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Allez consulter la formidable encyclopédie de l’Académie d’agriculture
où règne une intéressante pluralité de points de vue !
Une ressource trop méconnue.
Voir
academie-agriculture.fr
La chaine youtube.com de l’Académie d’Agriculture
Aujourd’hui 2000 abonnés à la chaîne, plus de 2900 vues de la
séance « L’agriculture de conservation des sols » et plus de 3100
pour la première partie du colloque « Une seule santé : les microbes
et l’antibiorésistance ».
À l'heure où "la sur-médiatisation l'emporte souvent sur la
raison" et où "les tribuns autoproclamés experts empêchent
les vrais experts souvent mauvais tribuns de s'exprimer", notre
compagnie riche de plus de 250 années de SAVOIR RECONNU, se devait
d'avoir sa chaîne YouTube pour ÉCLAIRER le plus grand nombre, et
en particulier les jeunes, en diffusant par vidéo sa RÉFLEXION sur
le progrès dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation
et de l'environnement ainsi que ses EXPLICATIONS sur les enjeux
techniques, économiques, sociaux et environnementaux dans ces domaines.
Nous espérons que le nombre de vos visionnages de nos vidéos de
diffusion d'un SAVOIR CRÉDIBLE attesteront que notre chaîne Académie
d'Agriculture de France a atteint son objectif !
Voir
la chaine youtube.com de l’Académie d’agriculture
Avant l’informatique / Before computers
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23/05/2023
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Le fonds documentaire de l’Académie d’agriculture de France et
son encyclopédie !
L'encyclopédie rasssemble de larges connaissances sur l’agriculture
l’alimentation et l’environnement, a été créée
grâce aux contributions de 132 membres de la Compagnie et
de 40 experts extérieurs.
Voir
l'encyclopédie de l'Académie d'agriculture
Voir
la bibliotheque.academie-agriculture.fr (moteur de recherche)
Contact : André FOUGEROUX
Mél : fougeroux.andre(a)outlook.com
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Opinions
et curiosités du web (1)
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"Data Sciences en Agriculture" : la vidéo de la très
intéressante séance du 10 mai 2023 de l'Académie d'agriculture
de France
Voir Académie
d’Agriculture
Les résumés et diaporamas des exposés présentés au cours de
la séance "Data Sciences en Agriculture" le 10 mai 2023
>>> Introduction, par Guy WAKSMAN
>>> L'IA à la ferme : moissonner les données pour quels
rendements ?
Alexandre TERMIER, Professeur Université de Rennes 1, responsable
du LACODAM (Large scale Collaborative Data Mining) de l’INRIA
>>> Utilisation de l’apprentissage automatique (machine
learning) pour concevoir un nouvel outil d’aide à la décision
prédictif en protection des cultures
François BRUN, ACTA, responsable du pôle agriculture numérique
et science des données, Coanimateur du Réseau Mixte Technologique
Science des données et Modélisation pour l’Agriculture et l’Agroalimentaire
>>> Exemples d’utilisations des data sciences en grandes
cultures (dont le phénotypage haut débit)
Benoît De SOLAN, Arvalis Institut du Végétal, spécialiste des
capteurs et de l’analyse d’images
>>> Exemples d’utilisations des data sciences en élevage.
Besoins de nouvelles compétences
Elodie DOUTART , Institut de l’élevage, responsable du service
Data’stat
>>> Data sciences et causalité : exemple des forêts aléatoires
Emmanuelle GOURDAIN , Arvalis Institut du Végétal, Chef du service
Méthodes
>>> Conclusion par Philippe STOOP
Quand un algorithme n'aime pas le lait... Le lait est désormais
classé B ou C sur le nouveau Nutri-Score ! Par André Heitz
../…
Comme le disait Georges Orwell, cité par Bernard Crick, Georges
Orwell, une vie, « Il y a des personnes, comme les végétariens
et les communistes, avec qui il est impossible de discuter. »
Personnellement, j’ajouterais les sociologues et les nutritionnistes…
Faites comme moi, faites vos courses au marché, il n’y a pas de
Nutri-Score, et c’est tant mieux !
Voir
seppi.over-blog.com
Châtillon
(92) en fête ! Concert de La Lyre (GW : Clarinette basse)
10 juin 2023
- 17h - 18h - Parc des sarments - Près de la mairie - 92320
CHATILLON
Contact : Guy
WAKSMAN
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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23/05/2023
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Il vaut mieux en rire. Comme l'a dit Einstein, il n'y a pas
de vaccin contre la bêtise !
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23/05/2023
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Le wokisme peut-il ébranler la société industrielle ? Par Ernest
Mund - 11.05.2023
.../...
Ce qui ne manque pas d’inspirer de l’inquiétude est le fait que
la société industrielle d’aujourd’hui a de nombreux ennemis et
que ceux-ci pourraient en tirer parti. Au nombre des ennemis figure
le mouvement d’écologie profonde pour lequel l’avenir de l’humanité
se réduit à la décroissance, gage d’impasse sur la destinée prométhéenne
de la technologie (5).
Les déclarations sans nuances de la députée EELV Sandrine Rousseau
(6), relatives au droit à la paresse dans le contexte de la réforme
des retraites, font preuve elles aussi de méfiance, voire d’hostilité
à l’égard d’une politique industrielle du secteur privé et de
son corollaire, le libéralisme économique. Se proclamant par ailleurs
éco-féministe, Sandrine Rousseau fait siennes les affirmations
du wokisme au nom de l’intersectionnalité de la lutte contre le
« suprématisme blanc » et toutes ses réalisations passées et présentes,
englobant ce développement.
La société industrielle est certes loin d’être parfaite dans sa
forme actuelle ; elle comporte de nombreux défauts incontestables
tels pollutions, déchets et gaspillages de matières premières.
Il faut donc veiller à les corriger pour la rendre plus acceptable
sous l’angle des préoccupations environnementales. Mais elle doit
être défendue bec et ongles : sa disparition serait une catastrophe
pour l’avenir du genre humain.
Voir
europeanscientist.com
Troubles psy
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23/05/2023
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Ces deux jeunes gens cherchent visiblement le conflit,
la castagne comme on dit dans le Sud-Ouest. Une façon
de draguer. La rose est sur la table, le rosé ne
doit pas être mauvais. Tout va bien.
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Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour
l'avenir de la vigne
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le livre
The Irish Famine Memorial in Dublin: A tribute to the victims
of the Great Famine (1845-1849)
Farmer’s Daughter: Tragedies of the past should inform our
future, by Amanda Zaluckyj, The Farmer’s Daughter USA, March 17,
2017
Crop failure. Famine. Starvation.
For most Americans, these words maintain some meaning, but mostly
in a historical context. With an abundant food supply, we hardly
recognize the reality of such things, and consider it only something
that happens in other parts of the world. Even in 2012, when many
farmers suffered through a drought, most consumers likely did
not even notice, aside from needing to water their lawns more
often. If anything, they may have experienced negligible price
increases at the grocery store.
But for much of human history, the reality of crop failure, famine,
and starvation was front and center, and many significant historical
events shaping politics and world governments resulted from food
shortages.
Of course, with today being St. Patrick’s Day, it is the perfect
opportunity to reflect on one of those crop failures that changed
the course of history — the Great Potato Famine.
.../...
While it may seem unimaginable to us, such things do continue
to happen in our world today. The potato blight still exists,
and potato farmers employ crop protection tools to fight against
it. In fact, Simplot’s Innate potato was genetically engineered
to be resistant to the blight. Imagine if you told those Irish
families facing disease, starvation, and death that we could give
them potatoes that would not wilt and die, even if they came into
contact with the disease ruining their crops. Sure, they might
not exactly understand what we meant by our scientific explanations,
but I’m sure the preference would be for the technology over listening
to their children scream at night from hunger.
Still today, we have people who are food insecure, farmers struggling
to protect their crops from pests, and children suffering from
diseases. We have the tools, the science, and technology to address
these problems, but we have to have the opportunity to do so.
Unfortunately, while these problems seem so far removed from our
dinner tables, people tend to buy into messages that disparage
and hinder our ability to find solutions.
We need the naysayers to get out of the way so those solutions
have a chance to work.
For a very good source and read about the Irish Potato Famine,
please visit The History Place (see hereafter).
See
agdaily.com
The Great Hunger (The History Place)
Matinée d’automne (la grande vue de Vernon), circa 1922, par
Pierre Bonnard
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01
- 23/05/2023
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Aristide Bruant
Aristide Bruant, chanteur, patron de cabaret (le « Chat Noir »
!), provocateur, insultant le bourgeois, et pour finir… châtelain
fortuné.
Voici son plaidoyer, sans doute aussi sincère que tout le reste
!
Je cherche une poésie sur les trottinettes électriques, mais peut-être
est-ce un peu tôt ?
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Le bicycliste, de Aristide Bruant (1851 - 1925)
Le bicycliste est le roi de la route,
Sur sa bécane il fuit comme l’éclair,
Comme l’oiseau qui, sous l’immense voûte,
S’élance au large et disparaît dans l’air.
Le bicycliste a le cerveau tranquille,
Bon estomac, excellent appétit,
Loin des tracas et du monde imbécile,
Il est toujours frais de corps et d’esprit.
Pédalons donc tous autant que nous sommes,
Tournons, virons, courons dur et longtemps,
La bicyclette améliore les hommes,
Et l’on vivra bientôt jusqu’à cent ans.
Contact : Maurice GUEGUEN
Mél : maugueg2(a)gmail.com
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Bruant
à Bicyclette (1892), par Henri de Toulouse-Lautrec
(1864-1901)
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Croire ou ne pas croire les services secrets
Nous n’avons pas cru que la Russie de Poutine envahirait l’Ukraine,
comme :
- l’État-Major français n’a pas cru le colonel Paillole qui
annonçait l’offensive allemande sur la Pologne en 1939 (l’émission
de France Culture sur le sujet est fascinante),
- Staline n’a pas cru que Hitler envahirait la Russie en
1941 comme l’avait annoncé Richard Sorge.
- Par contre le maréchal russe Joukov a cru Richard Sorge
qui avait affirmé que le Japon n’envahirait pas la partie orientale
de l’URSS, ce qui lui a permis de dégarnir ce front oriental au
profit du front contre les allemands.
>>> Le colonel Paillole : "Grâce à Hans-Thilo
Schmidt nous avons appris l'invasion de la Pologne un mois à l'avance"
Voir
radiofrance.fr
>>> 18 octobre 1941, Arrestation de Richard Sorge,
par André Larané
Voir
herodote.net
Une
centaine d'aquarelles de cépages français
réalisées par l'illustre Pierre-Joseph Redouté,
ont été retrouvée à l'Académie
d'agriculture. Elles témoignent de la naissance
d'une science des vins.
