Du côté du web et de l’informatique agricole n° 40 du 22 septembre 2022

Du côté du web et de l'informatique agricole n° 40 du 22 septembre 2022

Ce message online


AFIA


Association
Francophone
d'Informatique en Agriculture


Du côté du web et de l'informatique agricole 40 - 2022
(parution hebdomadaire depuis janvier 1998)

Châtenay-Malabry, 22 septembre2022



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Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture où règne une intéressante pluralité de points de vue !
Une ressource trop méconnue.
Voir academie-agriculture.fr


La chaine youtube.com de l’Académie d’Agriculture

Aujourd’hui 1520 abonnés à la chaîne, plus de 2900 vues de la séance « L’agriculture de conservation des sols » et plus de 3100 pour la première partie du colloque « Une seule santé : les microbes et l’antibiorésistance ».

À l'heure où "la sur-médiatisation l'emporte souvent sur la raison" et où "les tribuns autoproclamés experts empêchent les vrais experts souvent mauvais tribuns de s'exprimer", notre compagnie riche de plus de 250 années de SAVOIR RECONNU, se devait d'avoir sa chaîne YouTube pour ÉCLAIRER le plus grand nombre, et en particulier les jeunes, en diffusant par vidéo sa RÉFLEXION sur le progrès dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement ainsi que ses EXPLICATIONS sur les enjeux techniques, économiques, sociaux et environnementaux dans ces domaines.

Nous espérons que le nombre de vos visionnages de nos vidéos de diffusion d'un SAVOIR CRÉDIBLE attesteront que notre chaîne Académie d'Agriculture de France a atteint son objectif !

Voir la chaine youtube.com de l’Académie d’agriculture


Concert de la Lyre du Plessis-Robinson (GW : clarinette basse)

Dimanche 25 Septembre 2022 – 11h00, Paris, Kiosque du Parc Montsouris, Paris 14e
Accès libre. Durée 1h.

Les kiosques des jardins font partie du paysage parisien : spectacles, activités sportives ou rencontres citoyennes s’y déroulent toute l’année. Premier concert de la saison pour les musiciens, l’occasion de reprendre contact avec le public. Au programme des tubes musicaux que vous reconnaîtrez à coup sûr ! Une occasion à ne pas manquer pour changer d’air en ce dimanche matin.




Charles III
22/09/22
 


Avant l'informatique
22/09/22
 


Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France

Enrichi de documents originaux récents...:
- 195 fiches " Question sur... "
- 106 fiches " Bois-Forêt "
- 57 fiches " Repères "
- 23 " Vidéos "
L'ensemble de ces 381 documents a été établi grâce aux contributions de 132 membres de la Compagnie et de 40 experts extérieurs.
Voir bibliotheque.academie-agriculture.fr (moteur de recherche)

Ces documents rassemblent de larges connaissances sur l’agriculture l’alimentation et l’environnement.
Voir academie-agriculture.fr (présentation du fond)
Contact : André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com


 
Opinions et curiosités du web (1)


Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour l'avenir de la vigne

> Feuilleter ce beau livre
> Acheter le livre


Lettre à Périco Légasse, qui veut installer des migrants dans nos campagnes

L’écrivain Jean-Paul Pelras, ancien maraîcher, s’agace des belles âmes qui prétendent « revivifier les campagnes » en y envoyant des immigrés.
Voir lepoint.fr
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr

Ma remarque (GW) : Jean-Paul Pelras est un polémiste de talent, mais pas que. Sa réflexion est souvent originale et toujours intéressante.

Peut-être, se trompe-t-il ici ?

- Nous avons une multitude de petites villes dont la population décline. Une petite augmentation de la population (avec des jeunes) aurait certainement un effet de levier important, ne serait-ce que pour reprendre les activités d’entreprises artisanales, leur évitant de disparaitre.

- La filière du machinisme agricole a beaucoup de postes à pourvoir et traditionnellement, les producteurs de fruits et légumes (filière que connait bien M. Pelras) comme les viticulteurs et éleveurs de porcs font des offres d’emplois qui ne trouvent pas preneurs. Quelles solutions ? Il y a bien sûr un renforcement de ma mécanisation, la robotisation… mais ceci coûte cher en investissements.


Le chemin des forêts, de André Derain (1880-1954),
01 - 22/09/22  


Louis Aragon

Ce texte a été chanté par Léo Ferré. Tant mieux : il fallait le faire connaître.

Quand j’étais jeune, je me demandais de quoi j’aurais été capable en 1942. Pas de réponse. Des fois je me dis que oui, j’aurais été capable, à vingt ans, de résister. Et je me demande aussitôt : « Et de quoi serait capable le vieux bonhomme de 70 ans que je suis devenu ? ». Sans doute de pas grand’ chose : pensons à Monsieur Léonce Vieljeux, maire résistant de La Rochelle, mitraillé à 79 ans au camp du Struthof dans les Vosges en 1944…

Cela a peut-être une certaine importance : les temps montrent que la démocratie tend à reculer dans le monde...

Vive Missak Manouchian !

 

Strophes pour se souvenir, de Louis Aragon (1897 - 1982),
in Le roman inachevé (1956)

Vous n’avez réclamé la gloire ni les larmes
Ni l’orgue ni la prière aux agonisants
Onze ans déjà que cela passe vite onze ans
Vous vous étiez servis simplement de vos armes
La mort n’éblouit pas les yeux des Partisans

Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes
Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants
L’affiche qui semblait une tache de sang
Parce qu’à prononcer vos noms sont difficiles
Y cherchait un effet de peur sur les passants

Nul ne semblait vous voir français de préférence
Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant
Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants
Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE
Et les mornes matins en étaient différents

Tout avait la couleur uniforme du givre
À la fin février pour vos derniers moments
Et c’est alors que l’un de vous dit calmement
Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre
Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand

Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses
Adieu la vie adieu la lumière et le vent
Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses
Quand tout sera fini plus tard en Erivan

Un grand soleil d’hiver éclaire la colline
Que la nature est belle et que le cœur me fend
La justice viendra sur nos pas triomphants
Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline
Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant

Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps
Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant.

Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com
 

El Tres de mayo de 1808 en Madrid :
les exécutions à la montagne du Prince Pío,
de Goya. Musée du Prado (Madrid)

 


The world has recently become less democratic

Many more people have democratic rights than in the past. But there is growing concern that this progress is being partially undone. Is this true? Has the world become less democratic recently?

In this article we show that the leading approaches to measuring democracy all indicate that this is true: the world has become less democratic in recent years.

The decline is substantial, but its extent depends on the measure we use. And overall, the world remains much more democratic than it was even half a century ago.

This has also happened before: the world underwent phases of reduced democracy in the 1930s, and again in the 1960s and ‘70s. Back then, people fought to turn the tide, and pushed democratic rights to unprecedented heights. We can do the same again.

.../...

See ourworldindata.org
22/09/22
 


Une centaine d'aquarelles de cépages français réalisées par l'illustre Pierre-Joseph Redouté, ont été retrouvée à l'Académie d'agriculture. Elles témoignent de la naissance d'une science des vins.

Au début du XIXe siècle, le minsitre de l'Intérieur Jean-Antoine Chaptal demande à Pierre-Joseph Redouté, connu pour ses peintures des roses du château de Malmaison, de représenter l'ensemble des cépages français réunis dans une collection au jardin du Luxembourg. Quatre-vingt trois aquarelles sur vélin de variétés de vignes nous sont parvenues.

Elles sont publiées pour la première fois et accompagnée d'un texte explicatif de l'un des plus grands ampélographes français : Jean-Michel Boursiquot.

Ces planches ont une valeur patrimoniale incomparable. Elles ont été réalisées par les plus fameux illustrateurs botaniques de l'époque, au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté et marque une date hautement symbolique dans l'histoire de la viticulture française : les prémices de l'ampélographie.

À l'heure du regain d'intérêt pour les cépages autochtones et des nombreuses interrogations que posent le réchauffement climatique, les vélins témoignent de la diversité passée dans un pays où 95% de la production vinicole reposent aujourd'hui sur 40 variétés. Au-delà de la reproduction de ces planches, c'est l'histoire du vin et de la vigne qui nous est racontée, ou comment on s'est inquiété de la qualité du vin dès le XIXe siècle. L'ouvrage se conclut par un éclairage scientifique sur l'avenir de la vigne au XXIe siècle.
Voir editionspaulsen.com


Le saumon, un poisson qui prend l'eau
Voir radiofrance.fr
Signalé par Paul JAMET
Mél : paul.jamet(a)free.fr


Ma remarque (GW) : Ce qui est drôle avec ce genre d’émission, c’est qu’on ne nous annonce que des catastrophes en puissance (heureusement !), mais rien de mesurable : par exemple, il est certain que l’élevage de poissons est polluant, mais quel est l’impact réel de cette pollution ?

