
is a proven and effective way of doing that. But we don’t have
to make a choice here; instead of using prime agricultural land,
biofuel feedstock can be grown in vast swathes of “marginal” agricultural
land that is currently used for food production.
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agdaily.com
Flooded and forgotten: How Europe's disused coal mines are
successfully being used to heat our homes
Abandoned coal mines are providing a surprisingly potent source
of zero-carbon energy in Europe.
An old coal mine has been providing an English town with green
energy for the last six months.
The ground-breaking project in Gateshead is using the warm water
that has filled the tunnels to heat hundreds of homes and businesses
in the former coalfield community.
Hailed a success, the UK’s first large-scale network shows the
huge potential to be found in the nation’s sprawling warren of
old mining tunnels, which sit beneath roughly a quarter of homes.
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euronews.com
How did Uruguay cut carbon emissions? The answer is blowing
in the wind, October 6, 20232, by Erika Beras, Amanda Aronczyk,
Keith Romer, Willa Rubin
Ramón Méndez Galain was Uruguay's National Director of Energy
from 2008 to 2015. His plan for the energy sector led to 98% of
Uruguay's grid being powered by green energy. And a good deal
of that comes from wind energy — from turbines.
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npr.org
Do voters like moderate messages more? Some new tests of a
Slow Boring theory, by Matthew Yglesias, 30 oct. 2023
When the Biden administration decided to approve the Willow oil
extraction project in Alaska, I defended their decision on the
merits.
Addressing climate change is important, but trying to address
climate change through supply constriction has a very unfavorable
cost-benefit profile. I’m all for demand-side policies (like a
carbon tax) and efforts to facilitate clean energy deployment
(like the IRA). But blocking Willow wouldn’t have made sense as
climate policy, and the local environmental case against it wasn’t
very strong either. Willow was supported by Alaska labor groups,
by most Alaska indigenous groups, but Alaska’s Democratic House
member, and by both of its Republican senators (including Lisa
Murkowksi, who is a reasonable person). Under the circumstances,
I thought Biden clearly did the right thing and could use some
people saying so in the face of inevitable climate criticisms.
What’s interesting is that Biden did not defend this call on the
merits. Instead, he said:
My strong inclination was to disapprove of it across the board
but the advice I got from counsel was that if that were the case,
I may very well lose that case in court to the oil company and
then not be able to do what I really want to do beyond that.
This reflects a broader set of messaging decisions that I find
somewhat odd. My sense is that traditionally, politicians try
to make themselves sound more moderate than they are. Barack Obama
often insisted that his policies were just common sense or based
only on the evidence, untouched by ideology. Donald Trump would
lie and say he cared passionately about clean air and water, even
as his EPA eased up on these rules. Regardless of how the internal
debate over Willow really went, once you decide you’re not going
to block it, why not position yourself as moderate? When accused
of strangling American oil production, the White House will mention
that actually, output is at an all-time high, but it’s never something
they brag about as part of Bidenomics. But why not put forward
the most moderate possible face?
My tendency when talking about this stuff has been to assert that
for any given policy, a more moderate frame is more popular. But
is that true? I partnered with a public affairs group to conduct
a few message tests and their data suggests that, yes, if you
are going to build a wall and approve oil projects, you may as
well claim credit for it.
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slowboring.com
Provectus Algae seeks to disrupt livestock methane reduction
space with a change in 'the cost of goods’, by Jennifer Marston
Provectus Algae is entering the livestock methane reduction market
with an indoor growing system it claims transforms the unit economics
of growing Asparagopsis (red seaweed) for feed additives.
The Queensland-based startup has just opened a 30,000-liter demonstration
plant for growing Asparagopsis, which can scale up to 160,000
liters, with construction of a larger-scale facility planned in
2024.
By 2025, Provectus aims to supply Asparagopsis extracts to over
250,000 animals, reducing enteric methane emissions by 500,000+
metric tons of CO2 equivalent annually.
…./…
See
agfundernews.com
VCs bet on ag biotech & farmtech as the new stars of Asia-Pacific’s
agrifoodtech ecosystem, October 26, 2023, by Jennifer Marston
Asia-Pacific has long been a hotbed for agrifoodtech innovation.
That’s unlikely to change, despite the recent drop in agrifoodtech
funding to the region.
Investment in Asia-Pacific agrifoodtech startups reached $6.5
billion in 2022, a 58% year-over-year decline on 2021’s record-breaking
year, according to the new Asia-Pacific Agrifood Investment report
from AgFunder in collaboration with the Bill & Melinda Gates
Foundation, Omnivore and AgriFutures Australia.
While funding levels in 2023 are down on 2022, the ecosystem is
still very active with a similar number of deals closing during
the first half of this year compared to H1 2022.
And though the decline is in keeping with broader macro trends,
it’s only part of the story for Asia-Pacific agrifoodtech investment.
A far more interesting narrative is the emergence of upstream
technologies — those close to the farm or lab — as the new star
of the region’s agrifoodtech sector.