Au
début du XIXe siècle, le minsitre de l'Intérieur
Jean-Antoine Chaptal demande à Pierre-Joseph Redouté,
connu pour ses peintures des roses du château de
Malmaison, de représenter l'ensemble des cépages
français réunis dans une collection au jardin
du Luxembourg. Quatre-vingt trois aquarelles sur vélin
de variétés de vignes nous sont parvenues.
Elles sont publiées pour la première fois
et accompagnée d'un texte explicatif de l'un des
plus grands ampélographes français : Jean-Michel
Boursiquot.
Ces planches ont une valeur patrimoniale incomparable.
Elles ont été réalisées par
les plus fameux illustrateurs botaniques de l'époque,
au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté
et marque une date hautement symbolique dans l'histoire
de la viticulture française : les prémices
de l'ampélographie.
À l'heure du regain d'intérêt pour
les cépages autochtones et des nombreuses interrogations
que posent le réchauffement climatique, les vélins
témoignent de la diversité passée
dans un pays où 95% de la production vinicole reposent
aujourd'hui sur 40 variétés. Au-delà
de la reproduction de ces planches, c'est l'histoire du
vin et de la vigne qui nous est racontée, ou comment
on s'est inquiété de la qualité du
vin dès le XIXe siècle. L'ouvrage se conclut
par un éclairage scientifique sur l'avenir de la
vigne au XXIe siècle.
Voir
editionspaulsen.com
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L'expertise sans peine ; paradoxes de l'expertise, de Sébastien
Dieguez et Nicolas Gauvrit
On révère le talent des experts qui, de radios en journaux, de plateaux
télévision en chaînes YouTube, de conférences en séminaires de formation,
nous offrent au pied levé des perles de sagesse et des joyaux de
connaissances savamment ciselées.
Or, on s'imagine à tort qu'une telle expertise requiert des années
douloureuses d'études et suppose une lente accumulation de savoirs
complexes au cours d'un laborieux travail. Rien n'est plus faux
! L'expertise, au contraire, est à la portée de n'importe qui, dès
maintenant. Et si elle nécessite des talents particuliers qu'il
faut savoir cultiver, elle ne requiert aucune connaissance scientifique,
politique ou philosophique particulière.
Ce petit guide pratique a justement été conçu pour vous aider à
devenir expert sans trop d'efforts. Vous y découvrirez toutes les
clés pour briller sur ce terrain très concurrentiel. Comment, par
exemple, donner votre avis sur n'importe quoi, improviser des analyses
à l'emporte-pièce, glisser d'un sujet à l'autre et susciter des
polémiques incontournables...
Si toutefois la carrière d'expert dépasse vos ambitions, notre guide
est suivi d'un essai intitulé Paradoxes de l'expertise, susceptible
d'intéresser ceux qui se demandent s'il n'est tout de même pas un
peu étrange d'avoir autant d'experts disponibles à tout moment pour
tout savoir sur tout...
Voir
librairie-compagnie.fr
Au bonheur des bistrots, photographies de Pierrick
Bourgault
Une bonne partie des photos ont été prises dans les bourgs
des campagnes...
Cafés et bistrots sont des bulles ouvertes sur
le monde. Les visages et les lieux racontent leur quotidien,
un territoire, des cultures.
L’itinéraire
photographique de Pierrick Bourgault se glisse dans des
univers intimistes parfois insolites, souvent chaleureux,
toujours d’une infinie diversité et précieux
pour la qualité de la vie.
Ces bistrots à vins, bars-concerts, cafés
urbains ou ruraux ont une âme : celle des femmes
et des hommes qui les ont fondés, qui y travaillent,
qui les fréquentent.
L’humanité se reflète dans leurs miroirs
et sur le zinc de leurs comptoirs, à la hauteur
du coude et du cœur.
Pour
commander…
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Premiers succès d’un vaccin thérapeutique à ARNm contre le cancer
du pancréas
Mayence, le jeudi 11 mai 2023 – Deux études récentes ont démontré
l’apport potentiel de l’intelligence artificielle et de l’ARNm dans
la lutte contre le cancer du pancréas.
Le cancer du pancréas constitue l’une des formes de cancer avec
le pronostic le plus péjoratif : seuls 42 % des patients survivent
plus d’un an et 12 % plus de cinq ans. La maladie inquiète d’autant
plus les cancérologues que son incidence est en augmentation, d’environ
3 % chaque année. « En France, l’incidence est galopante, un doublement
a déjà eu lieu entre 2000 et 2006 puis entre 2006 et 2012 et alors
que la mortalité de tous les autres cancers a diminué, celui-ci
n’a pas bénéficié des progrès actuels » expliquait la Pr Vinciane
Rebours, cheffe du service de pancréatologie à l’hôpital Beaujon,
le 17 février dernier lors d’une journée dédiée au cancer du pancréas
organisée par l’Académie nationale de chirurgie. Autre problématique
d’importance, le diagnostic est souvent tardif : dans 80 % des cas,
à sa découverte, le cancer du pancréas est métastatique ou localement
avancé et donc inopérable.
>>> Un vaccin à ARNm prometteur
Chaque publication dans le domaine du cancer du pancréas est donc
scrutée avec attention. Cette semaine, ce sont deux articles publiés
dans la célèbre revue Nature, concernant l’utilisation de nouvelles
technologies contre ce type de cancer, qui ont ravivé l’espoir chez
les patients et les médecins. Le premier, publié ce lundi, concerne
le diagnostic. Dans cette étude, des chercheurs danois et américains
ont fait analyser par une intelligence artificielle les dossiers
médicaux de 11 millions de patients au Danemark et aux Etats-Unis,
dont 28 000 étaient atteints d’un cancer du pancréas, afin de lui
apprendre à repérer les facteurs de risque de cette maladie. Au
final, l’intelligence artificielle développée par les chercheurs
était plus performante que n’importe quelle autre méthode actuellement
utilisée pour évaluer le risque de survenue d’un cancer du pancréas
dans les trois ans chez un individu donné.
L’autre étude concerne un éventuel traitement contre le cancer du
pancréas, grâce au développement d’un vaccin à ARNm. Après avoir
été massivement utilisé pour combattre la Covid-19, ces vaccins
représentent, selon beaucoup de scientifiques, l’avenir de la lutte
contre le cancer (un vaccin à ARNm contre le mélanome est déjà en
cours d’évaluation aux Etats-Unis). Dans le travail publié ce jeudi
dans Nature, les chercheurs de la firme allemande BioNTechb (à l’origine
du vaccin contre la Covid-19 le plus utilisé dans le monde), ont
analysé le génome de tumeurs pancréatiques prélevés sur des patients
américains. À partir de ces données génétiques, ils ont pu, en neuf
semaines, développer des vaccins à ARNm personnalisés pour chaque
tumeur. 50 % des patients ayant reçu le vaccin ont eu une réponse
immunitaire et ont vu leur tumeur disparaitre, sans aucune rechute
à 18 mois.
.../...
Voir
Journal International de Médecine
Enjeux
biotechnologiques : des OGM à l’édition du génome, par
Catherine Regnault-Roger, membre de l’Académie d’agriculture
L’évolution des techniques de modification du génome par
génie génétique s’est caractérisée par une rupture technologique
majeure avec la découverte de CRISPR en 2012. On distingue
désormais les biotechnologies de première génération mises
au point au XXe siècle et les biotechnologies actuelles
de deuxième génération, les NGT ou New Genomic Techniques,
dont l’édition du génome. Comment considérer ces modifications
génomiques par rapport à celles qui se produisent spontanément
dans la nature ? Quelles sont les applications de ces
techniques dans les domaines du végétal, de l’animal et
de la santé humaine ? Quelles perspectives en termes de
développement et d’indépendance pour les pays ? Quelle
réglementation est en vigueur sur les différents continents
?
L’ouvrage questionne ce que sont les OGM, les produits
d’édition du génome et la place des transformations génomiques
aujourd’hui et demain dans nos sociétés. L’auteur se propose,
à partir de son expérience au Comité scientifique du Haut
Conseil des Biotechnologies (HCB) pendant toute sa durée
(2009-2021), de donner quelques repères géostratégiques
et réglementaires sur les biotechnologies afin de mieux
cerner les enjeux actuels.
Voir
pressesdesmines.com
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Evidence
Based Bonne Humeur… à la recherche de l’esprit critique,
un excellent livre de Romain Meunier !!!
>> Un ouvrage ludique et qui fait chauffer les neurones.
À mettre entre toutes les mains !
Francois-Marie BRÉON, président de L'Association française
pour l'information scientifique (Afis)
>> L’esprit critique se défend de toutes les façons,
même avec des petites boules bavardes et cartoonesques.
Romain Meunier nous démontre avec son livre qu’on peut
allier pertinence et impertinence.
Gérald BRONNER, sociologue, membre de l'Académie des technologies
Voir
Livre d’or
Voir la présentation
du livre et le commander
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Rédacteur
de cette gazette : Guy Waksman
Membre de l'Académie d'Agriculture ; Médaille
de vermeil de l'Académie d'Agriculture 2006
Ancien directeur d'ACTA Informatique ; Ancien président
de l'AFIA ; Ancien président de EFITA, European Federation
for Information and Communication Technology in Agriculture,
Food Industry and the Environment (2013-2015) ; Ingénieur
Agronome (Montpellier 70) ; Institut de Contrôle de
Gestion (78-80) ; Mérite agricole (Officier)
Mél : guy.waksman(a)laposte.net
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Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
VITESSE (La) : C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure
à celle du son, que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir
l'air con.
Albert SIMONIN
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Informatique
et numérique agricole |
Du côté des gazettes afia et efita
>>> Statistiques
de l’édition du 11 mai 2023 de cette gazette afia
>>> Latest
issue of the Efita Newsletter nb 1071 dated May 23, 2023
>>> Latest
available statistics for the efita newsletter
Paysage de Normandie, de Pierre Bonnard
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02
- 23/05/2023
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Connaître les adventices pour mieux lutter contre, par Mathieu
Lecourtier, 16/05/2023
En travaillant à la création d’OdERA, outil d’évaluation du risque
adventices à l’échelle d’un système de production, Agro-Transfert
RT s’est forgé de solides références sur les adventices. Agriculteurs
et techniciens ont pu en profiter lors d’une formation nommée « Piloter
l’agronomie pour maîtriser les adventices avec l’OAD OdERA
Voir
cultivar.fr
OdERA pour un plan d’actions défavorable à la flore adventice dominante
Étape 1 : OdERA aide à évaluer le risque en adventices dans le système
de culture actuel (pratiques agronomiques déjà en place). L’utilisateur
décrit rapidement sa parcelle et les adventices préoccupantes, puis
il renseigne les pratiques culturales. Suite à cela, le résultat apparait
avec la note de risque en adventices (sous forme d’un cadran) et une
grille de points (détail de la note).