Alors que l’usage des antibiotiques a beaucoup diminué partout en élevage, en est-il différemment dans l’élevage de saumons ? Et encore une fois, quel est l’impact de l’antibiorésistance évoquée dans cet article, un phénomène dont tout le monde a conscience aujourd’hui ? L’élevage du saumon est critiqué depuis si longtemps d’une part et d’autre part rencontre un si beau succès commercial que les producteurs ont du faire ce qu’il fallait…



Cent ans ! Les petits bonheurs d'un paysan de l'Ouest, de Louis Lebourdais

Avec son infinie tendresse, Louis Lebourdais fait revivre les êtres de son enfance, sa famille entre Sarthe et Normandie, entre les guerres du XXe siècle : son oncle violoneux puis charpentier, les chanteurs de rue, les chevaux qu’il a appris à conduire avec son père, les jardinages, la cuisine de sa mère à la cheminée de leur petite ferme.

Né en 1923, Louis raconte la saveur des nourritures simples, les crêpes du Mardi-gras, le banquet du 14-juillet et la fête du cochon. Des étincelles de bonheur pétillent, des ritournelles fusent dans cette existence frugale et rude mais semée de mélodies, de refrains et de rimes.

Après ses confidences dans Nos racines paysannes, Louis publie un manuscrit écrit de sa main dans lequel il évoque d’émouvantes rencontres, de Vittorio le maçon italien à Youcef, soldat de la Libération – avec un magnifique appétit de vie. Et toujours, des chansons.

Voir placedeslibraires.fr


No comment
15/09/22
 


Au bonheur des bistrots (en librairie le 28 octobre), photographies de Pierrick Bourgault

Une bonne partie des photos ont été prises dans les bourgs des campagnes...
Pour précommander…


Une émission spéciale pour ceux qui ont vécu de près l’aventure du Minitel mercredi 21 septembre sur FR3 (signalé tardivement…)
Le 3615 ne répond plus 23 h
Signalé par Alain COULLET
agronome.en.ruralies(a)wanadoo.fr


With a comment
Prendre Trump pour un idiot a été et reste une erreur... Pervers, méchant, dangereux mais pas du tout idiot !
22/09/22
 


Enjeux biotechnologiques : des OGM à l’édition du génome, par Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture

L’évolution des techniques de modification du génome par génie génétique s’est caractérisée par une rupture technologique majeure avec la découverte de CRISPR en 2012. On distingue désormais les biotechnologies de première génération mises au point au XXe siècle et les biotechnologies actuelles de deuxième génération, les NGT ou New Genomic Techniques, dont l’édition du génome. Comment considérer ces modifications génomiques par rapport à celles qui se produisent spontanément dans la nature ? Quelles sont les applications de ces techniques dans les domaines du végétal, de l’animal et de la santé humaine ? Quelles perspectives en termes de développement et d’indépendance pour les pays ? Quelle réglementation est en vigueur sur les différents continents ?

L’ouvrage questionne ce que sont les OGM, les produits d’édition du génome et la place des transformations génomiques aujourd’hui et demain dans nos sociétés. L’auteur se propose, à partir de son expérience au Comité scientifique du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) pendant toute sa durée (2009-2021), de donner quelques repères géostratégiques et réglementaires sur les biotechnologies afin de mieux cerner les enjeux actuels.

Voir pressesdesmines.com


État de l'union vs mauvais état de la transition... l'interview de Samuel Furfari
.../...
Dans mon livre « Utopie de l’hydrogène », je donne de nombreuses raisons pour lesquelles cette chimère imposée par l’Allemagne pour sauver son EnergieWende ne se réalisera pas. Cet argent aurait été mille fois plus utile pour isoler les bâtiments publics, qui sont souvent des passoires énergétiques et qui le resteront, car les pouvoirs publics sont trop endettés. Financer l’hydrogène au lieu d’isoler les bâtiments des collectivités locales est une aberration consternante.
.../...
Je tiens à préciser que cette dérive n’est apparue que récemment. European Scientist a déjà publié mon point de vue sur cette question, en rappelant comment la Commission Prodi, avec Loyola de Palacio comme vice-présidente en charge de l’énergie, avait une vision claire de ce qu’il fallait faire pour assurer la sécurité d’approvisionnement énergétique de l’UE : diversifier les sources d’énergie (la Commission européenne actuelle fait le contraire puisqu’elle ne prône que les énergies renouvelables et l’hydrogène), diversifier les pays fournisseurs (et nous avons vu notre dépendance envers la Russie) et diversifier les voies et moyens d’approvisionnement (et nous voyons le manque criant d’infrastructures gazières, mais aussi électriques).

En 1993, lors du premier terrible choc pétrolier, la Commission européenne de l’époque a très bien réagi : elle a lancé un programme technologique parapétrolier appelé « Oil and Gas Demonstration Programme », qui a permis d’inventer de nouvelles technologies permettant l’exploitation des hydrocarbures de la Mer du Nord et de nous sortir des griffes de l’OPEP. Elle a accompagné le développement extraordinaire de l’électricité nucléaire et a également lancé un programme de démonstration pour utiliser le charbon dans les centrales électriques de la manière la plus propre possible, car à l’époque, une grande partie de l’électricité était produite à partir de produits pétroliers. Cela nous a permis de surmonter non seulement la crise de 1973, mais aussi celle de 1979. Chapeau à la Commission européenne de l’époque !
Voir europeanscientist.com


Hydrogène : l'énergie du futur ? - Dossier #36 - L'Esprit Sorcier
Saviez-vous que l'hydrogène pouvait être une alternative à nos sources d'énergie polluantes ? Où le trouver et comment l'utiliser ? Et c'est quoi une pile à combustible ? On vous explique tout et on fait le plein d'énergie propre !

0:00 : Sommaire
2:18 : L'hydrogène, vecteur d'énergie du futur ?
8:13 : Électrolyseur et pile à combustible, comment ça marche ?
13:06 : Energy Observer, cap sur l'hydrogène !
16:55 : La grande aventure de "l'air inflammable" au fil du temps.
22:53 : Voiture à hydrogène, les défis technologiques.
Voir youtube.com


Érosion de la biodiversité ? De Christian Levesque, membre de l’Académie d’agriculture

L’érosion de la biodiversité est actuellement très médiatisée. Les mouvements militants accusent les hommes de détruire la nature et d’être responsables d’une sixième extinction de masse. Or, cette communication est parfois basée sur des amalgames, des idées trop partisanes, ainsi que sur des relais médiatiques qui privilégient et amplifient les informations alarmistes. Si la situation de certaines populations est préoccupante, ce n’est pas un phénomène général car d’autres sont en expansion. Il s’agit donc de recontextualiser et de relativiser le débat pour mieux définir les actions nécessaires.

« Érosion de la biodiversité » analyse de nombreuses publications scientifiques ainsi que les discours anxiogènes, mettant l’accent sur les multiples biais dans le traitement de l’information. Cet ouvrage s’interroge sur la pertinence de la notion d’espèce et sur l’ambition de dresser l’inventaire du vivant. Il plaide pour une approche moins manichéenne de nos rapports à la nature.

Voir istegroup.com


Three billion people cannot afford a healthy diet

A healthy diet is about much more than calories. We need a wide range of nutrient-dense foods to get all of the vitamins and minerals that are essential for good health.

But healthy diets are expensive — more than four times the cost of a basic, calorie-sufficient one. This is true in every country in the world. As a result, three billion people cannot afford a healthy diet, even if they spend most of their income on food.

In this article from July 2021, we look at different types of diets and how affordable they are to people around the world.

See ourworldindata.org
22/09/22
 


Evidence Based Bonne Humeur… à la recherche de l’esprit critique, un excellent livre de Romain Meunier !!!

>> Un ouvrage ludique et qui fait chauffer les neurones. À mettre entre toutes les mains !
Francois-Marie BRÉON, président de L'Association française pour l'information scientifique (Afis)

>> L’esprit critique se défend de toutes les façons, même avec des petites boules bavardes et cartoonesques. Romain Meunier nous démontre avec son livre qu’on peut allier pertinence et impertinence.
Gérald BRONNER, sociologue, membre de l'Académie des technologies

Voir Livre d’or
Voir la présentation du livre et le commander


Chemin en forêt de Fontainebleau, de André Derain (1880-1954)
02 - 22/09/22  


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Rédacteur de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation for Information and Communication Technology in Agriculture, Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

INFORMATIQUE (L') : Elle est semblable à la numérologie et à l'astrologie, mais sans la précision de la première et le succès de la seconde.
Trouvé sur "La Toile"

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Informatique et numérique agricole


Du côté des gazettes afia et efita

>>> Statistiques de l’édition du 15 septembre 2022 de cette gazette afia

>>> Last issue of the Efita Newsletter nb 1056 dated 19 September, 2022

>>> Last available statistics for the efita newsletter


Vigne / Enherbement : 10 choses à savoir

Qu’est-ce que l’enherbement ? Quels en sont les avantages ? Les inconvénients ? Quelles espèces choisir ? Quels éléments prendre en compte pour le gérer ? Etc. L’enherbement est un sujet complexe qui suscite de nombreuses questions, si bien qu’il est parfois difficile de s’y retrouver. Voici 10 choses à savoir sur l’enherbement de la vigne !
Voir itk.fr