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... Farm Management Software, Sensing & IoT ($334m), Farm
Robotics ($252m) and Novel Farming Systems startups ($254m), which
include indoor farming and aquaculture and insect farming, brought
in more funding across fewer deals.
See
agfundernews.com
Need for a 'humanitarian truce' in Gaza... and need for the
release of Israeli hostages held by Hamas / Besoin d’une trêve
humanitaire à Gaza et besoin de libération par le Hamas de ses
otages israéliens
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- 13/11/2023
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Walls again / De plus en plus de murs entre nos pays
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- 13/11/2023
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Unfinished Chinese constructions, a human and economical drama
/ Les immeubles non-terminés en Chine, un drame humain et économique
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- 13/11/2023
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Rich Chinese richer than ever / Les riches chinois plus riches
que jamais (beauté du socialisme vu par les chinois)
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- 13/11/2023
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Monthly Subscription Fees / Vos abonnements ?
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- 13/11/2023
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Better waste management is key to ending plastic pollution
Crucial to ending plastic pollution is improving waste management
strategies.
It’s a solvable problem, and making a difference here would
do much more to reduce plastic pollution than even considerably
decreasing the production of plastic. Even if the world used
half as much, we’d still have significant amounts of plastic
flowing into our rivers and oceans.
To end plastic pollution, waste needs to be adequately managed.
Around one-fifth of plastics are still mismanaged, meaning they
are not recycled, incinerated, or kept in sealed landfills.
The amount of mismanaged plastic waste varies across the world,
but tends to be much higher in low-to-middle-income countries.
This is shown in the chart here in per capita terms.
Domestic policies to improve waste management will be crucial,
but richer countries can also contribute through foreign investments
in waste management infrastructure.
On our new topic page, you can find all of our data, visualizations,
and writing on plastic pollution.
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The world has made substantial progress in increasing basic
levels of education
Access to education is now seen as a fundamental right. In many
cases, it’s the government’s duty to provide it.
But formal education is a very recent phenomenon. In the chart
here, we see the share of the adult population — those older
than 15 — that has received some basic education, and those
who haven’t.
In the early 1800s, fewer than 1 in 5 adults had some basic
education. Education was a luxury; in all places, it was only
available to a small elite.
But you can see that this share has grown dramatically, such
that this ratio is now reversed: fewer than 1 in 5 adults has
not received any formal education.
This is reflected in literacy data, too: 200 years ago, very
few people could read and write. Now, most adults have basic
literacy skills.
Explore our data, visualizations, and writing about global education
on our new topic page.
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The Human Development Index and related indices: what they
are and what we can learn from them
Measuring human development helps us understand how people’s
lives and livelihoods vary across the world and how they have
changed over time.
Several prominent measures try to capture these changes, such
as the Human Development Index (HDI) shown in the chart here.
All of the measures seek to broaden the scope of development
beyond simply economic growth, and to capture other key metrics
that track peoples’ standards of living.
However, measuring human development comes with many challenges.
People do not always agree on what should be included. And even
once defined, some features of human development are difficult
to measure.
So, how do these indices track human development? And what can
we learn from them?
In this article, we summarize the similarities and differences
between the different approaches and how to decide on which
one to use.
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People around the world have gained democratic rights, but
some have many more rights than others
Two hundred years ago, everyone lacked democratic rights. Now,
billions of people have them.
But there are still significant differences in the degree to
which citizens enjoy political rights, most clearly between
democracies and non-democracies, but also within these broad
political regimes.
To understand the extent of people’s political rights, we shouldn’t
look only at whether a country is classified as a democracy.
We should also look at more minor differences in how democratic
countries are.
In this article, we do just that: We use data on the extent
of democracy to compare how democratic countries have been over
the last two centuries.
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Rabbi fill in
A Catholic priest is called away by a family emergency one day,
while on duty attending confession.
Not wanting to leave the confessional unattended, he asks his
friend, a rabbi from the synagogue across the street, if he
can fill in for him.
The rabbi says he wouldn't know what to do, so the priest agrees
to stay with him for a few minutes and show him the ropes.
They enter their half of the confessional together and soon
enough, a woman enters and says, "Father forgive me, for
I have sinned."
"What did you do?" asks the priest.
"I have committed adultery," she replies.
"How many times?" continues the priest.
"Three times."
"Do three Hail Marys, put $5 in the poor-box, and sin no
more," finishes the priest.
The woman leaves and not long after a man enters and says, "Father
forgive me, for I have sinned."
"What did you do?"
"I have committed adultery."
"How many times?"
"Three times."
"Do three Hail Marys, put $5 in the poor-box, and sin no
more." The man leaves.
The rabbi tells the priest he thinks he's got it figured out
now, so the priest leaves, and the rabbi waits until another
woman enters the confessional, who says, "Father forgive
me, for I have sinned."
"What did you do," asks the rabbi.
"I have committed adultery," she replies.
"How many times?"
"Twice."
"I tell you what," says the rabbi. "Go do it
one more time and come back. We got a special this week, three
for $5!"
Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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d’informatique agricole (Afia)
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Déclaration C.N.I.L. numéro 1555970
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