Étape 2 : utilisation d’OdERA pour élaborer un plan d’actions défavorable
à la flore adventice dominante. Pour cela, il est possible de simuler
tous les changements de pratiques ou de système voulus, de les combiner,
de visualiser l’impact de ces changements sur la note de risque en
adventices et de les choisir pas à pas pour confectionner le plan
d’actions le plus efficace (note de risque la plus faible) et compatible
avec les besoins et possibilités de l’agriculteur.
Voir odera-systemes.org
AGCO bientôt prêt pour pulvérisation ciblée, par Mathieu Bonaventure,
11 avril 2023
Depuis le printemps 2021, le groupe américain AGCO Corporation travaille
avec Bosch BASF et Raven Industries sur une solution de pulvérisation
ciblée. Elle devrait voir le jour d’ici deux ans.
Voir
farm-connexion.com
L’amandier en fleurs, 1946-47, de Pierre Bonnard
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03
- 23/05/2023
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DEVAUTOP – Un outil de calcul de l’autonomie protéique à disposition
des éleveurs et de leurs conseillers
DEVAUTOP est un logiciel de conseil pour aider les éleveurs à mieux
visualiser l’autonomie protéique de leur exploitation. Cet outil multi-filière,
principalement dédié aux conseillers, calcul le niveau d’autonomie
protéique à l’échelle de l’exploitation et de l’atelier. Idele, en
partenariat avec Chambres d’agriculture France propose plusieurs dates
de webinaires de prise en main de l’outil.
Voir
idele.fr
Les médias sociaux numériques pour la transition agroécologique
De plus en plus d’agriculteurs/rices agroécologiques sont à l’initiative
de ou rejoignent des communautés structurées autour de médias sociaux
numériques. Le collectif les aide à avancer techniquement mais également,
sur un plan plus émotionnel, à se (ré)assurer, (re)trouver de la motivation,
se sentir moins seul(e) face aux difficultés. Ces outils suscitent
cependant des craintes et leur capacité à soutenir des transitions
agroécologiques sous-tend des apprentissages quant à la manière de
les mobiliser.
Voir
idele.fr
BeeWapi, fonctionnement suspendu pour cause de refonte du site
La contribution de la pollinisation par les abeilles est l'un des
facteurs clés de la réussite de nombreuses productions agricoles,
et particulièrement les multiplications de semences oléagineuses.
Pour les producteurs, l'objectif est que chaque demande de ruches
soit couverte par une offre de qualité.
De leur côté, les apiculteurs professionnels souhaitent connaître
précocement les besoins en ruches pour préparer les colonies qui seront
installées dans les cultures. Pour répondre à ces demandes nous avons
créé BEEWAPI, une plateforme de mise en relation directe des apiculteurs
et des producteurs.
Voir beewapi.com
Paysage du Cannet, 1923, de Pierre Bonnard
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04
- 23/05/2023
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Sciences et Pseudo-Sciences n°343 (janvier 2023)
>>> Dossier Nucléaire civil
- Accidents et contaminations nucléaires, quelles conséquences
? Dossier coordonné par François-Marie Bréon
- Un historique de la gestion des déchets nucléaires
par Alexis Quentin
- L’échelle INES des incidents et accidents nucléaires
par Laurent Coudouneau
- Les contaminations radioactives au tritium par Paul Ferney
- Conséquences sanitaires de l’accident de Fukushima par
Nicolas Automme
>>> Complément du dossier exclusivement en ligne
- Tchernobyl :
aurait-on évité encore pire ? par François-Marie
Bréon
- Tchernobyl 1986 : l’Union soviétique a-t-elle sacrifié
la Biélorussie pour protéger Moscou ? par François-Marie
Bréon
- La série Chernobyl est-elle fidèle à la réalité
? par Jean-Jacques Ingremeau
VisioLait
VISIOlait est une téléprocédure permettant la collecte d'informations
déclaratives obligatoires sur la filière lait, en application de la
réglementation française et/ou communautaire. Elle s'adresse :
- aux organisations et associations d'organisations de producteurs
de lait reconnues, pour la déclaration des volumes contractualisés,
puis des volumes effectivement livrés dans l'année civile écoulée
dans le cadre de ces contrats ;
- aux producteurs de lait de vache pour la déclaration annuelle de
la quantité de lait utilisé pour les ventes directes ;
- et aux premiers acheteurs de lait pour la déclaration de la quantité
de lait cru qui leur a été livrée au cours de chaque mois, à partir
du 1er avril 2015.
Les données ainsi collectées font l'objet d'une communication à la
Commission dans les délais impartis.
Voir
franceagrimer.fr
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Publication
diffusée grâce au soutien de :
|
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion !)
VOTER : Voter pour des cons peut nuire gravement à votre santé.
Trouvé sur "La Toile"
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
IA : le chatbot de Google Bard est disponible ! (Sauf en Europe)
Google a rendu accessible, mercredi 10 mai, son chatbot Bard dans
pas moins de 180 pays. L'outil demeure cependant indisponible en
Union européenne.
.../...
Constamment devancé par Microsoft, qui a déjà intégré ChatGPT à
plusieurs de ses outils comme le moteur de recherches Bing, Google
veut rattraper son retard. Désormais alimenté par PaLM2, le tout
nouveau modèle de langage à grande échelle de Google pourra bientôt
converser dans 40 langues et intégrer des images dans les réponses
données aux internautes. Réponses qui seront également intégrées
dans les résultats de recherches au-dessus des liens.
Des extensions Bard vont également venir booster les performances
de l’application de cartographie Maps, la boîte mail Gmail et l’outil
de traitement de texte Docs. De futurs outils destinés aux entreprises
permettront de concevoir ses propres outils à base d’IA générative.
Bard a aussi été formé à 20 langages de programmation et pourra
produire ou corriger du code en C++, Python ou JavaScript.
.../...
Voir
linformaticien.com
Réguler l'espace numérique : les mesures clés pour les entreprises
Le projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique
a été présenté en Conseil des ministres. A quoi doivent s'attendre
les entreprises ?
Voir
silicon.fr
Amazon Bedrock : la réponse d'AWS à ChatGPT
Dans la course aux IA génératives, AWS répond à ChatGPT avec Amazon
Bedrock. Le service fournit un accès à des modèles pré-entraînés
d’apprentissage automatique (Few-Shot Models ou FM) provenant de
start-up, via des API.
Voir
itespresso.fr
Les Etats-Unis disent avoir neutralisé le logiciel espion russe
« Snake »
Le FBI est parvenu à forcer Snake à se détruire lui-même. Le logiciel
malveillant était utilisé par des cyber-espions russes depuis une
vingtaine d'années.
Voir
linformaticien.com
Cnil : Clearview AI va devoir s’acquitter d’une astreinte de
5,2 millions d’euros, par VICTOR MIGET 11 mai 2023
Condamnée en octobre 2022 à 20 millions d’euros d’amende, Clearview,
une société américaine d’IA spécialisée dans la reconnaissance faciale,
va devoir s’acquitter d’une astreinte de 5,2 millions d’euros. La
société (…)
Voir
linformaticien.com
Régulation du numérique : ce que prépare le gouvernement pour
les entreprises
.../...
La première consiste à interdire aux grands groupes technologiques
dominants, américains pour la plupart, de donner l’avantage sur
leurs plateformes à leurs propres services, au détriment d’une concurrence
non faussée. Cette disposition viendra transposer en droit national
le règlement européen sur les marchés numériques (DMA, Digital Markets
Act).
Réduire la dépendance des organisations aux principaux fournisseurs
cloud est une autre mesure du texte français. Le gouvernement part
du constat suivant : 71% des parts de marché cloud en France sont
détenues par trois fournisseurs (47% pour le premier).
.../...
Voir
itespresso.fr
Paysage au Cannet, 1928, par Pierre Bonnard
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05
- 23/05/2023
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Cybersécurité : l'hameçonnage est la première menace pour les
PME
Les PME françaises ont été principalement victimes de cyberattaques
par hameçonnage selon le rapport annuel 2022 de Cybermalveillance.gouv.fr.
Les attaques par rançongiciel reculent un peu.
Voir
itespresso.fr
Twitter : qui est Linda Yaccarino, la nouvelle directrice générale
?
Elon Musk a confirmé la nomination de Linda Yaccarino, ex-présidente
publicité et partenariats de NBCU, au poste de CEO de Twitter.
Voir
silicon.fr
Langages de programmation : la nouveauté fait-elle recette ?
Par Ariane Beky, 16 mai 2023
Les langages informatiques les plus populaires sur la Toile auprès
des développeurs restent Python, C et Java, relève Tiobe. Alors
même que de nouveaux langages et outils de programmation innondent
le marché.
Voir
silicon.fr
Télétravail. La normalisation du recours au télétravail dans
les TPE/PME les obligent à repenser les façons de travailler.
Même au sein des TPE/PME, le recours au télétravail se généralise.
Mais comme il ne concerne qu’une partie de l’effectif, il pose des
questions cruciales d’organisation et de collaboration entre les
salariés qui travaillent à l’intérieur de l’entreprise, ceux qui
le font de l’extérieur et ceux qui ne pratiquent pas du tout le
“home office“. Cette diffusion du télétravail nécessite également
une attention accrue accordée à la sécurisation des données.
Voir
livreblanc.silicon.fr
Réguler l'espace numérique : les mesures clés pour les entreprises
Le projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique
a été présenté en Conseil des ministres. A quoi doivent s'attendre
les entreprises ?
Voir
silicon.fr
Google I/O 2023 : une avancée majeure dans l’IA
Duet AI, Vertex AI, Generative AI Studio… Google place ses pions
sur l’échiquier de l’intelligence artificielle.
Susciter l’adhésion de développeurs dans l’intelligence artificielle
(IA) portée par Google, c’est l’ambition affichée par la multinationale
lors de la conférence Google I/O du 10 mai 2023.
L’événement diffusé en ligne intervient au moment où les grands
acteurs des technologies placent leurs pions sur l’échiquier de
l’IA générative. Google ne fait pas exception.