Impact du stress thermique sur la production de lait de vache et la reproduction

L’été 2022 a été marqué par trois épisodes de chaleur extrême en Europe centrale. Dès la deuxième et la troisième semaines de juin, une vague de chaleur a frappé la France, l’Espagne, l’Allemagne et le sud du Royaume-Uni. Cet épisode de chaleur s’est produit exceptionnellement tôt dans la saison, avant le solstice d’été. La sécheresse était également frappante, avec de lourdes conséquences pour l’agriculture des pays du sud de l’Europe. En Italie, le manque d’humidité et les températures élevées ont mis en péril de nombreuses récoltes.
Voir itk.fr


Cercosporiose noire du bananier : symptômes, contrôle et indicateurs

La cercosporiose noire ou maladie des rayes noires du bananier (nom scientifique : Pseudocercospora fijiensis) est l’une des menaces les plus importantes pour les producteurs de bananes. La cercosporiose noire est causée par un champignon ascomycète qui affecte les feuilles, diminuant ainsi la surface disponible pour la transformation de l’énergie lumineuse en énergie pour le fonctionnement de la plante (process de photosynthèse).
Voir itk.fr


Forêt de Saint-Germain-en-Laye , 1936 - 1938, de André Derain (1880-1954)
03 - 22/09/22  


@DrToudou, un jeune vétérinaire, partage son quotidien et défend les éleveurs

Connaissez-vous le docteur Toudou, vétérinaire bovin en Bretagne ? Le jeune véto s'est fait connaître sur Twitter pour ses brèves d'élevage, dans lesquelles il explique son métier, et ses threads sur des thèmes plus controversés comme les antibiotiques, l'écornage, l'euthanasie... Un moyen, pour lui, de lutter contre les critiques et contrevérités qui circulent sur l'élevage. Mais être confronté aux maux des éleveurs s'avère plus éprouvant que de soigner ceux de leurs animaux.
Voir agri-mutuel.com/


LonTech : la fin annoncée des chardons dans les champs de betteraves ? Par Sébastien Duquef, 16 septembre 2022

Pour permettre à sa technologie de pulvérisation ultra-localisée de se développer, Berthoud s'associe avec Corteva. Ensemble, les spécialistes proposent une offre de prestation de services facturée à l'hectare pour éliminer les chardons dans les champs de betteraves. D'autres cultures, et d'autres adventices à éliminer, devraient suivre rapidement.
Voir terre-net.fr


La fontaine d'Ollières, 1930, de André Derain (1880-1954)
04 - 22/09/22  


Prochainement, découvrez le nouveau site arvalis.fr

Désormais, tout le contenu ARVALIS sera rassemblé au même endroit.

Informations techniques, projets de recherche, informations institutionnelles, outils et services, etc. Le contenu y sera organisé par rubrique.

Un moteur de recherche performant et un large choix de filtres vous facilitera l'accès à l'information.

ARVALIS.fr c’est :

- Plus de 2500 contenus techniques actualisés quotidiennement pour les agriculteurs
- 60 000 agriculteurs abonnés à la newsletter ARVALIS-infos
- Une newsletter institutionnelle pour mettre en avant la contribution sociétale de la recherche agricole réalisée par ARVALIS
- Plus de 150 travaux de recherche expliqués

A très bientôt sur arvalis.fr !


Deep learning-based approach for identification of diseases of maize crop

In recent years, deep learning techniques have shown impressive performance in the field of identification of diseases of crops using digital images. In this work, a deep learning approach for identification of in-field diseased images of maize crop has been proposed.

The images were captured from experimental fields of ICAR-IIMR, Ludhiana, India, targeted to three important diseases viz. Maydis Leaf Blight, Turcicum Leaf Blight and Banded Leaf and Sheath Blight in a non-destructive manner with varied backgrounds using digital cameras and smartphones. In order to solve the problem of class imbalance, artificial images were generated by rotation enhancement and brightness enhancement methods. In this study, three different architectures based on the framework of ‘Inception-v3’ network were trained with the collected diseased images of maize using baseline training approach.

The best-performed model achieved an overall classification accuracy of 95.99% with average recall of 95.96% on the separate test dataset. Furthermore, we compared the performance of the best-performing model with some pre-trained state-of-the-art models and presented the comparative results in this manuscript.

The results reported that best-performing model performed quite better than the pre-trained models. This demonstrates the applicability of baseline training approach of the proposed model for better feature extraction and learning. Overall performance analysis suggested that the best-performed model is efficient in recognizing diseases of maize from in-field images even with varied backgrounds.
See nature.com


Sciences et Pseudo-Sciences n°340 (avril 2022)



Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

INFORMATIQUE (L') : Elle fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur.
Khalil ASSALA

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Informatiques et réseaux


L’open data pour lutter contre la fracture territoriale et sociale, par Jean-Marc Lazard & Akim Oural, 13 septembre 2022

La donnée et les outils pour l’analyser et la comprendre, nous permettent de trouver des solutions aux crises que nous traversons. L’open data est au cœur de la résilience de nos sociétés. C’est pourquoi nous devons poursuivre l’ouverture des données afin d’éviter une rupture sociale entre collectivités.

Waze, GoogleMaps, Citymapper, Mappy, RATP, Karos, Vianavigo, JVmalin, …toutes ces applications de calculs d’itinéraires et de mobilités multimodales nationales et régionales sont aujourd’hui entrées dans le quotidien de millions de français. Développées par des sociétés privées, publiques ou des collectivités locales, elles sont devenues la boussole des citoyens, l’un des cas d’usages phares de l’open data pour le grand public.

Côté environnement, les Français se sont mis à consulter de plus en plus de données liées à la météo, à la qualité de l’air, à la composition des produits… Avec la pandémie ils ont surfé sur les données liées aux Covid-19 (hospitalisations, décès, contaminations, etc) et sur les plateformes déployées par les collectivités locales pour s’informer des lieux de vaccination, de tests, des commerces de proximité, ou pour créer du lien social avec les séniors isolés. Et plus récemment les applis permettant de comparer les prix de l’énergie et du carburant font carton plein.

À l’origine de l’engouement des Français pour ces données : la présentation des informations sous forme de graphiques, de comparatifs et de widgets, des interfaces d’éditorialisation qui permettent de comprendre les politiques et les ressources locales. Aisément lisibles et compréhensibles, ces données ouvertes font sens et offrent ainsi à chaque citoyen et pas uniquement à quelques happy few, des éléments tangibles pour agir.
.../...
Voir silicon.fr/


Le gros arbre à Saint Maximin, de André Derain (1880-1954)
05 - 22/09/22  


Le projet de loi sur le versement des rançons aux cybercriminels est à retravailler

Le gouvernement compte présenter un projet de loi qui autorise les assureurs àrembourser les rançons versées à des cybercriminels. Entretien avec Jean-Noël de Galzin, président d'Hexatrust et de Wallix et organisateur des Universités d'été́ de la cybersécurité.
Voir journaldunet.com


Salariés, comment réagir si vous vous sentez épiés en télétravail ?

Vous avez parfois l'impression que votre manager vous surveille lorsque vous travaillez à domicile. Que dit la loi à ce sujet ? Quels sont les droits de votre employeur ? Éclairage..
Voir journaldunet.com


Supply chain en tension : les solutions pour gagner en agilité́, par Hervé Ferrouillat (ISG)

Alors que les problèmes à échelle mondiale s'enlisent, la collaboration, l'agilité́ et garder les talents deviennent indispensables pour créer un modèle plus résilient de la chaine d'approvisionnement.
Voir journaldunet.com


Teams : comment Microsoft veut réduire son impact environnemental       

Microsoft veut réduire l'empreinte énergétique de Teams. Petit aperçu des bonnes démarches pour y parvenir.