…/…
Voir
silicon.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ABRUTI (L') : Il est peu recherché mais par contre très répandu.
On en trouve un peu partout sur les cinq continents qui évoluent
librement parmi des gens qui se trouvent intelligents.
Pierre PERRET
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Pierre Zaka (Société ITK) sur LinkedIn : sécheresse
en Espagne
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01
- 23/05/2023
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Le maïs irrigué économe en eau en raison de son rendement
…/…
La CACG (Compagnie d'aménagement des coteaux de Gascogne) a étudié
la productivité hydrique (kg de matière sèche par m3) de différents
systèmes dans l’Astarac (région à cheval sur le Gers et les Hautes
Pyrénées). C’est le maïs irrigué qui présente la productivité la
plus élevée.
…/…
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23/05/2023
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23/05/2023
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In Rapport "Changement climatique, eau, agriculture. Quelles
trajectoires d’ici 2050 ? (Rapport CGEDD n° 012819-01, CGAAER n°
19056, juillet 2020)
Voir
gesteau.fr
Sécheresse : comment la nutrition foliaire peut aider les plantes
? par Roméo Vezo Oligo, 12/05/2023
.../...
Comment les éléments nutritifs agissent sur la tolérance au stress
hydrique ? L’apport d’éléments minéraux (acides aminés, potassium,
phosphore, oligo-éléments), directement disponibles pour les cultures
par voie foliaire, permet de pallier les ruptures d’alimentation
induites par des stress pédo-climatiques et d’obtenir des plantes
en meilleure santé :
- Le potassium permet d’améliorer la tolérance des plantes à la
sécheresse, car il intervient dans l’osmorégulation, la photosynthèse,
la transpiration ainsi que l’ouverture et la fermeture des stomates.
- Les acides aminés et les oligoéléments (Mn, Zn) assimilables permettent
quant à eux d’apporter à la plante ce dont elle a besoin en attendant
que les conditions redeviennent favorables. Le manganèse est particulièrement
important dans la gestion du stress hydrique, car il est impliqué
dans la photolyse de l’eau.
- Certaines souches de levures, comme les Saccharomyces cerevisiae,
sont capables de synthétiser des métabolites semblables à l'acide
indoleacétique (également connu sous le nom d’auxine). C’est une
hormone végétale qui joue un rôle clé dans la croissance et le développement
des plantes. Elle augmente la division cellulaire des racines à
la fois verticalement et latéralement. L’utilisation d’engrais à
base de tels organismes vivants permet aux cultures d’agrandir leur
système racinaire et d’aller chercher l’eau et les nutriments dans
un plus grand volume de terre.
…/…
Voir
cultivar.fr
Histoires d’eaux, signalées par Paul Jamet
> Pourquoi
l’irrigation du maïs divise-t-elle en France ? Par André Heitz
Remarque de Ph. Stoop, membre de l'Académie d'agriculture, sur cet
article de mon ami A. Heitz : Oui, cela fait bien le point sur les
« fact checkings tronqués » qui ont sévi ici et là suite aux tweets
d’Emmanuelle Ducros.
Mais je pense qu’il est important de rappeler aussi que les notions
d’eau prélevées et consommées, définies en fonction du point de
vue des gestionnaires de l’eau, biaisent le débat en défaveur de
l’irrigation, puisqu’elles « visibilisent » pour les cultures irriguées
une consommation d’eau qui est invisible pour les cultures non irriguées…
et la végétation naturelle !
> Ile-de-France
- Mars 2023 : les surfaces irrigables représentent 11,2 % de la
surface agricole utile régionale
> Pratiques
de culture et d’élevage
> Publié
il y a un an : L'eau en France : ressource et utilisation - Synthèse
des connaissances en 2021
Le semis direct stocke-t-il vraiment plus de carbone dans les
sols ? par Vincent Chaplot, IRD, 10/05/2023
Passer au semis direct ou au travail simplifié du sol accroît-il
les stocks de carbone des sols ? « Quand le labour est abandonné,
les analyses de sol montrent partout un accroissement des teneurs
en matière organique dans l’horizon de surface mais cela conduit-il
à des stocks plus importants dans le sol », questionne Vincent Chaplot,
chercheur de l’Institut de recherche pour le développement (IRD),
qui tente d’apporter son éclairage.
.../...
En France, l’absence d’accroissement des stocks de carbone consécutif
à l’abandon du travail du sol est confirmée par la seule étude disponible
ayant considéré l’ensemble du profil de sol.
Dans un essai de 47 ans à Boigneville, au sud de Paris, Dimassy
et Inrae, qui ont publié leurs travaux en 2013 et 2014, ont montré
qu’une accumulation de carbone se produit en surface (0-10 cm),
et atteint un plateau après 24 ans alors que les stocks de carbone
diminuent continuellement dans les couches inférieures à un rythme
de 0,42-0,44 %/an. « Ses auteurs de conclure que l’effet du travail
du sol est nul avec une tendance à la diminution après plusieurs
décennies », précise le chercheur de l’IRD.
.../...
Voir
cultivar.fr
Le tournesol (helianthus annuus), référence AAF : 01.02.Q06,
par Philippe Leterme
Le tournesol est une astéracée dont les fleurs (ou fleurons) sont
groupées en capitules de grandes dimensions.
Deux types de fleurons sont visibles : les périphériques ligulés
(avec un pétale jaune) sont stériles, de grande taille et généralement
jaunes, tandis que ceux du centre, qualifiés de tubulés, sont hermaphrodites
et disposés en spirales de Fibonacci.
Le tournesol bénéficie d'un progrès génétique permettant de s'adapter
à de nombreuses situations.
Il est un précédent cultural intéressant pour allonger et diversifier
les rotations céréalières.
Demandant peu d'intrants, c'est une culture rentable et de surcroît
économe en temps pour l'agriculteur.
Autre atout majeur : c'est une culture robuste qui supporte bien
les contraintes hydriques ; elle a ainsi un rôle à jouer dans la
gestion quantitative de l'eau des territoires soumis aux sécheresses
estivales.
Enfin, les débouchés de la production sont assurés pour l'alimentation
humaine et animale.
Voir
academie-agriculture.fr
La multiplication des semences est assurée par des milliers d'agriculteurs
spécialisés, référence AAF : 09.02.Q03, par Christian Saber
Pour décrire l'activité semencière, on évoque les pépinières, les
serres, les parcelles d'essais, les laboratoires, les installations
de stockage, de triage, de traitement et de conditionnement. En
effet, les établissements producteurs de semences (privés ou coopératives)
commercialisent les semences et sont responsables de leur conformité
réglementaire.
Mais ils ne disposent pas des surfaces nécessaires pour la production
des semences. Ils passent donc, avec des agriculteurs spécialisés,
des contrats de multiplication qui doivent être conformes à un contrat-type
homologué. La production de semences est ainsi une activité agricole
qui repose sur des processus rigoureux en raison d'une très grande
exigence de qualité, essentielle pour la réussite des cultures qui
en seront issues. À partir d'exemples concrets, cette fiche décrit
les travaux spécifiques et exigeants réalisés par des milliers d'agriculteurs-multiplicateurs.
>>> Agriculteur-multiplicateur de semences est un métier
de passion et d'exigence !
Le niveau de compétence des 18 000 agriculteurs-multiplicateurs
français, la diversité des territoires et des conditions pédoclimatiques,
l'encadrement technique et réglementaire et la gestion rigoureuse
des productions de semences et plants sont reconnus internationalement
comme un gage de qualité pour les productions françaises : 40 %
des exportations françaises résultent du choix d'entreprises étrangères
de produire en France des semences pour approvisionner le marché
européen. Globalement, la qualité des semences et plants explique
que la France soit le premier pays producteur de semences et le
premier exportateur mondial des semences de grandes cultures.
Partenaires des établissements semenciers, les agriculteurs-multiplicateurs,
professionnels exigeants, sont des acteurs clés dans le succès de
la filière française des semences et plants.
Voir
academie-agriculture.fr
Avez-vous vu notre vidéo sur le désherbage mécanique des céréales
de printemps ?
Stade de la culture, réglages de la machine, vitesse d'avancement,
coût de l'intervention, quels sont les critères à prendre en compte
pour passer la herse étrille sur une céréale de printemps ? Yann
Evenat, technicien grandes cultures et monogastriques du Gab 29,
explique en détail ces différents éléments.
Le chantier s'est déroulé le 26 avril 2023 au Folgoët (29) sur une
parcelle d'orge de printemps semée début avril. La culture était
au stade 3 feuilles. Les conditions météo étaient peu favorables
en raison des pluies des jours précédents.
Voir paysan-breton.fr
Marché des plantes à parfum, aromatiques et médicinales, Panorama
202
Voir
franceagrimer.fr
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ADOLESCENCE (L') : C’est un âge béni : on n’imaginerait
jamais devenir aussi con que ses parents.
Robert McFly
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du
côté des écrivains et artistes paysans |
Le
billet N°28 de Michel Boudaud
Jean-Paul
Sozedde en dédicace
La
bibliothèque d’Alizay nous informe : le 24 septembre prochain aura
lieu la fête du livre d’Alizay dans l’Eure
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ACADÉMIE (française) : Gérontodrome où les quarante papy-la-branlette
se réunissent pour que chacun se déguise périodiquement en guignol
vert avec un chapeau à plumes à la con et une épée de panoplie de
Zorro, le tout afin de savoir s'il y a un "n" ou deux
à zigounette.
Pierre DESPROGES
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
Paysage Violet, Le Soir, par Pierre Bonnard
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06
- 23/05/2023
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Crazy US Gun Law / Loi absurde sur la possession d'armes à
feu
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02
- 23/05/2023
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Mass Shootings are the new normal / Tueries de masse considérées
comme normales
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03
- 23/05/2023
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Absurd Debt Ceiling / Plafond de la dette fédérale
US, une bizarrerie
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04
- 23/05/2023
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Les banques
US sont-elles sûres ?
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05
- 23/05/2023
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Webster’s 1828 Dictionary Would Cost $13,904 Today, by Gale Pooley
/ L'achat du dictionnaire Webster de 1828 nécessitait 400
heures de travail (se référer au coût de l'heure
de travail est une vraiment bonne idée ! - GW)
In 1828, it took a blue-collar worker 400 hours to earn the money
to buy a dictionary.
Le rendez-vous franco-belge de l’AgriTech
23 mai 2023 - Campus de GEMBLOUX Agro-Bio Tech - Université de Liège
Ce premier « Rendez-vous franco-belge de l’AgriTech » a pour vocation
d’offrir aux acteurs politiques, économiques, financeurs et chercheurs
des deux pays l’opportunité de se rencontrer et de nouer des partenariats
stratégiques.