 


Assurance cyber : Bercy rêve d'une mutualisation tous azimuts

Entre automatisation, mutualisation et titrisation du risque, le ministère de l'Économie esquisse un plan d'action pour développer l'assurance cyber.
Voir silicon.fr


Assurance cyber : au-delà des ransomwares, les pistes juridiques de Bercy

Indemnisation des rançons et des sanctions administratives, couvertures implicites, définition de la cyberguerre... Quels axes de clarification pour le cadre juridique de l'assurance cyber ?
Voir silicon.fr


Office 365 sur Windows 7 : le compte à rebours est lancé pour les MaJ de sécurité, par Clément Bohic, 26 juillet 2022

La fin des mises à jour de sécurité pour les applications Office 365 sur Windows 7 est fixée au 13 janvier 2023.
Voir itespresso.fr


Digital Markets Act : les nouvelles règles du jeu numérique, pat Clément Bohic, 4 avril 2022

Le Parlement et le Conseil européens sont parvenus à concilier leurs positions pour adopter le Digital Markets Act. Focus sur les nouvelles règles du jeu numérique au sein de l’Union.
Voir itespresso.fr




Publication diffusée grâce au soutien de :
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

INFORMATIQUE (L') : Elle vous permet de résoudre des problèmes que vous n'aviez pas avant.
Yolin.net

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Agricultures


Visite de Marc Fesneau au Space 2022... Face aux crises, « répondre à l’immédiateté et se projeter loin », par Delphine Jeanne, 13/09/2022

Venu inaugurer la 35e édition du Space à Rennes, le 13 septembre, le ministre de l’Agriculture a rappelé la mobilisation du gouvernement auprès des éleveurs touchés par les crises successives, sans pour autant oublier les défis structurels à mener comme l’installation et l’adaptation au changement climatique
Voir web-agri.fr


Les rationnements ont déjà commencé… pour les engrais, selon les céréaliers

Les céréaliers français, qui ont déjà subi depuis un an un triplement du prix des engrais, se sont inquiétés jeudi de la disponibilité de ces intrants, constatant déjà des « rationnements » sur le marché européen.
Voir agri-mutuel.com


Les salins de Martigues, 1913, de André Derain
06 - 22/09/22  


La France s’achemine vers sa plus faible production de maïs depuis trente ans

Excès de températures et sécheresse persistance, la production de maïs en France est attendue en fort recul. Les autres cultures de printemps ne sont pas épargnées, bien que la betterave à sucre résiste mieux.

Agreste, le service de la statistique du ministère de l’Agriculture, a publié le 13 septembre ses dernières prévisions de récolte pour les cultures de printemps de la campagne 2022.

À propos du maïs, Agreste titre: "Très faible niveau de production pour le maïs". En effet, la production de maïs grain (hors semences) est estimée à 11,3 millions de tonnes (contre 14,4 millions de tonnes en 2021 – source FranceAgriMer). Il s’agirait de la plus faible récolte depuis 1990.
Voir cultivar.fr


Dans les usines de yaourts, si le gaz est coupé, tout s'arrête

Remplis de lait de vache venant de tout le nord de la France, des camions-citernes rutilants sont rangés en file devant l'usine de yaourts Eurial de Jouy dans l'Yonne, à une centaine de kilomètres de Paris, l'une des plus importantes de France, très consommatrice d'un gaz devenu précieux.
Voir agri-mutuel.com


Consommation de lait par habitant / Per capita milk consumption
01 - 22/09/22
 


La pèche à l'origine de pollution par les plastiques de plus 5 cm / Pollution by fishing activiy
02 - 22/09/22  


Les investissements dans les énergies renouvelables ont explosé

Les investissements dans les projets de production d’énergie renouvelable ont très fortement augmenté en 2021, selon le Crédit Agricole qui a présenté ses résultats d’activité sur le marché agricole à l’occasion du Space, à Rennes, le 13 septembre.

“On note une forte augmentation des crédits dans des projets de méthanisation notamment, avec une hausse de 78% par rapport à 2020. Et les investissements dans le photovoltaïque ont bondi de 62%", précise Jean-Christophe Roubin, directeur du marché de l’agriculture au Crédit Agricole.

En Bretagne notamment, “on voit une accélération vers les énergies vertes”, abonde Michèle Guibert, secrétaire générale du Crédit Agricole Bretagne. Les caisses bretonnes ont investi 300 millions d'euros dans les énergies renouvelables dans le secteur agricole depuis 10 ans et ont financé 130 unités de méthanisation. Sur les 18 derniers mois, 211 projets photovoltaïque ont vu le jour, une hausse due à l'ouverture des guichets pour les projets jusqu'à 500 Kwc, contre 100 Kwc jusqu'en octobre 2021.
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Voir pleinchamp.com


Vers un stockage d’eau de seconde génération, 5 septembre 2022

Entretien avec Jean-François Berthoumieu, directeur de l’Association climatologique de la Moyenne Garonne (ACMG) et directeur scientifique d’Agralis, une structure technique et commerciale qui permet notamment de piloter l’irrigation grâce à des mesures prises dans les sols.
Voir agriculture-environnement.fr


Dérogations sur les pesticides : l’avocat général de la Cour de justice de l’UE plaide pour un encadrement plus strict, 13 septembre 2022

Une menace pour la Bio qui demande (et c’est normal même s’il y a là un peu d’hypocrisie…) pas mal de dérogations chaque année.
Voir agriculture-environnement.fr


Le lobby bio, ce lobby qui n’existe pas, 6 septembre 2022

Le 19 mai, Agra Presse publiait une enquête sur le lobbying dans le secteur agricole. Se fondant sur les données contenues dans le répertoire des représentants d’intérêts de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), l’agence d’information agroéconomique y confirme, comme l’a toujours soutenu A&E, qu’il existe bel et bien un lobby du bio

« À eux trois, Biocoop (distributeur), la Fnab (producteur) et le Synabio (industriels et distributeurs) totalisent environ 125 000 euros de moyens annuels, finançant environ huit postes de lobbyistes, pour six actions en moyenne », relate Agra Presse, dans son enquête publiée le 19 mai concernant le lobbying dans le secteur agricole. L’agence précise que ces « efforts d’influence » ne sont pas très éloignés de ceux du chimiste Bayer. À cela s’ajoute le lobbying agricole réalisé par certaines ONG, dont le WWF et L214, avec respectivement huit et sept activités par an, mais aussi France Nature Environnement et la Fondation pour la nature et l’homme, qui « seraient les plus dépensières, avec 250 000 et 120 000 euros de moyens annuels minimaux estimés pour leurs activités agricoles ».

Et il existe, tout comme en France, un lobby du bio à l’échelon européen. « Le lobby du bio existe à Bruxelles, il a pignon sur rue et se nomme Ifoam », admet ainsi l’activiste écologiste Martin Pigeon, qui milite pour dénoncer le lobbying européen depuis quinze ans, au sein de l’ONG Corporate Europe Observatory.
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Voir agriculture-environnement.fr


Les agriculteurs ukrainiens parviennent-ils à produire aujourd'hui ? Par Delphine Jeanne, 15 septembre 2022

Si l’offensive russe en Ukraine a mis en difficulté l’agriculture du pays, le secteur parvient, malgré la guerre, à fonctionner. Néanmoins, les difficultés à exporter pèsent lourdement sur la trésorerie des exploitations, alors que ces dernières doivent être gérées au jour le jour face au manque de visibilité.
Voir terre-net.fr/


Du côté d'Auguste Derrière
1 - 22/09/22


 


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

INFORMATIQUE (L') : Lorsqu'on s'en occupe, il faut faire comme les canards... paraître calme en surface et pédaler comme un forcené par en dessous.
Richard LALLEMENT

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Du côté des écrivains et artistes paysans


> Prix de poésie organisé au sein de la Fondation Saint-John Perse : appel à candidatures

> Promotion de l’AEAP

22/09/22


 

> Billet N° 24 de Michel Boudaud


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

INFORMATIQUE (L') : On a souvent besoin d'un "rebooteux".
Trouvé sur "La Toile"

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr



Agenda


Les agrowebinaires Acta & Agreenium du mardi de 13h à 14h sur les thématiques « Biodiversité » et « Bioéconomie »

Ces webinaires visent à informer et former les praticiens, et porteront sur des thèmes transversaux en faveur des transitions. Les deux thèmes traités en 2022-2023 sont la biodiversité et la bioéconomie. Chaque webinaire traite d’un sujet d’application de recherche, pouvant nourrir les innovations de terrain et les contenus d’enseignement.

La nouvelle campagne 2022-2023démarrera le mardi 27 septembre 2022.

- 27 septembre 2022 : La biodiversité sauvage dans les milieux agricoles : quels sont les enjeux ? Comment la mesurer ?
- 4 octobre 2022 : La bioéconomie favorise-t-elle la durabilité des filières alimentaires ?
- 11 octobre 2022 : Les services écosystémiques : de quoi parle-t-on ? Comment les mesurer ?
- 18 octobre 2022 : Impact de la bioéconomie dans le revenu des exploitations agricoles et dans leur résilience
- 8 novembre 2022 : La flore sauvage en grandes cultures, ennemie ou amie ?
- 15 novembre 2022 : Alimentation, carburants, biomatériaux : concurrence ou complémentarité ?
- 22 novembre 2022 : La biodiversité au sein des troupeaux et des parcelles : quels avantages ? quelles contraintes ?
- 29 novembre 2022 : L’agriculture cellulaire : intérêts, risques, limites
- 6 décembre 2022 : Trame verte et trame bleue
- 13 décembre 2022 : Bioéconomie et économie circulaire (valorisation des co-produits, recyclage, réduction du gaspillage)

>> Vous pouvez retrouver la liste des intervenants et la description du thème traité de chaque webinaire.

>> Périmètres et enjeux des deux thématiques de cette campagne par Gilles Trystram (Bioéconomie) et Françoise Lescourret (Biodiversité)


Épisode #24 – La Zététique


Voir ebbh.fr
22/09/22

Attention : tout soutien via Utip, Tipee, ou Paypal
sera interprété comme une incitation à continuer mes bêtises. Z'êtes prévenus.
Signé : Romain, l'auteur talentueux de ebbh.fr




 


Biotechnologies végétales et changement climatique / Colloque AFBV ouvert à tous

11 octobre 2022 – PARIS

Ce colloque organisé par l’AFBV (Association Française des Biotechnologies végétales) se déroulera au Goethe Institut, 17 avenue d’Iena à Paris 16è de 9 heures à 17 heures et réunira une dizaine d’experts sur cette thématique d’actualité.

Le changement climatique, avec les dérèglements associés et leurs conséquences sur les cultures et la forêt, constitueront le cadre de ce colloque. Viendront ensuite des exemples d’apports potentiels des biotechnologies à l’adaptation des plantes à ces changements. Pour terminer seront illustrés les travaux en cours chez le blé et les forêts par la sélection conventionnelle et les biotechnologies.
Voir programme détaillé


Bistrots et cafés du monde, en hommage à celles et ceux qui les gardent ouverts : photographies de Pierrick Bourgault

14 - 27 octobre - PARIS

Voyager d’un café de Palerme à celui de la Mère Lapipe, d’un pub londonien au bar à vin californien de Francis Ford Coppola, du café Florian (Venise) à un bar-concert parisien – en passant par le wagon-bar du train de nuit qui les relie – sans oublier les confidences d’un jeune soldat dans un salon de thé en Irak. Le café est une maison où tout est possible, un lieu de rendez-vous, de rencontre entre habitants d’ici et d’ailleurs, un espace d’expression, un tremplin pour musiciens.

Galerie du Montparnasse
55, rue du Montparnasse 75014 Paris
Tous les jours de 15 à 20 h
Voir monbar.net


Les dictatures riches en ressources minérales / Authoritarian nations dominate the world's uranium production
03 - 22/09/22  


Investir dans la santé sauve des vies / Investing in health saves lifes
04 - 22/09/22
 


Silicon Day Data

20 octobre 2022 - PARIS
De la sauvegarde au machine learning en passant par la mise en conformité et la sécurité des données, la Journée de la Data vous propose les retours d’expérience de managers IT et d’experts.
Voir silicon-events.fr


Le Sima se réinvente pour célébrer ses 100 ans, par Simon Billaud, 20/09/2022

6 - 10 novembre 2022 - PARIS
Rendez-vous international, le Sima 2022, qui se tiendra du 6 au 10 novembre 2022 à Paris Nord Villepinte, fêtera son centenaire. Cette édition présentera un nouveau positionnement, de nouveaux espaces, un contenu enrichi en innovations afin de répondre au mieux aux attentes du secteur, plaçant ainsi le Sima comme Salon leader.
Voir grostracteurspassion.com


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

CONNERIE (La) : Comme les impôts, on finit toujours par la payer.
Michel AUDIARD

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr




Du côté des gazettes et des blogs agricoles


Du côté de vitisphere.com…Abyssales deux ambiances, par Alexandre Abellan, 16 septembre 2022

Les soupirs se disputent aux sourires sur les lèvres vigneronnes durant ces vendanges 2022. D’un côté se trouvent ceux qui veulent produire plus pour répondre à leurs marchés, et sont ravis de voir une récolte généreuse pouvant être mise en réserve (notamment en Bourgogne et Champagne). De l’autre côté se tiennent ceux qui font face à des stocks pesants faute de commercialisation, et s’ils ne sont pas soulagés de voir leurs rendements grignotés par la sécheresse (leur rentabilité en prenant un nouveau coup), ils peuvent y voir un mal pour un bien au vu de leurs déséquilibres de marché (notamment pour les rouges de Bordeaux et de la Vallée-du-Rhône, mais aussi des rosés dans le Sud…).

Face à ces situations paradoxales, parfois exacerbées entre vignobles voisins (comme les demandes de plantation de Cognac avoisinent les besoins d’arrachage de Bordeaux), l’approche locale et non nationale est une excellente nouvelle, permettant de faire dans la dentelle. Des réunions de bassins viticoles doivent se tenir prochainement sous l’égide des préfets afin d'arrêter des demandes de rééquilibrage entre offre et demande adaptées à chaque situation régionale. Une fois ces sollicitations remontées à Paris, l’arbitrage du gouvernement concentrera les espoirs. Alors que sont sur la table des besoins urgents de distillation de crise et d’arrachage primé. Mais avec des questions irrésolues concernant les fonds à mobiliser et les délais de mise en œuvre : si tout le vignoble s’accorde sur la fin (rééquilibrer les marchés et préserver les valorisations), ce sont les moyens qui peuvent faire éclater le consensus (notamment sur le recours à des aides européennes à l’investissement).

Ce n’est pas un mince paradoxe, mais ce n’est sans doute pas le plus difficile à résoudre. D’autres contradictions rendent les tendances difficiles à lire pour la filière vin, d'autant plus que de nombreuses incertitudes pèsent sur la fin d’année (inflation des matières premières, perte de pouvoir d’achat…). Sur le marché français, on trouver d’une part la grande distribution où s'accélère sa déconsommation sur ses références valorisées (vins AOP et bio notamment), alors que chez les cavistes on parle toujours d’une prime au moins mais mieux (la qualité primant sur la quantité) et que chez les restaurateurs se maintiennent les achats de plaisir (portés par les vins blancs).

Un paradoxe apparent, pour un signe d’ébullition et d’évolution des consommations entre marchés de masse et demandes de niche.
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Voir vitisphere.com


Chapelle St-Sixte à Eygalières. par André Derain
07 - 22/09/22  


Du côté de pleinchamp.com… Retraite : la réforme qui va... avancer l’âge de départ, Raphaël Lecocq, 16/09/2022

[Edito] Les exploitants ont peu à craindre du très probable recul de l’âge de départ à la retraite, eux qui sont largement hyperactifs après 67 ans, officiellement sinon officieusement. Mais avec une autre réforme, celle de la Pac, il faudra choisir entre la pension de la MSA ou les aides de l’UE.

« Nous n’avons jamais eu un tel mur démographique devant nous, ces 100 000 chefs d’exploitation d’ici à 2030 qui vont passer le relais, c’est un vrai défi ». Le 9 septembre dernier, face aux JA réunis à Terres de Jim, Emmanuel Macron a posé les jalons du « Pacte d’orientation et d’avenir de l’agriculture », destiné à surmonter les défis économiques, avec pourquoi pas une loi Egalim 3, et climatiques, avec notamment, un stress-test pour les futurs installés. S’agissant du renouvellement des générations, le chef de l’Etat a ratissé large, depuis l’orientation dans les collèges jusqu’à l’anticipation de la transmission, en passant par des nouveaux instruments de portage foncier, censés alléger le poids de l’installation.

Il a aussi été question de la rénovation du parcours à l’installation, dont le CGAAER a estimé qu’il se devait d’être beaucoup plus inclusif, tant au niveau du profil des candidats que des acteurs mobilisés. « On ne va pas se mentir, même si on arrive à faire tout ce boulot, ça restera des métiers passion parce qu’il y a un tel niveau de contraintes dans vos métiers (...) Ça ne correspond pas à tous les standards d’organisation de la vie », a concédé le président de la République, bien au fait de la sociologie agricole, et que ne démentira pas ce futur JA de l’Aude, un acharné qui se décrit lui-même comme un « cabourd ».

>>> 20 000 exploitants actifs après 67 ans
« Vous êtes des engagés et vous travaillez beaucoup », a encore dit le président de la République. Et longtemps, aurait-il pu ajouter. Selon un document de travail du ministère du Travail, datant de 2021 et relatif à l’année 2017, 10% des bénéficiaires des aides Pac dépassaient l’âge de 67 ans, un taux pointant à 15% en productions ovines et caprines et bovins à viande et 18% en grandes cultures. Et combien d’agriculteurs officiellement retraités, comme ce « petit bénévole du matin au soir » de la Meuse âgé de 68 ans ? A compter de 2024 au plus tard, ces irréductibles « post-retraités » devront choisir entre les aides Pac ou la pension de retraite, qui ne seront plus cumulables, en vertu du Plan stratégique national.
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Voir pleinchamp.com


Du côté d'Auguste Derrière
2 - 22/09/22


 


Du côté d’André Heitz

> « Arrêtons d’emmerder les agriculteurs ! », 44 sénateurs de droite dans l'Opinion

> « Notre système agricole et agroalimentaire français fait faillite, "et nous regardons ailleurs" » de M. Florian Delmas dans Choiseul Magazine

> Pas de dons pour l'organisation caritative Misereor !

> Inciter ou imposer (« nudging or wedging ») : pourquoi ne faisons-nous pas ce qui est « bien » pour nous ?