Durant toute une journée, au travers d’une série de conférences
et d’ateliers, cet événement sera également l’occasion de faire
le point sur les évolutions récentes du secteur en Belgique, en
France et en Europe afin d’identifier des opportunités de coopérations.
L’objectif est de contribuer à l’accélération du transfert de la
recherche vers des applications économiques et encourager l’entrepreneuriat
innovant.
Des personnalités telles que Claire Rougel-Gaillard, Directrice
scientifique adjointe Agriculture à l’INRAe, Vincent Brenier, start-up
Manager Agri-Food Tech au Ministère français de l'Économie, des
Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et Jacques
Wery, Directeur de la stratégie de recherche et partenariats à l’Institut
Agro, seront présentes.
Voir
francebelgiqueculture.com
Cybersecurity Week 2023, by FORTRA
23 - 25 mai, 11 h - 14 h chaque jour
Que vous soyez novice en matière de cybersécurité ou un professionnel
chevronné, le rythme des changements dans le secteur peut être déroutant.
En sa qualité d’expert, Fortra est votre allié en cybersécurité
pour répondre à vos questionnements. Rejoignez-nous à partir du
23 mai lors de la Semaine de la Cybersécurité 2023, un événement
virtuel pour échanger sur les sujets suivants :
- Le paysage changeant de la cybersécurité
- Les principales menaces, tendances et meilleures pratiques en
matière de cybersécurité
- L’évolution des exigences en matière de conformité, y compris
DORA
- Le rôle du zéro trust et de la cyber assurance
- Les solutions variées de Fortra en matière de cybersécurité
>>> 3 jours, 12 sessions, des tonnes de choses à retenir
Quatre sessions seront disponibles chaque jour entre 11 h et 14
h. En vous inscrivant, vous aurez accès à toutes les sessions et
pourrez assister à celles qui vous intéressent. À la fin de la semaine,
vous recevrez également un e-mail contenant les liens de toutes
les présentations.
Voir
info.fortra.com
Biopesticides Europe 2023
6 - 7 June 2023 - BRUSSELS
Both the global and European biopesticides market has been growing
steadily in recent years. Following new regulations and a growing
demand for sustainable agricultural practices, biopesticides are
expected to continue expanding – fast becoming an essential biocontrol
tool for farmers and growers all over Europe. Nonetheless, restrictive
regulations and complex registration processes continue to pose
a significant challenge for product commercialisation.
Our two-day event will bring together key industry stakeholders,
researchers and representatives from regulatory bodies to discuss
current challenges and future opportunities within the industry.
The conference will also provide updates on market growth along
with significant advances in new and innovative technologies as
well as R&D projects.
Join us at this event in Brussels to gain further insights into
how the producers of biopesticides are rising to meet industry challenges
and engage in excellent networking opportunities.
Early Confirmed speakers include: CropLife Europe, Oro Agri, CHR
Hansen, Marrone Bio Innovations, Solasta Bio, Atlantica Agricola
and more!
See
wplgroup.com
Du côté d’Auguste Derrière
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01
- 23/05/2023
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4th European Conference HYDROGEN & P2X 2023
14-15 June 2023 - COPENHAGEN, Denmark
Hydrogen & P2X 2023 conference with newly researched agenda,
trending industry news, excellent speakers & technical insights.
The conference will take place on 14-15 June in Copenhagen.
Decarbonisation of hard-to-abate sectors as well as clean mobility
and green energy generation are some of the goals set in Europe.
Without use of hydrogen it will be impossible to move forward with
the process.
As 2022 was a breakthrough time for hydrogen industry, this year
we are focusing on topics like latest regulations and policies,
transformation of existing grids and building new ones, hydrogen
storage technologies, industrial applications of hydrogen, generation
of clean energy and decarbonization of transport.
Last 2022 edition gathered 200+ participants from over 30 countries.
Regular rate 1495EUR includes 2 day pass to all sessions, lunches,
refreshments and documentation.
See
fortesmedia.com
Changement climatique et crise énergétique : comment transformer
l'économie, avec Jean-Marc Jancovici, The Shift Project, en séance
plénière le 22 juin
22 - 23 juin 2023 - STRASBOURG
Voir 360grandest.fr
Tech Hub LIVE, The Premier Event Advancing Tech Enabled Agriculture
24 - 26 June 2023 - Iowa Events Center - Des Moines, Iowa
Powered by the CropLife Media Group®, the nations leading voice
for the ag retail industry, in collaboration with the Global AgTech
Initiative and AgriBusiness Global™ brands, Tech Hub LIVE is the
must-attend event for those developing and deploying the latest
ag technologies to advance agribusiness.
CropLife’s decades of leadership, from the earliest days of in-field
site specific precision programs to now integrated, data driven
digital farming systems, ensures Tech Hub LIVE attracts the largest
gathering of thought leaders and innovative practitioners dedicated
to turning new technology opportunities into practical business
advantages on the farm.
Tech Hub LIVE empowers trusted advisers, who are the critical link
for growers to realize the benefits of these new capabilities, with
market-tested, actionable solutions to implement NOW.
The 2023 Tech Hub LIVE event offers 2 1/2 days of informative sessions,
exhibiting companies, tech talks, discussion groups, networking
opportunities, parties, and more! The schedule below provides an
overview to help you plan your time and travel arrangements. Bring
your team to fully experience all Tech Hub LIVE has to offer.
See techhublive.com
Exhibitors’ list
Les sciences de la vie fondamentales rencontrent le climat, l’environnement
et le développement durable
27 - 29 juin 2023 - PARIS
Un sommet et un symposium scientifiques internationaux se tiendront
le 27 juin à l’Académie des sciences (23 quai de Conti, 75006 Paris)
et le 28 et 29 juin à l’auditorium André et Liliane Bettencourt
(3 rue Mazarine, 75006 Paris), rassemblant les communautés des sciences
de la vie et celles de l'environnement, ainsi que les agences de
financement et les décideurs politiques afin de mieux comprendre
comment la science fondamentale peut apporter des solutions aux
défis du 21e siècle.
Cet événement est organisé par le programme international Human
Frontier Science Program (HFSP) avec le soutien de plusieurs partenaires,
dont l’Académie des sciences. Il se tiendra principalement en anglais.
Voir hfsp.org
FIRA USA 2023
September 19-21, SALINAS, Calif.
See fira-agtech.com
En résumé #130 : Santé ?
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots, pas une opinion
!)
ACADÉMIE (française) : Ils sont là quarante, qui ont de l'esprit
comme quatre.
Alexis PIRON
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Du côté des gazettes et des blogs agricoles
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Du côté de vitisphere : Derby de Milanguedoc, par Alexandre
Abellan, 12 mai 2023
Qu’est-ce qui ressemble plus à un combat fratricide qu’une guerre
intestine ? Osons une comparaison entre le récent derby milanais,
opposant les clubs de foot Milan AC et Inter Milan (le derby de
la madonnina), et le départ acté de l’appellation Fitou du Conseil
Interprofessionnel du Vin du Languedoc (CIVL). En ayant assez de
voir son identité diluée et ses apports financiers noyés dans l’interprofession,
l'appellation audoise pourrait tenir le rôle du Milan A(O)C, aux
supporters historiquement issus des milieux populaires et au jeu
offensif spectaculaire porté par des individualités ayant le champ
pour s’exprimer (tel le numéro 10 Gianni Rivera, 1960-1979). Dans
l'Inter(profession) Milan on pourrait voir le CIVL, outil collectif
forcément massif, particulièrement affûté pour l’international,
mais paquebot ayant du mal à satisfaire toutes les attentes. Rouleau
compresseur physique, l’Inter Milan est porté par une tactique plus
défensive et une image plus bourgeoise*, n’empêchant pas d’occuper
le terrain adverse pour marquer (avec la stratégie de "catenaccio",
verrou, mise en place par l'entraîneur Helenio Herrera, 1960-1968
et 1973-1974).
Dans les clubs de football comme dans la filière vin, la compétition
est un état de fait, que certains peuvent regretter, mais qui pousse
au dépassement de soi. Et de rappeler la nécessité de démontrer
sa légitimité à évoluer parmi les grands de ce monde, ainsi que
de se remettre en question pour ne pas laisser les lauriers au voisin.
Un cercle vertueux, qui ne donne cependant des rencontres à grand
spectacle que lorsque chacun reste fraternel, du terrain aux conférences
de presse, en passant par les salons et les tribunes. Partageant
le même nom de famille sur les maillots, que ce soit Milan ou Languedoc,
les équipes ici comparées partagent la même ambition : séduire de
nouveaux fans et rester la référence pour les anciens. C’est en
se surpassant plus qu’en rabaissant l’adversaire qu’une équipe gagne
à être connue et reconnue. Qu'est-ce qui ressemble plus à une réussite
collective qu'une succession de performances individuelles ?
…/…
Voir
vitisphere.com
Du côté de vitisphere.com : Simple, barrique, par Alexandre Abellan,
le 19 mai 2023
Ok, je vous propose de faire ensemble un édito simple.
Parce qu'on va s'dire des trucs simples.
Parce qu'on doit tous sortir du ronron.
Okay, simple, basique.
Barrique, okay.
Les responsables professionnels ne portent pas toutes les responsabilités
de la profession.
Basique.
Pour trouver de bonnes réponses il faut d’abord se poser les bonnes
questions.
Simple.
Ce ne sont pas ceux qui demandent le moins la distillation qui vont
moins en user.
Basique.
Ne pas vouloir arracher des vignes n’empêche pas l’excès de finir
par peser.
Simple.
Mettre la poussière sous le tapis ce n’est pas solutionner mais
juste repousser.
Basique.
Tous les vignerons disent que la génération qui vient n’a pas envie
de bosser.
Cliché.
Pour que ça marche il faut que ça marge, et pour embaucher faut
que le travail paie.
Basique.
Quand le négoce ne vend pas, il n’achète plus.
Simple.
Quand le vigneron ne vend plus, il garde le surplus.
Basique.
On n’enchaîne pas les millésimes sans se poser la question de ses
marchés.
Basique.
Surproduction ou sous-commercialisation, la déconsommation fait
arracher.
Simple.
Basique, simple, il faut revenir aux bases.
Barrique, simple, il faut revenir aux bases.
D’après la chanson Basique d’Orelsan (2017).
Voir
vitisphere.com
Du côté de pleinchamp.com : Alimentation,
excrétion, fertilisation
[Edito]
Ce n'est pas encore la devise de la France agroalimentaire.