> CRISPR s'attaque à la maladie mortelle du virus de la mosaïque du manioc

> En Allemagne... Étiquetage du bien-être animal : les milieux économiques mettent en garde contre le paquet trompeur d'Özdemir

> Des robots autonomes sèment, fertilisent, sarclent : voici comment cela fonctionne à la ferme Simml et en Suisse

> Sécheresse et manque de fourrage : le sorgho peut-il rivaliser avec le maïs ?

> La fille du fermier : Quand l'activisme anti-agricole fait partie du recueil de stratégies des politiciens

> Il y a dix ans, l'Obs pulvérisait le mur de l'obscénité avec les rats de Séralini

> Crise du/de la bio : soyez sérieux et transparents, Agence Bio !

22/09/22


 

> « Actualisation » des règles européennes sur l'utilisation des pesticides


Du côté du ministère de l’Agriculture

> Construire les transitions alimentaires avec France 2030 : lancement du Grand Défi « Ferments du futur »

> « Ma cantine » : une plateforme numérique pour aider la restauration collective à réussir sa transition alimentaire


   


Du côté de la Fnsea

> Le Président de la République pose les jalons d’une réforme structurante de la gestion des risques en agriculture

Un an après avoir mis sur les rails la réforme de la politique de gestion des risques, le Président de la République a apporté, lors de Terres de Jim, événement organisé par Jeunes Agriculteurs, la dernière brique permettant l’application de la loi du 2 mars dernier à partir du 1er janvier 2023.

Cette annonce était très attendue par la FNSEA et JA. Elle est de nature à provoquer le « choc assurantiel » pour que les agriculteurs aujourd’hui non-couverts saisissent l’opportunité de s’assurer et que les actuels assurés ne se détournent pas de l’assurance. C’est grâce à ce travail constructif partagé avec le Ministre et avec l’ensemble des associations spécialisées, toutes filières confondues, que nous avons pu aboutir positivement.

Dès le 1er janvier 2023, le seuil de déclenchement des contrats d’assurance multirisques climatiques sera fixé à 20% de pertes et les assurés bénéficieront d’un soutien public renforcé à hauteur de 70% de la prime. La solidarité nationale interviendra pour les risques les plus élevés. Dès les seuils atteints, l’Etat prendra en charge 90% de l’indemnisation versée aux assurés.

L’application pleine et entière des termes du règlement européen de 2017 dit « Omnibus » pour toutes les filières, complétée par la mobilisation de la solidarité nationale, créera une véritable dynamique pour que chaque agriculteur, quelles que soient ses productions, puisse bénéficier d’une couverture minimum.

Désormais, il faut aller vite pour mettre en œuvre ces choix forts en termes de protection des agriculteurs contre les effets du changement climatique.

Il est nécessaire que les compagnies d’assurance soient opérationnelles dès janvier 2023 et qu’elles puissent, le plus rapidement possible, adapter les contrats proposés. Nous comptons également sur

les assureurs, partenaires de la réforme, pour fixer, sans tarder, les règles de fonctionnement du pool de réassurance institué par la loi. Il en va de l’équilibre global du futur dispositif.

Rappelons aussi que cette réforme structurelle ne sera complète qu’après la refonte de la règle de la moyenne olympique quinquennale servant de base à l’historique de rendement. Il faut ouvrir ce chantier sans attendre !

Enfin, rappelons que cette réforme est universelle et qu’elle permet à tous les agriculteurs d’accéder au fonds de solidarité nationale. Pour autant, nous poursuivrons le travail, en lien étroit avec les assureurs, pour que tous les secteurs puissent bénéficier d’un produit d’assurance adapté.

Après la succession d’épisodes climatiques catastrophiques, et dans la dernière ligne droite de finalisation des textes, l’engagement fort du Président de la République permet de créer l’impulsion positive que nous attendions et de donner des perspectives favorables à la résilience des exploitations agricoles et à la défense de notre souveraineté alimentaire.


Forêt en Île-de-France (Sous-bois), vers 1946-1948, de André Derain
08 - 22/09/22  


> Réforme de l’assurance récolte : la filière viticole salue les annonces du Président de la République pour un outil assurantiel équitable et équilibré, et plaide pour une révision rapide de la référence historique

Vendredi 9 septembre, lors de l’évènement « Les Terres de Jim » organisé par Jeunes Agriculteurs, et un an après le lancement de la réforme, le Président de la République a répondu aux attentes fortes de la profession en annonçant les futures modalités de l’assurance récolte au 1er janvier prochain.

Ainsi, le secteur viticole pourra bénéficier, comme les autres secteurs agricoles, de l’application de l’Omnibus, c’est-à-dire d’un contrat d’assurance multirisque climatique subventionné à 70% pour un seuil de déclenchement et de franchise à hauteur de 20%. Il sera également accompagné par la solidarité nationale pour les risques les plus élevés, dont le seuil de déclenchement devra être de maximum 50%, avec une prise en charge par l’Etat à hauteur de 90% de l’indemnisation versée aux assurés.

Ces modalités, très attendues par la filière, étaient des conditions essentielles pour la mise en place d’un dispositif équitable et équilibré.
Si cette réforme permet à tous les agriculteurs d’accéder au fonds de solidarité nationale, nous rappelons l’importance pour le secteur de la pépinière viticole française de bénéficier d’un produit d’assurance adapté afin de soutenir les producteurs qui subissent aussi les conséquences des aléas climatiques.

Nos organisations tiennent à rappeler que l’attractivité renouvelée du dispositif ne sera complète qu’avec la révision indispensable et urgente de la méthode de détermination de la référence historique. En effet, la moyenne olympique ou la moyenne triennale sont actuellement un véritable frein à l’efficience du contrat.


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> Réforme de la gestion des risques : tous les feux sont au vert !

Quelques jours après l’annonce attendue du Président de la République actant les principes de la réforme de la gestion des risques climatique en agriculture, et notamment l’application des critères issus du règlement européen de 2017 dit « Omnibus », la Première Ministre vient d’arbitrer favorablement le niveau des derniers paramètres encore en discussion.

Ainsi, a été clarifié le seuil d’intervention de la solidarité nationale : celle-ci interviendra pour les risques les plus élevés soit 50% de pertes pour les grandes cultures et la viticulture et 30% pour l’arboriculture et les prairies. Dès ces seuils atteints, l’Etat prendra en charge 90% de l’indemnisation versées aux assurés. Cette indemnisation sera réduite de moitié pour les non-assurés.

En conséquence, les agriculteurs pourront bénéficier, dès le 1er janvier 2023, d’un contrat d’assurance multirisques climatiques intervenant au-delà d’une franchise de 20%, avec un soutien public renforcé à hauteur de 70% de la prime payée et d’une protection pour les sinistres les plus importants issue de la solidarité nationale pour des pertes supérieures à 30% ou à 50% selon les productions.

La FNSEA salue ces choix forts et l’engagement constant du Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire pour construire un dispositif concret et accessible à tous en vue d’atteindre la souveraineté alimentaire française. Elle acte également le principe d’une clause de rendez-vous sur le financement du nouveau régime de gestion des risques en agriculture en cas de dépassement du budget de 600 millions + 80 millions d’euros, tel qu’annoncé par le Président de la République. Toutes les conditions sont désormais réunies pour créer un véritable appel d’air en faveur de l’assurance. Dès à présent, la FNSEA et son réseau va se mobiliser pour assurer son développement et permettre ainsi aux agriculteurs d’avoir de la visibilité face à des aléas climatiques toujours plus fréquents.

Les travaux ne sont pas pour autant terminés, notamment sur la préparation des contrats ou à plus long terme sur la moyenne olympique, et nous continuerons d’œuvrer pour que les modalités pratiques de mise en œuvre répondent aux besoins.

Cette réforme historique et structurante pour l’avenir de l’agriculteur repose sur une responsabilité partagée entre les agriculteurs, les assureurs et l’Etat. L’équilibre global qui en découle permettra, pour tous les agriculteurs, de bénéficier d’une couverture universelle des risques climatiques et de d’un accès facilité à l’assurance. C’est la première pierre posée par le Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement climatique.


Du côté d'Auguste Derrière
3 - 22/09/22


 


Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)

CONNERIE (La) : S'il y avait une taxe dessus, l'État ferait fortune.
Fred ABADIE-GASQUIN MARTIN

Extrait du dictionnaire de Jojo. Torturer les mots pour les faire rire
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr


 
Opinions et curiosités du web (2)


La race humaine (humour juif séfarade)

Une petite fille demande un jour à sa mère : Maman, comment la race humaine est-elle apparue?

La maman répond : Dieu fit Adam et Eve et ils eurent des enfants. C'est ainsi que la race humaine est apparue.

Deux jours plus tard, la petite fille pose à son père la même question.

Le papa répond : ll y a très longtemps existaient les singes. Au fil des années ils se transformèrent pour devenir des hommes. C'est ainsi qu'est apparue la race humaine.