Mais alors que les eaux usées traitées
s'invitent dans l'irrigation, l'urine pourrait servir
la fertilisation. Du transit aux transitions, un circuit
toujours plus court mais encore lointain.
Déguster
des pâtisseries élaborées avec
du blé fertilisé avec de l'urine humaine
: c'est l'expérience à laquelle le programme
de recherche-action Ocapi (Organisation des cycles
carbone azote et phosphore dans les territoires) convie
les franciliennes et franciliens ce dimanche 14 mai.
La pâtisserie franco-japonaise Tomo (Paris 2ème)
proposera en effet des dégustations de dorayaki
(sortes de pancakes fourrés à la pâte
de haricot rouge) élaborés avec une
farine de blé issu de parcelles expérimentales
situées dans l'Essonne et fertilisées
aux urino-fertilisants. Un programme des plus sérieux,
avec moult cautions scientifiques (Ecole des Ponts
ParisTech, CNRS, INRAE...), académiques (AgroParisTech,
Sorbonne Université, Université Paris-Saclay...)
et institutionnelles (Ademe, Agence de l'eau Seine-Normandie,
Chambre d'agriculture...).
>>>
Des vessies pour des lanternes ?
Les chercheurs ne prendraient-ils pas des vessies
pour des lanternes ? Quid des installations de collecte
sélective des excrétas humains ? En
France, on recense une trentaine d'installations (ou
de projets) dont la plus significative (à Paris)
cumule 600 logements avec système de collecte
séparatif des urines (WC à séparation,
urinoir sec...) et réseau dédié.
Quid des résidus pharmaceutiques et autres
pathogènes dans les sols ? En l'état
actuel des connaissances, l'Organisation mondiale
de la santé (OMS) avalise l'innocuité
des urino-fertilisants. Le programme Ocapi explore
le sujet mais les chercheurs font remarquer que les
résidus pharmaceutiques ne sont pas spécifiquement
traités en station de traitement des eaux usées
(et qu'il n'y a pas plus de filtres pour les effluents
d'élevage retournés au sol). Quid de
la réglementation ? La start-up française
Toopi Organics a décroché une Autorisation
de mise sur le marché pour son biostimulant
urino-sourcé Lactopi Start qui, à l'en
croire, améliore la nutrition des plantes jusqu'à
50%. Différents procédés technologiques
visent à concentrer les nutriments de l'urine
(0,6N, 0,05P, 0,1K) pour en faire des nutriments des
plantes.
>>>
Ne plus se retenir
Selon les chercheurs du programme Ocapi, notre système
" alimentation-excrétion " est polluant
et énergivore car il repose d'un côté
sur l'utilisation d'engrais de synthèse pour
enrichir les sols en nutriments et de l'autre côté
sur la consommation d'eau (1,3 litre d'urine par jour
et par personne dilué dans 150 litres d'eau)
et sur le coûteux traitement des eaux usées.
Quand le déchet devient ressource, l'analyse
du cycle de vie en ressort en général
flattée et c'est le cas pour les urino-fertilisants,
selon les enseignements d'Ocapi.
Voir
pleinchamp.com/
Paysage du Midi, par Pierre Bonnard (1917-1918)
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07
- 23/05/2023
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Du côté d’André Heitz
> Irriguer
Frankenmaïs ? Quelle idée ! Et pourtant !
> Quand
un algorithme n'aime pas le lait. Le lait est désormais
classé B ou C sur le nouveau Nutri-Score !
> Quand
un algorithme n'aime pas le lait. Le lait est désormais
classé B ou C sur le nouveau Nutri-Score ! Par André
Heitz
> Leadership
en matière de santé publique : le président de la
santé publique, Theodore Roosevelt
> Point
de vue : La pression sur les insectes pollinisateurs
> Protection
des obtentions (variétés) végétales et brevets : les
difficultés rencontrées par les obtenteurs
> Énergies
renouvelables
> Farm
Babe : Les substituts de viande ont-ils une chance
contre le vrai bœuf ?
> Première
université à introduire un produit de bétail génétiquement
édité dans l'alimentation humaine
> "Sainte-Soline,
la science et la contestation : un mariage ambigu"
> Consommation
d'eau en agriculture : la réponse du Ministère Fédéral
de l'Alimentation et de l'Agriculture (BMEL) est banale
> Les
cultures génétiquement modifiées sont la clé d'une
agriculture durable. Pourquoi certains scientifiques
ont-ils peur d'en parler ?
> Les
Allemands mangent moins de viande – la consommation
atteint un niveau bas record
> Agriculture
: une consultation bidon, bidonnante, inepte et scandaleuse
> De
nouvelles connaissances pour la prévention du paludisme
> Des
scientifiques ougandais font pression pour l'adoption
de cultures génétiquement modifiées alors que des
militants anti-biotechnologie diffusent des informations
erronées
> La
fille du fermier : Les tragédies du passé doivent
inspirer notre avenir
Idele-Première n° 790 − 11/05/2023
Voir
idele.fr
Paysage avec montagne, 1924, par Pierre Bonnard
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08
- 23/05/2023
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Du côté de la Fnsea
> Aide
d’urgence à l’agriculture biologique : une revalorisation
saluée par la FNSEA mais qui doit s’accompagner du
respect d’EGalim
La FNSEA se félicite de la revalorisation de l’enveloppe
d’aide d’urgence à l’agriculture biologique à 70 millions
€, annoncée ce jour par le ministre de l’Agriculture
et de la Souveraineté alimentaire. En effet, Arnaud
Rousseau, en avait fait une priorité dès sa prise
de fonction le 14 avril.
La FNSEA avait estimé dès le début que l’aide de 10
millions € n’était pas à la hauteur de la crise traversée
par les 60 000 fermes engagées en bio. Grâce à cette
revalorisation fortement attendue, ils bénéficieront
d’un soutien financier accru pour les aider à faire
face aux pertes économiques et aux difficultés de
trésorerie résultant de la baisse de la consommation,
des déclassements de la production biologique et de
l’augmentation des coûts de production.
De plus, la FNSEA considère que cette revalorisation
de l’aide d’urgence à l’agriculture biologique va
dans le sens de la souveraineté alimentaire de notre
pays. Cependant, pour que cette aide atteigne réellement
son objectif, la FNSEA appelle instamment le gouvernement
à ouvrir cette aide à tous les exploitants bio en
difficulté.
Afin de soutenir durablement le secteur biologique,
il est important également de travailler sur l’augmentation
des débouchés. Ainsi, le plan du ministre de l’Agriculture
et de la Souveraineté alimentaire, répond à deux autres
demandes majeures de la FNSEA :
– Une augmentation du budget de la commande publique
pour répondre à l’objectif fixé par EGalim de 20 %
de bio dans la restauration collective, contre 6 %
aujourd’hui. L’exigence de l’origine française sur
ces produits est évidemment une condition nécessaire
pour que le plan de soutien bénéficie aux agriculteurs
français !
– Une augmentation du budget de la communication sur
l’agriculture biologique. La FNSEA appelle au développement
d’une communication générale et générique sur les
bénéfices de l’agriculture bio sans pour autant stigmatiser
l’agriculture conventionnelle.
Au-delà de ces annonces, la FNSEA continue de demander
la mise en œuvre stricte des lois EGalim 1 et 2 dans
la filière biologique, avec la construction du prix
en marche avant qui prenne en compte la réalité des
coûts de production à l’amont, et le respect de la
non-négociabilité de la matière première agricole
jusqu’au distributeur. Comme pour la production conventionnelle,
la FNSEA compte sur l’OFPM (observatoire de la formation
des prix et des marges) pour nous éclairer sur la
réalité des marges à l’aval.
La crise sans précédent que nous vivons, démontre
que les injonctions politiques sur le développement
e la bio ne peuvent s’affranchir des lois du marché
!
>
L’agriculture
française ne doit pas être la grande sacrifiée de
la lutte contre l’inflation !
Sous couvert d’inflation, tout en préservant voire
en confortant leurs marges, certains distributeurs
relancent la guerre des prix les plus bas.
Soyons clairs : cette manœuvre n’est bénéfique ni
pour le consommateur, ni pour l’économie française,
ni, bien entendu, pour l’agriculture française qui
ne doit plus être la grande sacrifiée dans la lutte
contre l’inflation.
La FNSEA exige de la puissance publique qu’elle
fasse respecter les lois EGAlim qui permettent aux
agriculteurs d’être rémunérés au niveau de leurs
coûts de production.
Or, aujourd’hui encore, ces coûts ne baissent pas
! Pour certaines productions, leur couverture n’est
même pas atteinte. Pire, plusieurs prix d’achat
à la production sont soumis à des tensions depuis
quelques semaines, notamment dans les productions
d’élevage.
Les principes de la construction du prix en marche
avant posés par les lois EGALIM doivent continuer
à être une priorité politique si l’on veut éviter
la disparition pure et simple de certaines filières,
la décapitalisation du cheptel bovin en est un signal
alarmant.
Car l’expérience démontre que ce ne sont pas les
distributeurs qui prendront en charge les baisses
de prix qu’ils brandissent en étendard du pouvoir
d’achat : c’est inexorablement le producteur qui
est sacrifié.
Pour la FNSEA, tout relâchement par rapport à l’esprit
de la loi est une porte ouverte à des importations
inacceptables. Inacceptables car ne reposant que
sur un effet d’aubaine provisoire visant à attirer
Trompeusement les consommateurs. Inacceptables quant
à leur qualité et leurs conditions de production.
Sans compter qu’à terme, ce seront les consommateurs
qui seront pénalisés car nous n’aurons plus les
capacités de maîtriser ni notre approvisionnement,
ni le coût de notre alimentation.
Au moment même où la France a posé pour ambition
la reconquête de sa souveraineté alimentaire, à
la veille d’un Pacte et Loi d’Orientation et d’Avenir
Agricoles, les pouvoirs publics ne peuvent pas encourager
les distributeurs à creuser la dérive vers des importations
destructrices du tissu agricole français !
Du côté de Jojo (juste un jeu avec les mots,
pas une opinion !)
ACADÉMIE (française) : Le chef-d'œuvre de la puérilité
sénile.
Victor HUGO
Contact : Georges LARROQUE
Mél : larroque.georges(a)orange.fr
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Opinions
et curiosités du web (2)
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Un couple de personnes âgées a fêté son
soixantième anniversaire de mariage
Ils se sont connus
amis d'enfance et se promènent main dans la main dans le quartier
de leur jeunesse. Ils veulent revoir leur ancienne école.
La grille n'est
pas fermée, ils entrent et retrouvent le vieux pupitre qu'ils
ont partagé et sur lequel Louis avait gravé : "
Je t'aime, Claire ".
En revenant à
la maison, un sac tombe d'un fourgon presque à leurs pieds.
Claire le ramasse
et l'emporte à la maison.
Là, elle
l'ouvre et compte... cinquante mille euros !
Louis déclare
: " Nous devons le rendre ".
Claire dit : "
Qui trouve garde ".
Elle remet l'argent
dans le sac et le cache dans le grenier.
Le lendemain, deux
policiers viennent enquêter dans le quartier.
Ils frappent à
leur porte : " Pardon, auriez-vous trouvé un sac qui soit
tombé d'un fourgon hier ? "
Claire dit : "
Non ".
Louis : "
Elle ment ! Elle l'a caché dans le grenier ".
Claire : "
Ne le croyez pas, il est sénile ".
Les agents se tournent
pourtant vers Louis et lui demandent : " Voulez-vous, SVP, nous
raconter l'histoire depuis le début ? ".
Louis : "
Eh bien, voilà ! Claire et moi, revenions de l'école,
hier... ".
Le premier agent
se tourne vers son collègue et lui dit : " Viens on s'en
va !!! ".
Pensée du jour
La liberté
d'entreprendre et de créer est le moteur de notre groupe et
du pays.
Bernard ARNAULT
Autre pensée du jour
L'idée même
de vouloir ralentir la recherche sur l'IA s'apparente à un
nouvel obscurantisme,
Yann LE CUN, directeur à Meta
Du
côté d’Auguste Derrière
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02
- 23/05/2023
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Décorréler les prix de l’électricité de ceux du gaz : mission impossible ?
Par Nicolas Goldberg, Terra Nova
Depuis le début de la crise énergétique, les propositions fleurissent
pour détacher les prix de l’électricité de ceux du gaz. Selon Nicolas
Goldberg et Antoine Guillou, l’heure n’est pas au grand retour arrière
mais à cerner correctement les problèmes et à les corriger. Premier
problème : les marchés de gros font ce pour quoi ils sont faits (assurer
l’équilibre entre la production et la consommation à l’instant t)
mais ils n’envoient pas les bons signaux d’investissement.
Second problème : les marchés de détail reportent sur le consommateur
final la volatilité des prix de gros dont ils devraient les protéger.
Pour corriger ces défaillances, il faut donner davantage de visibilité
aux opérateurs via des « contrats pour différence », généraliser les
contrats de long terme (PPA) et mettre en place une régulation beaucoup
plus exigeante à l’égard des fournisseurs sur les marchés de détail
avec des règles prudentielles à respecter au même titre que pour les
banques.
Voir
tnova.fr
L’écologie scientifique gangrénée par la pensée magique, par Christian
Leveque - 17.05.2023
…/…
Dans le fatras des discours mystico romantiques essentiellement à
charge contre les humains, alimentés par des informations instrumentalisées,
que reste-t-il de la science écologique ? Celle-ci, qui s’affiche
objective, puisque scientifique, s’est pourtant spécialisée elle aussi
dans la seule dénonciation des impacts des humains sur la nature.
La frontière entre science et militantisme est devenue totalement
poreuse à tel point que l’IPBES (3) que l’on aime présenter comme
le GIEC de la biodiversité et donc comme la référence scientifique
en la matière, a passé des accords de coopération avec des grandes
ONG environnementales. Il n’est donc pas surprenant que l’IPBES fasse
expressément référence aux représentations mystiques de la nature
de ces ONG dans son organigramme, comme on peut le constater sur la
figure ci-jointe extraite d’un rapport publié en 2019. Les références
clairement affichées dans cet organigramme à l’harmonie de la nature
et à la Terre mère ne sont certainement pas celles que l’on attendrait
de la part d’un organisme qui prétend informer objectivement les décideurs.
On peut donc sérieusement s’interroger sur la qualité de l’informations
qui est diffusée.
Le public est ainsi trompé et manipulé en croyant faire confiance
à la science alors qu’en réalité il fait confiance au faux nez scientifique
d’une pseudo-science !
Voir
europeanscientist.com
En campagne pour l’agriculture de demain (Institut Montaigne) :
propositions pour une souveraineté alimentaire durable
Du côté d’Auguste Derrière
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03
- 23/05/2023
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Les banques et les américains
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06
- 23/05/2023
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Impact des drogues
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07
- 23/05/2023
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Locations de voitures, moins onéreuse mais pas vraiment
bon marché
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08
- 23/05/2023
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Mariages d'enfants en diminution dans le Sud-Est asiatique
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09
- 23/05/2023
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Perspective: The pressure on pollinator insects, by Jack DeWitt,
2023
You may have heard that bees in California are fish. In June 2022,
a California appeals court ruled that four species of bumblebees
are to be categorized as fish, allowing the California Fish and
Game Department to put them on the endangered species list.
California’s endangered species law, enacted in 1970, calls for
special protection for any endangered “bird, mammal, fish, amphibia
or reptile,” or in other words, anything with a backbone. So how
do you get insects — such as bees — from that definition? Seems
the legislators had all seafood in mind, because the law also includes
clams, crabs, and lobsters, which have no backbone. Soon, interpreters
of the law included a snail, a shrimp, and a crayfish, also backboneless.
.../...
There is a lot of research indicating a significant decline in insect
populations worldwide over the last several decades. An insect trap
36 feet above the ground monitored by the Rothamsted agricultural
research station in England for nearly 30 years (1973-2002) showed
a decline in total insects trapped of 70 percent. Other long-term
studies around the world show similar declines.
What is causing the decline? Dave Goulson, an entomologist in England,
has written a book about the loss of insects (Silent Earth, Averting
the Insect Apocalypse). He discusses several probable causes: Global
warming, loss of habitat, loss of food sources due to super-effective
weed control, excessive use of nitrogen fertilizers that causes
plants to produce more anti-insect toxins, and, of course, pesticides
in general, particularly systemics such as the neonics. In other
words, so-called industrial farming. He also blames honeybees, which
are introduced, for competing with native pollinators for nectar
and pollen.
I expect few insects will actually go extinct. One thing we can
be sure of. If nuclear war destroys civilization, insects will take
over the world.
See
agdaily.com
Mariages d'enfants en Inde : différentes hypothèses
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10
- 23/05/2023
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Genetically Engineered Crops Are Key To Sustainable Farming. So
Why Are Some Scientists Afraid To Discuss Them? By Henry I. Miller,
MS, MD and Colin Carter — April 25, 2023
The ignorance surrounding what agricultural practices are truly "sustainable,"
even among people and institutions that should know better, is astonishing.
The contributions of genetic engineering will be essential.
See
acsh.org
Cultivated meat could emit 25% more CO2e than conventional beef,
finds research, in FoodNavigator.com
Fresh research out of the University of California, Davis suggests
the global warming potential of cultured meat could be between 4-25%
higher than regular beef if a highly refined growth medium is used
in its production.
See
foodnavigator.com
The Small Robot Company nearly ‘through the danger zone’ after
losing lead investor and launching crowdfunding campaign, AFN, by
Jennifer Marston
See
agfundernews.com
The Week in AgriFoodTech: GoodLeaf Farms snags $78m, Prime Roots
raises $30m, Miso Robotics gets new investment, AFN, by Jennifer Marston
See
agfundernews.com
Diminutiondes inégalités de revenu aux USA
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11
- 23/05/2023
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What Could Go Right? The electric vehicles are coming! Much faster
than expected, by Emma Varvaloucas
The International Energy Agency (IEA)’s 2023 Global Electric Vehicle
Outlook documents a swift uptick in EV sales, which include plug-in
hybrids and battery-electric cars: three short years ago, in 2020,
only 4 percent of new car sales were EVs. In 2022, 14 percent were.
The IEA predicts that in 2023, 18 percent will be, and in 2030, 36
percent.
CRISPR zeroes in on death cap antidote
The CRISPR–Cas9 gene-editing tool might have cracked the mystery of
how death cap mushrooms (Amanita phalloides) kill — and it led researchers
to a potential antidote.
Using the gene-editing technology, researchers created a pool of human
cells — each with different genetic mutations — and exposed them to
the mushrooms’ toxin. The toxin could not enter cells that lacked
a functional version of an enzyme called STT3B, and cell survival
increased.
The researchers then sifted through thousands of chemical compounds
to find one that would block the action of STT3B. They uncovered indocyanine
green, a dye developed by the photography company Kodak in the 1950s
and used in medical imaging. Indocyanine green has not yet been tested
as an antidote in humans, but it reduced deaths when given to mice.
See nature.com
Paysage avec train, avant 1947, par Pierre Bonnard, Hermitage Museum
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09
- 23/05/2023
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Three climate policies the G7 must adopt
This week, the leaders of the Group of Seven (G7) economies — Canada,
France, Germany, Italy, Japan, the United Kingdom and the United States,
plus the European Union — will assemble in Japan. The group accounts
for almost one-third of carbon dioxide emissions from fossil fuels.
It also subsidizes oil, coal and gas to the tune of US$63 billion
per year, or $62 per person, on average. Economist Edward Barbier
outlines a three-part strategy to greening the G7:
- Remove market distortions favouring fossil fuels
- Foster a more-inclusive version of the Climate Club, its promising
plan to spur the introduction of ambitious climate policies
- Help developing economies to decarbonize
Paysage du Morvan, circa 1921, par Pierre Bonnard
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10
- 23/05/2023
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Microbes discovered that can digest plastics at low temperatures,
by Helena Horton, Environment reporter, in The Guardian
.../...
Dr Beat Frey, one of the study authors, explained: “Microbes have
been shown to produce a wide variety of polymer-degrading enzymes
involved in the breakdown of plant cell walls. In particular, plant-pathogenic
fungi are often reported to biodegrade polyesters, because of their
ability to produce cutinases, which target plastic polymers due their
resemblance to the plant polymer cutin.”
The scientists only tested the microbes at one temperature, so have
not yet found the best one to use. Nevertheless, they say it works
well between 4C and 20C.
Frey said: “The next big challenge will be to identify the plastic-degrading
enzymes produced by the microbial strains and to optimise the process
to obtain large amounts of proteins. In addition, further modification
of the enzymes might be needed to optimise properties such as protein
stability.”
.../...
A war on woke, but what else?
It is a truism that a political movement debating its reasons for
existing knows it’s in trouble.
It’s no surprise that the National Conservatism conference held in
London this week coincided with the fourteenth year of a Tory government
that looks both incompetent and out of ideas, not to mention nearly
twenty points behind in the polls.