Confuse, la petite fille retourne voir sa mère et lui demande : Maman comment se fait-il que tu m'aies dit que la race humaine a été créée par Dieu et que papa m'affirme qu'elle vient du singe ?

Chérie, répond la maman, c'est que moi je t'ai parlé de l'origine de ma famille et ton père de la sienne !


Forêt aux Lecques, Provence, de André Derain
09 - 22/09/22  


Première pensée du jour

Si comme Charles III, vous faites du lobbying pour l'homéopathie et la biodynamie, vous niez la science, c'est très clair.
Oliver RAUTENBERG
Voir lexpress.fr


Seconde pensée du jour

En déclarant préférer le travail au chômage, je n’imaginais pas provoquer pareille polémique. Que n’avais-je dit ? Certains ont pris leurs plus beaux airs indignés et y ont vu une saillie inspirée des pires discours de la droite réactionnaire. D’autres sont allés jusqu’à s’élever contre un racisme à peine larvé. Quel délire !

Quand on parle des autres, on parle d’abord de soi. En s’indignant ainsi, que disent-ils d’eux-mêmes ? Qu’ils ont démissionné. Qu’ils ont renoncé à la grande ambition qui devrait rassembler la gauche : celle d’éradiquer le chômage. Si l’esclavagisme revenait demain, ils négocieraient avec le Medef le poids des chaînes. Pas moi. Car le chômage tue, il bousille des vies. Il fait basculer des familles entières dans la pauvreté. Il instille partout le venin de la division entre ceux qui ont un emploi et ceux qui en sont privés. De là où je vous parle, dans ce Nord ouvrier depuis si longtemps fier de ses usines et du savoir-faire de ses travailleurs, on sait la dureté du travail et le coût du chômage.

On sait intuitivement que le chômage est « l’armée de réserve » du capital, comme le disait si bien Marx.
Fabien ROUSSEL, Secrétaire national du PCF
Voir lemonde.fr


Mon opinion (GW) : La première intuition de Fabien Roussel me parait être la bonne. Il faut préférer le travail au chômage. Et c’est ce que propose E. Macron. Mais l’idée que le chômage est « l’armée de réserve » du capital, me semble très datée sinon absurde.

1. Les quatre lois Hartz (surtout la IV) du Chancelier Schröder ont fait hurler la gauche allemande, mais ont permis de réduire drastiquement le chômage en Allemagne. Pourquoi ? Simplement nous préférons être payés pour travailler plutôt que pour ne rien faire, même si on nous force un peu à travailler. François Hollande et Emmanuel Macron ont fini par réduire le chômage avec leur politique de l’offre dont la diminution des charges de production.

2. Évoquer Marx à ce sujet est anachronique. Depuis Keynes, tout le monde, y compris les actionnaires et dirigeants d'entreprises, sait que les personnels des entreprises sont aussi des clients et que le pouvoir d'achat des personnels est un puissant levier de croissance économique. Il y a un avant et après Keynes.

3. On le tourne comme on veut, la voie "centriste" du Président Macron a été et reste efficace.
Comme le dit le Président du MEDEF, M. Roux de Bézieux, il ne faudrait pas laisser s’installer l’idée que la politique de l’offre, c’est fini. Elle a permis de créer 1,4 million d’emplois depuis 2015.


Troisième pensée du jour

Poutine est la personne qui a créé la Russie actuelle ; c’est la Russie qui a créé Poutine. Il est le produit d’une triste évolution de l’État et de la société russes. Dans ce sens, les Russes ont un certain niveau de responsabilité. Ce n’est pas seulement la guerre de Poutine.
Marek CICHOCKI - historien et philosophe polonais


Incroyable politisation des débats sur la Covid-19 / Incredible politisation of debates about Covid-19
05 - 22/09/22  


Énorme budget de la défense américaine / US huge defense budget
06 - 22/09/22  


Passer au solaire photovoltaïque ?
Voir par exemple idex.fr


Xavier Gorce toujours formidable dans Le Point
22/09/22
 


William Jackson, agriculteur au Royaume-Uni : « La nation pleure la perte d’un serviteur exceptionnel »

Alors que le Royaume-Uni va faire son dernier adieu à sa souveraine Elisabeth II, ce lundi 19 septembre 2022, nous avons contacté William Jackson, agriculteur à la frontière écossaise, pour recueillir ses impressions et nous parler aussi de sa moisson.

"La nation pleure la perte d'un serviteur exceptionnel. Elisabeth II a fait preuve d'un véritable leadership grâce à sa discipline, sa réserve, son humilité et son sens du sacrifice. Nous sommes à 10.000 lieues des frasques de nos dirigeants actuels, et fort heureusement le dernier Premier ministre Boris Johnson a fini par démissionner.
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Voir cultivar.fr


TV Agri : actualités agricoles. Toute les actualités de l'agriculture en vidéo. Informations agricoles

 


A first thought for today

If more politicians in this country were thinking about the next generation instead of the next election, it might be better for the United States and the world.
Claude PEPPER, senator and representative (1900-1989)


A second thought for today

I am patient with stupidity but not with those who are proud of it.
Edith SITWELL, poet (1887-1964)


A third thought for today
We all have our time machines. Some take us back, they're called memories. Some take us forward, they're called dreams.
Jeremy IRONS, actor (1948 - )


Mouvements salutaires (?) contre l'énergie éolienne / Welcomed movements (?) against wind turbines
07 - 22/09/22  


A review of the book “Superabundance” by Marian Tupy and Gale Pooley (review published in The Economist)

Superabundance: The Story of Population Growth, Innovation and Human Flourishing on an Infinitely Bountiful Planet. By Marian Tupy and Gale Pooley. Cato Institute; 655 pages; $34.95

In 1980 Chinese officials met to discuss birth control. One of them, Song Jian, had just returned from Europe, where he had read two influential books: “The Limits to Growth” (published by the Club of Rome, a think-tank), and “A Blueprint for Survival” (based on an article in the Ecologist magazine). Both argued that a growing population would deplete Earth’s resources, with results including “the breakdown of society and the irreversible disruption of life-support systems on this planet”.

Mr Song helped persuade China’s Communist Party to enforce a merciless one-child policy for 35 years. Couples with excess babies were hit with ruinous fines; the homes of some were bulldozed. Illegal children were denied public services or put up for adoption abroad. Women pregnant with a second child were tied down and subjected to late-term abortions. Some officials drowned illicit babies in buckets.

China’s one-child policy is an extreme example of what Marian Tupy and Gale Pooley call “anti-humanism”: the belief that people are a burden on the planet, and so the fewer of them there are, the better. A few environmentalists espouse grotesque versions of this view. The authors quote Christopher Manes, who suggested that HIV/AIDS was “the necessary solution” to overpopulation. Others, such as Alexandria Ocasio-Cortez, a star of America’s Democratic Party, merely question whether it is ethical to have children. She is far from alone: according to an international poll, a hefty 39% of people hesitate to procreate for environmental reasons.

Mr Tupy, who works for the Cato Institute, a libertarian think-tank, and Mr Pooley (of Brigham Young University), think people should be free to have the number of children they want. Because they have brains as well as mouths, they argue, more people mean more innovation—which in turn means many of the problems caused by a rising population can be solved by it.

This is not a new idea. It was the inspiration behind a bet between the late Julian Simon, an economist, and Paul Ehrlich, a population alarmist, in 1980. Mr Ehrlich was sure that the world was running out of stuff, so a basket of commodities (chromium, copper, nickel, tin and tungsten) would get more expensive over the next decade. Simon reckoned human ingenuity would unlock new resources, so they would get cheaper. Simon won the bet.

Mr Tupy and Mr Pooley have broadened the scope of Simon’s analysis. They look at a wider range of goods over a longer period of time (some of their data goes back to 1850). And they use a different measure of value. Instead of relying on prices in dollars and adjusting for inflation, which is hard to do accurately across borders and eras, they look at “time-prices”: how long it takes to earn enough to buy something. If someone earns $10 an hour and a banana costs $1, for example, the time-price of a banana is six minutes.
As well as being robust, the method yields some cheering results. The average time-price of a basket of 50 commodities, from uranium and rubber to tea and shrimp, fell by 72% worldwide between 1980 and 2018. Resources are becoming more abundant (ie, available to more people) as new ways to find and exploit them are invented. The time-price of many manufactured goods fell even faster. In 1997 it took a typical blue-collar worker in America 828 hours to buy a flat-screen television; by 2019 that had fallen to 4.6 hours.

Time-prices suggest the world is getting richer at a cracking pace (with the odd hiccup when there is a pandemic or war). They also offer a fresh perspective on global inequality. By the authors’ calculations, in 1960 a typical Indian had to toil for seven hours to put rice on the family table, while a typical American had to work for one hour to buy enough wheat. For their grandchildren in 2018 those figures had fallen to 58 minutes and 7.5 minutes respectively.