But if the UK Tory party looks dead on its feet, national conservatism,
in its various forms, is in rude health across much of Europe. One
of the questions facing delegates this week is whether parties in
Europe can unite behind a common programme that might allow them to
shape politics across the continent.
We know who and what its enemies are: globalism, cultural liberalism,
immigration, ‘wokeness’ and the rest.
National Conservatism is also a natural opponent of the European Union.
To allies of Hungary and Poland in their rule of law disputes with
the European Commission, EU values embody the worst of liberal internationalism
and – the dirtiest of words to conservatives – progressivism.
Yet the question of what national conservatism is actually for remains
largely unanswered. Conservatism is about conserving what is best
about national traditions and institutions, but beyond defending the
traditional family, it’s not clear what this movement wants to conserve
and what it has to offer that other movements do not.
Parties like Fidesz, Law and Justice, and Brothers of Italy and, briefly,
Boris Johnson’s Tory party have been successful in tapping into a
unique sense of national identity. Giorgia Meloni, for example, has
made cracking down on imitation Italian food and drink part of her
government’s programme.
All of these parties have succeeded in going beyond their traditional
conservative base to attract support from blue-collar voters who feel
alienated by the left liberalism espoused by socialist parties.
But the nationalist conservative movement is full of contradictions.
One of the themes at the London conference was that free market capitalism
focuses on freedom for the individual and weakens communities.
Several speakers pointed to how market capitalism and the high cost
of childcare encourages both parents to work full-time, which, in
turn, means more unstable families or lower birth rates. It’s hard
to argue with this logic.
Yet conservatives, particularly those on the libertarian wing, still
point overwhelmingly to Ronald Reagan and Margaret Thatcher – the
king and queen of market liberalisation – as their ideological heroes.
Meanwhile, opposition to ‘wokeness’ – which is also at the heart of
the NatCon agenda – is reactionary rather than conservative.
Wokeness is also a particularly ill-defined concept. To its opponents,
it means ‘cultural Marxism’, ‘critical race theory’ or ‘cancel culture’,
a series of vapid slogans which sound suspiciously like conspiracy
theory lingo. It is also hard to imagine them ever being debated over
the average dinner table.
To millions of people, ‘wokeness’ means nothing more sinister than
tolerance, a value held by most moderate conservatives.
Where the mainstream parties of the centre-right, liberal centre,
and the left have gone wrong is in becoming increasingly remote from
their voters.
However, until national conservatives drop the culture war tropes,
they also speak a different language to most voters.
See
euractiv.com
Paysage violet le soir, par Pierre Bonnard
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11
- 23/05/2023
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The world has lost one-third of its forest, but an end of deforestation
is possible, by Hannah Ritchie, February 09, 2021
Over the last 10,000 years the world has lost one-third of its forests.
An area twice the size of the United States. Half occurred in the
last century.
Our Word in Data: technological Change
Almost every development that we cover on Our World in Data is underpinned
by some form of technological change.
Medical innovations contributed to the decline of child mortality
and the improvements in life expectancy. The long-term decline of
global poverty was primarily driven by increased productivity from
technological change. Access to energy, electricity, sanitation, and
clean water have transformed the lives of billions.
Emerging technologies are often expensive and therefore initially
limited to the richest in society. A key part of technological progress
is making these life-changing, and often life-saving, innovations
affordable for everyone.
In many ways, technology has transformed our lives for the better.
But these developments are not always positive: many of humanity’s
largest threats — such as climate change, nuclear weapons, and potentially
also artificial intelligence — are the result of technological advances.
To mitigate these risks, good governance can be as important as the
technology itself.
On our updated page, you can find all our data, visualizations, and
writing on many of the most fundamental technological changes that
have shaped our world.
Why did renewables become so cheap so fast?
For the world to transition to low-carbon electricity, energy from
these sources needs to be cheaper than electricity from fossil fuels.
Fossil fuels dominate the global power supply because, until very
recently, electricity from fossil fuels was far cheaper than from
renewables. This has changed dramatically in the last decade. In most
places in the world today, power from new renewables is cheaper than
power from new fossil fuels.
The fundamental driver of this change is that renewable energy technologies
follow learning curves, which means that with each doubling of their
cumulative installed capacity, their price declines by the same fraction.
The price of electricity from fossil fuel sources, on the other hand,
does not follow a learning curve, meaning renewables will continue
getting cheaper relative to fossil fuels.
This is an argument for large investments into scaling up renewable
technologies now. Increasing installed capacity has the extremely
important positive consequence that it drives down the price and thereby
makes renewable energy sources more attractive, earlier.
Falling energy prices also mean that the real income of people rises.
Investments to scale up energy production with cheap electric power
from renewable sources are therefore not only an opportunity to reduce
emissions, but also to achieve more economic growth — particularly
for the poorest places in the world.
Why did renewables become so cheap so fast? By Max Roser, December
01, 2020
Fossil fuels dominate the global power supply because until very recently
electricity from fossil fuels was the cheapest. This has changed dramatically.
In most places power from new renewables is now cheaper than new fossil
fuels.
For the world to transition to low-carbon electricity, energy from
these sources needs to be cheaper than electricity from fossil fuels.
Fossil fuels dominate the global power supply because until very recently
electricity from fossil fuels was far cheaper than electricity from
renewables. This has dramatically changed within the last decade.
In most places in the world power from new renewables is now cheaper
than power from new fossil fuels.
The fundamental driver of this change is that renewable energy technologies
follow learning curves, which means that with each doubling of the
cumulative installed capacity their price declines by the same fraction.
The price of electricity from fossil fuel sources however does not
follow learning curves so that we should expect that the price difference
between expensive fossil fuels and cheap renewables will become even
larger in the future.
This is an argument for large investments into scaling up renewable
technologies now. Increasing installed capacity has the extremely
important positive consequence that it drives down the price and thereby
makes renewable energy sources more attractive, earlier. In the coming
years most of the additional demand for new electricity will come
from low- and middle-income countries; we have the opportunity now
to ensure that much of the new power supply will be provided by low-carbon
sources.
Falling energy prices also mean that the real income of people rises.
Investments to scale up energy production with cheap electric power
from renewable sources are therefore not only an opportunity to reduce
emissions, but also to achieve more economic growth – particularly
for the poorest places in the world.
Influenza
Seasonal flu is a contagious illness caused by the influenza virus.
It kills around 400,000 people from respiratory disease on average
each year. In large pandemics, when new strains have evolved, the
death toll has been much higher.
Yet, data on the flu is limited. With better testing, countries could
improve their response to flu epidemics. It could help to rapidly
identify new strains, detect epidemics early, and design better-matched
vaccines to target flu strains circulating in the population.
Our new Influenza work therefore shows estimates of deaths during
seasonal flu epidemics, historical flu pandemics, patterns of flu
seasons in different countries, and confirmed cases of flu and flu-like
symptoms across the world.
The page also includes our Flu Data Explorer, a resource for epidemiologists,
infectious disease researchers, and public health experts to monitor
the global spread of the influenza virus.
Learning curves: What does it mean for a technology to follow Wright’s
Law?
Technologies that follow Wright’s Law get cheaper at a consistent
rate, as the cumulative production of that technology increases.
In this article, we explain what this means by looking at the concrete
example of solar panels. We also explain how this relationship between
price and production connects to other “laws” such as Moore’s Law.
The time series in the chart shows the deployment of solar panels
on the horizontal axis and the price of solar panels on the vertical
axis. The orange line describes the relationship between these two
metrics over time and is called the learning curve of that technology.
As the cumulative installed capacity of solar increased, the price
declined exponentially. For more than four decades, the price of solar
panels declined by around 20% with each doubling of global cumulative
capacity.
The result is that in most places in the world today, power from new
solar panels is cheaper than power from new fossil fuels.
Why randomized controlled trials matter and the procedures that
strengthen them
In order to tackle the world’s largest problems, we need to be able
to identify their causes and effective ways to solve them.
How would we know about the effects of a new idea, treatment, or policy?
Answering this question can be difficult. Some research is poorly
done and there are incentives for scientists and funders to exaggerate
their findings.
In this article, we look at a key tool to study cause and effect reliably:
randomized controlled trials (RCTs).
What makes RCTs useful is the set of procedures they are expected
to follow. This includes placebo controls, concealment, randomization,
and pre-registration. These procedures protect against challenges
that scientists usually face in research.
To be able to understand scientific research, we need to understand
why these procedures matter and why they are not always followed in
practice. With this knowledge, we have a greater ability to identify
the causes and solutions to the largest problems that affect us.
Vidéo
de l'Académie
d'Agriculture de
France
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A old farmer joke (old joke)
A farmer stopped by the local mechanic’s shop to have his truck fixed.
They thought it might have something to do with the transmission,
so they couldn’t repair it while he waited. He told the mechanics
that he didn’t live far and would just walk home.
On the way home he stopped at the hardware store and bought a bucket
and a gallon of paint. He then stopped by the feed store and picked
up a couple of chickens and a goose. However, struggling outside the
store he now had a problem ― how to carry his purchases home.
While he was scratching his head he was approached by a little old
lady who told him she was lost. She asked "Can you tell me how
to get to 1603 Mockingbird Lane?” The farmer replied "Well, as
a matter of fact, my farm is very close to that house. I would walk
you there but I can’t carry this lot."
The old lady suggested "Why don’t you do this? Put the can of
paint in the bucket. Carry the bucket in one hand, put a chicken under
each arm and carry the goose in your other hand."
"Why, thank you very much, that works just fine!" he said,
and proceeded to walk the old girl home.
On the way he said "Let’s take my usual short cut and go down
this alley. We’ll be there in no time."
The little old lady looked him over cautiously then said, "I
am a lonely widow without a husband to defend me... How do I know
that when we get in the alley you won’t have your way with me?”
The farmer said with some irritation "Holy smokes, lady! I’m
carrying a bucket, a gallon of paint, two chickens, and a goose. How
in the world could I do that?"
The old lady replied: "Set the goose down, cover him with the
bucket, put the paint can on top of the bucket, and I’ll hold the
chickens."
Cette gazette est disponible sur le site de l’Association francophone
d’informatique agricole (Afia)
Les archives de cette gazette sont disponibles sur le site de l'Afia
Do not miss the Virus Jokes in English and French
La diffusion de "Du côté du web et de l'informatique
agricole" est réalisée avec le concours de Vitisphere
Ma « nouvelle » adresse : guy.waksman(a)laposte.net
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(enfin facilement !) à l’Afia (adhésion individuelle ou adhésion
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