Thus in 1960 the Indian worked 7 times longer to buy food; that ratio rose to 7.7 for his grandson, suggesting that inequality has increased. But another interpretation is that the Indian gained 362 minutes a day, while the American gained a seventh of that. “Time inequality between the two has declined dramatically,” the authors judge. “When basic things get more abundant, it’s the poor who benefit the most.”

Past progress is widely underestimated, they argue, and the future is probably rosier than most people imagine. Plenty of things could go wrong, they concede. Restraints on free speech could stifle innovation; governments could muffle market forces, reducing the incentive to develop new ideas. They devote too little space to climate change, but their main suggestion—that more research will be required to make nuclear power cheaper and safer—is right as far as it goes.

This book has other small flaws, among them the subtitle: no planet can be “infinitely bountiful”. But overall it is brain-stretching, optimistic and humane.

See economist.com


La France et l'Allemagne, parmi les « grands pays », sont les moins mauvais côté objectifs de développement durable /
France and Germany, “among the big countries“ the least bad when it comes to the Sustainable Development Goals

See sdgindex.org
08 - 22/09/22

NB : je crois que tout est moins compliqué chez nos "petits" voisins ! (GW)
 


“Superabundance” Review by Jeremy Horpedahl, August 31, 2022
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The authors use the approach of “time prices” throughout the book. They are not the first to use this approach. Julian Simon (their inspiration for this project) used it in various places in his work. William Nordhaus famously used it is in paper on the history of the price of lighting. And Michael Cox and Richard Alm have used the time-price approach in many of their writings, from the 1997 Dallas Fed annual report, to a full-length book a few years later, as well as updates to the original 1997 report. And if you follow me on Twitter, I like to use this approach too.

In short, “time prices” tell us how many hours of work it takes to purchase a given good or service at different points in time. How many hours would you have to work to buy a pound of ground beef? A square foot of housing? An hour of college tuition? It’s the superior method when you are looking at the price of a particular good or service over time, compared with a naïve inflation adjustment, which only tells you if the price of that good/service rose faster or slower than goods or services in general, not if it’s become more affordable. Inflation adjustments are really only useful when you are trying to compare income or wages to all prices, to see if and how much incomes have increased over time. Of course, which wage series you choose is important (and you need to have a consistent series over time, or at least the end points), but as the authors point out (which they learned from me!), if you looking at wages after 1973, the wage series you use doesn’t matter much. Median wages, average wages, wages of the “unskilled” — these all give you the same trend since 1973. We don’t have all of these back earlier (especially median wages), but there’s not much reason to believe they’ve diverged that much. And the authors also present their data using multiple wage series in many of the charts and tables.
.../...
See economistwritingeveryday.com


Thought about the book “Superabondance”, by Tupy and Pooley

“People don’t depend on stuff; they depend on ideas—formulas, algorithms, knowledge—which allow stuff, useless by itself, to satisfy our wants. In this lucid and illuminating book, Tupy and Pooley lucidly use this insight to explain a fact that, surprisingly, surprises people: over the centuries, our increasing knowledge has made more stuff available to us.”

Steven PINKER, author of Enlightenment Now: The Case for Reason, Science, Humanism, and Progress


Gazette de vitisphere.com,
portail vitivinicole

 


After deliberating less than an hour, Missouri county jury concludes glyphosate weedkiller did not cause plaintiff's cancer, delivering Bayer/Monsanto 5th court victory in a row…
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A St. Louis County jury has determined Bayer and the former Monsanto should not be held liable in a lawsuit over the weed killer product Roundup.

Three plaintiffs in their 60s and 70s had claimed long-time exposure to Roundup—specifically the chemical glyphosate—gave them lymphoma and that Monsanto neglected to warn the public of its dangers. Monsanto said Roundup does not cause cancer.
.../...
See geneticliteracyproject.org


Yuan Longping, the Chinese agronomist who created the world's first high-yield hybrid rice

In the early 1970s, Yuan developed the first variant of high-yield hybrid rice. Yuan’s discoveries, coupled with breakthroughs in wheat hybridization in the 1950s and 1960s by Norman Borlaug, helped usher in the Green Revolution, which reduced the likelihood of famine in most of the world.

As rice is the staple food for approximately half the world’s population, by increasing the plant’s yield, Yuan’s work helped save millions of lives.

By the late 1990s, the excess yield brought about by Yuan’s hybrid rice fed an additional 100 million Chinese people each year. Today, varieties of Yuan’s rice are grown in more than 60 countries worldwide.
See humanprogress.org


Crise de l'immobilier aux USA (1) / US Housing crisis (1)
09 - 22/09/22  


Crise de l'immobilier aux USA (2) / US Housing crisis (2)
10 - 22/09/22  


Musical Abundance, by Gale Pooley

In 1955, an unskilled worker in the U.S. had to work for 40 minutes to afford a song.

By 2003, that dropped to 6.42 minutes.

Today, the time price of a song is around one-eighth of a second.

For the time it took our grandparents to earn the money to buy one song in 1955, we get 19,750 songs today.
See humanprogress.org


San Francisco, center of progress during the digital revolution

In a modern gold rush, the opportunities offered by digital technology drew scores of entrepreneurs to the San Francisco Bay.

The result was a flurry of innovation that transformed how we work, communicate, learn, seek entertainment, and more.
See humanprogress.org


Vidéo de l'Académie
d'Agriculture de
France




New malaria vaccine is world-changing, say scientists, by James Gallagher, BBC Health and science correspondent

A malaria vaccine with "world-changing" potential has been developed by scientists at the University of Oxford.

The team expect it to be rolled out next year after trials showed up to 80% protection against the deadly disease.

Crucially, say the scientists, their vaccine is cheap, and they already have a deal to manufacture more than 100 million doses a year.

The charity Malaria No More said recent progress meant children dying from malaria could end "in our lifetimes".

It has taken more than a century to develop effective vaccines as the malaria parasite, which is spread by mosquitoes, is spectacularly complex and elusive. It is a constantly moving target, shifting forms inside the body, which make it hard to immunise against.

Last year, the World Health Organization gave the historic go-ahead for the first vaccine - developed by pharmaceutical giant GSK - to be used in Africa.

However, the Oxford team claim their approach is more effective and can be manufactured on a far greater scale.

Trial results from 409 children in Nanoro, Burkina Faso, have been published in the Lancet Infectious Diseases. It shows three initial doses followed by a booster a year later gives up to 80% protection.
.../...

See bbc.com
22/09/22
 


Paysage aux rochers, c. 1928, de André Derain
10 - 15/09/22  


Korean nuclear fusion reactor achieves 100 million°C for 30 seconds, by Matthew Sparkes, 7 September 2022

A sustained, stable experiment is the latest demonstration that nuclear fusion is moving from being a physics problem to an engineering one
A nuclear fusion reaction has lasted for 30 seconds at temperatures in excess of 100 million°C. While the duration and temperature alone aren’t records, the simultaneous achievement of heat and stability brings us a step closer to a viable fusion reactor – as long as the technique used can be scaled up.

Most scientists agree that viable fusion power is still decades away, but the incremental advances in understanding and results keep coming. An experiment conducted in 2021 created a reaction energetic enough to be self-sustaining, conceptual designs for a commercial reactor are being drawn up, while work continues on the large ITER experimental fusion reactor in France.

Now Yong-Su Na at Seoul National University in South Korea and his colleagues have succeeded in running a reaction at the extremely high temperatures that will be required for a viable reactor, and keeping the hot, ionised state of matter that is created within the device stable for 30 seconds.
.../...
See newscientist.com


Trois Arbres, l'Estaque, 1906, de André Derain
11 - 22/09/22  


Chuck Norris stories

41. Chuck Norris is the only man that knows Victoria’s Secret.

42. Chuck Norris once visited the Virgin Islands. They are now just the islands.

43. Chuck Norris once strangled someone… with a cordless phone.

44. It’s impossible for Chuck Norris to have a heart attack. Nothing attacks Chuck.

45. Chuck Norris was wrong once. He thought he made a mistake.

46. Chuck Norris once won an arm wrestling competition… with his hands tied behind his back.

47. Chuck Norris once stared into the abyss. It’s never been seen since.

48. Chuck Norris once punched a cyclops… between the eyes.

49. Chuck Norris destroyed the periodic table, he only recognises the element of surprise.

50. Outer space exists for one reason and one reason only. It’s afraid to be on the same planet as Chuck Norris.
See medium.com


   


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Do not miss the Virus Jokes in English and French

Blagues de janvier – février 2021
Coronavirus 1 
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Ant joke
Virus 1
Virus 3
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Dernières histoires de Michel Gil-Antoli
Et encore... 
Et celles de mars-avril 2021
Special "Biblical studies"
Celles de juillet 2021 en français et en anglais, dont 17 sur le virus en bas de page)
Blague d'octobre 2021
Suite des blagues d'octobre 2021
Blagues de décembre 2021

Seconde vague 2022 de blagues
Celles d'août 2022 <<<<<<<<<<<<<<<<<
Coronavirus 2
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Tout sur le vaccin
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Celles de juillet 2022


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